Episodes
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durée : 00:03:35 - Jacques Bonnaffé lit la poésie - "La Beauté" - édité chez Poésis - Comment peut-on aborder la notion de beauté aujourd’hui ? Si ce n’est en confrontant les points de vue.
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durée : 00:03:34 - Jacques Bonnaffé lit la poésie - Un arrêt sur les stocks, poèmes parmi lesquels je reviens à la vie. Leur grâce mobile, et comme elle inscrit dans la relecture chaque fois sa chanson. Douce énergie de l’anadiplose, pour Rouzeau. Et pour les autres : James Sacré, Werner Lambersy, le bon moteur aussi.
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durée : 00:03:35 - Jacques Bonnaffé lit la poésie - « Avec ivresse profonde les mots m'ont accueilli / Il ne suffisait pas seulement de prendre la parole. / Mais me tenir avec eux dans les marges du texte / fut désormais possible. »
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durée : 00:03:30 - Jacques Bonnaffé lit la poésie - Semaine composite suscitée au départ par un livre, un seul, remarquable : "La Beauté", chez Poésis. Qui par sa qualité d’enquête vient répondre à l’absence de réflexion du Printemps des poètes sur ce thème consacré.
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durée : 00:03:15 - Jacques Bonnaffé lit la poésie - par : Jacques Bonnaffé - Il serait de mauvais aloi d’aller trouver un lien entre "Sous le Deuil" et cet extrait de "Ode au Paillasson" qui ouvre l’émission. N’y voir que l’occasion trop rapide de saluer le travail d’éditeur de Laurent Albaracin, et cette merveille de langue qui nait sous la plume de Savistkaïa. - réalisé par : Manoushak Fashahi
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durée : 00:03:20 - Jacques Bonnaffé lit la poésie - "Chemin de fer abandonné. Le ballast ne tient plus. / Des traverses en bois cèdent. Poussent, entre les rails, des plantes en tout genre. Accumulations de composants en plastique, de déchets soumis à des années de pluie, de soleil, d’oubli. »
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durée : 00:03:44 - Jacques Bonnaffé lit la poésie - Les poètes sont-ils forcement sensibles au sauvage, et du loup prennent-ils tous naturellement la défense ? Echappent-ils aux constats chiffrés, aux débats d’opinion ? Pour planer, comme ceux d’hier ou ménager sa place au conte, où le loup n’est pas tendre pour l’homme ?
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durée : 00:03:30 - Jacques Bonnaffé lit la poésie - Il fallait ouvrir le livre de Marie-Claire Banquart avant que de quitter ce semestre qui l’a vu disparaître.
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durée : 00:03:40 - Jacques Bonnaffé lit la poésie - « Dans ce recueil, il y a les questions que le poète se pose sur le grand mystère qui fait qu’avec un bout de papier et un crayon on peut « repartir », dans la vie comme dans l’écriture. Se demandant toujours : « Ça tient à quoi ? »
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durée : 00:03:25 - Jacques Bonnaffé lit la poésie - "La nuit quand il ne dort pas / l'homme joue au Lego / avec des morceaux de sa vie. // Les yeux fermés il les assemble / sans idées précises. // Des images s'imbriquent / les unes dans les autres /il ne sait pas pourquoi elles remontent" (extrait de "Ego Lego")
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durée : 00:03:42 - Jacques Bonnaffé lit la poésie - par : Jacques Bonnaffé - Les poètes de langue néerlandaise d’aujourd’hui sont particulièrement actifs sur la scène poétique européenne. Une quinzaine de poètes de langue néerlandaise seront présents durant les cinq jours du Marché de la Poésie, voire parmi les événements de sa périphérie. - réalisé par : Manoushak Fashahi
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durée : 00:03:37 - Jacques Bonnaffé lit la poésie - par : Jacques Bonnaffé - Le Marché de la poésie est un lieu d’échanges et de diffusion, salon du livre consacré aux poètes ou à leurs éditeurs. Toutes les voix y ont un chapitre, un stand, un étal et des rencontres d’auteurs, des lectures. - réalisé par : Manoushak Fashahi
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durée : 00:03:23 - Jacques Bonnaffé lit la poésie - par : Jacques Bonnaffé - « Il y a dans la parole humaine comme une danse et quelque chose qui s'offre, et comme le don de parler qui se transmet, la transmission du don de parler que nous avons reçu. » Valère Novarina, "Le Théâtre des paroles", P.O.L., 2007 - réalisé par : Manoushak Fashahi
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durée : 00:03:23 - Jacques Bonnaffé lit la poésie - par : Jacques Bonnaffé - Novarina parle aux acteurs, son texte sonne et frappe, et grandit la responsabilité dont il les charge. Les projetant pour grand nombre dans une lecture fascinée, reconnaissante et fertile, de son "Théâtre des paroles". - réalisé par : Manoushak Fashahi
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durée : 00:03:29 - Jacques Bonnaffé lit la poésie - par : Jacques Bonnaffé - Plusieurs inscriptions augurales précèdent le déferlement de connaissances et de création, l’invention-verbe qui a pour nom Valère Novarina. Nous citons Artaud puis Michaux, chacun pour leur dépassement des limites puis Jean-Pierre Verheggen proche et familier par leur collaboration à la revue TXT. - réalisé par : Manoushak Fashahi
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