Episoder
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Avec le réalisateur Sana Na N'Hada et le coproducteur de « Nome », Olivier Marboeuf.
Et aussi…
Guinée-Bissau, 1969. Une guerre violente oppose l’armée coloniale portugaise aux guérilleros du Parti Africain pour l'Indépendance de la Guinée. Nome quitte son village et rejoint le maquis. Après des années, il rentrera en héros, mais la liesse laissera bientôt la place à l’amertume et au cynisme.- Le Journal du cinéma
- Reportage sur la sortie de « Tiger Stripes », d'Amanda Nell Eu, à Kuala Lumpur.
Un reportage signé Juliette Pietraszewski.
Zaffan, 12 ans, vit dans une petite communauté rurale en Malaisie. En pleine puberté, elle réalise que son corps se transforme à une vitesse inquiétante. Ses amies se détournent d’elle alors que l’école semble sous l’emprise de forces mystérieuses. Comme un tigre harcelé et délogé de son habitat, Zaffan décide de révéler sa vraie nature, sa fureur, sa rage et sa beauté.
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C’est une histoire de rencontre, une rencontre amoureuse entre une jeune femme, Aya, qui quitte son pays la Côte d’Ivoire et son fiancé infidèle le jour de son mariage, et Tsai, un homme plus âgé, exportateur de thé à Guanghzou (Canton). Mais c’est aussi une rencontre entre deux cultures, entre deux géants : l’Afrique et la Chine.
Cette histoire, qui parle aussi d’initiation au goût, marie le ying et le yang, la lumière et des aspects plus sombres comme le racisme et l’exploitation, mais toujours avec élégance et raffinement.
Nous recevons Abderrahmane Sissako pour Black Tea, son nouveau long métrage, qui vient de sortir en salle en France après avoir été montré en première mondiale en compétition à Berlin.
À l’affiche de notre cinéma également ce samedi : le palmarès de la Berlinale et le sacre de Dahomey de Mati Diop (Ours d’or) et un reportage de Lisa Giroldini sur l’exposition Effets spéciaux au Centre d’art d’Enghien-les-Bains.
Musiques : Feeling good, reprise par Fatoumata Diawara et Ramata de Daara J Family.
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Manglende episoder?
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Casablanca. Dans son 2è long métrage, « La mère de tous les mensonges », la cinéaste Asmae El Moudir cherche à démêler les mensonges qui se transmettent dans sa famille. Grâce à une maquette du quartier de son enfance et à des figurines de chacun de ses proches, elle rejoue sa propre histoire. C'est alors que les blessures de tout un peuple émergent et que l’Histoire oubliée du Maroc se révèle.
Et aussi :
- Le journal du cinéma
- Entretien avec Mati Diop, au festival de Berlin, pour son film Dahomey
Novembre 2021, vingt-six trésors royaux du Dahomey s’apprêtent à quitter Paris pour être rapatriés vers leur terre d’origine, devenue le Bénin. Avec plusieurs milliers d’autres, ces œuvres furent pillées lors de l’invasion des troupes coloniales françaises en 1892. Mais comment vivre le retour de ces ancêtres dans un pays qui a dû se construire et composer avec leur absence ? Tandis que l’âme des œuvres se libère, le débat fait rage parmi les étudiants de l’Université d’Abomey Calavi.
- Portrait de Ryu Seong-hie, la plus grande directrice artistique de Corée, par notre correspondant Nicolas Rocca.
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C’est une histoire à la fois éminemment singulière et douloureusement collective : une histoire de de lieux disparus, de mémoires dispersées, de quatre générations de femmes qui ont le déracinement en héritage.
Et ce drame résonne encore plus tragiquement depuis les massacres en Israël perpétrés par le Hamas, le 7 octobre 2024, puis la guerre déclarée par l’État hébreu à Gaza.
Dans son documentaire « Bye Bye Tibériade », la réalisatrice Lina Soualem trace le fil qui la relie à son arrière grand-mère, qui a été chassée de Tibériade en 1948, à la création de l'État d'Israël et la première guerre israélo-arabe. La famille s'est installée à une trentaine de kilomètres, à Deir Hanna, sur le territoire israélien. La mère de Lina Soualem en est partie pour vivre librement son destin de comédienne : c'est Hiam Abbas, qui a tourné sous la direction de l'Israélien Eran Riklis ou de l'Américain Steven Spielberg.
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Richesse économique, société d’abondance et de protections sociales, berceau des Lumières occidentales, l’Europe comme continent et comme construction politique, l’Europe peut faire rêver, inspirer, attirer.
Mais pour bon nombre de malheureux qui fuient la guerre, les désordres climatiques, la dictature, et tout simplement la mort dans leur pays pour trouver refuge sur le sol européen, les routes qui y conduisent sont périlleuses. Et s’ils pouvaient aussi y trouver l’enfer qu’ils fuient ?C’est ce que montre le film « Green Border » en salle depuis mercredi (7 février 2024) en France.
Agnieszka Holland braque son objectif sur la frontière entre la Pologne et la Biélorussie où, à l’automne 2021, s’est joué un tragique bras-de-fer entre une dictature alliée de la Russie et un pays de l’Union européenne, avec, au milieu, des êtres humains venus chercher une vie meilleure en Europe.
Pauses musicales : Shout par Nouvelle Vague, Mourir 1000 fois par Youssoupha et Te Mata de Kali Uchis.
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Dans un Douala qui trépigne à l'approche de la rentrée scolaire, Rosine Mbakam raconte l'histoire de Pierrette Mambar, couturière, mais aussi confidente de ses clientes. Entre autres malheurs, de fortes pluies menacent son atelier... Et Pierrette va devoir tenir bon. Entretien avec la réalisatrice Rosine Mbakam.
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Martin Scorsese, l’un des plus grands cinéastes contemporains, a transmué en or sa fascination pour les marginaux en se référant sans cesse à ses racines italo-américaines. Nous en parlons avec Camille Juza et Yal Sadat, auteurs du documentaire « Martin Scorsese l’Italo-Américain », diffusé sur Arte à partir du 11 février 2024, à l’occasion d’une soirée spéciale consacrée à l’auteur du « Loup de Wall Street »
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« Je ne veux pas montrer mais donner l’envie de voir ». On pourrait ajouter à cette citation de notre cinéaste du jour qu’elle aura même, avec son œuvre, donner envie de vivre. Ne pas seulement montrer, mais donner envie de voir, c’est vraiment ce qui a motivé la photographe, scénariste, réalisatrice, productrice, artiste visuelle Agnès Varda. (Rediffusion)
Une grande exposition Viva Varda vient d’ouvrir ses portes à la Cinémathèque française à Paris et nous recevons sa commissaire Florence Tissot.
Ainsi que le documentariste Pierre-Henri Gibert dont le portrait libre « Viva Varda » sera diffusé sur Arte, le 6 novembre 2023 (et disponible sur la plateforme arte.tv).
En 70 ans de carrière, Agnès Varda aura signé une quarantaine de films, courts et longs métrages, fictions et documentaires, œuvres d’art contemporain, hybridant les formes, échappant aux cases pour bâtir une œuvre polymorphe.
⇒ La bande annonce.
À l’affiche de notre cinéma également ce samedi :
- un reportage de notre envoyé spécial permanent en Chine Stéphane Lagarde sur le festival de Pingyao, et le journal du cinéma.
Pauses musicales : Sans toi, la chanson du film Cleo de 5 à 7, et Angry, un titre du nouvel album des Rolling Stones.
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« Il y a bien longtemps, dans une galaxie lointaine, très lointaine : c’est une époque de guerre civile, les Rebelles ont remporté leur première victoire sur le maléfique empire galactique » !
Vous avez peut-être, sans doute même, reconnu les toutes premières phrases du générique de Star Wars, La guerre des étoiles en français, épisode IV, « Un nouvel espoir ».
Le tout premier film de la franchise signée George Lucas qui sortit sur les écrans américains en mai 1977 et fit un carton intersidéral.Ce film a depuis enrichi son créateur, ses concepteurs, acteurs et producteurs et continue de nourrir un univers ramifié désormais sous ombrelle Disney.
Et pourtant, ce film faillit bien ne jamais voir le jour. Son tournage même fut une véritable odyssée, que raconte magistralement un roman graphique : Les guerres de Lucas, paru chez Deman éditions.
Pour en parler, nous recevons ses auteurs, le scénariste Laurent Hopman et le dessinateur Renaud Roche.
À l’affiche également de notre cinéma : le journal du 7ème art, et un tour en Turquie avec notre correspondante Anne Andlauer pour parler d’une série « Boutons rouges » qui s’attire les foudres du pouvoir en place en mettant en scène des confréries musulmanes.
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Deux vieux ennemis se retrouvent vingt ans après la fin de la guerre. Les cheveux ont blanchi, et les muscles, fondu, mais la haine est intacte et leur passion commune aussi. Le héros de Tous les cinémas du monde, cette semaine, a un fouet et un chapeau, sans oublier sa mythique veste en cuir. Il est né au début des années 80s de l’imagination de deux jeunes cinéastes aux dents longues, George Lucas et Steven Spielberg, et à sa manière il a changé la donne à Hollywood.
Cette semaine, émission consacrée à Indiana Jones, dont le 5è opus, « Indiana Jones et le cadran de la Destinée » sort en salles le mercredi 28 juin 2023, après un premier tour de piste très remarqué au festival de Cannes en mai dernier.
Derrière la caméra, James Mangold (Wolverine, Logan) et devant Harrison Ford, 80 ans, qui endosse pour la 5è fois (et sans doute dernière fois) le blouson de l’archéologue-aventurier.
Notre invité : le journaliste et cinéaste Gilles Penso, auteur (entre autres) de « Steven avant Spielberg » (Éd. Michel Laffon).
Rediffusion du 24 juin 2023.
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C’était une dame, une actrice à la voix si particulière (Michael Lonsdale disait d’elle qu’elle avait une « voix de violoncelle »). Inoubliable fée des Lilas dans « Peau d’Âne » de Jacques Demy, Jeanne Dielman pour Chantal Akerman, elle avait tourné sous la direction de Marguerite Duras, Alain Resnais ou François Truffaut.
Rediffusion du 1er avril 2023
Mais c’était aussi une militante féministe et une cinéaste visionnaire. Son documentaire, Sois belle et tais-toi, ressort en salles et conquiert une nouvelle génération de cinéphiles.
Tandis que le chef-d’œuvre de Chantal Akerman, Jeanne Dielman, 23 quai du Commerce, 1080 Bruxelles, élu meilleur film du monde l’an dernier (2022) (par la revue Sight and sound et le British institute), sera lui aussi de nouveau à l’affiche dans quinze jours.
Delphine Seyrig est à l’honneur de Tous les cinémas du monde ce samedi.
Nous recevons Nicole Fernandez Ferrer, la co-présidente du centre audiovisuel Simone de Beauvoir, un centre co-fondé par Delphine Seyrig en 1982 pour réunir, produire et diffuser des documents audiovisuels sur les droits, luttes et création de l'art des femmes.
Et Alexandre Moussa, universitaire qui a consacré sa thèse à Delphine Seyrig, « Je ne suis pas une apparition, je suis une femme » : Delphine Seyrig, icône du cinéma moderne, actrice insoumise, star féministe.
Pauses musicales : Delphine Seyrig chante dans Peau d’Âne de Jacques Demy, et Feist Hiden out in the open.
Références :
- Delphine Seyrig,En constructions, par Jean-Marc Lalanne (éditions Capricci).
- Delphine et Carole Insoumuses, par Callisto Mc Nulty, disponible sur la plateforme Madelen, la machine à remonter le temps de l’Ina.
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De retour à Paris après des années passées à Los Angeles, une actrice jadis célèbre veut faire son come-back au cinéma. Dans « Icon of French Cinema », Judith Godrèche met en scène son double de fiction. Une série d’une drôlerie fantasque qui lui permet de peindre les sombres réalités du milieu.
► Retrouvez la série « Icon of French Cinema » à partir du 21 décembre sur arte.tv et le 28 décembre sur Arte.
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On dit du court métrage que c’est l’enfance de l’art cinématographique, le passage obligé pour apprendre son métier avant de passer au format long. Pourtant ce n’est pas forcément facile de faire court. Et puis des cinéastes bien installés ont continué à réaliser des courts métrages toute leur carrière durant !
Mais on repère souvent les talents lors de festivals de courts métrages : celui de Clermont-Ferrand, en France, a ainsi distingué très tôt Cédric Klapisch, Jean-Pierre Jeunet ou Thomas Vinterberg.
C’est dire l’importance d’un tel rendez-vous, maillon indispensable d’une chaîne qui, de la production à l’exploitation en salles, peut permettre de dynamiser toute une industrie.
C’est le cas en ce moment à Dakar, au Sénégal, où se tient la 6ème édition de Dakar Court.
Nous sommes en duplex avec le studio de RFI à Dakar où l’on retrouve le cinéaste Moly Kane, qui a créé Dakar Court, la réalisatrice Ramata Toulaye-Sy, dont le premier long métrage Banel et Adama était en compétition au dernier Festival de Cannes et représente le Sénégal dans la course à l’Oscar du meilleur film étranger, et le producteur Oumar Sall dont la maison de production Cinekap a porté, notamment, les projets d’Alain Gomis (Tey, Félicité…) et Mati Diop (Atlantique).
Notre correspondante Théa Ollivier signe différents reportages, sur la compétition, officielle, et les sessions de formation.
Pauses musicales : Muzi Light, Joao Selva Vai te curar.
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Haby, jeune femme très impliquée dans la vie de sa commune, découvre le nouveau plan de réaménagement du quartier dans lequel elle a grandi. Mené en catimini par Pierre Forges, un jeune pédiatre propulsé maire, il prévoit la démolition de l'immeuble où Haby a grandi. Avec les siens, elle se lance dans un bras de fer contre la municipalité et ses grandes ambitions pour empêcher la destruction du Bâtiment 5.
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Focus sur le festival des 3 continents à Nantes qui se tient jusqu’au 3 décembre 2023 et rend hommage à la pionnière sénégalaise Safi Faye (morte en février 2023). J’ai également pu rencontrer le documentariste congolais Alain Kassanda qui présente à Nantes son film « Coconut Head generation », sur des étudiants de l’Université d’Ibadan, au sud-ouest du Nigeria.
Nous diffusons également un reportage sur un festival de cinéma engagé et « flottant » au cours de l’Amazonie et qui va à la rencontre de plusieurs communautés autochtones (reportage de Juliette Chaignon).
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Nous recevons le rappeur-plasticien Baloji, dont le premier long métrage, « Augure », sort en salle, le mercredi 29 novembre 2023.
Aïssa Diaby, la déléguée générale du festival de cinéma de Conakry, est aussi notre invitée. Le festival ouvre ses portes la semaine prochaine. -
Ils ont des conditions de vie précaires, des logements insalubres et des petits boulots à l’autre bout de la ville.
Mais comme tous les jeunes de leur âge, ils sont préoccupés par leurs examens ou fêtent leurs résultats dans des bars. Benjamin, Nestor, Aaron et Rafiki sont étudiants en Économie à l’Université de Bangui, en Centrafrique.
Avec des préoccupations de leur âge, mais aussi des difficultés spécifiques : corruption de professeurs ou suroccupation des salles de classe…Le documentaire Nous, étudiants, a déjà fait le tour des festivals du monde entier, à commencer par celui de Berlin en février 2022. C’est le premier long métrage d’un réalisateur prometteur, Rafiki Fariala, qui vient nous en parler longuement ce samedi.
À l’affiche de notre cinéma également ce samedi, l’hommage rendu au Centre Pompidou à une pionnière, la Martiniquaise Euzhan Palcy, qui a reçu un oscar d’honneur l’an dernier et reste la première cinéaste noire à avoir signé avec une Major à Hollywood. La réalisatrice de Rue Case-Nègres, Une Saison blanche et sèche ou Parcours de dissidents, revient sur ses combats et ses projets.
Pauses musicales : Maître Gims Sapé comme jamais ; Doja Cat Paint the town ; Kendra Morris Fine right here.
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C’est la seule star française dont la carrière n’a jamais connu d’éclipse. Catherine Deneuve a fêté ses 80 ans, ce 22 octobre 2023, 80 printemps et autant de chefs d’œuvre à son actif, elle qui a tourné avec Roman Polanski, Alain Cavalier, André Téchiné, Luis Bunuel et François Truffaut, entre autres.
Cette semaine, Tous les cinémas du monde revient sur le parcours de cette icône du cinéma avec
Virginie Linhart, auteure du documentaire « Deneuve, la reine Catherine » (disponible sur la plateforme Francetv)
Et
Faustine Saint-Geniès, journaliste à So film, co-autrice du livre collectif « Il était une fois Deneuve » (Éd. Marabout).
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Nous vous emmenons dans un monde merveilleux. Un monde qui n’est pourtant pas épargné par les horreurs de la guerre, le spectre de la mort, ou les ravages faits à l’environnement. Mais qui est aussi peuplé de créatures surnaturelles, Yokai ou noiraudes, d’esprits de la forêt, d’engins volants et d’héroïnes courageuses. Ce monde, c’est celui du Japonais Hayao Miyazaki. À 82 ans, il livre son douzième long métrage, Le garçon et le héron (sorti en salles au Japon le 14 juillet 2023, et en France le 1er novembre 2023) dont il dit que ce n’est pas le dernier.
Émission spéciale consacrée ce samedi 4 novembre 2023 au papa de Mon voisin Totoro, Kiki la petite Sorcière, le Château dans le ciel, Princesse Mononoke et Porco Rosso.
Nous recevons Stéphanie Chaptal, autrice d’un livre hommage à Hayao Miyazaki intitulé Un cœur à l’ouvrage (Ynnis Éditions) et le traducteur et enseignant Ilan Nguyên, spécialiste de l’animation japonaise.
Avec un appel à notre correspondant au Japon, Frédéric Charles.
Pauses musicales : Tonari no Totoro (Joe Hisaichi) et Butterfly (Midicronica et Ryofu Karuma).
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Avec notre envoyée spéciale au Cameroun, Amélie Beaucour, nous revenons sur la programmation et les temps forts du Festival.
⇒ Écrans noirs.
- Vis mere