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  • J’ai posĂ© des mots sur une dĂ©marche qui m’aide Ă  me sentir bien dans mon cĂ©libat grĂące Ă  une vie qui me « nourrit », « complĂšte », dans laquelle j’oublie la sensation de manque en l’absence de vie sentimentale. Et quand je rencontre quelqu’un qui me plaĂźt, cette dĂ©marche m’aide Ă  rester ancrĂ©e et moins perdre pied dans mes Ă©motions (qui s’enflamment un peu trop au dĂ©but) ou moins vite. J’appelle cette dĂ©marche « Cultiver Son Soi » et je te propose de dĂ©couvrir de quoi il s’agit, avec plein d’exemples personnels issus de cette annĂ©e, dans cet Ă©pisode.

  • DĂ©but 2023, j’ai suivi un coaching sentimental. Dans cet Ă©pisode, je vous raconte ce qu’il m’apportĂ© et l’évolution que j’ai vĂ©cue grĂące Ă  lui. Aujourd’hui, j’ai envie de recommander ce coaching Ă  toute femme qui a a marre de ne pas ĂȘtre Ă©panouie dans sa vie sentimentale et veut y faire quelque chose.

    Pour moi, tout a commencé par un atelier en ligne organisé par ma coach en décembre dernier.

    Dimanche 17 septembre 2023, elle en organise un nouveau (« J’arrĂȘte de repousser l’amour... pour le vivre avec un grand A »), que je ne peux que vous recommander. Inscriptions ici : https://www.andlove.fr/j-arrete-de-repousser-l-amour-septembre-2023-1

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  • 5 mois aprĂšs la fin de sa derniĂšre relation, Estelle revient sur sa redĂ©couverte d’elle-mĂȘme post-sĂ©paration et sa prise de conscience sur certains comportements de dĂ©pendance affective.

    Pendant la relation, “je” Ă©tait devenu “nous”, les amis un peu dĂ©laissĂ©s. Estelle vivait dans le “syndrome de l’imposteur” (peur que l’autre dĂ©couvre qui elle est vraiment et ne l’aime plus aprĂšs) et la recherche constante de compliments, de “je t’aime”, bref, de valorisation de qui elle est par l’autre.

    Post-sĂ©paration, redevenue cĂ©libataire, Estelle doit faire face Ă  un vide, une solitude non familiĂšre et pĂ©nible, Ă  la peur des weekends vides, et au fait de prendre des dĂ©cisions toute seule, pour elle uniquement, sans quelqu’un sur qui s’appuyer ou avec qui les prendre.

    De quoi est-ce que j’ai envie pour moi ?

    OĂč est-ce que j’ai envie de vivre ?

    Comment occuper mes weekends ?

    Elle apprend Ă  refaire des choses seule (comme des randos), trouve une confidente au sein de sa famille, travaille sur ses croyances nĂ©gatives Ă  l’encontre d’elle-mĂȘme, Ă©coute des podcasts sur les relations et le cĂ©libat (dont celui-ci), se remet au sport (lui fait du bien et l’aide Ă  aller vers un corps qu’elle prĂ©fĂšre).

    Viens discuter de cet épisode sur le post dédié sur le compte instagram : https://www.instagram.com/podcastcelibataire/

    Et tu peux retrouver Estelle via son blog : https://letempsdundeclic.fr/

  • Jusqu’à prĂ©sent, Marie-Laure, 37 ans, n’avait eu que des relations Ă©phĂ©mĂšres, qui se terminaient car elles n’étaient pas trĂšs saines. Son syndrome de la sauveuse l’amenait Ă  attirer des gens qui avaient besoin d’ĂȘtre sauvĂ©s.

    Cette situation a changĂ© quand Marie-Laure a dĂ©cidĂ© de quitter un travail dans lequel elle ne se sentait pas Ă©panouie. Elle a dĂ©cidĂ© de partir quatre mois en “voyage spirituel” au Maroc, oĂč elle a fait un gros travail sur elle.

    Juste aprĂšs, elle a rencontrĂ© quelqu’un, avec qui elle est aujourd’hui dans une relation Ă©panouie (et ce, alors mĂȘme qu’elle ne pensait pas que cet homme lui correspondait au dĂ©part). Son travail sur elle lui a appris Ă  reconnaĂźtre ses besoins, prendre conscience de ses croyances, et sortir de ses schĂ©mas rĂ©pĂ©titifs.

    Aujourd’hui, le plus grand conseil de Marie-Laure est de travailler sur soi :

    -Prendre conscience de ses besoins et chercher Ă  les combler par soi-mĂȘme, sans compter sur quelqu’un d’autre ;

    -Prendre conscience de ses croyances qui font qu’on attire les mauvaises personnes, et les modifier pour ne plus reproduire les mĂȘmes schĂ©mas ;

    -Travailler sur son estime de soi, pour Ă©viter de s’oublier dans une relation, et notamment en apprenant Ă  poser ses limites.

    Mais aussi Ă©viter d’idĂ©aliser son partenaire ou la relation et simplement prendre ce que la relation a Ă  offrir.

    Ses outils de prĂ©dilection pour parvenir Ă  ça : les soins Ă©nergĂ©tiques, la loi de l’attraction, le coaching.

    Depuis, Marie-Laure est devenue coach et praticienne de l’EFT. Elle aide les personnes Ă  guĂ©rir leurs blessures Ă©motionnelles, les traumatismes du passĂ©.

    Sur son compte instagram (https://www.instagram.com/marie_laure_coach), elle propose aussi un petit guide PDF à destination des célibataires, pour se poser les bonnes questions.

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  • Laurie, 24 ans, est “cĂ©libataire avec relations non officielles”.

    Elle n’a jamais officialisĂ© une relation pour l’appeler “couple”.

    Dans cet Ă©pisode, elle nous parle de l’entre-deux : ni cĂ©libataire dans un monde dĂ©sertique, ni en couple.

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    Elle nous parle des comportements qu’elle a adoptĂ©s aprĂšs avoir souffert en amour : faire souffrir les autres, ne pas rĂ©ussir Ă  dĂ©voiler ses sentiments, les nier


    Peut-ĂȘtre que c’est ça qui a empĂȘchĂ© certaines histoires de devenir plus.

    Et en mĂȘme temps, elle pense aussi avoir besoin de l’officialisation du “couple” pour se sentir en suffisamment en sĂ©curitĂ© pour tomber amoureuse.

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    Comme beaucoup d’entre nous, Laurie ressent une pression liĂ©e Ă  l’ñge pour avoir des enfants.

    Une pression de la famille (“A ton ñge, tu n’as toujours personne ?”).

    De la mĂšre (“Je n’ai pas envie d’ĂȘtre grand-mĂšre vieille”).

    Elle s’est demandĂ© pourquoi les autres y arrivaient et pas elle.

    Et la crise sanitaire a renforcĂ© l’idĂ©e qu’il lui faudrait attendre pour rencontrer quelqu’un, du fait que tout Ă©tait fermĂ© et ne donnait plus l’opportunitĂ© de faire des rencontres (sachant que les applis, c’est pas son truc).

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    Pourtant, aujourd’hui, Laurie est quand mĂȘme une cĂ©libataire relativement Ă©panouie.

    Elle a appris à déplacer son focus, à se concentrer sur des objectifs de carriÚre.

    Elle se sent entourĂ©e (l’amour, c’est ça aussi).

    Elle aspire à rencontrer quelqu’un, mais sans que l’attente soit un poids.

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  • Joanna (@joanna_aufildesmois), 35 ans, est maman cĂ©libataire d’un petit garçon de 5 ans.

    Elle nous raconte son parcours de ces deux derniÚres années de célibat, suite à sa séparation.

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    Depuis la difficultĂ© du dĂ©but, avec son “petit coeur qui ne bat plus”...

    Jusqu’à un cĂ©libat “conscient” et dans lequel elle se sent bien.

    En passant par la redécouverte de sa féminité et de la séduction.

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    Depuis les rencontres hasardeuses, parce qu’elle ne savait pas vraiment ce qu’elle cherchait...

    Jusqu’à la clartĂ© de ses standards et exigences, pour respecter qui elle est.

    En passant par l’apprentissage de façons de s’apporter ce dont elle a besoin Ă  elle-mĂȘme.

    Pour que son futur partenaire soit un “plus”, et pas quelqu’un pour combler ses manques.

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  • Le Podcast CĂ©libataire n’est pas le seul Ă  parler de cĂ©libat.

    Quelques mois avant que le Podcast Célibataire ne soit créé, @SingleJungle avait vu le jour.

    Cette semaine, j’ai invitĂ© @Louisa_A, la crĂ©atrice du podcast @Singlejungle, Ă  venir parler de son angle d’approche du cĂ©libat, via son podcast.

    Mais aussi de son histoire personnelle avec le célibat.

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    @Singlejungle parle de la “jungle” des cĂ©libataires, et notamment les pĂ©ripĂ©ties des applis de rencontres.

    Le constat de base de Louisa, c’est que nous sommes plus de 40% de cĂ©libataires.

    Pourtant, tous les studios de podcast qu’elle a contactĂ©s ont rejetĂ© sa proposition de podcast.

    Comme si les cĂ©libataires n’intĂ©ressaient personne.

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    Nous voilà donc maintenant 2 podcasts à défendre le fait que les célibataires ont droit à une voix, et particuliÚrement ceux qui souffrent.

    CĂŽtĂ© Podcast CĂ©libataire, on est plus sur la souffrance liĂ©e aux injonctions sociales, et Ă  toutes les petites voix qui nous traversent la tĂȘte et nous disent que quelque chose cloche chez nous. Ou la tristesse, le manque, tout simplement.

    CĂŽtĂ© SingleJungle, on parle aussi des difficultĂ©s que peuvent rencontrer des personnes comme Louisa (sur les applis ET dans la “vraie vie”) : racisme, fĂ©tichisme, grossophobie.

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    Je vous invite à venir découvrir le point de vue de Louisa sur tout ça.

    Ce qu’elle a vĂ©cu en tant que femme trentenaire, racisĂ©e, et ronde.

    Comment elle a fait Ă©voluer ses standards, ce qu’elle acceptait.

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    Voici les 3 livres recommandĂ©s par Louisa en fin d’épisode :

    “L’amour sous algorithmes”, @judithduportail_
    “Nos coeurs sauvages : enquĂȘte sur le vertige du choix amoureux”, @franceortelli
    La BD “Le choix dans les dates”, Mathilde Florance @editionslapins @l.illustree

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    Et son plus grand conseil pour les cĂ©libataires : “Commencez par vous aimer, vous, car vous ĂȘtes une superbe personne !”

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  • Dans une pĂ©riode oĂč j’étais pas mal en souffrance du fait d’ĂȘtre cĂ©libataire, une amie m’a demandĂ© ce que je venais chercher dans le couple, quels besoins je voulais combler avec ça.

    En faisant la liste, je me suis rendu compte que je pouvais obtenir certaines de ces choses, sans passer par le couple.

    Dans cet Ă©pisode, je t’invite Ă  faire la liste des besoins que tu cherches Ă  combler en te mettant avec quelqu’un, et Ă  voir comment tu pourrais les combler, autrement qu’avec le couple.

    Je crois que cette dĂ©marche aide Ă  rĂ©duire la souffrance d’ĂȘtre cĂ©libataire (je t’expose les 3 raisons dans le podcast).

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  • “La peur de l’engagement, c’est la difficultĂ© Ă  poser ses limites”.

    Quand on m’a dit cette phrase, il s’est passĂ© quelque chose en moi.

    Je me suis dit qu’elle Ă©tait peut-ĂȘtre la clĂ© pour comprendre pourquoi je craignais au fond de moi d’entrer dans une relation de couple.

    Et finalement, ça rejoint des points dont on a parlé dans les deux épisodes précédents.

    Dans cet Ă©pisode, on parle de ce qu’évoque cette phrase, de ce qu’il y a derriĂšre. C’est surtout l’occasion de voir si ça fait Ă©cho pour toi.

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  • Dans l’épisode prĂ©cĂ©dent, nous avons parlĂ© de cette pensĂ©e “Je ne suis pas assez bien”, qui traverse l’esprit des personnes qui ont le profil de “Pleaser”, mais aussi probablement de bon nombre de cĂ©libataires.

    Et cette pensĂ©e s’est sĂ»rement accentuĂ©e Ă  chaque rejet.

    Dans cet Ă©pisode 013, je te partage quel concept a crĂ©Ă© un dĂ©clic chez moi pour m’aider face Ă  cette pensĂ©e.

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  • GrĂące Ă  la chaĂźne Youtube anglophone “Psych2Go”, j’ai dĂ©couvert que j’avais plutĂŽt le profil du “Pleaser”.

    On a ce profil quand on a tendance Ă  vouloir plaire et faire plaisir, au dĂ©triment, parfois, de l’expression de nos propres besoins et limites.

    Les personnes avec ce profil peuvent ĂȘtre anĂ©anties si elles ont le sentiment de constamment dĂ©cevoir l’autre, et penser “Je ne suis pas assez bien”.

    L’autre jour, en Ă©crivant dans mon journal pour essayer de comprendre les Ă©motions qui me traversaient, j’ai rĂ©alisĂ© que mon Ă©motion vive ne venait pas du simple rejet que je venais de vivre.

    Elles semblaient venir de la pensĂ©e que mon cerveau a gĂ©nĂ©rĂ© suite Ă  ce rejet : “Cette personne ne veut pas de moi parce que je ne suis pas assez ; et toutes les autres personnes n’ont pas voulu de moi parce que je ne suis pas assez”.

    C’est CETTE pensĂ©e-lĂ  qui nous fait du mal, pas le rejet lui-mĂȘme.

    Dans cet épisode, tu découvriras :

    La petite histoire de rejet puis l’introspection qui m’ont amenĂ©e Ă  dĂ©couvrir que j’avais plutĂŽt le profil du “Pleaser” ;
    Ce qu’est un “Pleaser”, plus en dĂ©tail ;
    D’oĂč vient ce comportement ;
    Comment s’auto-aider quand on a ce profil.

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  • Le concept corĂ©en “Honjok” revendique la solitude.

    “Honjok” vient de “Honja” (“seul”) et “jok” (“tribu”).

    “Honjok”, c’est donc une “tribu d’une personne”.

    Pour les CorĂ©ens, le Honjok est une voie qui semble plus heureuse et prometteuse que ce dont ils bĂ©nĂ©ficient aujourd’hui (femmes virĂ©es dĂšs qu’elles sont enceintes, et forcĂ©es Ă  ĂȘtre mĂšres au foyer ; jeunes qui se tuent aux Ă©tudes et ne trouvent finalement pas de travail ou se retrouvent au bas de l’échelle).

    Ils développent donc un mode de vie autour de la solitude : vivre seul, refuser le mariage, faire ses activités en solo, y compris aller au karaoké ou dans son petit box au bar


    Le livre “Honjok : le secret des CorĂ©ens pour vivre heureux dans la solitude” prĂ©sente ce concept (et nous rassure au passage sur le fait que d’autres personnes cherchent Ă  vivre heureux dans la solitude).

    En deuxiĂšme partie, il propose une sĂ©rie d’exercices pour travailler sur soi, apprendre Ă  apprĂ©hender et apprĂ©cier sa solitude.

    Personnellement, je n’ai pas appris grand-chose dans cette partie-lĂ  parce que j'ai dĂ©jĂ  fait tous ces exercices de dĂ©veloppement personnel et ils n'ont pas suffi Ă  calmer la souffrance de la solitude.

    Mais si tu dĂ©butes dans cette rĂ©flexion, ça peut peut-ĂȘtre t’aider.

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  • 9 mois aprĂšs la crĂ©ation du podcast, je fais le point.

    J’ai reçu un certain nombre de messages de personnes qui m’ont dit que le podcast les aidait bien.

    Qu’il permet de se rendre compte qu’on n’est pas seul Ă  souffrir du cĂ©libat, et qu’on n’est pas anormal.

    Vos retours donnent du sens à ce podcast et me donnent envie de continuer, alors merci 🧡.

    Mais il y aura du nouveau pour 2021. 🎉

    En plus des interviews de cĂ©libataires, j’ai envie d’interviewer des “experts” qui ont un avis sur le sujet, des conseils.

    Nouveau également en 2021 : des épisodes sur des petits bouts de choses que je découvre sur mon propre chemin vers le célibat heureux.

    Je te laisse découvrir la petite intro à cette mise à jour 2021, dans cet épisode.

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  • Interview de Laura, 24 ans, est cĂ©libataire depuis 1 an et demi, aprĂšs 5 ans de couple.

    Assez rapidement aprĂšs sa derniĂšre sĂ©paration, elle a souffert d’ĂȘtre seule.

    Ce qui lui manque dans le couple : faire des choses à deux (ciné, restau, sport, vacances), avoir une relation privilégiée.

    Mais aussi cette sensation d’exister pour quelqu’un.

    D’ĂȘtre quelqu’un de spĂ©cial pour quelqu’un d’autre.

    Être entourĂ©e d’amis qui parlent de PACS, mariage, et autre, n’aide pas.

    Ni le fait qu’ils ne se rendent pas forcĂ©ment disponibles pour passer du temps entre amis.

    Ni voir les gens acheter leurs meubles ensemble pendant que Laura, elle, est toute seule.

    Au fil de son cĂ©libat, avec l’enchaĂźnement de rejets ou de rencontres clĂŽturĂ©es par des dĂ©ceptions, l’auto-dĂ©valorisation a commencĂ© Ă  faire sa place dans la tĂȘte de Laura :

    “Je suis pas capable d’ĂȘtre aimĂ©e par quelqu’un.”

    “Je ne trouverai jamais quelqu’un”.

    En plus du partage de l’histoire de Laura, nous parlons de Loi de l’Attraction, de Charles PĂ©pin et son livre “La Rencontre”, de la façon avec laquelle on choisit ses partenaires, et d’autres choses, dont je te laisse la surprise pour l’écoute.

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  • Et hop, une nouvelle interview !

    Avec Célia, 25 ans, qui a découvert le podcast dans un moment de blues, et dont le profil est trÚs similaire au mien (ce qui fait que je suis particuliÚrement fan de cette interview).

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    Dans cet Ă©pisode, on parle de :

    Alternance entre un cĂ©libat choisi, et la souffrance d’ĂȘtre cĂ©libataire.

    L’impression d’ĂȘtre anormale parce que “les autres y arrivent, et pas moi”.

    Les deadlines qu’on se met pour l’ñge du mariage et du premier enfant (et d’oĂč elles viennent).

    Le désir de savoir qui on est en couple.

    La phrase qu’on hait : “Tu es trop exigeante”.

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    Deux supers conseils à retirer de l’interview (#conseilsdemaman) :

    “La vie n’est pas une course, chacun à son rythme.”

    “Ce qu’on ressent Ă  l’intĂ©rieur, on le dĂ©gage Ă  l’extĂ©rieur”, donc autant kiffer sa vie, dĂ©velopper la confiance dans l’avenir, et un Ă©tat d’esprit positif, pour pouvoir attirer une belle relation Ă  soi.

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  • C’est parti pour la premiĂšre interview MASCULINE (Ă  distance, via Zoom) !

    Avec Ulysse, 33 ans, qui se dit “cĂ©libataire depuis l’adolescence”.

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    On parle de la difficultĂ© Ă  connecter avec l’autre sexe.

    Du besoin d’en parler avec quelqu’un d’autre que ses proches.

    Des émotions de frustration et de colÚre que peut générer le célibat.

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    Des baisses de moral & du sentiment de solitude.

    De ce qui manque, quand on est cĂ©libataire, et qu’on ne pourrait avoir qu’au travers d’une relation.

    Des diffĂ©rentes façons d’essayer de trouver quelqu’un.

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    De “couvercle qui ne trouve pas son pot, et se retrouve tout seul”.

    Du besoin d’affection et d’attention qui peut faire peur à l’autre.

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    De se refocaliser sur un projet professionnel épanouissant pour mieux vivre son célibat.

    Mais aussi du fait qu’on peut fuir et se noyer dans certaines activitĂ©s pour oublier sa dĂ©tresse.

    Et du dĂ©sespoir de trouver quelqu’un aprĂšs de nombreux efforts & tentatives infructueux, des Ă©checs.

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    Merci Ă  Ulysse de s’ĂȘtre confiĂ© sur le podcast. đŸ€—

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  • Pour commencer cette sĂ©rie d'Ă©pisodes sur l'Amour de soi, on va parler "corps".

    Aimer son corps fait partie de l'amour de soi.

    Dans notre société, beaucoup de personnes se sentent mal dans leur corps (trop gros·se, trop maigre, complexé·e...).

    Certains sont aussi en proie à des compulsions alimentaires, un impact sur le corps lié aux émotions qu'on ressent.

    Je suis passée par là et je ne peux pas dire que j'ai résolu entiÚrement la vision que j'ai de mon corps.

    Mais c'est mieux qu'avant, et j'ai trouvé des petits trucs qui m'aident et que je te partage dans cet épisode.

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    N'hĂ©site pas aussi Ă  publier une capture Ă©cran de l'Ă©pisode que tu Ă©coutes dans ta story, en taguant @podcastcelibataire, et en indiquant le passage ou le concept/conseil qui t'a touché·e. Ça m'aidera Ă  savoir ce qui t'aide le plus, et ça contribue Ă  faire connaĂźtre le podcast (via ta communautĂ© insta). :)

  • Finalement, on pourrait rĂ©sumer l'ensemble des concepts "ĂȘtre bien en tant que cĂ©libataire" Ă  l'amour de soi.

    Le vide qu'on ressent et qu'on veut absolument chercher Ă  combler en trouvant un mec/une meuf, c'est un manque d'amour de soi.

    La peur de l'abandon, du rejet, ne pas rĂ©ussir Ă  poser ses liimtes, Ă  ĂȘtre vraiment soi-mĂȘme avec un mec/une meuf, c'est un manque d'amour de soi.

    L'amour de soi, c'est un Ă©noooorme sujet.

    Et il y a pas mal de trucs Ă  bosser dans ce domaine.

    Cet épisode introduit donc une petite série d'épisodes sur l'amour de soi, et comment le développer.

    C'est parti : intro !

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  • Maeva, 29 ans, entourĂ©e d'amis en couple, a surtout souffert du regard des autres sur sa situation de cĂ©libataire.

    Aujourd'hui ça va mieux et elle nous raconte comment l'amour de soi l'a aidée à mieux vivre son célibat.

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  • Dans cet Ă©pisode du Podcast CĂ©libataire, je discute cĂ©libat avec Anthonia, mon "amie d'entrepreneuriat" (on se parle tous les jours et sur Whatsapp et on se retrouve une fois par semaine physiquement pour s'entraider sur des problĂ©matiques pro et perso).

    Découvre les deux types de célibat qu'Anthonia a vécu :

    - Une phase de grand manque de confiance en elle dans laquelle elle ne considĂ©rait avoir une vraie valeur que si elle rĂ©ussissait Ă  ĂȘtre en couple ;

    - Une seconde phase (aprĂšs 8 ans de relation et un enfant), dans laquelle elle se sent complĂšte, confiante en elle, bien dans son cĂ©libat. Et elle est mĂȘme devenue Coach en amour de soi et confiance en soi pour les femmes !

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