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Plusieurs accusés qu'on appelle "les petites mains" n'iront pas en prison, malgré leur condamnation.
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La cours d'assises spéciale a prononcé une peine rarissime en France à l'encontre de Salah Abdeslam.
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Le verdict, initialement attendu à 17h, devrait être prononcé dans la soirée ou en début de nuit.
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Au terme de 148 jours d'audience, le procès des attentats du 13 novembre s'est achevé. Le verdict est attendu ce mercredi 29 juin. RTL revient sur les événements marquants qui ont ponctué les débats.
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La perpétuité incompressible a été requise à l'encontre Salah Abdeslam, le Français de 32 ans, "10e homme" des commandos qui ont fait 130 morts à Paris et Saint-Denis. Le Français de 32 ans, qui "reste convaincu de n'avoir tué personne" a adopté "une stratégie de minimisation constante des faits, c'est dire le changement qu'il lui reste à parcourir", a justifié l'une des trois avocats généraux.
Le ministère public a réclamé cette sanction rarissime, qui rend infime la possibilité d'un aménagement de peine "au regard de l'immense gravité des faits". A l'audience, Salah Abdeslam avait assuré avoir "renoncé" à déclencher sa ceinture explosive le soir des attaques. -
Pas un grand pervers ni un grand psychopathe, deux experts psychiatriques se sont plongés dans la tête de Salah Abdeslam au procès des attentats du 13 novembre.
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Au procès des attentats du 13 novembre, Salah Abdeslam a raconté pourquoi il avait renoncé à se faire sauter "par humanité" dans un café du XVIIIe arrondissement de Paris.
Sur son refus de parler depuis le début du procès, Salah Abdeslam explique que c'est une consigne que l'on lui avait donnée. "Si tu te fais arrêter, tu ne parles pas". Enfin, il explique que c'est Abdelhamid Abaaoud qui l'a convaincu de passer à l'acte "la nuit du 11 au 12 novembre", ainsi que la présence de son frère dans les commandos. "Si mon frère n'était pas là, je n'aurais pas accepté", explique-t-il. -
Au 109ème jour du procès des attentats du 13 novembre, un témoignage très particulier ce vendredi 8 avril. Celui d'un témoin-clé. Connu sous le pseudonyme de Sonia, c'est elle qui a permis de localiser l'organisateur des attentats Abdelhamid Abaaoud, permettant l'assaut de Saint-Denis quelques jours plus tard.
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