Episodios
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Peut-être un début de riposte israélienne à l'attaque iranienne du weekend dernier: 3 explosions se sont produites vendredi matin dans la région d'Ispahan. En Inde, 970 millions d'électeurs appelés aux urnes pour des législatives hors-normes. Le parti nationaliste hindou, incarné par le Premier Ministre sortant Narendra Modi est pour beaucoup, assuré d'arriver en tête. Et J-100 avant les JO de Paris: 15 millions de visiteurs attendus, les défis restent nombreux, la France sera-elle prête?
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Retour sur les débuts de Bassirou Diomaye Faye à la présidence sénégalaise. Après sa prestation de serment mardi, son premier "discours à la Nation" a donné les grandes orientations de son mandat pour les cinq prochaines années : lutte contre la vie chère, perspectives pour la jeunesse, bonne gouvernance et lutte contre la corruption, mais aussi un "partenariat mutuellement gagnant" avec les pays partenaires.
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¿Faltan episodios?
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Au Sénégal, l'opposant anti-système Bassirou Diomaye Faye, encore emprisonné deux semaines plus tôt, a été élu président loin devant ses adversaires. Une ascension express pour cet homme jusque-là inconnu du grand public, qui signe l'ouverture d'une nouvelle ère pour le Sénégal après des semaines d'incertitude et trois ans de crise politique. En Russie, Vladimir Poutine s'est exprimé sur l'attentat du Crocus City Hall, qui a fait au moins 143 morts et 360 blessés, et revendiqué par l'organisation État islamique au Khorassan. Moscou dénonce "des liens avec les nationalistes ukrainiens" et reste convaincu que l'Occident est derrière cet attentat.
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Au sommaire : Vladimir Poutine a brandi la menace d'une guerre nucléaire "réelle" après les propos d'Emmanuel Macron sur un envoi éventuel de troupes en Ukraine. Au Sénégal, Macky Sall a réaffirmé qu'il partirait le 2 avril, date de l'expiration officielle de son mandat. En France, le Sénat a voté l'inscription de l'IVG dans la Constitution. Il faudra une majorité des 3/5 des voix des deux chambres du Congrès pour l'adoption définitive. Enfin, l'UE va débloquer "en début de semaine prochaine" 50 millions d'aide à l'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens.
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Les forces israéliennes se préparent à une offensive sur Rafah. "Une offensive que nous ne soutenons pas", a déclaré John Kirby, conseiller à la sécurité nationale américain. Au Sénégal, l’Assemblée Nationale a approuvé le report de l’élection présidentielle. L’opposition évoque un "coup d’État constitutionnel". Volodymyr Zelensky a limogé son chef d’état-major, le populaire général Valeri Zaloujny pour le remplacer par Oleksandr Syrsky.
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Au sommaire : après deux semaines de blocage, les agriculteurs suspendent la plupart de leurs blocages en France, suite aux annonces de Gabriel Attal. Nous revenons aussi sur le discours de politique générale du Premier ministre, qui a annoncé des mesures destinées aux classes moyennes. À Bruxelles, les Européens se sont mis d’accord sur un fond d'aide de 50 milliards d'euros pour l'Ukraine, malgré les réticences de Viktor Orban. Enfin, la tension monte entre les Etats-Unis et l'Iran, après des attaques d'un groupe pro-iranien qui ont tué trois soldats américains.
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Les juges de la Cour internationale de justice ont rendu leur première conclusion. Ils n'ordonnent pas expressément de cessez-le-feu à Gaza, mais somment Israël d'empêcher tout éventuel acte de "génocide" dans l’enclave palestinienne. L’examen du fond de la procédure – les allégations de génocide – prendra, lui, plusieurs années. Benjamin Netanyahou réfute ces accusations, qu'il juge "scandaleuses".
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Aux Etats-Unis, le face-à-face entre Donald Trump et Joe Biden semble inévitable. En France, Emmanuel Macron a pris la parole mardi soir lors d'une longue conférence de presse. Le président français se rendra en Ukraine en février et veut poursuivre les discussions pour un cessez-le-feu au Proche-Orient. Les hostilités en mer Rouge entre les rebelles Houthis face aux Américains et aux Britanniques se poursuivent. Enfin, en Equateur la violence ne faiblit pas, les forces armées ont mené une opération à Guayaquil.
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Le premier Conseil des ministres du gouvernement de Gabriel Attal s'est réuni vendredi. Antony Blinken a terminé son marathon diplomatique au Moyen-Orient : il demande à Israël de préserver la population civile à Gaza. En Mer rouge, les États-Unis et le Royaume-Uni ont bombardé le Yémen. En Ukraine et en Russie, les frappes s'intensifient. Rishi Sunak, en visite à Kiev, affirme le soutien britannique à l'Ukraine. À Taïwan, les élections présidentielle et législatives sont scrutées de près par la Chine.
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Cette semaine dans le monde : le Conseil de sécurité de l'ONU exige une aide humanitaire "à grande échelle" pour Gaza. En attendant, les bombardements sont incessants et la population civile est affamée. 130 otages sont toujours captifs. On votait mercredi et jeudi en République démocratique du Congo pour des élections présidentielle, législatives, provinciales et communales. Ce scrutin a connu de multiples incidents. Enfin, en France, la loi immigration a été votée en début de semaine, mais suscite toujours la controverse.
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Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a mis son veto à un nouveau soutien budgétaire à l’Ukraine. À Gaza, huit corps ont été récupérés par l’armée israélienne, dont celui d’un Franco-Israélien, Elya Toledano. Aux États-Unis, le président Joe Biden a été visé par une enquête en destitution approuvée par les républicains, majoritaires à la chambre des représentants. Enfin, la COP28 a abouti à un accord qui appelle à faire une transition hors des énergies fossiles afin d'atteindre la neutralité carbone en 2050.
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Les frappes sur Gaza ont fait plus de 17 000 morts, selon le Hamas. Pour la rapporteuse spéciale de l’ONU, “l’existence des Palestiniens est aujourd’hui menacée, il faut arrêter la furie et la rage d'Israël”. Autre conflit : l'Ukraine face à l'invasion Russe. "Si Poutine prend l'Ukraine, il ne s'arrêtera pas là", avertit Joe Biden. Et puis la reprise des négociations à Dubaï ce vendredi. Le président de la COP28 l'assure, "cette conférence est déjà entrée dans l'histoire".
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Au sommaire : la trêve rompue entre le Hamas et Israël dans la bande de Gaza, le coup d’envoi de la COP28 à Dubaï, et le drame de Crépol en France.
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Cette semaine a été marquée par le premier jour de trêve à Gaza : 13 otages israéliens, 10 Thaïlandais et un Philippin ont été libérés. En échange, 39 prisonniers palestiniens ont été relâchés. En Argentine, le populiste Javier Milei a été élu président, tandis que la formation
d'extrême droite Parti pour la liberté (PVV) de Geert Wilders, a remporté les législatives aux Pays-Bas. Et aux États-Unis, la star de la Sillicon Valley, Sam Altman, a réintégré OpenAI, peu après en avoir été limogé. -
Une semaine dans le monde s'intéresse au conflit qui se poursuit dans la bande de Gaza où les livraisons d'aide ont été interrompues faute de carburant dans l'enclave; l'ONU qui craint un "risque immédiat de famine".
Aux États-Unis Joe Biden et Xi Jinping se sont rencontrés en marge du sommet de l'APEC et souhaitent maintenir une communication ouverte entre leurs deux pays.
Aujourd'hui, Pedro Sanchez a prêté serment dans un contexte de tensions politiques. En effet, il a été réinvesti ce jeudi grâce à une alliance avec le parti d’extrême gauche, des groupes régionaux et les indépendantistes catalans.
Enfin, en Ukraine, la guerre continue et l'armée ukrainienne revendique des opérations "réussies" sur la rive gauche du Dniepr et dans la région de Kherson.
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Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a déclaré que l’armée progressait selon lui "exceptionnellement bien" dans son offensive contre le Hamas et que Israël ne cherchait pas "à gouverner Gaza". Une grande marche contre l'antisémitisme est organisée à Paris dimanche, et elle divise la classe politique ! Aux États unis, dans l’Ohio, la majorité de la population a voté oui à un référendum sur l’inscription du droit à l’avortement dans la constitution de cet État.
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Cette quatrième semaine de guerre entre Israël et le Hamas a été marquée par le bombardement de Jabaliya - le plus grand camp de réfugiés - situé dans le nord de Gaza, les premières évacuations de Gazaouis vers l'Égypte, par les exactions commises par des colons israéliens à l'encontre de Palestiniens en Cisjordanie, la seconde visite d'Antony Blinken en Israël ou encore par la première prise de parole au Liban du chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah. Une région au bord de l'embrasement.
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Jusqu’où pourrait aller une offensive de l’armée israélienne dans la bande de Gaza ? Quid des otages détenus par le Hamas ? Et quel bilan peut-on faire de la visite d’Emmanuel Macron au Proche-Orient et du sommet européen ? Quels sont les risques d’une déflagration régionale ? Aux États-Unis, Mike Johnson, a été élu speaker du groupe républicain à la chambre des représentants après trois semaines de blocage. Qui est-il ?
Quel sera l'impact sur l'aide pour l’Ukraine et Israël qui doit passer par le Congrès ? -
Les bombardements israéliens à Gaza ont fait plus de 4 000 morts. Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a appelé depuis le point de passage de Rafah en Égypte au "passage rapide" de l'aide humanitaire vers gaza. Israël a posé ses conditions : eau et nourriture, mais pas de carburant. L'ouverture devait avoir lieu vendredi matin, mais a été remise à demain. Dans le même temps, l'offensive terrestre israélienne sur Gaza est attendu. Benjamin Netanyahu a parlé de "changer la carte du Moyen-Orient".
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Sept jours après le début de l'attaque du Hamas en Israël, "Une semaine dans le monde" consacre toute son émission à la guerre qui oppose Israël et le Hamas. L'État hébreux prépare sa riposte et exige l'évacuation de plusieurs millions de Gazaouis dans la perspective d'une invasion terrestre. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu promet "d'écraser le Hamas". Nous reviendrons sur le risque d'embrasement de la région et les risques d'importation du conflit en France.
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