Episodit

  • Vers la formation :
    https://openclassrooms.com/fr/paths/561-responsable-learning-development

    Le monde de l'entreprise évolue à toute vitesse depuis quelques années ; entre la révolution numérique qui bouscule les métiers, l'avÚnement du télétravail, l'Úre des indépendants ou encore des "slasheurs", ces professionnels aux multiples casquettes... Il y a de quoi donner le tournis aux représentants des RH, mais aussi aux actifs !

    Pour rester attractives et anticiper l'évolution des métiers en miroir avec les besoins business, les entreprises font appel aux Responsables learning & développement. Ils définissent et pilotent la politique de développement des salariés en lien avec les objectifs stratégiques, et ils créent aussi les plans ou les programmes de formation sur mesure pour assurer la montée en compétences de chacun.

    Toujours en veille, respectueux du cadre réglementaire et attentif aux coûts, ces professionnels sont des piliers au sein d'une équipe RH. Et ce, car ils interviennent à la fois sur des sujets de fidélisation des équipes en leur proposant des plans de formation liés à leur évolution mais aussi car ils garantissent aux entreprises de développer et conserver les compétences nécessaires leur son activité en leur sein...
    À quoi ressemble cette fonction au croisement entre le monde des ressources humaines, celui de la formation et de la gestion de projet ?

    Nous en discutons avec Leila HirÚche, Learning & Development manager au sein de e-voyageurs SNCF, Clément Papin, lui employé chez Ernst & Young (EY) et Carla Murano, HR innovations manager chez ManoMano.

    Conception et réalisation : Nora Leon. Modération : Marion Armengod (Studio de production Make Some Noise).

  • Vers la formation : https://openclassrooms.com/fr/paths/143-conseiller-en-evolution-professionnelle

    Le mot d'ordre d'une carriĂšre professionnelle, actuellement, c'est la va-ri-Ă©tĂ© ! Au contraire de nos grands-parents, il n'est pas rare qu'on endosse tour Ă  tour plusieurs rĂŽles dans des entreprises diverses, et parfois mĂȘme, en mĂȘme temps !


    Les fameux 'Switchers', c'est-Ă -dire des personnes qui ont plusieurs boulots et spĂ©cialitĂ©s simultanĂ©ment sont d'ailleurs de plus en plus valorisĂ©s. On les appelle aussi parfois des "multi potentiels" selon l'expression d'Emily Wapnick, ces profils curieux de tout, qui apprennent vite et sont souvent douĂ©s pour plusieurs choses... Ils sont aujourd'hui de plus en plus acceptĂ©s, voire mĂȘme recherchĂ©s en entreprise, car ils savent penser hors du cadre.

    En parallĂšle de ce phĂ©nomĂšne d'ouverture du champ des possibles dans une carriĂšre, qui ne doit plus forcĂ©ment ĂȘtre linĂ©aire et menĂ©e dans une entreprise unique, l'Ă©volution des mĂ©tiers n'a jamais Ă©tĂ© aussi rapide. La technologie crĂ©e des spĂ©cialisations en quelques annĂ©es mais en automatise et supprime aussi beaucoup, comme l'explique bien Isabelle Rouhan dans ses ouvrages, elle qui est experte sur les mĂ©tiers du futur.

    Dans le contexte oĂč 1 milliard de professionnels devront changer de mĂ©tier ou se re-former d'ici Ă  2030, le rĂŽle du Conseiller en Ă©volution Professionnelle est de plus en plus important pour aider les actifs Ă  naviguer dans l'ocĂ©an de nouvelles fonctions disponibles.

    Qui est-il donc pour aider chacun à trouver son Ikigaï, c'est-à-dire l'équilibre entre ce qu'il aime faire, ce qu'il veut faire, ce qu'il sait déjà et ce dont le monde a besoin ? Comment arrive-t-on à ce rÎle et quelle est sa place sur le marché du travail actuel ?

    Nous en discutons avec Thierry Bretecher, reconverti dans le métier aprÚs 25 ans de carriÚre, qui travaille actuellement au sein de PÎle emploi, avec Anne-Camille Lasserre, psychologue du travail employée à l'espace AGIR ARRCO de Bordeaux, et Valentin Colin, animateur du podcast : 'l'Autre Voie', ancien coach sportif et aujourd'hui formateur chez Aksis.

    Conception et réalisation : Nora Leon. Modération : Marion Armengod (Studio de production Make Some Noise). Production : Make Some Noise.

  • Puuttuva jakso?

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  • Vers la formation :
    https://openclassrooms.com/fr/paths/82-ingenieur-responsable-pedagogique

    L'avÚnement du numérique et les besoins croissants en formation ont amené les écoles, universités et entreprises à créer le métier d'ingénieur pédagogique. Sur les fiches de poste, on peut parfois aussi lire "responsable e-learning", "Digital Learning Manager" ou encore consultant en formation.

    La crise sanitaire à partir de mars 2020 a encore accéléré les recrutements sur ce métier... En parallÚle, selon une étude Dell pour l'Institut du futur, 85% des métiers de 2030 n'existent pas encore... De quoi donner le vertige, quand on pense au nombre d'actifs à (re)-former, et ce, à l'échelle !

    L'ingénieur pédagogique n'est ni vraiment un professeur ni un expert métier. Il coordonne toutes les parties prenantes sur la conception d'une formation donnée, pour garantir sa qualité. Du diagnostic des besoins du public-cible à la conception du plan de formation, à la fédération des experts et la gestion du projet pédagogique... C'est un couteau suisse !

    En fonction des structures, ce professionnel peut travailler sur des dispositifs de formation hors-ligne, en "blended learning" ou 100% digitalisĂ©s. Ces derniers rendent l'Ă©ducation d'autant plus accessible qu'ils sont facilement diffusables Ă  un grand nombre et qu'ils peuvent ĂȘtre suivis depuis partout.

    À quoi ressemble ce "nouveau mĂ©tier" du paysage Ă©ducatif ?

    Nous en discutons avec Alexandre Weerts, concepteur pédagogique de la Fédération française de Tennis, Vanessa Baron, chargée de conception pédagogique au Parc Zoologique de Paris et Amandine Lemoult, ingénieure pédagogique du groupe ThalÚs.

    Conception et réalisation : Nora Leon. Modération : Marion Armengod (Studio de production Make Some Noise).



  • Bonjour, et bienvenue dans cet Ă©pisode hors-sĂ©rie du Joboscope par OpenClassrooms, consacrĂ© au dĂ©veloppement frontend
    Je suis Marion Armengod et je suis ravie de vous accompagner pour passer cette branche du développement informatique au microscope


    Si vous avez fait quelques recherches sur le sujet, vous avez sûrement déjà entendu parler de la distinction entre le frontend et le backend. Revenons tout au début pour éclairer les auditeurs qui ne connaissent pas encore la différence.

    TrĂšs schĂ©matiquement, les Ă©lĂ©ments frontend, encore dits “cĂŽtĂ© client”, correspondent Ă  ce qu’on voit Ă  l’écran et avec quoi on peut interagir. Une page Web avec sa structure UX et UI design, son texte, ses images, vidĂ©os, ses boutons et liens
 Ces Ă©lĂ©ments sont le plus souvent constituĂ©s de HTML, CSS et JavaScript, et contrĂŽlĂ©s par le navigateur Web de l’utilisateur.

    Le backend, encore appelĂ© “le cĂŽtĂ© serveur” lui, est en quelque sorte la partie immergĂ©e de l’iceberg. On peut le dĂ©composer en trois Ă©lĂ©ments essentiels : un serveur (ou hĂ©bergement Web), une application (un site Internet ou une app), et une base de donnĂ©es. Le dĂ©veloppeur backend gĂšre tous ces aspects cachĂ©s mais sans lesquels une page resterait une coquille vide. Les langages de programmations appelĂ©s “dynamiques” qu’il utilisent sont en majoritĂ© le PHP, Python, Ruby, SQL, et parfois du Node.js, un dĂ©rivĂ© de JavaScript utilisĂ© cĂŽtĂ© “serveur”.

    Bon, maintenant vous savez de quoi on parle
 Mais alors, comment s’orienter ? Il y a tant de langages Ă  apprendre : il faut bien commencer quelque part. Les dĂ©veloppeurs front et back Ă©tant tous deux trĂšs recherchĂ©s, les offres n’aident pas tellement pour trancher. Le mieux, c’est encore de se renseigner sur le quotidien en tant que dĂ©veloppeur front ou back, sur la philosophie derriĂšre ces spĂ©cialitĂ©s et d’écouter des pros en parler.

    Dans cet épisode, nous nous consacrons au frontend. Pour le compléter, écoutez aussi celui sur le back-end !

    Pour y voir plus clair, nous sommes en compagnie de Julie Berteaux, développeuse Front freelance, Valentine Langer qui travaille chez Lifen et Benjamin Mornat de chez Webnet.

    Conception et réalisation : Nora Leon. Modération : Marion Armengod (Studio de production Make Some Noise).

  • Vers la formation : https://openclassrooms.com/fr/paths/97-ux-designer

    Dans un monde oĂč le numĂ©rique est omniprĂ©sent, l'expĂ©rience utilisateur (c'est-Ă -dire ce qu'on vit quand on surfe sur un site Web ou qu'on utilise un tĂ©lĂ©phone portable, une montre connectĂ©e,...), est clĂ©. L'UX designer la rend la plus agrĂ©able, fluide et intuitive possible ; car "UX" signifie "User experience". Pour dĂ©ployer une UX efficace, il doit donc trouver l’équilibre entre fonctionnalitĂ©s, simplicitĂ©, esthĂ©tique, accessibilitĂ©, etc. !

    Son pendant, l'UI designer, intervient plus sur l'aspect graphique (UI = user interface). Il rend les interfaces dynamiques, à l'aide de tout un panel d'outils : les couleurs, polices, logos, typographies, animations... il peut intervenir sur une infinité de "produits" numériques, des sites Web aux objets connectés, en passant par les jeux vidéo.

    À ces deux grandes ramifications du design s'ajoutent de nombreuses spĂ©cialisations : notamment l'UX writer, le gardien du temple des mots au service d'une UX efficace, ou encore l'UX researcher, qui sonde les utilisateurs pour inflĂ©chir les orientations stratĂ©giques du design de sa marque... Tous ces mĂ©tiers sont au croisement entre la Tech, la psychologie, les sciences cognitives, le graphisme et le product management. Et ils recrutent, car trop peu de professionnels sont formĂ©s pour occuper tous les postes...

    Alors, est-ce la bonne voie pour vous et quelle spécialité choisir ? Pour faire le point, nous avons invité Simon Vandereecken, UX researcher chez Bankin, Léa Gaudron, UI designer chez Ubisoft, Romain Bigache, UX Writer chez Leroy Lerlin. Bonne écoute !

    Conception et réalisation : Nora Leon. Modération : Marion Armengod (Studio de production Make Some Noise).

  • AprĂšs quelques annĂ©es de bouteille dans les mĂ©tiers du marketing et de la communication, les professionnels du secteur prennent du galon et en arrivent au stade de la recommandation. Lorsqu'on en est Ă  ce niveau d'expertise, quelques pistes possibles de carriĂšre sont de devenir CMO (Chief Marketing Officer) ou CCO (Chief communication officer ou Dircom). On peut aussi ĂȘtre freelance et conseiller des entreprises, ou encore travailler en agence de communication avec un portefeuille clients.

    Nous voulions donc réunir des professionnels qui occupent ces responsabilités pour se projeter dans leur quotidien. Quelles missions remplit-on lorsqu'on est expérimenté dans ces domaines ? Comment manage-t-on une équipe marketing ? Comment formule-t-on des recommandations sur la marque, l'acquisition, la communication, pour un client ou pour son entreprise ? Comment manage-t-on et fait-on grandir son équipe à ce niveau de poste ?

    Pour répondre à ces questions, nous sommes en compagnie de Selma Chauvin, VP International Marketing chez Ultimate Software, Thibaut Chaussy, ancien responsable communication et marque chez Innocent Smoothies qui est aujourd'hui freelance en communication stratégique, et Daniel Saltzman, expert en stratégies médias.

    Conception et réalisation : Nora Leon. Modération : Marion Armengod (Studio de production Make Some Noise).

  • Gestionnaire de paie ! Ce mĂ©tier fait partie de ceux qu'on retrouve dans toutes les entreprises, quelle que soit leur taille. Cependant, en fonction des types, des tailles d'entreprises et des secteurs, le pĂ©rimĂštre de ce mĂ©tier peut changer. Parfois, la paie est mĂȘme... externalisĂ©e ! Alors, de la paie pure Ă  la gestion administrative du personnel, Ă  des missions plus axĂ©es RH ou mĂȘme encore de la formation, nous retrouvons aujourd'hui trois professionnels pour nous dĂ©peindre leur quotidien dans ce domaine.

    MikĂąil Azak est gestionnaire de paie chez Orange Bank, aprĂšs ĂȘtre passĂ© en startup et en cabinet. Marine Berchery, elle, travaille aujourd'hui chez PayFit, aprĂšs avoir Ă©tĂ© administratrice gĂ©nĂ©rale dans la musique puis gestionnaire de paie chez NestlĂ©. Corinne Dietrich quant Ă  elle, est forte de 20 ans dans le mĂ©tier. Depuis un an, elle a fondĂ© son activitĂ© de formation Ă  la paie.

    Conception et réalisation : Nora Leon. Modération : Marion Armengod (Studio de production Make Some Noise).

  • Les entreprises produisent une quantitĂ© astronomique de donnĂ©es. Être capable de les analyser et les valoriser reprĂ©sente un enjeu crucial et un avantage compĂ©titif indĂ©niable. Et justement, quand on exerce le mĂ©tier de Data scientist, on est au cƓur de l'analyse et des prĂ©dictions apportĂ©es par la donnĂ©e, pour prendre des dĂ©cisions business.

    De la collecte de la donnée à la mise en place des algorithmes, ou encore la communication des résultats (parfois, à des néophytes !), nous avons invité trois professionnels pour parler de leur métier.

    Alexandre Chouraki est Data Analytics Manager chez Dreem, Erwan Josse est Data Scientist chez Business & Decisions et Ismahen Fattoum est Data scientist chez Gamned, du groupe TF1. Ils vont vous ouvrir les coulisses de la data science.

    Conception et réalisation : Nora Leon. Modération : Marion Armengod (Studio de production Make Some Noise).

  • Les administrateurs systĂšmes ont pour mission de concevoir des infrastructures systĂšmes et rĂ©seaux sur site ou en cloud en respectant les contraintes imposĂ©es par le systĂšme d’information dans lequel ils Ă©voluent.

    Les missions sont trĂšs variĂ©es : entre la configuration, l’administration et la supervision de l’infrastructure ; la gestion des incidents techniques ; la mise en place de sauvegardes et la sĂ©curisation des systĂšmes d’information ; la rĂ©alisation d’audits systĂšmes ou encore la programmation d’automatisations de tĂąches en Python...

    Dans les derniĂšres annĂ©es et sous l’effet de la transformation digitale, le mĂ©tier a Ă©voluĂ©, avec de nouvelles responsabilitĂ©s et de nouvelles mĂ©thodologies comme le DevOps.

    Comment savoir si c’est le mĂ©tier qu’il vous faut ? Si vous allez vous Ă©panouir dans ce genre de postes, et dans quel type d’entreprises ?

    Pour faire le point, nous sommes accompagnĂ©s de Pauline Blanc, consultante et ex-administratrice spĂ©cialisĂ©e en cloud chez D2SI, Étienne Lavanant, ingĂ©nieur systĂšmes indĂ©pendant et SĂ©bastien Ermacore, directeur technique chez Netecise.

    Conception et réalisation : Nora Leon. Modération : Marion Armengod (Studio de production Make Some Noise).

  • Si vous avez fait quelques recherches sur le dĂ©veloppement web, vous avez sĂ»rement dĂ©jĂ  entendu parler de la distinction entre le frontend et le backend. Revenons tout au dĂ©but pour Ă©clairer celles et ceux qui ne connaissent pas encore la diffĂ©rence.

    TrĂšs schĂ©matiquement, les Ă©lĂ©ments frontend, encore dits “cĂŽtĂ© client”, correspondent Ă  ce qu’on voit Ă  l’écran et avec quoi on peut interagir. Une page Web avec sa structure UX et UI design, son texte, ses images, vidĂ©os, ses boutons et liens
 Ces Ă©lĂ©ments sont le plus souvent constituĂ©s de HTML, CSS et JavaScript, et contrĂŽlĂ©s par le navigateur Web de l’utilisateur.

    Le backend, encore appelĂ© “le cĂŽtĂ© serveur” lui, est en quelque sorte la partie immergĂ©e de l’iceberg. On peut le dĂ©composer en trois Ă©lĂ©ments essentiels : un serveur (ou hĂ©bergement Web), une application (un site Internet ou une app), et une base de donnĂ©es. Le dĂ©veloppeur backend gĂšre tous ces aspects cachĂ©s mais sans lesquels une page resterait une coquille vide. Les langages de programmations appelĂ©s “dynamiques” qu’il utilisent sont en majoritĂ© le PHP, Python, Ruby, SQL, et parfois du Node.js, un dĂ©rivĂ© de JavaScript utilisĂ© cĂŽtĂ© “serveur”.

    Bon, maintenant vous savez de quoi on parle
 Mais alors, comment s’orienter ? Il y a tant de langages Ă  apprendre : il faut bien commencer quelque part. Les dĂ©veloppeurs front et back Ă©tant tous deux trĂšs recherchĂ©s, les offres n’aident pas tellement pour trancher. Le mieux, c’est encore de se renseigner sur le quotidien en tant que dĂ©veloppeur front ou back, sur la philosophie derriĂšre ces spĂ©cialitĂ©s et d’écouter des pros en parler.

    Dans cet épisode, nous nous consacrons au backend. Pour le compléter, écoutez aussi celui sur le front-end !

    Pour y voir plus clair, nous sommes en compagnie de Lucia Tello Collado de chez Ekwateur, Amadou Dabitao de chez Prisma Media et Adrien Joly de chez Shodo.

    Conception et réalisation : Nora Leon. Modération : Marion Armengod (Studio de production Make Some Noise). Prises de son : Guillaume Girault. Montage et mixage : Romain Debrie.

  • Quelle que soit la taille de l’entreprise ou le secteur d’activitĂ©, les outils informatiques sont devenus indispensables : des ordinateurs Ă  la tĂ©lĂ©phonie, en passant par les logiciels, les serveurs et Internet. Le technicien informatique pilote tous ces outils, conseille, rassure et accompagne ceux qui les utilisent.

    Ce mĂ©tier trĂšs demandĂ© est polyvalent. Il faut Ă  la fois faire fonctionner le parc informatique et les matĂ©riels numĂ©riques mais aussi accompagner au quotidien les utilisateurs pour rĂ©soudre leurs problĂšmes. Dans ce mĂ©tier, on est donc en relation avec tous les profils d’une entreprise, de la direction aux services internes, et mĂȘme...les fournisseurs !

    Selon la taille et les besoins de l’entreprise, l'activitĂ© peut ĂȘtre plutĂŽt centrĂ©e sur l’infrastructure (serveurs, rĂ©seau, etc), sur le support utilisateurs (HelpDesk), ou mĂȘme les deux.

    Comment savoir si ce mĂ©tier est fait pour vous, et dans quelle structure l’exercer ? Pour le savoir, on reçoit 3 professionnels. Nathalie Peter de Acesi Group, Benjamin Piel de Agrial et Abdelilah Kouddane, aujourd’hui formateur chez Zenos Group, fort de + de 15 ans d’expĂ©rience, notamment dans des entreprises comme le CIC.

    Conception et réalisation : Nora Leon. Modération : Marion Armengod (Studio de production Make Some Noise). Prises de son : Lucille Aussel. Montage et mixage : Maxime Rançon.

  • Aujourd’hui, plus d’un possesseur de tĂ©lĂ©phone sur 2 a un smartphone, chiffre qui ne cesse d’augmenter. Donc, dans le contexte oĂč les applications mobiles sont de plus en plus tĂ©lĂ©chargĂ©es, les marques ont une carte Ă  jouer sur ce front. De quoi trouver une jolie place au soleil quand on est dĂ©veloppeur mobile.

    En effet, ces professionnels créent des applications dynamiques sur mobile grùce à un langage de programmation.

    Ils peuvent se spĂ©cialiser sur l’écosystĂšme iOS ou Android. Dans un prĂ©cĂ©dent Ă©pisode du Joboscope, nous avons prĂ©sentĂ© plus spĂ©cifiquement le rĂŽle de dĂ©veloppeur Android.
    Dans cette Ă©dition, nous nous concentrons le mĂ©tier de dĂ©veloppeur iOS : programmer des applications au sein de l’écosystĂšme d’Apple.

    Au programme, nous entendrons parler des technos disponibles sur iOS, de comment on dĂ©veloppe, teste et valide des fonctionnalitĂ©s en iOS, mais aussi de comment on corrige les bugs et on met Ă  jour les applications. Nous parlerons aussi de la veille active, nĂ©cessaire pour connaĂźtre par cƓur les produits et leurs opportunitĂ©s ainsi que toutes les innovations d’Apple.

    Bref, nous plongerons dans le quotidien des développeurs iOS, pour se projeter dans leur métier.

    Pour nous partager leur vision et des bribes de leur expérience, nous avons invité Chloé Moulinet de chez Actimage, Bertrand Bloch de chez Veepee (anciennement Vente Privée) et Jessy Hanzo du groupe Airbus.

    Conception et réalisation : Nora Leon. Modération : Marion Armengod (Studio de production Make Some Noise). Prises de son : Lucile Aussel. Montage et mixage : Romain Debrie.

  • Suite Ă  l’essor du smartphone et de leurs applications, les dĂ©veloppeurs mobiles ont trouvĂ© une place de choix en entreprise.

    En effet, ils ont pour mission de créer des applications dynamiques sur mobile grùce à un langage de programmation.

    Ils peuvent se spĂ©cialiser sur l’écosystĂšme Android ou iOS. Dans un prochain Ă©pisode du Joboscope, nous parlerons plus spĂ©cifiquement du rĂŽle de dĂ©veloppeur iOS.
    Dans cette Ă©dition, nous nous concentrons le mĂ©tier de dĂ©veloppeur Android : programmer des applications au sein de l’écosystĂšme de Google.

    Au programme, nous entendrons parler de comment on dĂ©veloppe, teste et valide des fonctionnalitĂ©s sur Android, mais aussi de comment on corrige les bugs et on met Ă  jour les applications. Nous parlerons aussi de la veille active, nĂ©cessaire pour connaĂźtre par cƓur les produits et leurs opportunitĂ©s (par exemple, les tablettes, les montres connectĂ©es ou encore l’Android TV) ainsi que les innovations.

    Bref, nous plongerons dans le quotidien des développeurs Android, pour se projeter dans leur métier.

    Pour nous partager leur vision et des bribes de leur expérience, nous avons invité Anne-Florence Luong de chez Padam Mobility, Martin Devillers de chez Dashlane et Ludovic Roland de chez Hager Group.

    Conception et réalisation : Nora Leon. Modération : Marion Armengod (Studio de production Make Some Noise). Prises de son : Guillaume Girault. Montage et mixage : Romain Debrie.

  • Dans une sociĂ©tĂ© hyper-connectĂ©e oĂč les marques rivalisent pour vendre, il faut communiquer et convaincre ! Donc, les entreprises portent une attention particuliĂšre Ă  leur image, leur discours, leur gestion de communautĂ©s, leurs stratĂ©gies d’acquisition...

    C’est lĂ  qu’entrent en scĂšne les nombreux professionnels du marketing opĂ©rationnel et de la communication. D’un cĂŽtĂ©, les responsables communication façonnent le prises de paroles des marques et gĂšrent leur prĂ©sence presse, social media, leurs communautĂ©s au quotidien pour construire une image irrĂ©prochable. De l’autre, les responsables marketing façonnent l’offre pour la rendre attractive, et se chargent de trouber et de convaincre les futurs clients


    Selon la structure, ces postes peuvent ĂȘtre trĂšs spĂ©cialisĂ©s (Responsable Presse, Content Manager, Responsable CRM, Growth Hacker
) ou se confondre pour ĂȘtre une seule et mĂȘme fonction dans certaines PME et startups.

    Alors, comment savoir quelle spĂ©cialitĂ© nous plaira le plus, dans quel type d’entreprises, ou si on veut ou non rester polyvalent ?

    Nous avons invitĂ© Amandine Richardot de chez Lendopolis, Claire Duizabo de chez Entourage, et Tom Rozier, freelance qui travaille notamment avec de nombreux annonceurs et l’agence de Growth Hacking Deux.io.

    Bonne Ă©coute !

    Conception et réalisation : Nora Leon. Modération : Marion Armengod (Studio de production Make Some Noise). Prises de son : Lucille Aussel. Montage et mixage : Romain Debrie.

  • Quelles que soient leur modalitĂ©s salariales ou leurs spĂ©cialitĂ©s, les dĂ©veloppeurs font partie des professionnels les plus recherchĂ©s sur le marchĂ© de l'emploi. CompĂ©tence en plein essor mais encore trop rare pour les besoins des entreprises, associations et institutions, ce mĂ©tier est un dĂ©bouchĂ© de choix pour qui aime les casse-tĂȘte informatiques et a envie d'ĂȘtre un artisan du Web.

    De nombreuses spécialités existent : Web, Mobile, Frontend, Backend ou Fullstack, ou encore des expertises sur une technologie en particulier... Pour vous y retrouver, cet épisode sur le métier de développeur-se Web ouvre une série d'épisodes (Développeur Android, iOS, Frontend, Backend...), qui devraient vous aider à choisir votre premiÚre techno.

    Pour cet épisode, nous nous concentrons sur le métier de dev Web, en CDI et en freelance, dans des PME, startups et grands groupes.

    Pour partager leur expertise, nous avons invité Annie Valla, développeuse freelance senior, Vincent Mouge, en mission pour la BNP via l'ESN Adneum, et Thomas Dimnet, CTO chez Senscritique.

    Bonne Ă©coute !

    Conception et réalisation : Nora Leon. Modération : Marion Armengod (Studio de production Make Some Noise). Prises de son : Benoit Thuault. Montage et mixage : Romain Debrie.

  • Product Owner et Product Manager : ces nouvelles spĂ©cialitĂ©s du numĂ©rique nous viennent des États-Unis, et sont aujourd’hui indispensables Ă  de nombreuses entreprises. En effet, le chiffre d’affaires de plus en plus d’entre elles dĂ©pend d’une plateforme Web ou d’un service ou d’un outil en ligne, les fameux SaaS (software as a service).

    Le Product Manager dĂ©finit la vision d’un produit en hiĂ©rarchisant les fonctionnalitĂ©s requises, et ce en collaborant avec les Ă©quipes qui le co-construisent. Il est donc la plaque tournante entre les dĂ©veloppeurs, les designers, les responsables marketing et business. Ce chef de projet hyper-spĂ©cialisĂ© reprĂ©sente la voix du client Ă  chaque Ă©tape du dĂ©veloppement produit, de l’élaboration Ă  la livraison.

    Ce jeune mĂ©tier - moins de 15 ans en France - est en train d’exploser avec l’avĂšnement des saas et des pure-players du Web. Pourtant, les profils prĂȘts Ă  prendre les postes disponibles manquent encore souvent Ă  l’appel.

    Donc, comment savoir si cela peut nous correspondre ? À quoi ressemble le quotidien dans ce genre de postes ?

    Pour en discuter, nous sommes aujourd’hui en compagnie de ClĂ©mence Boncenne de chez Visa, Florent Boyer de chez France TV et Lucas Cerdan de chez Algolia.

    Conception et réalisation : Nora Leon. Modération : Marion Armengod (Studio de production Make Some Noise). Prises de son : Sulivan Clabaut. Montage et mixage : Romain Debrie.

  • Avec la montĂ©e en puissance du Web et des objets connectĂ©s, il est plus que jamais nĂ©cessaire de se protĂ©ger des pirates informatiques. Les mĂ©tiers de la CybersĂ©curitĂ© sont donc trĂšs recherchĂ©s et les professionnels se font rares.

    Alors, quand on a dĂ©jĂ  un bon bagage Tech, une spĂ©cialisation en CybersĂ©curitĂ© peut ĂȘtre un excellent dĂ©bouchĂ©. Pour parler des opportunitĂ©s du secteur et des spĂ©cificitĂ©s des diffĂ©rents mĂ©tiers, nous accueillons aujourd’hui Thomas Roccia, Cybersecurity Researcher chez McAfee, Lorraine Lacoue Labarthe, Security Change Team Leader chez Sopra Steria et RenĂ© Thiel, Directeur cybersĂ©curitĂ© avec plus de 15 ans d’expĂ©rience dans des entreprises telles que Sopra Steria, Altran, Sogeti ou encore l’armĂ©e de Terre.

    Rendez-vous au dĂ©but de l'Ă©pisode pour les Ă©couter nous inviter dans leur quotidien d'experts en sĂ©curitĂ© informatique - avec des spĂ©cialitĂ©s extrĂȘmement diverses.

    Conception et réalisation : Nora Leon. Modération : Marion Armengod (Studio de production Make Some Noise). Prises de son : Guillaume Girault. Montage et mixage : Romain Debrie.

  • "Le but c'est d'ĂȘtre la personne qui connaĂźt tout sur le projet et qui fasse en sorte que tout se passe bien. Le rythme est intense, on bosse avec toutes les Ă©quipes et c'est passionnant."

    Dites-donc, c’est une bonne situation ça, chef de projet digital ? La rĂ©ponse est OUI ! La digitalisation du marchĂ© du travail est une tendance de fond. Donc, les professionnels capables de gĂ©rer des projets Web sont trĂšs recherchĂ©s.

    Or, le poste de chef de projet est au carrefour des nouveaux métiers du Web. En tant que chef de projet digital, on est chargé de mener des projets numériques en coordonnant souvent différentes équipes : marketing, développement, design...

    C’est donc Ă  la fois un mĂ©tier riche, aux tĂąches diversifiĂ©es, mais aussi un observatoire pour Ă©voluer dans diffĂ©rentes branches.

    Donc, comment savoir si cela peut nous correspondre ? À quoi ressemble le quotidien d’un chef de projet et quelles spĂ©cialitĂ©s existent ?

    Pour en discuter, nous avons invité Capucine Constant de chez MyTraffic, Gaspar Villard de chez Sparknews et Marc Jumelle de chez Winamax.

    PrĂȘt Ă  vous faire une idĂ©e sur ce mĂ©tier, Ă  partir de tĂ©moignages sans langues de bois ? C'est parti !

    Conception et réalisation : Nora Leon. Modération : Marion Armengod (Studio de production Make Some Noise). Prises de son : Sami Bouvet. Montage et mixage : Romain Debrie.

  • Plus de 40% de la population mondiale utilise les rĂ©seaux sociaux. Les Français sont sur les rĂ©seaux en moyenne 2h par jour. Dans ce contexte, les marques misent sur ce canal pour communiquer avec leurs clients. Et justement : pour animer les rĂ©seaux sociaux, elles embauchent des Community Managers.

    Alors, en quoi consiste ce mĂ©tier ? Quelles en sont les principales missions ? Quelle diffĂ©rence y a-t-il avec le Social Media Manager ? Trois professionnels vous invitent dans leur quotidien de “CM”, comme on dit dans le milieu.

    Marina Pascarel est responsable social media chez Alten, Baptiste Binet fait ce mĂ©tier chez Le Parisien, et Caroline GĂ©rard l’exerce, elle, chez Welcome to the Jungle. PrĂȘts pour une plongĂ©e au cƓur du quotidien d'un CM ?

    Conception et réalisation : Nora Leon. Modération : Marion Armengod (Studio de production Make Some Noise). Prises de son : Sami Bouvet. Montage et mixage : Romain Debrie.

  • Les mĂ©tiers de la donnĂ©e sont en train d’exploser car les entreprises se rendent compte qu’en la maĂźtrisant, elles dĂ©cuplent leurs opportunitĂ©s commerciales. Or, les candidats qualifiĂ©s sont rares et donc trĂšs recherchĂ©s par les recruteurs.

    En quoi consiste le mĂ©tier de Data analyst ? En quoi est-il diffĂ©rent de ceux de Data scientist et data Architect ? Le mieux est d’interroger des professionnels pour plonger dans leur quotidien et leur poste.

    Dans cet épisode, écoutez trois spécialistes de la data parler de leur métier : Anne-Caroline Rérolle de chez Spendesk, Fatimata Sall de chez Klapten et Clément Sirvente de chez Mappy. C'est parti !

    Conception et réalisation : Nora Leon. Modération : Marion Armengod (Studio de production Make Some Noise). Prises de son : Sami Bouvet. Montage et mixage : Romain Debrie.