Episodi
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Laëtitia Perrais a 18 ans lorsqu'elle croise la route de Tony Meilhon. Il vient de sortir de prison où il a déjà passé onze ans. Laëtitia Perrais, quant à elle, a passé une enfance difficile en famille d'accueil. En janvier 2011, à Pornic, elle est retrouvée poignardée, étranglée et démembrée. Son parcours, durant les dernières heures de sa vie, a rapidement permis aux gendarmes de remonter à son meurtrier. Quand Tony Meilhon est arrêté et accusé du meurtre de Laëtitia Perrais, Nicolas Sarkozy, alors président de la République, dénonce la remise en liberté de Meilhon. Tandis que les juges se mettent en grève, l'opinion publique est divisée. A-t-on vraiment laissé en liberté, sans aucune surveillance, un dangereux criminel ? Très vite, l'affaire devient emblématique des failles du système judiciaire.
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Laëtitia Perrais a 18 ans lorsqu'elle croise la route de Tony Meilhon. Il vient de sortir de prison où il a déjà passé onze ans. Laëtitia Perrais, quant à elle, a passé une enfance difficile en famille d'accueil. En janvier 2011, à Pornic, elle est retrouvée poignardée, étranglée et démembrée. Son parcours, durant les dernières heures de sa vie, a rapidement permis aux gendarmes de remonter à son meurtrier. Quand Tony Meilhon est arrêté et accusé du meurtre de Laëtitia Perrais, Nicolas Sarkozy, alors président de la République, dénonce la remise en liberté de Meilhon. Tandis que les juges se mettent en grève, l'opinion publique est divisée. A-t-on vraiment laissé en liberté, sans aucune surveillance, un dangereux criminel ? Très vite, l'affaire devient emblématique des failles du système judiciaire.
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Episodi mancanti?
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Laëtitia Perrais a 18 ans lorsqu'elle croise la route de Tony Meilhon. Il vient de sortir de prison où il a déjà passé onze ans. Laëtitia Perrais, quant à elle, a passé une enfance difficile en famille d'accueil. En janvier 2011, à Pornic, elle est retrouvée poignardée, étranglée et démembrée. Son parcours, durant les dernières heures de sa vie, a rapidement permis aux gendarmes de remonter à son meurtrier. Quand Tony Meilhon est arrêté et accusé du meurtre de Laëtitia Perrais, Nicolas Sarkozy, alors président de la République, dénonce la remise en liberté de Meilhon. Tandis que les juges se mettent en grève, l'opinion publique est divisée. A-t-on vraiment laissé en liberté, sans aucune surveillance, un dangereux criminel ? Très vite, l'affaire devient emblématique des failles du système judiciaire.
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Au fond des bois de Compiègne, derrière la porte de la belle maison des Mannechez, se cachait l’enfer. Pendant plus de 10 ans, Denis Mannechez et sa femme ont trompé tout le monde. Sous l’image d’une famille idéale, le couple, qui s’offrait les plus belles motos et avait construit son avion de tourisme, martyrisait ses enfants. À commencer par les deux ainées, Virginie et Betty, que le père a violées pendant des années, au vu et au su de la mère. Retour sur une affaire unique dans les annales judiciaires françaises, celle de « l'inceste consenti ».
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Au fond des bois de Compiègne, derrière la porte de la belle maison des Mannechez, se cachait l’enfer. Pendant plus de 10 ans, Denis Mannechez et sa femme ont trompé tout le monde. Sous l’image d’une famille idéale, le couple, qui s’offrait les plus belles motos et avait construit son avion de tourisme, martyrisait ses enfants. À commencer par les deux ainées, Virginie et Betty, que le père a violées pendant des années, au vu et au su de la mère. Retour sur une affaire unique dans les annales judiciaires françaises, celle de « l'inceste consenti ».
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Au fond des bois de Compiègne, derrière la porte de la belle maison des Mannechez, se cachait l’enfer. Pendant plus de 10 ans, Denis Mannechez et sa femme ont trompé tout le monde. Sous l’image d’une famille idéale, le couple, qui s’offrait les plus belles motos et avait construit son avion de tourisme, martyrisait ses enfants. À commencer par les deux ainées, Virginie et Betty, que le père a violées pendant des années, au vu et au su de la mère. Retour sur une affaire unique dans les annales judiciaires françaises, celle de « l'inceste consenti ».
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De 1993 à 2004, dans toute la France, Raoul Becquerel a violé et séquestré des femmes. Il leur a également extorqué de l’argent. Ce marginal à l’enfance difficile, qui a vécu dans divers foyers d’accueil, est condamné à une peine de douze ans de prison, en 1994, pour viol. Sa victime à vingt-et-un ans. Lui en a vingt. A trente ans, il a déjà passé la moitié de sa vie en prison, lorsqu’il est remis en liberté sous contrôle judiciaire, à la suite d’une grave erreur d’une magistrate de la Gironde, chargée du dossier. Le multirécidiviste était en détention préventive, attendant son procès pour un nouveau crime. Dans un premier temps, pris en charge par une association d’aide aux détenus, il se rendra aux services de police pour pointer, mais disparaîtra à la veille de comparaître. Il sera finalement arrêté quelques semaines plus tard. En 2006, le verdict de la cour d’assises de l’Oise est proportionnel à la gravité des actes commis : la perpétuité, avec une peine de sûreté de dix-huit ans.
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De 1993 à 2004, dans toute la France, Raoul Becquerel a violé et séquestré des femmes. Il leur a également extorqué de l’argent. Ce marginal à l’enfance difficile, qui a vécu dans divers foyers d’accueil, est condamné à une peine de douze ans de prison, en 1994, pour viol. Sa victime à vingt-et-un ans. Lui en a vingt. A trente ans, il a déjà passé la moitié de sa vie en prison, lorsqu’il est remis en liberté sous contrôle judiciaire, à la suite d’une grave erreur d’une magistrate de la Gironde, chargée du dossier. Le multirécidiviste était en détention préventive, attendant son procès pour un nouveau crime. Dans un premier temps, pris en charge par une association d’aide aux détenus, il se rendra aux services de police pour pointer, mais disparaîtra à la veille de comparaître. Il sera finalement arrêté quelques semaines plus tard. En 2006, le verdict de la cour d’assises de l’Oise est proportionnel à la gravité des actes commis : la perpétuité, avec une peine de sûreté de dix-huit ans.
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De 1993 à 2004, dans toute la France, Raoul Becquerel a violé et séquestré des femmes. Il leur a également extorqué de l’argent. Ce marginal à l’enfance difficile, qui a vécu dans divers foyers d’accueil, est condamné à une peine de douze ans de prison, en 1994, pour viol. Sa victime à vingt-et-un ans. Lui en a vingt. A trente ans, il a déjà passé la moitié de sa vie en prison, lorsqu’il est remis en liberté sous contrôle judiciaire, à la suite d’une grave erreur d’une magistrate de la Gironde, chargée du dossier. Le multirécidiviste était en détention préventive, attendant son procès pour un nouveau crime. Dans un premier temps, pris en charge par une association d’aide aux détenus, il se rendra aux services de police pour pointer, mais disparaîtra à la veille de comparaître. Il sera finalement arrêté quelques semaines plus tard. En 2006, le verdict de la cour d’assises de l’Oise est proportionnel à la gravité des actes commis : la perpétuité, avec une peine de sûreté de dix-huit ans.
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Déjà condamné en mai 2021 à 20 ans de réclusion criminelle pour avoir tué le caporal Arthur Noyer, Nordahl Lelandais affronte de nouveau les juges, cette fois pour le meurtre de Maëlys, la fillette qui avait disparu lors d’un mariage à la fin de l’été 2017. L’énigmatique suspect, ancien maître-chien militaire de 38 ans, comparaîtra pour le meurtre précédé de l’enlèvement et de la séquestration de l’enfant de 8 ans.
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Déjà condamné en mai 2021 à 20 ans de réclusion criminelle pour avoir tué le caporal Arthur Noyer, Nordahl Lelandais affronte de nouveau les juges, cette fois pour le meurtre de Maëlys, la fillette qui avait disparu lors d’un mariage à la fin de l’été 2017. L’énigmatique suspect, ancien maître-chien militaire de 38 ans, comparaîtra pour le meurtre précédé de l’enlèvement et de la séquestration de l’enfant de 8 ans.
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Déjà condamné en mai 2021 à 20 ans de réclusion criminelle pour avoir tué le caporal Arthur Noyer, Nordahl Lelandais affronte de nouveau les juges, cette fois pour le meurtre de Maëlys, la fillette qui avait disparu lors d’un mariage à la fin de l’été 2017. L’énigmatique suspect, ancien maître-chien militaire de 38 ans, comparaîtra pour le meurtre précédé de l’enlèvement et de la séquestration de l’enfant de 8 ans.
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Joseph Vincensini, cinquante-et-un ans, était le gérant d’une boîte de nuit et d’un bar à Corte : il y organisait des parties de poker, où l’on misait parfois très gros Il a été assassiné à son domicile le 24 janvier 2005. On a coupé la tête de la victime, avant de donner le reste de son corps en pâture aux cochons. Xavier Luciani, restaurateur dans la même commune, considéré comme le principal instigateur de ce crime, a pris trente ans de réclusion en 2010. Ses deux complices, Sébastien Guidicelli et Dominique Pasqualaggi, ont respectivement été condamnés à des peines de quinze ans et vingt-cinq ans de prison. Quel est le mobile de ce meurtre aussi sauvage ? Faites entrer l’accusé revient sur cette sordide affaire, où plane l’ombre de la mafia et des nationalistes.
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Joseph Vincensini, cinquante-et-un ans, était le gérant d’une boîte de nuit et d’un bar à Corte : il y organisait des parties de poker, où l’on misait parfois très gros Il a été assassiné à son domicile le 24 janvier 2005. On a coupé la tête de la victime, avant de donner le reste de son corps en pâture aux cochons. Xavier Luciani, restaurateur dans la même commune, considéré comme le principal instigateur de ce crime, a pris trente ans de réclusion en 2010. Ses deux complices, Sébastien Guidicelli et Dominique Pasqualaggi, ont respectivement été condamnés à des peines de quinze ans et vingt-cinq ans de prison. Quel est le mobile de ce meurtre aussi sauvage ? Faites entrer l’accusé revient sur cette sordide affaire, où plane l’ombre de la mafia et des nationalistes.
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Joseph Vincensini, cinquante-et-un ans, était le gérant d’une boîte de nuit et d’un bar à Corte : il y organisait des parties de poker, où l’on misait parfois très gros Il a été assassiné à son domicile le 24 janvier 2005. On a coupé la tête de la victime, avant de donner le reste de son corps en pâture aux cochons. Xavier Luciani, restaurateur dans la même commune, considéré comme le principal instigateur de ce crime, a pris trente ans de réclusion en 2010. Ses deux complices, Sébastien Guidicelli et Dominique Pasqualaggi, ont respectivement été condamnés à des peines de quinze ans et vingt-cinq ans de prison. Quel est le mobile de ce meurtre aussi sauvage ? Faites entrer l’accusé revient sur cette sordide affaire, où plane l’ombre de la mafia et des nationalistes.
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Le 28 septembre 2011, une voiture abandonnée est retrouvée à Chaum, dans le département de la Haute-Garonne, à 25 km de la frontière espagnole. En découvrant une carcasse calcinée dans le coffre, les pompiers et les gendarmes ont d’abord cru à une affaire de braconniers. Avant de comprendre, quelques jours plus tard, qu’il ne s’agissait pas des restes d’un animal, mais du cadavre de Jacques Serraye, 59 ans, connu par les services de police. Ce dernier est fiché pour trafic de stupéfiants et détention d’arme, et a fait plusieurs années de prison.
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Le 28 septembre 2011, une voiture abandonnée est retrouvée à Chaum, dans le département de la Haute-Garonne, à 25 km de la frontière espagnole. En découvrant une carcasse calcinée dans le coffre, les pompiers et les gendarmes ont d’abord cru à une affaire de braconniers. Avant de comprendre, quelques jours plus tard, qu’il ne s’agissait pas des restes d’un animal, mais du cadavre de Jacques Serraye, 59 ans, connu par les services de police. Ce dernier est fiché pour trafic de stupéfiants et détention d’arme, et a fait plusieurs années de prison.
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Le 28 septembre 2011, une voiture abandonnée est retrouvée à Chaum, dans le département de la Haute-Garonne, à 25 km de la frontière espagnole. En découvrant une carcasse calcinée dans le coffre, les pompiers et les gendarmes ont d’abord cru à une affaire de braconniers. Avant de comprendre, quelques jours plus tard, qu’il ne s’agissait pas des restes d’un animal, mais du cadavre de Jacques Serraye, 59 ans, connu par les services de police. Ce dernier est fiché pour trafic de stupéfiants et détention d’arme, et a fait plusieurs années de prison.
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Le 14 décembre 1998, une fillette de 12 ans a été violée en rentrant de l'école par un homme qui l'a entraînée dans le cimetière d'Artigues. Les enquêteurs retrouvent une trace d'ADN sur les vêtements de la petite, mais l'empreinte n'est pas répertoriée. L'enquête reste au point mort pendant deux mois. Jusqu'à ce que les gendarmes reçoivent un curieux appel. Au bout du fil, une voix d'homme lance : « Ça va recommencer à la fin du mois ! », avant de raccrocher. Un quart d'heure plus tard, l'inconnu rappelle : « Comment elle va, la petite d'Artigues ? ». D'une voix mielleuse, et terrifiante de cynisme, l'homme donne des détails que seul le violeur de la fillette peut connaître. Les appels proviennent de cabines téléphoniques. Il dit s'appeler « Laurent ». C'est le début d'un jeu de cache-cache entre les enquêteurs et ce violeur en série.
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Le 14 décembre 1998, une fillette de 12 ans a été violée en rentrant de l'école par un homme qui l'a entraînée dans le cimetière d'Artigues. Les enquêteurs retrouvent une trace d'ADN sur les vêtements de la petite, mais l'empreinte n'est pas répertoriée. L'enquête reste au point mort pendant deux mois. Jusqu'à ce que les gendarmes reçoivent un curieux appel. Au bout du fil, une voix d'homme lance : « Ça va recommencer à la fin du mois ! », avant de raccrocher. Un quart d'heure plus tard, l'inconnu rappelle : « Comment elle va, la petite d'Artigues ? ». D'une voix mielleuse, et terrifiante de cynisme, l'homme donne des détails que seul le violeur de la fillette peut connaître. Les appels proviennent de cabines téléphoniques. Il dit s'appeler « Laurent ». C'est le début d'un jeu de cache-cache entre les enquêteurs et ce violeur en série.
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