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Céline Dion et René Angélil, Laurent Voulzy et Alain Souchon, France Gall et Michel Berger, Serge Gainsbourg et Jane Birkin, ... Découvrez le podcast qui explore les collaborations musicales les plus mythiques, puissantes et fascinantes. Chaque épisode met en valeur la magie qui opère entre deux artistes incontournables.
Sara Rodriguez vous fait découvrir les anecdotes inédites derrière ces collaborations uniques où amitié, complicité et génie artistique s'entrelacent pour créer des tubes inoubliables et marquer l'histoire de la musique.
France Gall et Michel Berger, c’est plus de 50 chansons, des millions de disques vendus, des tournées triomphales et une histoire d’amour hors des projecteurs.
C’est une rencontre professionnelle devenue sentimentale, une alliance musicale devenue légende.
Elle venait de la vague yéyé. Lui de la pop raffinée. Ensemble, ils ont réinventé la chanson française. Ce podcast raconte leur parcours, leur complicité, leurs succès, et ce lien unique qui a marqué des générations.
Avant leur rencontre, chacun avait déjà marqué la scène française.
France Gall a travaillé avec des géants comme Serge Gainsbourg, Claude François, Alain Goraguer ou encore Jean-Luc Godard qui la dirige dans des spots publicitaires musicaux devenus cultes. Elle incarne l’adolescence pop des années 60, mais veut s’émanciper.
Michel Berger, quant à lui, a collaboré avec Véronique Sanson, Françoise Hardy, France Gall elle-même, puis plus tard avec Johnny Hallyday et Daniel Balavoine, pour qui il composera également. Il écrit aussi pour Starmania, première comédie musicale rock francophone.
France Gall naît en 1947 à Paris, dans une famille de musiciens. À 16 ans, elle devient l’idole des jeunes avec "Sacré Charlemagne", puis enchaîne avec Gainsbourg et l’Eurovision grâce à "Poupée de cire, poupée de son". Mais derrière le sourire, France se sent souvent utilisée, réduite à une image. Une poupée, justement.
De son côté, Michel Berger, né aussi en 1947, pianiste formé au classique, a soif de modernité. Il rêve de musiques sensibles et engagées. Il travaille dans l’ombre, compose, arrange, dirige artistiquement. Il aime la nuance, fuit le clinquant. France l’intrigue autant qu’elle l’inquiète.
Au total, Michel Berger écrira plus de 50 chansons pour France Gall entre 1974 et 1992. Plusieurs de ces titres seront certifiés disques d'or, et certains deviendront des standards de la chanson française. L’album "Babacar" (1987) se vendra à plus de 500 000 exemplaires, tout comme "Tout pour la musique" (1981).
Ensemble, ils signent une nouvelle ère musicale. Moderne, libre, sincère.
Ils travaillent côte à côte, souvent sans parler. Leur complicité passe par les silences, les regards, le phrasé.
Avant de s’unir, chacun avait connu des amours marquants.
Michel avait vécu une relation intense et artistique avec Véronique Sanson, jusqu’à ce qu’elle quitte brusquement la France pour les États-Unis.
France, quant à elle, avait été très proche de Claude François, une relation passionnée mais chaotique. Elle vivra ensuite une histoire d’amour plus apaisée avec Julien Clerc, un lien tendre et complice qui marquera aussi une étape importante dans sa vie de femme et d’artiste. Une relation qu’elle devra pourtant vivre dans l’ombre : pour préserver la réputation de séducteur de Julien, France doit souvent cacher leur histoire, un paradoxe amer pour une femme qui aspire à la sincérité.
Ils se marient en secret, le 22 juin 1976. Deux semaines plus tard, sur un plateau télé, France l’annonce avec un sourire espiègle.
Ils élèvent deux enfants. Et se soutiennent. Ils s’admirent. Se complètent. Se regardent avec tendresse.
En 1992, Michel meurt brutalement. France s’efface. Elle reviendra cinq ans plus tard avec un spectacle bouleversant : "France", hommage à leur histoire.
Puis en 2018, elle s’en va à son tour. Mais leurs chansons, elles, sont toujours là. Elles nous accompagnent, nous consolent, nous inspirent.
France et Michel ont offert à la musique française un cadeau inestimable : des chansons qui nous parlent encore, parce qu’elles viennent du cœur. -
Céline Dion et René Angélil, Laurent Voulzy et Alain Souchon, Serge Gainsbourg et Jane Birkin, ... Découvrez le podcast qui explore les collaborations musicales les plus mythiques, puissantes et fascinantes. Chaque épisode met en valeur la magie qui opère entre deux artistes incontournables.
Sara Rodriguez vous fait découvrir les anecdotes inédites derrière ces collaborations uniques où amitié, complicité et génie artistique s'entrelacent pour créer des tubes inoubliables et marquer l'histoire de la musique.
Dans cet épisode, Sara Rodriguez vous emmène à la découverte de Simon & Garfunkel, duo mythique de la folk américaine. Nés dans le Queens, ils grandissent côte à côte dans l’Amérique des années 50, une époque en pleine mutation. Leur amitié d’adolescents donne naissance à un tandem artistique rare, où les harmonies vocales subliment des textes empreints de mélancolie, de solitude et de poésie urbaine.
Leur succès explose dans les années 60 et 70 avec des titres devenus emblématiques comme The Sound of Silence, Mrs. Robinson ou Bridge Over Troubled Water. Leur musique accompagne une génération en quête de repères, ils existent au cinéma notamment avec le film The Graduate et cela contribue à les ancrer dans la mémoire collective.
Mais l’amitié s’effrite. Les tensions montent, les égos s’opposent, les silences se font lourds. Après leur séparation, chacun suit sa route… jusqu’à un moment suspendu dans le temps : le concert de Central Park en 1981. Plus de 500 000 personnes rassemblées pour les revoir chanter ensemble, malgré les blessures du passé. Un instant magique, fragile, où les voix se retrouvent, mais où les blessures profondes, elles, ne disparaissent pas.
Un épisode entre lumière et fissures, pour comprendre comment deux amis d’enfance ont marqué l’histoire… et pourquoi il n’est pas toujours simple de chanter à deux, même quand c’est mieux.
Plongez dans les collaborations mythiques, la naissance de grands albums, les tubes intemporels qui ont marqué des générations. Avec "À deux c'est mieux", découvrez comment ces duos, qu'ils soient paroliers, chanteurs, chanteuses, managers, musiciens... ont écrit l'histoire de la musique et laissé une empreinte indélébile. -
Episodes manquant?
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70 millions d’albums vendus. 25 singles dans le top 10. Des stades pleins, des guitares fracassées, des réconciliations toujours ratées. Bienvenue dans l’univers détonnant des frères Gallagher.
Dans cet épisode de "À deux c’est mieux", on s’attaque non pas juste à un groupe mythique, mais à deux personnalités extrêmes qui ont fait exploser la planète rock. D’un côté, Noel, le stratège introverti, perfectionniste jusqu’à l’obsession. De l’autre, Liam, le flamboyant, l’instinctif, le showman imprévisible. Deux frères unis par le sang, séparés par tout le reste.
Et pourtant… c’est peut-être cette opposition brutale qui a fait d’Oasis une légende.
Ils se détestent peut-être… mais ils se magnétisent. Comme deux pôles contraires qui ne peuvent ni se coller, ni se quitter. Noel a besoin du feu de Liam. Liam a besoin des chansons de Noel. Et malgré tous les clashs, les insultes, les silences glacés… un collier de Lennon suffit parfois à dire ce que les mots ne peuvent pas.
Et dans l’ombre, il y avait Paul Gallagher, leur frère aîné. Celui qui a traîné Liam à un concert des Stone Roses, déclenchant sans le savoir la naissance d’Oasis. Comme quoi, même les discrets peuvent faire trembler l’histoire.
Le 27 août 2024, Oasis annonce sa reformation. Pas sûr qu’ils se parlent. Pas sûr qu’ils se pardonnent. Mais ils sont là. Ensemble. Pour la musique. Pour les fans. Pour l’Histoire.
Liam et Noel Gallagher. Le feu et la glace. La rage et la mesure. L’instinct et la technique. Ils ne sont jamais aussi brillants que quand ils s’opposent.
Parce qu’au fond, leur plus belle chanson… c’est peut-être l’histoire de leur haine-amour. Et cette histoire, elle continue. -
Céline Dion et René Angélil, Laurent Voulzy et Alain Souchon, Serge Gainsbourg et Jane Birkin, Serge Lama et Alice Dona... Découvrez le podcast qui explore les collaborations musicales les plus mythiques, puissantes et fascinantes. Chaque épisode met en valeur la magie qui opère entre deux artistes incontournables.
Sara Rodriguez vous fait découvrir les anecdotes inédites derrière ces collaborations uniques où amitié, complicité et génie artistique s'entrelacent pour créer des tubes inoubliables et marquer l'histoire de la musique.
Vous en apprendrez plus sur le duo d'amis Alain Souchon et Laurent Voulzy à la complémentarité incontestable, sur Céline Dion et René Angélil, ce couple atypique à la complicité personnelle et professionnelle qui les a mené au sommet, sur Beyoncé et Jay-z qui cumulent ensemble 50 Grammy Awards.
Sans oublier les Daft Punk, ces amis d'enfance qui ont révolutionner le monde de la musique ou encore Elton John et Bernie Taupin, ce duo de parolier et chanteur qui a créé des tubes pendant près de 50 ans.
Mais aussi le duo Outkast, le couple fusionnel David Bowie et Iman, les légendaires Françoise Hardy et Jacques Dutronc mais aussi les Rita Mitsuko.
Vous découvrirez des récits d’enregistrement en studio, des confidences sur les coulisses de leur album phare, et des moments clés qui ont façonné leur carrière.
Plongez dans les collaborations mythiques, la naissance de grands albums, les tubes intemporels qui ont marqué des générations. Avec "À deux c'est mieux", découvrez comment ces duos, qu'ils soient paroliers, chanteurs, chanteuses, managers, musiciens... ont écrit l'histoire de la musique et laissé une empreinte indélébile. -
Céline Dion et René Angélil, Laurent Voulzy et Alain Souchon, Serge Gainsbourg et Jane Birkin, ... Découvrez le podcast qui explore les collaborations musicales les plus mythiques, puissantes et fascinantes. Chaque épisode met en valeur la magie qui opère entre deux artistes incontournables.
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Dans cet épisode de À deux c’est mieux, on s’offre un plongeon en technicolor dans l’univers de WHAM!, le duo pop britannique devenu synonyme de joie de vivre, de tubes entêtants et d’une amitié indéfectible. Bien plus qu’un simple groupe à paillettes, WHAM! incarne l’esprit des années 80 : exubérant, audacieux, insouciant… mais aussi tendre, sincère et étonnamment profond.
Dès leur premier tube Young Guns (Go for It!) en 1982, George Michael et Andrew Ridgeley imposent leur style : un mélange de funk, de soul, de pop ultra catchy et de textes à la fois légers et engagés. Le duo enchaîne alors les cartons planétaires :
Wake Me Up Before You Go-Go, explosion de bonne humeur et hymne dansant par excellence,Freedom, un cri d’émancipation pop au refrain imparable,Everything She Wants, plus sombre et introspectif, qui révèle déjà la finesse d’écriture de George,I’m Your Man, déclaration d’amour groovy sur fond de boîtes à rythmes et de cuivres déchaînés,Et bien sûr, Last Christmas, ballade hivernale devenue culte, aussi mélancolique qu’intemporelle.Sara Rodriguez nous raconte ce qui se cache derrière les refrains entraînants: l'alchimie rare entre deux amis de lycée qui ont grandi ensemble, rêvé ensemble, et conquis le monde bras dessus bras dessous. George, l’âme artistique, la voix céleste, le génie mélodique. Andrew, l’ami fidèle, discret mais essentiel, qui a toujours soutenu son partenaire, même dans l’ombre. Leur amitié, à la fois simple et solide, a été la colonne vertébrale de WHAM! et sans elle, aucun de ces moments magiques n’aurait été possible.
On revient aussi sur les moments forts de leur aventure :
Leur succès fulgurantLeur incroyable tournée en Chine en 1985, une première pour un groupe pop occidental, symbole de leur influence culturelle,La fin du duo, douce-amère, pensée comme une séparation respectueuse et émotive, célébrée en beauté avec un dernier concert à Wembley
Et un zoom sur “Last Christmas” – La ballade douce-amère qui a brisé des cœurs
Sortie en décembre 1984, Last Christmas est bien plus qu’un simple chant de Noël : c’est une déclaration de chagrin déguisée en slow de fête, un contraste parfait entre mélodie sucrée et texte amer. Écrite, composée et produite à 100 % par George Michael en une seule nuit (oui, génie on a dit), la chanson raconte une histoire universelle : celle d’un amour non réciproque, d’un cœur offert l’année précédente, et laissé de côté dès le lendemain.
"Last Christmas, I gave you my heart / But the very next day, you gave it away..."
Derrière le synthé scintillant et le rythme presque dansant, les paroles déchirent doucement. George y évoque la blessure d’une trahison sentimentale, mais sans jamais tomber dans le pathos. Il transforme la douleur en pop élégante, presque élégiaque. Une magie douce-amère, à la sauce eighties.
Le morceau n’atteint jamais la première place des charts britanniques à sa sortie (il est bloqué par Do They Know It’s Christmas? du Band Aid… ironie du sort, George Michael y participe aussi), mais il devient immédiatement culte, traversant les générations, les pays, les playlists, les pulls moches et les soirées raclette.
Anecdote savoureuse : Last Christmas est l’un des singles les plus vendus de tous les temps au Royaume-Uni sans jamais avoir été numéro 1… jusqu’en 2021, où il grimpe enfin au sommet. Une reconnaissance tardive, mais bien méritée.
Et ce clip, on en parle ? Tourné dans une station de ski suisse, avec neige, bonnets en laine, regards langoureux et triangle amoureux silencieux… une ambiance digne d’un soap opéra des années 80, mais avec une esthétique hivernale devenue mythique. George et ses boucles, Andrew et ses moufles, et une ex qui n’avait clairement pas su ce qu’elle avait entre les mains.
Last Christmas, c’est la preuve ultime du génie de George Michael : il prend une émotion personnelle, il l’enrobe dans une production pop léchée, et il te livre un classique indémodable, que tu sois team “sapin clignotant” ou team “cœurs brisés sous la neige”.
WHAM!, c’est un feu d’artifice pop qui n’a duré que quatre ans, mais qui a laissé une trace indélébile dans le cœur des fans et dans l’histoire de la musique. C’est l’histoire d’un rêve partagé, d’une amitié sans faux-semblants, et d’un duo qui a prouvé que la légèreté pouvait être puissante, que le fun pouvait être profond, et que deux gamins d’une banlieue de Londres pouvaient faire danser le monde entier.
Alors installe-toi confortablement, tourne le volume à fond, et laisse-toi emporter dans cette rétrospective en technicolor. WHAM! t’invite sur la piste, et nous, on te raconte leur histoire comme si tu y étais – parce qu’à deux, c’est pas juste mieux… c’est inoubliable. -
Bienvenue dans ”A deux c’est mieux", le podcast où nous explorons les collaborations musicales les plus mythiques, puissantes et fascinantes où chaque épisode met en valeur la magie qui opère entre deux artistes incontournables.
Sara Rodriguez vous fait découvrir les anecdotes inédites derrière ces collaborations uniques où amitié, complicité et génie artistique s'entrelacent pour créer des tubes inoubliables et marquer l'histoire de la musique.
Les histoires d'amour finissent-elles mal en général? C'est ce que suggère la célèbre chanson des Rita Mitsouko, et pourtant, l'amour entre Catherine Ringer et Frédéric Chichin semblait tout sauf dramatique. En 1979, Catherine chante dans la comédie musicale Flashes Rouges, où elle fait la rencontre de Frédéric, un musicien avec qui elle va rapidement tisser des liens. Après seulement une semaine de collaboration, il lui propose de créer un groupe ensemble. Très vite, ils jouent leurs premières compositions dans des bars et petites salles parisiennes, mais il leur manque un nom : "Twinka Shalimar" ou "Rita Mitsouko"? Fred choisit le second, et c'est ainsi qu'ils lancent leur aventure musicale.
Leur premier album, Marcia Baila, et la chanson éponyme les propulsent au sommet, faisant rayonner leur amour et leur complicité. Leur alchimie sur scène est palpable, et cette passion se reflète également dans leur création artistique. Leur deuxième album, une véritable pépite, leur vaut deux Victoires de la Musique, dont celle du meilleur clip pour la chanson "C’est comme ça". Ils suscitent de nombreuses réactions : Serge Gainsbourg insulte même Catherine Ringer à la télévision, mais cela n'empêche pas le public de les adopter, séduits par leur énergie rock et leur audace. Leur lien ne cesse de se renforcer, et leur carrière devient une véritable ode à l'amour.
Les personnalités des deux artistes se complètent à merveille : Frédéric Chichin, guitariste discret mais brillant, et Catherine Ringer, chanteuse flamboyante au charisme indéniable. Leur vie privée est tout aussi artistique, entourée de leurs trois enfants, eux aussi plongeant dans l'univers de la musique, du théâtre, ou du cinéma.
En 2007, ils enregistrent Variety, leur dernier album ensemble. Quelques mois plus tard, Frédéric est frappé par un cancer du pancréas, qui l'emporte en un temps record. Leur parcours de 30 ans, marqué par une créativité sans bornes et une liberté totale, reste une source d'inspiration. Aujourd'hui, Catherine Ringer poursuit sa carrière solo avec brio, et l'héritage de leur amour indéfectible perdure à travers leurs onze albums, témoins d'une passion qui n'a cessé de nourrir leur art. -
Dans cet épisode de "À Deux, C’est Mieux", Sara Rodriguez revient sur l’histoire extraordinaire de David Bowie et Iman, un amour qui a traversé les époques et continue d’inspirer.
Certains couples semblent prédestinés. Ils se rencontrent, s’apprivoisent et, comme une évidence, deviennent indissociables. C’est le cas de David Bowie et Iman, un duo hors du commun, fait de contrastes et de complémentarité, où l’extravagance rencontre la sérénité, où le cosmos croise l’ancrage, où le rock et la mode fusionnent pour former une histoire d’amour intemporelle.
David Bowie n’était pas seulement un musicien, il était un phénomène. Un artiste caméléon qui a traversé les époques en réinventant à chaque fois sa musique et son image.
Avec plus de 140 millions d’albums vendus, il a laissé une empreinte indélébile sur l’histoire de la musique. Qui ne connaît pas ‘Modern Love’, ‘Ashes to Ashes’ ou ‘Let’s Dance’? Des titres qui, encore aujourd’hui, résonnent comme des hymnes intergénérationnels. Mais Bowie, c’était aussi un acteur fascinant, un visage marquant du grand écran. ‘The Man Who Fell to Earth’, ‘Labyrinth’, ‘Le Prestige’... autant de films où son charisme magnétique a transcendé l’écran.
Mais derrière le mythe, il y avait un homme. Un homme en quête de quelque chose de rare, quelque chose de vrai. Et cette vérité, il l’a trouvée en Iman, cette icône de la mode qui a conquis le monde par sa beauté et sa prestance, mais qui, surtout, a su voir au-delà du personnage de Bowie.
Découvrez les histoires derrière les plus grands binômes de la musique et dont la collaboration a permis de créer des tubes planétaires. -
Certains amours transcendent le temps et les épreuves. Certains duos ne sont pas seulement des couples, ils deviennent des légendes. Johnny Cash et June Carter, c’est une histoire d’amour et de musique, un lien indéfectible forgé dans les éclats de rire, les duels sur scène, les lettres passionnées et les silences lourds de sens. Un amour plus grand que leurs failles, plus fort que leurs tourments, et dont chaque chanson est une déclaration, chaque regard un serment.
Dans cet épisode de À Deux, C’est Mieux, Sara Rodriguez vous emmène dans la vie d’un couple incandescent, où la passion brûle autant que le désir de se sauver l’un l’autre. Leur première rencontre, en 1956, est comme un coup de tonnerre. Johnny Cash, encore jeune étoile montante de la country, est foudroyé par June Carter, cette femme à l’énergie magnétique, au sourire désarmant et à l’humour ravageur. Dès les premiers instants, il lui dit : "Je vais t’épouser un jour." Elle rit, mais quelque chose en elle vacille. Il est marié, elle aussi. Mais leurs âmes viennent de s’accorder sur une même fréquence, et plus jamais ils ne pourront s’ignorer.
Sur scène, ils deviennent un duo explosif. Leur complicité est immédiate, une évidence qui défie les conventions et les résistances. Ils se cherchent, se défient, jouent à s’aimer sans pouvoir encore s’appartenir. Mais leur amour est déjà là, dans les accords de guitare qu’ils échangent, dans les regards furtifs, dans la chaleur qui émane de chaque duo.
Puis vient Ring of Fire, la chanson qui scelle leur destin. June l’écrit alors qu’elle tente encore de lutter contre ses sentiments.
Ces mots sont ceux d’une femme qui sait qu’elle est perdue. Elle aime Johnny, mais elle voit aussi les démons qui l’assaillent : ses addictions, ses nuits d’excès, sa descente aux enfers. Elle craint qu’il l’entraîne avec lui, et pourtant, elle ne peut plus reculer. Johnny enregistre la chanson en 1963, y ajoutant les trompettes mariachi qu’il entend dans un rêve. Le morceau devient un hit, un symbole de leur passion interdite.
Mais l’amour qu’ils portent l’un à l’autre est aussi un combat. June refuse de le voir sombrer. Elle est là dans les pires moments, l’encourageant à se relever, à combattre ses dépendances, à redevenir l’homme qu’elle sait qu’il peut être. En 1968, après des années de lutte, Johnny demande June en mariage sur scène, devant des milliers de spectateurs. Cette fois, elle dit oui.
Leur mariage marque le début d’un second souffle, un équilibre fragile entre tournée et moments d’intimité. Ils enregistrent ensemble des duos mythiques comme Jackson et It Ain’t Me, Babe, partagent une maison, des enfants, des rires et des tempêtes. Ils vieillissent ensemble, s’accrochent l’un à l’autre à travers les hauts et les bas.
Mais l’amour ne met pas à l’abri du temps. Le 15 mai 2003, June s’éteint dans son sommeil. Johnny est anéanti. "Quand June est partie, il ne me restait plus rien à faire, sauf la rejoindre," confiera-t-il à ses proches. Pourtant, il lui reste un dernier hommage à rendre.
En août 2002, il enregistre Hurt, une reprise du groupe Nine Inch Nails. À l’origine, la chanson parle de l’autodestruction et du regret. Mais dans la voix de Johnny Cash, c’est une confession, un adieu.
"What have I become, my sweetest friend?
Everyone I know goes away in the end."
("Qu’ai-je donc fait de moi, mon plus cher ami ?
Tous ceux que j’aime finissent par partir.")
Dans le clip, il est filmé, fragile, le regard fatigué, entouré des souvenirs d’une vie entière. Des images de June apparaissent, comme un fantôme bienveillant. Il sait qu’il est au bout du chemin.
"You could have it all, my empire of dirt,
I will let you down, I will make you hurt."
("Tu pourrais tout avoir, mon empire de poussière,
Je te décevrai, je te ferai souffrir.")
Quelques mois plus tard, Johnny Cash meurt à son tour, le 12 septembre 2003. Il la suit, comme il l’avait toujours promis.
Dans cet épisode, Sara vous raconte l’histoire d’un amour qui a tout traversé. Une histoire de musique, de feu et de lumière, où les âmes s’embrasent et s’éteignent ensemble. Johnny et June, c’est la preuve que certaines âmes sont faites pour s’accorder. -
Je suis Sara Rodriguez et dans cet épisode, je vous emmène à la découverte de l’un des couples les plus emblématiques de la chanson française : Françoise Hardy et Jacques Dutronc. Une relation marquée par la passion, l’indépendance et des mélodies inoubliables.
Deux destins qui se croisent
Dans les années 60, alors que la France vibre au son de Johnny Hallyday, Sylvie Vartan et France Gall, une artiste au style singulier s’impose sur la scène musicale : Françoise Hardy. Réservée, mélancolique et d’une élégance rare, elle séduit le public avec Tous les garçons et les filles en 1962. À travers ses textes introspectifs et sa voix douce, elle incarne une nouvelle forme de féminité, loin des yéyés insouciants de l’époque.
Pendant ce temps, Jacques Dutronc, dandy au regard espiègle et à l’humour caustique, fait son chemin dans l’industrie musicale. Autodidacte, il débute dans le groupe El Toro et les Cyclones, avant de connaître la gloire en 1966 avec Et moi, et moi, et moi. Ses chansons, entre satire et provocation, en font rapidement l’un des artistes les plus originaux de sa génération.
Quand Françoise rencontre Jacques
Leur rencontre a tout d’un film d’époque. Elle, discrète et cérébrale, lui, charmeur et imprévisible. À première vue, tout les oppose. Pourtant, une connexion naît entre ces deux esprits libres. Loin du couple parfait, ils vivent leur histoire d’amour sur un fil, entre admiration et frustration.
Avec les années, leur relation devient à la fois fusionnelle et chaotique. Françoise le décrit comme "le grand amour de sa vie", malgré les distances, les non-dits et les tempéraments contrastés. Jacques, quant à lui, jongle entre amour sincère et désir d’indépendance.
Un mariage… à leur image
En 1981, après quinze ans de relation, ils se marient en Corse dans une cérémonie des plus insolites. Jacques, fidèle à son tempérament imprévisible, refuse la présence de témoins à la dernière minute. Françoise, furieuse, insiste pour maintenir un semblant de tradition. Le soir même, ils fêtent l’événement… séparément, chacun avec ses amis. Un mariage qui résume bien la nature de leur relation : hors des conventions, entre attachement profond et liberté farouche.
Une complicité musicale inébranlable
Si leur couple connaît des turbulences, leur complicité musicale ne faiblit pas. En 1988, Françoise Hardy exprime les complexités de leur relation dans Partir quand même, tandis que Jacques, fidèle à son style détaché, continue d’osciller entre humour et sincérité dans ses chansons. En 2000, ils offrent au public un dernier duo poignant, Puisque vous partez en voyage, un titre qui résonne comme un adieu subtil à leur histoire.
Les étoiles s’éteignent, mais la musique demeure
Passionnée d’astrologie, Françoise Hardy voyait en Jacques un Taureau épicurien et fidèle, tandis qu’elle, Capricorne, était plus cérébrale et disciplinée. Deux signes opposés qui ont su créer une harmonie unique, malgré leurs différences.
Les dernières années de Françoise sont marquées par la maladie. En 2024, elle s’éteint à l’âge de 80 ans, laissant derrière elle un immense héritage musical et littéraire. Jacques, bien que vivant loin d’elle, restait présent dans sa vie jusqu’au bout. En hommage, il fait le choix d’inhumer ses cendres en Corse, un lieu cher à leurs cœurs.
Une histoire d’amour hors du commun
Entre amour, amitié et musique, Françoise Hardy et Jacques Dutronc nous rappellent que les plus belles histoires ne sont pas toujours les plus linéaires. Ils nous laissent des chansons, des mots, et une alchimie qui traverse les générations.
Dans cet épisode de À deux, c’est mieux, je vous raconte leur histoire, avec ses moments de lumière et ses zones d’ombre. Installez-vous confortablement et laissez-vous porter par cette romance légendaire. -
Dans cet épisode, plongez dans l’histoire passionnée, tumultueuse et inoubliable de Serge Gainsbourg et Jane Birkin, un couple qui a marqué la musique, le cinéma et la culture comme personne avant eux.
Nous retraçons leur incroyable parcours, fait de coups de foudre, de provocations, de génie musical et de scandales retentissants :
✔ Une rencontre électrique en 1968, sur le tournage du film Slogan, où Jane, jeune actrice anglaise timide et lumineuse, croise la route de Serge, déjà célèbre, désabusé et provocateur.
✔ Le début d’une relation hors norme, où passion et exubérance se mêlent à la sensibilité et aux excès d’un Gainsbourg torturé.
✔ Le scandale planétaire de “Je t’aime… moi non plus” (1969), une chanson si sulfureuse qu’elle est bannie de plusieurs pays et condamnée par le Vatican, mais qui devient un succès mondial, propulsant Jane sous les projecteurs.
✔ Une alchimie artistique unique, à travers des albums légendaires (Histoire de Melody Nelson, Baby Alone in Babylone), des films audacieux (Je t’aime moi non plus), et des tubes intemporels (Ex-fan des sixties, La Ballade de Johnny Jane).
✔ Leur rupture en 1980, causée par les excès de Serge, l’alcool, et la fatigue d’un amour devenu trop destructeur… Mais un lien indéfectible qui restera vivant jusqu’à la mort de Gainsbourg en 1991.
✔ Un héritage colossal, à travers Charlotte Gainsbourg, qui perpétue leur mémoire, leur maison mythique du 5 bis rue de Verneuil, et une œuvre musicale et cinématographique qui continue d’inspirer des générations.
Un amour plus grand que la vie, un duo légendaire, une révolution artistique et une histoire qui, encore aujourd’hui, fascine et bouleverse.
Bienvenue dans ”A deux c’est mieux", le podcast où nous explorons les collaborations musicales les plus mythiques, puissantes et fascinantes où chaque épisode met en valeur la magie qui opère entre deux artistes incontournables. -
Bienvenue dans ce nouvel épisode de À deux, c’est mieux !
Pour cette seconde saison, on vous fait voyager, et cette fois, direction les USA, plus précisément Atlanta, surnommée la City in a Forest, littéralement la "ville nichée dans une forêt". Mais franchement, on aurait aussi pu l’appeler la ville nichée dans l’espace, parce que s’il y a bien un duo qui avait tout de deux ovnis musicaux, c’est OutKast.
Avec leur flow rapide, leur style déjanté et leur passion pour le monde cosmique, ils ont révolutionné le hip-hop. Et s’il y a un morceau qui a marqué les années 2000, c’est bien "Ms. Jackson". Sorti sur l’album Stankonia, il raconte la galère des ruptures quand un enfant est impliqué. André 3000 s’inspire ici de sa propre histoire avec Erykah Badu, la mère de son fils Seven. Après leur séparation, il doit gérer les tensions avec la mère d’Erykah – la fameuse Ms. Jackson. Dans la chanson, il s’excuse auprès d’elle pour la douleur causée, expliquant qu’il a sincèrement aimé sa fille et qu’il veut juste être un bon père. Le refrain "I'm sorry Ms. Jackson, I am for real" est devenu mythique. Big Boi, lui, apporte une touche plus terre-à-terre en évoquant les embrouilles de garde et les jugements familiaux.
Résultat ? Un tube planétaire, un Grammy Award, et un clip. Et fun fact : la vraie Ms. Jackson a adoré la chanson ! Les racines d’OutKast, c’est Atlanta, une ville qui les a bercés au rythme du hip-hop, mais aussi du rock, du grunge et de la soul.
Le duo, c’est André Lauren Benjamin alias André 3000 et Antwan André Patton, plus connu sous le nom de Big Boi. La ville d’Atlanta se trouve en Géorgie, un État qui a vu naître des légendes comme Julia Roberts, Spike Lee, le groupe R.E.M., et bien sûr Ray Charles, dont le titre "Georgia on My Mind" est devenu l’hymne officiel de l’État. Nos deux ados grandissent dans les quartiers proches d’East Point, une banlieue d’Atlanta. Passionnés de musique, ils peuvent en parler pendant des heures. André 3000, bien que rappeur, a été influencé par des sonorités rock, notamment Nirvana (et surtout Kurt Cobain) ou encore Rage Against the Machine, qui selon lui lui ont donné un vrai sentiment d’urgence dans sa création musicale. Avant de devenir OutKast, ils s’appellent d’abord “2 Shades Deep”, puis signent avec le label LaFace Records en 1992, rejoignant ainsi des artistes comme Usher, Pink, TLC ou Toni Braxton. À l’époque, ils sont les premiers rappeurs du label, une vraie prise de risque pour l’industrie musicale. Mais leur ascension ne s’est pas faite sans heurts. Lorsqu’OutKast remporte le prix du Meilleur Nouvel Artiste aux Source Awards en 1995, ils se font huer par une partie du public, qui préfère les artistes des côtes Est et Ouest. C’est à ce moment-là que Big Boi lâche une phrase devenue historique : “The South got something to say.”
Ce moment a marqué un tournant pour le rap du Sud, affirmant Atlanta comme un véritable bastion du hip-hop.
Découvrez leur histoire dans ce podcast ! -
Quel lien unit JAY-Z et Beyoncé? Ces deux artistes puissants ont su inonder la planète de leur musique. Nous explorerons leur impressionnant palmarès : ensemble, ils ont accumulé plus de 50 Grammy Awards. Un épisode captivant sur l'alchimie qui fait de ce duo un couple iconique.
Aujourd'hui, nous allons découvrir la vraie histoire de Jay-Z et Beyoncé. Deux icônes vivantes, qui, ensemble, ont créé un empire.
En effet la chanteuse a vendu plus de 200 millions de disques à travers le monde. Quant au rappeur il a vendu environ 100 millions de disques sur les cinq continents et ils ont chacun été récompensé à la hauteur de leur talent! Les Grammy Awards qui est l'une des distinctions les plus prestigieuses dans la musique depuis 1959 en a remis 32 à Beyoncé et 24 à Jay-z. Queen B comme ses fans l’appelant est l'artiste ayant remporté le plus de Grammy Awards de l’histoire!
Beyoncé Giselle Knowles est née le 4 septembre 1981 à Houston au Texas. De l'autre côté, Shawn Corey Carter, alias Jay-Z, est né le 4 décembre 1969 à Brooklyn, New York.
Il a grandi dans des logements sociaux dans la pauvreté. Son père, Adnis Reeves, a abandonné la famille et consomme de l’héroïne. Jay-Z et ses trois frères et sœurs aînés ont été élevés par sa mère, Gloria Carter. Pendant longtemps il a été en colère contre ce père déserteur qui lui a brisé le coeur en les abandonnant à une vie très dure. Mais ils se sont réconcilié avant la mort du père en 2003. Pendant son adolescence, Jay-Z vend de l’héroine, du crack, pourtant il n’a que 16 ans. Il gagnait jusqu’à 2000 dollars par jour, autant dire qu’il jouait avec le feu, ses amis tombaient tous les uns après les autres en prison. Sur le coté de son deal de drogue, il écrit, tout le temps, il rappe, tout le temps, c’est obsessionnel. On lui propose d’aller enregistrer de la musique à Londres pendant deux mois. Pile au moment ou la police new-yorkaise arrête 30 de ses amis et relations liés au monde de la drogue. Son plus proche pote se retrouve pour 11 ans derrière les barreaux. Jay-z n’aurait jamais eu la même vie si il n’avait pas été en Angleterre à ce moment là. Il devient peu après un rappeur et producteur de renom avec son premier album "Reasonable Doubt". Il a un sens des affaires hors norme, il créée Roc-A-Fella Records, son propre label qui deviendra plus tard un véritable empire.
En 2000, Beyoncé souffle ses 18 bougies et Jay-Z a 30 ans. Ils ont commencé comme amis, passant des heures au téléphone avant de se lancer dans une relation amoureuse. Des dates au restaurant, de diners romantiques en weekend à l’abri des paparazzis, ils prennent le temps de se connaitre.
C’est une évidence pour eux, il veulent aussi que leur osmose soit en musique. Leur première collaboration, "'03 Bonnie & Clyde", est sortie en 2002. Ce morceau marquait non seulement le début de leur partenariat musical, mais aussi une déclaration publique subtile de leur relation. Suivi en 2003 par la chanson "Crazy in Love", leur alchimie artistique a explosé, et le monde a adoré. Ils ont décidé de faire le bien ensemble, Beyoncé et Jay-Z ont fondé la Fondation Shawn Carter, qui aide les jeunes à poursuivre des études supérieures. Beyoncé a également soutenu de nombreuses causes à travers sa propre fondation, BeyGOOD, qui se concentre sur des initiatives mondiales pour la santé, l'éducation et les secours en cas de catastrophe.
Jay-Z et Beyoncé se sont mariés le 4 avril 2008. La cérémonie a eu lieu à New York, Manhattan, dans l'appartement de Jay-Z à Tribeca. Le choix de la date, le 4/4/2008, est symbolique pour le couple, qui considère le chiffre 4 comme leur numéro porte-bonheur. Une grande tente a été érigée sur le toit-terrasse, des tonnes de fleurs, plus précisément 70 000 orchidées blanches, qui sont les préférées de Beyoncé, ont été envoyée de Thaïlande. Les alliances échangées par le couple sont des tatouages de chiffres romains "IV" sur leurs annulaires, symbolisant leur engagement et leur connexion spéciale avec le chiffre 4.
Leur fille Blue Ivy Carter est né du couple le 7 janvier 2012. Un an plus tard, les mariés sont présent pour la deuxième investiture du président Obama, où Beyoncé chante "The Star-Spangled Banner".
Le 27 avril 2016 Beyoncé commence sa tournée mondiale et dédie sa chanson "Halo" à son "beau mari".
En 2017 la famille s’agrandît et ils accueillent leurs jumeaux à la mi-juin, Rumi et Sir. Plus tard, Jay-Z sort son 13e album studio solo, 4:44. Il y rappe sur ses relations et ses infidélités passées. Les chansons parlent de l'infidélité et du pardon. C’est sans doute ce qui les rend si unis, cette capacité à surmonter leur problèmes ensemble. Aujourd'hui, Jay-Z et Beyoncé ne sont pas seulement des icônes musicales, mais aussi des symboles de réussite et de résilience. Leur histoire est celle de deux artistes qui, ensemble, sont plus forts et plus influents qu'ils ne l'auraient jamais été séparément. Restez à l'écoute pour d'autres histoires sur les duos légendaires qui font la musique. N'oubliez pas de vous abonner, de laisser un avis et de partager ce podcast avec vos amis. À la prochaine fois, et rappelez-vous, l'amour et l'art sont les deux faces d'une même pièce.
Sara Rodriguez vous plonge dans les plus belles complicités musicales. Céline Dion et René Angélil, Laurent Voulzy et Alain Souchon, Beyoncé et Jay-Z ou encore Elton John et Bernie Taupin: découvrez les histoires derrière les plus grands binômes de la musique et dont la collaboration a permis de créer des tubes planétaires.
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Aujourd'hui, nous allons plonger dans l'univers électrisant des Daft Punk. Et croyez c’est plus qu'un simple duo. C'est une révolution sonore, une identité visuelle unique, et une influence qui s'étend bien au-delà des frontières de la musique. Qui se cache derrière ces casques futuristes? Comment ont-ils réussi à conquérir le monde sans jamais montrer leur visage? Et surtout, quel est le secret de leur succès?
L’album Homework en 1997, le tout premier qui est remarquable avec environ 2,5 millions d’exemplaires vendus. Il contient des tubes comme "Da Funk" et "Around the World". Discovery en 2001, Environ 3,2 millions d’exemplaires écoulés dans le monde avec des titres emblématiques comme "One More Time" et "Harder, Better, Faster, Stronger". L’album Human After All en 2005, au succès plus confidentiel puisque vendu à 1 million d’exemplaires, 8 ans plus tard sort Random Access Memories donc en 2013 et là j’ai envie de dire que c’est le jackpot ”son” avec un succès planétaire porté par le tube "Get Lucky” et 4 millions de cd vendus, il a remporté plusieurs Grammy Awards, dont celui de l'Album de l'année en 2014, on peut parler de consécration ici.
Thomas Bangalter et Guy-Manuel de Homem-Christo sont deux amis d'enfance parisiens, ils allaient à l’école ensemble et ont tissés des liens solides grâce à cela. Leur aventure musicale débute elle en 1993, après avoir abandonné leur premier projet de groupe rock qui s’appelait "Darlin". ” Et oui, un journaliste britannique les traite carrément de "Daft punk," autrement dit, "punk idiot” après avoir écouté leur musique, aie ça fait mal mais au moins cela les a inspirés. Sans hésitation ils prennent la critique à contrepieds et utilisent cette formulation à leur avantage, en choisissant de s’appeler les DAFT PUNK pour démarrer leur carrière dans le genre musical électro. Guy-Manuel rencontre donc Thomas au collège du lycée Carnot le 6 juin 1986, dans le 17e arrondissement de Paris, D’ailleurs ce lycée est réputé pour son enseignement, il a formé des personnalités ayant marqué leur temps comme Louis Bertignac, Michel Berger mais également le 22eme président de la République française Jacques Chirac ”extrait d’un cher français chers françaises”, l’humoriste Anne Roumanoff, l’acteur Patrick Timsit ou encore Philippe Bouvard. C'est donc là qu'ils découvrent leur complicité et leur gout commun tant en cinéma qu’en courant musical. Dans les influences du duo il y a le père de Thomas Bangalter, Daniel Vangarde. Un musicien, producteur et compositeur français qui a connu un certain succès dans les années 1970 et 1980. Il a travaillé sur des chanson telles que "D.I.S.C.O.".
Il a co-écrit et produit cette chanson pour The Gibson Brothers. "Cuba" est un autre tube international qui a popularisé le groupe et est devenu un classique du disco. Le titre a été particulièrement populaire en Europe, atteignant le top 10 dans plusieurs pays. Il était aussi le parolier de La Compagnie créole avec Vive le Douanier Rousseau !, Le Bal masqué, c’est bon pour le moral ”extrait”. Mais revenons au DAFT Punk, dès leurs débuts, ils sont surprenants, mélangent les genres, en expérimentant avec les sons, et surtout en innovant. Leur premier album, "Homework," sorti en 1997 contient déjà les pépites musicales "Da Funk" et "Around the World" qui sont aujourd’hui connues mondialement.
Pourquoi sont-ils devenus un phénomène mondial? Le groupe Daft Punk s'est démarqué en combinant la musique disco, house, rock, funk. Ils ont crée un son unique, frais, reconnaissable entre tous. D’ailleurs utiliser des samples fait partie de la recette de leur réussite, on va revenir sur certains échantillons de musique connues qu’ils ont su utiliser à leur avantage, on en reparle dans quelques instants. Le tempo, la mélodie, le fait de faire danser les clubs dans le monde entier, tout cela participe à leur succès et si on y ajoute un look sorti de l’espace c’est à nouveau le jackpot "son jackpot". L'idée des casques robotiques de Daft Punk est née de leur fascination pour la science-fiction, en particulier des films comme "Star Wars" "Blade Runner," et "2001: L'Odyssée de l'Espace" avec une esthétique futuriste où les robots et les intelligences artificielles jouent souvent des rôles centraux.
Les Daft Punk travaillaient t sur leur deuxième album, *Discovery* et l’idée des casques robotiques est venue comme une solution parfaite : ils pouvaient cacher leur identité tout en montrant leur gout pour le futurisme et la technologie. D'après la légende, l'idée a pris forme le 9 septembre 1999, quand ils ont raconté avoir été victimes d'une "explosion" en travaillant sur leur équipement en studio. Cette explosion les aurait "transformés en robots" à 9h09. Bien que ce soit une histoire inventée, elle représente le moment où ils ont réellement embrassé leur nouvelle identité. Daft Punk a collaboré avec des designers et des ingénieurs, notamment Tony Gardner, un maquilleur et spécialiste des effets spéciaux de Hollywood, connu pour son travail sur des films comme "The Addams Family" Les casques devaient être à la fois futuristes et fonctionnels, intégrant des éléments comme des LED et des systèmes de ventilation pour rendre leur port plus confortable lors des performances et aussi être suffisamment pratiques pour être portés pendant de longues périodes.
Une fois les casques finalisés, Daft Punk a commencé à apparaître en public uniquement sous cette forme robotique. Cela a immédiatement créé une aura de mystère les fameux casques sont devenus un symbole qui ont également permis au duo de conserver une vie privée relativement normale, en évitant les pressions de la célébrité. L’indépendance des deux artistes joue un grand rôle dans leur carrière, ls ont toujours veillé à garder un contrôle total sur leur musique et leur image, en choisissant de sortir des albums quand ils le voulaient, comme ils le voulaient. Leur album "Random Access Memories" en est un parfait exemple : alors que tout le monde s'attendait à un retour à la musique électronique, ils surprennent en adoptant un son plus organique, collaborant avec des musiciens légendaires et créant des morceaux intemporels comme "Get Lucky.” Avec Pharrell Williams Après presque trois décennies de carrière, Daft Punk a annoncé sa séparation en 2021, marquant la fin d'une ère. Pourtant, leur héritage continue de vivre et si je dois conclure et bien le secret de leur réussite est peut-être simplement le fait de rester fidèles à eux-mêmes tout en innovant constamment. Ils ont toujours cherché à réinventer leur son et à créer une expérience musicale. Bon allez, une anecdote que j’adore pour encore vous démontrer à quel point ce duo est créatif: Le clip de “Around the World”, est souvent cité pour son originalité, il a été réalisé par Michel Gondry, un célèbre réalisateur français. Dans le clip il y a des personnages qui dansent en parfaite synchronisation avec les différents éléments du morceau.
C’est un exemple parfait de la manière dont ce duo a transformé la scène musicale mondiale, en laissant une empreinte indélébile. Leur succès, c'est celui de l'authenticité, de l'innovation, et d'une vision artistique sans compromis.* Merci d'avoir écouté cet épisode de ”A deux c’est mieux" Si vous avez aimé, et bien, n'oubliez pas de vous abonner, de laisser un commentaire, et de partager ce podcast avec vos amis. A bientôt pour une nouvelle exploration des histoires fascinantes qui se cachent derrière les plus grands binômes de la musique. -
Laissez-moi vous raconter l’aventure de deux gars qui se sont trouvés pour créer des chansons immortelles. Elton John et Bernie Taupin ont connu le succès à travers les décénnies. Faut dire qu’Elton a vendu plus de 300 millions d’album tout au long de sa carrière, ça rigole pas, il a donné plus de 4000 concerts, autant dire qu’il est rodé, il a été anobli pour sa contribution à la musique et aux œuvres de bienfaisance, au cours d’une cérémonie présidée par la reine Elisabeth II en 1998, so British!
L'année 1967 marque un sacré coup de théâtre. Elton répond à une annonce de Liberty Records dans un journal, c’est un label qui produit de la musique. Et il décroche une audition, le jour J il joue du Jim Reeves face à Ray Williams qui n’est pas convaincu. Mais il a eu la brillante idée de l'associer à un parolier. Coup de bol ou destin magique, l'enveloppe qu’on tend à Elton contenait les textes de Bernie Taupin. S'ensuit une correspondance digne d'un roman épistolaire, où Elton mettait en musique les paroles envoyées par Bernie. Leur première rencontre en chair et en os eut lieu dans le studio de Dick James, éditeur musical des Beatles. Rien que ça! Bernie, nerveux comme un étudiant qui passerait un examen oral, demande à voir Regg Dwight, alias Elton avant qu'il ne prenne son nom de scène. L’ingénieur du son se demande même ce qu’il fiche là ce petit gars de la campagne. Lorsque leur regards se croisent, l’alchimie est immédiate, et ils passent des heures à discuter autour d'un repas au Lancaster Grill, sans voir le temps passer. En 1970, leur première bombe, "Your Song", fit exploser les charts. Bernie écrit les paroles à la va-vite à la table de cuisine d'Elton, encore tachée d'œufs, tandis qu'Elton saisit le papier un peu dégouté, il file composer la musique sur le piano familial. Vous auriez cru vous qu’un tel tube était né comme ça? Un trésor musical qui sent l’oeuf peut-être mais qui a été repris de Rod Stewart à Lady Gaga.
Et la suite? Une avalanche de hits comme "Rocket Man", ”Bennie and the Jets", "Candle in the Wind”, ”Sacrifice” et j'en passe! Leurs tubes sont comme des bonbons pour nos oreilles, on en veut toujours plus! Ces deux artistes ont littéralement grandi ensemble face à un monde qui a changé sous leur yeux durant des décennies. Mais il semblerait qu’une chose n’a jamais bougé: l’amour indéfectible qui les unit! Leur succès est l'aboutissement d'une amitié solide comme un roc. Et bonne nouvelle, même si Elton a dit au revoir aux tournées, Bernie a annoncé qu'ils continuent de créer ensemble, avec peut-être encore un opus rempli de pépites musicale.
En cumulant les ventes d'albums et de singles, les chansons écrites par Bernie Taupin pour Elton John se sont vendues à plus de 300 millions d'exemplaires à travers le monde. Ce chiffre inclut les albums et les singles. Bernie Taupin est donc non seulement l'un des paroliers les plus prolifiques, mais aussi l'un des plus réussis commercialement dans l'histoire de la musique pop.
Sara Rodriguez vous plonge dans les plus belles complicités musicales dans le podcast "A deux, c'est mieux". Céline Dion et René Angélil, Laurent Voulzy et Alain Souchon, Beyoncé et Jay-Z ou encore Elton John et Bernie Taupin: découvrez les histoires derrière les plus grands binômes de la musique et dont la collaboration a permis de créer des tubes planétaires. -
Qui est le plus solaire et qui est le plus sombre d'Alain Souchon et Laurent Voulzy? Découvrez comment leur lien unique a façonné leur carrière musicale, avec des révélations sensibles sur leur histoire personnelle et l'admiration réciproque qui les a portés vers le succès. Explorez l'alchimie qui unit depuis 50 ans déjà deux icônes de la chanson française. Qui n'a jamais rêvé de vacances éternelles en écoutant "Belle île en mer" ou "Marie Galante" et qui n'a jamais retrouvé le plaisir enfantin de la cours de récré en écoutant "J'ai 10 ans"? Ils ont vendu des millions d'albums et ont été récompensé lors des Victoires de la musique plus de dix fois à eux deux. Les chansons que l'on connaît par cœur, évidemment c'est Alain qui les écrit et c'est Laurent Voulzy qui compose la musique. "Rockollection" par exemple, sorti en 1977 est un énorme succès. "Le cœur grenadine" s'est vendu à 300.000 exemplaires. Sara Rodriguez tente de vous raconter la recette qui a permis à cette collaboration de perdurer et de marquer la Chanson Française.
Alain Souchon et Laurent Voulzy ont collaboré tout au long de leurs carrières respectives, créant ensemble de nombreux succès. Cependant, malgré leur longue amitié et leur partenariat artistique, ils n'ont jamais sorti d'album en duo jusqu'en 2014, soit 40 ans après le début de leur collaboration.
À travers le temps, Souchon et Voulzy sont restés inséparables. Alain, plus pessimiste, trouve son équilibre auprès de Laurent, plus solaire et détendu. Cette relation, comparable à un couple avec ses hauts et ses bas, a permis à chacun de grandir, tant sur le plan personnel qu’artistique. On peut donc dire que le secret de leur succès est cette complémentarité qui les a propulsés au sommet, faisant d’eux un symbole d’unité et de poésie dans la chanson française.
Sara Rodriguez vous plonge dans les plus belles complicités musicales dans le nouveau podcast Nostalgie "A deux c'est mieux". Céline Dion et René Angélil, Laurent Voulzy et Alain Souchon, Beyoncé et Jay-Z ou encore Elton John et Bernie Taupin: découvrez les histoires derrière les plus grands binômes de la musique et dont la collaboration a permis de créer des tubes planétaires. -
Y aurait-il une Céline Dion sans René Angélil et inversement? Leur complicité, tant personnelle que professionnelle, les a propulsés au sommet. Découvrez notamment l’anecdote où René, croyant tellement en Céline, a hypothéqué sa maison pour financer son premier album, un geste audacieux qui en dit long sur leur parcours unique.
C'est une icône mondiale et son homme a façonné son destin. Comment une jeune fille d'une petit ville du Québec est-elle devenue l'une des plus grandes stars de la planète? Et comment l'amour a joué un rôle central dans cette transformation? C'est l'histoire d'un duo inséparable sur la scène comme dans la vie que Sara vous raconte. Même dans la collaboration entre Céline Dion et Jean-Jacques Goldman, René veille au grain. C'est en 1980 que Céline Dion envoie, avec l'aide de sa maman Thérèse et de son frère Jacques, une cassette au producteur René Angélil. La légende raconte que René, tellement touché par la puissante vocale de la jeune chanteuse, fond en larmes. C'est qu'il vient de découvrir un diamant brut. Le producteur a des ambitions plus lointaines que le Québec pour Céline. En 1988, Céline Dion représente la Suisse à l'Eurovision. Elle a chanté "Ne partez pas sans moi" et a remporté la compétition. Lorsque le succès de Céline commence à s'étendre, une relation commence à devenir un peu plus privée entre elle et son manager. Le genre de relation discrète qui devient l'une des plus grandes histoires d'amour du showbusiness. A cette époque là, elle a environ 19 ans et ça ne met pas René à l'aise comme il le dit en public. Il ne veut pas nuire à la carrière de Céline. Après avoir rendu leur relation public, tout s'accélère. En décembre 1994, ils se marient à Montréal. Ils sont ensuite devenus parents de trois garçons. Une famille qui restera unie face aux défis.
Sara Rodriguez vous plonge dans les plus belles complicités musicales dans la nouvelle série de podcasts Nostalgie "A deux c'est mieux?". Céline Dion et René Angélil, Laurent Voulzy et Alain Souchon, Beyoncé et Jay-Z ou encore Elton John et Bernie Taupin: découvrez les histoires derrière les plus grands binômes de la musique et dont la collaboration a permis de créer des tubes planétaires.
