Episodes

  • Nous disons au revoir à deux personnalités chrétiennes lyonnaises qui partent pour d'autres missions : le pasteur Stephen Backman et le père Thierry Magnin. L'occasion de revenir sur leur parcours et leurs responsabilités à Lyon.
    Après avoir été en poste à Clermont-Ferrand et au Grand Temple de Nîmes, Stephen Backman a été attiré par le dynamisme, la motivation et l’enthousiasme de l'Espace protestant Théodore Monod, une paroisse créée récemment dans l'est-lyonnais.
    Il retrace les modalités des mutations pour les pasteurs de l'Eglise Protestante Unie, les joies rencontrées et les difficultés à surmonter. Sa nouvelle mission l'emmenera à Pertuis en Provence.
    Le père Thierry Magnin Thierry Magnin est né au Mali le 10 mars 19531. Il est un prêtre catholique et physicien français. Il a été recteur de l'université catholique de Lyon depuis le 1er septembre 2011. Il a été choisi par les évêques pour succéder à Mgr Olivier Ribadeau Dumas comme secrétaire général de la Conférence des évêques au 1er juillet 2019. 
    À la fois docteur en sciences physiques et docteur en théologie, le parcours de Thierry Magnin est original et a marqué ses années de recteur à l'Université catholique de Lyon.
    Ayant exercé comme enseignant-chercheur en physique à l'École nationale supérieure des mines de Saint-Étienne, puis à l'université de Lille. Sa thèse doctorale portait sur la relation entre la science et la foi. De par sa double formation, scientifique et théologique, il porte sur le transhumanisme un regard singulier. 
    Il revient sur ses motivations, ses réalisations et ses découvertes à la tête de l'Université catholique de Lyon.

     

  • Les ordinations sacerdotales 2019 pour le diocèse de Lyon se sont déroulées à la Primatiale Saint Jean Baptiste ce samedi 29 juin à 10 heures. 
    Monseigneur Dubost, admistrateur apostolique pour le diocèse de Lyon a ordonné quatre jeunes hommes: Armel Bouchacourt, Nicolas Charrier, Vincent Gaisne et Thomas Samson.
    Leurs familles, leurs équipes d’accompagnement et les fidèles du diocèse ont partagé leur joie et celle de l’Église en participant à la messe d'ordination.
    Nous vous proposons d'entendre leur témoignage et l'itinéraire humain et spirituel qui les a conduit à dire "oui" à l'appel du sacerdoce.





    Vincent Gaisne


     Nicolas Charrier


    Thomas Samson
     

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  • "S’alléger à Lourdes", c’est le thème du reportage sur le pèlerinage des malades du diocèse de Lyon 2019.



    3000 pèlerins de Lyon et de Roanne se sont rendus dans la cité mariale toute la semaine du 10 juin: des hospitaliers accompagnant des malades et un millier de "jeunes bobs" de seconde et de quatrième venant de différents établissements et brancardant des malades.
    Le programme est riche et varié entre célébrations, conférences, témoignages, visites des lieux où a vécu Sainte Bernadette, excursions à l'abbaye de Saint-Savin ou à Betharam, chemins de croix, bains aux piscines, prières à la grotte...
    Je vous propose de mettre vos pas dans les pas des pèlerins et de leurs accompagnateurs pour glâner toutes les pépites, les découvertes et les grâces reçues à Lourdes cette année.

  • "Comment vivre les vacances autrement?", c'est le thème que nous abordons avec des représentants de différentes églises chrétiennes :  le père Xavier Grillon, curé de l'Eglise Sainte Blandine, le pasteur Ben Harding de l'Eglise anglicane et Clémence Pasquier, coordinatrice des projets étudiants et jeunes professionnels du diocèse de Lyon.
    Ils répondent aux questions suivantes:

    1) Quel sens est-ce que je donne aux vacances?
    2) Je partage un souvenir marquant de vacances, avec une dimension spirituelle?
    3) A quelles difficultés je me heurte?
    4) Mes bonnes idées pour vivre de belles vacances ressourçantes?
    5)  Mes projets cette année et les défis à relever?

    L'occasion de se préparer autrement à ces temps dédiés aux vacances et de passer du loisir au ressourcement.

  • "Sur les traces des origines de l’Eglise en Europe", c’est le thème du pèlerinage qui a conduit une quinzaine de pèlerins du diocèse de Lyon en Italie du 12 au 19 mai 2019.
    Accompagnés par le père François Cristin, directeur des pèlerinages du diocèse de Lyon, ils se sont rendus notamment à Venise, Padoue, et Ravenne. L’occasion d’admirer les magnifiques basiliques, les fresques et les mosaïques de ces lieux ancestraux.
    Leurs pas les ont conduit en Aquilée dans la région du Frioul-Vénétie julienne, pour visiter la magnifique basilique patriarcale datant du 12ème siècle. Un centre spirituel qui a joué un rôle essentiel dans l’évangélisation d’une grande partie de l’Europe centrale au début du Moyen Âge. Ses vestiges les plus anciens remontent au quatrième siècle et elle est inscrite avec sa zone archéologique sur la liste du patrimoine mondial de l’humanité par L'UNESCO.



    Les pèlerins se sont rendus en bateau à Venise pour admirer la basilique Saint-Marc et ses mosaïques à feuilles d’or éblouissantes. Elle retrace les nombreuses histoires de la Bible. Une véritable "bande dessinée antique à ciel ouvert!" se sont exclamés les pèlerins.
    Une visite a marqué les esprits: celle de l'île San Lazzaro sur la lagune vénitienne, qui abrite les racines du peuple arménien avec notamment une magnifique bibliothèque et de multiples objets anciens.
    La basilique Saint Antoine de Padoue a ouvert ses portes aux pèlerins après la visite de la basilique Sainte Justine où repose l'évangéliste Saint Luc. Saint Antoine de Padoue est encore beaucoup invoqué et de nombreux ex-votos témoignent de la reconnaissance des fidèles pour ses miracles.



    Le pèlerinage s’est terminé en beauté avec la visite de l’abbaye de Pomposa dont les origines remontent au sixième siècle après Jésus-Christ et Saint Apollinaire in Classe autrefois située sur le port de Classe qui s'est éloigné aujourd'hui de 5 kilomètres.
    Les mosaïques de Saint Apollinaire le Neuf, de San Vitale et du mausolée de Galla Placidia, une impératrice du 5ème siècle, témoignent de la magnificence des origines de l’Eglise en Italie.
    Ce pèlerinage a permis aux pèlerins d'étendre leurs connaissances sur les racines chrétiennes de l’Europe. Il leur a donné de la perspective et des fondements pour mieux comprendre comment s'est tissée l’Europe d’aujourd’hui. Les pèlerins sont rentrés chez eux enthousiasmés par toutes ces merveilles et motivés pour poursuivre leur découverte des racines chrétiennes de l’Europe.

     

  • Quelle est la spiritualité du scoutisme?
    C'est ce que nous approfondissons dans l'ouvrage de Xavier de Verchère "Jésus, le premier scout", publié aux éditions du Cerf dans la collection Spiritualité.
    Prêtre et salésien de Don Bosco, Xavier de Verchère est ingénieur et pédagogue de formation. Il est actuellement aumônier national chez les Scouts et Guides de France.
    Dans ce livre, il compare la vie spirituelle à un camp scout et évoque une spiritualité de l'itinérance et du service. 
    « Toujours prêt ! », cet appel de Baden Powell, le fondateur du scoutisme, résonne dans la tête de millions de jeunes à travers le monde. 
    Sur les routes, au contact de la nature, et témoins de la fraternité entre les peuples, les scouts sont les héritiers en marche du Christ. Car, si « Dieu a planté sa tente parmi nous », Jésus n’est-il pas l’Éclaireur, le Guide par excellence, le premier scout ? À sa lumière, le scoutisme passe d’une simple école de vie appelée à former des artisans de paix, à une école de spiritualité d’où ressortent des chrétiens à la foi vivante. 
    Engagement et incarnation, vie commune et itinérance, service et communion avec la création… La spiritualité scoute porte en son sein une promesse : celle de faire grandir les jeunes et de nourrir leur foi. Un pari relevé depuis plusieurs générations.

  • Soutenu par la paroisse de Ste Foy, le Groupe Planit Actions réunit des demandeurs d’emploi et des accompagnateurs bénévoles de haut niveau. Ils leur apportent un soutien professionnel, régulier et exigeant, dans une ambiance conviviale et fraternelle.
    Dominique Rosaz a créé ce groupe en 2014. Il témoigne de son engagement avec des accompagnateurs bénévoles et des demandeurs d'emploi.

    Les sessions se déroulent à Ste Foy les Lyon, tous les mardis de 8h30 à 16h00 et durent 4 mois. La proposition est la suivante:
    - Un programme en groupe :
    Tout d’abord les participants pourront préciser leur projet professionnel en réalisant un véritable bilan de compétences. Ce programme est basé sur l’expérience d’un spécialiste de l’Outplacement et des bilans de compétences pendant plus de 20 ans.
    Suivront les techniques de recherche d’emploi avec souvent, l’appui de professionnels extérieurs sur des thèmes tels que : les RSP, l’entretien de recrutement par Skype, les agences d’intérim, les aides à l’emploi, la formation professionnelle,…
    - Un programme individuel :
    Chaque participant choisit un des dix accompagnateurs qui suivra sa progression chaque semaine, le guidera, le conseillera et l’aidera à surmonter ses difficultés.

    La diversité des participants, cadres de haut niveau, salariés ou jeunes diplômés, enrichit le groupe, favorise l’ouverture d’esprit et les échanges. Les nombreuses situations pratiques proposées permettent de se confronter à la réalité et de progresser.

    Sept sessions ont eu lieu depuis septembre 2014. Grâce à leurs efforts et à leur détermination, la plupart des participants ont repris une activité. En osant quelquefopis changer de domaine ou relever un défi. 

    Contact:
    http://planitactions.paroissesaintefoy.fr/contact/

  • Quatre jeunes du mouvement Coexister échangent sur le thème : "La joie dans nos vies?".
    Manon est catholique et elle a fait des études en commerce international. Elle est en reconversion actuellement pour devenir professeur de yoga. Elle fait partie de CoExister depuis septembre 2017.
    Ayam est juif libéral et il est en première année d’école de commerce et de développement 3A. Il fait partie de CoExister depuis septembre 2018
    Yacine est d’origine marocaine et il est musulman. Il a 25 ans il est arrivé à 18 ans en France pour faire des études. Il est titulaire d’un Master en anthropologie et il est aussi stagiaire à l’Institut français de civilisation musulmane à Lyon.
    Pauline est agnostique et elle travaille dans l’insertion Elle fait partie de CoExister depuis 2018.
    Ils répondent aux questions suivantes:
    1) Comment définissons-nous la joie?
    2) Quels sont les moments joyeux importants que nous avons vécu?
    3) Quelles difficultés rencontrons-nous?
    4) Quelles sont nos bonnes idées pour la faire grandir?
    5) Quels sont les défis à relever et nos projets pour progresser?

    Le Mouvement Coexister est Interreligieux et Interconvictionnel. Il rassemble des jeunes juifs, chrétiens et musulmans, athées et agnostiques pour la cohésion sociale et le vivre ensemble.
     Sa mission : défendre le principe de Coexistence Active, lutter contre les discriminations religieuses, sensibiliser au vivre ensemble, déconstruire les préjugés.
    Le groupe Coexister Lyon composé de jeunes de 15 à 35 ans propose divers projets : rencontres, conférences, échanges, visite de lieux de culte, participation aux grandes fêtes religieuses et événements inter religieux, actions de solidarité (goûter solidaire avec personnes sans domicile fixe, don du sang) et sensibilisation en milieu scolaire ou aumôneries.
    En France, l’association Coexister regroupe plus de 1 800 adhérents dont 600 membres actifs dans 30 groupes locaux en France et Belgique. Forte de ses 5 salariés et 17 jeunes volontaires en services civiques, l’association a déjà sensibilisé près de 40 000 jeunes à la laïcité depuis sa création.

  • Qu'est ce que le Chabbat?
    Nous découvrons les particularités de ce jour de repos avec Michaël Barer et Ruth Ouazana. Michaël Barer est éducateur, consultant en judaïsme et anime le site "Comprendre le judaïsme".
    Ruth Ouazana est formatrice en management interculturel et présidente de l'association "les racines de demain".
    Le jour de chabbat correspond au septième jour de la semaine juive, le samedi, qui commence dès la tombée de la nuit du vendredi soir. Élément fondamental de la religion, il est observé par beaucoup de Juifs. Au-delà des notions de permis et d'interdit, le chabbat est surtout considéré comme un jour hors du temps et des contingences matérielles, un jour durant lequel toutes les activités extérieures doivent être réduites pour se concentrer sur sa famille et son foyer. 
    Il y est surtout question d'activités dans son cercle familial, de moments pour se ressourcer, de repas en famille… Il commence le vendredi, 18 minutes avant le coucher du soleil et se termine le samedi après l'apparition de 3 étoiles moyennes (approximativement 40 minutes après le coucher du soleil), soit une durée variant entre 25 heures et 25 h 30 min selon les saisons.
    Le chabbat est également jour chômé officiel en Israël, et outre les magasins, les transports publics ne fonctionnent pas.
    Le mot a donné « sabbat » en français, « sabbath » en anglais.
    De façon plus indirecte, « samedi » en est dérivé à partir de « sambe-di » en vieux français, ainsi que « Samstag », « samedi » en allemand, à travers le gothique, sambaz-tac puis samez-tac.
    Le concept d'« année sabbatique » y est également associé, bien que le concept dérive aussi du concept juif de l'année de jachère chemitta.

     

  • Depuis plus de trente ans, dans le cadre notamment du prieuré Malèves-Sainte-Marie, le prêtre belge Gabriel Ringlet travaille à « réenchanter les rites ».
    Il introduit son ouvrage intitulé" La Grâce des jours uniques, éloge de la célébration" publié chez Albin Michel avec la citation de Philippe Delerm : « Il faut dire les choses de tous les jours avec les mots du dimanche. »
    Le prêtre et théologien qui a été vice-recteur de l’université catholique de Louvain rappelle que « célébrer ne fait pas la morale, n’enseigne pas une doctrine, ne défend pas des valeurs. Célébrer retourne un sol pour qu’un sillon se creuse chez celles et ceux à qui l’histoire est racontée. »
    Selon lui, "être célébrant" n’est pas d’abord une affaire de prêtrise, mais une manière d’être au monde. S'il accompagne réguliérement des jeunes et des familles en deuil, c’est aussi pendant la ­Semaine sainte que l’auteur déploie ses talents de célébrant. Il invite chaque année au prieuré Sainte-Marie un écrivain, un chanteur ou un cinéaste, croyant ou incroyant. Ils conjuguent leurs inspirations pour vivre des célébrations qui parlent à l'esprit et au coeur. Des moments forts qui rassemblent et mènent à la Résurection du Christ.
    Une invitation pour chacun d'entre nous à être des célébrants du quotidien pour accompagner notamment les personnes les plus fragiles.

  • Comment se préparer à Pâques? 
    On en parle avec des représentants de différentes Eglises chrétiennes : Pauline Betuel, chanteuse dans l'équipe de louange de Sainte Blandine avec le groupe Glorious, étudiante en Jazz,  le père Xavier Grillon, curé de l'Eglise Sainte Blandine, le pasteur Ben Harding de l'Eglise anglicane, Ben Eugster, pasteur de l'Eglise évangélique Hillsong, Clémence Pasquier, coordinatrice des projets étudiants et jeunes professionnels du diocèse de Lyon.
    Ils répondent aux questions suivantes:
    Que représente Pâques pour vous?
    Quels moments marquants avez-vous vécu à Pâques?
    Quelles sont les difficultés à surmonter pour vivre au mieux cette fête?
    Quelles sont vos bonnes idées pour vivre Pâques plus intensément? 
    Quels sont vos projets et les défis à relever?
    De quoi nous dynamiser à l'approche de cette grande fête chrétienne qui nous mène à la résurrection du Christ.

  • Comment coexister sereinement ? C'est la question que nous posons à des jeunes de différentes religions membres du mouvement Coexister.
    Manon est catholique et elle a suivi des études en commerce international. Elle est en reconversion actuellement pour devenir prof de yoga. Elle fait partie de Coexister depuis septembre 2017. Son objectif: contribuer à construire une société unie et accueillante de la diversité. Son envie est de mieux connaître et appréhender l’identité de l'autre et de tisser des amitiés qui sortent des "sentiers battus".
    Ayam est juif libéral en 1ère année d'Ecole de commerce et de développement "3A". Il fait parti de Coexister depuis septembre 2018. Il est passionné par le sujet de l’interreligieux et du dialogue. Franco-israélien, il a connu le conflit israélo-palestinien. Il a cœur de travailler pour la paix et de sensibiliser au maximum les jeunes de sa génération à cette ouverture d'esprit.
    Fatiha est musulmane et elle a suivi un DU de criminologie, un Master d'anthropologie et un diplôme de sophrologue. Elle fait partie de Coexister depuis septembre 2018. Ses motivations? Partager des temps forts avec des personnes ayant une identité différente de la sienne et gagner en humilité car toute religion peut avoir la tentation de détenir la vérité.
    Pauline est agnostique en master de droit de l'environnement et en management de développement durable. Elle fait partie de Coexister depuis l'été 2018. Elle revient d'un voyage de 8 mois en Asie. Elle y a côtoyé de nombreuses religions et elle a été confrontée à la différence. Pour elle, Coexister c'est avant tout se faire des amis qui viennent de tous les horizons.
    Ces quatre membres de Coexister Lyon répondent aux questions suivantes:
    Quelle est ma définition de la coexistence?
    Quel est le moment marquant que j'ai vécu dans cette démarche de la coexistence?
    Quelles sont les difficultés rencontrées?
    Quelles sont nos bonnes idées pour faire progresser cette coexistence?
    Quels sont les défis à relever ou les projets qui nous tiennent à cœur?
    En savoir plus:
    Le Mouvement Coexister est un mouvement interreligieux et interconvictionnel de jeunes: juifs, chrétiens et musulmans, athées et agnostiques dialoguent et se rencontrent pour la cohésion sociale et le vivre ensemble.
    Sa mission ? défendre le principe de Coexistence Active, lutter contre les discriminations religieuses, sensibiliser au vivre ensemble, déconstruire les préjugés.
    Le groupe Coexister Lyon est composé de jeunes de 15 à 35 ans et propose divers projets: rencontres, conférences, échanges, visite de lieux de culte, participation aux grandes fêtes religieuses et événements inter religieux, actions de solidarité (goûter solidaire avec personnes sans domicile fixe, don du sang) et sensibilisation en milieu scolaire ou aumôneries.
    L’association Coexister regroupe plus de 1 800 adhérents dont 600 membres actifs dans 30 groupes locaux en France et Belgique. Forte de ses 5 salariés et 17 jeunes volontaires en services civiques, l’association a déjà sensibilisé près de 40 000 jeunes à la laïcité depuis sa création.

    Contact :
    [email protected]
    https://www.coexister.fr/
     

  • "Chrétiens à l’écoute" est un service diocésain créé en 2006. Sensible à la solitude d'un grand nombre de personnes, un groupe de catholiques du diocèse de Lyon a mis en place un service de présence anonyme au téléphone. Cinq bénévoles membres de ce service nous partagent leurs motivations.
    Dans notre société de plus en plus équipée en nouveaux moyens de communication, de nombreuses personnes se sentent isolées et souffrent de ne pouvoir être écoutées dans leurs difficultés à vivre. Il peut s'agir de grand-parents, de malades ou de personnes atteintes par des troubles pychologiques.
    Qui est écoutant ?
    Une personne chrétienne motivée par l’écoute téléphonique. Elle doit être prête à donner un peu de temps pour des permanences téléphoniques intégrées à une équipe d’écoutants. Elle participe aussi aux formations alliant spiritualité et pratique de l’écoute.
    Qui peut appeler ?
    Toute personne homme ou femme croyante ou non qui souffre de la solitude ou de l’indifférence et qui n’a personne à qui parler. Elle peut vivre une détresse matérielle, spirituelle, psychologique… Ou s’interroger sur les valeurs humaines et chrétiennes. Elle peut évoquer un sujet qui lui tient à cœur ou chercher un soutien par la prière.
    Qui répond ?
    Un chrétien bénévole homme ou femme intégré à une équipe d’écoutants formés. Il fait preuve de disponibilité bienveillante et de respect de la liberté d’autrui. Avec une écoute active non directive et sans jugement.

    Contact:
    [email protected]
    Chrétiens à l’écoute
    04 78 81 48 88
    (appel gratuit)
    Permanences assurées de midi à minuit

  • Nos contemporains aspirent au silence qui permet de rejoindre la vie intérieure. C'est le credo de Thierry Janssen dans son nouvel ouvrage intitulé "Ecouter le silence à l'intérieur" publié aux éditions l'Iconoclaste.
    Thierry Janssen est au départ un chirurgien. En 1998, il quitte l’hôpital et part étudier la médecine corps-esprit dans une école américaine. À son retour en France, il devient médecin psychothérapeute et accompagne les patients souffrant de cancers et de maladies chroniques.Ses livres inaugurent un champ nouveau. Aujourd’hui, après six années de silence, il revient avec un nouveau livre qui relie médecine et spiritualité. Il se définit comme un accompagnant psycho-spirituel et vient de fonder l’École de la présence thérapeutique, à Bruxelles, qui forme des soignants à une nouvelle prise en charge de la maladie.
    Il nous invite à entrer avec lui dans l’expérience du silence intérieur. Il présente ce livre comme une prescription spirituelle, un traitement de l’esprit et du corps.
    En racontant son histoire, son rapport à la spiritualité et en nous initiant aux exercices mis au point dans son école,Thierry Janssen guide le lecteur vers une expérience de transformation intérieure.
    Il revient sur son parcours: « Durant plus de trente ans, je me suis efforcé de soulager la souffrance et de favoriser la guérison d’autrui. En tant que chirurgien, puis psychothérapeute et, finalement, accompagnant psycho-spirituel, une fonction qui, selon moi, devrait être assumée par tous les professionnels de la santé".

  • « N’attisez pas la haine ! » Tel est le cri d’alarme que lance Nassera Frugier dans un ouvrage publié aux éditions Salvator. Un cri à l’adresse de la République et des politiques face au profond malaise des cités. 
    Celle qui se définit volontiers comme une « Berbère de banlieue », est née d’une famille de migrants algériens en 1968. Comme tant d’autres, elle a grandi dans un quartier populaire où toutes les conditions de l’intégration étaient alors réunies. Heureuse époque, écrit-elle, douce France où l’ascenseur social fonctionnait encore pour beaucoup...
    Mais aujourd’hui, après des années comme assistante sociale engagée sur le terrain, Nassera Frugier ne reconnait plus ce monde des quartiers, devenus autant de « cités de la peur ». Elle y dénonce la montée du communautarisme et de l’islam radical, l’éclatement des familles et la délinquance des jeunes, les carences éducatives et la ghettoïsation.
    Alors, qui aura le courage de tenter un sursaut pour les transformer, sans céder aux extrémismes ou aux démagogies de toutes sortes ? Qui saura motiver les familles à retrouver leur rôle d’autorité, les femmes musulmanes en particulier ?
    Des pistes existent pour cela. À nos responsables élus et aux citoyens que nous sommes de les saisir sans attendre. Il en va de l’avenir de la République et de notre vivre-ensemble.  

    Nassera Frugier a publié aux Éditions franciscaines Les oiseaux se mirent à chanter (2014), récit de sa conversion au christianisme, et Lyme, cancer de l’âme (2016), qui témoigne de son combat courageux face à la maladie.

  • La maladie psychique est encore un sujet tabou en France. Pourtant, 2 millions de personnes en souffriraient. 
    Un Clubhouse est un lieu de vie créé pour et avec des personnes fragilisées par les effets de troubles psychiques dans le but de faciliter leur socialisation et leur réinsertion professionnelle. Fort de la réussite du Clubhouse Paris, premier Clubhouse français, l’association Clubhouse France a décidé, fin 2015, d’essaimer son modèle sur le territoire national. C’est ainsi que courant 2017, un nouveau lieu d’entraide a ouvert ses portes à Lyon. On en parle avec des salariés du Clubhouse Lyon, Estelle et Sandrine et des personnes accueillies, Denis, Charlotte et Patrice.
    Situé dans des locaux de 255m2, le Clubhouse Lyon compte déjà plus de 70 membres dont 50 actifs. Il offre à des personnes adultes souffrant de troubles psychiques un lieu de vie. Il peuvent y retrouver des pairs pour parler librement dans une ambiance de compréhension, de participation et de partage amical.
    "On n'est jamais complétement guéri, mais on peut se rétablir. On se resocialise lentement. On se rend compte qu'on n'est pas les seuls dans ce cas-là." explique un paticipant. "J'ai retrouvé le goût de vivre et une certaine autonomie" ajoute un autre membre du club.

    L’originalité du clubhouse est triple:
    - Offrir dans un lieu unique les services d’accompagnement indispensables
    - Organiser la mixité de la gestion assurée conjointement par les malades et les salariés
    - Promouvoir une insertion professionnelle innovante et adaptée dans des « emplois de transition »
    La philosophie du Clubhouse s’appuie sur les besoins et les souhaits de ses membres et non sur leurs faiblesses. Elle est fondée sur la conviction que le potentiel inexploité de chacun peut être développé collectivement dans un environnement non-médicalisé.
    Chacun de nous peut un jour être confronté au défi du rétablissement. Peu de personnes l’admette néanmoins nous sommes tous directement concernés car dans nos vies, personne n’est à l’abri d'épreuves.

    L’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) estime que les troubles psychiques affectent une personne sur cinq chaque année et une sur trois si l’on se réfère à la prévalence sur une vie entière. En France, les troubles psychiques sont la première cause d’invalidité et la deuxième cause d’arrêt maladie. Les personnes qui en souffrent subissent stigmatisation et discrimination.
    De la dépression légère à  la maladie psychiatrique handicapante, toutes les personnes impliquées dans le développement de Clubhouse France sont concernées soit directement soit par un ou plusieurs de leur proche.


    Clubhouse Lyon:
    41 rue de l’Abondance
    69 003 Lyon
    Téléphone: 09.80.88.17.48
    Email: [email protected]

  • Ouverte à tous et fidèle aux valeurs telles que la transmission et le partage, la communauté Juive Libérale est installée à Villeurbanne, près de Lyon.
    Le rabbin Haïm Casas est d'origine andalouse. Il anime la communauté avec enthousiasme. Il témoigne de son parcours avec deux membres de la synagogue, Sylvie Fresco et Pauline Colson.
    Fondée au début des années 90 par une dizaine de personnes, cette communauté religieuse regroupe désormais près de150 familles le plus souvent lyonnaises mais venant aussi de la Drôme, de l’Ardèche et de l’Isère. Ces dernières ont fait le choix de se tourner vers un judaïsme où hommes et femmes ont les mêmes droits et devoirs, où les couples mixtes sont accueillis avec leurs enfants et qui privilégie le dialogue inter-religieux.
    Ce lieu de culte mise sur une meilleure visibilité, des activités de qualité, un Talmud Torah dynamique et surtout une ambiance familiale et chaleureuse. 
    D’autre part, un espace est dédié à un centre culturel ouvert à tous. Partenariat avec la Villa Gillet, rencontres intergénérationnelles et régulières avec la mosquée Othmane, mais aussi conférences, cours, débats, voyages, concerts et ciné-café, autant de propositions qui conduisent à l'ouverture vers les autres.

    Pour plus d’informations : 
    http://www.kerenor.fr/

  • La Paroisse orthodoxe roumaine des Saints Martyrs de Lyon et des Saints Archanges est une nouvelle paroisse créée à Lyon en novembre 2018. Elle se réunit dans l’église catholique Saint Côme et Damien, 53 chemin de Fond Rose à Caluire-et-Cuire.
    La communauté orthodoxe roumaine s'est constituée il y a une vingtaine d'années à Lyon. Au départ, il s'agissait de nombreux étudiants roumains venus à Lyon pour étudier. Aujourd'hui, elle compte une centaine de membres et quatre fois plus pour les grandes fêtes.
    Quatre membres de la paroisse témoignent de leur parcours de foi avec le père Minhea Pop. Il est ingénieur informatique, marié et père de trois enfants. Il a été diacre et il est aujourd'hui recteur de la paroisse.
    Florina Popescu est roumaine d'origine et ingénieur informatique.
    Antoine Marçais est français et marié à une roumaine. Il est chercheur en biologie.
    Pascale Ribeyre a été chargée de communication pour le théâtre. Elle est secrétaire de l'association cultuelle orthodoxe des Saints martyrs de Lyon.
    Alexandre Burnel est roumain d'origine, juriste de profession et vit depuis plus de vingt ans en France
    Ils évoquent leur foi, véritable "colonne vertébrale" pour leur vie.

    Liturgie:
    Samedi, vêpres à19h30
    Dimanche, matines à 9h et liturgie à 10h30

    Pour plus de renseignements:
    http://starchanges.fr/

  • Le Prado a été fondé en 1860 à Lyon par le père Antoine Chevrier.
    Il ouvrait alors à la Guillotière, dans un faubourg de Lyon, un lieu pour accueillir les enfants qui, selon ses mots, « n’ont rien, ne savent rien, ne valent rien », afin de leur dispenser gratuitement une instruction et un cathéchisme. C’est ainsi que fut créé le Prado, il y a plus de 150 ans. Une œuvre qui s’inscrit dans le grand mouvement d’éducation des enfants pauvres et en danger, initié au début du XIXe siècle par des religieux, des philanthropes et des pédagogues.
    La famille spirituelle du Prado regroupe aujourd'hui des prêtres, des frères, des religieux, des diacres, des laïcs et des jeunes dans le monde entier.
    Nous donnons la parole à des membres de cette grande famille :
    Régis Charre est curé à Venissieux, volontaire pour s'engager sur une paroisse de banlieue.
    Armando Pasqualotto est italien et assistant du responsable général. Il visite les prêtres du Prado dans le monde entier.
    Gilles Vadon est curé à Saint Priest, volontaire lui aussi pour être sur une paroisse de banlieue.
    Marie-Jo est institutrice et laïque consacrée de l'Institut féminin du Prado. 
    Pierre Boisnard est laïc consacré et très engagé dans son quartier populaire de Saint Fons.
    Ils témoignent tous de leur joie d'accompagner les plus fragiles de la société, sur les pas du Christ.
    Le Prado aujourd’hui reste fidèle aux valeurs de son fondateur en se consacrant à l’accompagnement d’enfants et de jeunes malmenés par la vie. L’objectif est de les protéger et de les accompagner vers la meilleure autonomie possible. Les équipes agissent quotidiennement pour révéler leurs potentiels afin qu’ils retrouvent confiance en eux. Ils pourront ainsi se reconstruire et trouver une place digne dans notre société.

    Pour plus de renseignements: 
    http://www.leprado-france.fr

  • Hier réservée aux hommes, la mission d'aumônier se féminise.
    Présentes à l'hôpital, mais aussi, en prison ou en maison de retraite, ces femmes accompagnent les personnes par une écoute attentive. 
    Béatrice Frossard n'a pas de stéthoscope autour du cou ou de blouse blanche sur le dos. Elle est pasteur de l'Eglise protestante et aumônier d'hôpitaux depuis 3 ans. Elle est engagée à mi-temps au centre Léon Bérard aux côtés des personnes souffrant du cancer et à mi-temps à l'Infirmerie Protestante à Caluire. Elle ne soigne pas les maux du corps, mais cherche à les adoucir par un regard, une parole échangée, une main posée sur celle du patient. 
    Dans chaque chambre visitée, la règle est toujours la même : ne jamais faire de prosélytisme, ne pas imposer un échange spirituel mais y être ouvert s'il se présente.
    « Nous venons d'abord écouter la personne qui souffre, croyante ou pas, catholique, musulmane ou athée. C'est toujours le malade qui décide de nous recevoir ou pas. Nous ne nous imposons jamais. »
    Myriam Préaux est infirmière de profession. Elle est aumônier dans trois maisons de retraite depuis 1 an.. Aucune visite ne se ressemble. L'une peut durer quelques minutes, l'autre une heure, voire plus. « On prend toujours le temps nécessaire. Il arrive fréquemment que les personnes âgées nous racontent leurs souvenirs, nous parlent de leur état de santé, de leurs proches... Ces conversations même anodines font toujours du bien.
    Quelquefois, il nous arrive d'aborder la question de la mort. Mais c'est toujours à leur demande, je n'impose rien."
    Deux missions de proximité pour alléger le quotidien des malades et des personnes âgées.