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Et me revoilĂ derriĂšre mon micro. Il y avait eu un Ă©pisode #00, celui de la genĂšse de lâhistoire. Et il y aura donc bien, mĂȘme si le temps a un peu (beaucoup) passĂ© depuis, un Ă©pisode de fin, le #45! Un Ă©pisode pour vous remercier. Un Ă©pisode pour vous faire entrevoir la suite.
Je suis trĂšs heureuse de vous retrouver le temps de ces quelques minutes, avec mon petit objet fĂ©tiche de nouveau entre les mains. NâhĂ©sitez pas Ă continuer Ă faire tourner lâhistoire de mon Robin. Je la laisse en ligne pour une durĂ©e indĂ©terminĂ©e, et jâespĂšre quâelle aidera encore beaucoup dâautres familles.
Et puis, si le cĆur vous en dit, je vous donne rendez-vous pour la suite de mes aventures: dĂšs maintenant sur Instagram sur @envol.paris, et trĂšs bientĂŽt dans vos oreilles avec ENVOL -Le podcast, sur toutes vos plateformes d'Ă©coute.
JâespĂšre vous y retrouver nombreux, et surtout nombreuses! Ă trĂšs vite. Et d'ici lĂ , prenez soin de vous.
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"« Du chaos naissent les Ă©toiles », a dit un jour Charlie Chaplin. Et mon amour inconditionnel pour cet enfant mâa poussĂ©e Ă braver le chaos pour trouver les Ă©toiles."
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Fehlende Folgen?
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"Magie. Miracle. Bonheur."
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"Et nous repartons donc avec une nouvelle « to do » sous le bras, dâun autre genre que celle de Johanna. Mais tout aussi compliquĂ©e Ă mettre en Ćuvre."
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"« Votre situation est trĂšs claire pour moi. Le diagnostic est simple, et câest lâaffaire dâune semaine, dix jours tout au plus, pour que tout rentre dans lâordre ». Je regarde mon compagnon, que cette phrase vient de clouer sur place."
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"Robin respire enfin en toute autonomie. Mais tout nâest pas fini. Je sais quâil me reste un dernier combat Ă mener, et pas des moindres : celui de lâaider Ă retrouver des nuits de sommeil convenables."
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"Alors jâai peur bien sĂ»r. Encore une fois, nous marchons sur des Ćufs. Mais je suis sĂ»re de moi. Je sais que câest la voie Ă suivre. Et je ne veux rien en travers de mon chemin."
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"Mais Ă ce moment-lĂ , je comprends quâelle a atteint ses limites. Quâelle est prisonniĂšre dâune certaine maniĂšre de penser et dâenvisager la guĂ©rison. Et quâelle ne veut pas - ou ne peut pas - aller plus loin que son protocole habituel."
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"Pour corroborer mon sentiment, jâai la bonne idĂ©e dâaller regarder sur internet les effets secondaires des fameux corticoĂŻdes inhalĂ©s par Robin. Rien de mieux pour paniquer, de toute Ă©vidence."
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"Câest parti pour une course poursuite qui nâest pas sans nous rappeler celle qui nous a fait vivre un vĂ©ritable cauchemar la derniĂšre fois que nous avons quittĂ© en catastrophe ces mĂȘmes amis. Jâai lâimpression que lâhistoire se rĂ©pĂšte."
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"Je nâai quâune peur, câest que Robin sâarrĂȘte de respirer sous mes yeux. Encore. Encore cette peur qui me quittait peu Ă peu, jour aprĂšs jour, semaine aprĂšs semaine. Et qui me revient Ă ce moment-lĂ comme un boomerang en pleine figure."
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"Et jâai donc lâesprit libre pour mâatteler Ă la derniĂšre tĂąche qui mâincombe avant de partir en vacances. La derniĂšre. Mais pas des moindres. Celle de finaliser la nĂ©gociation de mon dĂ©part de lâentreprise au sein de laquelle je suis salariĂ©e."
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"Et la date de notre derniĂšre Ă©tape avant les grandes vacances arrive enfin ! Un rendez-vous dâhomĂ©opathie bloquĂ© depuis presque six mois [...]."
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"LâĂ©tĂ© approche. Mais nous, nous nâavons pas encore fini notre parcours du combattant."
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"Le premier jour du reste de notre vie."
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"Tout un programme. Tout un nouvel univers. Toute une nouvelle façon de penser."
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"Le timing est serrĂ©. Mais je sais que ce nâest pas un hasard. Que les Ă©toiles sont en train de sâaligner. Et que câest maintenant."
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"Ce jour-lĂ , le 6 Juin, jâai avec Guillaume une conversation qui me bouleverse, lors de laquelle il me dit que lâasthme est lâune des pathologies infantiles les plus angoissantes pour les parents [...]."
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"Cette vie ressemble Ă un parcours dâobstacles. Ă un champ de bataille. Flore a raison. Je dois faire un point. Laisser derriĂšre moi ce qui nâest plus utile, et me poser les bonnes questions pour continuer dâavancer."
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"Je rĂ©alise que la mĂ©decine classique traite les consĂ©quences. Pas les causes. Que la mĂ©decine classique ne fait plus de prĂ©vention. Quâelle est interventionniste. Les mĂ©decins font toujours leur serment dâHippocrate, mais jâai lâimpression quâils en ont oubliĂ© certains de ses prĂ©ceptes hygiĂ©nistes, notamment celui qui dit : « que ton alimentation soit ta premiĂšre mĂ©decine »."
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