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  • Valère commence ses études d'ingénieur à l'ECAM et va jusqu'au Bachelier; il y a appris la rigueur et le calcul. Il n'imaginait pas cependant que son futur métier incluait tant d'administration, c'est sa première surprise.Il décide ensuite de s'orienter à l'UMONS vers l'architecture laissant ainsi place à sa créativité car c'est cet aspect en particulier qui l'attire le plus.En troisième année il fait un stage chez Thomas & Piron, sur chantier, il y découvre le monde de la construction avec la casquette de "gestionnaire de chantier".L'année suivante, un stage chez CIT blaton lui a permis, dans un bureau d'études, de faire plus du calcul, de la conception et du dimensionnement.Dans les deux cas, il est considéré et la confiance lui est rapidement accordée. Certes la crise sanitaire a rendu sa recherche de stage difficile, mais c'est pourtant ces deux périodes en entreprises qui lui permettent d'identifier le métier qui l'attire : gestionnaire de chantier ou ingénieur stabilité en bureau d'études.Nous le questionnons sur la parité hommes-femmes, les préoccupations environnementales mais aussi sur la diversité, l'inclusion. Ici Valère met en lumière un paradoxe rarement sous les projecteurs quand on parle d'égalités des chances... En effet, une société peut être désireuse de favoriser l'inclusion, mais quid des lois et des administrations qui sont lourdes et finissent par désavantager les candidats issus de l'immigration ? Ne sommes-nous là pas face à une aberration ? Si le Visa devient l'élément qui finit par discriminer dès les études.... ne faut-il pas revoir un système obsolète face aux besoins de talents du secteur ? Nous parlerons même des salaires miniums imposés par l'État...De temps en temps, même si Valère apporte beaucoup de positif dans son témoignage, nous nous devons de pointer des choses qui ne peuvent que / doivent s'améliorer. À condition, d'abord, d'en prendre conscience.... la parole est à vous !La ligne du temps de ce podcast (via Youtube):00:40 Introduction00:47 Salutations à la ville de Mons (on mentionne la friterie Chez Bily)01:10 Questions Vrai / Faux02:12 Pourquoi as-tu répondu "faux" à la question "mes études, mon métier c'est tel que je l'imaginais"03:06 Michaël va contextualiser en précisant que Valère a fait une partie à l'ECAM, puis est allé à l'UMONS; peux-tu nous expliquer les grandes différences entre les deux ?04:13 Allons-nous voir des fonctions s'ouvrir pour alléger ce métier en reprenant la partie administrative ?04:46 Deux stages, l'un chez Thomas & Piron, l'autre chez CIT Blaton, quelles différences entre les deux entreprises ?05:48 Est-ce que cela t'a permis de t'ouvrir les yeux sur le type de fonction et département où tu souhaites évoluer ?06:11 Pourquoi as-tu répondu par l'affirmatif quand nous avons demandé si tu t'es senti accompagné dans ton intérêt lors de tes stages ?07:25 As-tu déjà une vision sur le type d'entreprises qui te plairait pour la suite ? Déjà été contacté ?07:55 Si on devait décrire en un mot ce qui te passionne le plus ? ce serait lequel ?08:14 Comment as-tu vécu la crise sanitaire en tant que jeune ?09:27 Les hommes et les femmes dans le secteur : pas de différence ?10:40 L'environnement : une réelle préoccupation ?12:09 Les valeurs dans les sociétés sont-elles réellement assumées sur le terrain ?12:52 Une question brutale de Michaël : "en tant que noir, est-ce que tu t'es déjà senti, durant tes études et même durant tes stages, observé avec un regard différent ? Est-ce que tu sens que tu dois peut-être faire deux fois plus qu'un autre ?"13:27 Est-ce que tu recommandes le secteur aux jeunes et qu'est-ce qui t'y a attiré, quels messages souhaites-tu leur passer ?14:52 Pour toi c'est un objectif de retourner au Cameroun, d'avoir un impact local et de ramener les compétences acquises ici ?15:40 Qu'est-ce qui te fait hésiter quand il s'agit d'affirmer que tout le monde à sa chance dans le secteur ?18:04 Face à la robotisation, le digital : comment perçois-tu les choses ?18:01 Clôture de l'interview et remerciements19:05 Un message pour les étudiants qui nous écoutent.

  • Théo Nicolas & Virgile Vandeput nous explique ce qu’ils font au quotidien et les débuts dans leur carrière. Leurs premières impressions sont un excellent moyen de cibler ce qui change, ou pas, dans le secteur.Michaël Dumbi et Michel Godart ont eu cette opportunité de les questionner sur des sujets importants : la parité hommes - femmes, l'environnement, les valeurs et l'évolution des technologies.Dans ce podcast vous verrez que le secteur de la construction peut offrir aux jeunes de superbes opportunités et réserve aussi des surprises.Ce podcast donne du sens, inspire, encourage et nous apporte un vent de fraîcheur !Allez go ! 20 minutes pour motiver un jeune quand on sait que 40 000 postes sont à pourvoir d'ici 2030…on relève le challenge ?Partagez, commentez ce podcast !La ligne du temps de ce podcast :00:26 Introduction. 00:43 Présentation des invités et annonce de la rubrique Vrais/Faux. 01:05 Mes études, mon métier : c'est tel que je l'imaginais. 01:11 Mes stages ont joué un rôle majeur dans mon orientation de carrière. 01:17 Lors de mon stage je me suis senti accompagné dans mon intérêt. 01:25 Hommes - Femmes : pas de différence dans le secteur. 01:32 L'environnement c'est une réelle préoccupation. 01:36 Les valeurs des sociétés sont réellement assumées sur le terrain. 01:48 Je recommande le secteur aux jeunes. 01:51 On a tous sa chance dans le secteur02:26 Pourquoi Virgile à répondu faux à la première question02:48 Michaël invite Virgile à présenter la société pour qui il travaille et ce qu'il fait au quotidien03:14 Michaël demande de préciser : secteur tertiaire ? Industriel, civil ?03:34 Pourquoi Théo a répondu faux à la première question ?04:02 Qu'est-ce qui a conduit Théo au secteur04:34 Michel rebondit sur le fait que Théo connaisse le secteur par ses parents : une surprise avec une autre approche ?04:44 Théo est invité à enchainer sur sa seconde réponse concernant le rôle de son stage dans son orientation de carrière06:12 Virgile nous parle aussi de ses stages.07:04 Pourquoi Virgile ressent une différence entre hommes et femmes ? Son constat07:53 Quelle différence voit Théo de son coté et pourquoi tous deux déplorent ces constats08:35 La question sur l'environnement est particulièrement ciblée pour Théo au vue de ses études : il nous explique avec les nuances et donne un exemple10:22 Pour Virgile la solution passe par l'enseignement10:44 Michel demande à Théo si les leviers financiers ne sont pas les choses à mettre en place en priorité12:06 Michaël demande à Virgile de nous expliquer son quotidien12:54 Les nouvelles technologies vont-elles permettre de faire des offres plus en adéquation avec les attentes des clients ?13:52 On va parler des valeurs et pour cela Michaël invite Théo à préciser ce qu'il fait : 14:0114:57 Les plus grandes difficultés pour Théo : sensibiliser15:13 Les sociétés interpellées sont-elles attentive à la démarche ?15:40 Avec un grand enthousiasme Théo et Virgile recommandent le secteur aux jeunes, Virgile nous explique pourquoi16:19 Et pour Théo ?17:24 Michaël intervient et fait référence à une étude qui précise le nombre de postes à pourvoir pour 2030 ! 40.0000 personnes !18:28 Le mot de la fin pour Virgile18:44 Le mot de la fin pour Théo18:59 Comment remercier nos invités pour leur partage, comment encourager ce projet et nous aider : un simple like, un partage du podcast, parlez-en autour de vous !Ces podcasts sont publié chez une majorité d'hébergeurs connus (Simplecast, Soundcloud, Mixcloud, Acast, Anchor) de podcasts, sur les répertoires (plus d'une quarantaine: Google Podcasts, Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Tunein, ...etc) mais aussi sur InstagramTV et sur Youtube. Sur Youtube, si un descriptif des temps est présent dans la description de vidéo (voir plus), un simple click sur la minute annoncée vous conduit directement aux échanges qui vous intéresse particulièrement. Sites internet :ULBHELHa

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  • En répondant aux diverses questions de cette Saison 3 sur l’environnement bien sûr, mais aussi sur la place des femmes et des jeunes dans la construction, Theo Tenret, Bim Junior Engeneer chez Besix revient sur son parcours, les envies et les choix qui l’ont conduit jusque là et sa volonté de participer à déconstruire les stéréotypes entourant la construction auprès des jeunes.

  • Si les choses roulent correctement, les femmes sont tout de suite respectées. Ségolène Vermeulen, conductrice de travaux chez Eiffage, revient au micro d’EOX Frequency pour évoquer, en compagnie de Marie-Pascale Branteghem, assistante pour le chantier de la gare de Mons, le digital, la place de la femme, la gestion des déchets ou encore l’économie circulaire. Ca fleure bon la passion et cette envie de laisser son empreinte dans le monde.

  • Depuis ses débuts EOX Frequency met en lumière la place de la femme dans la construction, son image, ses combats. Aurélie Chatry y travaille depuis presque 20 ans et confronte son point de vue avec Elise Loor qui vient de finir ses études à l’ECAM, en plein confinement. Conductrices de travaux, leur affection pour le terrain les a certainement menées à trouver rapidement leur place. Une interview loin des clichés signée Michel Godart et Michaël Dumbi.

  • Une étape à franchir si l’on veut rester compétitif, pas si complexe si l’on s’y plonge, et dont on tire rapidement des bénéfices substantiels en termes de temps, d’énergie et de coordination des différents intervenants sur un chantier. Une interview éclairante signée Michaël Dumbi et Michel Godart.

  •  Ingénieur civil de formation, il est passé par tous les échelons afin de circonscrire le mieux possible les besoins du métier. Passionné, il évoque ses grands chantiers comme la gare centrale ou l’école de commerce Solvay, les principaux défis du secteur et les grands axes de la gestion de chantier.Socatra SACFE BrabantStrabag 

  • Si plus de 400 personnes travaillent pour l'entreprise Eloy, elle est en permanence en recherche de nouveaux talents pour agrandir ses équipes.C'est surtout le savoir-être qui nous importe, le savoir-faire lui, s'acquiert confirme Pierre-Etienne Eloy, enthousiaste, au micro de Michel Godart et Anne-Sophie Dekeyser.Comment décririez-vous votre engouement pour ce secteur ?Travaillez dans la construction ça veut dire quoi ?Quels ont été les postes qui vous ont le plus plu dans votre carrière ?Votre entreprise réunit plus de 400 personnes, n’est-ce pas difficile de conserver un certain esprit familial ?Quels sont d’après vous les points d’attention sur lesquels un jeune qui cherche un emploi dans la construction devrait s’attarder ?Si vous aviez 20 ans aujourd’hui, pensez-vous que votre carrière prendrait la même tournure ?Quelles sont les compétences les plus importantes pour entrer chez Eloy aujourd’hui ?Quelle est la place des femmes chez Eloy ?

  • Si plus de 400 personnes travaillent pour l'entreprise Eloy, elle est en permanence en recherche de nouveaux talents pour agrandir ses équipes.C'est surtout le savoir-être qui nous importe, le savoir-faire lui, s'acquiert confirme Pierre-Etienne Eloy, enthousiaste, au micro de Michel Godart et Anne-Sophie Dekeyser.Travailler dans la construction aujourd’hui concrètement ça veut dire quoi ?En 20 ans vous avez vu l’entreprise prendre 4x sa taille, comment dès lors conserver cet esprit familial qui vous a tant porté ?Travailler avec ses cousins ne comporte-t-il pas certaines difficultés ?Comment expliquez-vous votre ascension fulgurante ?Parvenez-vous à conserver un contact avec le terrain en assurant vos obligations managériale d’une entreprise employant plus de 400 personnes ?Qu’est-ce qu’un bon manager selon vous ?Vous êtes en permanence en recherche de nouveaux talents, quels sont les profils qui vous intéressent le plus ?Vous cherchez 3 directeurs ou directrices, environnement et déconstruction, bâtiment et infrastructure, quelles sont les principales qualités qui vont attirer votre attention ? 

  • Coraline Guyot, project manager au sein du groupe Eiffage, évoque sans langue de bois et avec passion son parcours et sa réalité de femme sur chantier après la crise du Covid. Avec un père architecte, elle se dirigera naturellement vers des études d’ingénieure à l’école polytechnique de Louvain qui, même si elles n’ont pas été très épanouissantes, l’on menée a exercer un métier dont l’aspect tangible et varié donne sens à sa carrière.Les sites Internet : Valens Groupe Eiffage

  •  Si ces questions peuvent sembler anodines, elles sont primordiales pour les concepteurs des bâtiments comme Sophie Lefert, responsable des études Design and Build chez CIT Blaton. Dans une interview signée Michel Godart et Michaël Dumbi, elle évoque les impératifs de demain, de l’impact du Covid à la digitalisation du secteur, en passant par les techniques modulaires, la diversité des profils et le développement des techniques naturelles. 

  • Après avoir choisi de devenir métreur deviseur, un métier en pénurie en Belgique, il intègre l’entreprise en tant que stagiaire avant de devenir ingénieur méthode planning. Un parcours inspirant qui démontre la grande diversité des métiers qui composent le secteur de la construction, ainsi que l’accueil et la confiance réservés à la jeunesse, loin des idées reçues.Le site de l'IEPSCF de NamurLe site de Thomas & Piron

  • Genre, environnement, cohérence entre les études et le monde de l’entreprise, ils abordent tout sans langue de bois avec une véritable passion pour le secteur et la quête de sens qui caractérise leur génération. Découvrez leur vécu commun et ce qui les démarque en fonction de l'orientation prise, de l'établissement choisi, des stages et de l'approche globale au micro de Michaël Dumbi et de Michel Godart.

  • Et si on reprenait le réflexe bateau ?L’entreprise belge Shipit propose une flotte de bateaux équipés de grues pouvant remplacer chacun jusqu’à 60 camions. Une solution à la fois écologique et économique basée sur une logistique extrêmement performante qui permet aux bateaux d’être toujours pleins, même pour les commandes effectuées la veille pour le lendemain. Une solution aussi pour résoudre les problèmes de stockage auxquels sont confrontés de nombreux chantiers. Découvrez William Doks et Marc, de Shipit, au micro de Michaël Dumbi fondateur d’EOX Frequency et de Michel Godart, The Podcast Factory Org.

  • Thierry Hoslet, DRH chez Gillion, entreprise active dans le secteur de la construction, évoque les grandes accélérations liées à la crise du Covid et ses enjeux. La clé ? Garder un contrôle humain sur l’analyse des données, préserver le sens pour provoquer l’identification à l’entreprise et partager les compétences. Écoutez ses propos enthousiastes et ses solutions originales au micro de Michaël Dumbi et Michel Godart pour Eox Frequency, les premières ondes dédiées au secteur de la construction.

  • Thierry Hoslet, DRH chez Gillion, entreprise active dans le secteur de la construction, évoque les grandes accélérations liées à la crise du Covid et ses enjeux. La clé ? Garder un contrôle humain sur l’analyse des données, préserver le sens pour provoquer l’identification à l’entreprise et partager les compétences. Écoutez ses propos enthousiastes et ses solutions originales au micro de Michaël Dumbi et Michel Godart pour Eox Frequency, les premières ondes dédiées au secteur de la construction.

  • Dans ce podcast :On parlera valeurs ; humain ; jeunesse ; attentes du secteur ; difficultés à attirer des talents ; l’uberisation du secteur ; nouvelles technologies et DRH ainsi que l’IA.Nous terminerons par une discussion autour de l’implication de Louis de Waele au sein de l’ADEB-VBA ainsi que ses implications personnelles.Vanessa nous expliquera également ce qui pourrait être mis en œuvre pour rendre le secteur plus attractif et nous parlera du projet mis en place par l’ADEB, "More Than Building" .Texte : Michaël DumbiSite Les Entreprises Louis De Waele 

  • EOX Frequency vous présente sont 50ième épisode où nous parlerons du digital et de sa place dans le secteur de la construction.Ce 50ième épisode est l’occasion pour nous de vous remercier pour votre soutien, votre suivi et votre écoute : nous avons dépassé les 10.000 écoutes uniques !EOX Frequency prend son envol grâce à vous, c’est pourquoi nous avons décidé de créer pour vous une page Linkedin où vous pourrez retrouver tous les podcasts, photos et témoignages. N’hésitez pas à basculer sur cette page pour continuer à nous suivre !Nous enchainerons avec deux épisodes par mois.Après un bref passage dans le futur, revenons-en au présent avec notre 50ième épisode : vous y retrouverez André Bake fondateur d’Idealis Consulting et sa collaboratrice Virginie De Hoe qui nous parleront de la digitalisation et d’un nouveau partenariat avec Michaël Dumbi qui a pour but d’accompagner les entreprises du secteur dans leur transformation digitale.EOX Frequency «  les ondes de la Construction », nous continuons à diffuser les ondes du secteur pour les acteurs d’aujourd’hui et de demain.

  • L’évolution des technologies se multiplie et la capacité de l’humain s’adapte. On parle aussi de l’intelligence artificielle qui peut, peut-être un jour, remplacer complètement le métier d’architecte, qui sait ?Comment est-ce qu’on appréhende la technologie dans la fonction de ressources humaines et comment est-ce qu’on voit le futur ? Nos invités s’expriment et partagent leurs avis à ce sujet mais nous aimerions connaitre votre avis aussi ! Oui, parce que nous sommes dans une société qui tend vers le digital. Selon Gregory, le recrutement passe à 80% par du feeling. Il n’y a aucun algorithme car ce sont des Ressources Humaines. Rien ne pourra changer les perceptions humaines.Ce qui a changé avec le Covid, dans le métier de Gregory, ce sont les entretiens via Teams qu’il essaye d’éviter. L’approche, la posture et la manière dont il serre la main, tous ces aspects-là joue pour Gregory. Mais certains outils digitaux peuvent nous permettre d’identifier à aller encore plus vite et mieux. Michaël donne sa propre opinion sur les RH et digital du fait que l’avènement du digital dans le métier RH va changer le rôle du RH en entreprise. Est-ce qu’on va être remplacé par le digital ou cela va plutôt nous aider ? Alexandre donne sa vision sur la digitalisation. Le côté administration peut être davantage digitalisé. Si c’est pour remplacer cet aspect feeling et essayer de déterminer ça par des algorithmes, Alexandre n’y croit pas. Quid de LinkedIn ? Sans ça, comment faisaient les autres avant ? Chacun à sa vision de la méthodologie en ce qui concerne les premières interviews. Un débat animé entre Michaël, Alexandre et Gregory prend place dans ce podcast. Quel est le ressenti du candidat là-dedans ? Des tests, des questions, des barrières qui sont censé être naturel. Manque-t-il de l’humanité dans la société ? On est dans une société qui tend vers le digital mais voir comment on le fait et pour qui on le fait. Vous êtes curieux ? Continuez à écouter la suite du podcast pour connaitre les opinions des invités et partagez votre avis. Et vous, qu’est-ce que vous en dites ? Quel est votre avis à ce sujet ? Nous aussi on a envie de savoir !  Texte : Audrey Keller.

  • Gregory Losson, gérant d’Archibald. Très vite, l’immobilier lui est tombé dessus. Il a eu tellement de demandes dans l’immobilier qu’il s’est spécialisé dans ce secteur. Quant à Alexandre Falletta (Concrete), recruteur en construction et immobilier, il est un ancien collègue de Michaël qui revient à notre micro pour partager ses pensées autour du recrutement et de la digitalisation.Recruteur ou conseiller carrière ? Grégory se voit plutôt comme un accompagnateur. Il aime cette image de quelqu’un qui a cette main dans le dos de la personne pour l’aider à mieux voir les choses et à l’accompagner dans un processus qui n’est pas tout le temps facile. L’objectif ce n’est pas de changer qui que ce soit. « Mon métier c’est être au courant des opportunités et de le relayer aux bonnes personnes. »Alexandre, lui, se voit plutôt comme un conseiller. « Mon travail c’est de donner un maximum d’informations concrètes sur l’un et l’autre pour être sûr d’avoir l’image la plus précise possible de la personne du côté de l’entreprise vers le talent et vice-versa. Mon rôle c’est de les conseiller dans les questions à se demander, à l’un et l’autre, et d’aller toucher là où ça fait mal. »Michaël pense que son métier a 3 facettes :  Recruter, Sélectionner et Intégrer. Un conseiller se doit de pouvoir dire non autant à un candidat qu’à une entreprise. C’est là qu’on fait la différence par rapport à un recruteur, affirme-t-il. C’est ce qui différencie ces trois hommes dans ce podcast. Ils vont plus loin que simplement regarder un CV ou s’arrêter sur un élément qui est écrit dans le CV. Les gens sont en attente de cette nuance.Les questions taboues, ce qu’est le rôle d’un conseiller / accompagnateur et les changements de paradigme dans la société sont abordés dans la première partie de ce podcastTexte : Audrey Keller.