Episodes

  • Architecte d’intĂ©rieur et designer, diplĂŽmĂ©e de l’Ecole Camondo, ChloĂ© NĂšgre a fondĂ© son studio en 2015.
    Cela fait plus de 2 ans que j’accompagne ChloĂ© et son Ă©quipe, et c’est certainement l’un des Ă©pisodes les plus personnels.

    J’avais Ă©videmment envie de parler de son parcours et d'aborder les profonds shifts qu’elle a su opĂ©rer pour passer au niveau supĂ©rieur, grĂące Ă  son leadership grandissant.

    Elle raconte notamment :

    📐 Comment et pourquoi elle a fondĂ© son studio Ă©ponyme

    📐 Les difficultĂ©s rencontrĂ©es Ă  chaque Ă©tape stratĂ©gique

    📐 Quels projets, quelles publications dans la presse ont Ă©tĂ© des leviers de croissance

    📐 Et surtout comment elle s’est entourĂ©e, ce qui est selon moi l’un des piliers de son Ă©volution.

    Si j’ai autant attendu avant d’interviewer ChloĂ©, c’est parce que je voulais que cela coĂŻncide avec le lancement de Laclaux, sa marque de mobilier, en association avec François-Xavier Fonbonnat.

    C’est une entreprise Ă  mission, on en parle un peu dans cet Ă©pisode et on continuera le rĂ©cit avec François-Xavier, qui sera l’invitĂ© du 15 janvier 2025.


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  • Petit-fils de GrĂ©gory Salomon, nĂ©gociant en fourrure et fournisseur des plus grandes maisons de couture, et fils d’Yves Salomon, qui a fait Ă©voluer l’entreprise familiale pour en faire une marque de luxe, Thomas Salomon est bien plus qu’un fils de.

    Lorsque je suis allĂ©e dans leurs bureaux-ateliers, 3 CitĂ© Paradis Ă  Paris, je n’ai pas rencontrĂ© Yves. Mais j’ai eu l’impression qu’il Ă©tait lĂ .

    Cela fait 20 ans que Thomas travaille aux cĂŽtĂ©s de son pĂšre, et qu’il a su naturellement prendre sa place — en parfaite lĂ©gitimitĂ© grĂące Ă  son travail de fond, son implication et sa vision.

    Dans cet entretien, Thomas nous raconte notamment :

    đŸȘĄ Comment il est entrĂ© dans l’entreprise avec son premier stage, qui aurait pu ne pas se faire !

    đŸȘĄ Sa collaboration avec son pĂšre et la rĂ©partition des rĂŽles

    đŸȘĄ Le positionnement et le dĂ©veloppement de la marque, les choix stratĂ©giques et les shifts qu’ils ont dĂ» opĂ©rer pour garantir leur stabilitĂ©

    On a parlé chiffres, on a parlé retail et wholesale, et on a aussi évidemment parlé de la fourrure, qui est trÚs controversée.

    Et du Resource Pact qui signe l’engagement de la maison dans une production transparente, Ă©thique et raisonnĂ©e.

    Thomas Salomon est l’illustration qu’une maison de luxe française ancrĂ©e dans la tradition et l’artisanat, peut — et doit — innover en permanence, gagner en agilitĂ©, aussi bien dans la crĂ©ation qu’au niveau opĂ©rationnel.

    Pour traverser encore de nombreuses décennies.


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  • Adrien Gloaguen est hĂŽtelier, prĂ©sident fondateur du groupe Touriste et de Campings LibertĂ©.

    Avec actuellement 7 hĂŽtels Ă  Paris, 1 camping Ă  Landrellec en Bretagne et 1 autre Ă  Lacanau en Gironde, le but est, je cite : « d’accueillir des voyageurs, des touristes, dans le meilleur cadre qui soit, pour leur offrir la meilleure expĂ©rience possible, au prix le plus juste ».

    Adrien a commencĂ© trĂšs jeune, dans un secteur extrĂȘmement concurrentiel et trustĂ© par les grands groupes hĂŽteliers.

    C’est en prenant le contre-pied de ce marchĂ© qu’il a innovĂ© en proposant une offre un peu dĂ©calĂ©e, surtout dans un excellent rapport qualitĂ©/prix, et en faisant appel, dĂšs le dĂ©but, Ă  des dĂ©corateurs.

    Et depuis, il a gagné le respect de toute la profession.

    Ensemble, nous avons notamment parlé :
    - de l’identitĂ©, des valeurs et de l’indĂ©pendance du groupe qu’il a fondĂ© ;
    - de l’équipe qui oeuvre Ă  ses cĂŽtĂ©s, et qui continue de se dĂ©velopper ;
    - et des indicateurs du secteur de l’hospitalitĂ©.

    Adrien Gloaguen est un entrepreneur audacieux, curieux et respectueux — et clairement un touriste cool, et fier de l’ĂȘtre !


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  • I’ve started this podcast almost a year and a half ago and I very much enjoy it.

    I initially wanted to offer a good balance of French and English content — however, being in France, I have to say that we mostly have a french-speaking audience so I opted for satisfying the greatest number ;)

    But I love speaking English and I’m all for being more and more inclusive.
    So, here’s to my english-speaking audience all over the world!

    And to the French who enjoy the podcast so much and wish to practice their English, that they’re up for listening to this solo summer episode :)

    When I launched the podcast in March 2023, the first episode was a way of introducing myself and giving a little background.

    This is what this solo episode is about, with an extra flavour. Enjoy!


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  • Comme elle le dit dans son livre La RĂ©conciliation (paru aux Ă©ditions Marabout en 2019), « on n’est pas le mĂ©tier qu’on fait ».

    Et ça tombe bien, car malgré nos tentatives, on ne sait pas vraiment définir son métier. Car elle en a plusieurs.

    Journaliste, autrice, professeur de yoga et mĂ©ditation, organisatrice d’évĂ©nements,
 Lili Barbery-Coulon est en quelque sorte un canal de transmission.

    Elle transmet sa vision, ses valeurs ; elle ouvre la voie, elle suscite l’introspection ; elle partage le bon et le beau.

    Sachant qu'elle a déjà parlé de son parcours et écrit sur le sujet, nous avons commencé par aborder la pleine présence, afin de laisser encore plus de place à la spontanéité au cours de notre entretien.
    Cela Ă©tant, nous avons longuement discutĂ© Lili et moi, et nous avons eu l’opportunitĂ© de parler en dĂ©tail de ses activitĂ©s, de son modĂšle Ă©conomique ; mais aussi :

    De concentration à l’ùre du digital ;

    D’émotions ;

    D’influence ;

    De marque personnelle et comment l’incarner ;

    Et de son envie de replacer le doute au centre de sa pensée.


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  • Si vous commencez par cet Ă©pisode, je vous invite Ă  Ă©couter la premiĂšre partie dans laquelle nous avons parlĂ© du parcours de CĂ©cilia Mergui avant qu’elle ne dĂ©cide de racheter et faire renaĂźtre la marque BienaimĂ©, fondĂ©e par Robert BienaimĂ©, parfumeur.

    J'ai été tellement captivée par son histoire et l'histoire de la marque, que nous nous sommes laissées entraßner sans voir le temps passer.
    Nous avons donc enregistrĂ© Ă  deux reprises, d'oĂč cette diffusion en deux parties.

    Si vous avez déjà écouté le précédent épisode, bienvenue dans la suite de cette merveilleuse histoire!

    CĂ©cilia nous parle de sa position d’entrepreneur, de son Ă©quipe et ses partenaires, de ses choix stratĂ©giques, de ses dĂ©cisions plus empiriques, des contraintes qu’elle s’impose
 et du sens profond de son projet.


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  • CĂ©cilia Mergui a fait renaĂźtre la marque de parfums et cosmĂ©tiques, BienaimĂ©.

    FondĂ©e par Robert BienaimĂ© en 1935, cette marque Ă©ponyme a une histoire trĂšs forte qu’il Ă©tait indispensable pour CĂ©cilia de conserver, tout en dĂ©veloppant de nouveaux produits.

    Et dans la seconde vie de BienaimĂ©, je trouve que l’on ressent vraiment ce lien au passĂ© sans ĂȘtre passĂ©iste, une vraie harmonie entre histoire et innovation.

    Nous avons longuement Ă©changĂ©, Ă  tel point que nous n’avons pas eu le temps de finir lors du premier enregistrement et j’ai donc optĂ© pour un Ă©pisode en 2 parties, dont la chronologie s’est tout naturellement installĂ©e.

    Dans cette premiĂšre partie, nous commençons par revenir en dĂ©tail sur le parcours de CĂ©cilia — ses Ă©tudes et ses diverses expĂ©riences professionnelles, jusqu’à son aventure extraordinaire avec BienaimĂ©.

    Puis nous avons abordé le rachat de la marque, les levées de fonds, les challenges de fabrication et de production, la composition des produits, la direction olfactive, la direction artistique, la communication


    Bref, tous les aspects du lancement de cette marque.

    Et rendez-vous dans la seconde partie pour en apprendre plus sur l’équipe, la boutique, la commercialisation, et les perspectives de dĂ©veloppement.


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  • Rencontre avec Marie WeltĂ©, fondatrice de @maisonlabiche đŸȘĄ

    Précurseur dans la personnalisation de t-shirts avec broderie, Maison Labiche a, depuis, développé un vestiaire féminin, masculin et pour enfants.

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    Marie a toujours aimĂ© faire et crĂ©er avec ses mains. C’est d’ailleurs elle qui brodait Ă  la main les premiers t-shirts — comme celui que j’avais achetĂ© au lancement de la marque il y a prĂšs de 15 ans.

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    Dans cet Ă©pisode, auquel Marie souhaitait consacrer le temps nĂ©cessaire Ă  l’approfondissent de nombreux sujets, nous avons notamment abordĂ© :

    đŸ§”Son cursus et les diffĂ©rences entre une Ă©cole française et une universitĂ© amĂ©ricaine
    đŸ§”Le nom de la marque

    đŸ§”La structure et la croissance de l’entreprise

    đŸ§”Le recrutement et le dĂ©veloppement des managers et collaborateurs.trices de MLB

    đŸ§”Les produits : conception, qualitĂ©, commercialisation, communication

    đŸ§”La posture de chef d’entreprise

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    Musique et rĂ©alisation đŸŽŒ @philippe_drevet
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  • Photographe autodidacte, Matthieu Salvaing vit Ă  Paris et travaille dans le monde entier.

    Il nous raconte comment il a commencĂ©, trĂšs jeune ; et comment les rencontres ont jalonnĂ© sa carriĂšre, jusqu’à ce qu’il se spĂ©cialise assez naturellement en architecture, design, voyage et lifestyle.

    Si l’on peut dire que Matthieu Salvaing rĂ©alise des portraits des lieux qu’il photographie pour les plus grands architectes, les magazines les plus rĂ©putĂ©s et pointus, il est Ă©galement un portraitiste trĂšs sensible au dĂ©cor. Les femmes et les hommes qu’il photographie sont toujours placĂ©s dans un cadre qui dit beaucoup des protagonistes.

    A travers ses photos, on ressent qu’il est extrĂȘmement prĂ©cis et Ă  l’écoute ; il saisit immĂ©diatement l'Ăąme, le lieu et l’intention.

    Dans cette interview, Matthieu Salvaing nous fait notamment voyager en Camargue, sa rĂ©gion d’origine, et au BrĂ©sil, son pays d’adoption. Sa voix est remplie de son Sud natal et ses mouvements s’entendent au micro, tellement il est vivant quand il parle!

    J’ai Ă©tĂ© cueillie par son rĂ©cit, et charmĂ©e par son Ă©nergie.

    A la fin de l’interview, j’ai ajoutĂ© un mini bonus, une sorte de question subsidiaire posĂ©e par Alexandra Senes, une amie de longue date.


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  • Pour cette nouvelle saison, j’avais envie de vous faire un cadeau.

    Je vous présente Gregor Schultze, mon ostéopathe.

    Je connais Gregor depuis plus de 15 ans, et j’avais envie d’aborder avec lui l’écoute de soi, le bien-ĂȘtre, la santĂ© physique et donc mentale.

    J’avais aussi envie de comprendre comment il a dĂ©veloppĂ© sa patientĂšle, en commençant dans le monde de la mode.

    Gregor et moi, nous avons un point commun : nous travaillons notamment la posture — lui au sens propre, moi au sens figurĂ©.

    Au fil de notre discussion, j’ai fait le parallĂšle entre nos approches respectives ; et aussi entre sa position d’entrepreneur individuel, et celle des crĂ©atifs entrepreneurs, qui font face aux mĂȘmes challenges et doivent saisir des opportunitĂ©s.

    Si j’ai intitulĂ© cet Ă©pisode « sortir du cadre », c’est parce que j’ai dĂ©couvert, grĂące Ă  cet entretien, que ce qui a permis Ă  Gregor d’en ĂȘtre lĂ  oĂč il en est aujourd’hui, tant professionnellement que personnellement, c’est justement parce qu’il est rĂ©guliĂšrement sorti du cadre — pour mieux s’aligner, se recentrer, et s’ancrer.


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  • Dans cet Ă©pisode, j’accueille Nina Senoyer.

    Ce qui m’intĂ©ressait avec Nina, c’est qu’elle a rĂ©cemment opĂ©rĂ© une reconversion professionnelle et je voulais donc connaĂźtre son parcours jusqu'Ă  son nouveau mĂ©tier : rĂ©dactrice web SEO.

    Si vous ne savez pas exactement ce que signifie cet acronyme anglais et en quoi cela consiste, ça tombe bien, car on aborde le sujet en détail dans cet entretien.

    Sa promesse ? « vous aider à prendre la place que vous méritez sur Google »

    Nous avons Ă©videmment parlĂ© d’optimisation de site internet, des moteurs de recherches, des rĂ©seaux sociaux, et aussi :

    - de l’importance de la qualitĂ© de contenu et de la pertinence des mots que l’on utilise

    - d’intelligence artificielle et en particulier Chat GPT

    - de la tendance actuelle Ă  se former encore et toujours, et l’offre plĂ©thorique de formations proposĂ©es sur les rĂ©seaux

    - de l’agilitĂ© de l’entrepreneur, et de la nĂ©cessitĂ© de s’organiser et dĂ©lĂ©guer

    Et enfin, nous avons abordĂ© un sujet qui me tient particuliĂšrement Ă  coeur, et qui est justement au centre de sa reconversion : l’ikigai.


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  • Laurent Cotta est conservateur, en charge du dĂ©partement des arts graphiques du Palais Galliera, MusĂ©e de la Mode de la Ville de Paris.

    Lieu emblĂ©matique pour tous les connaisseurs, mais loin d’ĂȘtre Ă©litiste puisqu’il appartient Ă  la ville et a donc une mission de service public.

    Mais ce n’est pas au Palais Galliera que j’ai rencontrĂ© Laurent Cotta !

    Il m’a accueillie dans un lieu exceptionnel — les rĂ©serves et ateliers de restauration et de conservation du musĂ©e, quelque part dans Paris.

    InstallĂ©s dans l’une des rĂ©serves, en sous-sol, nous avons parlĂ© des devoirs et fonctions d’un conservateur de musĂ©e,

    du statut inaliĂ©nable des Ɠuvres,

    de la construction d’une exposition ;

    mais aussi de vanitĂ©s, de trĂ©sors, de paradoxes, d’ego,

    et mĂȘme de la robe de Marilyn Monroe portĂ©e par Kim Kardashian au Met Gala.


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  • This month’s guest is French artist Malika Favre.

    And even though she speaks perfect English, we hesitated and finally decided to do the interview in French.

    Because it’s her mother tongue — and so that her mother, Ouisa, could actually listen to one of her daughter’s podcasts for once !

    So I thought it would be nice to add a bonus in English for non French speakers, with a quick recap of our conversation.

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    You might not know Malika Favre’s name — but you have most likely come across her illustration work over the internet, billboards, books and/or magazines.

    Famous for her Pop Art meets Op Art bold style, she has already done a dozen of covers for The New Yorker — the ultimate goal for all illustration artists — ; the poster of the 2017 edition of the Montreux Jazz Festival — the ultimate goal for all jazz fans — ; dozens of covers for Penguin Books, editorial work for Vogue, and even 2 art books published by Counterprint.
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    We addressed many subjects including: starting a career as an artist; why and how to choose your agent(s); copycats; building a reputation; building a community; collaborating with cool people and great brands; workload and time-management.
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    What’s next?

    Never stop drawing.

    Make more objects.


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  • Dans cet Ă©pisode, on voyage jusqu’à Barcelone pour rendre visite Ă  Malika Favre.

    Artiste française qui a lancé sa carriÚre à Londres et y a vécu pendant plus de 15 ans, Malika a eu envie de se rapprocher du soleil et des couleurs du Sud il y a quelques années.

    Son appartement est à son image : chaleureux, accueillant, graphique et coloré.

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    Depuis qu’elle a commencĂ© Ă  dessiner, enfant, Malika n’a jamais arrĂȘtĂ©.

    À l’intersection entre le Pop Art et le Op Art (Optical Art, art optique), son style est tellement identifiable que l’on connaĂźt forcĂ©ment son travail — mĂȘme si l’on a parfois du mal Ă  mettre son nom sur ses illustrations.

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    Elle collabore avec les plus grandes marques, les plus grandes Ă©ditions, mais c’est Ă  travers le prisme des rencontres que l’on a abordĂ© cet entretien.

    Car comme elle le dit si bien, on parle souvent des projets que l’on a rĂ©alisĂ©s, mais on a tendance Ă  oublier de parler des gens avec qui on a travaillĂ©.

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    Et si j’ai choisi de dĂ©roger Ă  la rĂšgle du 15 de chaque mois pour ce nouvel Ă©pisode, c’est tout simplement parce que le 14 dĂ©cembre, c’est son anniversaire. Alors happy birthday Malika, et merci pour ta gĂ©nĂ©rositĂ© !


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  • Designer free-lance spĂ©cialisĂ©e dans la conception de vĂȘtements et accessoires en cuir, Marina Dias est depuis 2020 la directrice artistique de la marque Cordiz.

    Maroquinerie de luxe made in France, Cordiz a été fondée par son pÚre, Flavien Dias, en 1988.

    AprĂšs avoir Ă©tĂ© quelques annĂ©es en sommeil, la marque renaĂźt sous l’impulsion de Marina qui dessine des modĂšles en sĂ©rie trĂšs limitĂ©e, et qui prend part aux discussions stratĂ©giques avec son pĂšre, dans le but de proposer un environnement — de travail, et pour la planĂšte — qui soit Ă©cologique pour tous.

    Leur souhait est de crĂ©er un nouveau paradigme de consommation et de production raisonnĂ©e — d’oĂč la baseline de Cordiz, « pour des sacs qui traversent le temps ».

    Marina a quittĂ© Paris il y a 6 ans pour vivre sur la cĂŽte landaise et elle nous raconte notamment comment sa nouvelle vie lui permet d’ĂȘtre beaucoup plus Ă  l’écoute de ses besoins fondamentaux.

    Elle fait rĂ©guliĂšrement des allers-retours Ă  Paris — car on ne quitte jamais vraiment Paris! — mais si j’ai choisi de l’interviewer chez elle, Ă  Seignosse, c’est parce que c’est ma rĂ©gion de coeur.

    Nous avons abordé de nombreux sujets, comme :

    - travailler dans la mode sans vivre Ă  Paris

    - les avantages et les challenges d’une entreprise familiale

    - sa méthodologie en tant que free-lance qui dessine pour plusieurs marques, ainsi que pour la maison familiale

    - son leadership au sein d’une Ă©quipe de free-lances

    - les difficultés pour recruter et fidéliser des artisans, et faire perdurer des savoir-faire précieux

    - la communication et la collaboration avec l’agence @frontrowparis_


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  • @madameoliviadacosta — AKA Olivia du Please — est Ă  l’origine de @pleasemagazine, Please radio, et plus rĂ©cemment de @pleasenessdotcom, qu’elle a conçu comme une Ă©manation de Please.

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    Pleaseness, c’est d’abord un e-shop, ça a Ă©tĂ© un pop up au Printemps Haussmann, et c’est depuis quelques mois une boutique, situĂ©e 33 rue d’Hauteville dans le 10e Ă  Paris. 💎💎

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    On y trouve une sĂ©lection d’accessoires vintage, qu’Olivia passe beaucoup de temps Ă  chiner.

    Et c’est vraiment Ă  son image — ça brille, c’est graphique et colorĂ©, avec la dose de kitsch nĂ©cessaire Ă  ĂȘtre finalement hyper pointu.

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    Collectionneuse, obsessionnelle, workaholic, perfectionniste et pleine d’énergie, Olivia se laisse porter par ses envies.
    « C’est ça ma force — j’ai envie de faire un truc, bam! Je le fais »

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    Olivia a finalement consacrĂ© toute sa carriĂšre Ă  mettre les gens et les objets en valeur, et c’est donc un peu Ă  son tour d’ĂȘtre dans la lumiĂšre, maintenant qu’elle est au contact direct de la clientĂšle dans sa boĂźte Ă  bijoux en 3 dimensions.


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  • Si vous avez Ă©coutĂ© l’interview d’IsmĂ©rie (fondatrice du salon de coiffure Atelier IsmĂ©rie), en ligne depuis le 15 septembre, vous savez que nous avons rencontrĂ© quelques imprĂ©vus !

    AprĂšs avoir terminĂ© l’enregistrement, en continuant notre discussion, IsmĂ©rie m’a dit « j’ai pas assez parlĂ© du coaching! Tu veux pas qu’on ressorte les micros ?! »

    Ni une ni deux, j’ai tout rĂ©installĂ© rapidement, et voici donc un bonus sur un sujet qui me tient Ă©videmment particuliĂšrement Ă  coeur!

    Et si vous n’avez pas encore Ă©coutĂ© son interview, allez-y, vous allez adorer IsmĂ©rie, sa sincĂ©ritĂ©, son humour, sa clairvoyance
 et j’espĂšre aussi que vous aurez encore plus envie de la rencontrer et vous offrir une coupe de cheveux avec elle â˜ș


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  • Avec IsmĂ©rie, on a parlĂ© de tout sauf de cheveux.

    Et pourtant les cheveux, c’est sa passion.

    Comme elle aime se dĂ©finir, elle est « hair lover » — amoureuse de chevelures.

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    Dans un entretien empreint de sa sincĂ©ritĂ©, son humour et son humilitĂ©, elle nous raconte notamment comment elle a Ă©tĂ© rattrapĂ©e par son destin, comment elle a commencĂ© dans la coiffure avant de fonder son salon Ă©ponyme @atelier_ismerie il y a 10 ans, ses galĂšres d’entrepreneur et ses erreurs de manager.

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    Ce qui me fascine chez IsmĂ©rie c’est son agilitĂ© — sa flexibilitĂ©, son aptitude Ă  Ă©couter son entourage et son Ă©quipe, se remettre en question et apprendre de ses erreurs, prendre des dĂ©cisions rapidement et oser.

    Et sa capacitĂ© Ă  crĂ©er du lien. Ce qui plaĂźt Ă  sa clientĂšle, qui est devenue sa communautĂ©, c’est Ă©videmment le talent et le sens du service mais c’est aussi un style dĂ©tendu, naturel, accessible.

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    IsmĂ©rie s’est entourĂ©e de personnes tout aussi merveilleuses, animĂ©es des mĂȘmes valeurs :

    đŸ’‡â€â™€ïž Ambrine @ambrinegrs

    đŸ”„ ClĂ©mence @clemence_flamme

    🎹 Lucas @lucas_coloriste

    ✂ Marc-Antoine @marc_antoined
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    Musique et rĂ©alisation đŸŽŒ @philippe_drevet

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  • Le mois d’aoĂ»t en France, c’est sacrĂ©.

    Ça rime avec congĂ©s payĂ©s, coquillages et crustacĂ©s, chassĂ©-croisĂ©, bison futĂ©.


    Et c'est surtout une invitation au farniente, Ă  la dolce vita — Ă  l'oisivetĂ©.
    L'oisivetĂ© — dont l'Ă©tymologie latine "otium", s'oppose au "negotium" — dĂ©signe "l'Ă©tat de quelqu'un qui vit sans travailler et sans avoir d'occupation permanente" (Larousse).

    Souvent associée à la paresse, elle est pourtant indispensable à la régénération, et donc à la créativité.


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  • Pour ce nouvel Ă©pisode du podcast Everything Happens For A Reason, j’ai la joie d’accueillir @jeanpierreblanc1, Directeur de la @villanoailles, centre d’art d’intĂ©rĂȘt national.

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    Joyau architectural conçu par Robert Mallet-Stevens pour Charles et Marie-Laure de Noailles, couple de mĂ©cĂšnes avant-gardistes, cette maison rĂ©solument moderne fĂȘte son centenaire cette annĂ©e.

    Son nom initial, le clos Saint Bernard, Ă©voque presque un lieu de culte, de recueillement. Et c’est en quelque sorte devenu un lieu de culte esthĂ©tique, et de recueillement pour les artistes en rĂ©sidence, comme pour les visiteurs.

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    Passionnément engagé et animé de valeurs profondes, Jean-Pierre nous parle notamment du systÚme français, du service public, et de leadership.

    En Ă©coutant notre conversation, j’espĂšre que vous pourrez ressentir Ă  la fois l’ñme des lieux et des Noailles, et l’énergie radieuse de cet homme au service de la promotion de la jeune crĂ©ation.

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