Эпизоды

  • Le 14 mai à 19h, Alain Escada et le Docteur Typhaine Pinsolle étaient les invités de La Grande Émission, animée par Mike Borowski en direct sur Géopolitique Profonde.

    Alain Escada est un militant et essayiste belge connu pour ses positions traditionalistes et ses critiques acerbes contre la mondialisation et les élites. Président de Civitas, un mouvement catholique traditionaliste, Alain Escada s’illustre par son engagement contre le sécularisme, le mondialisme, et la laïcité.

    Le Dr Typhaine Pinsolle est une scientifique française spécialisée en microbiologie médicale. Elle est connue pour ses prises de position concernant la pandémie de COVID-19 et les vaccins, qu’elle qualifie d’armes biologiques. Forte de son expertise, elle se distingue par ses analyses pointues sur des sujets scientifiques complexes, notamment la protéine Spike, et se positionne en opposition au narratif officiel.

    Un pape aligné sur le programme de Davos

    Le pape Léon XIV s’aligne clairement sur l’agenda du Forum économique mondial : climat, inclusion numérique, justice sociale. Son langage épouse celui de Davos. Il agit en voix morale d’un ordre mondial post-national, non en guide spirituel catholique.

    Ses principaux conseillers sont liés aux réseaux du WEF. Sous couvert de fraternité universelle, le pape neutralise les fondements doctrinaux catholiques pour légitimer un projet globaliste. L’Église devient un rouage idéologique de la gouvernance mondiale.

    Franc-maçonnerie et Ordre de Malte : une recomposition des alliances

    Le pape a décoré des personnalités proches des loges maçonniques avec la grande croix de l’ordre de Malte. Ce geste n’est pas anodin : l’ordre, autrefois bastion souverainiste, se transforme en levier diplomatique au service d’un pouvoir hybride, mêlant Église et réseaux maçonniques.

    Nominations suspectes, silences étranges, discours ambigus : les loges progressistes gagnent du terrain à Rome. Le pape ne résiste pas à cette infiltration ; il l’accompagne. La modernité devient la nouvelle doctrine, sacralisée au nom du dialogue et de l’ouverture.

    Sionisme politique et trahison du magistère

    Le tropisme sioniste du nouveau pape est manifeste : bienveillance envers Israël, proximité avec ses options les plus dures. Sous prétexte de dialogue interreligieux, Jérusalem devient le centre moral d’un nouvel ordre spirituel, piloté diplomatiquement par l’État hébreu.

    Cette orientation s’inscrit dans la dynamique ouverte par Vatican II. La reconnaissance des racines juives du christianisme devient justification d’un renversement : abandon de l’évangélisation, relativisation du salut chrétien, et réhabilitation absolue du judaïsme.

    Le pape pousse cette logique à l’extrême : l’Église n’est plus gardienne de la Vérité, mais médiatrice d’un syncrétisme religieux mondial. Le catholicisme cède sa place à une plateforme d’unité religieuse, sous influence politique.

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  • Le 14 mai 2025, Mike Borowski revenait sur un sujet brûlant d’actualité, sur Géopolitique Profonde.

    Procès P. Diddy : la justice sous influence

    Le procès de Sean « Diddy » Combs ne se limite pas à des accusations sordides. Il révèle les failles d’une justice confrontée à une célébrité tentaculaire. Le 5 mai 2025, les charges tombent : trafic sexuel, extorsion, proxénétisme, intimidation. Vingt ans d’abus émergent enfin au grand jour.

    À huis clos mais sous surveillance médiatique, le procès expose un empire bâti sur l’exploitation. Combs, incarcéré depuis septembre 2024, reste mutique. La défense dénonce une cabale raciste. L’accusation, elle, dresse un système organisé : drogues, orgies, vidéos non consenties, violences. Une séquence de 2016 où il frappe Cassie Ventura devient centrale. Le message est clair : Diddy dirigeait un réseau.

    La disparition d’un témoin clé : une manœuvre invisible

    Le choc majeur se joue hors du tribunal : la « victime n°3 », témoin clé, disparaît. Son avocat est injoignable, sa famille inquiète. Elle devait témoigner à visage découvert, portant les accusations les plus lourdes. Son absence affaiblit l’accusation.

    Difficile de ne pas penser à Epstein, Maxwell, ou d’autres témoins disparus. L’écho est glaçant. Cette disparition n’est pas anecdotique. C’est une alerte. Le procès devient un test pour la justice fédérale : peut-elle encore protéger celles qui osent parler ?

    Le spectre de l’État profond

    Quand un témoin central s’évapore au moment crucial, le hasard n’est plus crédible. Une telle disparition nécessite des relais, des complicités. Le système judiciaire affronte une machine plus forte qu’un seul accusé : un réseau mêlant divertissement, finance et politique.

    L’État profond opère dans l’ombre : intimidation, corruption, disparition. Ce procès est plus qu’un scandale judiciaire. Il devient le théâtre d’un affrontement entre vérité et protection du pouvoir. Si la victime n°3 ne reparaît pas, le procès est faussé.

    Le parallèle avec Epstein n’est plus une spéculation. Il devient un scénario. Même stratégie, même silence, même mécanique. La seule question est désormais : jusqu’où ira ce système pour enterrer une vérité devenue trop visible ?

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  • Le 14 mai 2025, Finn Andreen et François Asselineau étaient les invités de La Matinale, animée par Raphaël Besliu sur Géopolitique Profonde.

    Finn Andreen est un entrepreneur et auteur suédois basé en France, spécialisé dans les questions géopolitiques et économiques. Connu pour ses analyses percutantes sur les rapports de force mondiaux, il intervient régulièrement dans des publications et médias pour décrypter les enjeux globaux et les dynamiques internationales.

    François Asselineau est un haut fonctionnaire et homme politique français, président de l’Union populaire républicaine (UPR) depuis sa création en 2007. Diplômé de HEC Paris et de l’ENA, il a mené une carrière de haut fonctionnaire dans différents cabinets ministériels sous les gouvernements de droite des années 1990. En politique, il est connu pour sa défense de la sortie de la France de l’Union européenne, de la zone euro et de l’OTAN, position qui le place souvent dans le spectre souverainiste.

    Macron en quête de survie politique

    L’entretien télévisé sur TF1 était une tentative de sauvetage d’image. Emmanuel Macron, en chute libre dans les sondages, a voulu se montrer proche, à l’écoute, mais le format a trahi son isolement. Il n’échange pas : il monologue. Il ne convainc plus.

    Le ton feintement empathique, les regards appuyés, les phrases lissées : tout était calculé. Ce vernis émotionnel visait à reconstruire une image brisée. Mais cette mise en scène n’opère plus. Le président ne parle plus au peuple, il joue un rôle.

    Un bilan politique impossible à dissimuler

    Huit années de pouvoir ne s’effacent pas avec un plateau de télévision. Malgré les chiffres choisis et les formules rassurantes, le bilan est là : austérité, désindustrialisation, services publics en ruine, autoritarisme croissant. Le pays est à bout.

    Macron promettait un renouveau républicain. Il a livré un affaiblissement systémique. Sa parole, perçue comme manipulation, a perdu toute valeur. Il ne gouverne plus, il gère un chaos qu’il a lui-même amplifié.

    Impopularité record : la fin de règne s’accélère

    Ce face-à-face avec des figures médiatiques devait relancer son mandat. Il n’a fait que confirmer sa chute. Macron n’incarne plus rien. Il est perçu comme gestionnaire fatigué, en décalage avec la réalité sociale.

    François Asselineau résume la situation : en s’accrochant, Macron creuse les fractures nationales. Chaque jour de plus à l’Élysée fragilise davantage la France. L’heure n’est plus au débat, mais à une forme de résistance démocratique. Il faut reprendre le contrôle du destin national.

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  • Le 13 mai 2025, Pierre Jovanovic et le Dr Typhaine Pinsolle étaient les invités de Mike Borowski, pour La Grande Émission sur GPTV !

    Pierre Jovanovic est un journaliste économique, éditeur et éditorialiste français, auteur d’essais historiques, théologiques, financiers et politiques. Il anime sa chaîne Youtube Pierre Jovanovic – La revue de presse et vient également de publier 888 : « L’humour noir et les pouvoirs surnaturels du Christ ». Grand défenseur de l’or et l’argent métal comme valeur refuge, il nous aidera à y voir plus clair dans ce sombre avenir économique qui nous tend les bras.

    Le Dr Typhaine Pinsolle est une scientifique française spécialisée en microbiologie médicale. Elle est connue pour ses prises de position concernant la pandémie de COVID-19 et les vaccins, qu’elle qualifie d’armes biologiques. Forte de son expertise, elle se distingue par ses analyses pointues sur des sujets scientifiques complexes, notamment la protéine Spike, et se positionne en opposition au narratif officiel.

    Coup de force contre un écrivain

    L’assaut du GIPN chez Pierre Jovanovic, accompagné de la BAC et d’agents préfectoraux, révèle une stratégie d’intimidation assumée. L’opération s’est déroulée de nuit, avec une force excessive pour viser un auteur connu pour ses critiques contre le système financier. L’objectif était clair : neutraliser une voix dérangeante à l’approche de la sortie de son nouveau livre.

    Jovanovic a dénoncé une action digne d’un régime autoritaire. Il a rappelé que même sous l’Occupation, aucune maison d’édition n’avait été ainsi visée. Cette descente spectaculaire transforme la force publique en outil de répression idéologique. Le pouvoir cherche désormais à briser physiquement ses opposants intellectuels.

    « 2008 », cible directe du pouvoir

    Son livre « 2008 », prêt à paraître, expose les manipulations économiques depuis la crise financière. Ce texte démonte les mensonges d’État et nomme les responsables, ce qui en fait une menace réelle pour les élites. L’intervention visait avant tout à empêcher la diffusion de cette vérité dérangeante.

    Jovanovic a bâti une crédibilité sur ses enquêtes solides. « 2008 » promettait de lever le voile sur la collusion entre banques et gouvernements. Le pouvoir a paniqué. En cherchant à étouffer le livre, il en a confirmé l’importance. Chaque tentative de censure en accroît la portée.

    Offensive contre l’édition indépendante

    Le Jardin des Livres, maison d’édition fondée par Jovanovic, subit une attaque frontale. Cette opération policière n’est pas un fait isolé : c’est un avertissement général à tous ceux qui publient hors des cadres autorisés. Le message est limpide : s’opposer au discours officiel vous expose.

    Les réactions ont été immédiates : avocats, journalistes et lecteurs dénoncent une dérive autoritaire. L’affaire Jovanovic symbolise la guerre menée contre la liberté d’expression éditoriale. En frappant fort, l’État montre qu’il redoute plus que jamais ceux qui écrivent ce qu’il ne veut pas entendre.

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  • Le 13 mai 2025, Mike Borowski exposait la vérité crue de la colline du crack : drogue, insécurité, migrants et tiers-mondisation, dans un micro-trottoir exclusif que Paris voudrait enterrer.

    Paris Nord dévasté malgré les milliards

    Trois ans après un premier reportage, la colline du crack s’est encore enfoncée dans la misère. Les milliards des JO n’ont rien changé. Derrière les façades rénovées, règnent insécurité, drogue, exclusion. Les autorités ont préféré repeindre que soigner.

    Les pelleteuses pour les JO ont masqué les campements de toxicomanes. Les habitants, oubliés, vivent dans la peur. La police ne fait plus que passer. À quelques mètres des sites olympiques, l’effondrement social est total. Le projet de modernisation a échoué.

    Les voix interdites de la misère

    Des toxicomanes témoignent à visage découvert. Ils racontent l’enfer : injections en public, overdoses, violences. À Paris, capitale du tourisme, une guerre sociale fait rage. Ces mots révèlent une inhumanité profonde, une ville qui préfère cacher que soigner.

    Les commerçants aussi parlent. Vols, menaces, agressions : leur quotidien est devenu invivable. Certains partent, d’autres résistent. Tous disent la même chose : Paris est livrée à l’anarchie. L’État gère le chaos, sans volonté réelle de rétablir l’ordre.

    La tiers-mondisation n’est plus une menace : elle est installée. Ce n’est pas un échec, mais un changement de civilisation. Le langage technocratique n’y change rien. Ici, la République a décroché.

    Paris, entre cartels et chaos

    Le nord de Paris fonctionne comme une zone de non-droit. Les points de deal sont régulés, hiérarchisés. Le crack est partout. Il n’est plus marginal : il est intégré. La consommation se banalise, même chez les mineurs. L’habitude a remplacé le scandale.

    La police agit peu. Parfois pour la caméra, sans impact durable. Le trafic est organisé, constant. Pendant que les JO brillent, des hommes meurent à quelques mètres. La France montre deux visages : celui de la fête, et celui de l’abandon.

    Un reportage sans filtre face à l’hypocrisie

    Ce reportage, mené sans protection, répond à l’omerta médiatique. Là où même CNEWS vient escortée, Mike Borowski filme seul, au contact. Ce n’est pas qu’un acte journalistique : c’est un choix politique. Montrer ce que l’État cache, redonner voix aux oubliés.

    Le nord de Paris est une zone sinistrée. Cette vérité ne pourra plus être dissimulée. Le vernis craque. Et sous la surface, la République vacille.

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  • Le 13 mai 2025, Mike Borowski dévoilait comment Cyril Hanouna, sous couvert de populisme, orchestre en coulisses avec l'agence Chapchak, une opération de communication politique au service du système macroniste.

    Hanouna entre dans la politique par la porte de derrière

    Cyril Hanouna ne se contente plus d’animer TPMP. Avec Chapchak, il lance une agence de communication politique. Son associée, Aline Poulain-Guerza, fut chef de cabinet de Blanquer et communicante pour plusieurs ministres. Karl Astié, ex-attaché parlementaire, complète ce trio aligné sur le macronisme.

    Chapchak n’est pas une aventure spontanée, mais une extension stratégique. Derrière le discours du « lien citoyens-politiques », Hanouna construit un pont discret vers les élites. Il transforme sa popularité télévisuelle en influence politique, sans passer par les urnes.

    Une double vie médiatique et idéologique

    À l’écran, Hanouna se pose en défenseur du peuple. Il dénonce élites, politiques et journalistes. Mais cette posture cache une stratégie. Son lien avec Tiphaine Auzière, fille de Brigitte Macron, révèle un ancrage au cœur du pouvoir.

    Cette duplicité est volontaire. Il joue le justicier pour rester proche de son public tout en vendant ses services au système qu’il prétend combattre. Son image de rebelle sert de vitrine à un business politique très institutionnel.

    La machine à recycler le pouvoir

    Chapchak ne vise pas à faire émerger de nouvelles forces antisystème. Elle remaquille les figures affaiblies du pouvoir pour les reconnecter à la base. L’image remplace le fond, l’effet prime sur le sens. Hanouna devient le chaînon manquant entre politiques usés et électeurs désabusés.

    Il ne remet rien en cause, il restaure. Son agence sert à prolonger la vie du système sous une nouvelle façade. Ce mécanisme de recyclage fonctionne précisément grâce à son ambivalence : amuseur à l’écran, stratège en coulisses.

    Le faux outsider devenu garant du système

    La figure d’Hanouna comme outsider est désormais obsolète. Il agit comme garant d’un ordre qu’il feint de défier. Grâce à sa légitimité populaire, il vend aux puissants des stratégies d’image redoutablement efficaces.

    Il n’anime plus le débat : il l’oriente. Chapchak est sa plateforme, TPMP sa vitrine. Ensemble, elles forment un outil d’influence pour un pouvoir qui cherche à durer sans se transformer. Derrière les rires, c’est la continuité qui s’organise.

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  • Le 13 mai 2025, Sylvain Ferreira était l'invité de La Matinale de GPTV, animée par Raphaël Besliu !

    François Asselineau ancien haut fonctionnaire et homme politique français est président de l’Union Populaire Républicaine (UPR) depuis 2007.
    Diplômé de HEC Paris et de l’ENA, il a mené sa carrière dans différents cabinets ministériels de droite durant les années 1990. Il défend la sortie de la France de l’Union européenne, de la zone euro et de l’OTAN, position qui le place souvent dans le spectre souverainiste.

    Sylvain Ferreira est un historien militaire français, spécialisé dans l’art de la guerre et son évolution de 1850 à 1945. Il s’intéresse particulièrement à l’impact de l’ère industrielle sur les combattants et a contribué à plusieurs revues d’histoire militaire. Auteur et concepteur de jeux de stratégie, il a récemment publié La bataille de Marioupol : 25 février – 20 mai 2022.

    Poutine fixe les règles du jeu

    En proposant des négociations directes à Zelensky, Poutine prend l’initiative politique. Il contourne les médiateurs occidentaux et impose ses termes. L’Ukraine est piégée : accepter revient à entériner sa perte d’autonomie ; refuser, à se couper du dialogue international.

    Le choix d’Istanbul comme lieu de rencontre renforce la Turquie comme médiateur clé. La Russie impose le rythme sans victoire spectaculaire, forte de sa stabilité militaire et de ses soutiens internationaux. Le sommet annoncé s’annonce comme une validation de son rapport de force.

    L’Europe décrédibilisée par son aventurisme

    Le sommet européen de Kiev a exposé la faiblesse stratégique de l’UE. En exigeant un cessez-le-feu unilatéral, elle s’est exclue des négociations. Moscou ne dialogue qu’avec ceux qui comptent : Kiev, Washington, Ankara. Bruxelles est hors-jeu.

    L’idée d’une “Europe de la paix” se heurte à une militarisation incohérente. Les États européens augmentent leurs budgets militaires, mais restent sous dépendance de l’OTAN. Sans doctrine propre, ils n’ont ni poids ni voix. Même les États-Unis semblent prêts à laisser Moscou fixer les conditions.

    L’émergence d’un axe russo-turc, potentiellement validé par Trump, enterre définitivement les ambitions diplomatiques européennes. L’UE commente, mais ne décide plus.

    La victoire politique de Moscou se confirme

    Malgré les récits occidentaux de déclin russe, c’est bien Moscou qui propose aujourd’hui une paix selon ses conditions. L’objectif n’est pas l’armistice, mais la reconnaissance de sa victoire stratégique. La guerre militaire continue, mais politiquement, elle est presque soldée.

    La possible implication de Donald Trump comme médiateur renforce cette dynamique. Elle affaiblit Biden, repositionne les États-Unis comme interlocuteurs directs et crédibilise la ligne russe. Pour le Kremlin, c’est la situation parfaite : valider ses acquis sans concessions.

    Selon Sylvain Ferreira, la Russie a imposé une réalité diplomatique durable. L’Ukraine, affaiblie, n’a plus le choix. L’Occident doit reconnaître une victoire fondée non sur le bluff, mais sur une stratégie maîtrisée et une lecture lucide des rapports de force.

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  • Le 12 mai 2025, Sylvain Studer et Frigide Barjot étaient les invités de La Grande Émission, animée par Mike Borowski sur Géopolitique Profonde.

    Sylvain Studer est un auteur et conférencier qui se concentre sur des sujets théologico-politiques. Professeur de français et d’hébreu, il a passé trois ans en Israël pour approfondir ses connaissances bibliques. Il est l’auteur de l’ouvrage « Christ sioniste » et plus récemment de « Notre-Dame de l’antéchrist »

    Frigide Barjot est une humoriste, chroniqueuse et militante française. Elle a été l’une des porte-paroles de la Manif pour tous, opposée au « mariage » des couples de même sexe – qu’elle veut remplacer par une union homosexuelle spécifique – et au changement de filiation en résultant. Elle a ensuite fondé l’association L’Avenir pour tous, qui défend la « filiation biologique » et la « reproduction humaine ».

    Notre-Dame, théâtre d’un renversement spirituel
    Le discours d’Emmanuel Macron à Notre-Dame incarne une rupture avec le sacré. En utilisant ce lieu comme décor politique, le président opère une récupération symbolique. La réouverture de la cathédrale, loin d’une messe solennelle, devient un show patrimonial.

    Ce geste marque une désacralisation. Le message chrétien est gommé au profit d’un récit technocratique, humaniste et universaliste. L’édifice est transformé en objet culturel neutre, vidé de sa substance spirituelle. Une opération de blanchiment symbolique remplace la foi par le spectacle.

    L’Antéchrist, figure infiltrée dans le décor rénové

    Des éléments introduits dans la rénovation inquiètent. Le nouveau reliquaire, orné de motifs géométriques, évoque l’esthétique maçonnique. Œil omnivoyant, spirales, symboles initiatiques : ces signes signaleraient un glissement vers l’ésotérisme.

    Les tenues liturgiques stylisées, enrichies de dorures, rappellent davantage des rituels maçonniques que la tradition chrétienne. La liturgie devient spectacle. L’Antéchrist ne viendrait plus de l’extérieur, mais s’infiltrerait par le cœur même du sanctuaire.

    Sylvain Studer et la lecture apocalyptique contemporaine

    Pour Sylvain Studer, ces signes s’inscrivent dans une lecture prophétique. Notre-Dame, autrefois phare du catholicisme, serait devenue un temple inversé. Le refus du pape François d’assister à la réouverture serait une marque de désaccord, voire de résistance.

    La cathédrale devient le théâtre d’un renversement spirituel. L’Antéchrist ne se manifeste pas toujours physiquement, mais à travers des gestes, des choix architecturaux et des liturgies perverties. Lieu de culte devenu instrument d’un récit inversé, Notre-Dame serait désormais un sanctuaire vidé du Christ.

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  • Le 12 mai 2025, Mike Borowski vous attendait nombreux pour un sujet d’actualité, sur Géopolitique Profonde.

    Opération Storm 15-16 : le récit officiel autour de Brigitte Macron s’effondre

    France Info relance l’alerte à trois jours du procès en appel de Natacha Rey et Amandine Roy. La chaîne publique évoque une prétendue opération russe baptisée « Storm 15-16 » visant à salir Brigitte Macron via l’IA. Le timing est révélateur : verrouiller le débat au moment clé.

    Toute critique est aussitôt réduite à une manœuvre étrangère. Les enquêtes de Xavier Poussard, les propos de Candace Owens, les travaux de Rey sont amalgamés sans nuance. Un seul mot suffit : « opération russe ». Pas de réponse sur le fond, juste une disqualification globale. La manœuvre est claire : étouffer toute voix discordante.

    L’appareil médiatique en mode défense

    France Télévisions sort un reportage discret. Il évoque une vidéo IA accusant Brigitte Macron d’abus sexuels sur Lionel Torres, qui a démenti. Ce contenu serait l’arme principale d’une campagne hostile entre novembre 2024 et mars 2025. En creux, un message : la Première Dame serait une victime d’un complot de Moscou.

    Mais rien n’étaye ces liens. Aucune preuve, aucun élément concret. L’accusation repose sur des hypothèses. On transforme le débat en affaire de sécurité nationale. La critique devient un risque pour la souveraineté. Les médias publics agissent alors non comme informateurs, mais comme boucliers politiques.

    Le fond du sujet disparaît derrière l’accusation. Ce n’est pas l’IA qui tue le débat, c’est la manière dont elle est utilisée pour discréditer toute question. Ce climat n’a plus rien de démocratique.

    Candace Owens, voix interdite

    Candace Owens incarne la dissidence étrangère. Commentatrice pro-Trump, elle évoque l’affaire dans ses podcasts et préface le livre de Poussard. Immédiatement, elle devient suspecte. Pas pour ses faits, mais pour son existence hors du contrôle médiatique français.

    Les accusations pleuvent : propagande russe, désinformation, collusion. Pourtant, aucun lien n’est établi. On ne réfute pas ses propos, on les délégitime par association. Toute investigation devient trahison. Toute parole critique, complicité étrangère.

    Owens n’est ni folle ni manipulée. Elle appartient à un journalisme frontal, direct, qui attaque les puissants. En France, ce journalisme est remplacé par des procès, du soupçon et du silence imposé.

    La cible n’est plus la vérité. C’est le pouvoir qu’on protège.

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  • Le 12 mai 2025, Claude Janvier, François Martin et Laurent Michelon étaient les invités de La Matinale, animée par Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde.

    Claude Janvier est un écrivain et essayiste, est l’auteur de plusieurs ouvrages explorant les dynamiques de pouvoir et les influences cachées au sein des structures étatiques et supranationales. Son dernier livre s'intitule L’État Profond Français.

    François Martin, géopolitologue, journaliste et essayiste, diplômé de l’ESSEC et auditeur de l’IHEDN a 40 ans d’expérience dans le commerce international et analyse les dynamiques internationales avec une expertise issue du terrain.

    Laurent Michelon est un entrepreneur français en Chine qui partage son temps entre Hong Kong et Pékin. Il est établi dans la région depuis plus de 20 ans, où il a travaillé dans la diplomatie culturelle française et pour plusieurs groupes de communication internationaux. Il est l’auteur du livre Comprendre la relation Chine-Occident.

    Poutine renverse la table diplomatique
    Alors que l’Europe affiche son soutien à Kiev, Poutine surprend en appelant à des négociations sans conditions. Cette initiative cherche à court-circuiter les médiations occidentales et à briser l’unité euro-atlantique. Loin d’un recul, c’est une offensive politique.

    En convoquant Istanbul comme lieu de dialogue, Moscou marginalise l’UE et force Zelensky à choisir : négocier et perdre son image de victime, ou refuser et paraître intransigeant. Poutine joue sur les fractures du camp occidental pour se repositionner en acteur central.

    L’Ukraine face à un dilemme stratégique

    Zelensky subit les tensions entre les exigences de ses alliés et l’enlisement militaire. L’Allemagne hésite, la France s’autonomise, Washington se désintéresse. L’appel de Moscou met Kiev sous pression : chaque jour sans paix affaiblit son image et sa position.

    Le président ukrainien pourrait être contraint de négocier pour sauver son pouvoir, au détriment de ses objectifs territoriaux. Le risque : redevenir un simple tampon géopolitique. La paix offerte par Moscou est moins une solution qu’une reddition maquillée.

    Vers un divorce américano-israélien ?

    Une fracture émerge entre Washington et Tel Aviv. Trump et Netanyahou se distancient. La Maison Blanche envisage une reconnaissance de l’État palestinien sans le Hamas. C’est un changement profond dans la doctrine américaine.

    Face à l’impasse militaire à Gaza, les États-Unis veulent relancer une logique de partition. Israël, isolé, ne peut plus compter sur un soutien inconditionnel. L’Amérique cherche à reprendre la main sur le processus en imposant un nouvel équilibre régional.

    Une recomposition mondiale en marche

    Ukraine et Proche-Orient révèlent une reconfiguration globale. La Russie s’affirme, la Turquie manœuvre, les États-Unis revoient leurs alliances, l’Europe doute. Le droit cède face aux rapports de force. L’ordre mondial devient fluide et brutal.

    Les sommets ne sont plus des lieux de paix mais des scènes de rivalités. La guerre change de forme : moins visible, plus stratégique. Ceux qui s’en tiennent aux anciens codes risquent d’être relégués à la périphérie du nouvel échiquier mondial.

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  • Le 11 mai 2025, Sophie Lefeez était l’invitée de Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde !

    Sophie Lefeez est une chercheuse en sociologie des techniques, spécialisée dans les questions de défense et d’armement. Docteure de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, elle a travaillé plus de dix ans dans le secteur de la défense, notamment chez Airbus et à la Fondation pour la recherche stratégique. Aujourd’hui chercheuse associée à l’IRIS, elle est l’auteure de L’illusion technologique dans la pensée militaire (2017), où elle analyse la fascination des armées pour la technologie et ses conséquences stratégiques.

    Une foi technicienne déconnectée du réel

    La course à l’innovation militaire repose sur une croyance : la supériorité technique garantirait la victoire. Or, l’histoire montre l’inverse. Vietnam, Irak, Afghanistan : la technologie ne gagne pas les guerres. L’adversaire choisit souvent d’autres terrains, asymétriques.

    L’hypertechnologisation alourdit la logistique, creuse les déficits et réduit l’autonomie. Le matériel dernier cri, censé assurer sécurité et précision, devient handicap dans des conflits imprévisibles. L’équipement sophistiqué échoue à neutraliser des menaces rustiques. Résultat : une puissance militaire paralysée par sa propre complexité.

    Le mirage de l’interopérabilité et de la moralisation guerrière

    L’interopérabilité avec les alliés, notamment les États-Unis, impose un mimétisme stratégique qui sacrifie l’autonomie nationale. La France adapte ses systèmes aux standards d’une coalition technologique, au détriment de ses intérêts propres. Ce suivisme alimente une spirale inflationniste ruineuse.

    Cette obsession high-tech s’alimente aussi d’exigences sociétales : éviter les pertes, rassurer l’opinion. La guerre moderne se veut propre, légale, chirurgicale. Mais cette précision a un coût énorme et déshumanise le combat. L’ennemi, lui, cible l’image publique, le talon d’Achille occidental. La guerre devient communicationnelle, et le haut niveau technologique une vulnérabilité.

    Vers une puissance fondée sur l’humain et l’intelligence stratégique

    La guerre à haute technicité étouffe l’adaptation. L’efficacité ne vient pas de l’équipement, mais de la capacité à improviser. L’armée occidentale, sur-planifiée, perd cette agilité. Le poids des normes et de la procédure empêche la réactivité. Face à des adversaires imprévisibles, cela devient un handicap.

    Il faut revenir à une armée rustique, mobile, intelligente. Inspirée de l’aïkido : ruse, efficacité, économie de moyens. Le matériel doit être simple, modifiable, adapté au terrain. La France doit sortir du mythe de l’innovation perpétuelle. Réarmer l’humain, c’est retrouver une puissance moins vulnérable, plus ajustée aux conflits du présent.

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  • Le 11 mai 2025, pour GPTV Investigation, Mickaël demandait aux Français si c’était vraiment mieux avant… et leurs réponses sur l’insécurité, la perte de respect et la déshumanisation d’une société trop connectée laissent un étrange goût de vérité.

    L’insécurité a redessiné les comportements

    Ceux qui regrettent « le temps d’avant » invoquent d’abord un sentiment : la sécurité a reculé. Autrefois, on laissait les portes ouvertes, les enfants jouaient dehors. Aujourd’hui, la peur s’installe. Une passante n’ose plus sortir après 20h, autrefois elle ne s’en souciait pas.

    Les gestes changent : surveiller, éviter, se méfier. Même sans agressions, le sentiment d’insécurité modifie la liberté de mouvement. Ce n’est pas une invention médiatique : c’est une réalité vécue.

    Autrefois, les quartiers étaient apaisés, les voisins solidaires. Aujourd’hui, les regards fuient. Le lien social se délite. Ce n’est pas une question de chiffres, mais de ressenti. La sécurité reposait sur la confiance, pas sur les caméras.

    Beaucoup dénoncent aussi l’impunité. L’incivilité devient norme. Les règles ne sont plus respectées, les sanctions floues. Le passé est perçu comme un cadre clair, juste. L’insécurité est devenue une ambiance, un climat lourd.

    Des liens humains brisés par le progrès

    Un autre constat revient : les relations humaines se sont effondrées. Ce n’est pas de la nostalgie, mais une observation. On se parlait, on s’entraidait. Aujourd’hui, chacun est dans sa bulle. L’individualisme a remplacé la communauté.

    Le respect a disparu. Les mots sont plus durs, les attitudes plus égoïstes. Autrefois, l’éducation structurait les rapports. Aujourd’hui, le lien intergénérationnel s’effrite. L’autorité des adultes s’est évaporée.

    La technologie aggrave l’isolement. Les écrans omniprésents coupent les gens du réel. On parle à son téléphone plus qu’à son voisin. L’interaction devient virtuelle, brève, impersonnelle.

    Cette déshumanisation crée solitude, indifférence et mépris. Ce n’est pas un détail : c’est un changement de civilisation. Ce que beaucoup regrettent, c’est l’existence partagée, les gestes simples qui donnaient du sens.

    Le choc d’une modernité sans boussole

    Le monde change trop vite. Traditions, rythmes de vie, valeurs sont balayés. Ce n’est pas le progrès qui est rejeté, mais sa brutalité, son absence de transition.

    Les enfants vivent dans un monde saturé d’objets. Un passant remarque : un ballon suffisait avant. Aujourd’hui, il faut des écrans. On accumule sans savourer, on innove sans comprendre.

    Les anciens dénoncent une société qui sacrifie l’essentiel. Le smartphone devient barrière, le lien se perd. On parle moins, on ressent moins. La technologie coupe au lieu de relier.

    Le rythme est intenable. Ceux qui ne suivent pas sont exclus. Les vulnérables décrochent. Ils ne demandent pas de revenir en arrière, mais de ralentir, de retrouver du sens.

    Ce qu’ils veulent, c’est un équilibre. Le passé offrait des repères. Aujourd’hui, tout est flou. Ce n’est pas une critique rétrograde, mais un signal d’alarme : sans direction, la société se défait.

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  • Le 11 mai 2025, Mike Borowski dévoilait comment Macron, sous couvert de paix, orchestre une stratégie de guerre par procuration, en sabotant tout plan de paix et en instrumentalisant l’Ukraine pour servir l’agenda occidental, sur GPTV !

    Macron en stratège de guerre camouflé

    Emmanuel Macron se présente comme faiseur de paix, mais ses actes relèvent d’une stratégie de confrontation. Le sommet sur l’Ukraine, prétendument diplomatique, vise surtout à affirmer l’alignement français sur l’OTAN et à renforcer l’aide militaire à Kiev. Le ton est offensif : il faut vaincre la Russie, non négocier.

    La France franchit un cap : livraisons d’armes lourdes, présence de formateurs militaires. Macron sort du cadre humanitaire pour mener une guerre par procuration. Ce double discours masque une militarisation active de l’Europe sous rhétorique pacifique.

    Macron cherche à se poser en leader continental. Mais son projet repose sur l’épuisement de la Russie, au mépris de la paix. L’Ukraine devient un terrain d’expérimentation pour une ambition impériale européenne.

    Un tribunal pour condamner, pas pour juger

    Le tribunal spécial voulu par Bruxelles et Paris vise à criminaliser la Russie dans son ensemble. Ce n’est pas un outil de justice, mais un instrument politique. Il n’examinera pas les faits : il validera une version occidentale du conflit.

    Cette approche nie la complexité historique. Aucun mot sur l’élargissement de l’OTAN, les accords de Minsk, ou le rôle américain dans le Donbass. Le but : figer une mémoire unilatérale, construire une vérité judiciaire imposée.

    Ce tribunal devient un levier idéologique. Appeler au dialogue avec Moscou expose à l’accusation de complicité. Le droit est subverti, transformé en arme contre la dissidence. L’Europe glisse vers une logique d’épuration politique.

    Loin de pacifier, cette justice radicalise. Elle rend impossible tout compromis. En verrouillant l’avenir, elle enferme la guerre dans une impasse juridique.

    Une guerre menée pour l’agenda occidental

    Le sommet européen dirigé par Macron refuse toute initiative de paix hors bloc occidental. Chine, Brésil, Afrique : leurs propositions sont disqualifiées. L’objectif est clair : pas de paix, mais la victoire, par l’usure de Moscou.

    Cette posture impose un modèle unipolaire, niant toute alternative. L’Ukraine devient le champ de bataille idéologique entre un ordre occidental figé et une multipolarité naissante.

    L’Union européenne mène une guerre externalisée, sacrifiant l’Ukraine pour préserver son rôle stratégique. Les pertes humaines sont secondaires face aux intérêts géopolitiques.

    Macron parie sur une opinion européenne docile, tant que la guerre reste lointaine. Derrière le discours humanitaire, il s’agit de souder l’Europe autour d’un ennemi commun et d’imposer une unité politique par le conflit.

    L’internationalisation du conflit s’accélère. Alliances asiatiques, tensions maritimes, implication américaine : le risque d’escalade est réel. Macron ne prépare pas la paix, mais la généralisation du chaos.

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  • Le 10 mai 2025, Michel Fize, Patrick Pasin et Farid Dms Debah étaient les invités de La Grande Émission, animée par Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde.

    Michel Fize est sociologue et politologue, ancien chercheur au CNRS, connu pour ses travaux sur la jeunesse, l’adolescence et la famille. Il a été conseiller régional d’Île-de-France. Auteur prolifique, il a publié une quarantaine d’ouvrages, dont Un président anormal : essai sur la mégalothymia d’Emmanuel Macron, une analyse critique de la personnalité du président français.

    Il revient ce soir sur son dernier ouvrage : Pour un nettoyage moral de la France.

    Patrick Pasin est un auteur, conférencier et entrepreneur français, connu pour ses critiques sur la géopolitique, la santé publique et la souveraineté individuelle.

    Farid DMS Debah est un réalisateur, producteur et écrivain franco-algérien engagé, connu pour son combat acharné contre la pédocriminalité. Président de l’association Touche pas à mon enfant – Europe depuis 2016, il œuvre sans relâche pour la protection de l’enfance contre toutes les formes d’abus et d’exploitation sexuels.

    En 2024, il initie la Grande Marche contre la Pédocriminalité, un parcours de 1 500 kilomètres à travers la France et la Belgique.

    Militant de terrain, il a également été élu conseiller municipal au Kremlin-Bicêtre, et intervient régulièrement en tant que caméraman pour l’émission GPTV Investigation, aux côtés de Mike Borowski.

    Une élite amorale, symptôme d’une société française en déclin

    La France a perdu ses repères : solidarité, honneur, respect, transmission. L’interdit d’hier devient la norme d’aujourd’hui. Le bien commun est remplacé par la jouissance immédiate. Le politiquement correct a neutralisé le discernement. L’indignation est calibrée.

    Cette évolution résulte d’un projet méthodique : déconstruction culturelle, affaiblissement de la famille, de l’école et de l’autorité. L’État n’est plus gardien, mais gestionnaire d’individualismes. La morale n’a pas disparu : elle a été inversée. Le vice devient vertu, la trahison progrès.

    Une élite amorale et un peuple déboussolé

    Le relâchement moral vient du sommet. Les élites ne donnent plus l’exemple. Politiques compromis, influenceurs mensongers : tous sont récompensés. Le système valide le cynisme. Le pouvoir devient opportunisme, sans convictions.

    La défiance populaire est totale. Les citoyens ne croient plus en rien. Le pouvoir devient un théâtre absurde. À la place du dialogue : la violence. La société engendre des enfants sans limites, des adultes sans scrupules, des dirigeants sans conscience.

    Comment la mondialisation accélère le déclin de la société française

    La mondialisation impose un modèle unique : performance, immédiateté, relativisme. Elle dissout les communautés dans une culture sans identité. La France devient une somme d’individus isolés, chacun convaincu d’avoir raison seul contre tous.

    Le pays glisse vers une dystopie : zones de non-droit, jeunesse sans transcendance, omniprésence technologique vide de sens. Ce n’est pas un cauchemar, mais notre présent. La France n’est plus un projet collectif. C’est un décor post-apocalyptique, où la morale s’efface et la barbarie prend place.

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  • Le 10 mai 2025, Mike Borowski vous proposait un direct sur un sujet d’actualité, sur Géopolitique Profonde.

    TF1 et la mise en scène médiatique d’une démocratie contrôlée

    Mardi soir, TF1 consacre deux heures à Emmanuel Macron dans « Les Défis de la France ». Sous couvert de dialogue, c’est une opération de communication soigneusement encadrée. Le président s’exprime face à des personnalités triées : Sophie Binet, Agnès Verdier-Molinié, Salomé Saqué, Robert Ménard et Tibo InShape. Aucun opposant réel, aucune contradiction frontale.

    Ménard, ex-soutien de Le Pen, est désormais pro-Macron. Tibo InShape a voté pour lui. TF1 affiche une diversité de façade, sans dissensus authentique. Le format est lisse : échanges chronométrés, sujets maîtrisés, rythme calibré. Macron évolue en terrain conquis, sans critique sérieuse.

    TF1 devient vitrine présidentielle. L’émission n’est pas un débat, mais un spectacle. Le président s’expose sans risque, entouré de profils médiatiques qui confortent l’image d’un chef à l’écoute. La chaîne joue un rôle de relai gouvernemental, masqué sous un vernis journalistique.

    Une démocratie mise en scène

    Ce type de programme donne l’illusion d’une démocratie vivante. Mais en réalité, tout est verrouillé. Les colères populaires sont absentes, les voix dissidentes écartées. L’opinion est canalisée, les angles polémiques évités. Macron est présenté comme un homme lucide, ouvert, courageux, sans contradiction.

    Les séquences ressemblent à des sketchs préparés. Le débat est simulé. Aucun mot sur la répression, les affaires, la brutalité policière, ou la crise démocratique. Le format empêche toute remise en question. L’exercice se réduit à un show politique parfaitement maîtrisé.

    TF1 ne cherche pas à faire émerger un débat, mais à le scénariser. Les intervenants deviennent des accessoires de mise en scène. La télévision devient un outil de pouvoir, à grande échelle. L’image d’un président maître de lui et du pays est diffusée à des millions de téléspectateurs. L’effet est immédiat : la mise en scène fonctionne.

    Emmanuel Macron, TF1 et la mécanique de la manipulation médiatique

    L’émission illustre une mécanique bien rodée. Les médias dominants ne confrontent plus le pouvoir : ils le valorisent. TF1 offre une plateforme sans danger, dans un cadre balisé. Le pluralisme est une illusion. Ceux qui dérangent sont exclus. C’est une stratégie, pas un oubli.

    Les grands médias jouent leur rôle dans l’architecture institutionnelle : canaliser le mécontentement, empêcher les ruptures, éviter les fractures. Ce que TF1 propose, ce n’est pas du journalisme, mais du marketing présidentiel. Un écran bienveillant pour un pouvoir en représentation.

    Une démocratie réelle confronte le pouvoir. Elle ne le protège pas sous les projecteurs. Ce que refuse obstinément le système médiatique français.

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  • Le 9 mai 2025, Maître Philippe de Veulle, Patrick Pasin et Farid Dms Debah étaient les invités de Mike Borowski, sur GPTV !

    Philippe de Veulle est un avocat au barreau de Paris, docteur en droit, diplômé du Centre d’Etudes Diplomatiques et Stratégiques (CEDS) et de l’Université Paris Descartes. Il est spécialisé dans le droit et le contentieux des affaires, le droit international et le droit pénal financier.

    Patrick Pasin est un auteur, conférencier et entrepreneur français, connu pour ses critiques sur la géopolitique, la santé publique et la souveraineté individuelle.

    Farid Dms Debah est un réalisateur, producteur et militant franco-algérien. Il s’est fait connaître par ses films engagés comme Le Bourreau des innocents et Maroc, l’innocence sacrifiée, dénonçant notamment la pédocriminalité. En parallèle, il milite activement pour les droits des enfants et a été conseiller municipal au Kremlin-Bicêtre. Il est également caméraman sur GPTV Investigation aux côtés de Mike Borowski.

    Une parade militaire transformée en sommet géopolitique

    Pour les 80 ans de la victoire soviétique, 29 chefs d’État sont présents à Moscou, dont Xi Jinping, Lula da Silva, Loukachenko, Maduro, Díaz-Canel, Sassou-Nguesso, Obiang, Abiy Ahmed et Ibrahim Traoré. Cette forte présence du Sud global illustre le recentrage stratégique de la Russie vers de nouveaux alliés en réponse à son isolement occidental.

    La parade sur la place Rouge devient un sommet diplomatique. Moscou affiche une alliance multipolaire, tournée vers l’Asie, l’Afrique et l’Amérique latine, en rupture avec l’Occident. L’absence des dirigeants européens ou américains accentue cette fracture géopolitique et légitime, aux yeux de Moscou, son rôle alternatif sur la scène mondiale.

    Xi Jinping, Lula et les BRICS : une coalition en marche

    La participation de Xi Jinping et Lula da Silva renforce les BRICS. Xi, invité d’honneur, s’entretient avec Poutine sur l’énergie, le commerce et la stratégie. Pékin, principal soutien économique, compense l’effet des sanctions en augmentant ses achats de gaz et de pétrole russes.

    Lula confirme la ligne diplomatique multilatérale du Brésil. Ensemble, les deux leaders renforcent la crédibilité des BRICS comme alternative aux structures dominées par l’Occident. Cette coopération met en évidence la montée d’un nouveau pôle de puissance.

    Une démonstration de résilience face à l’isolement occidental

    En l’absence de l’Occident, la Russie valorise ses alliances avec l’Afrique, l’Asie et l’Amérique latine. La venue de dirigeants comme ceux du Burkina Faso, de la Guinée équatoriale ou de l’Éthiopie prouve que Moscou conserve une influence internationale.

    Le 9 mai devient un outil de soft power. Par la mémoire de la Seconde Guerre mondiale, Moscou cherche à projeter une image de stabilité historique et de puissance. Ce rassemblement diplomatique affirme sa résistance au récit occidental de l’isolement.

    En définitive, la célébration dépasse le souvenir historique pour incarner une déclaration géopolitique affirmant une vision multipolaire du monde.

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  • Le 9 mai 2025, Mike Borowski dévoilait les véritables enjeux derrière l’élection du pape américain Léon XIV, entre mise à l’écart du cardinal Sarah, pouvoir du Vatican et mondialisme rampant, sur GPTV !

    Léon XIV, un pape américain pour une Église globalisée

    L’élection de Robert Francis Prevost marque l’entrée des États-Unis dans l’histoire papale. Né à Chicago, ex-missionnaire au Pérou, il incarne une Église en mutation. Préfet du Dicastère pour les évêques en 2023, il s’est imposé par son profil international, sa modération et sa discrétion. Majoritairement choisis par François, les cardinaux ont voté pour une continuité assumée : réformes, dialogue interreligieux, gouvernance décentralisée.

    Léon XIV veut renforcer la collégialité. Son expérience latino-américaine l’a sensibilisé aux défis des Églises locales, qu’il veut mieux intégrer dans la gouvernance universelle. Dès son élection, son appel à la paix s’est inscrit dans une diplomatie pontificale active, positionnant le Vatican comme acteur géopolitique majeur.

    Ce pape américain incarne un catholicisme décentré, multilingue, multiculturel. L’Église affirme qu’elle n’est plus centrée sur Rome, mais sur une foi portée par la diversité des continents.

    Robert Sarah écarté, le conservatisme marginalisé

    Le cardinal Sarah, longtemps pressenti, a été écarté. Conservateur rigoureux, opposé à la bénédiction des couples homosexuels, à l’ordination des hommes mariés et à la synodalité, il s’est isolé. Malgré un fort soutien populaire, surtout en Afrique, son âge (79 ans) et sa ligne dure ont pesé contre lui.

    Le conclave a préféré une figure plus jeune, apte à gérer les défis contemporains et à préserver l’unité ecclésiale. L’opposition frontale de Sarah à François a joué en sa défaveur. Le Vatican privilégie désormais une ligne inclusive, sans rompre avec la tradition mais en l’adaptant. Le conservatisme romain conserve une voix, mais non plus le cap.

    L’Afrique toujours en marge du pouvoir pontifical

    Malgré l’essor du catholicisme en Afrique, le continent reste absent des hautes sphères. Aucune élection papale, peu de poids dans les décisions. L’élection de Léon XIV perpétue ce déséquilibre. L’Afrique, pourtant moteur de vitalité spirituelle, reste reléguée.

    Ce déficit de représentation a des effets concrets : peu d’attention aux besoins locaux, formation du clergé, protection des minorités, lutte contre l’islamisme. Le pouvoir central demeure sourd aux réalités africaines. L’Afrique est valorisée pour sa foi, mais écartée des décisions.

    Tant que Rome n’intègre pas pleinement les voix africaines, l’universalité catholique restera inachevée. L’arrivée d’un pape américain est un symbole d’ouverture, mais elle ne compense pas l’injustice faite à une Église africaine vivante et méritante.

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  • Le 9 mai 2025, Marc Gabriel Draghi, Sophie Lefeez et Arnaud Develay étaient les invités de La Matinale de GPTV, animée par Raphaël Besliu !

    Marc Gabriel Draghi, juriste spécialisé en histoire du droit, est l’auteur de plusieurs ouvrages critiques sur le capitalisme et le Forum économique mondial, dont Le règne des marchands du temple et La Grande Narration. Il alerte sur la soumission de l’humanité à une élite globaliste.

    Sophie Lefeez est analyste en économie géopolitique, spécialisée dans les mécanismes de domination financière et les stratégies d’influence militaire. Elle décrypte les rapports de force entre puissances à travers le prisme budgétaire, industriel et sécuritaire. Son approche mêle rigueur économique et lucidité géostratégique, toujours ancrée dans une critique affirmée de la perte de souveraineté européenne.

    Arnaud Develay est juriste et analyste géopolitique. Il est également auteur de l’ouvrage Foreign Entanglements: Ukraine, Biden & the Fractured American Political Consensus. Fort de ses deux ans et demi passés en Syrie, il livre une analyse sans concession sur la chute du régime de Bachar Al-Assad, les forces qui ont précipité cet effondrement et ses conséquences pour le Moyen-Orient.

    L’Amérique prend le contrôle du récit occidental

    L’élection du pape Léon XIV, alias Robert Francis Prevost, marque l’influence croissante des États-Unis sur le pouvoir spirituel occidental. L’église devient le symbole d’un empire américain hégémonique. En parallèle, Donald Trump restructure l’État fédéral, éliminant les influences globalistes pour restaurer la souveraineté nationale, dans une logique de guerre à venir. L’accord stratégique avec le Royaume-Uni envoie un message fort à l’Europe : les temps de la négociation sont révolus.

    L’OTAN comme levier économique de domination

    L’obligation imposée aux pays membres de porter leur budget militaire à 5 % du PIB frappe durement l’Europe. Ce n’est pas une réponse à une menace russe crédible, mais une stratégie américaine de domination économique. Santé, éducation et services sociaux seront sacrifiés pour acheter des armes. L’OTAN devient un outil de transfert de richesse vers l’industrie militaire américaine, condamnant toute autonomie européenne. La Russie, affaiblie, n’a pas les moyens d’attaquer l’Ouest, mais le spectre de la menace justifie cette militarisation.

    Inde-Pakistan : un théâtre pour les grandes puissances

    Le conflit indo-pakistanais est instrumentalisé par les grandes puissances. La Chine soutient le Pakistan pour encercler l’Inde, tandis que les États-Unis se rapprochent de New Delhi pour contenir Pékin. Le danger nucléaire est réel mais contrôlé : l’objectif n’est pas l’anéantissement, mais un affrontement limité qui permettrait à Washington de renforcer sa présence dans l’océan Indien et à Pékin de tester une guerre par procuration. L’Inde et le Pakistan deviennent les pions d’un jeu stratégique global.

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  • Le 8 mai 2025, Alexandra Brazzainville, Maître Danglehant et Stéphanie Reynaud étaient les invités de La Grande Émission, animée par Mike Borowski sur Géopolitique Profonde.

    Alexandra Brazzainville est une personne intersexe atteinte du syndrome de Klinefelter, une condition génétique caractérisée par la présence de deux chromosomes X et d’un chromosome Y. Forte de son expérience et de son parcours, elle s’engage activement dans la dénonciation des dérives de certaines associations LGBT concernant la transition des mineurs et œuvre avec détermination pour la protection des enfants contre toutes formes de violence.

    Maître Danglehant, quant à lui, est un avocat reconnu pour son engagement en faveur des droits des citoyens. Sa carrière est jalonnée de combats juridiques contre les abus institutionnels et les injustices sociales. Défenseur des causes populaires, il incarne une voix juridique puissante qui s’oppose à la concentration du pouvoir et plaide pour une démocratie plus participative et respectueuse des libertés individuelles.

    Ces deux personnalités, bien que venant d’horizons différents, partagent une même vision critique du système politique actuel et s’efforcent de promouvoir un véritable renouveau démocratique en France.

    Stéphanie Reynaud est comédienne. Elle est également passionnée par les médias et la communication, et anime la chaîne YouTube nommée Tribune Libre, où elle interviewe des personnalités diverses sur des sujets d’actualité.


    Affaire Natacha Rey Brigitte Macron : une justice implacable face à une accusée mourante

    Les 14 et 15 mai prochains, la cour d’appel de Paris rejugera l’affaire opposant Natacha Rey et Amandine Roy à Brigitte Macron. Natacha Rey, journaliste à l’origine d’une enquête controversée sur l’identité de Brigitte Macron, est gravement malade et incapable de se défendre. Son avocat, Me Danglehant, dénonce un acharnement judiciaire, soulignant que sa cliente est alitée, incapable de parler et condamnée selon ses médecins à trois mois de vie. Malgré cela, les demandes de report ont été rejetées, et l’audience se tiendra sans la présence de l’accusée.

    Une affaire française qui résonne à l’international

    Initialement marginalisée, cette affaire a pris une ampleur internationale. Des médias et influenceurs aux États-Unis, en Russie et ailleurs ont relayé l’enquête de Natacha Rey, alimentant un débat mondial. Des figures comme Candace Owens ont consacré plusieurs épisodes à cette controverse, amplifiant son écho outre-Atlantique.

    Le procès en appel, entre bataille juridique et urgence humaine

    Ce nouveau procès soulève des questions sur l’équité de la procédure. Natacha Rey ne pourra pas comparaître, et les demandes de report ont été refusées. Son avocat dénonce une procédure expéditive qui prive sa cliente de ses droits fondamentaux. Amandine Roy, co-accusée, continue de dénoncer une injustice flagrante, estimant que ce procès vise à dissuader toute enquête indépendante sur les zones d’ombre du pouvoir.

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  • Le 8 mai 2025, pour GPTV Investigation, Mike Borowski est allé dans les rues de Paris à la rencontre des Français pour leur parler d’un sujet aussi sensible que tabou : la franc-maçonnerie.

    L’illusion populaire autour des francs-maçons

    Interroger les habitants d’un quartier populaire parisien sur la franc-maçonnerie révèle une fracture béante entre perception collective et réalité de terrain. Alors que les loges se targuent de discrétion, la parole publique les dépeint encore comme de simples clubs philanthropiques. L’immense majorité des passants interrogés brandit les mêmes mots : « humanisme », « réflexion », « dialogue ». On croit encore que les francs-maçons sont de bienveillants penseurs du progrès, œuvrant dans l’ombre pour un monde meilleur. Une croyance naïve solidement enracinée.

    Ce que ce micro-trottoir révèle, c’est une ignorance organisée. À force d’exposition à des récits aseptisés servis par TF1 ou France Inter, les masses ont intégré une version totalement dépolitisée et inoffensive de la franc-maçonnerie. Le public ne perçoit ni l’ampleur de son influence, ni la nature véritable de ses engagements. Pire : l’idée que les loges puissent avoir un quelconque pouvoir réel est systématiquement balayée comme « complotiste », preuve d’une grille de lecture formatée. Le fossé est immense entre ce que nous documentons chaque semaine et ce que croit encore la majorité.

    Un conditionnement médiatique massif

    Ce décalage est le fruit d’un long travail d’ingénierie culturelle mené par des élites qui ont appris à se fondre dans les codes républicains tout en poursuivant des logiques internes de pouvoir. En présentant la franc-maçonnerie comme un simple héritage des Lumières, les médias dominants neutralisent toute critique structurelle. On ne questionne plus ce qui se joue réellement dans les arcanes de ces réseaux : le verrouillage des postes, les nominations entre frères, les influences transversales dans les sphères politique, judiciaire, médiatique.

    Le système médiatique agit ici comme un bouclier idéologique. Toute tentative de remise en question sérieuse de la franc-maçonnerie est immédiatement disqualifiée. La mécanique est bien rodée : rire jaune, renvoyer au « complotisme », invoquer l’humanisme historique des loges. Ce conditionnement rend inaudible toute voix dissidente. Dans ce brouillard informationnel, l’indifférence populaire devient le meilleur allié des structures occultes.

    Accélérer la rupture avec les récits dominants

    Ce que démontre ce reportage terrain, c’est l’urgence de notre mission. L’éveil des consciences ne peut plus attendre. Tant que les masses resteront hypnotisées par les récits lissés des grandes chaînes, aucune remise en cause profonde ne sera possible. La vraie fracture ne passe plus entre gauche et droite, riches et pauvres, mais entre ceux qui acceptent de regarder le réel en face et ceux qui fuient dans les narratifs confortables.

    Face à cette normalisation de l’ignorance, notre rôle est d’intensifier le travail de déconstruction. Il ne suffit plus de dénoncer. Il faut rééduquer, reformuler, choquer si nécessaire. Il faut aller chercher ce public là où il se trouve, avec les mots justes, les faits précis, les angles qui dérangent.

    Il n’est plus temps de ménager les croyances molles. Il est temps d’abattre les masques.

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