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Le 12 mai 2025, Claude Janvier, François Martin et Laurent Michelon étaient les invités de La Matinale, animée par Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde.
Claude Janvier est un écrivain et essayiste, est l’auteur de plusieurs ouvrages explorant les dynamiques de pouvoir et les influences cachées au sein des structures étatiques et supranationales. Son dernier livre s'intitule L’État Profond Français.
François Martin, géopolitologue, journaliste et essayiste, diplômé de l’ESSEC et auditeur de l’IHEDN a 40 ans d’expérience dans le commerce international et analyse les dynamiques internationales avec une expertise issue du terrain.
Laurent Michelon est un entrepreneur français en Chine qui partage son temps entre Hong Kong et Pékin. Il est établi dans la région depuis plus de 20 ans, où il a travaillé dans la diplomatie culturelle française et pour plusieurs groupes de communication internationaux. Il est l’auteur du livre Comprendre la relation Chine-Occident.
Poutine renverse la table diplomatique
Alors que l’Europe affiche son soutien à Kiev, Poutine surprend en appelant à des négociations sans conditions. Cette initiative cherche à court-circuiter les médiations occidentales et à briser l’unité euro-atlantique. Loin d’un recul, c’est une offensive politique.En convoquant Istanbul comme lieu de dialogue, Moscou marginalise l’UE et force Zelensky à choisir : négocier et perdre son image de victime, ou refuser et paraître intransigeant. Poutine joue sur les fractures du camp occidental pour se repositionner en acteur central.
L’Ukraine face à un dilemme stratégique
Zelensky subit les tensions entre les exigences de ses alliés et l’enlisement militaire. L’Allemagne hésite, la France s’autonomise, Washington se désintéresse. L’appel de Moscou met Kiev sous pression : chaque jour sans paix affaiblit son image et sa position.
Le président ukrainien pourrait être contraint de négocier pour sauver son pouvoir, au détriment de ses objectifs territoriaux. Le risque : redevenir un simple tampon géopolitique. La paix offerte par Moscou est moins une solution qu’une reddition maquillée.
Vers un divorce américano-israélien ?
Une fracture émerge entre Washington et Tel Aviv. Trump et Netanyahou se distancient. La Maison Blanche envisage une reconnaissance de l’État palestinien sans le Hamas. C’est un changement profond dans la doctrine américaine.
Face à l’impasse militaire à Gaza, les États-Unis veulent relancer une logique de partition. Israël, isolé, ne peut plus compter sur un soutien inconditionnel. L’Amérique cherche à reprendre la main sur le processus en imposant un nouvel équilibre régional.
Une recomposition mondiale en marche
Ukraine et Proche-Orient révèlent une reconfiguration globale. La Russie s’affirme, la Turquie manœuvre, les États-Unis revoient leurs alliances, l’Europe doute. Le droit cède face aux rapports de force. L’ordre mondial devient fluide et brutal.
Les sommets ne sont plus des lieux de paix mais des scènes de rivalités. La guerre change de forme : moins visible, plus stratégique. Ceux qui s’en tiennent aux anciens codes risquent d’être relégués à la périphérie du nouvel échiquier mondial.
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Le 11 mai 2025, Sophie Lefeez était l’invitée de Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde !
Sophie Lefeez est une chercheuse en sociologie des techniques, spécialisée dans les questions de défense et d’armement. Docteure de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, elle a travaillé plus de dix ans dans le secteur de la défense, notamment chez Airbus et à la Fondation pour la recherche stratégique. Aujourd’hui chercheuse associée à l’IRIS, elle est l’auteure de L’illusion technologique dans la pensée militaire (2017), où elle analyse la fascination des armées pour la technologie et ses conséquences stratégiques.
Une foi technicienne déconnectée du réel
La course à l’innovation militaire repose sur une croyance : la supériorité technique garantirait la victoire. Or, l’histoire montre l’inverse. Vietnam, Irak, Afghanistan : la technologie ne gagne pas les guerres. L’adversaire choisit souvent d’autres terrains, asymétriques.
L’hypertechnologisation alourdit la logistique, creuse les déficits et réduit l’autonomie. Le matériel dernier cri, censé assurer sécurité et précision, devient handicap dans des conflits imprévisibles. L’équipement sophistiqué échoue à neutraliser des menaces rustiques. Résultat : une puissance militaire paralysée par sa propre complexité.
Le mirage de l’interopérabilité et de la moralisation guerrière
L’interopérabilité avec les alliés, notamment les États-Unis, impose un mimétisme stratégique qui sacrifie l’autonomie nationale. La France adapte ses systèmes aux standards d’une coalition technologique, au détriment de ses intérêts propres. Ce suivisme alimente une spirale inflationniste ruineuse.
Cette obsession high-tech s’alimente aussi d’exigences sociétales : éviter les pertes, rassurer l’opinion. La guerre moderne se veut propre, légale, chirurgicale. Mais cette précision a un coût énorme et déshumanise le combat. L’ennemi, lui, cible l’image publique, le talon d’Achille occidental. La guerre devient communicationnelle, et le haut niveau technologique une vulnérabilité.
Vers une puissance fondée sur l’humain et l’intelligence stratégique
La guerre à haute technicité étouffe l’adaptation. L’efficacité ne vient pas de l’équipement, mais de la capacité à improviser. L’armée occidentale, sur-planifiée, perd cette agilité. Le poids des normes et de la procédure empêche la réactivité. Face à des adversaires imprévisibles, cela devient un handicap.
Il faut revenir à une armée rustique, mobile, intelligente. Inspirée de l’aïkido : ruse, efficacité, économie de moyens. Le matériel doit être simple, modifiable, adapté au terrain. La France doit sortir du mythe de l’innovation perpétuelle. Réarmer l’humain, c’est retrouver une puissance moins vulnérable, plus ajustée aux conflits du présent.
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Le 11 mai 2025, pour GPTV Investigation, Mickaël demandait aux Français si c’était vraiment mieux avant… et leurs réponses sur l’insécurité, la perte de respect et la déshumanisation d’une société trop connectée laissent un étrange goût de vérité.
L’insécurité a redessiné les comportements
Ceux qui regrettent « le temps d’avant » invoquent d’abord un sentiment : la sécurité a reculé. Autrefois, on laissait les portes ouvertes, les enfants jouaient dehors. Aujourd’hui, la peur s’installe. Une passante n’ose plus sortir après 20h, autrefois elle ne s’en souciait pas.
Les gestes changent : surveiller, éviter, se méfier. Même sans agressions, le sentiment d’insécurité modifie la liberté de mouvement. Ce n’est pas une invention médiatique : c’est une réalité vécue.
Autrefois, les quartiers étaient apaisés, les voisins solidaires. Aujourd’hui, les regards fuient. Le lien social se délite. Ce n’est pas une question de chiffres, mais de ressenti. La sécurité reposait sur la confiance, pas sur les caméras.
Beaucoup dénoncent aussi l’impunité. L’incivilité devient norme. Les règles ne sont plus respectées, les sanctions floues. Le passé est perçu comme un cadre clair, juste. L’insécurité est devenue une ambiance, un climat lourd.
Des liens humains brisés par le progrès
Un autre constat revient : les relations humaines se sont effondrées. Ce n’est pas de la nostalgie, mais une observation. On se parlait, on s’entraidait. Aujourd’hui, chacun est dans sa bulle. L’individualisme a remplacé la communauté.
Le respect a disparu. Les mots sont plus durs, les attitudes plus égoïstes. Autrefois, l’éducation structurait les rapports. Aujourd’hui, le lien intergénérationnel s’effrite. L’autorité des adultes s’est évaporée.
La technologie aggrave l’isolement. Les écrans omniprésents coupent les gens du réel. On parle à son téléphone plus qu’à son voisin. L’interaction devient virtuelle, brève, impersonnelle.
Cette déshumanisation crée solitude, indifférence et mépris. Ce n’est pas un détail : c’est un changement de civilisation. Ce que beaucoup regrettent, c’est l’existence partagée, les gestes simples qui donnaient du sens.
Le choc d’une modernité sans boussole
Le monde change trop vite. Traditions, rythmes de vie, valeurs sont balayés. Ce n’est pas le progrès qui est rejeté, mais sa brutalité, son absence de transition.
Les enfants vivent dans un monde saturé d’objets. Un passant remarque : un ballon suffisait avant. Aujourd’hui, il faut des écrans. On accumule sans savourer, on innove sans comprendre.
Les anciens dénoncent une société qui sacrifie l’essentiel. Le smartphone devient barrière, le lien se perd. On parle moins, on ressent moins. La technologie coupe au lieu de relier.
Le rythme est intenable. Ceux qui ne suivent pas sont exclus. Les vulnérables décrochent. Ils ne demandent pas de revenir en arrière, mais de ralentir, de retrouver du sens.
Ce qu’ils veulent, c’est un équilibre. Le passé offrait des repères. Aujourd’hui, tout est flou. Ce n’est pas une critique rétrograde, mais un signal d’alarme : sans direction, la société se défait.
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Le 11 mai 2025, Mike Borowski dévoilait comment Macron, sous couvert de paix, orchestre une stratégie de guerre par procuration, en sabotant tout plan de paix et en instrumentalisant l’Ukraine pour servir l’agenda occidental, sur GPTV !
Macron en stratège de guerre camouflé
Emmanuel Macron se présente comme faiseur de paix, mais ses actes relèvent d’une stratégie de confrontation. Le sommet sur l’Ukraine, prétendument diplomatique, vise surtout à affirmer l’alignement français sur l’OTAN et à renforcer l’aide militaire à Kiev. Le ton est offensif : il faut vaincre la Russie, non négocier.
La France franchit un cap : livraisons d’armes lourdes, présence de formateurs militaires. Macron sort du cadre humanitaire pour mener une guerre par procuration. Ce double discours masque une militarisation active de l’Europe sous rhétorique pacifique.
Macron cherche à se poser en leader continental. Mais son projet repose sur l’épuisement de la Russie, au mépris de la paix. L’Ukraine devient un terrain d’expérimentation pour une ambition impériale européenne.
Un tribunal pour condamner, pas pour juger
Le tribunal spécial voulu par Bruxelles et Paris vise à criminaliser la Russie dans son ensemble. Ce n’est pas un outil de justice, mais un instrument politique. Il n’examinera pas les faits : il validera une version occidentale du conflit.
Cette approche nie la complexité historique. Aucun mot sur l’élargissement de l’OTAN, les accords de Minsk, ou le rôle américain dans le Donbass. Le but : figer une mémoire unilatérale, construire une vérité judiciaire imposée.
Ce tribunal devient un levier idéologique. Appeler au dialogue avec Moscou expose à l’accusation de complicité. Le droit est subverti, transformé en arme contre la dissidence. L’Europe glisse vers une logique d’épuration politique.
Loin de pacifier, cette justice radicalise. Elle rend impossible tout compromis. En verrouillant l’avenir, elle enferme la guerre dans une impasse juridique.
Une guerre menée pour l’agenda occidental
Le sommet européen dirigé par Macron refuse toute initiative de paix hors bloc occidental. Chine, Brésil, Afrique : leurs propositions sont disqualifiées. L’objectif est clair : pas de paix, mais la victoire, par l’usure de Moscou.
Cette posture impose un modèle unipolaire, niant toute alternative. L’Ukraine devient le champ de bataille idéologique entre un ordre occidental figé et une multipolarité naissante.
L’Union européenne mène une guerre externalisée, sacrifiant l’Ukraine pour préserver son rôle stratégique. Les pertes humaines sont secondaires face aux intérêts géopolitiques.
Macron parie sur une opinion européenne docile, tant que la guerre reste lointaine. Derrière le discours humanitaire, il s’agit de souder l’Europe autour d’un ennemi commun et d’imposer une unité politique par le conflit.
L’internationalisation du conflit s’accélère. Alliances asiatiques, tensions maritimes, implication américaine : le risque d’escalade est réel. Macron ne prépare pas la paix, mais la généralisation du chaos.
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Le 10 mai 2025, Michel Fize, Patrick Pasin et Farid Dms Debah étaient les invités de La Grande Émission, animée par Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde.
Michel Fize est sociologue et politologue, ancien chercheur au CNRS, connu pour ses travaux sur la jeunesse, l’adolescence et la famille. Il a été conseiller régional d’Île-de-France. Auteur prolifique, il a publié une quarantaine d’ouvrages, dont Un président anormal : essai sur la mégalothymia d’Emmanuel Macron, une analyse critique de la personnalité du président français.
Il revient ce soir sur son dernier ouvrage : Pour un nettoyage moral de la France.
Patrick Pasin est un auteur, conférencier et entrepreneur français, connu pour ses critiques sur la géopolitique, la santé publique et la souveraineté individuelle.
Farid DMS Debah est un réalisateur, producteur et écrivain franco-algérien engagé, connu pour son combat acharné contre la pédocriminalité. Président de l’association Touche pas à mon enfant – Europe depuis 2016, il œuvre sans relâche pour la protection de l’enfance contre toutes les formes d’abus et d’exploitation sexuels.
En 2024, il initie la Grande Marche contre la Pédocriminalité, un parcours de 1 500 kilomètres à travers la France et la Belgique.
Militant de terrain, il a également été élu conseiller municipal au Kremlin-Bicêtre, et intervient régulièrement en tant que caméraman pour l’émission GPTV Investigation, aux côtés de Mike Borowski.
Une élite amorale, symptôme d’une société française en déclin
La France a perdu ses repères : solidarité, honneur, respect, transmission. L’interdit d’hier devient la norme d’aujourd’hui. Le bien commun est remplacé par la jouissance immédiate. Le politiquement correct a neutralisé le discernement. L’indignation est calibrée.
Cette évolution résulte d’un projet méthodique : déconstruction culturelle, affaiblissement de la famille, de l’école et de l’autorité. L’État n’est plus gardien, mais gestionnaire d’individualismes. La morale n’a pas disparu : elle a été inversée. Le vice devient vertu, la trahison progrès.
Une élite amorale et un peuple déboussolé
Le relâchement moral vient du sommet. Les élites ne donnent plus l’exemple. Politiques compromis, influenceurs mensongers : tous sont récompensés. Le système valide le cynisme. Le pouvoir devient opportunisme, sans convictions.
La défiance populaire est totale. Les citoyens ne croient plus en rien. Le pouvoir devient un théâtre absurde. À la place du dialogue : la violence. La société engendre des enfants sans limites, des adultes sans scrupules, des dirigeants sans conscience.
Comment la mondialisation accélère le déclin de la société française
La mondialisation impose un modèle unique : performance, immédiateté, relativisme. Elle dissout les communautés dans une culture sans identité. La France devient une somme d’individus isolés, chacun convaincu d’avoir raison seul contre tous.
Le pays glisse vers une dystopie : zones de non-droit, jeunesse sans transcendance, omniprésence technologique vide de sens. Ce n’est pas un cauchemar, mais notre présent. La France n’est plus un projet collectif. C’est un décor post-apocalyptique, où la morale s’efface et la barbarie prend place.
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Le 10 mai 2025, Mike Borowski vous proposait un direct sur un sujet d’actualité, sur Géopolitique Profonde.
TF1 et la mise en scène médiatique d’une démocratie contrôlée
Mardi soir, TF1 consacre deux heures à Emmanuel Macron dans « Les Défis de la France ». Sous couvert de dialogue, c’est une opération de communication soigneusement encadrée. Le président s’exprime face à des personnalités triées : Sophie Binet, Agnès Verdier-Molinié, Salomé Saqué, Robert Ménard et Tibo InShape. Aucun opposant réel, aucune contradiction frontale.
Ménard, ex-soutien de Le Pen, est désormais pro-Macron. Tibo InShape a voté pour lui. TF1 affiche une diversité de façade, sans dissensus authentique. Le format est lisse : échanges chronométrés, sujets maîtrisés, rythme calibré. Macron évolue en terrain conquis, sans critique sérieuse.
TF1 devient vitrine présidentielle. L’émission n’est pas un débat, mais un spectacle. Le président s’expose sans risque, entouré de profils médiatiques qui confortent l’image d’un chef à l’écoute. La chaîne joue un rôle de relai gouvernemental, masqué sous un vernis journalistique.
Une démocratie mise en scène
Ce type de programme donne l’illusion d’une démocratie vivante. Mais en réalité, tout est verrouillé. Les colères populaires sont absentes, les voix dissidentes écartées. L’opinion est canalisée, les angles polémiques évités. Macron est présenté comme un homme lucide, ouvert, courageux, sans contradiction.
Les séquences ressemblent à des sketchs préparés. Le débat est simulé. Aucun mot sur la répression, les affaires, la brutalité policière, ou la crise démocratique. Le format empêche toute remise en question. L’exercice se réduit à un show politique parfaitement maîtrisé.
TF1 ne cherche pas à faire émerger un débat, mais à le scénariser. Les intervenants deviennent des accessoires de mise en scène. La télévision devient un outil de pouvoir, à grande échelle. L’image d’un président maître de lui et du pays est diffusée à des millions de téléspectateurs. L’effet est immédiat : la mise en scène fonctionne.
Emmanuel Macron, TF1 et la mécanique de la manipulation médiatique
L’émission illustre une mécanique bien rodée. Les médias dominants ne confrontent plus le pouvoir : ils le valorisent. TF1 offre une plateforme sans danger, dans un cadre balisé. Le pluralisme est une illusion. Ceux qui dérangent sont exclus. C’est une stratégie, pas un oubli.
Les grands médias jouent leur rôle dans l’architecture institutionnelle : canaliser le mécontentement, empêcher les ruptures, éviter les fractures. Ce que TF1 propose, ce n’est pas du journalisme, mais du marketing présidentiel. Un écran bienveillant pour un pouvoir en représentation.
Une démocratie réelle confronte le pouvoir. Elle ne le protège pas sous les projecteurs. Ce que refuse obstinément le système médiatique français.
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Le 9 mai 2025, Maître Philippe de Veulle, Patrick Pasin et Farid Dms Debah étaient les invités de Mike Borowski, sur GPTV !
Philippe de Veulle est un avocat au barreau de Paris, docteur en droit, diplômé du Centre d’Etudes Diplomatiques et Stratégiques (CEDS) et de l’Université Paris Descartes. Il est spécialisé dans le droit et le contentieux des affaires, le droit international et le droit pénal financier.
Patrick Pasin est un auteur, conférencier et entrepreneur français, connu pour ses critiques sur la géopolitique, la santé publique et la souveraineté individuelle.
Farid Dms Debah est un réalisateur, producteur et militant franco-algérien. Il s’est fait connaître par ses films engagés comme Le Bourreau des innocents et Maroc, l’innocence sacrifiée, dénonçant notamment la pédocriminalité. En parallèle, il milite activement pour les droits des enfants et a été conseiller municipal au Kremlin-Bicêtre. Il est également caméraman sur GPTV Investigation aux côtés de Mike Borowski.
Une parade militaire transformée en sommet géopolitique
Pour les 80 ans de la victoire soviétique, 29 chefs d’État sont présents à Moscou, dont Xi Jinping, Lula da Silva, Loukachenko, Maduro, Díaz-Canel, Sassou-Nguesso, Obiang, Abiy Ahmed et Ibrahim Traoré. Cette forte présence du Sud global illustre le recentrage stratégique de la Russie vers de nouveaux alliés en réponse à son isolement occidental.
La parade sur la place Rouge devient un sommet diplomatique. Moscou affiche une alliance multipolaire, tournée vers l’Asie, l’Afrique et l’Amérique latine, en rupture avec l’Occident. L’absence des dirigeants européens ou américains accentue cette fracture géopolitique et légitime, aux yeux de Moscou, son rôle alternatif sur la scène mondiale.
Xi Jinping, Lula et les BRICS : une coalition en marche
La participation de Xi Jinping et Lula da Silva renforce les BRICS. Xi, invité d’honneur, s’entretient avec Poutine sur l’énergie, le commerce et la stratégie. Pékin, principal soutien économique, compense l’effet des sanctions en augmentant ses achats de gaz et de pétrole russes.
Lula confirme la ligne diplomatique multilatérale du Brésil. Ensemble, les deux leaders renforcent la crédibilité des BRICS comme alternative aux structures dominées par l’Occident. Cette coopération met en évidence la montée d’un nouveau pôle de puissance.
Une démonstration de résilience face à l’isolement occidental
En l’absence de l’Occident, la Russie valorise ses alliances avec l’Afrique, l’Asie et l’Amérique latine. La venue de dirigeants comme ceux du Burkina Faso, de la Guinée équatoriale ou de l’Éthiopie prouve que Moscou conserve une influence internationale.
Le 9 mai devient un outil de soft power. Par la mémoire de la Seconde Guerre mondiale, Moscou cherche à projeter une image de stabilité historique et de puissance. Ce rassemblement diplomatique affirme sa résistance au récit occidental de l’isolement.
En définitive, la célébration dépasse le souvenir historique pour incarner une déclaration géopolitique affirmant une vision multipolaire du monde.
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Le 9 mai 2025, Mike Borowski dévoilait les véritables enjeux derrière l’élection du pape américain Léon XIV, entre mise à l’écart du cardinal Sarah, pouvoir du Vatican et mondialisme rampant, sur GPTV !
Léon XIV, un pape américain pour une Église globalisée
L’élection de Robert Francis Prevost marque l’entrée des États-Unis dans l’histoire papale. Né à Chicago, ex-missionnaire au Pérou, il incarne une Église en mutation. Préfet du Dicastère pour les évêques en 2023, il s’est imposé par son profil international, sa modération et sa discrétion. Majoritairement choisis par François, les cardinaux ont voté pour une continuité assumée : réformes, dialogue interreligieux, gouvernance décentralisée.
Léon XIV veut renforcer la collégialité. Son expérience latino-américaine l’a sensibilisé aux défis des Églises locales, qu’il veut mieux intégrer dans la gouvernance universelle. Dès son élection, son appel à la paix s’est inscrit dans une diplomatie pontificale active, positionnant le Vatican comme acteur géopolitique majeur.
Ce pape américain incarne un catholicisme décentré, multilingue, multiculturel. L’Église affirme qu’elle n’est plus centrée sur Rome, mais sur une foi portée par la diversité des continents.
Robert Sarah écarté, le conservatisme marginalisé
Le cardinal Sarah, longtemps pressenti, a été écarté. Conservateur rigoureux, opposé à la bénédiction des couples homosexuels, à l’ordination des hommes mariés et à la synodalité, il s’est isolé. Malgré un fort soutien populaire, surtout en Afrique, son âge (79 ans) et sa ligne dure ont pesé contre lui.
Le conclave a préféré une figure plus jeune, apte à gérer les défis contemporains et à préserver l’unité ecclésiale. L’opposition frontale de Sarah à François a joué en sa défaveur. Le Vatican privilégie désormais une ligne inclusive, sans rompre avec la tradition mais en l’adaptant. Le conservatisme romain conserve une voix, mais non plus le cap.
L’Afrique toujours en marge du pouvoir pontifical
Malgré l’essor du catholicisme en Afrique, le continent reste absent des hautes sphères. Aucune élection papale, peu de poids dans les décisions. L’élection de Léon XIV perpétue ce déséquilibre. L’Afrique, pourtant moteur de vitalité spirituelle, reste reléguée.
Ce déficit de représentation a des effets concrets : peu d’attention aux besoins locaux, formation du clergé, protection des minorités, lutte contre l’islamisme. Le pouvoir central demeure sourd aux réalités africaines. L’Afrique est valorisée pour sa foi, mais écartée des décisions.
Tant que Rome n’intègre pas pleinement les voix africaines, l’universalité catholique restera inachevée. L’arrivée d’un pape américain est un symbole d’ouverture, mais elle ne compense pas l’injustice faite à une Église africaine vivante et méritante.
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Le 9 mai 2025, Marc Gabriel Draghi, Sophie Lefeez et Arnaud Develay étaient les invités de La Matinale de GPTV, animée par Raphaël Besliu !
Marc Gabriel Draghi, juriste spécialisé en histoire du droit, est l’auteur de plusieurs ouvrages critiques sur le capitalisme et le Forum économique mondial, dont Le règne des marchands du temple et La Grande Narration. Il alerte sur la soumission de l’humanité à une élite globaliste.
Sophie Lefeez est analyste en économie géopolitique, spécialisée dans les mécanismes de domination financière et les stratégies d’influence militaire. Elle décrypte les rapports de force entre puissances à travers le prisme budgétaire, industriel et sécuritaire. Son approche mêle rigueur économique et lucidité géostratégique, toujours ancrée dans une critique affirmée de la perte de souveraineté européenne.
Arnaud Develay est juriste et analyste géopolitique. Il est également auteur de l’ouvrage Foreign Entanglements: Ukraine, Biden & the Fractured American Political Consensus. Fort de ses deux ans et demi passés en Syrie, il livre une analyse sans concession sur la chute du régime de Bachar Al-Assad, les forces qui ont précipité cet effondrement et ses conséquences pour le Moyen-Orient.
L’Amérique prend le contrôle du récit occidental
L’élection du pape Léon XIV, alias Robert Francis Prevost, marque l’influence croissante des États-Unis sur le pouvoir spirituel occidental. L’église devient le symbole d’un empire américain hégémonique. En parallèle, Donald Trump restructure l’État fédéral, éliminant les influences globalistes pour restaurer la souveraineté nationale, dans une logique de guerre à venir. L’accord stratégique avec le Royaume-Uni envoie un message fort à l’Europe : les temps de la négociation sont révolus.
L’OTAN comme levier économique de domination
L’obligation imposée aux pays membres de porter leur budget militaire à 5 % du PIB frappe durement l’Europe. Ce n’est pas une réponse à une menace russe crédible, mais une stratégie américaine de domination économique. Santé, éducation et services sociaux seront sacrifiés pour acheter des armes. L’OTAN devient un outil de transfert de richesse vers l’industrie militaire américaine, condamnant toute autonomie européenne. La Russie, affaiblie, n’a pas les moyens d’attaquer l’Ouest, mais le spectre de la menace justifie cette militarisation.
Inde-Pakistan : un théâtre pour les grandes puissances
Le conflit indo-pakistanais est instrumentalisé par les grandes puissances. La Chine soutient le Pakistan pour encercler l’Inde, tandis que les États-Unis se rapprochent de New Delhi pour contenir Pékin. Le danger nucléaire est réel mais contrôlé : l’objectif n’est pas l’anéantissement, mais un affrontement limité qui permettrait à Washington de renforcer sa présence dans l’océan Indien et à Pékin de tester une guerre par procuration. L’Inde et le Pakistan deviennent les pions d’un jeu stratégique global.
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Le 8 mai 2025, Alexandra Brazzainville, Maître Danglehant et Stéphanie Reynaud étaient les invités de La Grande Émission, animée par Mike Borowski sur Géopolitique Profonde.
Alexandra Brazzainville est une personne intersexe atteinte du syndrome de Klinefelter, une condition génétique caractérisée par la présence de deux chromosomes X et d’un chromosome Y. Forte de son expérience et de son parcours, elle s’engage activement dans la dénonciation des dérives de certaines associations LGBT concernant la transition des mineurs et œuvre avec détermination pour la protection des enfants contre toutes formes de violence.
Maître Danglehant, quant à lui, est un avocat reconnu pour son engagement en faveur des droits des citoyens. Sa carrière est jalonnée de combats juridiques contre les abus institutionnels et les injustices sociales. Défenseur des causes populaires, il incarne une voix juridique puissante qui s’oppose à la concentration du pouvoir et plaide pour une démocratie plus participative et respectueuse des libertés individuelles.
Ces deux personnalités, bien que venant d’horizons différents, partagent une même vision critique du système politique actuel et s’efforcent de promouvoir un véritable renouveau démocratique en France.
Stéphanie Reynaud est comédienne. Elle est également passionnée par les médias et la communication, et anime la chaîne YouTube nommée Tribune Libre, où elle interviewe des personnalités diverses sur des sujets d’actualité.
Affaire Natacha Rey Brigitte Macron : une justice implacable face à une accusée mouranteLes 14 et 15 mai prochains, la cour d’appel de Paris rejugera l’affaire opposant Natacha Rey et Amandine Roy à Brigitte Macron. Natacha Rey, journaliste à l’origine d’une enquête controversée sur l’identité de Brigitte Macron, est gravement malade et incapable de se défendre. Son avocat, Me Danglehant, dénonce un acharnement judiciaire, soulignant que sa cliente est alitée, incapable de parler et condamnée selon ses médecins à trois mois de vie. Malgré cela, les demandes de report ont été rejetées, et l’audience se tiendra sans la présence de l’accusée.
Une affaire française qui résonne à l’international
Initialement marginalisée, cette affaire a pris une ampleur internationale. Des médias et influenceurs aux États-Unis, en Russie et ailleurs ont relayé l’enquête de Natacha Rey, alimentant un débat mondial. Des figures comme Candace Owens ont consacré plusieurs épisodes à cette controverse, amplifiant son écho outre-Atlantique.
Le procès en appel, entre bataille juridique et urgence humaine
Ce nouveau procès soulève des questions sur l’équité de la procédure. Natacha Rey ne pourra pas comparaître, et les demandes de report ont été refusées. Son avocat dénonce une procédure expéditive qui prive sa cliente de ses droits fondamentaux. Amandine Roy, co-accusée, continue de dénoncer une injustice flagrante, estimant que ce procès vise à dissuader toute enquête indépendante sur les zones d’ombre du pouvoir.
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Le 8 mai 2025, pour GPTV Investigation, Mike Borowski est allé dans les rues de Paris à la rencontre des Français pour leur parler d’un sujet aussi sensible que tabou : la franc-maçonnerie.
L’illusion populaire autour des francs-maçons
Interroger les habitants d’un quartier populaire parisien sur la franc-maçonnerie révèle une fracture béante entre perception collective et réalité de terrain. Alors que les loges se targuent de discrétion, la parole publique les dépeint encore comme de simples clubs philanthropiques. L’immense majorité des passants interrogés brandit les mêmes mots : « humanisme », « réflexion », « dialogue ». On croit encore que les francs-maçons sont de bienveillants penseurs du progrès, œuvrant dans l’ombre pour un monde meilleur. Une croyance naïve solidement enracinée.
Ce que ce micro-trottoir révèle, c’est une ignorance organisée. À force d’exposition à des récits aseptisés servis par TF1 ou France Inter, les masses ont intégré une version totalement dépolitisée et inoffensive de la franc-maçonnerie. Le public ne perçoit ni l’ampleur de son influence, ni la nature véritable de ses engagements. Pire : l’idée que les loges puissent avoir un quelconque pouvoir réel est systématiquement balayée comme « complotiste », preuve d’une grille de lecture formatée. Le fossé est immense entre ce que nous documentons chaque semaine et ce que croit encore la majorité.
Un conditionnement médiatique massif
Ce décalage est le fruit d’un long travail d’ingénierie culturelle mené par des élites qui ont appris à se fondre dans les codes républicains tout en poursuivant des logiques internes de pouvoir. En présentant la franc-maçonnerie comme un simple héritage des Lumières, les médias dominants neutralisent toute critique structurelle. On ne questionne plus ce qui se joue réellement dans les arcanes de ces réseaux : le verrouillage des postes, les nominations entre frères, les influences transversales dans les sphères politique, judiciaire, médiatique.
Le système médiatique agit ici comme un bouclier idéologique. Toute tentative de remise en question sérieuse de la franc-maçonnerie est immédiatement disqualifiée. La mécanique est bien rodée : rire jaune, renvoyer au « complotisme », invoquer l’humanisme historique des loges. Ce conditionnement rend inaudible toute voix dissidente. Dans ce brouillard informationnel, l’indifférence populaire devient le meilleur allié des structures occultes.
Accélérer la rupture avec les récits dominants
Ce que démontre ce reportage terrain, c’est l’urgence de notre mission. L’éveil des consciences ne peut plus attendre. Tant que les masses resteront hypnotisées par les récits lissés des grandes chaînes, aucune remise en cause profonde ne sera possible. La vraie fracture ne passe plus entre gauche et droite, riches et pauvres, mais entre ceux qui acceptent de regarder le réel en face et ceux qui fuient dans les narratifs confortables.
Face à cette normalisation de l’ignorance, notre rôle est d’intensifier le travail de déconstruction. Il ne suffit plus de dénoncer. Il faut rééduquer, reformuler, choquer si nécessaire. Il faut aller chercher ce public là où il se trouve, avec les mots justes, les faits précis, les angles qui dérangent.
Il n’est plus temps de ménager les croyances molles. Il est temps d’abattre les masques.
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Le 8 mai 2025, Mike Borowski vous donnait rendez-vous pour un sujet explosif, sur Géopolitique Profonde.
Thomas Fabius, de la ruine à l’opulence
En 2013, Thomas Fabius, endetté de 700 000 euros auprès de plusieurs casinos, est condamné pour escroquerie à 75 000 euros d’amende. En 2025, il acquiert l’« îlot Chirac », un ensemble immobilier de prestige à Paris, pour 165 millions d’euros. Cette transaction, réalisée avec des partenaires financiers, soulève des questions sur l’origine de ses fonds.
Justifications financières douteuses
Fabius attribue sa fortune à des gains au jeu, non imposables en France. Cependant, accumuler une telle somme nécessiterait des gains exceptionnels, difficilement vérifiables en l'absence d'obligations de traçabilité des casinos. Des prêts de la banque Monte Paschi, garantis par des contrats d’assurance vie, sont également évoqués, malgré le manque apparent de garanties solides.
Un passif judiciaire conséquent
Depuis 2009, Fabius est impliqué dans plusieurs affaires judiciaires : abus de confiance, escroqueries, faux ordres de virement, chèques sans provision. En 2015, un mandat d’arrêt est émis contre lui aux États-Unis pour des chèques sans provision totalisant 3,5 millions de dollars dans des casinos de Las Vegas. En France, il est condamné en 2019 à 75 000 euros d’amende pour escroquerie liée à un faux ordre de virement de 200 000 euros destiné à un casino de Marrakech.
Une justice perçue comme indulgente
Malgré ces infractions, Fabius n’a jamais été emprisonné. La justice française n’a pas donné suite à la demande d’extradition américaine. Ce traitement clément contraste avec la sévérité souvent observée envers des citoyens moins influents, alimentant le sentiment d’une justice à deux vitesses.
Symbole d’une élite protégée
Le parcours de Thomas Fabius illustre les privilèges dont bénéficient certains individus en raison de leur nom et de leurs réseaux. Son père, Laurent Fabius, ancien président du Conseil constitutionnel, est perçu comme un bouclier protecteur. Cette situation reflète une oligarchie où les élites semblent au-dessus des lois, renforçant la défiance envers les institutions.
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Le 8 mai 2025, Oskar Freysinger et Laurent Artur du Plessis étaient les invités de La Matinale animée par Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde.
Oskar Freysinger est un homme politique suisse, ancien vice-président de l’UDC (Union Démocratique du Centre) et ex-élu au parlement suisse. Il a également exercé la fonction de Secrétaire d’État. Aujourd’hui, il se consacre à l’écriture, la traduction et partage ses analyses en tant que chroniqueur.
Laurent Artur du Plessis est un analyste reconnu pour sa capacité à décrypter les complexités des relations internationales. Dans son ouvrage “Au cœur de la 3e guerre mondiale”, il explore les tensions géopolitiques qui définissent notre époque. Avec une approche rigoureuse et documentée, il examine les stratégies des grandes puissances et les répercussions potentielles sur l’équilibre mondial.
Conflit Inde-Pakistan : une rivalité enracinée dans la partition
Le différend indo-pakistanais ne se limite pas à un territoire : il découle de la partition de 1947, qui a divisé le sous-continent et laissé le Cachemire, à majorité musulmane, rattaché à l’Inde. Depuis, guerres (1947, 1965, 1971) et tensions (nucléaire en 1998) s’enchaînent. Le conflit est alimenté par les récits nationaux et les élites politiques des deux pays.
L’attentat du 22 avril à Pulwama, dans le Cachemire indien, a ravivé les tensions. New Delhi a accusé Islamabad, menant à des frappes croisées. Ce n’est pas un incident isolé mais un test stratégique. Sous Modi, l’Inde adopte une posture agressive, portée par un nationalisme affirmé. Le Pakistan, fragilisé, doit répondre fermement. Le cycle des représailles devient structurel.
Le piège nucléaire en Asie du Sud
L’Inde et le Pakistan sont deux puissances nucléaires aux doctrines opposées. L’Inde refuse l’usage en premier recours ; le Pakistan s’en réserve le droit en cas de menace grave. Cette asymétrie rend chaque escalade potentiellement catastrophique. En 2019, les frappes de Balakot ont montré la proximité du seuil nucléaire.
L’arsenal pakistanais, mobile et dispersé, est vulnérable. L’Inde, plus puissante militairement, pourrait vouloir exploiter cet avantage, mais Islamabad reste obsédé par la dissuasion. Le risque dépasse la région : une guerre nucléaire aurait des effets globaux (alimentation, climat, migrations). Ce conflit est un point de bascule mondial.
Les puissances face à un embrasement
La Chine, alliée du Pakistan, voit une opportunité de détourner l’Inde de ses objectifs régionaux et de sécuriser son corridor économique. Les États-Unis, autrefois proches d’Islamabad, privilégient désormais leur partenariat avec New Delhi dans le cadre du Quad, tout en voulant éviter une guerre régionale qui menacerait leurs intérêts asiatiques.
La Russie se positionne comme médiatrice mais mise sur son rapprochement stratégique avec l’Inde. L’Union européenne reste marginale, absorbée par ses propres crises. L’ONU, bloquée par les vétos, est impuissante. Si l’escalade se poursuit, les grandes puissances pourraient intervenir, directement ou indirectement, et faire du Cachemire un nouveau front mondial.
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Le 7 mai 2025, le Dr Sabine Hazan et le Dr Typhaine Pinsolle étaient les invités de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde !
Le Dr Sabine Hazan est une gastro-entérologue et chercheuse américaine d’origine canadienne, spécialisée dans le microbiome intestinal. Elle est la fondatrice de ProgenaBiome, un laboratoire de recherche axé sur l’analyse de l’ADN du microbiote humain. Elle s’est fait connaître pour ses travaux sur le lien entre le microbiome, les maladies chroniques, et plus récemment le COVID-19. Elle défend une approche personnalisée de la médecine, mettant en avant l’importance de la flore intestinale dans l’immunité et la santé globale.
Le Dr Typhaine Pinsolle est une scientifique française spécialisée en microbiologie médicale. Elle est connue pour ses prises de position concernant la pandémie de COVID-19 et les vaccins, qu’elle qualifie d’armes biologiques. Forte de son expertise, elle se distingue par ses analyses pointues sur des sujets scientifiques complexes, notamment la protéine Spike, et se positionne en opposition au narratif officiel.
La corruption systémique des revues scientifiques
La crise sanitaire a mis en lumière l'effondrement moral d'une partie du monde académique. Des revues scientifiques majeures ont été accusées d'abandonner l'objectivité au profit d'intérêts pharmaceutiques. Le système de relecture par les pairs, garant de la qualité scientifique, est remis en question, avec des évaluateurs choisis selon leur alignement idéologique et des conflits d'intérêts dissimulés.La science sous contrôle des lobbys
Le modèle économique des revues scientifiques est critiqué pour son double système de paiement, enrichissant les éditeurs tout en excluant les voix dissidentes. Les multinationales influencent les thématiques de recherche, orientent les résultats et imposent des cadres de pensée, transformant les revues en instruments de propagande.
La stratégie Gates et la privatisation de la science
La Fondation Bill et Melinda Gates est aujourd'hui l'un des acteurs les plus puissants de la gouvernance sanitaire mondiale. Elle finance des centaines d'institutions, y compris l'OMS, le GAVI, les universités et les revues scientifiques. Ce contrôle financier massif permet à la fondation de dicter les priorités de recherche, les recommandations de santé publique et les stratégies médicales mondiales.
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Le 7 mai 2025, Nicolas Stoquer révélait comment la justice, les JO Paris 2024 et la propagande LGBT ont scellé l’interdiction de critiquer le pouvoir… même d’un simple tweet, sur GPTV !
Justice d’exception pour artiste sous protection
Le 5 mai 2025, sept citoyens ont été condamnés à des peines de prison avec sursis, amendes et stages de citoyenneté pour avoir critiqué en ligne une performance jugée provocante. Ce verdict entérine une censure numérique assumée : toute remise en cause du récit officiel devient pénalement répréhensible.
La machine judiciaire s’est déclenchée avec une violence rare : perquisitions, garde à vue, réquisitions numériques. Une répression ciblée, contrastant avec la passivité observée lors de faits autrement plus graves. L’objectif est clair : dissuader toute contestation sur les réseaux sociaux, notamment envers les symboles culturels du pouvoir.
La justice n’a pas recherché l’intention, elle a exécuté une consigne politique. Ceux qui ont dénoncé le message véhiculé par Thomas Jolly et la cérémonie des JO se retrouvent criminalisés. La critique du spectacle devient une atteinte à l’ordre établi, camouflée sous la lutte contre la “haine en ligne”.
La cérémonie de la discorde
La mise en scène signée Thomas Jolly n’a pas rassemblé : elle a divisé. Dîner travesti, drag queens rejouant la Cène… Des millions de Français ont vu dans ce show une insulte à leurs valeurs. Ce n’était pas une célébration de la culture, mais une provocation déguisée en art.
Le message n’était pas neutre. La scène était militante, politique, et assumée comme telle. L’esthétique globaliste et les références LGBT ont servi un discours de rééducation culturelle. Jolly n’a pas émerveillé, il a imposé. L’émotion populaire s’est transformée en rejet – aussitôt réprimé.
Les critiques, loin d’être haineuses, exprimaient un malaise légitime. Symboles détournés, patriotisme dissous, références religieuses caricaturées : les réactions ont été celles d’un peuple confronté à une rupture culturelle violente.
Répression et silence imposé
Critiquer une œuvre subventionnée devient un délit. Le procès des opposants à Jolly révèle une stratégie claire : transformer la parole numérique en terrain judiciaire. La proximité de Jolly avec Brigitte Macron renforce l’impression d’un pouvoir culturel sanctuarisé, protégé de toute remise en cause.
Tout message devient suspect. Un tweet, un commentaire, une réaction émotionnelle… rien n’échappe. Le pouvoir ne tolère plus la dissidence, il exige l’adhésion. Ce procès n’est pas une exception, c’est un précédent.
Les médias dominants ont relayé une seule version : celle de la victime désignée. Aucun doute, aucun débat. La justice devient outil de répression symbolique. Ne pas applaudir le discours officiel devient une faute morale, bientôt un crime.
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Le 7 mai 2025, Fouad Khoury-Helou, Finn Andreen, Christian Combaz et Thierry Meyssan étaient les invités de La Matinale de GPTV, animée par Nicolas Stoquer !
Fouad Khoury-Helou est économiste et chef d’entreprise franco-libanais. Directeur exécutif du journal L’Orient-Le Jour, il a publié Liban, état de survie (2025), où il explore les causes de l’effondrement du Liban et propose des pistes de redressement géopolitique et historique.
Finn Andreen est un auteur et entrepreneur suédois basé en France, spécialisé en géopolitique. Il publie régulièrement des analyses percutantes sur les dynamiques internationales dans des médias et revues spécialisés.
Christian Combaz est écrivain et journaliste français, formé à Sciences Po et aux Beaux-Arts. Il a créé Campagnol TVL, chaîne de chroniques sur la société française, les gens simples et la mémoire nationale, avec un regard critique et artistique.
Thierry Meyssan est journaliste et fondateur du Réseau Voltaire. Il a acquis une notoriété mondiale avec L’Effroyable Imposture (2002), ouvrage dans lequel il conteste la version officielle des attentats du 11-Septembre.
L’Occident paranoïaque verrouille ses peuples
Les États occidentaux traitent désormais leurs citoyens comme des menaces. Surveillance algorithmique, reconnaissance faciale, interconnexion des bases de données : l’espace public devient un territoire sous contrôle. La loi de sécurité globale n’était qu’un prélude. Aujourd’hui, chaque attroupement, chaque contestation, est considéré comme subversif.
L’État ne demande plus l’adhésion, il impose. Il ne craint plus l’ennemi extérieur, mais le réveil intérieur. L’arsenal de répression s’élargit : militarisation de la police, traque numérique, sanctions préventives. Une guerre intérieure s’installe, où les peuples deviennent les cibles.
Une Europe spectatrice dans un monde qui bascule
L’Europe ne dirige plus, elle suit. Tandis que Russie, Chine ou Iran redessinent les rapports de force, Bruxelles applique des consignes venues d’ailleurs. La Roumanie devient un symbole de dépendance intégrale, simple réservoir de main-d’œuvre et terrain d’expérimentation austéritaire. L’Allemagne n’a plus de stratégie : Friedrich Merz incarne l’impasse.
Les États-Unis, eux, imposent leurs choix. Même hors pouvoir, Trump continue d’influencer les lignes. Le multilatéralisme est un masque : les intérêts américains dictent tout. L’Europe, divisée, se transforme en terrain d’affrontement pour puissances rivales.
Résistance nationale et verrouillage systémique
Le système français est verrouillé. Les partis sont financés, les élections surveillées, les médias unifiés. La dissidence réelle est muselée. Quand elle grandit, elle est neutralisée : pressions judiciaires, censures numériques, dissolutions administratives.
Mais la résistance s’enracine dans les marges : campagnes, quartiers oubliés, circuits alternatifs. Elle recrée des solidarités, des contre-pouvoirs, une nouvelle conscience. Ce n’est plus une opposition politique : c’est une réaffirmation existentielle. Dans une Europe verrouillée, seule la base populaire peut encore défendre la souveraineté.
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Le 6 mai 2025, Brice Perrier, Dr Typhaine Pinsolle et Patrick Pasin étaient les invités de La Grande Émission animée par Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde.
Brice Perrier est un journaliste indépendant français spécialisé en science, médecine et épistémologie, collaborant avec Marianne, Blast et Factuel. Il développe ses analyses sur Substack via sa lettre Raison Sensible.
Il vient aujourd’hui nous présenter son ouvrage L’obscurantisme au pouvoir (Max Milo), dans lequel il critique violemment la science mainstream et les dérives dogmatiques, tout en dénonçant l’irrationalité et les manipulations des médias alternatifs.
Le Dr Typhaine Pinsolle est une scientifique française spécialisée en microbiologie médicale. Elle est connue pour ses prises de position concernant la pandémie de COVID-19 et les vaccins, qu’elle qualifie d’armes biologiques. Forte de son expertise, elle se distingue par ses analyses pointues sur des sujets scientifiques complexes, notamment la protéine Spike, et se positionne en opposition au narratif officiel.
Patrick Pasin est un auteur, conférencier et entrepreneur français, connu pour ses critiques sur la géopolitique, la santé publique et la souveraineté individuelle.
Les dérives des médias alternatifs face à leur propre communauté
Les médias alternatifs, autrefois lieux de débat, cèdent de plus en plus à la logique de tribu. Ils visent moins la vérité que la validation par une audience acquise. La critique est remplacée par la flatterie, la remise en question par la fidélisation.
Les algorithmes favorisent les récits binaires et confortables. L’entre-soi prospère, le pluralisme s’efface. Même les médias critiques deviennent captifs de leur niche. Ceux qui refusent le jeu disparaissent ; ceux qui se radicalisent gagnent en visibilité. Le conformisme change de camp mais pas de logique.
La science sous contrôle, habillée de consensus
La science, prétendument neutre, est devenue outil idéologique. Elle est mise au service d’un modèle unique, dicté par des intérêts politiques et économiques. Les voix critiques sont écartées non par débat, mais par disqualification systématique.
Les revues, les comités et les institutions scientifiques ne garantissent plus la rigueur, mais la conformité. Le doute, moteur de la recherche, devient suspect. La science se transforme en religion officielle, soutenue par une autorité dogmatique déguisée en rationalité.
L’influence de Big Pharma dans les dérives des médias alternatifs
Big Pharma contrôle l’espace du débat scientifique. Ses lobbies définissent ce qui est crédible ou non, non par la preuve, mais par intérêt commercial. Les traitements non brevetables sont discrédités, les chercheurs critiques sont réduits au silence.
La santé devient un marché, la vérité un produit. Ce système verrouille les alternatives, nie les controverses légitimes et impose un récit uniforme, repeint aux couleurs de la science. Le public est privé d’une vision complète, enfermé dans une version sponsorisée de la réalité.
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Le 6 mai 2025, Mike Borowski vous invitait à découvrir son reportage GPTV Investigation, à l’occasion de la conférence de l’association « Les enfants d’Hippocrate ».
Un événement hors du système, tenu loin des projecteurs médiatiques officiels, où médecins, chercheurs, victimes et figures publiques ont brisé l’omerta sur les effets post-injection à ARN messager.
Face caméra, ils révèlent ce que les autorités refusent d’admettre : une crise sanitaire dans la crise, marquée par des milliers d’effets secondaires graves, des décès inexpliqués et un silence institutionnel assourdissant. Ce reportage donne la parole à ceux qu’on a voulu faire taire — pour que, cette fois, tout le monde entende.
Effets secondaires du vaccin ARN messager : une parole enfin libérée
Trois ans après le déploiement des vaccins à ARNm, une contre-narration s’impose. Réunis par le Dr Louis Fouché, les intervenants de l’association « Les Enfants d’Hippocrate » ont dénoncé les effets graves passés sous silence. Avec eux, des figures comme le Pr Christian Perronne, le Dr Hélène Banoun, Jean-Michel Escarguel et l’acteur Martin Loizillon ont porté un message fort.
Plus de 193 000 effets indésirables ont été recensés, dont 40 000 graves : myocardites, thromboses, décès subits, douleurs chroniques, troubles neurologiques. Jean-Michel Escarguel parle d’une « troisième Shoah », une Shoah par injection, dénonçant un désastre orchestré. Leur exigence : le retrait immédiat de ces produits.
Le récit officiel s’effondre sous les preuves
Les autorités continuent à défendre les vaccins à ARNm, mais les données biologiques montrent une diffusion incontrôlée : dans le placenta, le lait maternel, chez le fœtus animal. Loin de rester localisé, l’ARN messager circule dans l’ensemble du corps. Cette réalité, validée scientifiquement, contredit le discours rassurant initial.
Côté efficacité, le constat est tout aussi préoccupant : contre Omicron, les chiffres s’effondrent à 19–27 % après quelques mois. Janine Small (Pfizer) a reconnu l’absence de preuve sur la transmission virale. Chez les femmes enceintes, les tests ont été lacunaires. Les vaccins actuels n’ont pas été évalués contre les nouveaux variants. L’utilité devient incertaine.
Une balance bénéfice-risque devenue intenable
Les intervenants dénoncent l’opacité des procédures d’homologation, l’absence de transparence sur les essais, et le suivi négligent. La balance bénéfice-risque n’est plus défendable. Il ne s’agit plus de soupçons, mais de constats appuyés par des chiffres, des témoignages et des études.
Ce ne sont pas que des données : ce sont des vies. Des familles brisées, des carrières stoppées net. Le Pr Perronne le martèle : « Le temps est venu de dire la vérité, coûte que coûte ». Cette conférence incarne un basculement : celui où les victimes prennent la parole. Et où le système ne pourra plus faire semblant de ne pas les entendre.
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Le 6 mai 2025, Vincent Pavan et Nicolas Stoquer se retrouvaieent pour une émission exceptionnelle, sur Géopolitique Profonde.
Vincent Pavan est un mathématicien et maître de conférences à l’université d’Aix-Marseille, spécialisé en topologie et en théorie des graphes. Il est également connu pour ses prises de position critiques à l’égard des politiques sanitaires, en particulier lors de la crise du Covid-19, dénonçant certaines décisions scientifiquement infondées.
Macron en croisade laïque et maçonnique
En se rendant à la Grande Loge de France, Macron franchit un seuil inédit. Ce geste fort, à l’approche du 120e anniversaire de la loi de 1905, n’est pas seulement commémoratif : il affirme une idéologie.
La laïcité devient ici militante, technocratique, alignée sur un progressisme dogmatique. Macron se présente en protecteur d’un nouvel ordre idéologique, où le sacré est évacué au profit d’une foi dans le progrès, la vaccination, le genre fluide et le vivre-ensemble abstrait.
Derrière ce discours, la neutralité républicaine cède la place à une vérité autoritaire, portée par un nouveau clergé intellectuel. Ce n’est plus la République qui parle : c’est une doctrine d’exclusion et de contrôle culturel.
Alliance Macron–Von der Leyen vaccins : un pacte technoscientifique
Le duo Macron–von der Leyen parachève l’alliance entre pouvoir politique et industrie pharmaceutique. L’Europe devient bastion du tout-vaccin, verrouillant toute critique sur les effets secondaires de l’ARN messager.
Les autorités taisent les données, les médias relayent sans filtre, les débats sont étouffés. Ce n’est pas une science éclairée, mais un système d’opacité, d’argent public et de verrouillage moral. La démocratie cède à l’intérêt industriel.
Toute voix dissidente est disqualifiée au nom du bien commun. L’Europe a supprimé le débat, au service d’une logique de connivence sanitaire. Le pouvoir n’a pas échoué à convaincre : il a choisi d’imposer.
Choose Europe for Science : opération de recyclage woke
Macron répond à Trump qui purge les universités américaines de l’idéologie woke, en ouvrant l’Europe aux chercheurs marginalisés. Sous le slogan “Choose Europe for Science”, des centaines de millions d’euros sont injectés pour capter une nouvelle élite intellectuelle.
Mais ce programme ne vise pas les voix critiques : il cible les partisans du genre fluide, de la déconstruction, de l’ultra-modernité. L’Europe ne défend pas la science : elle l’utilise pour imposer un modèle civilisationnel.
L’UE se rêve en nouvelle Babylone : brillante, inclusive, mais fondamentalement intolérante à toute dissidence spirituelle ou identitaire. Ce n’est plus une terre d’accueil, c’est un levier idéologique.
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Le 6 mai 2025, Sylvain Ferreira, le Général Dominique Delawarde et François Martin étaient les invités de La Matinale, animée par Nicolas Stoquer sur Géopolitique Profonde.
Sylvain Ferreira est un historien militaire français, spécialisé dans l’art de la guerre et son évolution de 1850 à 1945. Il s’intéresse particulièrement à l’impact de l’ère industrielle sur les combattants et a contribué à plusieurs revues d’histoire militaire. Auteur et concepteur de jeux de stratégie, il a récemment publié La bataille de Marioupol : 25 février – 20 mai 2022.
Le Général Dominique Delawarde, Saint-cyrien de formation, a servi dans les prestigieux chasseurs alpins et la Légion étrangère. Expert en gestion des ressources humaines, il a dirigé des officiers de liaison français aux États-Unis, où il réside régulièrement. Lors de la crise balkanique de Sarajevo en 1994-1995, il a mené des opérations à la tête du 7e Bataillon de Chasseurs Alpins . En tant qu’ancien chef de la « Situation-Renseignement-Guerre électronique » pour la planification opérationnelle, son expertise militaire est indiscutable.
François Martin est un géopolitologue, journaliste et essayiste français, diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, et auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Avec une carrière de 40 ans dans le commerce international de l’alimentaire, il a acquis une expérience considérable dans plus de 100 pays, maîtrise six langues ainsi que l'analyse de sujets internationaux complexes.
Guerre informationnelle OTAN Russie : l’Histoire comme arme stratégique
Aujourd’hui, le révisionnisme historique vient des sommets de l’État. Le rôle de l’URSS dans la Seconde Guerre mondiale est nié, le pacte germano-soviétique devient central, les 27 millions de morts soviétiques disparaissent. C’est une falsification délibérée.
Cette manipulation sert à diaboliser la Russie. Le 9 mai, jour de la victoire contre le nazisme, est décrié, menacé. En Europe de l’Est, on honore Bandera, collaborateur nazi. L’Histoire est devenue un outil de guerre informationnelle de l’OTAN.
Normandie-Niemen, mémoire vivante
Face à ces dérives, des Français choisissent la continuité historique : comme les pilotes de Normandie-Niemen, ils rejoignent les lignes russes, cette fois comme dronistes, pour défendre Moscou. Ce n’est pas une nostalgie, mais un choix politique.
Comme en 1943, ils s’opposent à un empire dominateur. Hier Berlin, aujourd’hui Washington. L’escadrille n’est plus un souvenir : c’est un symbole de souveraineté et de fidélité historique. Le combat pour la vérité passe par l’action.
Un désordre mondial où l’Europe se dissout
La paix est un mirage. Washington prépare sa sortie, Moscou et Téhéran imposent leur tempo. L’axe russo-iranien progresse, renforcé par Pékin. Ce n’est pas une alliance idéologique, mais une réponse au chaos occidental.
L’Iran, loin d’être une menace, est une puissance structurante. Tandis que l’Occident agite le « péril chiite », les partenariats s’accumulent. L’axe anti-hégémonique s’affirme. L’Europe, elle, marginalisée, reste l’écho de Washington. Prisonnière de son amnésie historique, elle regarde le monde avancer… sans elle.
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