Episódios

  • Chez JGMNP, on aime défendre les sagas maudites, les séries parfois éteintes faute de succès. Après Oddworld, WipeOut, Ghouls’n Ghosts, Legacy of Kain et EarthWorm Jim, ce mois-ci, on s’est baladé dans des paysages oniriques à dos de dragon pour s’intéresser de plus près au cas de Panzer Dragoon, grande série de SEGA de la deuxième moitié des années 90.On passera en revue les principaux épisodes de la saga avant d’examiner ses influences Moebiusiennes, qu’elles soient picturales ou thématiques. Pour finir, on débattra librement de l’héritage de cette série sur les jeux vidéo des années 2000 à aujourd’hui, avec ce paradoxe en toile de fond : comment un “simple” rail shooter, genre totalement défunt, peut-il être à l’origine d’un tel culte ?Retrouvez-nous sur Twitter :- Olivier : @JGMNP_Olivier- Antoine : @antoineherren- Julien : @JGMNPGénérique de l’émission : Lukhash – Beginning of Anxiety.Jingles intermédiaires : Panzer Dragoon - The Flight (Yoshitaka AZUMA) / Panzer Dragoon Orta - Forbidden Memories (Saori KOBAYASHI) / Panzer Dragoon Saga - Premonition of War (Saori KOBAYASHI) / Panzer Dragoon Orta - City in the Storm (Saori KOBAYASHI).Générique de fin : Phantom Dust - Plastic People (Yoshiyuki USUI, Yuko ARAKI). Illustration : Panzer Dragoon Orta / SEGA, Smilebit © Tous droits réservés.

  • C'est la rentrée ! En général c'est bruyant on est content de retrouver les copains et on râle car on reprend le boulot. A JGMNP on est parti vers l'alternative : la discrétion.Toujours dans les jeux vidéo bien entendu mais le but sera de vous montrer que notre conception de la discrétion dans ce domaine est souvent loin du sens premier du mot. Pour ce faire c'est Olivier en hôte subtil qui va habilement relancer Gaëtan et Mehdi sur cette émission.Comme on est dans la pédagogie tolérante on partira dans un premier temps sur la reprise du sens de la discrétion qu'on connait tous et toutes. Ne pas se faire voir ou entendre dans un jeu et qui a pour autre nom l'infiltration. Un aspect qui d'ailleurs peut appauvrir le champ des possibles du game design.Dans un second temps on commencera à se diriger vers le sens premier du terme discrétion et pourquoi justement on se retrouve face à un art de disparaître qui n'est pas que celui d'un Metal Gear ou d'un Splinter Cell.Enfin on tentera une discussion entre chroniqueur pour interroger tout ce que notre cheminement pendant l'émission nous aura évoqué.Retrouvez-nous sur Twitter :- Olivier : @JGMNP_Olivier- Gaetan : @gaetanblaise- Mehdi : @D_MehdiGénérique de l’émission : Lukhash – Beginning of Anxiety.Jingles intermédiaires : Metal Gear Solid - Encounter (KCE Sound Team Japan) Mark of the ninja - Ninja Intro (Vince De Vera, Jason Garner)Baten Kaitos - Soul Poetry (Motoi Sakuraba)Doom - Ultraviolence (Mick Gordon)Symphony of the night – Requiem for the Gods (Michiru Yamane, Akiropito, Rika Muranaka, Jeff Lorber)Illustration : Mark of the Ninja Klei Entertainment/Microsoft Studios © Tous Droits Réservés.

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  • ll a failli ne jamais sortir, cet épisode ! En proie à diverses malédictions, son enregistrement, d'abord compromis et reporté au lendemain (suite à des problèmes techniques dont on vous épargne les détails), a fini par se dérouler lors d'une infernale soirée caniculaire. Peut-être la chaleur a-t-elle autant frappé nos machines que nos cerveaux mais, en tout cas, la qualité sonore de cet épisode est en-dessous de nos espérances. On a tout de même décidé de le proposer en guise de pastille estivale, parce que le résultat reste tout à fait écoutable et qu'un petit podcast surprise en pleine période de disette, ce n'est jamais malvenu. Hé oui : gâter nos auditeurs, c'est un peu notre passion.Dans ce numéro, chaque chroniqueur s'attarde sur un croisement entre jeu vidéo et cinéma. Mais pas que. Parce qu'il s'agit aussi, via ces rapprochements transversaux, de se pencher sur la thématique suivante : "désobéir aux codes".Comment, pourquoi ? Tout est expliqué en début d'émission. Bonne écoute et rendez-vous à la rentrée !Principales œuvres citées :- Antoine : le jeu Home (Benjamin Rivers) et le film Essential Killing (Jerzy Skolimowski).- Julien : le jeu Comix Zone (SEGA) et le film Scott Pilgrim VS the World (Edgar Wright).- Olivier : le jeu Life is Strange (Dontnod) et le film Memento (Christopher Nolan).- Rubrique C'est pas du jeu ! : American Gods / 13 Reasons Why / Twin Peaks / Tokyo Vampire Hotel.Retrouvez-nous sur Twitter :- Fred : @fureddo_jigoku- Antoine : @antoineherren- Olivier : @JGMNP_OlivierGénérique de l’émission : Lukhash – Beginning of Anxiety. Jingles intermédiaires : Comix Zone - Episode 1, Page 1-1 / Essential Killing - Ending Theme. Générique de fin : Lightning Bolt - 2 Moro Moro Land. Illustration : Scott Pilgrim VS the World / Comix Zone © Tous droits réservés par leurs auteurs respectifs.

  • L'idée de cette émission, préparée par Gaëtan, Olivier et Fred, c’est d'étudier la conception du temps portée par les jeux vidéo, d’un point de vue technique - comment est géré le temps dans le programme informatique jeu vidéo, et ce que ça implique. Et l'objectif c’est de prendre du recul sur ces conceptions du temps, comprendre à quel point elles sont seulement des conceptions, des manières de voir. Que finalement, rien n’empêcherait d’utiliser d’autres manières de voir pour penser d’autres jeux vidéo.Pour prendre du recul, comme on en a l’habitude à JGMNP, on va convoquer un peu de connaissances hors-jeu-vidéo. Cette fois, ce sera un peu de physique et un peu de philosophie. On voulait parler un peu de conception sociale du temps, mais on l'a pas eu (le temps). Donc ce sera pour un Time Extended prochain.On commencera par décrire un mécanisme important dans la programmation des jeux vidéo : la boucle update, et ce qu'elle implique en terme de conception du temps. On verra comment on l'utilise pour simuler le temps et des mécaniques de jeu en rapport avec le temps. On finira par parler de question de la synchronisation dans les jeux en ligne, c'est à dire la manière qu'on a de faire coincider les temps de différents joueurs.Retrouvez-nous sur Twitter :- Olivier : @JGMNP_Olivier- Gaetan : @gaetanblaise- Fred : @fureddo_jigokuGénérique de l’émission : Lukhash – Beginning of Anxiety.Jingles intermédiaires : Braid – Long Past Gone / Zelda a link to the past - Dark world (The Consouls) / Chrono Cross 'The Dream That Time Dreams (Manami Morita) / Zelda - Song of Storms (Oliver García Wilhelm) / Nier Automata - The Weight of the World (Japanese Version) ニーア オートマタ「壊レタ世界ノ歌」歌詞付きIllustration : Prince of Persia / Ubi Soft © Tous Droits Réservés.

  • Trigger Warning/Disclaimer : Ce numéro évoquera des thématiques susceptibles de choquer certain.e.s et relatives à la notion de traumatisme au sens étendu (viol, suicide, deuil,...).Nouveau numéro, nouveau sujet, jusqu’ici rien de neuf mais une thématique assez troublante ce mois-ci. On vous avait déjà peut-être perturbé avec notre double numéro sur le sadomasochisme il y a quelques années, on remet le couvert avec la question du traumatisme. Quel est la particularité de ce sujet dans la sphère vidéoludique ?Hé bien c’est ce que nous avons tenté de discuter en se concentrant sur la définition même de la notion de traumatisme, ses usages/spécificités dans les jeux vidéo et enfin un dernier temps d’échange sur des cas concrets du jeu vidéo. Donc suivez Olivier, Antoine et Mehdi pour explorer ces méandres aussi perturbants que fascinants.Retrouvez-nous sur Twitter :- Olivier : @JGMNP_Olivier- Antoine : @antoineherren- Mehdi : @D_MehdiGénérique de l’émission : Lukhash – Beginning of Anxiety.Jingles intermédiaires : Heavy Rain – Ethan Mars' Main Theme / Suikoden II - Tension / Darkest Dungeon - Main Theme / NieR Automata - City Ruins (Rays of Light) / Katamari Damacy - Gin & Tonic & Red Red RosesIllustration : Papo & Yo / Minority Media © Tous Droits Réservés.

  • L’introspection. Le fait de regarder à l’intérieur de soi. Par le biais de procédés divers, toutes les formes narratives ont tenté de nous faire ressentir la plongée dans l’esprit d’un personnage – ou parfois en nous-même. Pour autant, qu’en est-il lorsque l’interactivité s’en mêle ? Comment créer l’illusion d’incarner quelqu’un d’autre ? Peut-on garder une réelle cohérence lorsque le joueur, par le supplément d’âme qu’il injecte, devient en quelque sorte co-scénariste d’une œuvre ?Voici la principale thématique abordée dans ce septième épisode de Je Game Mais Pas Que, le spin-off de JGMNP consacré aux croisements entre le jeu vidéo et le reste du grand bain culturel. Un sujet abordé selon trois angles distincts (jeu vidéo X littérature, jeu vidéo X bande dessinée, jeu vidéo X cinéma) et proposé par notre ami Xavier, animateur du podcast Comme en passant qui, comme nous, adopte une démarche pluriculturelle, accessible et détendue. Bonne écoute et à bientôt !Principales oeuvres citées :- Xavier : le jeu SOMA (Frictional Games) et le roman À la recherche du temps perdu (Marcel Proust).- Fred : le jeu Heavy Rain (Quantic Dream) et le manga Fraction (Shintaro Kago).- Antoine : le jeu Rymdresa (Morgondag) et le film Sonatine (Takeshi Kitano).Retrouvez-nous sur Twitter :- Fred : @fureddo_jigoku- Antoine : @antoineherren- Xavier : @CommeenpassantGénérique de l’émission : Lukhash – Beginning of Anxiety.Jingles intermédiaires : Mikko Tarmia – Main theme (SOMA) / Jun Miyake – Lilies in the Valley (Pina).Illustration : Heavy Rain / Fraction © Tous droits réservés par leurs auteurs respectifs.

  • Qu’est-ce qu’un jeu vidéo inachevé et quels intérêts peut-on y trouver ? Voilà le fil rouge du cinquantième épisode de Je Game Moi Non Plus.L’année 2016 a vu naître un véritable cas d’école, celui de Final Fantasy XV, que de nombreuses personnes considèrent comme une oeuvre inachevée. Pour autant, différencier ce qui est terminé de ce qui ne l’est pas reste une tâche complexe et dépendante des sensibilités personnelles. Quelle est la définition de l’achèvement ? Quid des antécédents dans d’autres formes de création, comme la sculpture ou la littérature ? Dans cette émission, Olivier (présentation), Fred (direction), Antoine et Julien (appui) se questionneront en suivant une progression allant des oeuvres inachevées les moins assumées par leurs créateurs à celles qui le sont le plus. Il s’agira d’abord de se pencher sur l’inachevé « privé », c’est-à-dire ce qui n’est pas supposé être diffusé (les jeux annulés, par exemple). Ensuite, des cas plus ambigus seront traités : les oeuvres diffusées et commercialisées dans un état que l’on peut considérer comme inachevé. Enfin, une partie plus analytique se concentrera sur « l’esthétique de l’inachevé », c’est-à-dire lorsque l’inachèvement devient une démarche créatrice volontaire.Alors, les jeux vidéo inachevés sont-ils comparables à des verres à moitié pleins ou à moitié vides ? Bonne écoute et n’hésitez pas à confronter vos avis aux nôtres dans les commentaires.Retrouvez-nous sur Twitter :- Olivier : @JGMNP_Olivier- Fred : @fureddo_jigoku- Antoine : @antoineherren- Julien : @JGMNPGénérique de l’émission : Lukhash – Beginning of Anxiety.Jingles intermédiaires : Sonic X-Treme – Space Queens / FFXV – Stand by me / Virginia – Sojourner's Truth / The Last Guardian – Epilogue.Illustration : Final Fantasy XV / Square Enix © Tous Droits Réservés.

  • Depuis la fin des années 2000, avec les séries des Bioshock et des Souls, les développeurs et les commentateurs se sont mis à discuter de narration environnementale. En apparence, la définition est simple. La narration environnementale, c’est le fait de raconter un jeu via les environnements que le joueur traverse ou les éléments du monde que le joueur rencontre. Il s’agit d’une manière indirecte de raconter une histoire.Mais, comme souvent dans JeGameMoiNonPlus, les apparences sont trompeuses. Si on creuse un peu le concept, plusieurs éléments posent question. Pourquoi s'est-on rendu compte si tard que les décors racontaient des histoires ? Et est-ce vraiment le cas ? Quelles sont les méthodes des narrations dites environnementales ? Ces méthodes sont-elles purement environnementales ?Olivier, Fred, Julien et Gaëtan se chargeront de répondre à ces questions, de manière plutôt critique. Ils remettront d'abord en cause l'hégémonie des années 2000-2010 sur la narration environnmentales. En comparant leurs expériences de jeu, ils chercheront à définir les mécanismes efficaces de ce type de narration. Et ils finiront par se rendre compte, en faisant entrer le gameplay dans l'analyse, que la question est encore plus complexe qu'anticipé. Mais, chers auditeurs, vous ne souhaiteriez quand même pas que l'on vous laisse, à la fin de l'émission, avec moins de questions que vous en aviez au départ ?Retrouvez-nous sur Twitter :Fred : @fureddo_jigokuGaetan : @GaetanBlaiseOlivier : @JGMNP_OlivierGénérique de l’émission : Lukhash – Beginning of Anxiety.Illustration : Uncharted 4 : A Thief's End / Naughty Dog © Tous Droits Réservés

  • Portal a dix ans. C'est autour de cette oeuvre culte que Fred et ses chroniqueurs ont sorti le bistouri, prêts à décortiquer les détours cliniques du complexe d'Aperture Science. Un jeu-étape, aussi porteur d'innovations ludo-narratives et de traits emblématiques qu'inscrit dans le prolongement d'oeuvres influentes – THX 1138 pour sa dystopie immaculée, 2001: l'odyssée de l'espace pour son rapport homme-machine, etc. En bref, un titre important du bain culturel global, qui peut être vu sous de nombreux angles et à partir duquel, dans ce sixième JGMPQ, spin-off détendu consacré aux croisements transversaux, nous bifurquerons vers du cinéma, de la photographie, de la programmation et de l'architecture. De belles découvertes en perspectives et certains détours inattendus.En vous souhaitant une excellente écoute !Principaux éléments cités :- Olivier : Stargate (cinéma et série télé).- Mehdi : La traversée, exposition de Mathieu Pernot (photographie).- Gaëtan : réflexion sur la programmation des portails.- Fred : L'Eglise de la Lumière de Tadao Ando (architecture).- Rubrique "C'est pas du jeu !" : Conférence de Swing Swing Submarine à Lyon / Orange is the New Black / Plateaux-télé en série / Kuro.Retrouvez-nous sur Twitter :Fred : @fureddo_jigokuMehdi : @D_MehdiGaetan : @GaetanBlaiseOlivier : @JGMNP_OlivierGénérique de début : Lukhash – Beginning of Anxiety.Jingles intermédiaires : OST de Portal.Générique de fin : Atom™ - Strom.Images d'ouverture : Portal et L'Eglise de la Lumière de Tadao Ando (photo : Tokyo Wing).Droits réservés à leurs auteurs respectifs.

  • De l’humour, de l’action, de la folie dans cet épisode consacré à la série Earthworm Jim! Pour rester dans le rire et ne pas tomber dans la honte et l’embarras, nous écarterons l’épisode 3D pour nous concentrer sur les deux premiers.Zéphirin et ses grands éclats de rire nous accompagneront tout du long. En plus d’officier aux côtés de nos collègues du podcast la Caz Rétro pour défendre le jeu vidéo ancien et honorable, Zéphirin dessine pour le magazine BD Psikopat.Hôte parfait pour ce numéro en somme puisque Earthworm Jim est né du crayon cinglé de Douglas TenNapel, animateur de son état !Croisement fantastique entre Tex Avery et les Monty Python, la série nous a poussé vers l’analyse de son humour bouffon. En premier lieu, nous traiterons des liens comiques que les jeux entretiennent avec le joueur puis nous étudierons les aspects parodiques et satiriques du diptyque.Pour suivre Zéphirin :http://www.psikopat.com/http://lacazretro.fr/Sources :https://killscreen.com/articles/laughing-stock-doug-tennapel/Générique de l’émission : Lukhash – Beginning of Anxiety.Illustration : Earthworm Jim /Virgin Interactive © Tous Droits Réservés

  • Si vous avez écouté le dernier épisode en date de Je Game Moi Non Plus, vous savez qu’on vient de fêter nos 5 ans. Et également que ce numéro contenait notre « briefing » concernant le sujet qui nous intéresse aujourd’hui. Le principe du 5e spin-off d’ouverture culturelle Je Game Mais Pas Que est celui de la liste de Noël… à contraintes ! Pour ce faire, chacun a pioché des mots dans 3 bols différents, représentant le type d’objet (exemple : un livre), un qualificatif (exemple : « d’aventure ») et la cible du cadeau (exemple : un oncle raciste). Chaque personne s’est donc retrouvée avec 2 cadeaux à offrir virtuellement... et, bien évidemment, certains ont eu plus de chance que les autres ! En espérant vous avoir (pourquoi pas ?) aidé à faire vos courses de Noël, on vous souhaite de passer un bon moment avec ce numéro plein de découvertes, de bonne humeur et d’ouverture. A la prochaine et bonnes fêtes de fin d’année !Principales œuvres citées :Misfits (Série TV)The Typing of the Dead (Jeu)Fahrenheit (Jeu)Transmetropolitan (Comics)Chef's Table (Série TV)And Never The Twain (Concert/Musique)Das Experiment (Film)Best of de Carlos (Musique)Paroles de Fralib / Lecture de Philippe Durand (Sortie/Expo)Des Cannibales tiré des Essais de Montaigne (Livre)Fun Home (BD)Des Fleurs pour Algernon (Livre)Rubrique de fin :Olivier : Stranger ThingsJulien : Twilight Princess HD & A Link Between WorldsAntoine : Festival AMAZE (Berlin)Fred : The Neon DemonGaëtan : Essai d'empirisme radicalMehdi : Jodorowsky's DuneErratum : La compilation de musique noise évoquée n'est pas exclusivement japonaise mais internationale, et n'est pas trouvable sous le nom Noizu Wō (ça, c'est la prononciation phonétique japonaise, ノイズ・ウォー, et le titre d'un ouvrage de l'artiste Merzbow, qui participe à la compil') mais Noise War, en anglais, chez Mother Savage Noise Productions. Petit cafouillage, donc, désolé !---Générique de début : Lukhash – Beginning of Anxiety. Jingles intermédiaires : Misfits Trailer / Kurt Stenzel - Parallel World (Dune OST) Générique de fin : Ramin Djawadi / Westworld / Paint It, Black. Images d'ouverture : Zelda: Twilight Princess et The Neon Demon. Droits réservés à leurs auteurs respectifs.

  • Ils sont six. À peine trentenaires, ils possèdent tous (au moins) une barbe, trois doctorats, deux prix Nobel et une statue honorifique dans leur ville de naissance. Si telle est l’image que vous vous faites de Je Game Moi Non Plus, vous allez certainement en changer ! Car pour fêter dignement nos cinq ans de bromance au sommet (et involontaire : précisons que JGMNP n’est pas une secte de mâles mais l’Histoire en a décidé ainsi), cette émission anniversaire se place sous le signe du WTF le plus total. Enregistré un beau week-end d’automne, en Champagne, autour de quelques verres et d’énormément de bonne humeur, ce 47e épisode déroule un programme multiple et décomplexé, sorte de festival d’amitié virile, de culture gaming et de fous rires en tous genres !Pour ouvrir le bal, c’est une compilation de nos meilleurs souvenirs relatifs à l’aventure JGMNP qui s’invite à la table. Ensuite, Mehdi et Olivier mettent leurs collègues à l’épreuve dans un « Gamer Quiz » au sommet. Qui l’emportera ? Un indice chez vous : barbu. On continue avec un tirage au sort déjà culte, une surprise qui ne sera pas sans conséquences sur le prochain épisode à paraitre ! Enfin, la section « à quoi vous jouez ?» fera son digne retour pour, tout de même, parler un peu plus sérieusement (?) de jeu vidéo. N’oubliez pas de rester pour le bonus après le générique de fin…Un dernier mot pour remercier chacun(e) d’entre vous de nous suivre depuis si longtemps. Nous sommes tous fiers, via notre émission et nos six profils très variés, de prouver qu’il est tout à fait possible de réfléchir sur des sujets un tant soit peu poussés en restant accessibles et détendus. Car si la volonté de rigueur et la curiosité intellectuelle nous caractérisent, il nous tient aussi à coeur d’éviter tout élitisme car, non, rappelons-le une dernière fois, nous ne revendiquons aucune forme de légitimité académique. Et cela nous sera toujours bien égal.En vous souhaitant une excellente écoute, on se donne rendez-vous dans quinze jours pour un épisode spécial Noël du spin-off Je Game Mais Pas Que !---Générique de l’émission : Lukhash – Beginning of Anxiety.Jingles : Burger Quiz / Metal Gear Solid 2 / Suikoden 2 / Batman Arkham KnightIllustration : Final Fantasy XV / Square Enix © Tous Droits Réservés

  • Qu'est ce qu'un auteur de jeux vidéo ? Quelles grandes thématiques les obsèdent ?Comment s'organise le droit d'auteur dans le jeu vidéo ?Autant de questions auxquelles nous ne répondrons pas dans cette émission ! Dans cette 46ème émission, nous nous intéresserons à la façon dont le milieu vidéoludique perçoit l'auteur, nous observerons son évolution au cours de ces 37 dernières années.Avant d'être cette évidence partagée par nombre d'intellectuels, la notion d'auteur est une pure construction naissant timidement au cours du XIIIème siècle et s'imposant définitivement au cours du XIXème siècle. Au moyen âge, en littérature, l'auteur est limité, il est comme élu par les instances religieuses. Il ne suffit pas d'écrire un ouvrage pour devenir auteur, il faut des qualités bien particulières. Au XIXème siècle, l'auteur tue Dieu. Sainte Beuve, critique littéraire, conçoit toute une théorie pour analyser l'intention de l'écrivain, relier biographie et œuvre... En peinture, on chasse la moindre signature sur chaque tableau... L'auteur est loué et même si des Mallarmé, des Proust fin XIXème/début XXème ou plus encore Michel Foucault et Roland Barthes (avec leur théorie sur la mort de l'auteur dans les années 1960) tentent d'endiguer la portée de cette notion, elle perdure encore à notre époque.Poursuivons avec le cinéma -plus proche des jeux vidéo- où la notion est extrêmement solide. En 1948, Astruc écrit un article fondateur, « La caméra stylo » qui établit le cinéaste comme auteur et inspire un groupe de critiques exerçant aux Cahiers du Cinéma. Les « Jeunes Turcs » (les Truffaut, Godard et Chabrol... futurs réalisateurs de la Nouvelle Vague), comme surnommé par André Bazin, premier rédacteur en chef des Cahiers, défendaient une notion d'auteur maximisée et dénommée politique des auteurs. En délimitant un corpus précis, constitué aussi bien de cinéastes art et essai que de cinéastes hollywoodiens, cette « politique » fonde son propos sur l'amour éprouvé pour un auteur. Truffaut disait qu'un mauvais film réalisé par un auteur valait mieux qu'un bon film créé par un réalisateur extérieur au corpus.Qu'en est il du jeu vidéo ? Si cette notion occupe peu de place dans les débats quotidiens, elle a tout de même creusé son trou au fil des ans. Nous retracerons son essor en partant des années 80 et 90, âge obscur où la figure de l'auteur se fait discrète. Nous traiterons de la seconde période -du milieu des années 90 jusqu'à la fin des années 2000- où elle prend son envol : le milieu professionnel et le public caractérisent dès lors plusieurs visages. Troisièmement, nous verrons comment, dès la fin des année 2000, la figure de l'auteur se diversifie, s'impose chez une poignée d'intellectuels et de développeurs, mais aussi la façon dont elle est freinée par les logiques du monde vidéoludique.Sources :Qu'est ce qu'un auteur ? http://www.fabula.org/compagnon/auteur.phpNext Generation : https://archive.org/details/next-generation-magazinePlaystation Magazine : http://abandonware-magazines.org/affiche_mag.php?mag=103« The lord of game developers » : http://www.salon.com/2000/05/05/molyneux/Games Magazine : http://www.games-magazine.fr/The auteur movement : https://www.youtube.com/watch?v=XUWFH17Q3Aw—Générique de l’émission : Lukhash – Beginning of Anxiety.Jingles utilisés : Mdk, Tommy Tallarico, Prologue / Policenauts, Kukeika Club, Old L.A 2040 / Super Meat Boy, Danny Baranowsky, The Battle of Lil' Slugger / Fable 3, Russel Shaw, Reaver MansionGénérique de fin : The Bedquilt Ramblers - Long Journey Home (Kentucky Route Zero)Illustration : Peter Molyneux © Tous Droits Réservés

  • Incarnation d’une certaine idée du futur du jeu vidéo, celui des Full Motion Video dans les années 90, les voix font aujourd’hui partie de notre quotidien vidéoludique. Depuis une quinzaine d’années, il arrive même que des acteurs célèbres prêtent leurs voix à des personnages, soient modélisés et livrent une “performance” pour un jeu : Kevin Spacey pour Call of Duty: Infinite Warfare, Jean Réno pour Onimusha 3 ou Kiefer Sutherland pour Metal Gear Solid 5.Comment peut-on mettre à profit les voix dans le jeu vidéo ? Peuvent-elles avoir une autre fonction que d’apporter plus de réalisme ou de crédit à une production ? L’émission sera divisée en trois parties. Dans un premier temps, on s’attardera sur les doublages. Puis, nous nous focaliserons sur des titres où le doublage est intimement lié au gameplay, voire le seul point d’entrée dans l’interactivité. Enfin, nous conclurons ce podcast en revenant sur les jeux qui nous paraissent les plus marquants de ce point de vue, la voix devenant un élément indispensable à la narration, ou permet de faire exister des personnages à elle seule.—Générique de l’émission : Lukhash – Beginning of Anxiety.Jingles utilisés : Gustavo Santaolalla - Smugglers (The Last of Us), Extrait du doublage français de Binary Domain, Darren Korb - The Pantheon (Ain't Gonna Catch You) ; (Bastion), A Thief's End - Henry Jackman (Uncharted 4: A Thief's End)Générique de fin : Garry Schyman - Welcome to Rapture (Bioshock)Illustration : Portal 2 © Valve

  • Quatrième numéro de Je Game Mais Pas Que, le spin-off détendu consacré aux croisements culturels. Un épisode enregistré peu de temps avant la fin de l'été et dans lequel Fred accueille trois de ses acolytes : Antoine, Julien et Olivier. Autant de cerveaux en ébullition (canicule oblige) qui s'attardent exclusivement sur l'un des médias les plus populaires de ces dernières années : les séries télévisées. Il s'agit, pour chaque intervenant, de croiser un ou plusieurs jeux vidéos avec une ou plusieurs séries, en proposant toujours un petit débat transversal. Au menu : la robotique, l'au-delà, les années 1980 et le huis clos.Bonne écoute et à bientôt pour l'épisode 5 !Principales œuvres citées :- Olivier : le jeu Detroit : Become Human et la série Real Humans.- Antoine : le jeu Valkyrie Profile et la série Six Feet Under.- Julien : le jeu Metal Gear Solid V et la série The Americans.- Fred : sur la thématique du huis clos, divers jeux dont la série des Yakuza (2005-..., SEGA) et la série Orange is the new black (2013-...).- Rubrique "C'est pas du jeu !" : Kaamelott / Show me a hero / Chef's Table / The Get Down.Générique de début : Lukhash – Beginning of Anxiety.Jingles intermédiaires : trailer de Real Humans / trailer de The Get Down.Générique de fin : Grouplove - Bojack Horseman ending credits.Images d'ouverture : Valkyrie Profile (image render : Guigui_mou) et Six Feet Under.Droits réservés à leurs auteurs respectifs.

  • Nouveau numéro de Je Game Moi Non Plus et cette fois-ci, on a décidé de s'enivrer avec vous !On parlera donc d'alcool(s) au singulier et au pluriel, dans cet épisode. Pourquoi l'alcool dans les jeux vidéo ? Son traitement est-il particulier avec ce que lui offre la matière vidéoludique ou se rapproche-t-il de celui d'autres domaines déjà existants ? Que serait une expérience "alcoolique" pour le joueur ? C'est le genre de questions qu'on s'est posées sur cette émission, sans perte d'équilibre en prime !Pour ce faire Antoine et Mehdi étaient sur l'affaire accompagnés d'un guest éclairé et éclairant sur le sujet qui nous a évité l'alcool triste. Il s'agit de Pippo du podcast Jeu de pixel (http://jeudepixel.fr/) et ancien mais encore régulier intervenant freelance sur HautBasGaucheDroite (http://www.hautbasgauchedroite.fr/). Vous pourrez aussi le retrouver sur son twitter : @ascheseBonne dégustation ! :wink:—Générique de l’émission : Lukhash – Beginning of Anxiety.Jingles utilisés : Catherine - Also sprach Brooks , Concker's bad fur day - The old chap, VA-11 Hall-A Cyberpunk Bartender Action - Story Trailer,Générique de fin : Zone of the enders 2: Anubis - Beyond the bound composé par Maki Kirioka et interprétée par Maki KimuraIllustration : Concker's bad fur day

  • C'est la rentrée pour Je Game Moi Non Plus ! Un coup d'envoi donné par le troisième épisode du spin-off Je Game Mais Pas Que consacré, pour rappel, aux croisements culturels. Choix cornéliens, théorie du jeu, physique quantique et autres discussions libres sont au programme de cet épisode riche en oeuvres à découvrir, dont vous retrouverez les références ci-dessous. Bonne écoute et à très bientôt pour le 44ème épisode de JGMNP !Principales oeuvres citées :- Olivier : les jeux vidéo de Telltale Games (The Walking Dead, Game of Thrones,...) et la série télévisée Chosen (2013–...).- Gaëtan : les jeux vidéo Journey (2012, Sony CE), League of Legends (2009, Riot Games) et le livre LE JEU: Essai de déstructuration (2002, Harmattan) de Jean-Louis Harter.- Fred : le jeu vidéo Bioshock Infinite (2012, 2K Games) et la bande dessinée Le Mystère du Monde quantique de Thibault Damour et Mathieu Burniat (2016, Dargaud).- Rubrique "C'est pas du jeu !" : Vinyl / Les Misérables / Fight Club 2.Générique de début : Lukhash – Beginning of Anxiety.Jingles intermédiaires : Scott Bradlee's Postmodern Jukebox – Girls Just Wanna Have Fun (Vintage 1912 Bioshock Infinite) / trailer de Vinyl.Générique de fin : Access to Arasaka - kill_recorder=$c1Images d'ouverture : Journey et Le Mystère du Monde quantique.Droits réservés à leurs auteurs respectifs.Episode enregistré le 30 mai 2016.

  • On s'est rendu compte d'un truc, dans JeGameMoiNonPlus. C’est que dans plein de jeux, mais genre vraiment dans plein plein plein, il y a des objets. Des trucs que notre avatar peut ramasser, pour faire, ou pas, des choses avec.Brillante analyse, nous direz-vous. Sauf qu'on en a jamais parlé. C'est un sujet essentiel du game design, un outil présent dans une grande majorité de jeu, et on en a jamais parlé. Et on est d'ailleurs pas les seuls.L'idée de l'émission est donc de réparer ce manque, d'analyser un sujet qui comme ça a l'air obvious, et qui se révèle pourtant relativement complexe : les objets dans le jeux vidéo. Et on se rendra compte que les problèmes se posent dès la définition.Dans un premier temps, on étudiera justement ces problèmes. Le rapport étrange qu'entretiennent les objets avec l'avatar du joueur, et l'intégration paradoxale de l'objet dans l'univers de jeu. Dans un second temps, on s'intéressera à l'utilisation des objets, et on commencera à saisir leur très grande importance dans la discussion joueur-jeu, et donc la raison de leur omniprésence. On finira probablement par deviser dans la bonne humeur, par se rendre compte qu'on pourrait aller plus loin mais que l'émission touche à sa fin.Pendant l'émission, vous serez accompagnés par Julien, Fred et Gaëtan---Générique de l’émission : Lukhash – Beginning of Anxiety.Générique de fin : The Elder Scrolls, Skyrim – Standing StonesIllustration : Legend of Zelda - Majora's Mask © Nintendo

  • Second numéro de Je Game Mais Pas Que, l'émission des croisements culturels menée par l'équipe de Je Game Moi Non Plus. Fred, à l'animation, est cette fois accompagné d'Antoine, Julien et Mehdi.Dans cet épisode, la formule a été légèrement affinée. Tout commence par un rapide debriefing du n°1. Ensuite, chacun des membres a non seulement préparé un croisement entre un (ou plusieurs) jeu(x) et d'autres objets culturels, mais également une problématique liée à ce croisement. Ce qui donne quatre petits débats aux thèmes aussi variés que "Le jeu vidéo peut il utiliser la citation en usant de ses moyens propres ?" ou "Peut-on vraiment donner la parole aux animaux ?". Pour ceux qui souhaitent retrouver les œuvres citées, elles sont listées en fin de ce billet.Tout cela est suivi d'une nouvelle section, le sas de décompression "C'est pas du jeu !", où les chroniqueurs nous racontent ce qu'ils ont vu, lu, écouté,... récemment, en se détachant totalement du jeu vidéo.Sur ce, on espère que ça vous a plu et on vous donne rendez-vous au prochain numéro ! Entre temps, n'hésitez pas à nous laisser vos commentaires pour prolonger le débat, préciser, contester, saluer ou autre.---- Julien : le jeu The Evil Within (Bethesda, 2014) et le film Paprika (2006) de Satoshi Kon.- Mehdi : le jeu Tokyo Jungle (Sony CE, 2012) et le comic book Les Seigneurs de Bagdad (Vertigo/Urban Comics, 2006/2012) de Brian K. Vaughan et Niko Henrichon.- Antoine : le jeu Metal Gear Solid V : The Phantom Pain (Konami, 2015) et le roman Au cœur des ténèbres (1889) de Joseph Conrad.- Fred : réflexion globale sur la réappropriation des codes cyberpunk à partir des années 1990. Sont abordés, notamment : le manga Akira (1982–1990) de Katsuhiro Otomo, le film Blade Runner (1982) de Ridley Scott, le roman Neuromancien (1984) de William Gibson, l'album Cyberpunk (1993) de Billy Idol, le jeu Killzone Shadow Fall (Sony CE, 2013).Pour aller plus loin :– L'article sur Leo Castaneda évoqué par Antoine– L'article sur Tokyo Jungle évoqué par Mehdi– Le clip Reminder de Moderat, issu de l'album III dont il est question dans la section "C'est pas du jeu !". Un clip très inspiré par le jeu vidéo...– Article Wikipédia de la société Mutato Muzika, gérée par le chanteur du groupe DevoGénérique de début : Lukhash – Beginning of AnxietyJingles intermédiaires : trailer de Tokyo Jungle et thème d'ouverture de Killzone 2.Générique de fin : Devo - Some things never changeImages d'ouverture : The Evil Within et Blade Runner.Droits réservés à leurs auteurs respectifs.

  • Amis des animaux bonjour. Si les jeux vidéo fourmillent de nos cousins les bêtes, peu d’entre eux leurs rendent réellement justice. Au mieux, l’animal est anthropomorphisé, devenant une mascotte étrange aux capacités uniques. Au pire, les jeux vidéo délaissent la bête, l’outillant comme un vulgaire objet.Il existe un entre deux que nous tenterons d’explorer à travers des exemples variés: jeux rétro, expérimentaux, jeux d’action aventure... Nous verrons les divers rôles que l’animalpeut endosser, analyserons son rapport à l’homme, qu’il lui soit soumis, étranger ou supérieur.Nous consacrerons la première partie à l’animal comme allié du joueur, pour ensuite analyser les jeux dépourvus de toute présence humaine et terminer sur les jeux présentant l’animal en situation de conflit.Mehdi, Antoine et Olivier se chargeront de vous guider au sein de ce sujet peu exploité.---Générique de l’émission : Lukhash – Beginning of Anxiety.Générique de fin : Okami - Conversing with a GodIllustration :Okami © Capcom