Episodes
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Dans l’histoire de la musique dites populaires, les titres de « King » ou « Queen » ont souvent été attribués aux plus grandes stars. Il y a eu le « King » avec Elvis Presley, le « King of Pop » pour Michael Jackson, et le « Godfather of Soul » avec James Brown pour ne citer qu’eux. Depuis plus de 30 ans, des artistes comme Adèle, Céline Dion, Beyoncé, Mariah Carrey, ou Mary J. Blige ont également hérité de ces couronnements symboliques, devenant les « Queens » voire les « Divas » de la scène moderne.
Mais bien avant ces stars contemporaines, une femme a incarné le sommet de ce règne musical : Aretha Franklin, la seule et l’unique « Queen of Soul ». C’est elle qui a pavé la voie pour toutes ces grandes voix féminines qui l’ont suivie. Aretha Franklin n’était pas seulement une chanteuse, elle était une force culturelle. Elle a imposé un style vocal qui fusionnait gospel, soul, et pop, avec une puissance et une émotion inégalée.
Née en 1942 à Memphis, Tennessee, Aretha a grandi à Detroit, dans une famille profondément ancrée dans la spiritualité, et le monde du gospel. Son père, le révérend C.L. Franklin, était une figure influente et c’est dans son église qu’elle a fait ses premières armes.
La suite.. on vous la raconte dans cet épisode, avec Frédéric Adrian car l’impact d’Aretha Franklin est immense, non seulement dans l’histoire de la musique, mais aussi dans celle de la société américaine. -
Que l'on écoute ou pas ABBA, nous connaissons pratiquement tous leurs hits par cœur. Comment est ce possible ou plutôt Comment faire autrement ? Avec 200 millions de disques vendus à travers le monde, il semble qu’il soit impossible de traverser un espace public ou d’allumer une radio sans tomber sur un refrain d’ABBA. Ils font partie de ces groupes qui se sont installés dans la bande-son collective de nos vies, qu’on le veuille ou non. Leur triomphe à l'Eurovision en 1974 avec Waterloo les a propulsés au rang de superstars, déclenchant une frénésie planétaire. S’ensuit des tournées mondiales, des hits en cascade comme Dancing Queen, Mamma Mia ou encore The Winner Takes It All. Impossible de passer à côté de ce phénomène. . Si la carrière discographique du groupe s’arrête en 1981, l’affection du public, et cela sur plusieurs générations, sera sans faille, poussant Abba a se reformer pour un ultime album en 2021.
Mais ce n’est pas sur les grands succès que nous allons nous pencher. Vous n’avez pas besoin de nous pour cela.Et si ABBA, n’était pas qu'une série de hits diffusés en boucle ?
Avec Benoit Clerc, qui vient d’analyser l’intégralité des chansons du groupe, titre après titre, nous avons choisi de prendre un autre chemin. L'idée de cette émission, est justement d'aller au-delà de ces morceaux que tout le monde connaît. Vous ne trouverez pas les tubes historiques que vous avez sûrement déjà entendus des dizaines, voire des centaines de fois. Non, l’objectif est de plonger dans les recoins plus confidentiels de leur discographie, là où, qui sait, quelques pépites cachées pourraient se révéler. Peut-être que derrière l'image policée des superstars se cachent des morceaux plus audacieux, moins évidents, qui méritent qu’on leur accorde un peu d’attention.A bas… les hits, voila comment nous aurions pu appeler ce numéro de la musique se livre, pour tenter de découvrir ensemble ABBA autrement
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Missing episodes?
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A l'heure où on célèbre dans le monde entier les quarante ans de Purple Rain, c’est la 5e fois que nous abordons Prince dans "La musique se livre". S'il faut cinq émissions, et sûrement davantage pour en parler, c’est simplement parce que nous avons affaire à un génie. Un vrai. D’ailleurs mon invité, Ersin Leibowitch, ne s’y trompe pas, son livre s’appelle : Prince Xperience, dans la tête du génie.
Pas d’un génie parmi d’autres! Avec ce sous titre « la tête du génie » la cause est entendue. Prince est définitivement un extra-terrestre dans ce monde de la pop culture qui a pourtant vu jaillir bon nombre d’artistes et de musiciens incroyables. Alors pourquoi Prince est-il un génie si compliqué à définir et a appréhender ? C’est ce que Ersin Leibowitch tente de décrypter dans son ouvrage. Car s’attaquer à Prince, c’est s’attaquer à un artiste qui aura consacré sa vie à la musique, et de la musique il va en créer plus que de raison. Encore aujourd’hui, rien que la discographie officielle fait débat, et il n’est pas rare qu’un ou deux disques soient oubliés. Quelques chiffres, déjà énumérés dans les émissions précédentes : Prince, c’est trente-neuf albums studio sortis sous son nom (et je ne compte pas les compilations ou les projets post mortem), trois albums sortis sous le nom de son groupe The New Power Generation, quatre albums live, près de 90 artistes ou groupes produits, ou pour lesquels il a composé des morceaux. Soit plus de 1 000 chansons. C’est aussi quatre longs métrages sortis au cinéma. Sur scène, c’est 1 200 concerts , et 600 aftershows recensés, ou performances plus ou moins improvisées dans des clubs, trente-six tournées, dont huit mondiales. C’est aussi plus de 300 morceaux inédits qui circulent chez les fans, et plusieurs milliers enfermés dans son coffre.
Mais ce ne sont pas les chiffres qui font le génie. Ce qu’il y a de génial avec Prince, c’est qu’il ne fait rien comme tout le monde. La manière de gérer ses shows est totalement unique, sa maîtrise de pratiquement tous les instruments de musique est époustouflante, sa capacité d’embrasser et de s’approprier tous les genres musicaux est impressionnante, son rythme de production est vertigineux, et je ne parle pas de sa présence sur scène parce que cela nous prendrait des jours.
A celles et ceux qui ont remarqué que cette modeste introduction est écrite au présent, c’est parce que les génies ne meurent jamais. -
Il y a un an, la musique se livrait déjà sur Depeche Mode, quelques semaines après la sortie de leur dernier album et juste avant leur concert au Stade de France. Depuis, Dave Gahan et Martin Gore ont enflammé Bercy et conclu leur spectaculaire Memento Mori Tour le 8 avril 2024, après avoir donné 112 concerts à travers le monde.
Les groupes des années 80 capables de remplir autant de salles en si peu de temps se comptent sur les doigts d'une main. À la sortie de leur premier album, "Speak & Spell" en 1981, rares étaient ceux qui auraient parié sur une telle longévité. Contre toute attente, Depeche Mode a su se réinventer mille fois, traverser les époques et les genres, survivre aux départs de membres clés et aux overdoses de son principal chanteur. Ils ont laissé derrière eux une discographie de plus en plus solide, avec des albums désormais considérés comme des classiques incontournables.
Ce groupe de gamins avec leurs synthés et leur look de premiers de la classe a traversé quatre décennies, faisant taire tous leurs détracteurs et accumulant des dizaines de hits planétaires chantés comme des hymnes à chacun de leurs concerts. Depeche Mode, c'est une histoire de résilience, d'innovation et de succès, un véritable phénomène musical intemporel que Sylvain Fanet raconte dans son ouvrage publié en novembre dernier aux Editions le mot et le reste
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Mais quelle place a pu se faire Téléphone dans le cœur des français en seulement 5 albums sortis entre 1977 et 1984 ? Est-ce de la nostalgie , ou réellement un vide laissé parce qu’il a été convenu d’appeler « le plus grand groupe de rock français ». L’histoire va y répondre le 11 septembre 2015 , lorsque Jean-Louis Aubert, Richard Kolinka et Louis Bertignac se réunissent sans Corinne, sur la scène du Point Ephémère à paris sous le nom Les Insus. La nouvelle va se répandre à la vitesse de l’éclaire, surtout a l’ère des réseau sociaux. Si ce n’est pas la première fois depuis leur séparation que les musiciens se retrouvent sur la même scène, cette fois c’est pour de bon, une tournée est annoncée le 29 novembre, et Téléphone version Insus va parcourir le pays pendant plus d’un an et demi, remplissant de très nombreuses salles et même un stade de France. Effectivement le manque était bel et bien réel, et le public fidèle pendant pratiquement 30 ans a su répondre présent à ce rendez-vous où plusieurs générations se sont déplacées : les fans de la première heure, leurs enfants, et même leurs petits-enfants. Qui aurait cru qu’en chantant métro c’est trop, argent trop cher, ou hygiaphone, alors qu’ils avaient a peine plus de 20 ans, Téléphone rentrerait au panthéon des artistes français les plus importants.
Julien Deléglise raconte l'histoire de ce groupe et de ses membres en solo dans son livre publié aux éditions du layeur : TELEPHONE
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Lors de la première cérémonie des mtv video music awards, Madonna arrive en haut d’une fausse pièce montée, habillée d’une robe de mariée, et interprète like a virgin. Elle est en roue libre, s’emmêle dans le tulle de sa robe, récupère son voile pour le jeter sur le sol, simule de se masturber dessus, roule sur elle-même, laissant apparaitre culotte et porte-jarretelle blanc. Elle se moque de tout, sa liberté est totale, elle ne répond à aucun code. Bien que sa ceinture arbore fièrement les mots « boy toy », elle n’est l’objet de personne, et impose toute son audace, son érotisme, et sa personnalité, devenant instantanément l’icône de cette décennie et le modèle de celles qui suivront.
A-t-elle totalement conscience que ce qu’elle vient de faire est un acte militant d’une grande modernité. Le féminisme peut donc s’exprimer de cette manière. Le pouvoir à travers une sexualisation assumée de sa performance. Madonna, va marquer les années MTV, les années clips, et bons nombres d’artistes seront estampillées « nouvelle Madonna » jusqu’à aujourd’hui.
Mais la pop musique regorge de femmes qui part leur position, texte, attitude, discours, choix artistique ou mode de vie ont toutes contribuées à un féminisme plus ou moins compris par le public, mais totalement nécessaire.
Morgane Giuliani analyse la place des féminismes, et la manière dont ils s’expriment dans la musique pop, dans son ouvrage « Féminismes et musiques. La pop de Madonna a nos jours »
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Invité : Frédéric Granier pour son livre "IMAGINE, 12 chansons qui ont fait l'histoire" publié chez Perrin
Le 10 décembre 1964, Sam Cooke est abattu de 3 balles. C’est un véritable symbole qui est assassiné. Le dernier morceau qu'il a enregistré, "A Change Is Gonna Come", va instantanément devenir l'hymne du changement que réclame le mouvement pour les droits civiques. Les mots de Sam Cooke résonnent encore aujourd'hui. Dans la bouche de Barack Obama lors de son élection en 2008, ou dans celle de l'artiste Angélique Kidjo, lors de la "Women's March" à Washington DC après la victoire de Donald Trump.
Le lien entre la musique populaire et les grands moments de l'histoire de notre monde n'est plus à prouver. Frédéric Granier a choisi de mettre la lumière sur 12 chansons, entre 1967 et 2002, qui toutes racontent notre époque, comme des marqueurs puissant qui résistent au temps.
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Invité : Benoit Clerc pour son livre "Metallica, La Totale" publié chez E/P/A Editions
2023, Metallica remplit deux stades de France en un claquement de doigt, ont une douzaine d’albums studios a leur actif et sont indéniablement des incontournables de la pop culture. Leurs titres sont devenus des classiques joués par des orchestre symphoniques, repris par des centaines d’artistes, et servent même d’illustration musicale dans de nombreux films , publicités et séries.
Les metalleux ont pris leur revanche, les groupes de hard rock et de metal sont les derniers a remplir des stades de manières aussi significatives, la longévité d’acdc, iron maiden, guns n roses, megadeath, scorpions, et autres groupes aux écussons fièrement arborés jadis dans la cours du lycée , permet a ces groupes de réunir plusieurs générations, et le Hellfest, le festival le plus connu de France, est devenu the place to be....
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Invité : Real Muzul pour son livre « P-FUNK , L'odyssée de George Clinton» publié chez Le mot et le reste.
Dans cet épisode nous parlons de George Clinton, et de ses légendaires groupes, Parliament et Funkadelic.
Le P-Funk, est bien plus qu'un genre musical. C'est un état d'esprit, un univers créatif globale où la liberté artistique règne en maître. Quand on aborde les groupes de Clinton, il est commun de dire que Funkadelic, fusionne le rock psychedelic, le funk et la soul, tandis que Parliament apporte une touche funky et cosmique à l’ensemble.
George Clinton n'est pas seulement un pionnier musical. Il est un architecte sonore qui a influencé des générations d'artistes. Il sera piller par le rap, cités par le rock fusion, et remis en scelle par Prince dans les 90s.
Liberez votre esprit, le reste devrait suivre, pour cette plongée , dans l'univers sonore de George Clinton, afin d’explorer les spécificités du P-Funk et découvrir comment son influence continue de résonner dans la musique contemporaine. Préparez vous à un voyage musical captivant à travers le uncut funk cosmique et le groove inimitable de George Clinton Parliament Funkadelic and the p-funk all stars
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Invité : Belkacem Meziane pour son livre « RHYTHM’N’BLUES, jump, blues, doo-wop & soul music 100 hits de 1942 à 1965» publié chez Le mot et le reste.
Le RNB qui a vu le jour avant le funk, la soul, le new jack swing et le disco, est finalement assez difficile a cerner tant il peut avoir de visages. Entre 1942 et 1965, le rhythm and blues va se développer et inonder pratiquement toute la musique noire américaine pendant les décennies qui vont suivre.
Belkacem Mezziane nous offre dans son nouveau livre une plongée dans ce genre qui a comptabilisé des millions de ventes, mais dont les artistes sont souvent oubliés du grand public. -
Invité : Dominique Grandfils pour son livre "Gravé dans le Rock" publié chez Camion Blanc
Alors que les Beatles connaissent un succès phénoménal, ils vont déclencher une polémique retentissante en 1966. A cause d’une pochette d’album jugée provocante ? De paroles de chansons que les radios seraient gênées de diffuser ? D’actes répréhensibles qu’ils auraient eu sur scène ? Rien de tout cela. La raison , une simple phrase que John Lennon va lâcher a une journaliste : « aujourd’hui nous sommes plus populaire que Jesus ». L’impact va être retentissant. Disques brulés aux etats unis, interdiction de diffusion sur les ondes au Mexique et en afrique du sud. La phrase va devenir tellement célèbre qu’elle dispose même d’une fiche wikipedia.
Si certains en doutaient encore, quand les artistes de musiques populaire, et de surcroit de Rock, s’expriment , ils sont entendus, et leurs mots ont un impact puissant souvent supérieurs aux discours des hommes politiques. Avec l’explosion des radio libres, des chaines musicales, et des ventes de disques, les icones de la pop culture vont être interrogées sur tous les sujets de sociétés : politique, sexe, écologie, religion, conflits internationaux, avènement d’internet… ils doivent avoir un avis sur tout. Si il arrive que les réponses aux journalistes soient souvent tièdes pour éviter de froisser le public, de nombreux chanteurs et musiciens de rock n’hésitent pas à clamer haut et fort ce qu’ils pensent. Et tant pis si ça dérange !
Ces petites phrases, sorties de route, provocation, aphorisme, ou réelles pensées philosophiques, Dominique Grandfils les adore. En 1997 il sort 100 % rock, son premier recueil de citations. 26 ans après les temps ont changé, ce qui l’amène a publier aujourd’hui « Gravé dans le rock – l’ultime synthèse de la pensée Rock », comme un état des lieux de ce que les artistes qui nous passionnent ont a dire de leur époque.
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Invité : Marc Dufaud pour son livre "Depeche Mode Celebration" publié chez Rock & Folk éditions
Lorsque Depeche Mode explose commercialement dans la première partie des années 80, la critique n’est pas toujours tendre, et nombreux sont ceux qui ne donnent pas cher de leur peau.
Sauf qu’en prenant de la maturité Depeche Mode a su construire une discographie solide, avec des albums aujourd’hui considérés comme des incontournables de la musique populaire. En parallèle, le groupe a progressé scéniquement, jusqu’à devenir une des références des grands messes de stade, ou des dizaines de milliers de fans sont en communions avec Dave Gahan
Dave Gahan, justement, pour qui les années ont été bénéfiques. Là encore le temps à joué en sa faveur. Il a pris en densité, en présence, en charisme, et a réussi à imposer sa voix, reconnaissable entre mille.
De son côté, Martin Gore, s’est imposé, Album après album, tube après tube, comme un songwritter profond, aux mélodies impeccables et soignées, reprises par des centaines d’artistes aussi divers que Tori Amos, The Cure, Marilyn Manson, Placebo, Johnny Cash, Nina Hagen, Garbage, Def Lepard, Shaka Ponk, Ramstein et même Carla bruni
Finalement dès 1986 Martin Gore nous avait prévenu dans l’album Black Celebration, tout est une question de temps. Et si la sortie du dernier album Memento Mori , est un évènement mondiale, suivi d’une tournée des stades qui passera par Paris en Juin prochain, c’est parce que L’ascension de Depeche Mode A juste été «a Question of time»
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Invité : Julien Deléglise pour son livre Le Jazz Rock en 150 figures publié aux éditions du Layeur
En 1959 Miles Davis va transformer le jazz classique avec Kind Of Blue. Mais le génial trompettiste ne va pas s’arrêter là. 10 ans après, en 1969 il va provoquer un nouveau séisme. Accompagné de jeunes virtuoses, il sort In a Silent Way , un morceau par face, et une manière tellement moderne de jouer cette musique que l’on parlera d’abord de Jazz fusion. Mais en fait c’est un nouveau pan de l’histoire de la musique qui s’ouvre, et qui s’appellera : Jazz Rock. -
Invité : Yazid Manou auteur des textes de "Jimi Hendrix en BD" publié chez Petit à Petit
Jimi Hendrix, un nom qui révèle toute une époque, celle des Doors, des Who, des Beach Boys, des Rolling Stones, des Beatles. De sa carrière aussi brillante que fulgurante, tout le monde retiendra son jeu avec les dents, derrière la tête, ses roulades au sol, le sacrifice de sa guitare par le feu, ses déhanchés sexy et bien sûr ses tenues farfelues !
A travers ce Docu-BD, dont les textes documentaires ont été rédigés par la référence de Jimi Hendrix, Yazid Manou, redécouvrez la vie de cet artiste qui, en seulement 4 ans de carrière, révolutionna l’histoire de la musique. -
Invité : Benoit Clerc pour son livre "Prince, La Totale" publié chez EPA Edition
Pour aborder la discographie de Prince , Benoit Clerc, n’a pas expliqué 300, ni 400, ou même 500 chansons, non. La total Prince passe en revu 684 titres.
On ne pouvait résumer une telle carrière, avec une playlist d’une dizaine de morceaux, voilà pourquoi nous avons exceptionnellement le double du temps pour parler d’un auteur, compositeur, arrangeur, producteur, chanteur, guitariste, pianiste, batteur, bassiste, qui aura consacré sa vie à la musique. Prince c’est 40 ans de carrière , 40 albums , des centaines de morceaux offerts à d’autres et des milliers encore inconnus a ce jour.
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Passant en revue pratiquement 70 ans de musique, Jean Charles Desgroux défend non pas le rock n roll mais une manière de l’interpréter. Une énergie qui serait calquée sur les battements du cœur, mais que l’excitation sexuelle, chimique, contestataire ou juvénile accélèrerait a l’extrême.
A travers ses ouvrages Jean Charles Desgroux a démontré qu’il aimait la musique puissante, qui se joue fort, et il en parle avec un talent non négligeable.. Ame sensible vous êtes maintenant prévenues, et pour les autres c’est le moment de mettre le volume à fond, car cette édition spéciale de la musique se livre va se dérouler dans une atmosphère de puissance brute
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Invité : Thomas Morfin pour son livre "Le Rap les coups" publié chez le mot et le reste
"Le Rap les coups" est un livre atypique, tant sur le fond que la forme. Ce n’est pas une histoire du rap, ce n’est pas une liste d’albums a écouter, ce n’est pas un essai.. C'est l'éloge de cette musique, parfois critique, a travers la propre histoire de Thomas Morfin. Finalement c’est l’histoire de sa passion pour … "les coups". Les coups, dont parle l’auteur ne sont pas physique, pas plus qu’ils n’ont a voir avec les coups de feu malheureusement trop fréquents entre les différents clans, quoi que… Tout part d’une traduction du Robert et Collins de 1992, pour qui le verbe « to rap » signifie « donner des petits coups secs et durs ». Si le rap est indéniablement lié à la vie de Thomas Morfin, cette définition va impacter l’écriture du livre qu’il nous présente dans cet épisode de 'La musique se livre"
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Une édition spéciale co-présentée par Raphael Melki et Belkacem Meziane dans le cadre de la fête de la radio.
Ces spécialistes du funk, de la soul, du R&B et du rap, évoque différents moments ou les radios (et leurs DJ/Animateurs) ont contribué à l’évolution et au succès des musiques dites “noires” aux Etats Unis, du milieu des années 40 à nos jours.
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Invité : Thierry Jourdain pour son livre "Remember Every Moment" publié chez Le Boulon
L'histoire d'un groupe mythique tant par son aura et sa musique que par son engagement pour toutes les causes humanitaires. Un groupe qui est aussi une des plus grandes rock star des années 90 avec des tubes planétaires.
Le 5 avril 1980 à Athens en Georgie, un groupe donne son premier concert dans une église désaffectée alors qu'il n'a même pas encore de nom. L'alchimie est déjà là et le succès aussi. Acclamés par tout l'auditoire présent, Bill Berry, Peter Buck, Mike Mills et Michael Stipe se disent que cela vaut peut-être le coup de continuer ensemble au delà de cette soirée. Rapidement un nom est trouvé, REM pour Rapid Eye Movement, en français "mouvement oculaire rapide", un phénomène qui se produit pendant la phase de sommeil paradoxal et qui permet à nos rêves d'entrer dans leur phase la plus intense.
Rien ne prédestinait R.E.M à devenir l'un des groupes américains les plus influents, prolifiques et intègres de la fin du XXème siècle. De leurs modestes débuts post-punk à leur statut de phénomène musical mondial dans les années 90, les membres de REM ont constamment dépassé les attentes du public et défié les règles du show business.
31 ans après, le groupe se dissout, laissant derrière lui une discographie riche de 15 albums studio, des tubes planétaires comme la pop song parfaite "Losing My Religion" et la ballade crépusculaire "Everybody Hurts".
L'ouvrage est parsemé de multiples entretiens que l'auteur a eu avec les 4 membres du groupe -
Invité : Frédéric Adrian, pour son ouvrage Nina Simone, aux éditions Le mot et le reste.
De sa jeunesse américaine dans le Sud ségrégationniste à ses dernières années passées en France, la vie de Nina Simone se lit comme un roman. Enfant prodige blessée par le racisme, elle fait ses débuts dans les clubs d’Atlantic City avant de triompher sur les scènes du monde entier. Très tôt engagée dans la lutte pour les droits civiques, elle mêle avec succès art et militantisme, mais des problèmes personnels graves viennent entraver sa carrière. Après des années de galère, notamment parisiennes, elle renoue avec le succès grâce au triomphe inattendu de la réédition de 1987 de « My Baby Just Cares For Me ». Cette biographie met en lumière le parcours d’une artiste, tardivement reconnue comme la créatrice majeure qu’elle a été, ainsi que son influence, qui dépasse largement le cadre de la musique.
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