Episodes
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Archive du Club des Poètes : deux amis comédiens qui participaient activement à la vie du Club des Poètes, Colette Lecourt et Philippe Lejour,
interprètent
Victor Hugo, Booz endormiAlphonse de Lamartine, l'isolementAlfred de Musset, "trois marches de marbre rose"Paul Verlaine, "le ciel est par-dessus le toit"Arthur Rimbaud, "Le bateau Ivre"Bonne journée de soleil à vous !
Et écrivez-moi ici et là
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On commence par un passage où ma soeur Sabine interprète, avec la complicité de l'auteur, un poème de Ma Desheng, que Philippe nous présenta à la fin des années 90. Puis Philippe évoque sa rencontre avec Samuel Beckett. Ensuite, on va se promener du côté du conteur et poète suisse-allemand, Peter Bichsel qui se plaît à chercher le point précis du langage où la raison confine à la folie. Philippe nous le présente et interprète son inoubliable texte "Vous avez le bonjour de Yodok". Puis, un joli poème de René Guy Cadou, et on termine avec un poème de Philippe : "je cohabite avec un coléoptère").
Merci à Philippe et à son élève Said Mohammad Rasool MUJAHID qui nous a aidé pour la préparation de cette émission.
Le texte de Peter Bichsel fait partie des "Histoires enfantines" éditées chez Gallimard et traduites par Claude Maillard et Marc Schweyer
Le poème de Ma Desheng a été traduit par Emmanuelle Péchenart.
Vous pouvez comme d'habitude nous écrire sur facebook
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On continue notre balade dans les jardins sulfureux du poète qui fit dire à Victor Hugo :
"Vos Fleurs du mal rayonnent et éblouissent comme des étoiles. Continuez. Je crie
bravo de toutes mes forces à votre vigoureux esprit."
On écoute
"L'amour du mensonge" par Blaise"A une heure du matin" par Marcelle"A une passante", par EvaDes passages du portrait de Baudelaire par Théophile Gautier"L'aube spirituelle" par Faustine "Avec ses vêtements ondoyants et nacrés" par Walid"La beauté" par Mawena"Chanson d'après midi" par BlaiseL'albatros par VincentVoilà, chers amis, je vous souhaite un bon dimanche ensoleillé !
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On continue à se promener dans l'œuvre de notre poète maudit national condamné à la postérité ! On tourne les pages de ses "Fleurs du Mal" et on parcourt son spleen parisien, avec pour interprète Caroline, Pascal Huvet, Mado, Clémence et Benoit. Baudelaire, extraordinaire étranger amoureux des nuages. Baudelaire, grand admirateur des peintres et génial critique d'art. Et Baudelaire, amoureux horrifié des femmes, qui les hait autant qu'il les aime.
Pour me dire quelque chose, ce que vous voudrez, c'est
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On poursuit le voyage dans le parage de "l'Albatros" de la poésie française, Charles Baudelaire et on écoute des passages des Fleurs du Mal et du Spleen de Paris interprétés par
Marcelle RosnayBenoit Dayrat (guitare et voix)InèsRaphaëlJean-Charles et moi-même BlaiseCe podcast a été réalisé à partir de l'hommage que nous avions rendu au "grand Charles" pour son bicentenaire.
Et puis, n'hésitez pas à partager vos impressions
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Le 9 avril 2021, j'avais rendu hommage, à l'occasion de son bicentenaire, au sulfureux auteur des "Fleurs du mal", Charles Baudelaire. Je me plongeais dans la vie et dans la poésie du poète sarcastique et sombre et j'y découvrais un petit garçon esseulé qui, du fond de son cœur, appelait sa maman dont il se sentait abandonné. L'amer Baudelaire avait, enfoui dans les ruines de son ironie, un cœur tendre, un cœur sensible, un cœur qui se débattait entre la noirceur du quotidien et sa soif de beauté. Entre le Spleen et l'Idéal. Ceci est la première émission d'une série où nous irons plus avant à la rencontre de ce poète pour qui "l'imagination est la reine des sciences" et qui par l'alchimie du verbe transforma la boue de sa vie en l'or de sa poésie.
On écoute Benoît Dayrat qui chante l'invitation au voyage, Agathe qui dit "Au lecteur", premier poème des "Fleurs du mal", on découvre aussi une très émouvante lettre de Charles Baudelaire enfant, merveilleusement interprété par Bernadette Lange, et aussi "Un hémisphère dans une chevelure" par Estelle Meyer, "La servante au grand cœur" par Yasmine, et la version en prose de "L'invitation au voyage", extraite des "Petits poèmes en prose ou Spleen de Paris". On continuera le voyage avec Baudelaire la semaine prochaine.
Merci à Jean-Charles pour avoir fait ce qu'il a pu pour améliorer l'enregistrement de "La servante au grand cœur" !
Et vous, écrivez-moi, s'il vous plaît, que je me sente moins seul.
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Suite de l'enregistrement de l'hommage à Rimbaud et à Mozart dans la grotte du Mas d'Azil, avec Michel Deneuve et son quatuor, Marcelle Rosnay, Sabine Rosnay, Elise Simorre, Frédéric Bernard, Blaise Rosnay, Michel Joli et Jean-Pierre Rosnay.
On écoute, de Rimbaud, "Les corbeaux", "Voyelles", "Automne" (Une saison en enfer), "Les pauvres à l'église", "Aube" (Les illuminations) et "Le Bateau Ivre".
Et voilà, je vais faire la sieste maintenant. Et vous, écrivez-moi
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Voyage dans le sillage de deux immenses voix de la poésie et de la musique, Rimbaud et Mozart, à l'occasion d'un hommage qui leur était rendu, en 1991, dans la grotte du Mas d'Azil, sous l'égide de Michel Joli et la direction de Jean-Pierre Rosnay, avec la participation de Michel Deneuve et de son quatuor, dans la grotte du Mas d'Azil, plus grande grotte d'Europe ! Nous avions escaladé les parois pour dire à une foule ébahie les poèmes de l'enfant prodige de Charleville.
On entend des passages de "Une saison en Enfer" et autres poèmes de Rimbaud, entremêlés de musiques de Mozart interprétés par Miche (à l'orgue de cristal) et ses amis musiciens.
J'espère que vous allez bien et j'espère de vos nouvelles
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Avec mon ami Arnaud Hirsch, mathématicien passionné de poésie, et en fouinant aussi un peu dans mes archives et celles du Club des Poètes, je ren,ds hommage au plus limpide des poètes hermétiques, au plus mystérieux des poètes de la nature et de l'amour.
On écoute d'abord l'érudit Georges Steiner qui évoque le parcours de Résistant contre le nazisme de René Char et le journal poétique qu'il en a rapporté "Les cahiers d'Hypnos". On écoute la voix de René Char qui nous lit quelques extraits de ce recueil. J'essaye de faire parler un peu Arnaud Hirsch du poète mais il préfère de loin dire ses poèmes que les commenter ! Il nous dit "Congé au vent", "Marthe" et "Allégeance". Je partage ensuite avec vous un passage d'une émission de mon père, où "Les Poémiens" interprétaient un poème de Robert Desnos, qui partagea l'aventure Surréaliste avec René Char et fût, tout comme lui, un grand et admirable Résistant. Puis, toujours dans la même émission, "Allégeance" de René Char encore, mais chanté par Francesca Solleville. C'est ensuite l'interprétation de "Lettera Amorosa" par Arnaud que je me suis permis d'agrémenter d'un peu de la musique de mon ami guitariste, béni soit-il, Oliver Barwell-Aufray. La poésie est vivante et vive la Poésie !
S'il vous plaît,
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On commence par écouter Stéphane qui explique ce qu'il entend par "La délicatesse"
On écoute "Simple chanson" de Marie Dauguet, merveilleusement mis en musique et chanté par Samuel Devin. C'est Théo Levautre qui a fait la prise de son. On parle des relations entre le sens et le son, entre la musique et le récit tels qu'ils s'unissent dans l'harmonie du poème. On écoute l'ami Léopold interpréter "Palmes" de Paul Valéry qui, plus que tout autre, a voulu faire rimer intelligence et sensibilité. Stéphane et moi, nous disons un beau poème d'Antonio Machado "Proverbes et Paraboles". Et pour conclure, nous fêtons notre amie Isadora Waltz, dont les poèmes sont dits par Mado et Ombeline, chantés par Urbain Rinaldo, le Maestro.
Si vous voulez précommander le recueil d'Isadora, c'est ici http://www.poesie.net/isadora.htm, vous vous offrirez un bouquet de délices pour le coeur et l'esprit (et vous nous aiderez à le faire exister).
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On poursuit notre voyage en paysages de délicatesse avec le camarade Stéphane Partiot. On écoute Nerval chanté par notre cher Benoit Dayrat, on écoute Mallarmé ("Brise marine" par Eric Génovèse, et une nouvelle version d'"Apparition" par l'association Marly Poésie qui danse et chante les poèmes), on écoute Alfred de Musset "Une soirée perdue" par Stéphane et moi, on écoute Olivier Barbarant par Stéphane. Nous conclurons ce cycle dédié à "la délicatesse" dimanche prochain.
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Avec mon cher camarade Stéphane Partiot, nous avons initié une discussion à bâtons rompus à propos de "La délicatesse", en ce qu'elle est véritable essence de l'art poétique qui cherche, par sens des nuances et précisions enchantereresses, à exprimer au plus près et au plus beau, la vie, perpetuellement en devenir, aussi fugace que quelques mots tracés de main d'enfant sur une vitre embuée, ou que quelques pas sur la neige.
On écoute aussi des poèmes bien sûr : de Théophile Gautier ("Pastels"), Paul Verlaine ("Green et à Clymen"), Rimbaud ("Sensation"), Hélène Dorion, quelques vers de Stéphane Mallarmée et son poème "Apparition", merveille qu'il a écrite pour se souvenir de l'instant où il avait rencontré celle qui devait devenir son épouse. Puis Nerval, deux poèmes de ses mystérieuses chimères, et un poème plus simple et tout aussi grâcieux "Une allée du Luxembourg".
C'est mon très cher Benoît Dayrat, qui chante et c'est Stéphane et moi qui disons.
Nous poursuivrons cette conversation la semaine prochaine !
Et vous ! Ecrivez-moi ! Mais oui, écrivez-moi !
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Promenade au grè du vent parmi les poèmes d'aujourd'hui et d'avant.
Avec Alizée Gau qui réchauffe dans ses mains la poésie qui lui donne sa flamme !
Pierre Corneille qui fait la court à Katya (et réciproquement)
Mireille qui caresse les mains d'Elsa avec Aragon
Mado qui veille Florentin avec sa maman et Georges Duhamel.
Céline Roux qui éveille les mélancoliques souvenir de Paul Verlaine.
Rémy qui offre des fleurs aux vivants, le coeur qui chante et qui espère, avec Desnos
Anne-Marie Perret qui raconte l'itinéraire poétique d'un certain Jean-Pierre Rosnay
Ferit Onger qui découvre chez Rainer-Maria Rilke l'art de vivre et d'aimer.
Hélène Vincent qui exalte un amour humble qui veut le bien de son aimé.
et Blaise qui a une terrible extinction de voix, est épuisé, et n'arrive presque plus à parler.
Au fait, écrivez-moi de toute urgence, ici
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Deux poétesses et deux poètes du vingtième siècle. Louise Gluck, poétesse et prix Nobel 2020, par Simon.
Marina Tsvetaeva par Marcelle Rosnay (Tentative de Jalousie) et Isadora Waltz ("Il en tomba combien dans cet abîme).
René Guy Cadou ("Je t'attendais") par Stéphane Partiot
Fernando Pessoa par une amie anonyme ("Toutes les lettres d'amour sont ridicules")
et Laura Martin ("Le passage des heures")
Ecrivez-moi, donnez-moi force et courage pour passer mes dimanches
à préparer ces émissions ! Faites-moi des suggestions, donnez-moi des idées !
Rappelez-moi que vous êtes là, de l'autre côté de ma voix.
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On commence par Gilbert Langevin, chanté par France Bernard, un beau poème à la célébration de la fraternité. On poursuit avec le "compagnon des Amériques", le "Poète National", Gaston Miron. On entend sa voix qui dit de belles choses sur le flot jaillissant de la poésie, qui n'a de cesse de se réinventer à la rencontre du public. On entend son compatriote, notre ami, Alex Deschênes qui nous en fait l'apologie sans réserve, et on écoute Flora et Adrien qui disent son extraordinaire "Marche à l'amour", un poème en quête inépuisable de l'être aimé. Puis, découverte de deux poétesses québécoises contemporaines : Hélène Dorion, que nous présente notre amie Isadora Waltz et Camille Readman Prudhomme, interprété par un jeune comédien à l'insaisissable talent, Simon.
Comme d'habitude, j'attends et j'espère vos
réflexions, méditations, encouragements
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Le portrait de Gaston Miron en couverture est une oeuvre graphique de Xavier Marchand.
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On débute l'année 2024 par un voyage à la vitesse de la poésie vers "la belle province" ! À la découverte des poètes québécois qui défendent la langue française et la réinventent avec une audace que nous serions bien inspirés de prendre comme exemple.
Avec pour guide notre ami Alex Deschênes poète et passionné de poésie québécois, nous découvrirons dans cet épisode :
Emile Nelligan (présenté interprété par Alex, mais aussi chanté par Julos Beaucarne et dit Théophane Barthélémy (en direct du Club des Poètes)
Saint-Denys Garneau chanté par le groupe québécois Villeray et présenté et interprété par Alex.
Michèle Lalonde (le mythique poème "Speak White", interprété par elle-même, lors de la légendaire nuit de la poésie du 27 mars 1970 à Montréal)
Paul Chamberland qui médite sur la puissance transformatrice de la bonne écoute d'un poème.
Meilleurs voeux à toutes et tous !
Je serais heureux de savoir ce que vous avez pensé de cette émission
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Joyeux Noël, chères amies, chers amis,
Nous vous avons concocté un joli bouquet de poèmes.
Blaise dit "Noël de l'an 2000" de Jean-Pierre Rosnay
Benoit Dayrat chante :
1 Louis Aragon
2 Louise Labé
3 Rémi de Gourmont
4 François de Maucroix
5 Max Jacob
6 Paul Verlaine
Julos Beaucarne chante :
1 Paul Verlaine
2 Victor Hugo
Elise Simorre interprète "Déclarations d'amour" de Marie Noël.
et on espère toujours que vous nous ferez signe
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Podcast dédié à l'amitié fructueuse entre deux poètes et deux musiciens.
Isadora Waltz, Evgeny Kluev, Dayana Matevosova (guitare), Urbain Rinaldo (piano).
"Un jour, je tairai le monde" d'Isadora Waltz, mis en musique et chanté par Urbain Rinaldo, accompagné à la guitare par Dayana Matevosova
Entretien de Blaise avec Isadora et Dayana
Le nuage, poème de Eugen Kluev, traduit par Isadora et Dayana, mis en musique et chanté par Urbain
Un texte d'Isadora à propos de la poésie d'Eugen Kluev
"J'irai voir l'aurore", un poème d'Isadora, mis en musique et chanté par Urbain en direct du Club des Poètes.
Faites-moi la joie d'écouter et de me dire ce que vous en avez pensé.
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En cette période de préparation des fêtes de Noël, qui est aussi pour de nombreuses traditions religieuses et selon des rituels différents, le moment de l'année où l'on s'apprête à fêter la victoire de la lumière sur l'obscurité, nous avons consacré cette émission à la relation, parfois tumultueuse, des poètes avec Dieu.
C'est Francis Jammes qui inaugure ce moment avec "la prière pour aller au paradis avec les ânes" interprété par Elise Simorre
On écoute la "prière à l'Inconnu" de Jules Supervielle qui exhorte l'Eternel à faire la paix sur la Terre.
Ensuite, la même Elise Simorre interprète un poème de Marie Noël, la petite fauvette d'Auxerre, déclaration de désamour à Dieu.
Puis, c'est ma pomme, c'est-à-dire non pas celle du Jardin d'Eden mais la mienne qui dit Charles Péguy, éloge de l'espérance.
Puis, c'est Saint Jean de La Croix qui croit en la lumière et la cherche au coeur des plus sombre ténèbres : "Mais c'est de nuit" interprété par Odile.
Ensuite Yasmine, chatouillée par Timothée, prête sa voix à Max Jacob amoureux des nuages et de Dieu : "A monsieur Modigliani, pour lui prouver que je suis un poète".
Et c'est Benoît Dayrat qui enchante nos âmes en chantant la "Romance" de Max Jacob, poète et martyr.
A la guitare Oliver Barwell-Aufray enveloppe la poésie dans un écrin de douceur.
On espère, on attend vos suggestions, vos réflexions, mais surtout vos compliments
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Promenade improvisée parmi les poèmes du fondateur du Club des Poètes, Jean-Pierre Rosnay.
Jean-Pierre Rosnay interprète "Saint-Tropez Priez pour nous" et "A tire d'elles"
Jean-Pierre Tour et ses filles, Céline et Valérie, interprètent : "Mon crayon"
Sabine Rosnay interprète "L'accent circonflexe et la petite cédille"
Elise Simorre interprète "Rien ne commence, ni s'achève"
Daniel Journé interprète un poème sans titre
Marcelle Rosnay interprète "Ligne 7" et "Vive Dieu"
Jean-Pierre Rosnay interprète "Nous avons tout dit"
Emission conçue à partir d'enregistrements réalisés par notre ami Daniel Repoux qui a créé et dirige les éditions "Sous la lime"
Comme toujours, j'attends et j'espère vos commentaires
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