Episodes

  • TĂ©moignages des collĂ©giens aprĂšs les deux dĂ©bats Ă  l'hĂŽtel du DĂ©partement le 9 juin 2022.

    RĂ©flĂ©chir, argumenter, contre-agrumenter, trouver le bon mot : voici l’exercice auquel se sont attelĂ©s une trentaine d’élĂšves des collĂšges Ernest Renant Ă  St Herblain, Jules Verne et Aristide Briand Ă  Nantes. Les DĂ©batteurs, c’est le nom de ce projet lancĂ© et soutenu par le DĂ©partement de Loire-Atlantique et mis en place dans les Ă©tablissements par les Ă©quipes enseignantes avec l’aide du centre social culturel du soleil levant de St Herblain et de l’accoord. En avril et mai 2022, nous avons suivi quelques Ă©lĂšves du collĂšge de St Herblain dans leur prĂ©paration et leur apprentissage de l’art de dĂ©battre !

    Au coeur des débatteurs Bonus 3 : témoignages des collégiens aprÚs les débats

  • "Les filles, ça fait de la gymnastique et de la danse, les garçons, du foot et de la boxe...

    C'est ainsi depuis des lustres et c'est trÚs bien comme ça !"

    Voilà le second sujet du débat entre collégiens organisé à l'Hotel du Département de Loire-Atlantique le 9 juin 2022, dans le cadre du projet Les Débatteurs.

    RĂ©flĂ©chir, argumenter, contre-agrumenter, trouver le bon mot : voici l’exercice auquel se sont attelĂ©s une trentaine d’élĂšves des collĂšges Ernest Renant Ă  St Herblain, Jules Verne et Aristide Briand Ă  Nantes. Les DĂ©batteurs, c’est le nom de ce projet lancĂ© et soutenu par le DĂ©partement de Loire-Atlantique et mis en place dans les Ă©tablissements par les Ă©quipes enseignantes avec l’aide du centre social culturel du soleil levant de St Herblain et de l’accoord. En avril et mai 2022, nous avons suivi quelques Ă©lĂšves du collĂšge de St Herblain dans leur prĂ©paration et leur apprentissage de l’art de dĂ©battre !

    Au coeur des débatteurs Bonus 2 : débat sur genre et sport

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  • "Plus de lien social, trop de gamille zĂ©ro sport, privĂ© de sorties...

    Le confinement . Une vraie galĂšre ! Prouve-moi le contraire."

    Voilà le premier sujet du débat entre collégiens organisé à l'Hotel du Département de Loire-Atlantique le 9 juin 2022, dans le cadre du projet Les Débatteurs.

    RĂ©flĂ©chir, argumenter, contre-agrumenter, trouver le bon mot : voici l’exercice auquel se sont attelĂ©s une trentaine d’élĂšves des collĂšges Ernest Renant Ă  St Herblain, Jules Verne et Aristide Briand Ă  Nantes. Les DĂ©batteurs, c’est le nom de ce projet lancĂ© et soutenu par le DĂ©partement de Loire-Atlantique et mis en place dans les Ă©tablissements par les Ă©quipes enseignantes avec l’aide du centre social culturel du soleil levant de St Herblain et de l’accoord. En avril et mai 2022, nous avons suivi quelques Ă©lĂšves du collĂšge de St Herblain dans leur prĂ©paration et leur apprentissage de l’art de dĂ©battre !

    Au coeur des débatteurs Bonus 1 : débat sur le confinement

  • RĂ©flĂ©chir, argumenter, contre-agrumenter, trouver le bon mot : voici l’exercice auquel se sont attelĂ©s une trentaine d’élĂšves des collĂšges Ernest Renan Ă  Saint-Herblain, Jules Verne et Aristide Briand Ă  Nantes. Les DĂ©batteurs, c’est le nom de ce projet lancĂ© et soutenu par le DĂ©partement de Loire-Atlantique et mis en place dans les Ă©tablissements par les Ă©quipes enseignantes avec l’aide du centre social culturel du soleil levant de St Herblain et de l’accoord. En avril et mai 2022, nous avons suivi quelques Ă©lĂšves du collĂšge de St Herblain dans leur prĂ©paration et leur apprentissage de l’art de dĂ©battre !

    Le projet par ses acteurs : collégiens, enseignants et équipe éducative

  • Elles reviennent tous les mois : les rĂšgles ! Tous les 28 jours pendant environ 39 ans, soit environ 500 fois dans une vie. 500 fois oĂč il faut se protĂ©ger. Mais ces protections ont un coĂ»t et celui-ci empĂȘche une partie de la population d’y avoir accĂšs. C’est ce qu’on appelle la prĂ©caritĂ© menstruelle, et elle touche 1,7 millions de femmes en France.

    Dans ce podcast, nous allons dĂ©tricoter ce mĂ©canisme en allant Ă  la rencontre de sages-femmes, de conseillĂšres et animatrices au Planning Familial 44, de bĂ©nĂ©voles aux restos du cƓur, on recueillera les tĂ©moignages de collĂ©giens et de collĂ©giennes, d’infirmiĂšre scolaire
 bref de personnes directement impliquĂ©es et concernĂ©es par le sujet des rĂšgles.

    EPISODE 4 : Cachez ce sang que je ne saurais voir !
    La prĂ©caritĂ© menstruelle s’inscrit dans une problĂ©matique plus globale : le tabou des rĂšgles. Dans cet Ă©pisode on parle de l’origine de ce tabou, on Ă©coute des collĂ©gien·nes parler de la honte que reprĂ©sentent les rĂšgles et une sagefemme chercher la solution dans la mise en place d’un atelier de libĂ©ration de la parole avec des mĂšres.

    Un podcast du Département de Loire-Atlantique réalisé par Valérie Gautier

  • Elles reviennent tous les mois : les rĂšgles ! Tous les 28 jours pendant environ 39 ans, soit environ 500 fois dans une vie. 500 fois oĂč il faut se protĂ©ger. Mais ces protections ont un coĂ»t et celui-ci empĂȘche une partie de la population d’y avoir accĂšs. C’est ce qu’on appelle la prĂ©caritĂ© menstruelle, et elle touche 1,7 millions de femmes en France.

    Dans ce podcast, nous allons dĂ©tricoter ce mĂ©canisme en allant Ă  la rencontre de sages-femmes, de conseillĂšres et animatrices au Planning Familial 44, de bĂ©nĂ©voles aux restos du cƓur, on recueillera les tĂ©moignages de collĂ©giens et de collĂ©giennes, d’infirmiĂšre scolaire
 bref de personnes directement impliquĂ©es et concernĂ©es par le sujet des rĂšgles.

    EPISODE 3 : Les rĂšgles, c’est la santĂ© ! Ou pas...
    Peut-on porter ses protections pĂ©riodiques sans risque ? VoilĂ  une question complexe. Pour Ă©viter les infections et le fameux choc toxique, la recette est simple : il suffit d’en changer rĂ©guliĂšrement. Oui mais pour cela : encore faut-il en avoir suffisamment ! Et la composition des protections, peut-on s’y fier ? LĂ , ça devient plus complexe, comme nous le verrons dans cet Ă©pisode !

    Un podcast du Département de Loire-Atlantique réalisé par Valérie Gautier

  • Elles reviennent tous les mois : les rĂšgles ! Tous les 28 jours pendant environ 39 ans, soit environ 500 fois dans une vie. 500 fois oĂč il faut se protĂ©ger. Mais ces protections ont un coĂ»t et celui-ci empĂȘche une partie de la population d’y avoir accĂšs. C’est ce qu’on appelle la prĂ©caritĂ© menstruelle, et elle touche 1,7 millions de femmes en France.

    Dans ce podcast, nous allons dĂ©tricoter ce mĂ©canisme en allant Ă  la rencontre de sages-femmes, de conseillĂšres et animatrices au Planning Familial 44, de bĂ©nĂ©voles aux restos du cƓur, on recueillera les tĂ©moignages de collĂ©giens et de collĂ©giennes, d’infirmiĂšre scolaire
 bref de personnes directement impliquĂ©es et concernĂ©es par le sujet des rĂšgles.

    EPISODE 2 : « T’as tes rĂšgles ou quoi ? »
    Les mythes les plus abracadabrantesques ont circulĂ© sur les femmes rĂ©glĂ©es : elles auraient le pouvoir, entre autres, de stĂ©riliser les cĂ©rĂ©ales ou de ternir le poli d’un miroir. Ces histoires qui peuvent sembler folkloriques sont Ă  l’origine d’une rĂ©elle marginalisation des femmes pendant leurs rĂšgles, terrain d’une rĂ©elle inĂ©galitĂ© entre homme et femme, entretenue par la prĂ©caritĂ© menstruelle.

    Un podcast du DĂ©partement de Loire-Atlantique

  • Elles reviennent tous les mois : les rĂšgles ! Tous les 28 jours pendant environ 39 ans, soit environ 500 fois dans une vie. 500 fois oĂč il faut se protĂ©ger. Mais ces protections ont un coĂ»t et celui-ci empĂȘche une partie de la population d’y avoir accĂšs. C’est ce qu’on appelle la prĂ©caritĂ© menstruelle, et elle touche 1,7 millions de femmes en France.

    Dans ce podcast, nous allons dĂ©tricoter ce mĂ©canisme en allant Ă  la rencontre de sages-femmes, de conseillĂšres et animatrices au Planning Familial 44, de bĂ©nĂ©voles aux restos du cƓur, on recueillera les tĂ©moignages de collĂ©giens et de collĂ©giennes, d’infirmiĂšre scolaire
 bref de personnes directement impliquĂ©es et concernĂ©es par le sujet des rĂšgles.

    EPISODE 1 : Les rùgles, une question d’argent ?
    Un peu plus de 1000 € dans une vie : le voilĂ , le coĂ»t des rĂšgles. DĂ©risoire pour certaines, il est titanesque pour d’autres. Dans cet Ă©pisode, on parle du prix des rĂšgles avec le planning familial 44 et on part Ă  la rencontre des bĂ©nĂ©voles et femmes accueillies Ă  l’accueil de jour des restos du cƓur. LĂ -bas, l’accĂšs gratuit aux protections pĂ©riodiques est un droit fondamental.

    Un podcast du DĂ©partement de Loire-Atlantique

  • Gendarmerie, Police, associations, assistantes sociales... En Loire-Atlantique, c’est tout un maillage d’acteurs qui se tisse autour des femmes victimes de violences familiales et conjugales.
    Emmanuelle BeauchĂšne est responsable de SolidaritĂ© Femmes Loire-Atlantique, une association qui travaille avec le PĂŽle d'aide aux victimes. Dans cet Ă©pisode, elle revient sur le rĂŽle de son association et sur l’importance du travail de collaboration entre les diffĂ©rents professionnels.
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    Elles sont 65 000 chaque annĂ©e, trĂšs majoritairement des femmes, victimes de viols, de brutalitĂ©, d’insultes, d’exhibition
 dans l’espace public ou dans la sphĂšre privĂ©e, en Loire-Atlantique. Un problĂšme systĂ©mique de notre sociĂ©tĂ©, qui est aujourd’hui mis sur le devant de la scĂšne et dĂ©noncĂ©. En Loire-Atlantique, les femmes victimes de violences peuvent contacter le PĂŽle d'aide aux victimes, pour ĂȘtre accompagnĂ©es avant, pendant et aprĂšs les procĂ©dures judiciaires. Cinq assistantes sociales du DĂ©partement les accueillent dans certaines gendarmeries et commissariats.
    Ce podcast donne la parole Ă  des victimes, Ă  des assistantes sociales, Ă  un policier ainsi qu’à une responsable d’association partenaire. Elle met en lumiĂšre le processus d’accompagnement et d’écoute du PĂŽle d’aide aux victimes en Loire-Atlantique.

  • « Il faut rĂ©parer l’estime de soi, essayer de comprendre ce qu’il s’est passĂ© [
]. On va leur donner diffĂ©rentes pistes et les outiller pour qu’elles puissent faire des choix. » Dans cet Ă©pisode, BĂ©nĂ©dicte Ruffel, assistante sociale du DĂ©partement de Loire-Atlantique, ouvre une fenĂȘtre sur son travail auprĂšs des femmes victimes de violences. Comment valoriser leur courage dans ce combat contre les violences qu’elles ont subi ? Comment respecter leur rythme ? Comment Ă©valuer s’il y a un danger imminent ou pas ?
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    Elles sont 65 000 chaque annĂ©e, trĂšs majoritairement des femmes, victimes de viols, de brutalitĂ©, d’insultes, d’exhibition
 dans l’espace public ou dans la sphĂšre privĂ©e, en Loire-Atlantique. Un problĂšme systĂ©mique de notre sociĂ©tĂ©, qui est aujourd’hui mis sur le devant de la scĂšne et dĂ©noncĂ©. En Loire-Atlantique, les femmes victimes de violences peuvent contacter le PĂŽle d'aide aux victimes, pour ĂȘtre accompagnĂ©es avant, pendant et aprĂšs les procĂ©dures judiciaires. Cinq assistantes sociales du DĂ©partement les accueillent dans certaines gendarmeries et commissariats.
    Ce podcast donne la parole Ă  des victimes, Ă  des assistantes sociales, Ă  un policier ainsi qu’à une responsable d’association partenaire. Elle met en lumiĂšre le processus d’accompagnement et d’écoute du PĂŽle d’aide aux victimes en Loire-Atlantique.

  • « On va faire en sorte que la femme ne soit plus isolĂ©e ». Pour Nathalie Jamier, assistante sociale du DĂ©partement de Loire-Atlantique, le processus d’accompagnement et de soutien qui entoure les femmes victimes de violences est une condition sine qua non de leur reconstruction.
    Dans cet Ă©pisode, Eric Bougro, policier au commissariat de Nantes, intervient Ă©galement pour expliquer la maniĂšre dont Police et assistantes sociales Ă©changent pour amĂ©liorer l’accompagnement des femmes victimes de violences.
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    Elles sont 65 000 chaque annĂ©e, trĂšs majoritairement des femmes, victimes de viols, de brutalitĂ©, d’insultes, d’exhibition
 dans l’espace public ou dans la sphĂšre privĂ©e, en Loire-Atlantique. Un problĂšme systĂ©mique de notre sociĂ©tĂ©, qui est aujourd’hui mis sur le devant de la scĂšne et dĂ©noncĂ©. En Loire-Atlantique, les femmes victimes de violences peuvent contacter le PĂŽle d'aide aux victimes, pour ĂȘtre accompagnĂ©es avant, pendant et aprĂšs les procĂ©dures judiciaires. Cinq assistantes sociales du DĂ©partement les accueillent dans certaines gendarmeries et commissariats.
    Ce podcast donne la parole Ă  des victimes, Ă  des assistantes sociales, Ă  un policier ainsi qu’à une responsable d’association partenaire. Elle met en lumiĂšre le processus d’accompagnement et d’écoute du PĂŽle d’aide aux victimes en Loire-Atlantique.

  • Parfois, la violence est purement psychologique. Sournoise car invisible, elle isole les personnes qui en sont victimes. C’est le cas de Cyntia qui revient sur le difficile processus d’acceptation du statut de victime et sur l’accompagnement qui fut le sien auprĂšs du PĂŽle d’aide aux victimes au commissariat de Nantes.
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    Elles sont 65 000 chaque annĂ©e, trĂšs majoritairement des femmes, victimes de viols, de brutalitĂ©, d’insultes, d’exhibition
 dans l’espace public ou dans la sphĂšre privĂ©e, en Loire-Atlantique. Un problĂšme systĂ©mique de notre sociĂ©tĂ©, qui est aujourd’hui mis sur le devant de la scĂšne et dĂ©noncĂ©. En Loire-Atlantique, les femmes victimes de violences peuvent contacter le PĂŽle d'aide aux victimes, pour ĂȘtre accompagnĂ©es avant, pendant et aprĂšs les procĂ©dures judiciaires. Cinq assistantes sociales du DĂ©partement les accueillent dans certaines gendarmeries et commissariats.
    Ce podcast donne la parole Ă  des victimes, Ă  des assistantes sociales, Ă  un policier ainsi qu’à une responsable d’association partenaire. Elle met en lumiĂšre le processus d’accompagnement et d’écoute du PĂŽle d’aide aux victimes en Loire-Atlantique.

  • A 47 ans, Anita sort d’une longue pĂ©riode de violences conjugales. Avec l’aide de BĂ©nĂ©dicte Ruffel, assistante sociale en gendarmerie, elle va peu Ă  peu verbaliser son histoire, s’éloigner de l’homme qui la violente. Dans cet Ă©pisode, elle raconte son parcours de reconstruction auprĂšs du PĂŽle d’aide aux victimes.
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    Elles sont 65 000 chaque annĂ©e, trĂšs majoritairement des femmes, victimes de viols, de brutalitĂ©, d’insultes, d’exhibition
 dans l’espace public ou dans la sphĂšre privĂ©e, en Loire-Atlantique. Un problĂšme systĂ©mique de notre sociĂ©tĂ©, qui est aujourd’hui mis sur le devant de la scĂšne et dĂ©noncĂ©. En Loire-Atlantique, les femmes victimes de violences peuvent contacter le PĂŽle d'aide aux victimes, pour ĂȘtre accompagnĂ©es avant, pendant et aprĂšs les procĂ©dures judiciaires. Cinq assistantes sociales du DĂ©partement les accueillent dans certaines gendarmeries et commissariats.
    Ce podcast donne la parole Ă  des victimes, Ă  des assistantes sociales, Ă  un policier ainsi qu’à une responsable d’association partenaire. Elle met en lumiĂšre le processus d’accompagnement et d’écoute du PĂŽle d’aide aux victimes en Loire-Atlantique.


    En Loire-Atlantique, les femmes victimes de violences peuvent contacter le Bureau d'aide aux victimes, pour ĂȘtre accompagnĂ©es avant, pendant et aprĂšs les procĂ©dures judiciaires par une assistante sociale du DĂ©partement. Ces professionnelles accueillent les femmes dans les commissariats de Nantes et de Saint-Nazaire, et dans les gendarmeries du DĂ©partement. Au travers de ces tĂ©moignages de victimes de violences conjugales physiques ou psychologiques, d'assitantes sociales, d'un policier et d'une responsable de l'association SolidaritĂ© Femmes de Loire-Atlantique, dĂ©couvrez le travail du Bureau d'aide aux victimes.