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La Guadeloupe est sous le choc après la mort, à Montpellier, d'une Guadeloupéenne de 25 ans atteinte d'une méningite. Malgré des appels répétés, elle n'a pas été prise en charge par les services d'urgences et n'a pas pu être ranimée. Sa famille a porté plainte pour non-assistance à personne en danger et sa mère témoigne de sa douleur et sa révolte.
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Le dossier de la crise sur la vie chère est désormais sur le bureau du Premier ministre, Michel Barnier. Ce dernier a reçu ce vendredi le président de la collectivité territoriale de la Martinique, Serge Letchimy. L'île a vécu une nouvelle semaine de tensions émaillées d'affrontements avec les forces de l'ordre, de barricades enflammées et de voitures incendiées.
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Un accord a été signé cette semaine en Martinique pour tenter de baisser les prix de certains produits alimentaires dans l'île, en proie depuis plus d'un mois à une mobilisation contre la vie chère. Stipulant une baisse de 20 % des prix pour 6 000 produits, cet accord a cependant été signé sans le collectif Rassemblement pour la protection des peuples et des ressources afro-caribéens (RPPRAC), à l'origine de la mobilisation depuis le 1er septembre, qui a quitté la table des négociations et appelé à la poursuite de la mobilisation contre la vie chère. Il réclame une baisse des prix de 40 000 produits.
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Au programme : la mobilisation qui ne faiblit pas en Martinique. Des incendies, des pillages et des violences se sont produites, malgré le couvre-feu et l'interdiction des rassemblements sur l'ensemble du territoire. Les barrages sont maintenus. La piste de l'aéroport a même été envahie et l'île est quasiment paralysée. Retour sur les évènements de la semaine avec Gervais Nitcheu.
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Pour apaiser les tensions en Nouvelle-Calédonie, le Premier ministre Michel Barnier a annoncé que la réforme visant à dégeler le corps électoral ne sera finalement pas présentée au Congrès de Versailles. L’adoption de ce texte de loi au mois de mai avait provoqué les pires émeutes sur le territoire depuis quarante ans et fait 13 morts.
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Alors qu'elle est doit marquer le rassemblement des communautés vivant en Nouvelle Calédonie, la Fête de la citoyenneté a été célébrée ce 24 septembre à grand renfort de drapeaux bleu blanc rouge d'un côté, et de drapeaux Kanak de l'autre, en présence de 6 000 membres des forces de l’ordre. C’est cette date emblématique, marquant l’anniversaire de la prise de possession de l’archipel par la France en 1853, que le conseil des grands chefs a choisi pour faire une déclaration unilatérale de souveraineté sur l'ensemble de leur territoire.
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Depuis plusieurs jours, en Martinique, des habitants se mobilisent contre la vie chère. Malgré le couvre-feu, on déplore encore des émeutes à Fort-de-France.
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La vie chère continue de provoquer des crispations en Martinique. Contre ce phénomène, des négociations sont amorcées, mais les mobilisations se poursuivent. Les militants, des retraités ou des salariés venus parfois en famille, ont manifesté devant les supermarchés pour dénoncer l'augmentation des prix.
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Un mouvement de contestation a débuté en Martinique et en Guadeloupe contre la vie chère. Des centaines de personnes ont manifesté dimanche à Fort de France à l'appel du Rassemblement pour la Protection des Peuples et des Ressources Afro-caribéennes. Des actions ont été menées durant toute la semaine dans les supermarchés de l'île.
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Depuis la naissance, il y a six ans, du Fany Maoré, un volcan sous-marin, des dizaines de secousses ont lieu chaque jour à Mayotte. Très souvent, ces séismes ne sont pas ressentis. Mais cette semaine, la terre a tremblé plus fort.
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L'Agence régionale de Santé (ARS) a confirmé que l'eau du robinet est désormais de nouveau potable sur l'ensemble du territoire guadeloupéen, après avoir été contaminée par une pollution microbiologique due au passage de la tempête Ernesto. Les récentes analyses montrent un retour à des niveaux de qualité acceptables. Cette amélioration met fin à une semaine difficile pour les habitants, qui ont dû recourir à des distributions de bouteilles dans plusieurs communes.
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La situation demeure extrêmement tendue en Nouvelle-Calédonie, où les violences continuent de s'intensifier. Une onzième personne est décédée jeudi 15 août au cours d’échanges de tirs avec les gendarmes à Thio, berceau de l’activité minière en Nouvelle-Calédonie.
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De nombreuses familles mahoraises font face à une flambée vertigineuse de leurs factures d’eau. Ces dernières, dans certains cas, ont été multipliées par deux, voire par cent. Cette situation plonge une partie de la population dans l’incompréhension.
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Petit coin de paradis aux confins du monde, les îles Marquises, un des cinq archipels de la Polynésie française viennent d'être inscrites au patrimoine mondial de l'Unesco. Cet aboutissement de 30 années d'efforts ouvre la voie à une meilleure valorisation de ce patrimoine culturel et naturel unique.
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Sur l'île de La Réunion, comme l'année dernière, la campagne sucrière s'annonce morose avec de faibles tonnages. Un plan de relance de 9,2 millions a pourtant été présenté au mois d'octobre. Dans le désespoir, un agriculteur bien connu de l'île a décidé de tout arrêter. (Le récit de Pierre Lacombe).
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La vague de Teahupoo est prête pour accueillir les surfeurs des épreuves olympiques en Polynésie. Elle peut atteindre cinq mètres de haut, parfois dix, voire plus. Il y a quelques jours, la mythique vague était majestueuse, ce qui est bon signe à quelques jours du lancement de la compétition.
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La tension ne retombe pas en Nouvelle-Calédonie. Un homme a été tué mercredi lors d'un échange de tir avec les forces de l'ordre. Ces dernières ont été redéployées. Il s'agit du dixième décès depuis le début des émeutes en Nouvelle-Calédonie, il y a deux mois.
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L'ouragan Béryl a été destructeur dans les îles du sud de l'arc antillais. Pour venir en aide aux îles Grenadines dévastées, la Martinique y a envoyé plusieurs tonnes de denrées alimentaires et des groupes électrogènes. À Saint-Vincent-et-les-Grenadines, 90 % des maisons ont été emportées par le cyclone. Le premier ouragan de la saison est très vite passé en catégorie 5, le plus précoce jamais enregistré dans cette catégorie.
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Le 26 juin 1988 (il y a 36 ans) l'indépendantiste Jean-Marie Tjibaou et l'anti-indépendantiste Jacques Lafleur se serraient la main lors de la signature des accords de Matignon et Oudinot, qui ont rétabli la paix civile et sorti la Nouvelle-Calédonie de l'impasse violente dans laquelle elle se trouvait. Des "événements", qui ont connu un paroxysme avec le drame d'Ouvéa.
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Suite aux violences en réaction au projet de dégel du corps électoral, le parquet de Nouméa a ouvert une enquête pour association de malfaiteurs visant des "commanditaires" présumés des émeutes. Dans le cadre de cette enquête, 11 responsables indépendantistes de la CCAT, la Cellule de coordination des actions de terrain, ont été arrêtés. Parmi eux se trouve Christian Téin, chef du mouvement à l'origine des manifestations contre la réforme électorale. Ces arrestations ont provoqué de nombreux troubles à Magenta et dans le Grand Nouméa.
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