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    Le serpent qui se mord la queue, l'effet boule de neige de la remontée des taux sur le marché de l'immobilier. De septembre 2022 à juin 2023, la saison 3 de Paper Club a permis d’interroger les acteurs qui font l’immobilier, et de suivre l’évolution du secteur sur une période charnière pour le marché.

    Replongez-vous dans les moments phares de cette saison avec ce best-of. 

    Quel a été le facteur déterminant ?

    « Le déclenchement de la guerre en Ukraine, la tension très forte sur les matières premières, et donc l'augmentation rapide de l'inflation. Cette augmentation continue de l'inflation, depuis l'année dernière, a amené la Banque centrale européenne à remonter ses taux. » de Caroline Arnould

    L'objectif de la remontée des taux est de freiner la demande de crédit afin de contrer l'inflation. Le résultat : une baisse des octrois de crédits se fait sentir. Malgré tout, les mesures prises par la Banque centrale européenne exigent de la résilience et de la patience de la part des acteurs du marché. Certains invités tempèrent même le caractère inédit de cette remontée en avançant deux arguments majeurs :

    Le premier argument souligne que les taux des prêts immobiliers recensés restent généralement bas. Même s'ils atteignent en moyenne 4,20 % depuis décembre, ces mêmes taux atteignaient plus de 7 dans les années 2000.Le deuxième point met en avant le fait que nous demeurons sur des taux relativement bas pour s'endetter dans l'immobilier, et que l'immobilier reste une valeur refuge à long terme.

    Bien que nous parlons beaucoup des difficultés de financement, mais quels sont les effets directs sur le marché ?

    « Être locataire, c'est perdre 40 % de ton revenu chaque mois, (...) un problème économique majeur, une crise économique qui se prépare (...) avec toute une génération qui va se retrouver appauvrie et dépossédée parce qu'elle n'aura pas accès à la propriété. » de Saskia Fiszel

    Avec la raréfaction des financements bancaires, les primo-accédants sont obligés de renoncer à perdre 25m2 en moyenne à Paris pour pouvoir devenir propriétaires. La raison principale : la baisse drastique des taux depuis 10 ans qui a bouleversé la courbe du marché avec une explosion conséquente de la demande, créant des tensions sur le marché.

    Un dérèglement du marché causé aussi par des formules de calcul obsolètes ne permettant pas à tout le monde de se financer. Les principaux concernés sont les indépendants. En France, les indépendants représentent plus d'un Français sur 10. Pourtant, les financements restent mal adaptés aux évolutions des métiers, qui ont connu un tournant majeur post crise sanitaire. 

    Comment le marché immobilier s’ajuste-t-il pour surmonter cet obstacle ?

    « Le métier et les sous-jacents du métier sont les mêmes, la façon de le faire n'est pas la même. » de Stéphanie Zolesio

    Et oui, l'immobilier n'échappe pas à la loi d'Everett Rogers, qui consiste à adopter de nouvelles idées ou pratiques pour renouveler l'offre. Avec la montée en puissance de l'intelligence artificielle et des nouveaux outils numériques, les métiers sont également voués à changer et à s'adapter aux nouvelles attentes. Chaque invité cette saison a, à sa façon, trouvé des solutions pour répondre aux besoins et aux problématiques du marché.

    Même si le paysage immobilier subit quelques transformations, certaines ventes ne seront pas affectées, car, quel que soit le contexte, certaines situations telles que l'arrivée d'un enfant, un divorce ou même la succession d'un bien demeurent inaltérées.

    Timeline 

    2:42 : Du textile à l’immobilier, un jeu d'enfant6:27 : Une lecture à deux vitesses sur l’augmentation des taux8:49 : Analyse du marché des crédits immobiliers12:01 : Hausse des taux : obstacle ou opportunité ?15:04 : Plafond de pierre, qui est touché ?16:48 : La règle des « D »18:28 : Transformation du parc locatif vue d’un opérateur immobilier19:51 : Des tâches chronophages à la création de valeur sur la gestion immobilièr22:24 : Data governance, le nerf de la guerre24:20 : L’immobilier 3.0

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    « IAD, c’est exercer une activité de transaction immobilière sans locaux physique en full remote. »

    Dès 24 ans, Malik Benrejdal développe sa fibre entrepreneuriale. Après 13 ans de promotion immobilière au sein de Maisons Pierre, il décide de se lancer aux côtés de Jérôme Chabin et Sébastien Caille. Ensemble, ils montent IAD, « I@D » à l’époque, une entreprise qui a su anticiper les tournants majeurs de l’immobilier basé sur un modèle novateur : celui du marketing de réseau. 

    Cette plateforme de transaction immobilière s’articule autour de 3 génomes principaux : 

    L’immobilier qui représente le cœur du réacteur ;Le digital avec la plateforme 100 % en ligne qui connecte tout le monde et coordonne le réseau ;Le marketing multiniveau qui représente l’épicentre du modèle permettant de le faire croître grâce au networking. 

    « On voyait avant l’heure : en 2008 c’était le lendemain de l’émergence des smartphones. (…) Le monde n’avait pas encore pris ses marques en matière d’utilisation d’application mobile. (…) Le fait d’imaginer qu’on pouvait utiliser le web pour coordonner un réseau et dématérialiser une agence, c’était impensable. » 

    Comme pour beaucoup de précurseurs, il est souvent compliqué de convaincre son auditoire de la pertinence de sortir des sentiers battus. Pourtant, le modèle IAD a su convaincre en dépassant les frontières. Avec plus de 6 pays à son actif, IAD continue sa progression. Après le Mexique en 2020, ce sont désormais les États-Unis et le Royaume-Uni qui seront les prochains pays à les accueillir.

    Tout le monde peut être apporteur immobilier chez IAD. Selon Malik, l’atout essentiel pour les agents, c’est l’empathie,l’envie de comprendre et de progresser. L’ADN d’IAD réside dans sa façon de faire de l’immobilier de réseau, mais surtout de développer son propre réseau. Pour Malik, l’écosystème est un tout harmonieux. L’important pour l’apporteur est d’être accompagné par d’autres experts - et encore plus maintenant.  

    « Ces 30-40 dernières années, on n’a jamais connu une remontée aussi massive des taux d’intérêt. » 

    Des délais de mandat avant contrat rallongés montrent les signes d’un marché qui se durcit. Selon l’expertise de Malik, le marché ne réagit pas exactement de la façon attendue. Pourquoi ? Entre la loi climat, la hausse des prix des matières premières et le marché du neuf qui stagne, l’impact se fait ressentir sur le marché des prix de l’immobilier.  

    Toutefois, Malik reste confiant et nous explique qu’il sera nécessaire de s’adapter aux nouvelles attentes du marché. Comment ? En essayant de se réinventer perpétuellement. Chez IAD, l’innovation est inscrite dans leur ADN et cela implique d’être constamment à l’affut de la moindre innovation digitale pour rénover en permanence les outils. 

    Pourtant un acteur incontournable dans son secteur, IAD compte bien poursuivre son expansion et se placer comme l’acteur de référence. 

    Timeline

    2:30 : Ses premiers pas dans l’immobilier4:55 : La genèse d’IAD 12:45 : Qui sont les agents IAD ?23:53 : Les différentes classes d’actifs proposées par la plateforme26:18 : L’ouverture du modèle à l’international  34:50 : L’analyse détaillée du marché immobilier  42:20 : Les équipes IAD 49:23 : Les prochaines objectifs à atteindre 51:27 : Questions rituelles d’Emilie

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    « CAFPI : c’est le pionnier et l’inventeur du courtage (…) avec plus de 1 100 courtiers indépendants sur toute la France dans plus de 230 agences. »

    Passionnée par les chiffres, Caroline Arnould se dirige naturellement dans le monde de la finance au début de sa carrière. Elle intègre le Crédit Agricole où elle gravira pendant près de 15 ans plusieurs échelons jusqu’à en devenir Head of Sales & Relationship Management. Avec de solides compétences et cette envie de revenir sur le terrain, elle rejoint l’aventure CAFPI en 2021 en tant que directrice du développement. 

    Leader du courtage en immobilier, en agence ou à distance, CAFPI s’appuie sur plus de 1 200 courtiers et 450 salariés en France. De l’investissement locatif à l’achat immobilier, CAFPI accompagne les acheteurs sur tous types de biens. Avec  son large réseau de professionnels de l’immobilier, c’est un gage de confiance pour les futurs propriétaires avec près de 150 banques partenaires à leur arc. 

    « Un courtier c’est un conseiller qui connait son métier et qui accompagne de bout en bout son client. » 

    Dans un contexte économique compliqué, le métier de courtage doit se réinventer pour affronter les nouveaux enjeux du secteur. Avec une baisse conséquente de -30 % sur les demandes de crédit immobilier, le courtier doit redoubler d’efforts. Il représente un atout de valeur pour les banques  comme pour les emprunteurs.

    Avec son regard d’experte, Caroline nous explique que la remontée des taux que connait le marché depuis plusieurs mois était nécessaire. Ils étaient si bas que l’équilibre entre l’offre et la demande était rompu, selon elle.. Les évènements actuels n’ont fait qu’accélérer la remise en ordre du marché pour permettre un « atterrissage en douceur des prix » et une stabilisation dans les zones tendues telles que Paris, nous explique Caroline

    « Si les taux continuent à augmenter, au moins le taux d’usure s’adapte mensuellement et les banques peuvent garder des marges. Donc si elles arrivent à revendre des crédits avec de la marge, elles continuent à [en distribuer. » 

    Caroline reste optimiste et prévoit une amélioration de la situation d’ici septembre, le temps que les nouvelles mesures prises par l’État fassent effet. Avec plus de 400 recrutements en 2022, CAFPI compte même doubler leur effectif en 2023.  

    Présidente de l’Association Professionnelle des intermédiaires en crédits (APIC), Caroline nous expose le prochain combat des courtiers : la révision du taux d’endettement dont le calcul n’est plus adapté aux nouveaux usages…

    Timeline

    2:07 : Ses premières expériences jusqu’à ses débuts chez CAFPI6:28 : Comment ce leader du courtage immobilier en France a su se réinventer 13:43 : CAFPI, en quelques chiffres 17:19 : Analyse du marché des crédits immobiliers  25:50 : Les profils les plus touchés par cette crise économique 30:50 : Les transformations du métier de courtier 36:57 : Les évolutions du marché 38:04 : Les prochaines étapes pour CAFPI39:36 : L’APIC, lobbyiste en faveur des courtiers 43:48 : Questions rituelles d’Emilie

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    « L’éléphant dans la pièce ce sont les familles monoparentales. Un groupe en pleine croissance avec des besoins extrêmement spécifiques pourtant absolument exclus du marché en France et partout dans le monde. » 

    Aucune envie de rentrer dans une case, Tara s’intéresse à de nombreux domaines : la science politique, la finance et même l’environnement. Après une expérience enrichissante chez Uber, l’envie de voler de ses propres ailes commence à émerger et c’est là que le coliving frappe à sa porte. Après une étude de marché approfondie, l’idée de Commune fait sens dans son esprit.  

    Basé sur un modèle en fort développement, Commune offre aux familles monoparentales la possibilité de trouver un logement adapté à leurs besoins grâce au système de co-living. Dans un secteur locatif de plus en plus tendu, ces familles sont souvent impactées et ne font pas le poids face à un ménage à deux revenus.

    « On voit notre offre comme le parfait coussin d’atterrissage pour se stabiliser dans l’apprentissage de la monoparentalité. » 

    En France, plus d’une famille sur quatre est monoparentale. Un tiers d’entre elles sont en Île-de-France. Pourtant, l’offre locative est peu adaptée à ces familles puisque les revenus de ces ménages sont 30 % moins élevés que les familles avec 2 parents. 

    Commune est le premier acteur au monde à proposer une solution sur-mesure et clé en main à ces familles. Le loyer de chaque résidence est calculé pour qu’il puisse prendre en compte également les charges ainsi que les services additionnels comme l’aide aux devoirs ou du Baby-sitting proposés par Commune. 

    Avant tout un lieu de vie collectif, chaque résidence possède minimum 3 salles de vie à partager avec l’ensemble des familles. L’objectif est de recréer à la fois de l’intimité avec des appartements pensés pour que les parents et les enfants retrouvent chacun leur espace, mais aussi du lien social indispensable pour ces familles dans les lieux communs.

    « Si on n’est pas satisfait du système, il faut s’employer à le changer et à être dans l’action. » 

    Nommée parmi les 35 leaders responsables de moins de 35 ans et titulaire du trophée Espoir du prix de la Femme d’influence 2022, Tara a toujours eu cette envie de contribuer au monde de demain. Commune n’est d’ailleurs pas sa première expérience entrepreneuriale. Elle se lance d’abord avec Règles Élémentaires, une association pour aider les femmes à avoir accès aux produits d’hygiènes féminines – et elle nous en parle !

    Retrouvez son parcours très enrichissant et ce beau projet de co-living monoparental. 

    Bonne écoute. 

    Timeline

    2:30 : Ses premières expériences jusqu’à ses débuts dans le Tech 6:43 : Son envie de contribuer au monde de demain11:39 : La genèse du projet20:35 : Plus que du co-living, un service clé en main 24:46 : Les particularités des appartements Commune39:17 : Focus immobilier, le business model 50:10 : Les prochains objectifs de Commune55:30 : Questions rituelles d’Emilie

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    « L’immobilier façon Galia,c’est que tous les immeubles soient uniques. On ne reproduit jamais le même schéma. » 

    Dès sa plus tendre enfance, Brice Errera baigne dans l’immobilier familial. Tout petit, il allait sur les chantiers de construction. Pourtant, prédestiné à poursuivre sa carrière professionnelle dans l’immobilier, Brice décide de tracer son propre chemin dans le journalisme jusqu’à être rattrapé un beau jour par sa mère et reprendre finalement le flambeau familial. Depuis, il ne regrette pas une seconde et grave chaque jour dans la pierre une histoire différente. 

    Des boutiques-hôtel, des bureaux contemporains ou encore des opérations mixtes, depuis plus de 40 ans, le Groupe Galia met son savoir-faire au service de la réalisation de projets diversifiés. Multi casquettes et multisegments, le Groupe Galia ne se ferme aucune porte. Chaque immeuble pensé par le groupe a pour vocation d’écrire une histoire différente. 

    « On respecte beaucoup l’histoire du bâtiment. On n’essaye pas de démolir pour reconstruire. » 

    Inscrit dans des valeurs de partage et de transmission, le groupe n’achète pas de parc immobilier neuf. La création de valeur pour Galia passe dans la restructuration d’immeubles déjà existant. Toujours dans l’optique de marier le patrimoine ancien à l’architecture de demain, Galia donne aussi du sens à la rénovation.

    Dès l’origine du groupe, Galia se positionne avec une approche sociale dans la construction de maisons en primo-accédant afin de faciliter l’achat de biens en Martinique. Aujourd’hui, avec le soutien des mairies et en partenariat avec le Samusocial, Brice réaménage des logements pour accompagner des familles avec des logements sociaux adaptés à leurs besoins. Les écoles à proximité de chaque résidence sont également prêtes à accueillir les enfants des familles. 

    « Tout dépend de la localisation et de la classe d’actif. L’augmentation des taux fait un peu chavirer. Nous on le voit sur l’impact, surtout qu’on a des opérations de 5 à 7 ans. Donc vraiment on est très content d’avoir choisi la création de valeur et d’avoir bien acheté. » 

    Le Groupe Galia a su s’adapter aux contraintes du marché en se renouvelant sans cesse. Des opérations de longue haleine souvent semées d’embuches, Brice confie qu’il faut être flexible et accepter que l’histoire de l’actif évolue en fonction des circonstances. RSE, marché locatif, montée des taux... avec son regard avisé il analyse pour nous les enjeux du secteur à prendre en compte.  

    En plus d’avoir une expertise et les épaules solides pour savoir naviguer en eau trouble, le réseau est aussi un facteur clé. Ancien invité de Paper Club et à la tête de groupe familial Terrot. Brice et Samuel Gelrubin ont déjà collaboré dans plusieurs opérations immobilières. Deux experts avec un regard et une approche différente qui savent créer une valeur ajoutée inégalée. 

    Bonne écoute ! 

    Timeline

    2:35 : Du journalisme à la reprise de l’entreprise familiale10:07 : L’immobilier façon Galia17:02 : Samuel Gelrubin : un duo de choc 21:56 : Son premier actif chez Galia28:12 : Analyse du marché vue d’un opérateur immobilier 32:19 : Faire du beau avec du sens40:55 : À la conquête d’un nouveau terrain de jeu 43:51 : Questions rituelles d’Emilie

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    « Notre rôle, […] ajouter une couche technologique qui permet aux personnes de recevoir des notifications sur les annonces disponibles correspondant à leurs critères. » 

    Attiré par l’arrivée d’internet au début des années 2000, Marc Lebel se laisse guider tout naturellement dans l’univers de la Tech et de l’ingénierie. Zilok.com, plateforme de location sur tout type de bien, marque un tournant dans son parcours professionnel. Petit à petit, l’envie d’entreprendre dans un projet immobilier émerge dans sa tête.  

    En quête de trouver un appartement pour sa sœur, Marc se rend compte très rapidement que ce n’est pas une mince affaire. Motivé de résoudre le problème, il se plonge dans les livres et les lignes de codes. Au bout de 3 semaines seulement, il crée la version bêta de Jinka.. La promesse est simple : permettre aux utilisateurs de recevoir en temps réel les annonces de plus d’une centaine de sites immobiliers et d’être parmi les premiers à postuler, tout ça sur un seul et même endroit.

    « On envoie entre 2 et 3 millions de notifications d’annonces par jour. Et on bloque environ 600 000 notifications par jour d’arnaques. » 

    En plus de simplifier la recherche, l’algorithme de Jinka fait barrage et traque les fausses annonces. Avec plus de 30 % d’arnaques recueillies tous les jours, l’application sensibilise les utilisateurs aux bonnes pratiques à avoir. Marc nous donne ses meilleurs conseils et explique qu’une recherche optimale, c’est entre 5 à 25 annonces par jour. 

    Pas seulement réservé aux particuliers, Jinka offre aussi une solution aux professionnels de l’immobilier, pour qui il est souvent compliqué de se démarquer. Jinka push les annonces des agences immobilières en temps réel auprès d’un public ciblé. Avec plus de 200 agences partenaires, les agences peuvent certifier leurs annonces et accéder à un Dashboard avec une rétrospective en live de ses leads. 

    « Les taux ont augmenté et nous on a principalement des acheteurs. Le rapport de force entre les acheteurs et les vendeurs commence donc à s’inverser. »

    Le secteur locatif connait un virage depuis quelque temps. Entre la loi "Climat » avec la chasse aux passoires thermiques et des acheteurs de plus en plus croissants, le marché locatif rencontre une légère saturation. C’est pourquoi Jinka ne cesse de se renouveler avec de nouveaux services additionnels.

    Parmi ces nouvelles offres, Jinka propose désormais de se placer sur des logements neufs. Un tracking complet sur tous les sites des promoteurs afin de permettre aux utilisateurs d’avoir un plus large choix et de bénéficier en avant-premières des annonces disponibles. Et si vous hésitez entre l’ancien et le neuf, l’application vous propose un comparateur afin de trouver la solution la plus avantageuse. 

    Retrouvez l’ensemble du business model de Jinka et tout ce qu’il faut savoir sur son fondateur, dans ce nouvel épisode de Paper Club. 

    Bonne écoute ! 

    Timeline

    2:52 : Ses débuts professionnels dans la tech7:34 : Ses premiers pas dans l’immobilier13:06 : La genèse de Jinka 22:55 : Un barrage contre les arnaques 33:29 : Les services additionnels  45:19 : Focus sur la data 47:19 : Le business model 48:34 : Un État des lieux du marché locatif  50:47 : Questions rituelles d’Emilie

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    « GarantMe c’est une plateforme de gestion du loyer pour les professionnels de l’immobilier. » 

    Né d’une famille d’entrepreneurs, Thomas est tombé tout petit dans le chaudron de l’entrepreneuriat avec cette volonté de créer de la valeur à sa manière. Mais puisque l’union fait la force, c’est dans la major entrepreneuriat d’HEC que Thomas trouve son alter ego : Emile Karam. Ensemble, ils créent GarantMe. Thomas n’a alors que 24 ans.

    Présent dans plus de 150 villes en France, GarantMe travaille avec plus de 3 500 agences partenaires dont de grands groupes tels que Nexity ou Orpi. GarantMe, c’est la promesse d’accompagner les locataires à trouver plus facilement leur logement avec des critères plus justes et adaptés aux évolutions sociétales ainsi qu’une simplification du processus pour les professionnels de l’immobilier.

    « Il y a besoin de mettre de l’innovation dans la manière dont on sélectionne le locataire. […] Pour toute une partie d’entre eux qui pouvaient être considérés comme risqués, pour de mauvaises raisons lorsque l’on regarde les données structurées, on apporte une solution, on se porte garant pour eux. »

    Pour Emile et Thomas, il était nécessaire d’ajouter du sens dans le parcours de location en élargissant les conditions. GarantMe exploite de nouvelles données encore jamais exploitées auparavant et permet d’avoir une flexibilité plus élevée dans le parcours de sélection. 

    Aujourd’hui, 50 % des locataires accompagnés par GarantMe sont des étudiants. 80 % des profils ont moins de 30 ans. La plateforme permet à une pluralité de profils d’accéder à la location grâce à un scoring calculé en fonction des transformations des habitudes du marché professionnel. 

    Le second enjeu, et pas des moindres, touche les professionnels de l’immobilier. Comment accélérer le parcours de sélection des dossiers ? À travers un dispositif en ligne, les professionnels de l’immobilier ont accès directement aux dossiers des locataires regroupant l’ensemble des garanties déjà incluses dans le scoring final.  

    « Le premier outil, c’est une déclaration de l’impayé qui est hyper fluide pour l’agence immobilière en ligne. Le deuxième outil, c’est une délégation qui nous est donnée de la part des assureurs pour manipuler les fonds […] On a les bons processus pour décaisser l’argent très rapidement. »

    Un business model pensé pour qu’il apporte de la valeur ajoutée sur l’ensemble de la chaîne. Agence, promoteur, courtier, assureur… GarantMe est déployée sur un large réseau de canaux de diffusion afin de répondre aux problématiques de plusieurs intermédiaires grâce à une plateforme en ligne. 

    Une double interface adaptée en fonction de l’utilisateur. Les locataires peuvent retrouver leur dossier facilement. Les professionnels de l’immobilier ont accès à tout un tas d’outils pour accélérer et fluidifier le processus de traitement des dossiers.

    Après une levée de fonds réussie à plus de 15 M€, GarantMe ne compte pas s’arrêter là et poursuit sur cette belle lancée avec le rachat de Citima, un CRM immobilier nouvelle génération. Une belle histoire que nous raconte Thomas dans ce nouvel épisode de Paper Club…

    Timeline

    1:55 : Premières expériences professionnelles 5:23 : De la rencontre avec Emile à la genèse de GarantMe13:34 : Sélection des locataires 17:28 : Les backstages 23:09 : Focus côté tech 24:31 : État des lieux face à un marché saturé32:30 : Le business plan 33:38 : Les prochains objectifs à ne pas manquer 39:23 : Questions rituelles d’Emilie

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    Podcast animé par Emilie Cohen et créé par ClubFunding. 

    Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.

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    Paper Club fait sa rediffusion : retour sur un épisode particulièrement apprécié des auditeurs avec Sébastien de Lafond. Dans un contexte économique compliqué, certains entrepreneurs écrivent de belles histoires qui perdurent, notamment celle de MeilleursAgents. Écoutez ou réécoutez cet épisode qui retrace le parcours inspirant de Sébastien de Lafond, un entrepreneur visionnaire.

    « En germe il y avait une envie d’un autre modèle, d’un autre environnement et de dépenser mon énergie autrement. »

    Si vous consultez le CV de Sébastien de Lafond, vous vous direz peut-être : « quelle belle carrière ». Du Luxembourg à Boston, de New York à Londres, de HEC à Paribas puis à JP Morgan… C’est l’exemple type de l’homme d’affaires qui a eu mille expériences.

    Mais c’est surtout l’exemple type d’un entrepreneur… atypique. Ce riche parcours l’a préparé à devenir le chef d’entreprise qu’il est devenu. Et Sébastien a décidé de se lancer dans l’entrepreneuriat à un moment où beaucoup lui auraient dit de ne pas y aller.

    La constante chez Sébastien, c’est l’humanité. Ses premières expériences lui ont surtout montré ce qu’il ne voulait pas. C’est avant tout un homme qui suit son instinct, sans précipitation et avec conviction.

     

    « Aujourd’hui on est dans un monde extraordinaire : si on a envie de monter un business, on va trouver des gens avec qui le monter, des gens pour vous conseiller, des gens pour vous financer et on acceptera que vous n’ayez aucun capital, seulement une force de travail et des idées. »

    Rapidement, il se passionne pour la tech et participe, chez Montgomery Securities, à faire entrer en bourse les plus belles pépites de l’époque. Ces quelques années ont réveillé en lui une petite graine déjà présente depuis son enfance, mais qui a continué à germer : celle de l’entrepreneuriat. 

    Sébastien fonde en 1999 son propre fonds de capital-risque, Add Partners, à Londres. Il a alors la conviction qu’il y a beaucoup à faire en Europe. Son objectif ? Accompagner en early stage de jeunes sociétés à l’ambition mondiale. Avec ses associés de l’époque, il fait le choix de financer ce qu’il y a « derrière » le web : les semi-conducteurs, les building blocks… Résultat ? Il survit à l’éclatement de la bulle du début du siècle.

    Quand cette aventure prend fin, Sébastien prend le temps. De se retrouver. De réfléchir. D’envisager sereinement la suite. Une réflexion qui aboutira à la création de MeilleursAgents.

     

    « Je me suis dit : "ce secteur immobilier, il ne fonctionne pas bien, il touche tout le monde et il est très frustrant". »

    Pour lui, le moment était venu « de monter un vrai business, pas un business qui aide le business ». Pourquoi l’immobilier ? Un hasard, une rencontre et une mauvaise expérience personnelle. Il crée alors MeilleursAgents, cette pépite de la proptech française. Une entreprise avec une promesse simple : la transparence sur les prix et la transparence sur les pros.

    Naturellement, il aura fallu des années à Sébastien et ses associés pour imposer MeilleursAgents comme une référence du secteur. Aujourd’hui, l’ensemble des acteurs sont au rendez-vous et la transparence dans le secteur s’est imposée. Sébastien nous explique comment il a convaincu les agents immobiliers de travailler avec lui – un pari loin d’être gagné à l’origine…

    Désormais, Sébastien est passé à une nouvelle étape. Après avoir cédé MeilleursAgents, il a pris, à nouveau, le temps de s’interroger sur son futur projet. Il nous livre d’ailleurs quelques indices en fin d’épisode…

    Timeline

    03:12 : Des premières expériences dans la banque...12:50 : …à l’entrée dans le secteur de la tech16:55 : Sa première expérience entrepreneuriale à Londres23:05 : MeilleursAgents, la genèse32:06 : La promesse originale de MeilleursAgents40:37 : Les secrets de longévité48:00 : L’après…54:43 : Les questions rituelles d’Émilie

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    « Il y a toujours eu un problème d’accès à la propriété mais en fait là il est mis en lumière par le contexte actuel. Les taux d’intérêts qui augmentent avec notamment la problématique du taux d’usure qui bloqué encore plus de profils. »   

    Fraîchement diplômé, Adrien Péligry se lance dans l’entreprenariat et monte sa première entreprise, une solution dans le secteur des avantages pour les salariés : Sweevana. Remplit de succès, Swile, leader sur le marché des tickets restaurants, décide de racheter Sweevana au bout d’un an à peine. N’ayant pu connaître tous les aspects de l’entreprenariat, Adrien se lance à nouveau mais cette fois sur un sujet complétement différent : l’immobilier.

    Hestia, c’est la promesse de devenir propriétaire basé sur un concept qui explose, le leasing. Tombée dans l’oubli, la loi de 1984 sur la location-accession a permis aux cofondateurs d’Hestia de reprendre un support juridique en l’adaptant bien évidemment aux nouveaux usages.

    « Quand on s’est lancé on a été surpris de la diversité des profils qui ne pouvaient pas accéder à la propriété. »

    Tout comme Saskia de Virgil, Adrien souhaite réduire l’écart générationnel et les problèmes d’accessibilités liés à la propriété. Un prêt sur deux qui est refusé en 2022, Adrien explique qu’il existe une diversité de profils touchés par la question. C’est à cet instant qu’Hestia intervient en permettant à des profils « solvables mais pas finançables » d’avoir accès à la propriété. 

    Les crédits bancaires ont toujours été la solution classique pour investir. Pourtant certaines banques demandent jusqu’à 20 % d’apport personnel contre 3 % avec le leasing. Une solution plus souple et adaptée aux évolutions professionnelles du marché puisqu’un français sur 10 est indépendant. Pour Adrien, l’enjeu d’Hestia est d’apporter plus de flexibilité en fonction des différentes situations de vie pour accompagner tout le monde à devenir propriétaire. 

    « Hestia se place au centre de la chaîne de valeur. Et on va être amené finalement à travailler avec des agences immobilières ou bien des courtiers (…). On n’est pas là pour remplacer une fonction. »

    Un business model pensé pour s’inscrire dans une démarche « win-win » avec tous les acteurs de la chaîne de valeur. Notaire, courtier, banque … acheter un bien implique beaucoup d’intermédiaires et Hestia se charge de faire le relai entre tous les interlocuteurs. 

    En plus d’un accompagnement clé en main, Hestia propose une expertise immobilière afin de trouver la perle rare dans les meilleures conditions. Un modèle pensé pour permettre d’épargner progressivement et ainsi construire un apport personnel suffisant pendant les 3 ans de délai. 

    Retrouvez le parcours inspirant d’Adrien Péligry sur l’ensemble des plateformes. 

    Bonne écoute ! 

    Timeline

    02:16 : L’envie d’entreprendre jeunes09:53 : Les prémices d’Hestia 16:11 : Business model d’Hestia 25:25 : Le processus d’achat  33:19 : Focus sur les investisseurs38:14 : Modèle économique d’Hestia41:46 : Les objectifs de développement 45:23 : Les questions rituelles d’Emilie

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    « Faciliciti consiste à créer une communauté d'habitants, de travailler sur un écosystème local, de faire en sorte que chacun se sente bien à la fois dans son lieu de vie et dans son quartier. »    

    Même pendant son parcours universitaire, Fabiola Barreira décide de tracer son chemin et de sortir des sentiers battus en se spécialisant vers le droit de la construction, de l’urbanisme et de l’immobilier. De la finance immobilière à la gestion administrative de biens, c’est à travers ses premiers pas de l’autre côté du miroir avec Sergic que Fabiola est confrontée aux problématiques du secteur. 

    Accompagner dans ses débuts par Quartus, Fabiola se jette à l’eau et développe Faciliciti. Bien plus qu’un syndic, Faciliciti accompagne à la fois les copropriétaires dans la gestion de l’immeuble mais aussi les acteurs de la ville pour proposer une offre adaptée aux besoins des futurs habitants. 

    « Redonner la main aux habitants, faire en sorte que la vie de quartier corresponde à ce qu’ils veulent vraiment»    

    Afin de redorer l’image des syndics, Fabiola se rend compte qu’il y a un besoin crucial de rajouter de l’humain à l’équation. Le syndic étant au cœur de toutes les problématiques de l’immeuble, Faciliciti joue donc le rôle de médiateur entre les habitants et les acteurs de la ville.

    Pour cela le syndic porte la triple casquette de gérant d’immeuble, de transactionnaire et de gestionnaire locatif. Engagée pour prendre part au monde de demain, Faciliciti sélectionne des partenaires en accord avec leur valeur pour développer une approche plus responsable.

    « Le village revient à la ville : l’un des pari de Faciliciti est d’aborder le quartier comme un village. »    

    Au plus près des habitants, le Facilitateur occupe une place clé dans le quotidien du quartier. En plus de s’assurer de l’entretien et de la bonne gestion de l’immeuble, le Facilitateur joue le rôle d’intermédiaire pour partager les bons plans et animer la vie en communauté au sein de l’immeuble. 

    Toujours pour faciliter et fluidifier les échanges, Faciliciti c’est aussi une application où les habitants peuvent retrouver en temps réel les informations importantes concernant le quartier ou l’immeuble. 

    Faciliciti : le combo gagant entre digital et proximité ! 

    Bonne écoute,

    Timeline

     

    -       02:24 : Premières expériences professionnelles 

    -       04:06 : De la finance au syndic : ses débuts dans l’immobilier

    -       18:30 : Plus qu’un syndic et mieux qu’une conciergerie : focus sur Faciliciti 

    -       25:30 : Le rôle clé du facilitateur 

    -       29:39 : Redorer l’image des syndics, la conviction de Fabiola  

    -       32:25 : Focus business model de Faciliciti 

    -       38:38 : RSE, digital : les nouveaux usages au service des néosyndics

    -       45:44 : Les questions rituelles d’Emilie

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    « Historiquement l’immobilier a toujours fait parti de la stratégie de création de valeur du groupe Casino. Contrairement à ce qu’il peut se passer dans d’autres groupes retails, l’immobilier n’est pas une fonction support. »    

    Du vin à l’immobilier, Stéphanie Zolesio ne se prédestinait pas à ce parcours dans la pierre. Elle découvre le métier d’asset management avec Unibail et depuis elle ne se voit pas ailleurs. Plus de 15 ans d’expérience immoblière à son arc, elle occupe désormais la place de Directrice Générale Executive de Casino Immobilier. Stéphanie pilote et accompagne la stratégie du groupe sur toutes ces questions d’investissements immobiliers.

    L’univers Casino c’est à la fois de la gestion immobilière basée sur les leviers d’une foncière classique pour leur propre compte ainsi que pour le compte de tiers. Dans une optique de « test and learn », le groupe souhaite développer une approche partenariale en accompagnant les locataires sur toutes ces questions de gestion immobilière. Depuis 2 ans le groupe adapte sa stratégie commerciale d’investissement afin que chaque actif soit adapté à l’enseigne pour être créateur de valeur.   

    « Le Covid a été un accélérateur d’une transformation de l’immobilier qui était déjà en marche surtout sur le retail. »

    Dans un contexte post-covid, le parc immobilier connait des mutations accrues. Un modèle déjà fragilisé, Stéphanie nous explique que le retail doit s’adapter aux nouveaux usages des consommateurs. Les hypermarchés n’étant plus au goût du jour, place maintenant aux commerces de proximité. Le groupe Casino l’a bien compris et se détache peu à peu du modèle classique pour développer une stratégie d’asset light.

    Le géant a vendu plus de 2,8 milliards d’euros de ses actifs et entame maintenant une nouvelle phase de sa stratégie, c’est-à-dire la rotation de ses biens. Un nouveau modèle articulé autours de 4 grandes thématiques : la data center, le self stockage, le développement immobilier de projets mixtes et le web 3.0.

    « L’utilisateur est propriéraire de sa data, c’est une révolution dans le monde des enseignes possible grâce au web 3.0. »

    Convaincue de l’avenir de la blockchain, Stéphanie décide de prendre de la hauteur et de ne plus seulement se focaliser sur l’immoblier mais d’analyser les évolutions sociétales. Stéphanie souhaite utiliser le métavers pour faire le pont entre la réalité et le digital. 

    Dans sa stratégie, Stéphanie tient à ce que les utilisateurs redeviennent maîtres de leurs données personnelles. Le web 3.0 abandonne le modèle quantitatif pour favoriser une data plus qualitative. L’objectif : connaître précisement les tendances d’achats afin de proposer des programmes de fidélité adaptés. Stéphanie confie que l’enjeux de Casino pour les années à venir est de démocratiser le métavers afin qu’il serve de fonctionnalité support aux enseignes. 

      

    Nous vous invitons à écouter cette belle sucess story sur l’ensemble des plateformes. 

    Bonne écoute. 

    Timeline

    01:58 : Premières expériences professionnelles 05:50 : Ses débuts dans l’immobilier 15:39 : Focus sur le groupe Casino 24:51 : La mutation du marché post-covid 28:29 : Les nouveaux usages du marché 38:00 : Casino 3.047:51 : Les enjeux du métaverse 

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    « La résidence secondaire aujourd’hui ça représente plus de 10 % des transactions immobilières chaque année. Et ce segment souffre d’un réel problème d’accessibilité. »

    Après plusieurs expériences professionnelles dans le digital et le marketing, Ludovic de Jouvancourt décide de sauter le pas et de rentrer dans le monde de l’entrepreneuriat. À travers ses investissements personnels dans l’immobiliers et la crise sanitaire, l’idée de Prello émerge très vite dans la tête de Ludovic et de Stéphane Gal.   

    Beaucoup de startups s’intéressent aux problématiques de l’investissement locatif et de la résidence principale en délaissant celui de la résidence secondaire. Et pourtant 55 % de français rêvent d’en acheter une, la demande est bel et bien présente malgré les nombreux obstacles.

    « Quand on compare ces 10 % au nombre de gens qui déclarent vouloir acheter leur résidence secondaire : c’est 1 français sur 2. »

    La promesse de Prello est simple, devenir copropriétaire d’une résidence secondaire, clé en main. Plus besoin de se soucier du sourcing, de la gestion administrative ou de la mise en location, Prello se charge de A à Z de la maintenance.    

    Plus de 7 000 € d’entretien en moyenne par an, le marché de la résidence secondaire représente un gouffre financier pour les Français. La solution : faire une co-acquisition avec 7 autres personnes et partager les frais. Pour Ludovic, cette solution permet de s’offrir une résidence jusqu’à 8 fois moins chère à l’achat et au quotidien. 

    « On rassemble maximum 8 personnes par bien parce qu’en moyenne un français passe moins de 45 jours dans sa résidence secondaire. »

    Afin de faciliter la gestion en interne, Prello divise la SCI en 8 parts. Un acheteur peut acquérir jusqu’à 4 parts maximum d’un même bien. Ensuite pour fluidifier la répartition des jours, un calendrier intelligent est mis à disposition. Chaque coacquéreur possède 1 semaine en haute saison. Soit 6 nuitées en été pour les actifs situés à la mer et en hiver pour les résidences à la montagne. 

    Pour rentabiliser et minimiser les coûts des acheteurs, le bien est mis en location lorsqu’il n’est pas occupé. Avant l’achat, la plateforme procède à une expertise pour trouver la localisation idéale. Prello vous conseille et vous accompagne pour trouver la résidence secondaire qui correspond à vos besoins. 

    Bonne écoute.

    Timeline : 

    2:20 : De la Réunion à la Métropole, ses premières expériences9:36 : Premier pas dans l’immobilier 18:16 : De la rencontre avec Sébastien à la genèse de Prello 23:14 : Analyse du marché et proposition de valeur35:43 : Le profil-type des co-propriétaires 38:22 : Le Business model de Prello 52:40 : Question rituelles   

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    « Myre : c’est une plateforme verticale de gestion de la data financière et juridique »

    Après un parcours scientifique et une première expérience chez UBS, Déborah Fritz découvre le monde de l’immobilier avec Beacon Capital. Au sein de l’un des plus gros fonds de private equity américain, Déborah apprend toutes les ficelles du métier de la pierre et le fonctionnement de cette chaîne de valeur.

    Très vite, elle se rend compte du nombre d’intermédiaires qui la composent et qu’il est compliqué de fluidifier et de traiter correctement la data. Elle fonde donc Myre. Son objectif ? Gagner en efficacité dans la gestion immobilière et accompagner les assets managers avec des outils modernisés et adaptés.

    « La data est mauvaise, il y a une marge d’erreur de 30 %. Donc les asset managers sont obligés de faire de la data gouvernance et de la structuration de donnée pour récupérer de la donnée correcte. »

    Sur toute classe d’actif, Myre centralise et analyse l’ensemble des données opérationnelles, financières et juridiques. Myre, c’est un algorithme poussé permettant de calculer en temps réel les indicateurs avec un reporting. Myre, c’est surtout une application qui répond aux besoins de chaque acteur en s’adaptant aux contraintes de toutes les structures.

    À travers ses expériences internationales, Déborah ne se limite pas seulement au marché français. Myre, c’est aussi la promesse d’une ouverture sur l’Europe avec l’inauguration de leur nouveau pôle à Londres.  

    « C’est important pour moi la parité. J’ai grandi professionnellement dans un monde d’homme. »

    En plus de Myre, Déborah s’engage à mettre en lumière toutes ses femmes qui œuvrent au quotidien dans le secteur. 17 % c’est le nombre de femmes qui ont participé au MIPIM en 2018, une statistique qui « n’est pas bonne ». Déborah souhaite améliorer cette parité à travers un réseau de networking 100 % féminin avec 3 évènements phares à ne pas manquer dans l’année. 

    Myre c’est désormais plus de 45 collaborateurs avec de nombreux projets en perspectives. En un mot, l’entrepreneuriat pour Déborah c’est : « sky is the limit ». 

    Timeline

    01:08 – Ses premières expériences professionnelles 03:52 – Myre, la promesse de rendre accessible la data09:04 – À la conquête d’un secteur peu digitalisé  11:02 – De Paris à Londres, une ouverture au marché européen 12:44 – Traitement et partage de la data, le nerf de la guerre19:27 – Les backstages d’une belle aventure entrepreneuriale24:20 – Analyse contextuel d’un marché compliqué 25:10 – L’association 17 %, Déborah s’engage pour la parité immobilière 33:33 – Les questions rituelles d’Emilie

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    « Finalement carrément 2 ans après et avec vraiment sans exagération une dizaine de dépannages, c’est Monga qui a fini par remplacer cette chaudière ».

    Monga, c’est l’histoire d’une aventure entrepreneuriale qui débute grâce à une chaudière défectueuse. Monga c’est surtout la promesse d’optimiser la gestion technique et d’améliorer la valorisation des actifs. De la maintenance au gros œuvre, la proptech accompagne les property manager – ou administrateurs de biens en bon français – sur toute la chaîne d’intervention.

    Lui-même professionnel de l’immobilier, Avidan met rapidement au cours de sa carrière débutante le doigt sur un problème : les property manager passent trop de temps sur la gestion technique de leurs actifs et pas assez sur leur valorisation. Avec, en bout de course, des administrateurs de biens insatisfaits et des occupants mécontents.

    C’est de cette idée – et d’une chaudière défectueuse dans son propre domicile – que naît Monga dans la tête d’Avidan. Avec une promesse simple : permettre de simplifier la partie technique de la gestion d’un bien afin de permettre aux property managers de se recentrer sur la création de valeur.

     

    « Il y a une certitude, c’est que l’occupant, c’est lui qui fait la vie de l’actif. […] Tout le monde se targue beaucoup de mettre l’occupant au centre de la problématique immobilière. Nous, on le fait. »

    Property managers, occupants et artisans sont les 3 interlocuteurs de Monga. Leur mission : permettre la résolution de problèmes techniques rapidement, grâce à un large réseau d’artisans, pour la sérénité des occupants et des administrateurs de biens.

    Au final, est-ce Monga est là pour remplacer les gestionnaires immobiliers ? Avidan Koubi défend le contraire : leur rôle est de « huiler le process de toute la chaine ». Aujourd’hui présents sur l’ensemble du territoire français, Avidan et son associé Kevin Valensi souhaitent désormais s’étendre sur le marché européen.

     

    « Tu as toujours un copain […] qui te dis après coup : "tu t’es fait avoir, la prochaine fois passe par mon gars". Cette personne on ne la connait pas, et ça serait quand même bien de donner à tout le monde la possibilité de passer par "mon gars". »

    Avec plus de 400 000 lots couverts par les services de Monga et 3 000 artisans partenaires, leur présence sur le marché de la gestion technique est colossale. Le tout autour d’une interface fluide qui permet aux différentes parties prenantes une prise en charge instantanée !

    Comme beaucoup de belles histoires entrepreneuriales, Monga est née d’une simple expérience personnelle qu’Avidan nous confie au micro de Paper Club. 

    Dans cet épisode, nous avons cité Pauline Duval :

    -      Episode #3 - Entrer au CA de l’entreprise familiale à 20 ans et la diriger à 28 ans

     

    Timeline

    02:26 – De la biochimie à l’immobilier, le parcours professionnel d’Avidan Koubi 07:52 – Ses débuts dans l’immobilier11:55 – La genèse de Monga 16:24 – Analyse du processus de gestion immobilière31:00 – Le sourcing approfondie des partenariats Monga39:36 – Le business model de Monga et les objectifs futurs46:02 – De la rencontre au naming : les backstages de Monga49:41 – Les questions rituelles d’Emilie

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    « Quand tu fais des études de journalisme, tu penses à être journaliste politique, culture, tu ne penses pas à être journaliste économique et encore moins journaliste Tech. […] J’ai pris le pari »

    Vous avez déjà sans doute lu un de ses articles si l’univers de la tech vous parle…

    Aujourd’hui, ce n’est pas une entrepreneuse que l’on accueille au micro de Paper Club mais une experte de la fintech, de la proptech et de l’assurtech : Charlie Perreau. Journaliste, cheffe du service startup aux Echos, elle analyse au quotidien l’univers de ces jeunes entreprises pour comprendre ce marché en perpétuel changement. 

    Charlie tombe par hasard dans le monde des startups. Dès ses débuts, elle travaille pour Alliancy, un journal axé sur la transformation digitale des entreprises. Elle poursuit sa carrière dans le journal du Net où elle découvre le monde de la fintech, de la cryptomonnaie et de l’assurtech. En 2021, elle devient cheffe de service startup aux Echos. 

    « On a vu toute une vague d’abord dans le BtoC. Maintenant on commence à voir plus de boîtes qui s’adressent aux entreprises […]. Il y a encore énormément de choses à faire et d’ailleurs les grands groupes essayent de se mettre à niveau sur certaines questions. »

    De 2014 avec la création de la French Tech à 2022, le monde des startups s’est métamorphosé. Avec son œil de journaliste devenue une référence dans le domaine, Charlie nous explique que c’est tout un écosystème qui s’est développé autour. Notamment en lien avec un intérêt grandissant des investisseurs. La fintech et l’assurtech sont les marchés qui ont attiré le plus de levée de fonds ces dernières années.

    Une appétence largement alimentée par une volonté publique. Emmanuel Macron a fixé l’objectif dès sa réélection : 100 licornes françaises dont 25 portées sur les enjeux environnementaux pour 2030. 

    « Ce n’est pas parce que l’on a moins de startups et moins d’innovation, […]. C’est juste qu’il n’y a pas le même niveau de financement […]. Aux États-Unis, ils ont la chance d’avoir beaucoup de fonds d’investissements, on en a de plus en plus aussi mais ils ont tous ce qui va être des fonds de pension. C’est des choses qu’on n’a pas du tout chez nous. »

    À travers son expérience internationale, Charlie Perreau compare le marché français avec celui des États-Unis, analyse ses spécificités, s’arrête sur la proptech et nous rappelle l’importance du label « French Tech » dans le monde entier. 

    Elle revient également sur les secteurs pour lesquels la digitalisation est encore naissante, à commencer par la comptabilité et la facturation. Charlie nous parle également de l’a volonté des Echos d’accompagner des startups spécialisées dans le contenu à travers leur accélérateur. Une initiative qui vaut le détour ! 

    Bonne écoute. 

    Timeline

    02:20 – Ses premières expériences dans le journalisme 10:28 – Une expertise sur le marché français  18:25 – Évolution des attentes du secteur 25:27 – Analyse des nouveaux usages28:47 – Une vision internationale 34:56 – L’accélérateur des Échos42:00 – Les questions rituelles d’Emilie

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  • « Le problème, il concerne tout le monde. Aujourd’hui, devenir propriétaire c’est une galère, à la fois en termes de parcours et de financement. Tu as beau pouvoir devenir propriétaire, ce que tu peux acheter aujourd’hui à mensualités égales, c’est toujours moins bien que ce que tu peux louer. »

    Devenir propriétaire à Paris : mission impossible ?

    Avec la hausse des prix de l’immobilier et une récente remontée des taux, la question se pose. D’autant plus que 96 % des jeunes actifs en métropole se disent locataires malgré eux. Alors, le marché est-il « cassé » ?

    C’est en tout cas l’idée de Saskia Fiszel qui a fondé Virgil avec son associé Keyvan Nilforoushanen 2019. La mission de Virgil : « construire l’indépendance financière de toute une génération ». Ambitieux mais nécessaire ! Pour y parvenir, Saskia et Keyvan ont décidé de s’attaquer à l’accès à la résidence principale pour les jeunes actifs de la région parisienne.

     

    « Tu changes le paradigme : Virgil, c’est un concep révolutionnaire […]. On investit de l’equity aux côtés de jeunes actifs qui deviennent propriétaires, ça ne s’est jamais vu jusque-là. » 

    Concrètement, Virgil, c’est le partenaire idéal : un co-investisseur qui vient compléter votre apport, un conseiller des premières visites à la signature de l’acte et un co-propriétaire qui sait disparaitre une fois l’acquisition réalisée.

    La partie expériencielle, c’était une priorité pour Saskia et Keyvan. Les deux associés se sont rencontrés chez OneFineStay, une startup fondée dans le sillage d’Airbnb sur une proposition haut de gamme. Autant dire que l’expérience était dans leur ADN professionnel dès le départ.

    C’est la patte Virgil : savoir être le conseiller idéal lors d’un process d’achat, dans un marché tendu, aux nombreux obstacles. Et permettre à toute une génération de sortir du piège locatif, le tout avec le sourire.

     

    « La remontée des taux, c’est un retour à un niveau de marché qui est un tout petit plus rationnel. C’est logique qu’un appartement prenne plutôt une semaine pour partir à la vente que 24 h. Il y a un rééquilibrage du pouvoir en direction de l’acquéreur. »

    Dans cet épisode, Saskia nous parle de son parcours, de son profond désir d’impact, de ce que devenir entrepreneuse suppose mais aussi de sa vision plus globale du marché. Elle nous parle de la remontée des taux, de son média Spoune, nous explique qu’elle est une experte en montage de berceaux et surtout, le fait avec une bonne humeur communicative.

    Bonne écoute.

    Timeline

    02:08 – Saskia Fiszel : le désir d’impact06:12 – L’aventure Onefinestay commence11:36 – Virgil : une nouvelle promesse pour les jeunes actifs33:55 – Hausse des taux : obstacle ou opportunité ?38:51 – Accompagner les jeunes actifs vers l’indépendance financière41:55 – Les questions rituelles d’Emilie

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  •  « J’ai voulu passer la seconde dès le 2e jour ! J’ai tout de suite voulu aller sur des grosses opérations. Ce n’est pas tellement l’actif en lui-même, que ce soit du logement, du bureau ou du commerce, c’est la taille de l’opération et ce que je peux en faire. »

    Faut-il avoir baigné dans l’immobilier pour exceller dans le secteur ?

    Si vous le pensiez, Samuel Gelrubin fait partie de ceux qui vous prouveront le contraire. Après avoir fondé une première entreprise spécialisée dans les télécoms, il rejoint son père à la tête du Groupe Terrot, alors spécialisé dans… le textile ! Dès le début, son père le prévient : l’entreprise doit changer de cap si elle veut survivre.

    Presque par hasard, Samuel se retrouve sur une « queue de programme », sans avoir aucune idée de ce que ça veut dire. La graine de l’immobilier est plantée et il se lance à bras perdus dans le secteur.

    « LE critère pour nous, c’est la création de valeur. […] L’emplacement, évidemment c’est très important. Mais en soi, il faut que l’emplacement corresponde à ce que l’on veut en faire. Je n’ai pas forcément de mauvais emplacement. »

    Son créneau ? La création de valeur. Peu importe la taille de l’opération, son emplacement, sa destination, ce qui intéresse Samuel, c’est de créer de la valeur au sein d’un bâti. Une philosophie qui lui va plutôt bien puisqu’il nous parle de quelques-unes des opérations qui l’ont le plus marqué : l’hôtel Maison Breguet dans le 11e arrondissement de Paris, un showroom de Christian Louboutin rue Saint-Honoré ou encore un immeuble exploité par son grand-père et racheté au fur et à mesure.

    Car oui, la transmission, c’est primordial pour Samuel ! C’est pourquoi il a créé avec sa sœur le prix d’architecture Michel Gelrubin, du nom de son père, en partenariat avec l’université de Tel Aviv. L’international, c’est l’autre particularité du Groupe Terrot : de Miami à Lisbonne en passant par Tel Aviv, aucune frontière ne fait peur à Samuel.

    « À l’étranger, les règles et les coutumes pour l’immobilier sont tellement différentes que si on n’a pas quelqu’un localement qui puisse savoir commet on finance, comment on obtient des permis, des autorisations d’exploitation… c’est quasiment impossible. »

    À travers sa vision, Samuel développe une approche toute particulière de l’immobilier serviciel : des bureaux, des logements, des hôtels qui concentrent en leur sein tous les services auxquels les usagers aspirent.

    Une fenêtre sur un opérateur résolument moderne !

    Bonne écoute.

    Timeline

    01:42 – Sa première entreprise dans le télécom, rachetée ;05:32 – Les débuts dans l’immobilier dans un groupe de textile ;11:12 - Les opérations qui ont le plus marqué Samuel ;16:04 – De Miami à Tel Aviv : faire de l’immobilier à l’international ;18:55 – Immobilier serviciel : de quoi parle-t-on ?25:15 – Numérique et immobilier : le bon mariage ?32:02 - La transmission et le prix d’architecture Michel Gelrubin ;41:00 - Les questions rituelles d’Emilie.

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  • « Dans tout métier d’intermédiaire ou de marketplace on se pose toujours la question : qu’est-ce qui va être le plus dur ? Celui qui demande ou celui qui offre ? On l’a retourné dans tous les sens : la clé, c’est le client. Si tu as les clients et que tu fais ce qu’ils veulent, ça va bien se passer. »

    Estimer sa capacité d’emprunt immobilier en 2 clics, c’est devenu un réflexe pour beaucoup de futurs acheteurs. Une nouvelle habitude permise par Pretto, l’expert du crédit immobilier en ligne, mais surtout par leur cofondateurs, Pierre Chapon et Renaud Pestre.

    À l’occasion du lancement de la saison 3 de Paper Club, Pierre a accepté de nous expliquer son parcours et la genèse de Pretto. Pourtant, l’entrepreneuriat n’avait rien d’évident pour ce Nantais d’origine.

    Pierre est d’abord passé par Polytechnique, séduit par le double intérêt de l’excellence scientifique et du service militaire du cursus. Puis, c’est chez BCG qu’il a fait ses premières armes, entre Paris et Londres. Une nécessité pour celui qui explique qu’en sortant de l’X, il n’avait « zéro culture business, zéro culture de l’entreprise ».

    « On avait fait chacun un investissement de notre côté. On avait expérimenté la recherche d’un crédit immobilier, que ça soit en direct via une banque ou via un courtier. Effectivement on trouvait que c’était assez peu lisible, assez peu transparent, assez chaotique et globalement 0 tech et 0 data au service de l’expérience client. »

    Mais déjà, l’entrepreneuriat commence à trotter dans la tête de Pierre. C’est alors qu’il est pressenti pour rejoindre PJX10, une société fondée par Pierre Kosciusko-Morizet et qui a un objectif : faire émerger 10 licornes dans 10 secteurs stratégiques de l’économie.

    Une expérience d’autant plus enrichissante pour Pierre qu’il y rencontre Renaud Pestre, son futur associé chez Pretto. Les deux cofondateurs savent alors que c’est la fintech qui les intéresse, à condition qu’elle officie dans un secteur qui parle au plus grand nombre des Français. Après avoir chacun fait le constat d’un parcours de financement immobilier peu satisfaisant, ils décident de fonder Pretto.

    Mais alors, par où commencer ? L’offre ou la demande ? Les emprunteurs ou les banques ? À la question « qui de l’œuf ou la poule », Pierre Chapon répond : « la clé, c’est le consommateur ».

    « Si on prend du recul, les taux ont augmenté de manière très très rapide mais d’une base très basse et on est à des niveaux qui sont toujours bas pour s’endetter sur de l’immobilier. […] La situation absolue est très saine […], il faut toujours en tant que consommateur, si on le peut, s’endetter sur de l’immobilier dans des conditions comme ça. »

    Dans cet épisode, nous prenons le temps d’aborder tous les sujets avec Pierre : le marché cible de Pretto, ses ambitions de développement, son analyse actuelle et à venir du marché, sa nouvelle offre commerciale à destination des courtiers…

    Mention spéciale au conseil que donnerait Pierre à un jeune entrepreneur… on aime beaucoup !

    Bonne écoute.

    Timeline

    01:49 - Pierre Chapon, de Nantes à Polytechnique06:32 - Le consulting avec BCG puis la rencontre avec Pierre Kosciusko-Morizet18:25 - Pretto, la réponse à une expérience peu lisible30:00 - Avis d’expert sur la situation actuelle du crédit34:48 - Oleen, la nouvelle solution dédiée aux courtiers41:03 - Les questions rituelles d’Emilie

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  • Échanger des histoires, des opinions et des passions, c’est l’identité même de Paper Club. Durant ces deux saisons, nous avons eu la chance de rencontrer des entrepreneurs aux multiples parcours, qui ont su nous captiver avec leurs anecdotes et leur vision de l’entrepreneuriat et de l’immobilier.

    Vous faire ré-écouter ces échanges passionnants, nous parait être une évidence. L’engouement pour l’immobilier, le travail en famille, les nouvelles tendances et la place de l’humain… tout y passe !

     

    « C’est un immobilier d’affecte que je revendique. J’aime cette architecture, j’aime Paris, j’aime l’immobilier en général »

    Vous aussi vous avez des papillons dans le ventre ? On vous comprend !

    Nos invités nous racontent leurs premières acquisitions à Paris. Comme un coup de foudre, ils nous font revivre leur premier contact avec l’immobilier.

    Certains ont eu le coup de foudre très jeunes en s’émerveillant devant des hauteurs sous plafond inégalables. D’autres l’ont eu bien plus tard, après une carrière bien remplie. En ce qui concerne le foncier, tout le monde ne tombe pas dans la marmite dès le plus jeune âge !

    Mais l’immobilier est parfois dans les gènes. C’est le cas de certains de nos invités pour qui acheter des immeubles est aussi une question de transmission.  

    Bref, quand on aime la pierre on ne compte pas…

     

    « Le commerce ne se mourra pas. Il va se muter »

    À travers cet épisode best-of, c’est aussi le moment de revenir sur les nouvelles tendances en immobilier. En effet, durant ces deux saisons, adaptations et mutations sont au cœur de toutes les discussions.

    Entre le co-working, la tech, le commerce et l’immobilier locatif, nos invités nous ont raconté comment ils ont su réinventer l’immobilier et s’adapter à ces nouvelles tendances.

     

    « Au-delà des pierres il faut un peu de cœur »

    Pas d’humain, pas d’immobilier.

    Les parcours que nous avons découvert sont le reflet de valeurs profondément humaines. Respect et partage sont présents dans chacune de ces histoires entrepreneuriales. C’est ce qui rend les échanges avec nos invités aussi inspirants et motivants.

     

    Nous aurions voulu vous faire redécouvrir chaque épisode car finalement, tous sont des best-of à nos yeux.

    Un grand merci pour les invités Paper Club de ces deux dernières saisons (et aux prochains 😉) et à vous qui contribuez au succès du podcast.

     On se retrouve en septembre pour une nouvelle saison !

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  • « Ce qui compte, ce qu’on garde, nous tous, c’est l’expérience avec le staff. La façon dont il vous a accueilli, le petit mot gentil, la façon dont il vous a aidé s’il y a eu un problème. »

    Serge Trigano c’est l’histoire d’un entrepreneur incontournable qui a su créer avec son temps. Mais c’est aussi une histoire de famille. Du Club Med géré par son père et lui-même en passant par les hôtels Mama Shelter jusqu’au coworking et les résidences séniors, la touche Trigano est partout.

    Au Club Med, Serge a d’abord occupé plusieurs postes, où il a découvert peu à peu le monde des affaires jusqu’à prendre la direction de la filiale aux Etats-Unis, dans les années 1980. Cette folle aventure, vous vous en doutez, ne s’est pas arrêtée là !

    Au fur et à mesure des années, les Trigano n’ont pas manqué d’idées pour proposer des concepts toujours plus forts, convaincant ainsi des clients aux multiples profils. Des vacances en famille aux séminaires professionnels, tous y trouvent leur bonheur. Sébastien Bazin, PDG d’Accor, dit même d’eux : « Les Trigano sont les seuls à savoir mélanger toutes sortes de clientèles ».

    « Il n’y a pas de secret, le Mama c’est un peu le prolongement de l’histoire du Club Med, c’est dans le respect des autres. J’essaie de faire passer le message aux équipes que c’est dans leur attitude que se fait le succès. »

    Se renouveler, la famille Trigano sait le faire et les Mama Shelters en sont l’exemple même. Cependant, Rome ne s’est pas faite en un jour. Au début, ce projet a connu plusieurs refus auprès des banques. Mais il en faut bien plus pour décourager Serge Trigano !

    Une fois lancé, le succès a été au rendez-vous. Et ce, en partie grâce à des lieux inclusifs, décorés par un designer de renom (Phillipe Starck), où les habitants et les voyageurs peuvent ressentir l’énergie de la ville. Mais le design ne fait pas tout, le succès se fait aussi et surtout au travers du personnel et des valeurs qu’ils transmettent.

    « On vit dans une époque qui est en mutation. Parce que la façon de travailler d’hier va être modifiée demain et encore plus avec ce qui se passe actuellement »

    Dans un monde en pleine mutation, nos habitudes de travail ont changé…et travailler à distance c’est bien, mais retrouver ses collègues ou ses collaborateurs dans des lieux chaleureux c’est mieux ! Pour ce faire, Serge Trigano et ses fils ont plus d’un tour dans leur sac et ont créé les Mama Works…autant vous dire que les réservations pour les séminaires ont explosé.

    Pour boucler la boucle, les Trigano se lancent depuis peu dans les résidences pour séniors actifs. De quoi réinventer les résidences qu’on a l’habitude de connaitre. Un projet qui verra le jour en 2022, dont nous n’oublierons pas de suivre les avancées !

    Entre tourisme, hôtellerie et business, Serge Trigano, c’est : des rencontres, des idées, des hauts et des bas… mais toujours avec un air de vacances !

    Un épisode qui retrace l’histoire d’une folle aventure à découvrir sur PaperClub.

    Timeline

    02’04 : Présentation, parcours académique et premiers postes au Club Med08’55 : Succession au Club Med et évolution du concept11’50 : Création du Mama Shelter : réinventer l’hôtellerie de ville19’37 : Transmission des valeurs et raisons du succès21’45 : Changements de nos habitudes de travail : Mama Works24’42 : Autres projets et lancements des résidences seniors

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    Découvrez à la fin de l’épisode la présentation, par nos équipes, des projets et des offres de ClubFunding.

    Les offres de financements participatifs comportent des risques et en particulier le risque de perte totale ou partielle des sommes investies et le risque d'illiquidité. Plus le taux est élevé, plus le risque de perte en capital ou d’impayé des intérêts est important. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.

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