Episodes

  • L’image est belle (oui, un autre “meme” aperçu sur les rĂ©seaux sociaux) : on porte 3 grosses pierres en tout temps : l’une reprĂ©sente le passĂ©, la seconde, le futur et la derniĂšre, le prĂ©sent. La plus petite et la plus lĂ©gĂšre, c’est celle qui reprĂ©sente le prĂ©sent (bien sĂ»r!). Et quand tout devient trop lourd, on doit se permettre de dĂ©poser ce qui n’est pas nĂ©cessaire (les deux grosses pierres que sont le passĂ© et le futur). Avoue que ça frappe comme image!

    L’opposition du prĂ©sent/passĂ©/futur se distingue aussi dans les concepts dĂ©coulant de la rĂ©ponse psychologique aux changements climatiques : il y a l’éco-anxiĂ©tĂ© (crainte ou inquiĂ©tude face Ă  l’avenir (le sien et celui de l’humanitĂ©)) au regard des bouleversements climatiques, puis la solastalgie (dĂ©tresse et angoisse face aux transformations nĂ©gatives subies par l’environnement). L’un est tournĂ© vers le futur, l’autre vers le passĂ©, les deux sont douloureux. L’étude dĂ©montre Ă©galement que l’implication et le passage Ă  l’action (que l’action soit petite et personnelle ou collective) permettent une reprise de pouvoir et entraĂźne la diminution des symptĂŽmes anxieux/dĂ©pressifs.

    On rĂ©capitule : quand on mijote dans le passĂ© ou dans le futur, comme on n’a aucun impact, ni aucun pouvoir, on est dans l’impuissance et on risque de dĂ©velopper des symptĂŽmes anxieux ou dĂ©pressifs. Quand on est dans le prĂ©sent : on est au seul endroit oĂč on peut dĂ©velopper notre capacitĂ© d’agir, oĂč on peut se mobiliser (personnellement et collectivement) et reprendre du pouvoir sur la situation, diminuant ainsi nos symptĂŽmes anxieux/dĂ©pressifs.

    Passé/futur : anxiété/dépression

    PrĂ©sent : capacitĂ© d’agir, pouvoir

    C’est presque trop simple.

    Les conclusions de cette Ă©tude sont en lien direct avec une citation qu’on adore de Byron Katie : “Si tu veux dĂ©primer, trouve-toi un passĂ©, si tu veux ĂȘtre anxieux, trouve-toi un futur.” Elle en a des dizaines, des perles comme celle-ci, Katie.

    Voici d’ailleurs quelques Ă©pisodes oĂč on a parlĂ© d’elle.

    #65 On a les qualités de nos défauts,

    #61 Face au chaos, Sérénité, Courage, Sagesse,

    #37 C’est NoĂ«l, fais comme les enfants,

    #13 Des pratiques simples pour un quotidien plus léger,

    #2 Intégrer la formation dans ma routine / marche & podcasts, le mariage parfait

    Une autre posture qu’on choisit d’éviter le plus possible, c’est de s’inquiĂ©ter. S’inquiĂ©ter, c’est un curieux mĂ©lange de futur incertain et de prĂ©sent imaginĂ©. Pour plusieurs, c’est une façon d’aimer (la belle-maman de Claudine Ă©tait experte pour s’inquiĂ©ter de la famille lors de leurs voyages!). Le problĂšme avec le fait de s’inquiĂ©ter, c’est que ça nous retire tout pouvoir. On se place dans un prĂ©sent parallĂšle qui n’existe pas, oĂč on n’a aucune possibilitĂ© d’agir, oĂč on est Ă  la merci des Ă©vĂ©nements. Mais avouons qu’il y a des moments oĂč on ne peut pas s’empĂȘcher de s’inquĂ©ter (un ado qui devait ĂȘtre rentrĂ© depuis 2h et qui ne donne pas de nouvelles). Le meilleur moyen de gĂ©rer l’inquiĂ©tude et de reprendre son pouvoir, c’est d’agir. De sortir de sa tĂȘte et de prendre action (on te laisse le choix de l’action : appeler des amis, envoyer quelqu’un faire son trajet Ă  l’envers, vĂ©rifier sa derniĂšre connexion sur SnapChat, etc.). Mais agis, ne reste pas dans des scĂ©narios catastrophes qui sont dans un futur-prĂ©sent-parallĂšle et qui te retirent tout ton pouvoir sur le prĂ©sent.

    [la suite sur https://quedessolutions.com/podcast/)

  • C’est tellement formidable, quand tout se passe bien! Les rĂ©solutions sont faciles Ă  tenir, l’énergie est lĂ , tout semble vouloir fonctionner Ă  merveille pour l’éternité  mais non, arrive un mur. Ou pire, le mur n’arrive pas, mais on l’anticipe. On ne peut pas croire que ça puisse bien aller longtemps. Et invariablement, ça se met Ă  mal aller!

    On nous a posĂ© la question : que faites-vous quand ça vous arrive? Et ce qu’on a identifiĂ©, c’est que quand tout se met Ă  bloquer, ou Ă  accrocher, ou Ă  fonctionner “de travers”, c’est d’abord qu’on s’est dĂ©connectĂ©es de la Source, qu’on a arrĂȘtĂ© de crĂ©er.

    Parce qu’en tant qu’humains (ĂȘtres spirituels dans un corps physique), on est FAITS pour crĂ©er. On est faits pour transformer physiquement des inspirations, les matĂ©rialiser. Il existe une source Ă  laquelle nous sommes connectĂ©s (appelle-la comme tu voudras, on ne lui donnera pas d’autre nom que Source ici) et nous sommes faits pour crĂ©er Ă  partir des inspirations qui nous viennent de cette connexion. Quand on dit crĂ©er, ça n’est pas seulement des toiles, des fresques, des sculptures, de la musique. Tu crĂ©es des fichiers excel, des systĂšmes, de l’harmonie, des liens, des Ă©quipes, des expĂ©riences. La crĂ©ation n’est pas seulement artistique!

    CrĂ©er, c’est transformer une inspiration en la matĂ©rialisant.

    Du moment oĂč on constate que nos projets ralentissent, que la motivation diminue, que l’énergie bloque, on doit s’arrĂȘter et constater qu’on est dĂ©connectĂ©es de la Source et qu’on a cessĂ© de crĂ©er. C’est la premiĂšre Ă©tape : simplement constater.

    AprĂšs, on peut se questionner sur comment on en est arrivĂ©es Ă  se dĂ©connecter de la source. C’est souvent par :

    un focus sur les systÚmes (défendre les systÚmes, justifier la bureaucratie)

    un focus sur le comment (et pas assez sur le pourquoi (mission) ou le quoi (vision globale))

    la (mozus de) comparaison avec l’autre (entre autres avec les mĂ©dias sociaux oĂč on compare la vitrine de l’autre avec notre backstore
 :/)

    C’est Einstein qui nous disait qu’on ne peut pas dĂ©faire un problĂšme avec le mĂȘme mindset avec lequel on l’a crĂ©Ă©! Il avait drĂŽlement raison!

    Alors quand tu te demandes : pourquoi ça ne fonctionne pas prĂ©sentement, prends automatiquement pour acquis que tu t’es dĂ©connectĂ©e de la crĂ©ation! Le truc infaillible pour en sortir : se reconnecter sur l’autre (le client, l’employĂ©, le partenaire, le conjoint, l’enfant). Nos billets ne se vendent pas et on rage parce qu’on a mis toute notre Ă©nergie dans notre belle campagne de promotion : ressortir les focus group, relire la description de l’avatar de client, idĂ©alement contacter mon client idĂ©al/habituel et poser la question directement. En trois mots : refaire le lien!

    Si c’est plus individuel comme Ă©tape et qu’il n’y pas de partie prenante directe (par exemple quand ça bloque dans ta gestion de dossiers, de documents, de donnĂ©es) : la mĂ©ditation et la respiration seront des alliĂ©es (on en a parlĂ© ici).

    Pour te reconnecter sur les valeurs du projet et sur les tiennes, on te suggĂšre un travail d’écriture dirigĂ©e comme proposĂ© par Danielle Laporte avec le Desire Map, par StĂ©phanie Forgues et sa Vision pour l’annĂ©e, par Mel Robbins avec son Workbook Best Year ou avec d’autres outils pour mieux te connaĂźtre dont on a parlĂ© ici.

    Se reconnecter : c’est aussi se rebrancher pour recevoir.

    [voir la suite sur www.quedessolutions.com]

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  • Comme gestionnaires d’évĂ©nements ou de projets (que ce soit notre profession ou notre mandat “par dĂ©faut”) on porte souvent plusieurs chapeaux. Les relations de presse sont celles qui lui reviennent Ă  moins d’avoir dans l’équipe un responsable des communications/marketing qui assume Ă©galement ces fonctions. Et le mĂ©dias, disons-le, c’est monde en soi, avec des conventions et bien des mystĂšres. On monde qui fait peur quand on l’aborde pour la premiĂšre fois. On a dĂ©cidĂ© de partager ici certaines astuces et piĂšges Ă  Ă©viter pour le gestionnaire Ă  qui revient le chapeau des relations de presse.

    D’abord, on ne couvre pas ici la rencontre ou confĂ©rence de presse (on en parlera dans une classe de maĂźtre complĂšte sur les relations de presse plus humaines), mais la question Ă  laquelle nous rĂ©pondrons ici est : est-ce que je peux rĂ©diger moi-mĂȘme mon communiquĂ© de presse et quels sont les conseils quant Ă  ce qui doit s’y retrouver ou pas.

    D’abord l’humain!

    On parle au journaliste (pas comme sur notre site web ou nos mĂ©dias sociaux oĂč on parle directement au public). Le journaliste est en quĂȘte de faits, d’une actualitĂ©/nouvelle qui est d’intĂ©rĂȘt public. Et ce journaliste reprĂ©sente aussi un mĂ©dia (attention de vous vanter d’avoir paru dans tel ou tel mĂ©dia, c’est le genre de truc qui refroidit les autres
). Certains mĂ©dias (surtout numĂ©riques) pourraient reprendre votre communiquĂ© tel/quel, il est donc bon de le penser en fonction de l’article qu’il pourrait devenir, mais au dĂ©part c’est un contenant que vous remplissez avec des faits et destinĂ© Ă  des journalistes.

    Puis le contenant

    Un communiquĂ© de presse doit avoir un titre accrocheur en lien avec la nouvelle qu’il prĂ©sente. Nous prĂ©fĂ©rons Ă©galement avoir un sous-titre qui permet de complĂ©ter l’idĂ©e formulĂ©e dans le titre et qui prĂ©cise la nouvelle (ex. De grands retours au prochain Festival d’automne Les tĂȘtes d’affiche des 15 derniĂšres annĂ©es seront sur scĂšne pour la grande ouverture).

    Le lieu et la date de diffusion est indiquĂ© en dĂ©but de premier paragraphe, juste sous la mention “Pour diffusion immĂ©diate” (ou “Sous embargo jusqu’à (date/heure)” selon le cas - c’est assez rare, ne vous enfargez pas dans ce concept). Les paragraphes peuvent ou non avoir des titres (on prĂ©fĂšre oui). Il tient sur 1 Ă  2 pages (si vous avez plus d’info, placez-les en annexe (ex. liste exhaustive de la programmation).

    Comme dans tout, il faut savoir prioriser. À la fin du texte destinĂ© aux mĂ©dias (et donc avant la source), on ajoutera “- 30 -” qui est une vieille convention tĂ©lĂ©graphique qui indique que la communication est terminĂ©e (oui oui, ça date du tĂ©lĂ©graphe!!) On termine le communiquĂ© avec sa source (une personne Ă  l’interne de votre organisation qui agira comme intermĂ©diaire auprĂšs des journalistes pour des demandes d’entrevues ou prĂ©cisions). À noter : si vous ĂȘtes citĂ© dans le communiquĂ© comme responsable du projet, dĂ©signez une autre personne comme source (surtout si vous ĂȘtes la seule personne citĂ©e!).

    Puis le contenu

    Si tu n’as pas dĂ©jĂ  Ă©coutĂ© l’épisode oĂč on a reçu Isabelle Fafard, grande manitou des relations de presse, on te presse (!) d’aller l’écouter. Le sujet du communiquĂ© doit ĂȘtre d’actualitĂ©, d’intĂ©rĂȘt public et pertinent. Quant Ă  la rĂ©daction, le mieux est toujours de trouver un angle (trouve un fil conducteur) plutĂŽt que d’énoncer seulement les faits (attacher Ă  des Ă©tudes, Ă  d’autres Ă©lĂ©ments de l’actualitĂ©). Il est primordial de communiquer de façon objective (pas de “nous” ni de “superbe” ou de “exceptionnel”, sauf dans les citations).

    Parlant de citations : elles donnent de la vie (d’autres humains!!) et permettent de changer d’angle et de donner de la profondeur au texte. À utiliser (presque) sans retenue!

    ...

    Pour le reste de cet article, rendez-vous sur https://quedessolutions.com/podcast/

  • “Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait”. Mark Twain

    Claudine, Ă  27 ans, a choisi de laisser derriĂšre une carriĂšre dans le domaine juridique oĂč elle excellait. Elle sentait l’appel de “rĂȘver plus grand”, de se choisir. Et elle a trouvĂ© son premier “permis pour voler” (c’est la phrase de Stephen King lorsqu’il parle de son premier chĂšque encaissĂ© en Ă©change d’un de ses Ă©crits). C’était d’oeuvrer dans l’évĂ©nementiel. Ça aura durĂ© 16 ans. Et rĂ©cemment, c’est devenu la mobilisation et la concertation. Idem pour sa belle-fille qui n’en revient d’ĂȘtre payĂ©e pour faire de la Zumba (alors qu’elle avait toujours Ă©tĂ© cliente, elle est devenue instructrice en sideline de ses stages et de ses boulots d’étĂ©) et elle ADORE!

    Dans la sĂ©rie documentaire Netflix Blue Zones (qui prĂ©sente les endroits sur Terre avec les plus grandes proportions de centenaires), on dĂ©couvre la philosophie japonaise Ikigai : vivre une vie qui a un sens et un but. C’est exactement dans cette optique qu’on a crĂ©Ă© Que Des Solutions lorsqu’on a cessĂ© nos mille-et-un mandats de rĂ©alisation Ă©vĂ©nementielle pour se concentrer sur le Festival des harmonies en 2019.

    Mais attention : rĂȘver plus grand ne veut pas dire nĂ©cessairement changer de carriĂšre, ou de conjoint, ou de ville, ou de pays. Ça peut se traduire par :

    ajouter une activitĂ© Ă  cĂŽtĂ© (ce qu’on a fait avec À la pige et sur mesure, puis Que Des Solutions depuis maintenant 16 ans),

    transformer un hobby en petite entreprise,

    si tu aimes ton boulot et que tu es bien payĂ©.e : pourquoi ne pas t’impliquer dans une cause/organisme qui en a besoin en y investissant tes talents et ta passion.

    Vivre son rĂȘve, c’est possible. Surtout lorsqu’on se rappelle que ça n’est pas la destination qui compte, mais bien l’aventure. Quand on passe du temps chaque jour dans sa zone de gĂ©nie, on brille, on vibre, on se connecte Ă  une Ă©nergie infinie. Pour un peu d’inspiration (chaque jour, chaque semaine), n’hĂ©site pas Ă  Ă©couter ou Ă  lire le texte Notre peur la plus profonde de Marianne Williamson. Parce que “te restreindre, vivre petit, ne rend pas service au monde. L’illumination n’est pas de te rĂ©trĂ©cir pour Ă©viter d’insĂ©curiser les autres. Nous sommes tous appelĂ©s Ă  briller, comme les enfants le font.”

    Alors voici quelques questions pour te permettre de rĂȘver plus grand, de raviver des passions, de rallumer le feu :

    Si l’argent n’était pas une question, comment voudrais-je occuper mes journĂ©es et faire une diffĂ©rence dans le monde par mon implication?

    Si rien n’était impossible, quelle serait la plus belle expression de mes talents, de mes expĂ©riences, de mes valeurs, de ma mission?

    Tes rĂ©ponses Ă  ces questions changeront selon les mois et les annĂ©es. Le plus cadeau qu’on peut se faire, c’est de les Ă©crire et de dater la page. Puis de relire aprĂšs quelques temps!

    Une autre belle façon de connecter avec des “anciennes” passions, c’est aussi de te souvenir des jeux qui te plaisaient le plus lorsque tu Ă©tais enfant. Demander Ă  tes parents ce Ă  quoi tu jouais, petit.e lorsque tu “faisais semblant” : jouer au magasin, faire des spectacles, jouer au mĂ©canicien, jouer Ă  l’école. Ces jeux tĂ©moignent des premiers intĂ©rĂȘts. Bien qu’ils ne soient pas rĂ©vĂ©lateurs d’un chemin tout tracĂ©, ils permettent de se souvenir des premiĂšres passions, des Ă©lans naturels et d’explorer ce qui t’animait Ă  ce petit Ăąge.

    Peu importe le chemin que tu prends pour te remettre Ă  rĂȘver plus grand, l’important c’est d’en prendre un. La routine et l’illusion qu’on est “coincĂ©s” par nos choix passĂ©s sont des piĂšges douillets qui nous amĂšnent Ă  oublier que nous sommes des crĂ©ateurs puissants.

    Allez.

    Vas-y.

    RĂȘve.

    Et GRAND!

  • Si tu as dĂ©jĂ  jouĂ© d’un instrument Ă  vent, tu sais la valeur d’une pause, d’un soupir. C’est le moment oĂč tu t’empresses de remplir tes poumons pour la prochaine phrase musicale. MĂȘme si tu n’as pas fait de trompette au secondaire ou chantĂ© dans une chorale, tu peux facilement saisir le fait qu’on ne peut pas chanter ou souffler sans fin, sans prendre une pause.

    Eh ben, c’est la mĂȘme chose pour ta routine de vie. Y a un moment ou une pause est salutaire. Une retraite. Pas dans le sens de “prendre sa pension”. Dans le sens de “se retirer”. Changer d’air. Que ce soit en groupe ou seul.e. Prendre un temps pour dĂ©crocher, mĂ©diter, marcher, se coucher tĂŽt, Ă©crire, faire un feu de camp.

    Claudine prĂ©pare une marche vers Piopolis qui, elle l’espĂšre, aura lieu cette annĂ©e (mais il n’est pas question de se mettre la pression pour un projet qui vise Ă  dĂ©crocher! oh non!). Et ses parents avant elle avaient l’habitude d’aller chaque annĂ©e dans un monastĂšre pour Ă©tudier ou simplement dĂ©crocher. On le voit aussi avec la chasse ou la pĂȘche. Et ce type de “brisure du quotidien” a d’ailleurs Ă©tĂ© pour Claudine un dĂ©clencheur de questionnement en 2006 qui a amenĂ© une sĂ©rie de transformations salutaires.

    Bien des raisons justifient une retraite, dont :

    ◩ Changer d’environnement pour changer de perspective

    ◩ Briser un cycle (dĂ©pendance des enfants, employĂ©s, casser les chaĂźnes que l’on s’impose ou qu’on impose aux autres)

    ◩ Interrompre les chemins faciles (dans l’énergie et dans le cerveau) qui permet de voir des nouvelles solutions

    ◩ S’obliger du temps pour soi

    Pour trouver un peu d’inspiration, passe voir les propositions de NoovoMoi ici https://www.noovomoi.ca/voyager/destinations/article.voyages-parfaits-pour-ressourcer.1.2460212.html

    On est certaines que tu as dĂ©jĂ  vĂ©cu des vacances pas reposantes (50 pages du roman de 600 pages que tu avais l’intention de lire) parce que tu as fait mĂȘme chose qu’au boulot mais dans un contexte diffĂ©rent (tu as tout gĂ©rĂ©, tu as fais listes, tu as trop rempli tes journĂ©es et tu t’es laissĂ© imposer dĂ©sirs de chacun)!!

    Dans le rayon des excuses pour ne PAS prendre une pause/retraite bien mĂ©ritĂ©e, le coĂ»t vient en premier. Mais ça n’a pas Ă  ĂȘtre cher, non non!

    Voici quelques idĂ©es pour faire fondre le prix d’une retraite :

    ◩ Chalet ou chambre chez des famille/amis d’une autre rĂ©gion/ville

    ◩ Famille/amis qui partent en Floride/Sud : s’offrir pour arroser les plantes et profiter de la quiĂ©tude

    ◩ Joindre l’utile Ă  l’agrĂ©able (partir en mĂȘme temps que la chasse du conjoint? ou arriver d’avance en vacances ou rester aprĂšs?

    Il n’y a pas de bonne raison de s’épuiser et de se rendre Ă  nos vacances “la langue Ă  terre”. Une pause, une retraite, un moment pour soi est un investissement dans ton “toi” de demain. Elle va te remercier! Garanti!



  • Attention : on sait qu’il y a trop à faire et trop peu de ressources, on ne le nie pas, c’est qu’on te propose dans cet article c’est de suspendre ton incrédulité (on pourrait parler d’illusions aussi) juste un instant et de marcher un peu avec nous.
    Un concept que l’on adore et qui est prôné par Marie Forleo (qu’on adore aussi!), c’est “simplifier pour amplifier”. Son podcast est d’ailleurs un de ceux que l’on écoute et apprécie beaucoup. Passe l’explorer sur la plateforme de ton choix!
    On t’offre ici une recette en quelques étapes pour simplifier, et ainsi amplifier. Ou “comment en faire moins pour faire mieux (ou plus, de ce qui vaut vraiment la peine!).

    Dans un premier temps, ce dont tu as besoin, c’est de trouver la clarté : le remède quand on est débordé, c’est la clarté 


    ça commence par constater que ça ne l’est pas (clair)

    puis on t’invite à te rappeler un moment où ça l’a déjà été (hyper-clair, hyper-focus, hyper-efficace)

    puis à faire le point sur ta/la mission (liste de rêves, objectifs, actions) / tableau de visualisation

    et maintenant identifier LE PROJET/LA ZONE qui doit être priorisé présentement (cette semaine, ce mois, cette saison)

    pour ensuite identifier ce qui doit être mis de côté pour faire de la place pour ce projet/cette zone (pas pour toujours, mais pour l’instant)

    et finalement identifier à quel moment tu prévois clore cette étape et réévaluer les priorités




    Dans un second temps, il faut maintenant faire de la place


    ça commence par bloquer du temps à l’agenda pour le projet prioritaire (avant le reste! attention à ne pas te faire avaler par le quotidien)

    puis bloquer du temps pour les tâches nécessaires inévitables 



    C’est presque trop simple non? Et pourtant, on est prêtes à parier que tu vas préférer passer tout droit, foncer tête baissée et continuer à essayer de tout faire, plutôt que de prendre les quelques instants pour faire ces étapes. Pourquoi? Parce qu’on le fait aussi, nous. Continuer à appuyer sur l’accélérateur alors que ce n’est ni clair, ni efficace. Mais quand on se rappelle que le moyen d’amplifier nos actions, c’est de simplifier les projets qui sont sur la planche à dessin, on s’arrête et on passe à travers ces étapes. 
    Tu le sais aussi bien que nous, le mieux c’est de t’arrêter pour prendre ce moment avant que le vie le choisisse pour toi (maladie, incident, épuisement…). Rappelle-toi que “le temps se venge toujours de ce que l’on tente de faire sans lui” (qui était le dicton du prof de comptabilité de Claudine, mais qui s’applique à la vie en général)!

  • Il arrive toujours un moment dans la planification d’un Ă©vĂ©nement oĂč la peur-panique nous saisit et oĂč on est certain d’oublier quelque chose d’important (de tellement important que tout pourrait casser).

    La réponse tient en un épisode, un article, deux mots : échéancier performant!

    Tous humains

    D’abord, cette peur est normale, c’est humain comme rĂ©action et comme peur. Pourquoi : parce que dĂšs qu’on marche vers l’inconnu, une partie de notre cerveau (le complexe amygdalien, vĂ©ritable systĂšme d’alerte dont la fonction est de nous garder en vie) nous envoie le message : “DANGER, DANGER, terrain inconnu, on devrait retourner Ă  notre zone de confort!!!” Le truc c’est de ne pas cĂ©der Ă  cette peur (sans faire semblant que ce n’est pas inquiĂ©tant ou Ă©peurant), mais lui dire : “Merci de me garder en sĂ©curitĂ©, mais je choisis d’innover et de sortir de ma zone de sĂ©curitĂ© et de confort”.

    La solution : l’ÉchĂ©ancier

    Ensuite, l’échĂ©ancier (l’un de nos quatre piliers d’une gestion professionnelle et zen d’évĂ©nements), c’est justement un outil parfait pour limiter cette peur. Quand tu prĂ©pares ton Ă©chĂ©ancier (loin des urgences et des feux Ă  Ă©teindre), tu rĂ©flĂ©chis Ă  tous les aspects de l’évĂ©nement, aux sĂ©quences d’action, aux ressources Ă  intĂ©grer au projet et Ă  leur rĂŽle Ă  chaque Ă©tape. Tu vois venir les enjeux et les embĂ»ches et tu prĂ©vois d’avance les grandes Ă©tapes qui devront ĂȘtre franchies et le moment oĂč elles devront l’ĂȘtre. Cette planification te permet de passer Ă  travers chacun des secteurs (ex. Administration, Communications, Finances, Financement, OpĂ©rations, etc.). Cet exercice permet de visualiser, de s’imaginer ce qui devra arriver pour atteindre les objectifs fixĂ©s. Et comme il se fait en Ă©quipe (ou au moins s’évalue en Ă©quipe une fois qu’il a Ă©tĂ© dressĂ© par le gestionnaire), l’échĂ©ancier couvre tous les secteurs du projet et sa crĂ©ation permet de jeter la lumiĂšre sur les zones d’ombre, d’éliminer les angles morts et de retourner la plupart des pierres (on arrive Ă  bout de mĂ©taphores pour dire : tu auras fait le tour! ;)).

    Questions en rafale pour un échéancier performant :

    Quand le rĂ©alise-t-on : au dĂ©but du projet (avant que le rythme s’emballe et qu’on soit trop pris par celui-ci)

    Quand le regarde-t-on individuellement : chaque matin!!!!! c’est lui (et non pas la boite de courriels) qui dicte ce qui est à faire!

    Quand le regarde-t-on collectivement : à chaque rencontre de régie (hebdomadaire? mensuelle? quotidienne? selon la phase du projet.

    Si tu as besoin d’aide pour crĂ©er un Ă©chĂ©ancier performant, on a justement une formation (incluant NOTRE modĂšle) qui permet de mettre en place un Ă©chĂ©ancier tel qu’on l’utilise chez Que Des Solutions.

    Et les angles morts?

    Mais qu’en est-il de ce qu’on pourrait ignorer ĂȘtre nĂ©cessaire/crucial? C’est lĂ  que “bien s’entourer” dans un projet/Ă©vĂ©nement est la clĂ© du succĂšs. Par un conseil d’administration ou comitĂ© (pour les grands livrables et orientations) et avec les professionnels nĂ©cessaires au projet (Communications, Gestion de site/terrain, Gestion des opĂ©rations) ainsi que les fournisseurs (ex. graphiste, reprĂ©sentant mĂ©dia), qui apporteront leurs questions, leurs enjeux, leurs livrables (et donc ajouteront des prĂ©cisions Ă  l’échĂ©ancier). Un bon leader sait s’entourer de gens plus compĂ©tents que lui (sachant que la compĂ©tence de ces gens ne lui enlĂšve rien et que le projet s’en portera mieux).

    Petit rappel : Un Ă©vĂ©nement est pertinent s’il vise Ă  transformer les gens (et un Ă©vĂ©nement, c’est quelque chose qui est Ă  ton agenda et qui inclut plus que toi). Un Ă©vĂ©nement se planifie en pensant aux parties prenantes (clients, invitĂ©s, partenaires, fournisseurs), mais en les impliquant aussi.

    La suite de cette description sur notre blogue Ă  https://quedessolutions.com/podcast/.

    Merci

  • Y a-t-il vraiment un Ă©lĂ©ment qui puisse garantir le succĂšs d’un Ă©vĂ©nement? Oui et le voici : le scĂ©nario de rĂ©ussite! Son origine : on nous a prĂ©sentĂ© ce concept dans le cadre de notre formation en Event Design (une pratique de design thinking crĂ©Ă©e par le Event Design Collective et qui vise Ă  crĂ©er des Ă©vĂ©nements qui transforment les gens). Le scĂ©nario de rĂ©ussite, c’est une histoire que l’on raconte sur le rĂ©sultat idĂ©al d’une expĂ©rience pour une partie prenante prĂ©cise. C’est un rĂ©cit inspirant qui permet de se projeter dans un avenir oĂč le projet qu’on envisage a non seulement Ă©tĂ© complĂ©tĂ©, mais avec un succĂšs-monstre!

    Étape 1 : Visualiser

    SuccĂšs retentissant, tout le monde en ressort transformĂ©, leurs besoins sont comblĂ©s : qu’ont-ils vĂ©cu, qu’en disent-ils, comment ressortent-ils de cette expĂ©rience. On veut les imaginer interagir, commenter, partager. On s’installe comme un petit oiseau qui pourrait Ă©couter les conversations des individus relativement Ă  ce qu’ils ont vĂ©cu et ce qu’ils retiennent du projet ou de l’évĂ©nement.

    Étape 2 : DĂ©tailler

    On Ă©crit en dĂ©tail ce qu’on a visualisĂ©/imaginĂ©. Quelles sont les interactions qui ont pris place, quels systĂšmes existent dĂ©sormais, quels qualificatifs sont utilisĂ©s par les individus pour dĂ©crire leur expĂ©rience? Qu’est-ce qui a Ă©tĂ© crĂ©Ă© qui n’existait pas? En quoi les besoins et les aspirations des parties prenantes ont Ă©tĂ© comblĂ©es (leurs besoins superficiels, mais Ă©galement leurs besoins plus profonds, en tant qu’humains). Cette Ă©tape se fait seul (s’il le faut
) mais est encore plus puissante Ă  deux ou plus. La clĂ© : mettre une minuterie pour un maximum de 20 minutes. N’hĂ©site pas Ă  avoir en main les valeurs de ton organisation/Ă©vĂ©nement afin de pouvoir connecter celles-ci au scĂ©nario de rĂ©ussite. En quoi les valeurs se sont-elles exprimĂ©es Ă  travers l’expĂ©rience des participants? Le texte final sera une courte histoire inspirante qui tĂ©moignera de la transformation vĂ©cue par les parties prenantes en raison de leur participation (quoi et pourquoi) et qui tiendra dans une demi-page (format lettre Ă©crit en taille 12).

    Étape 3 : Lñcher prise

    Une fois que le scĂ©nario de rĂ©ussite existe, on arrive maintenant Ă  l’étape cruciale de lĂącher prise et d’accepter que cette rĂ©ussite passe par la co-crĂ©ation. On doit ici lĂącher l’illusion du contrĂŽle et accepter que toutes les personnes impliquĂ©es dans ce projet y mettent leur grain de sel. C’est Ă©galement le moment de s’ouvrir aux synchronicitĂ©s et aux “coincidences” qui viendront aider ce scĂ©nario Ă  se rĂ©aliser (si tu as envie d’en apprendre plus sur la façon dont la Loi de l’attractivitĂ© fonctionne, passe Ă©couter les vidĂ©os de Esther Hicks/Abraham ou lis les livres du Dr Wayne Dyer). Relire le scĂ©nario de rĂ©ussite et ressentir la gratitude de cette histoire comme Ă©tant une “rĂ©alitĂ©â€ est une premiĂšre Ă©tape simple de ce lĂącher-prise.

    Les deux fonctions majeures du scénario de réussite sont les suivantes :

    contrer la résistance (cette force qui naßt en opposition à un changement/transformation et qui est trÚs bien décrite et abordée par Stephen Pressfield dans The War of Art) parce que le scénario de réussite devient la destination visée;

    le chemin dĂ©jĂ  parcouru par l’énergie est plus facile Ă  retrouver (autant au niveau neurologique qu’au niveau Ă©nergĂ©tique ou vibrationnel). Le fait d’avoir visualisĂ© des moments, des Ă©changes, des Ă©motions, des transformations crĂ©e un chemin auquel tu auras plus facilement accĂšs! On aime ça, nous, les raccourcis!

    Finalement, le scĂ©nario de rĂ©ussite est directement en lien avec l’un des 4 piliers des Ă©vĂ©nements dont on parle souvent : la vision/mission/valeurs (les 3 autres Ă©tant bien sĂ»r l’échĂ©ancier, l’organigramme et le budget). Il est Ă©galement devenu un outil crucial dans l’évaluation de nos projets (il guide les indicateurs Ă  utiliser pour Ă©valuer le succĂšs d’un projet).

  • Alors que la fin d’année scolaire arrive mais que les vacances se font attendre, alors que le renouveau du printemps fait place au ralentissement qui vient avec l’été et la chaleur, on se retrouve souvent devant beaucoup de travail à abattre, beaucoup de stress accumulé, des émotions qui s’emballent et l’impression qu’on n’y arrivera pas. On présente dans cet épisode notre processus en 5 étapes pour sortir du tumulte et voir plus clair.
    Étape 1) Ralentir (ou même arrêter)
    D’abord, la première étape c’est de prendre le temps de t’asseoir, méditer, mettre de la musique, prendre un congé, marcher en nature. Arrêter la spirale des pensées. Prendre une pause. Et surtout laisser les appareils (téléphones, ordinateurs) de côté. Quinze minutes, une heure, une journée : vas-y avec ce qui est possible, mais ne retarde surtout pas cette étape parce que tu n’as pas le temps! Fais le temps.
    Le but : permettre au tumulte de ralentir pour que ce qui reste constamment en suspens se dépose.
    Étape 2) Sortir le trop-plein
    On poursuit avec l’exercice de la “rage sur la page”. Prends quelques feuilles de papier (un cahier ou des feuilles mobiles) et mets 20 minutes sur ta minuterie préférée. Réponds maintenant à ces questions : qu’est-ce qui me fâche, qui me rend amère, qui m’enrage? Fais des phrases complètes : “Je suis fâchée contre X de m’avoir fait Y qui m’habite encore aujourd’hui. Je suis déçue de Z de m’avoir dit W.” Tu peux aller loin dans le passé, revenir à hier, retourner il y a 10 ans. Tout ce qui te fâche a sa place sur ces feuilles. 
    Le but : dénouer ces émotions, regarder en face ces déclencheurs, mettre des mots sur des impressions, sortir le trop-plein (qui se mêle à ton quotidien).
    Étape 3) Identifier ce qui est vraiment important pour toi
    Comme troisième étape, on te demande d’explorer à l’écrit : Si demain matin tu apprenais qu’il ne te reste que 6 mois à vivre, que ferais-tu, qui verrais-tu, quelles conversations aurais-tu? Et pourquoi? De quoi seront faites tes GRANDES et tes petites journées? Tu peux te donner un autre 15-20 minutes pour faire cette liste. Tu peux également la laisser mijoter un peu, y revenir durant la journée. Relis par la suite ta liste et identifie les thèmes qui reviennent (famille, amitié, spiritualité, connexion, liberté… etc.).
    Étape 4) Dresser la liste de ce que tu dois/veux faire et que tu reportes
    C’est maintenant le temps de regarder ce qui se tient sur ta liste mentale et qui se retrouve sans cesse relégué au lendemain. Ce qui revient quand tu es sous la douche, entre deux rencontres, dans tes conversations familiales (le rendez-vous à fixer que tu oublies, l’ami.e que tu omets d’appeler, l’estimé de travaux que tu n’as pas demandé, le formulaire de remboursement de dépense que tu n’as pas soumis, la réclamation aux assurances, le rendez-vous chez le toiletteur, la sauvegarde des photos de ton téléphone sur le disque dur familial, etc.). Passe un 15-20 minutes pour dresser la liste, puis relis-la en identifiant à quel thème important pour toi ces items réfèrent. Évalue la priorité de ces items en fonction de ce qui s’est révélé comme thèmes importants pour toi.
    Étape 5) Faire une première action sur cette liste (idéalement parmi les plus prioritaires)
    On te garantit un rush de dopamine/endorphine quand tu auras réalisé cette tâche importante et alignée avec tes valeurs. Un doux mélange de fierté, d’accomplissement, d’alignement, de sérénité, de plénitude.
    Ces 5 étapes permettent de “reprendre le contrôle” (bien qu’on n’aime pas trop la notion de contrôle parce qu’on le voit comme une illusion…), de retrouver la pleine responsabilité de ton bonheur et de ta quiétude.
    Pour avoir fait ce processus plusieurs fois, on peut te dire que la motivation retrouvée suite à ces étapes  (motivation qui n’est pas illusoire, mais connectée avec nos valeurs profondes) est génératrice de grandes choses. Reste à savoir ce qui se retrouvera sur ta liste et ce que tu en feras…

  • En gestion de projets et d’évĂ©nements, la phase importante (et souvent escamotĂ©e
) est celle de l’évaluation : est-ce que c’est une rĂ©ussite ou est-ce une opportunitĂ© d’apprentissage? Mais pour qu’existe cette phase importante, on doit d’abord avoir “fait” quelque chose. L’immobilitĂ© est notre plus grand ennemi quand vient le temps d’innover. Et en matiĂšre de projets et d’évĂ©nements, la gestion par comitĂ© vient souvent compliquer les dĂ©cisions quant aux actions Ă  poser. Notre mot d’ordre : “tu seras toujours mieux de demander pardon que de demander la permission!”

    Bien sûr, on ne parle pas ici de contrevenir aux lois ou aux rÚglements! Mais quand tu élabores des nouveaux projets, quand tu gÚres tes équipes, quand tu ajoutes des améliorations à un événement ou que tu en crées des nouveaux, voici les deux choses à retenir :

    Utilise les donnĂ©es comme base d’inspiration

    Puis vas-y! crée un prototype, teste une solution (bouge!)

    Mais ne demande PAS constamment la permission!

    Te perdre dans l’analyse, faire approuver des dĂ©tails, tomber dans les aspects “micro” en demandant au client, au membre ou aux administrateurs de confirmer l’heure, la couleur de l’affiche, le coĂ»t du billet, la publicitĂ© dans tel ou tel mĂ©dia, mettre 2 ou 3 bĂ©nĂ©voles Ă  l’accueil, etc. c’est se condamner Ă  l’échec! En fait, c’est se condamner Ă  dessiner un chameau au lieu d’un cheval (parce qu’on le dessine en comitĂ©) ou pire : Ă  l’immobilitĂ©, qui est l’échec ultime parce qu’on a rien Ă  en tirer, rien Ă  en apprendre. L’adage le dit : “Prends des risques, si tu rĂ©ussis tu seras heureux, si tu Ă©choues tu seras sage.” (auteur inconnu)

    Ne pas demander la permission, c’est Ă©viter de noyer le poisson (non, Claudine, pas le bĂ©bĂ© - passe Ă©couter le podcast pour comprendre ;)).

    Ton but, c’est donc de :

    Rechercher l’étincelle, l’inspiration, ce qui suscite les passions (ensemble, en groupe)

    Faire un “brouillon de merde” (shitty first draft), un prototype, quelque chose qui devra clairement ĂȘtre amĂ©liorĂ©, mais qui au moins existe

    Ne pas attendre la confirmation que TOUT LE MONDE va aimer ça pour aller de l’avant

    Si tu fonctionnes en comitĂ© (conseil d’administration, comitĂ© organisateur, comitĂ© de rĂ©gie, etc.), ce forum est lĂ  pour orienter, pour donner des grandes lignes et dĂ©velopper des stratĂ©gies, tout au plus. Ces gens sont des alliĂ©s (et s’ils ne le sont pas dĂ©jĂ , assure-toi de dĂ©velopper des liens de confiance avec eux). L’inspiration sera captĂ©e par ces gens et transformĂ©e en stratĂ©gies qui nourriront tes actions.

    La tactique, les actions concrĂštes, les prototypes qui seront testĂ©s et analysĂ©s, c’est toi comme gestionnaire d’évĂ©nement ou de projet qui les pilote. Ton travail au niveau de l’inspiration, c’est de t’assurer qu’elle remonte Ă  tes comitĂ©s/CA. Comment on fait ça : en amassant des commentaires et des donnĂ©es de la clientĂšle et en restant Ă  l’affĂ»t de ce qui se fait ailleurs (dans l’industrie et dans d’autres industries). Ces informations viendront nourrir l’inspiration et donner vie aux stratĂ©gies.

    Rappelle-toi que la plupart des gens qui sont dans tes comitĂ©s (administrateurs, membres), ont Ă©tĂ© interpellĂ©s par la mission de ton organisation, mais qu’ils ne sont pas des professionnels dans les dossiers qui leur sont prĂ©sentĂ©s (dĂ©veloppement de marchĂ©s, finances et financement, dĂ©veloppement stratĂ©gique, partenariats, gestion de risques, gouvernance). C’est Ă  toi, comme gestionnaire que revient le devoir de prĂ©senter de l’information pertinente et analysĂ©e qui aidera Ă  guider leurs orientations.

    ... La suite ici https://quedessolutions.com/podcast/

    Rappelle-toi qu’on peut t’aider si tu as envie d’intĂ©grer l’innovation dans tes Ă©vĂ©nements/projet (notre service La Design) ou tu peux bien sĂ»r explorer le sujet plus en profondeur en autodidacte (en te procurant ta copie du Event design handbook).

  • Quand la vie tire le tapis sous nos pieds et que l’objectif qu’on visait part en fumĂ©e, on se dit qu’on aurait dĂ» se prĂ©voir une alternative. C’est exactement dans une telle situation qu’on a dĂ©couvert tout le pouvoir d’ĂȘtre en mode “Plan B”.

    D’abord, lorsqu’on dĂ©marre un projet, on identifie le rĂ©sultat prĂ©cis que l’on vise, qui nous donne la direction Ă  prendre (qui constituent ensemble le Plan A). Chaque geste ou action que l’on posera par la suite visera Ă  atteindre ce rĂ©sultat. On sait que dans un vol de 10 000 km, si le pilote de l’avion change sa trajectoire d’un simple petit degrĂ©, il pourra finir sur un tout autre continent que celui qu’il visait au dĂ©part. Et c’est le grand danger de n’avoir que le Plan A. DĂšs qu’un Ă©lĂ©ment externe s’invite ou que quelque chose ne se passe pas comme prĂ©vu, on doit dĂ©ployer une quantitĂ© immense d’énergie, d’efforts et de ressources pour ajuster notre course et forcer le projet Ă  revenir dans l’axe prĂ©vu au dĂ©part.

    La solution?

    Se permettre d’ĂȘtre en mode Plan B. Être en mode Plan B, c’est ĂȘtre Ă  l’aise Ă  ce qu’un rĂ©sultat diffĂ©rent existe (point B) ou Ă  ce que le chemin pour s’y rendre soit diffĂ©rent (trajet B). Identifier consciemment un scĂ©nario alternatif de succĂšs permet :

    de lĂącher prise (incluant d’éliminer de la rigiditĂ© et de se libĂ©rer (de l’illusion) du contrĂŽle),

    d’adopter une posture d’ouverture aux opportunitĂ©s, aux synchronicitĂ©s.

    C’est quoi un bon Plan B

    Le meilleur Plan B est celui qui est autant sinon plus intĂ©ressant que le scĂ©nario initial (Plan A). C’est celui qui nous fait dire que l’un ou l’autre des scĂ©narios peut arriver et on sera tout aussi heureux, serein, fier [insĂ©rer ici le qualificatif que tu veux ;)]. Le plan qui te fait dire : “À la grĂące de Dieu”, que ce qui doit arriver arrive!

    Le Plan B, c’est une stratĂ©gie d’adaptation (et un rĂ©flexe Ă  dĂ©velopper) qui apporte :

    du pouvoir (sur l’issue et le processus)

    une posture d’adaptation

    de la flexibilité.

    En l’utilisant assez souvent, on finit par identifier rapidement dans une situation donnĂ©e les Ă©lĂ©ments sur lesquels on a du contrĂŽle de ceux qu’on ne contrĂŽle pas. Et parmi ceux qu’on contrĂŽle toujours se trouvent nos gestes, nos actions et l’interprĂ©tation que l’on a des Ă©vĂ©nements. Le mode Plan B permet de ne pas se placer en victime d’une situation.

    Et le processus est relativement simple :

    identifier le projet et le Plan A

    Ă©laborer un Plan B (qui rĂ©ponde aux objectifs - qui se rapportent au final Ă  ĂȘtre heureux, ĂȘtre entourĂ©, aimer/ĂȘtre aimĂ©, se rĂ©aliser)

    ressentir la flexibilitĂ©, la libĂ©ration du contrĂŽle et l’espace qui se crĂ©e pour les opportunitĂ©s et les synchronicitĂ©s.

    Un Plan B, c’est un passeport intĂ©rieur vers la libertĂ© qui permet d’éviter de se sentir victime des Ă©lĂ©ments externes en saisissant son propre pouvoir, en adoptant une posture de flexibilitĂ© et d’adaptation. Un Plan B ouvre la porte aux opportunitĂ©s et confirme qu’on accepte que le succĂšs d’un projet ne passe pas uniquement par notre vision individuelle et initiale. Il invite l’Univers Ă  conspirer avec nous (et pour nous) Ă  la rĂ©alisation de nos objectifs, quels qu’ils soient.


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  • Le chaos peut s’inviter rapidement dans notre quotidien et nous forcer Ă  rĂ©agir. Au lieu d’ĂȘtre en mode urgence ou en mode rĂ©paration (en mode guĂ©rison) on propose ici un duo improbable pour intĂ©grer la prĂ©vention. Le duo est improbable parce que ces deux outils sont l’un technique et logistique (un Ă©chĂ©ancier!) et l’autre plus spirituel et introspectif (la mĂ©ditation!).

    ÉchĂ©ancier ou mettre Ă  l’agenda

    Si on laisse aller le quotidien, c’est trĂšs facile de tomber en mode “rĂ©agir aux Ă©chĂ©ances”. Et pourtant, la plupart des “urgences” sont prĂ©visibles. Plusieurs Ă©chĂ©ances sont connues longtemps Ă  l’avance et plusieurs tĂąches que l’on gĂšre ou exĂ©cute sont ponctuelles et positionnĂ©es dans le temps. L’outil de prĂ©dilection pour Ă©viter que les Ă©chĂ©ances deviennent des urgences est un Ă©chĂ©ancier. Malheureusement, un Ă©chĂ©ancier n’est pas universel et pour ĂȘtre efficace, il doit reflĂ©ter la rĂ©alitĂ© de celui ou celle qu’il sert. Alors la premiĂšre Ă©tape consiste Ă  prendre un moment (un moment de quadrant II, c’est-Ă -dire important et non urgent) pour documenter les responsabilitĂ©s et les Ă©chĂ©ances. Noter dans un fichier excel ou Airtable ce qui s’invite dans ton quotidien sur une annĂ©e est le PLUS BEAU CADEAU qu’on peut se faire.

    En listant par mois, le responsable, les projets et les actions/tĂąches Ă  faire, on peut dresser la liste des Ă©chĂ©ances prĂ©visibles et Ă©viter d’inviter le chaos. Suggestion : si un Ă©lĂ©ment doit arriver Ă  une date prĂ©cise, mettre cette information dans une colonne “Notes” et conserver l’information par mois.

    Adopter un Ă©chĂ©ancier, c’est aussi adopter la posture d’anticiper les Ă©chĂ©ances. DĂšs l’arrivĂ©e d’un nouveau projet/dossier, on dĂ©veloppe le rĂ©flexe d’en extraire les dates importantes et de les ajouter Ă  l’échĂ©ancier global. IdĂ©alement, tous les Ă©lĂ©ments qui nous concernent sont par la suite transposĂ©s dans notre agenda/calendrier permettant de fixer ces Ă©chĂ©ances dans le temps et d’éviter d’avoir Ă  consulter l’échĂ©ancier en plus de son propre agenda.

    Le but est simple : sortir les petites choses qu’on retient dans sa tĂȘte sans les Ă©crire et qui drainent de l’énergie, bouffent notre efficacitĂ© et nous rĂ©veillent avant l’aube.

    MĂ©diter

    À l’autre bout du spectre, notre second outil/pratique vise Ă  prendre un temps pour s’asseoir et mĂ©diter avec une mĂ©ditation guidĂ©e (celles de Gabby Bernstein (en anglais) ou le programme interactif Headspace sur Netflix (disponible en français)).

    L’invitation est simple : faire de la place au quotidien Ă  des moments d’introspection, de relaxation, de mĂ©ditation. Pour Claudine, c’est au moment de se refaire un cafĂ© (donc plusieurs fois dans la journĂ©e!), elle prend un petit 3 ou 5 ou 10 minutes pour une mĂ©ditation guidĂ©e avec Headspace.

    “GuidĂ©e”, vraiment? Oui! Tout comme l’athlĂšte professionnel prend les services d’un coach pour guider ses entraĂźnements, on a avantage Ă  ne pas simplement compter sur soi et Ă  se laisser inspirer. Être capable de faire quelque chose seul ne veut pas dire qu’il soit nĂ©cessaire de le faire seul. La mĂ©ditation guidĂ©e permet de se laisser porter, de s’abandonner, de se laisser guider.

    Accepter de se laisser guider, c’est se dire : “Je n’ai pas besoin d’ĂȘtre systĂ©matiquement la personne qui fait, j’ai le droit d’ĂȘtre la personne qui est.” Encore? “Je n’ai pas Ă  ĂȘtre toujours la personne qui FAIT, je peux ĂȘtre la personne qui EST.”

    Pas nĂ©cessaire de s’asseoir sur un coussin et de brĂ»ler de l’encens. Le moment d’introspection que l’on propose peut aussi ĂȘtre dans la marche, en lavant la vaisselle, en pelant des lĂ©gumes.

    [Pour lire la suite de cet article, passe sur notre site web - www.quedessolutions.com, tu y découvriras une foule d'autres inspirations!]

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  • T’entends-tu parfois dire (ou penser) : “j’aimerais tellement
” ou “quand j’étais plus jeune, je rĂȘvais de
” ou “si ça n’était pas de (une situation/une personne), je m’écouterais et je ferais
” Dans cet Ă©pisode, on veut te proposer une nouvelle façon de regarder une opportunitĂ©, un dĂ©sir, une vision. La nouvelle question qu’on propose est la suivante : est-ce que c’est “un jour
” ou c’est le “Jour 1 de
”?

    Pourquoi?

    D’abord, loin de nous l’idĂ©e de se faire sentir coupable de ne pas ĂȘtre dans l’action (et on dĂ©teste toute forme de coaching qui prĂŽne cette idĂ©e de toujours “faire”!).

    Il y a un temps pour tout :

    un temps pour s’inspirer, pour s'asseoir, pour mĂ©diter, pour entrer Ă  l’intĂ©rieur de soi,

    un temps pour s’informer, pour amasser de l’information, pour consommer de la formation,

    un temps pour créer

    (plusieurs de nos journĂ©es sont composĂ©es d’un peu de tout ça!)

    un temps pour bouger, pour se placer dans l’action, pour poser le premier geste.

    C’est illusoire de penser qu’on peut toujours ĂȘtre dans l’action (et c’est malsain de se faire sentir coupable de ne pas ĂȘtre systĂ©matiquement dans l’action!). S’imposer un plan d’action et des gestes quotidiens alors qu’on hĂ©site sur la vision, c’est la recette pour se brĂ»ler et se dĂ©courager.

    RĂȘver, s’inspirer, s’immobiliser : c’est nĂ©cessaire Ă  certains moments. Encore plus pour les “Generators” selon le human design (70% de la population). (Si le sujet t’intĂ©resse, passe voir cet article Q&A sur Goop). Le Generator (une gĂ©nĂ©ratrice - une locomotive qui produit sa propre Ă©nergie vitale Ă  l’infini) doit adopter la stratĂ©gie d’attendre pour rĂ©pondre (wait to respond). Tenter d’initier le mouvement sans percevoir un “indice” de bouger fait souvent avorter les projets du Generator. Lorsqu’il applique sa stratĂ©gie et qu’il rĂ©pond Ă  un Ă©lĂ©ment dĂ©clencheur, le Generator est une force vive difficile Ă  arrĂȘter, un rassembleur qui peut rĂ©aliser Ă  peu prĂšs tout ce qu’il entreprend. (Claudine a personnellement vĂ©cu cette situation des dizaines de fois, en se “forçant” Ă  dĂ©marrer, Ă  lancer la conversation, Ă  aller aux devants des projets sans attendre de ressentir un Ă©lĂ©ment dĂ©clencheur. La dĂ©couverte de cette stratĂ©gie et du human design a changĂ© sa vie (oui, oui, rien de moins!).

    Comment? : en Ă©coutant

    La premiĂšre Ă©tape, c’est d’écouter l’inspiration, la vision - de l’accueillir. Qu’il trĂŽne sur ton tableau de visualisation ou qu’il te vienne quelques fois par annĂ©e, ton dĂ©sir/ta vision mĂ©rite d’ĂȘtre accueilli et abordĂ©. C’est le vieux rĂȘve de partir en sac Ă  dos avec une amie et faire un tour de l’Europe? ou crĂ©er tes propres bijoux? ou renouer avec une ancienne connaissance? ou changer de carriĂšre et retourner aux Ă©tudes? Peu importe ce dĂ©sir, lorsqu’il Ă©merge, on te propose de :

    l’accueillir

    sans jugement

    sans le refouler

    et de te déposer assez longtemps pour lui poser LA question

    Pour lire la suite de cet article, passe sur notre site www.quedessolutions.com. Tu y découvriras une foule d'autres inspirations! P.S. Suis-nous sur ta plateforme préférée : Facebook https://www.facebook.com/quedessolutionslavraiepage, Instagram https://www.instagram.com/que_des_solutions/, LinkedIn https://www.linkedin.com/company/que-des-solutions, Pinterest @Que_des_solutions. Pour nous faire part des tes commentaires/suggestions d'épisodes, tu peux nous écrire ici (par Anchor) ou à claudine ou marylene @quedessolutions.com.

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  • À plusieurs reprises, dans le podcast ou les formations, on parle de notre utilisation des tableaux de visualisation. On a dĂ©cidĂ© de partager la pratique de Claudine pour la crĂ©ation de ses tableaux de visualisation.

    C’est connu, les stratĂ©gies, les outils, les systĂšmes, on en mange. On aime tout ce qui nous aide Ă  passer efficacement du point A au point B. Mais encore faut-il qu’il existe, le fameux “point B”!

    Quand on entame un projet, on a souvent une vision claire (des objectifs, des indicateurs, des rĂ©sultats visĂ©s). Mais ça n’est pas toujours le cas (surtout dans les projets plus “personnels” ou dans notre carriĂšre (ou mĂȘme notre vie). Sans une vision de ce Ă  quoi un demain idĂ©al pourrait ressembler, on peut tomber facilement dans l’errance. Pour trouver l’alignement et donner un sens Ă  nos gestes du quotidien, on veut pouvoir les rattacher Ă  nos valeurs, Ă  une destination (mĂȘme vague ou imprĂ©cise), nos grands objectifs de vie (ou au moins Ă  comment on veut se sentir).

    Claudine a décortiqué les étapes de confection de ses tableaux de visualisation.

    Les Ă©tapes

    Le processus de crĂ©ation du tableau de visualisation se dĂ©roule Ă  quelques moments, sur toute l’annĂ©e. (Pour l'article complet relatant les propos de Claudine, passe sur quedessolutions.com dans la section Articles & Podcast :)

    Pochette remplie de coupures de revues : mots et images Revues Conservation Sélection principale Du temps
 Rétrospective Intégration Archives Cartes sur table ThÚmes Support Bricolage PrÚs des yeux
 Abandonner/décrocher

    Le but d’un tableau de visualisation, ça n’est pas d’ĂȘtre un plan d’action. Il ne fait pas partie du quotidien, on ne travaille pas “dessus” ou “dedans”. Il inspire, il est la reprĂ©sentation matĂ©rielle de dĂ©sirs, de visions, de valeurs, d’émotions dĂ©sirĂ©es, de rĂȘves. Construire son tableau, c’est appuyer le doigt Ă  la surface de l’eau. On n’a pas Ă  crĂ©er des vagues constamment, en restant sur le bord de l’étang. On traverse la surface une fois et on laisse les ondes se propager, jusqu’au bout, et revenir amplifiĂ©es.

    Suis-nous sur ta plateforme préférée : Facebook https://www.facebook.com/quedessolutionslavraiepage, Instagram https://www.instagram.com/que_des_solutions/, LinkedIn https://www.linkedin.com/company/que-des-solutions, Pinterest @Que_des_solutions. Pour nous faire part des tes commentaires/suggestions d'épisodes, tu peux nous écrire ici (par Anchor) ou à claudine ou marylene @quedessolutions.com.

    Et si tu as aimé cet épisode, svp donne-lui 5 étoiles dans ton appli d'écoute et donne ton avis (ça nous aidera à aider plus de monde en les rejoignant!)

  • On propose ici une façon diffĂ©rente de voir l’exĂ©cution de ton travail. Et ça part de l’empathie, la capacitĂ© de s’identifier Ă  l’autre dans ce qu’il ressent. Mais pas celle pour les autres (bien qu’on l’utilise souvent en design thinking), l’empathie pour “toi de demain” ou “toi du futur”.

    Euh? Quoi?

    Reste avec nous!

    Ce qu’on te suggĂšre ici c’est d’analyse une tĂąche/responsabilitĂ© en visant que celle-ci n’ait pas seulement l’impact direct prĂ©vu (ex. produire le document de prĂ©sentation pour ton prochain conseil d’administration), mais d’ajouter au moins un autre impact, un autre bĂ©nĂ©fice Ă  cette tĂąche. Dans notre exemple, ce sera le fait de penser ton document, au dĂ©part, en tant que futur “modĂšle” pour tes autres prĂ©sentations (et non pas seulement pour servir son prĂ©sent dessein). Tant qu’à investir 2-3h pour la crĂ©ation d’un document, le fait de prendre soin de “toi de demain” en prĂ©voyant dĂ©jĂ  une copie “ModĂšle”, oĂč tu gardes les titres et les cadres d’images et de photos, oĂč tu ajoutes dĂ©jĂ  un sujet que tu sais devoir prĂ©senter au prochain CA, te permet d’utiliser ton prĂ©sent focus pour crĂ©er un autre impact, plus tard.

    La crĂ©ation de modĂšles est devenue, chez Que Des Solutions, un automatisme. Tout est pensĂ© en fonction d’ĂȘtre rĂ©utilisĂ©. On a mĂȘme poussĂ© le concept plus loin, en crĂ©ant le modĂšle et en crĂ©ant dĂ©jĂ  le prochain document (ex. ordre du jour, rapport annuel, rĂ©capitulatif pour l’équipe). RĂ©sultat : Ă  mesure que les Ă©vĂ©nements arrivent (prĂ©sence mĂ©diatique, rencontre de laquelle on prend des photos, suivi d’un nouveau mandat), on l’ajoute au document (quelques mots, une photo) pour que le “nous de demain” ait dĂ©jĂ  plusieurs Ă©lĂ©ments en main au moment de produire le document.

    Dans la confection d’un rapport annuel, cette habitude de dupliquer l’impact des tĂąches permet de dĂ©velopper le rĂ©flexe de regrouper l’information Ă  mesure, de la colliger dans un document (ou une table Airtable) et d’éviter d’attendre Ă  la derniĂšre minute et ameuter les collĂšgues pour produire un document Ă  temps pendant une semaine!

    La mĂȘme chose s’applique aux rĂ©unions. Les plus formelles possĂšdent habituellement un ordre du jour, mais mĂȘme les rĂ©unions plus informelles entre collĂšgues mĂ©riteraient d’en avoir un. Encore mieux, en utilisant des outils comme Beenote ou Asana, on peut avoir accĂšs Ă  nos modĂšles d’ordre du jour et produire des comptes-rendus de façon instinctive, seulement en prenant des notes dans des rĂ©unions ou des sous-tĂąches.

    La prochaine fois que tu entames un suivi de fournisseur, un nouveau projet ou une portion de tùches/responsabilités (surtout si elles sont récurrentes), on te suggÚre de te poser la question :

    comment puis-je faire une fois cette tùche et en récolter plusieurs fruits?

    C’est une invitation Ă  sortir de la pensĂ©e trĂšs linĂ©aire d’échanger de l’argent contre du temps Ă  faire des tĂąches. Cette pensĂ©e “employĂ©e”, trĂšs liĂ©e Ă  l’aire industrielle, ne te fait pas toucher Ă  ton plein potentiel. Ne pas voir la tĂąche comme des minutes Ă  passer, mais comme une occasion d’utiliser ton temps et tes efforts comme un levier, pour plus tard, te permet d’optimiser les minutes que tu passes. Et c’est une façon d’exprimer toute ton expertise!

    Voici quelques questions pour te permettre d’entamer la rĂ©flexion sur les tĂąches/responsabilitĂ©s dont tu pourrais dĂ©jĂ  dupliquer l’impact : demande l'accĂšs au document ici.

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  • Si tu lis ces mots, tu te dis peut-ĂȘtre (comme nous la premiĂšre fois) : “Oh non non, moi, abandonner : jamais!” La premiĂšre fois que le concept nous a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©, c’est un formateur qui tenait un bĂąton entre les deux mains et qui disait : “Oui oui, vous lĂąchez prise (mais il lĂąchait une main, puis l’autre, sans jamais lĂącher le bĂąton). Moi, je vous suggĂšre d’abandonner!” (et il laissa alors tomber le bĂąton par terre). Tu visualises le moment (avec le bruit)?

    Et le mot fait encore plus rĂ©agir ceux qui ont eu Ă  guĂ©rir une blessure d’abandon. Si c’est ton cas, on t’envoie plein d’amour. Et on te suggĂšre de rester ouvert.e Ă  explorer le concept.

    Quand tu formules une intention claire + que tu la lances dans l’Univers = l’Univers conspire Ă  t’apporter ce que tu demandes. Ce n’est pas magique. Tu le sais, tu l’as dĂ©jĂ  vu/vĂ©cu. Prends quelques secondes pour te souvenir d’un moment oĂč tu as reçu exactement ce dont tu avais besoin dĂšs que cette demande est devenue claire. Ça avait l’air d’arriver par magie. Mais non. C’est quand tu 1) abandonnes l’illusion du contrĂŽle, que tu 2) formules en toi une intention claire et que tu 3) l’assumes pleinement et la dĂ©clares (Ă  l’écrit ou Ă  l’oral, mais en-dehors de ta tĂȘte) que tu dĂ©clenches ta magie.

    Le bout d’abandonner est HYPER important (sinon, tu te donnes des objectifs, tu fais des plans, tu calcules et tu te convaincs que tu n’as pas assez d’argent, de temps ou de contacts pour arriver Ă  ce que tu dĂ©sires.)

    On rĂ©fĂšre Ă  ce concept en le nommant “manifestation” et s’il t’est Ă©tranger, mais qu’il t’intĂ©resse, une super auteure pour aborder ces concepts est Gabrielle (Gabby) Bernstein.

    Et maintenant, un peu plus sur la rĂ©sistance. Celle que tu as sĂ»rement ressentie Ă  la lecture du mot “Abandonner”. Steven Pressfield en parle dans son livre “The War of Art” (Ă  lire absolument!). Il analyse la rĂ©sistance qui apparaĂźt automatiquement dĂšs qu’on vise Ă  passer Ă  un Ă©tat “supĂ©rieur”, Ă  la prochaine Ă©tape. Que ce soit dans l’écriture d’un livre (le propos de dĂ©part de Pressfield), dans un projet de perte de poids, dans la planification d’un voyage, dans la crĂ©ation d’une entreprise, dans un projet de retour aux Ă©tudes, toute volontĂ© de passer au “niveau supĂ©rieur” crĂ©era de la rĂ©sistance. C’est un fait (donc il faut cesser de te culpabiliser d’y faire face). La rĂ©sistance est Ă  l’acte de se transformer ce que l’ombre est Ă  la lumiĂšre, dĂšs que l’un apparaĂźt, l’autre est crĂ©Ă©.

    Abandonner c’est sortir de sa zone de confort, c’est viser le niveau supĂ©rieur. Abandonner, donc, crĂ©era de la rĂ©sistance en toi.

    Alors on est pris avec la résistance et il faut forcer et ramer à sens contraire?? Non, pas du tout. Il existe plein de trucs pour plonger dans la résistance, la contourner ou lui retirer son pouvoir sur nous. On en préfÚre un plus que les autres.

    LE truc (qui nous vient de Mel Robbins, on l’adore!) 👍:

    5
 4
 3
 2
 1
 action.

    VoilĂ  (pour vrai).

    Quand tu penses Ă  faire le geste, l’action, la prochaine Ă©tape de ton projet, avant mĂȘme que la rĂ©sistance (le doute, la petite voix plate) ait le temps de se manifester, tu dĂ©marres ton dĂ©compte (dans ta tĂȘte ou tout haut)

    5


    4


    3


    2


    1


    Go (ou action, allez-hop, bref choisis ton mot). Et tu y vas!

    AprĂšs avoir focusĂ© sur le dĂ©compte (qui permet Ă  ton cerveau de se concentrer sur une tĂąche prĂ©cise et qui met en sourdine la rĂ©sistance), tu te lĂšves et tu vas faire la tĂąche/action qui te permet d’avancer ton projet. C’est presque trop simple. Et ça marche!

    Pour l'article de blog complet liĂ© Ă  cet Ă©pisode, viens nous voir sur quedessolutions.com. 

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  • La premiĂšre :

    La fin d’annĂ©e au 31 dĂ©cembre est un concept. Sans plus. Rien dans l’Univers ne marque officiellement ce passage. C’est le pape GrĂ©goire XIII qui l’a fait adopter Ă  la fin des annĂ©es 1500. Cette division de l’annĂ©e sur 12 mois, de janvier Ă  dĂ©cembre est un concept qui nous permet de mesurer le temps de la mĂȘme façon Ă  travers les nations. Alors si la fin d’annĂ©e te donne de l’anxiĂ©tĂ©, si tu mesures ta valeur Ă  ce que tu as accompli avant le 31 dĂ©cembre : dĂ©croche! D’ailleurs, on t’invite mĂȘme Ă  faire ce que Claudine a fait avec Que Des Solutions au moment de crĂ©er l’entreprise et Ă  choisir une autre date que le 1er janvier comme dĂ©but d’annĂ©e financiĂšre (dans notre cas c’est le 1er dĂ©cembre). Les entreprises (au QuĂ©bec) peuvent choisir leur date de fin d’annĂ©e financiĂšre (Ă  leur crĂ©ation ou Ă  tout moment de son existence en dĂ©posant des statuts de modification). Comme le dit l’auteure Theresa Anne Fowler, “La plupart des rĂšgles sont des vieilles habitudes que les gens ont peur de changer”.

    La seconde :

    Oublie les rĂ©solutions! Fais comme le suggĂ©rait rĂ©cemment Gabby Bernstein et sors les rĂ©solutions de ton vocabulaire. Pour une bonne raison : elles Ă©manent du mot “rĂ©soudre” qui sous-entend qu’il y a un problĂšme dont on cherche la solution. L’énergie qui s’attache Ă  la rĂ©solution en est une de manque, de longueur de retard. Gabby suggĂšre de choisir une intention. DĂ©clarer une intention pour l’annĂ©e ou l’étape qui vient fait appel Ă  la magie en nous. Un coup de baguette et hop : que 2023 soit mon annĂ©e de X et de Y et je veux me sentir Z.

    Un petit plus :

    On adore les cartes (d’abondance, des anges, de la lune, des archĂ©types d’animaux) toutes les cartes de type oracle qui nous permettent d’aller chercher des rĂ©ponses dans l’intangible. Claudine a donc dĂ©cidĂ© d’en piger trois pour l’annĂ©e qui vient (avec l'aide de Line, sa maman, qui nous tĂ©moigne sa prĂ©sence avec un sou de 1952, son annĂ©e de naissance, qui tombe des cartes en dĂ©but de lecture... wouah!)

    Alors voilĂ  ton message pour 2023

    Le corbeau blanc | Fais confiance Ă  la magie

    Rien dans l’Univers n’est dĂ» au hasard. Les coĂŻncidences ont une signification. Le corbeau blanc t’invite Ă  porter attention aux synchronicitĂ©s. Le corbeau blanc te guide, il est un messager de l’Univers. L’Univers conspire en ta faveur. Fais confiance Ă  la magie qui est partout!

    L’antilope | La vie s’accĂ©lĂšre

    Ton Ă©volution personnelle et ta co-crĂ©ation puissante accĂ©lĂšrent. DĂ©clare tes intentions et prends action pour rendre tes rĂȘves, une rĂ©alitĂ©. Si tu as fait des plans pour ta carriĂšre ou tes finances, c’est le moment de monter tout ça d’un cran. Si tu te questionnes sur une relation, fais le premier pas. La vitesse de l’antilope va rendre tes projets bien intĂ©ressants!

    L’élĂ©phant | Apprends du passĂ©

    MĂȘme si tu souhaites pouvoir laisser le passĂ© derriĂšre toi, l’élĂ©phant te rappelle que la mĂ©moire est importante. Ce qui s’est passĂ© avant te permet de comprendre ce qui se passe aujourd’hui. Tu portes en toi la force et la dignitĂ©. L’élĂ©phant t’invite Ă  reconnaĂźtre le passĂ© pour les leçons qu’il t’apporte. Toutes les histoires que tu portes peuvent ĂȘtre racontĂ©es de plusieurs façons, choisis la tienne et tu peux choisir de raconter la tienne d’une maniĂšre qui te donne force et sagesse.

    Alors pour 2023, ouvre-toi aux synchronicités, accepte que tes intentions génÚrent des actions qui accélÚrent la cadence de tes réalisations et honore ton passé et tes erreurs, et raconte ton histoire à ta façon.

  • La famille de Claudine a un nouveau membre : un chaton, Louis. Et cette belle aventure qui commence lui a fait quelques rappels de grands principes de la vie. Les ingrĂ©dients de base pour prendre soin d’un chaton, c’est aussi ce qu’on doit faire pour soi.

    Combler les besoins de base

    Chaton : Les 72h premiĂšres heures sont cruciales avec un chaton : prĂ©senter la litiĂšre, le bol d’eau et la nourriture aprĂšs avoir “cat-proofĂ©â€ la maison pour finalement s’assurer qu’il fait ses besoins (et au bon endroit).

    Toi : On a naviguer le virtuel/hybride rĂ©cemment avec une suite sans fin de teams/zoom/meet sans aller aux toilettes, sans boire, en sautant mĂȘme des repas
 c’est NON! Ce qu’il faut prĂ©voir :

    5 minutes entre les rencontres eau fraĂźche accessible (pichet, grand verre) s’arrĂȘter pour manger une collation nourrissante et pour dĂźner rencontres de 20-25 ou 50 minutes (au lieu de 30 ou 60) repas (ne pas avoir Ă  se poser la question : soit manger la mĂȘme chose ou avoir un lunch prĂȘt) idĂ©alement : bouger, s’aĂ©rer le cerveau, marcher

    La clĂ© ici : rĂ©hausser nos standards de soins pour nous-mĂȘmes comme si c’était un bĂ©bĂ© chat!

    Fournir un environnement sécuritaire

    Chaton : “Cat-proofer” chez Claudine a voulu dire retirer les Ă©lastiques, les emballages jetables, les flocons mĂ©talliques de dĂ©coration de NoĂ«l et mĂȘme tourner un divan sur le cĂŽtĂ© dans la journĂ©e.

    Toi : Dans ton entourage, est-ce que tu cĂŽtoies des gens stressĂ©s, tu vis des micro-agressions, du harcĂšlement? Y a-t-il des moments oĂč tu ne te sens pas en sĂ©curitĂ©? Pouvoir dire ta vĂ©ritĂ©, tes sentiments et Ă©tablir des limites c’est le reflet d’un environnement sain et RIEN ne justifie qu’on endure de ne pas se sentir en sĂ©curitĂ© (ni une paie, ni une stabilitĂ©, ni une illusion de certitude, ni une relation qui dure depuis longtemps
).

    Commencer petit

    Chaton : l’idĂ©al c’est de l’accueillir dans une petite piĂšce fermĂ©e, dans un environnement rĂ©duit pour qu’il s’adapte et Ă©tende par la suite sa zone de confort et dĂ©veloppe confiance.

    Toi : Prends-tu des trop gros projets, des trop grosses bouchĂ©es, joues-tu Ă  “tant qu’à” en te mettant plus de pression que nĂ©cessaire? Le “planning fallacy” (ou le sophisme de la planification) c’est la dĂ©monstration scientifique que l’on sous-estime le temps que prendra une tĂąche. L’humain a tendance Ă  ne pas tenir compte des preuves historiques dans sa planification (“ça me prend toujours une journĂ©e complĂšte pour fermer le mois dans la comptabilitĂ©, mais je pourrai sĂ»rement le faire en 2h
”). N’essaie pas de manger un Ă©lĂ©phant en une bouchĂ©e (ou seul.e!). Un truc Que Des Solutions : si tu te poses la question “Ce projet est-il trop gros/ambitieux pour l’instant?” c’est dĂ©jĂ  une indication qu’il l’est sĂ»rement! Pourquoi ne pas le morceler (ce qui te permettra de dĂ©jouer ton cerveau dans son sophisme de la planification!) et mettre seulement la premiĂšre partie dans ton assiette et le reste dans ton agenda?

    Y mettre BEN de l’amour!

    Chaton : dĂšs qu’il se manifeste, on doit ĂȘtre lĂ , le flatter, lui parler et s’asseoir avec lui
 lui confirmer qu’on est sa nouvelle famille..

    Toi : Mets-y de l’amour! BEN de l’amour! Sois la personne qui s'assure que les liens se crĂ©ent, reviens Ă  l’humain devant toi. Dans toutes nos journĂ©es, dans tous nos projets : le secret c’est d’y ajouter de l’amour. Quand il y a du ouache : ajouter de l’amour. Quand ça va bien : ajouter de l’amour. On peut choisir de devenir le canal par lequel passe l’Amour. Toute la lumiĂšre et l’énergie passe ainsi par nous pour rayonner vers l’autre et dans le monde.

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  • Suite au Festival des harmonies, on a fait un retour sur les grandes leçons apprises dans cette premiĂšre Ă©dition "en vrai" depuis notre arrivĂ©e Ă  la direction et la coordination de l'Ă©vĂ©nement en 2019. Comme on sait que tout arrive toujours pour une raison dans la vie, on prĂ©sente ces leçons dans une sĂ©rie de 6 Ă©pisodes.

    Le succĂšs d’un projet est directement liĂ© Ă  ses communications. Surtout aux communications internes. CrĂ©er une Ă©quipe oĂč la communication est authentique, c’est le terreau dans lequel on cultivera la confiance, la vulnĂ©rabilitĂ©, l’ouverture.

    Impliquer

    Et si, au-delĂ  de l’équipe, on arrive Ă  intĂ©grer les gens de l’extĂ©rieur, Ă  leur faire une vĂ©ritable place, Ă  les inclure et les Ă©couter, on a tous les ingrĂ©dients pour crĂ©er “une armĂ©e d’ambassadeurs”, comme le suggĂšre Joan Garry. Pour tout OBNL ou organisme de charitĂ©, rassembler une armĂ©e de convaincus capables de vĂ©hiculer la mission, c’est s’assurer de faire retentir son message bien au-delĂ  de son rĂ©seau. Deux Ă©lĂ©ments sont ici indispensables :

    bien communiquer l’information aux ambassadeurs potentiels (qu’ils y aient accĂšs, qu’elle soit digeste, qu’elle soit claire) permettre aux ambassadeurs de vĂ©hiculer le message (ne pas tenter de contrĂŽler celui-ci, laisser les gens s’approprier leur expĂ©rience de l’évĂ©nement/de la cause).

    Rayonner

    Dans le cas de présence médiatique (journaliste/photographe/caméra), il est primordial de :

    personnaliser le contact lorsque c’est possible, d’avoir un membre de l’équipe prĂȘt Ă  se dĂ©placer avec eux, d’avoir Ă  l’avance des idĂ©es de reportage ou d’entrevues (en analysant l’horaire de l’évĂ©nement, en pensant Ă  l’avance Ă  des angles intĂ©ressants pour la captation d’images).

    Alors que plusieurs gestionnaires (ou membres du conseil de ces organisations) choisissent de se tenir devant la camĂ©ra lorsqu’arrivent les mĂ©dias, le fait de mettre en lumiĂšre des bĂ©nĂ©voles, des participants, des visiteurs permet d’amplifier le message et le ressenti. En plus du rayonnement liĂ© Ă  la couverture mĂ©diatique, l’expĂ©rience devient enrichissante pour tous et l’impact est bĂ©nĂ©fique pour :

    l’évĂ©nement/projet, qui rayonne de façon diffĂ©rente en fonction des mĂ©dias le mĂ©dia, qui couvre un angle particulier de l’évĂ©nement les participants mis en lumiĂšre, qui rayonnent par la suite dans leur rĂ©seau Ă  travers la visibilitĂ© associĂ©e Ă  l’évĂ©nement/projet.

    Écouter deux fois plus qu’on parle

    En matiĂšre de service-client, l’écoute active et empathique s’est avĂ©rĂ©e une pratique payante! Tant en service interne (Ă©quipe) qu’en service externe (clients). Laisser le client insatisfait exprimer son idĂ©e de façon complĂšte, poser des questions, clarifier les termes utilisĂ©s pour ĂȘtre certain de bien comprendre. Tout ça avant de tenter de s’expliquer ou de s’excuser.

    Par ailleurs, dĂšs qu’on constate que des termes ou expressions utilisĂ©s portent Ă  confusion, la rĂšgle de base est de corriger les mots ou simplifier l’explication afin que la communication soit la plus efficace possible et que la client/participant comprenne facilement l’information communiquĂ©e. L’information se doit d’ĂȘtre claire, Ă©purĂ©e, simple (pour permettre une recherche facile).

    Afin d’obtenir de l’information cruciale auprĂšs de la clientĂšle, faire des sondages (simples, rapides et rapprochĂ©s de l’expĂ©rience qu’ils ont vĂ©cue) permet de crĂ©er ces occasions d’écoute et de recueillir des commentaires pertinents permettant l’amĂ©lioration.

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