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  • Le halving du Bitcoin a eu lieu fin de semaine dernière. Derrière la technique et le jargon, cette opération de halving est surtout une nouvelle forme de la cupidité humaine. Petit cours de rattrapage accéléré sur le halving du Bitcoin cet événement planétaire qui a eu lieu vendredi soir dernier. Du moins je vais essayer car n’appartenant pas à la génération Z, je ne suis pas sûr de bien tout comprendre et même s’il y a vraiment quelque chose à comprendre. Le halving, quand je vous dis que c’est un événement planétaire, je parle évidemment de la planète des cryptomonnaies qui survient tous les quatre ans environ. Celui de vendredi soir dernier est le 4e dans l’histoire du bitcoin. Le bitcoin, à l’inverse de la monnaie que vous avez dans votre poche ou sur votre compte, n’est pas illimité. On sait depuis le départ que seulement 21 millions d’unités de la cryptomonnaie seront émises à terme et donc l’offre est forcément limitée. Nous avons déjà 19 millions de bitcoins en circulation et si on ne peut en produire que 21 millions, la messe est dite. La fin est donc proche. Pour le bitcoin, eh bien pas du tout. Le dernier qui sera émis ne le sera qu’en 2140. On a donc le temps. Pourquoi 2140 seulement ? Mais parce que tous les 4 ans, les millions de Bitcoin sont divisés par deux. C’est ça le fameux halving du Bitcoin dont on nous parle tant. Et les précédentes divisions par deux se sont soldées par des hausses importantes du cours du bitcoin. iIci, ça ne semble pas trop être le cas, pour la simple raison que cette opération de halving a été anticipée et que le prix du bitcoin avait déjà bondi en amont de cette opération. Évidemment, les amateurs de Bitcoin restent très excités. Pourquoi ? Mots-Clés : offre, demande, banques américaines, produits d’investissement, indexé, cryptomonnaies, amateurs, logique, hausse, loi, avis, le net, spécialistes, question, temps, zéro, commentateur, boursier, Marc Fiorentino, bon sens, paysan, actif spéculatif, épargnants, dynamique, froid, yeux, exemple, doper, portefeuille, risques, périls, or, anxiolytique, financier, viagra, métaphore. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Le modèle économique espagnol est basé sur le "sol y playa" ou "soleil et plage". Mais si ce modèle a permis à l’Espagne de sortir de la pauvreté, il est aujourd’hui à bout de souffle à cause du réchauffement climatique. Suite aux violents orages et aux pluies diluviennes qui ont frappé la péninsule arabique et la ville de Dubaï, je vous avais expliqué que ce chaos local n’était qu’un prélude au réchauffement climatique pour cette région et des pays plus proches de nous, comme l’Espagne. Ce souci aura un impact sur le prix des secondes résidences à la baisse bien évidemment. En réalité, c’est bien plus que ça. C’est carrément le modèle économique de l’Espagne que son gouvernement est en train de revoir depuis plusieurs mois, même plusieurs années. D’abord, tous les partis politiques ont compris que l’eau en Espagne est devenue de l’or, une denrée rare, qu’on a eu tendance, hélas, à trop négliger pendant ces dernières décennies. Aujourd’hui, les Européens du Nord, nous avons tendance à voir l’Espagne comme notre potager. Le pays exporte des tomates, des avocats, des fraises, des concombres que nous retrouvons dans tous nos supermarchés. Un économiste vous dirait que l’Espagne, pays le plus aride d’Europe, a donc fait le choix d’une agriculture qui exporte l’eau du pays à l’étranger, la production agricole espagnole consomme 80% de l’eau produite en Espagne. Il n’est donc pas normal que ce pays aride soit devenu le potager de l’Europe et s’amuse à exporter du riz, alors même que la culture du riz demande cinq fois plus d’eau que toute autre culture. Et donc oui, les économistes ont raison de dire que si du point de vue du PIB, de la croissance, l’agriculture espagnole est une réussite. Mais c’est aussi, et c’est le revers de la médaille, un immense échec… Mots-Clés : export, fruits, légumes, sécheresse, raison, autorités locales, décisions drastiques, réduire, gaspillages d’eau, pays, millions, habitants, visiteurs, succès touristique, consommation, désastre, étude, Barcelone, client, hôtel, étoiles, consommer, résident local, Belgique, France, municipalité, été, interdire, douches, plage, pression, robinets, campings, golfs, piscines, décennies, souffle, avantage, carte, culture, gastronomie, bien être, sport, désaisonnaliser, économie locale, impact, prix, immobilier. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Dubai a été victime de pluies torrentielles. Les influenceurs qui se sont installés là-bas pleurnichent sur leur malheur et montrent des vidéos qui démontrent l'impact du réchauffement climatique. Amid Faljaoui nous rappele que le risque climatique touchera également l'Espagne ou la France mais il constate aussi que les prix de l'immobilier dsns ces deux pays n'ont pas encore piqué du nez car les acheteurs sont dans le déni. Mais jusqu'à quand ? --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Aujourd’hui, les députés européens qui ont voté en faveur de la fin de la vente des moteurs thermiques en Europe à partir de l’année 2035 doivent se demander s'ils ne devraient pas présenter des excuses. Non pas en ce qui concerne l'objectif de décarbonisation d'une industrie polluante, mais plutôt sur le fait d’avoir pris ce choix d’interdire les voitures thermiques sans étude préalable de l’impact de cette interdiction.Les responsables du port de Zeebrugge reconnaissent que les constructeurs automobiles chinois se servent des ports européens comme d’immenses parkings pour stocker leurs véhicules invendus, parfois depuis 18 mois. Ceci est le résultat d’un chaos sur le marché de la voiture électrique : les Chinois sont en surcapacité sur leur propre marché mais ils n’arrivent pas non plus à écouler les véhicules sur le marché européen car la demande se révèle plus faible que prévu.Deux raisons expliquent cela. Tout d’abord, plusieurs pays ont annulé leurs subsides à l'achat de voitures électriques. Ensuite, la demande est freinée en raison d'un manque de bornes de recharge ou d'une autonomie limitée, ainsi que du prix encore plus élevé par rapport à une voiture thermique.On ne pourra pas dire d’ailleurs que les eurodéputés n’étaient pas au courant. Carlos Tavares, pour ne citer que le patron de Stentys, les avait prévenus en disant que cette interdiction pour 2035 de vendre des voitures thermiques sur le sol européen revenait à dérouler le tapis rouge aux voitures électriques chinoises qui sont 20 à 25% moins chères que les nôtres.Certains observateurs se disent maintenant que la date de 2035, date de la fin de la vente des voitures thermiques sur le sol européen, ne sera pas respectée. Mots-clés : bourse, economie, entreprise, exportation, faljaoui amid, tendances, véhicule électrique, chine, surcapacité, chaos --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Le patron du groupe automobile Stellantis a reçu une rémunération de 36.5 millions d'euros. Le montant choque. Et provoque des remous que nous décrit Amid Faljaoui . --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • L'or est en hausse. Il n'arrête pas de grimper. Il est vrai que l'or profite des craintes d'une escalade guerrière au Proche Orient. Mais il y a d'autres raisons pour expliquer la très bonne forme de l'or comme nous l'explique Amid Faljaoui. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • L'attaque Iranienne contre Israël n'est que la suite d'une autre guerre invisible que se livrent ces deux pays comme nous l'explique Amid Faljaoui. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Avec la baisse des taux d'intérêt, Amid Faljaoui va nous parler de nos espoirs, de nos peurs et même de notre cupidité m. On l'écoute

      

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  • La plus grande banque américaine se lance dans la publicité en vendant les données de ses clients. Peut-on imaginer que demain les banques belges feront la même chose ? C'est à cette question que répond Amid Faljaoui. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Le prix des batteries des voitures électriques est en forte baisse. Pourquoi ? Et est-ce une bonne nouvelle pour les futurs acheteurs de véhicules électriques ? Amid Faljaoui répond à ces deux questions avec quelques nuances. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • La question est clairement posée par certains intellectuels, dont notamment Ted Gioia qui a publié un texte devenu viral sur les réseaux sociaux. Alors, sa thèse est très simple, quand vous regardez en Bourse le classement des dix entreprises les plus puissantes au monde, la moitié d’entre elles vendent en quelque sorte de la drogue. Une drogue technologique, mais une drogue tout de même. Les jours où les dealers se cachaient pour vendre leur came appartiennent au passé. Aujourd’hui, les dealers opèrent en plein jour dans votre maison, dans votre appartement et dans toutes les sphères de notre vie privée. En effet, des sociétés comme Meta et aussi ses autres filiales que sont par exemple Instagram ou Google via par exemple sa filiale YouTube, nous refilent de la came à dose quotidienne, au vu et au su de tout le monde. Et la drogue à laquelle cet intellectuel fait allusion, c’est la dopamine, autrement dit un neurotransmetteur qui agit sur notre cerveau humain comme une croquette sur un petit chien. Et dans l’industrie culturelle, on ne parle pas de dopamine, évidemment, mais de gamification. C’est plus chic ou en français ludification. Autrement dit, notre vie est devenue un jeu et en raison de cette ludification massive de notre société, nous sommes à la recherche d’une gratification instantanée. C’est ça la dopamine, c’est ça la dépendance. Elle produit un sentiment de satisfaction immédiat, mais hélas de très courte durée. Et devinez quoi ? On en redemande encore et encore. Et c’est ce qui explique qu’aujourd’hui les jeunes et moins jeunes sont scotchés à leurs écrans car les formats courts qui s’enchaînent la queue leu leu sont faits pour nous empêcher de lever la tête. N’oubliez pas que l’esclave, par définition, a la tête courbée et les algorithmes sont donc conçus pour fabriquer cette dépendance… Mots-Clés : prime, musique, vidéo, formats courts, ultracourts, algorithmes, géants, numérique, pénaliser, formats longs, cycle, dépendance, intellectuel, totalisation, Disney, studios, cinéma, Paramount, crise, licencier, séries TV, maximum, plateau, demande, classique, chute, règne, scroll, swipe, stimuli, totalisation, marche, TikTok, réseau social, professionnel, LinkedIn, vidéos, application, boursière, américaine, Robin Hood, vogue, jeunes, investissement, ludique, danger, risques, acheter, vendre, action, musulmans, te jeûne, ramadan, auteur, livre, Dopamine Nation, médecin, formation, exemple, écrans, Anna Lembke. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • L’Europe enquête sur les panneaux photovoltaïques chinois soupçonnés d’être vendus à prix cassés en Europe car ils bénéficient d’une aide du gouvernement chinois. Mais perdons-nous notre temps à vouloir combattre les chinois ? L’Europe ne veut plus être une passoire pour les panneaux solaires fabriqués en Chine, elle a donc décidé d’enquêter sur des subventions chinoises, soupçonnées donc de fausser la concurrence sur le marché européen. Alors dit comme ça, on se dit que c’est très viril comme décision, que l’Europe a enfin décidé de ne plus se laisser faire. Mais est-ce aussi simple ? C’est vrai qu’aujourd’hui les groupes chinois, directement ou indirectement d’ailleurs, via leurs filiales en Europe, inondent le marché européen de panneaux photovoltaïques à prix cassés. Et les quelques fabricants européens qui sont sur le marché tirent la langue car ils ne peuvent pas s’aligner sur les prix chinois et donc ils crient tous au loup en affirmant que ces prix ne sont pas honnêtes mais qu’ils sont artificiellement très bas car le gouvernement chinois les subventionne. Autrement dit, c’est du dumping, de la concurrence déloyale. Et c’est cette concurrence déloyale que doit démontrer la Commission européenne. Alors j’ai envie de dire bonne chance. Pour quelle raison ? Mais parce que la première raison pour laquelle ces panneaux solaires inondent l’Europe, c’est d’abord parce que la croissance chinoise tourne au ralenti. Et comme les fabricants chinois ont surinvesti dans ce secteur ces dernières années, ils n’arrivent plus à écouler leurs panneaux solaires en Chine et donc ils bradent ceux-ci partout où ils peuvent et donc également en Europe. Mais que peut-on faire ? Mots-Clés : surproduction, batteries, électriques, voitures, éoliennes, aides massives, Etat, compte, point de vue, consommateurs, exporter, déflation, réindustrialiser, nouvelle, producteurs, Interdire, importation, taxer, solaires, déficit, ingénieurs, continent, industrie, jeune, retard, matière, recherche, développement, usine, robotisé, productive, main-d’œuvre qualifiée, compétitive, problème, pénurie, métiers, techniques, chaîne, valeur, minerai, base, silicium, textile, jeans, label, made in Europe, réalité, enquête, détruire, filière industrielle, taxer, producteurs, économiste, Vietnamiens, Indiens, dépendance, focaliser, technologies, avantage compétitif, portefeuille. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Chacun sait que l’OTAN fête cette année ses 75 ans d’existence. Mais la fête se fera dans un climat d’incertitude et de tensions. Alors les incertitudes, elles sont liées à un éventuel retour de Donald Trump à la Maison-Blanche en janvier 2025. L’occasion de lui rappeler quelque chose qu’il ne sait pas et que peu de gens savent : nous autres européens, nous finançons les dépenses militaires américaines en achetant la dette publique américaine. Entre 1945 et 2022, l’Europe a connu la plus grande période de paix depuis l’Empire romain. Mais tout ça, c’est grâce effectivement à la protection militaire américaine qui, je le rappelle, représente tout de même 70% des dépenses militaires de l’OTAN. Et nous, en Europe, naïvement, collectivement, nous avons profité de ces dividendes de la paix, comme on les appelle, pour désinvestir dans notre défense. C’est vrai que sur les 31 pays membres de l’OTAN, seulement onze d’entre eux atteignent la fameuse barre des 2% du PIB en dépenses militaires. Et Trump, évidemment, joue sur ce manque, sur ce déficit pour menacer l’Europe comme un vulgaire boutiquier, alors qu’il ne s’agit pas d’une facture d’un commerçant qui ne serait pas honoré, mais de la défense d’un continent de plus de 500 millions d’habitants. Mais voilà, s’ils veulent atteindre les 2% du PIB consacré à la défense, les Européens devraient, selon certains calculs, investir 460 milliards d’euros d’ici 2028, c’est-à-dire demain. La question qui est posée aujourd’hui à plusieurs pays en Europe et sous la forme d’un dilemme, sachant qu’ils devront allouer entre 1 à 2% de leurs dépenses publiques à la défense, la question reviendra à dire aux électeurs voulez-vous augmenter les dépenses liées à notre défense ou maintenir l’État providence ? Si c’est vrai que les Européens ne dépensent pas autant qu’il avait promis de le faire pour leur défense, Donald Trump oublie juste une chose nous autres Européens, nous finançons également les dépenses militaires de son pays. Alors non pas via des impôts, mais via des prêts… Mots-Clés : membres, efforts budgétaires, défense, voisins, russe, esprit, lettre, principes fondateurs, tensions, pays européens, réponse, raison, France, lobbying, partenaires, européens, investissement, compte, tensions, incertitudes, interne, obligations, États, protection, contrepartie, bases militaires, monde, porte-avions, océans, protéger, libre, milliards, dollars, dette américaine, consommateur, taux d’intérêt, sécurité, gratuit, parapluie américain, achat, monnaie, roi, compter, modèle, libéral, plan Marshall, seconde guerre mondiale, bonheur, multinationales. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Que faut-il faire pour éliminer le trafic de drogue et que faut-il penser des récentes fusillades à Bruxelles ? Le combat contre la drogue est aussi un problème d économie, celui de l’offre et de la demande. Parler de la drogue, c’est également parler d’économie. Les médias eux ont surtout parlé, c’est normal, des dégâts et de l’effroi causé par les règlements de comptes entre dealers à Bruxelles, à Anvers mais également à Marseille, les 3 villes sont liées via le trafic de drogue. Les dernières fusillades chez nous, en pleine ville, ont suscité plusieurs commentaires. Les plus optimistes, notamment certains criminologues, disent que cette violence urbaine qui ne se cache plus, est plutôt le symptôme d’un marché de la cocaïne totalement déstabilisé. Notamment depuis qu’en 2022, la police a réussi à infiltrer le réseau de téléphone crypté Sky IQ, qui est ou qui était donc utilisé par la mafia de la drogue à l’époque. 110 tonnes de cocaïne, soit tout de même 5% de la production mondiale, avaient été saisies dans le port d’Anvers. Forcément, ça a fait des mécontents et certains en profitent aujourd’hui pour prendre la place des autres. C’est ce redécoupage du gâteau de la cocaïne qui expliquerait en partie les violences actuelles, le marché de la coke se réorganise. Mots-Clés : présidence, belge, Union européenne, patrons, ports, européens, volonté, coopération, Pays-Bas, Belgique, combat, Rotterdam, cœur, Europ, réseau dense, autoroutes, accès, pays limitrophes, idéal, avis, Europol, quantités, cocaïne, prix de vente, augmenter, dissuader, demande, opérations, coup de poing, com, citoyens, inefficace, déplacement, Emmanuel Macron, président, parti, Alain Bauer, professeur, criminologie, Conservatoire national des arts et métiers, flexibilité, opérateurs, criminels, réinvestir, lieux, outils, commercialisation, distribution, type, Uber, sheet, domicile, pizza, burgers, présence ponctuelle, police, assécher, territoire, policiers, plan sécuritaire, court terme, long terme, nourrices, guetteurs, agents commerciaux, rupture, capacités, production, risque, tensions, émeutes, raison, inavouable, gouvernements, autorités locales, prudent, coopération, jeunes, mineurs, mimétisme, tendance, enfant, adultes, réflexe, bande, chef, Jacques Garello, professeur, université, éducation, national, école, problème, dégâts, réchauffement climatique, inégalités sociales, valeurs morales, bien, mal, respect, harcèlement, théorique, programme, résultats, Australie, Corée du Sud. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Avec l’intelligence artificielle, on n’en a pas fini d’être étonné, chaque jour apporte son lot de surprises. La dernière trouvaille de la société Open AI, maison mère de ChatGPT fait peur car ces bien fait pourrait être largement surpassé par les malheurs qu’elle peut produire. Nous savons déjà que des textes peuvent être trafiqués par l’intelligence artificielle. Nous savons que c’est aussi le cas pour les photos et les vidéos avec un degré de sophistication qui est hallucinant. Et maintenant c’est ma voix, votre voix qui peut être clonée par Voice Engine, le petit dernier d’OpenAI. Le clonage de voix existe déjà et des sociétés peuvent déjà le faire. Et j’ai moi-même fait le test avec l’une de mes chroniques sous forme d’une vidéo qui reprend ma voix à s’y méprendre. Mais ici, avec Voice Engine, et à en croire la maison mère de ChatGPT, on va encore plus loin dans la reproduction fidèle de la voix, du timbre, des intonations, etc. Et sur la base d’un simple échantillon audio de 15 secondes. Et cette intelligence artificielle peut cloner notre voix, votre voix, et donc potentiellement nous faire dire n’importe quoi. D’ailleurs, c’est la raison pour laquelle Open AI n’a pas encore lâché, si je puis dire, cette nouveauté en pleine nature car elle a peur des fraudes et des crimes qu’elle peut générer… Mots-Clés : direction, tests, remarques, utilisateurs, disponible, service, clonage, président, États-Unis, victime, Joe Biden, ému, découverte, demande, encadrer, criminels, cols blancs, piéger, Monsieur, madame, tout le monde, membres, famille, danger, personne, moyen, confiance, texte, vidéo, identité, question, savoir, téléphone, somme, compte, directeur, société, souvenir, sel, sucre, clonage, monde, difficile, impossible, vrai, faux, sens critique, politique, victimes, arnaques, outil, cadre, discours, public, speech, TV, radio, prise, politicien, humanité, voter, nostalgie, inventions, divertissement, infini, escroquerie, diable, arme, suspicion, distinguer, faux, vrai, Lénine, capitalistes, corde, Silicon Valley, géants, numérique, réalité. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Ces patrons, ces milliardaires, qui ont beaucoup plus de pouvoir que le président des États-Unis. Ils peuvent décider seuls désormais de l’avenir du monde. Et nous autres Européens sommes pour le moment au balcon, vu que ces entreprises géantes qui façonnent donc le monde sont soit aux USA, soit en Chine. Comme l’écrit avec justesse ma consœur Christine Kerdellant dans son dernier livre au titre très explicite "Ces milliardaires plus forts que les États". Elle cite dans ce livre le cas de Bill Gates, qui gouverne donc la santé mondiale. Elle parle d’Elon Musk qui coupe l’accès à Internet de l’armée ukrainienne quand il veut l’empêcher d’agir. Elle cite aussi Mark Zuckerberg, le patron de Facebook et d’Instagram, qui, je la cite, attise le populisme et met en danger une génération d’adolescents. Elle n’oublie pas, évidemment, Jeff Bezos, le fondateur d’Amazon, qui veut nous faire vivre dans des capsules géantes en apesanteur. Et, last but not least, elle lance aussi une pique envers les deux fondateurs de Google, Larry Page et Sergey Brin, qui préparent la fusion de l’homme et de la machine pour en finir avec la mort. Et c’est vrai que ces hommes, tous américains au demeurant, sont devenus riches au-delà de toute imagination grâce au numérique et à l’intelligence artificielle. Demain, ils sont même devenus, disons-le, plus puissants que des chefs d’États… Mots-Clés : interview, pépites, société, ASML, Pays-Bas, fleuron, technologique, mondial, raison, fabrique, semi-conducteurs, puces, fonctionnement, intelligence artificielle, talents, parti, extrême droite, menace, époque, interdire, libre entrée, étrangers, direction, néerlandais, délocaliser, mesures, Hollandais, manger, tartine, lait, enjeu, monde, Chine, possession, Taïwan, île, semi-conducteurs, mondiaux, erreur, stratégie, colossal, monumentale pour l’Europe. C’est vrai que cela n’aurait rien changé. France, intérêt, stratégique, preuve, matière, négociation, Etats, bypassé, gouvernement, taux d’intérêt, Francfort, Banque centrale européenne, budget, Commission européenne, évolutions économiques, sociétales, Meta, Google, Microsoft, Tesla, Nvidia, politique, dragon, papier. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Avoir raison trop tôt, c’est avoir tort, c’est ce qu’a découvert, ou redécouvert, il y a quelques jours, Stephen Scherr, l’ancien patron du loueur de voitures Hertz : il a été viré après avoir été nommé à ce poste il y a seulement deux ans. Et pourtant, au départ, son arrivée a été saluée par une hausse du cours de Hertz en Bourse de 42% en moins de quinze jours. Au final, ses idées de génie ne se sont pas du tout vérifiées dans la réalité et c’est la raison pour laquelle il a dû prendre la porte il y a quelques jours. Morale de cette histoire: dans les affaires, quand on fait un pari qui est raté, c’est la porte de sortie immédiate. Comme nous le voyons en politique, avec les prochaines élections, on peut se viander pendant 20 ou 30 ans et solliciter le suffrage de l’électeur sans fard et sans honte. Mots clés : bourse, actions, hertz, voitures électriques, tesla, location, politique, affaires, licenciement--- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Les amateurs de chocolat risquent de payer d’ici peu un peu plus cher leur péché de gourmandise, pour la simple raison que les cours du cacao et du sucre se sont littéralement envolés ces derniers mois. Dans le cas du cacao, les prix ont explosé en moins d’un an et demi, ces prix tutoient, aujourd’hui, la barre des 9000 € la tonne. Bien sûr, les chocolatiers se posent des questions, surtout à la veille de Pâques qui représente tout de même souvent 10% de leurs ventes annuelles. La tablette de chocolat va-t-elle devenir un produit de luxe ou les industriels vont-ils changer sa composition, la dégrader donc pour calmer la valse des étiquettes ? Pour le moment, personne ne peut répondre vraiment à ces questions et les grands industriels du secteur restent plutôt muets sur leurs stratégies de prix pour 2024 et 2025. La seule marque à être sortie du bois, c’est le chocolatier suisse Lindt, qui lui a annoncé des hausses de prix pour 2024 et 2025. Mais, revenons-en à la base. Pourquoi cette hausse du prix du cacao et du sucre ? Dans le cas du cacao, il y a un peu de spéculations, certes, mais dans les deux cas, cacao et sucre, il y a surtout le réchauffement climatique qui impacte les prix mondiaux. Pour le cacao par exemple, 2 pays, la Côte d’Ivoire et le Ghana, fournissent à eux seuls 60% des fèves mondiales. Et pas de bol pour ces deux pays, des pluies diluviennes ont fait pourrir le cacao et ensuite c’est malheureusement la sécheresse. La sécheresse qui a pesé sur les rendements des plantations et donc pour aggraver la situation, les conditions climatiques en Inde ont également joué contre la production du sucre… Mots-Clés : attention, gourmandise, risque, coûter, climat, homme, rôle, cours, économie politique, baisse, production, mécaniquement, hausse, prix, rare, raisonnement, humain, jeu, groupe, chocolatier, rémunération, planteurs, formation, planteur, résultat, jeune, cultiver, manioc, rentable, offre, diminution, mécanique, broyeur, canne à sucre, coût, carburants, bond, intérêt, produire, éthanol, base, opportunité, quotidien, faiblesse, Noël, distributeur, approvisionnement, mois, avance, dérapage, prix, carte, shrink, inflation, taille, barre, chocolatée, diminuer, recette, dégrader, qualité, offre, matière, végétale, nobles, frein, envie, Coluche, ennemi. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • Ce 26 mars, Donald Trump a vu sa fortune grimper en un seul jour de 5.5 milliards de dollars. Trump va pouvoir payer ses amendes à la justice américaine et rester dans la course présidentielle. Le pourquoi et comment de ce miracle. Il y a quelques jours encore, et malgré les sondages qui le donnent gagnant pour la course à la présidentielle américaine, ses détracteurs espéraient que la justice américaine l’empêcherait de se présenter à la Maison-Blanche. Et les plus anti-Trump se réjouissaient déjà du fait que la justice américaine l’avait condamné pour avoir menti sur la valeur de ses actifs et notamment pour obtenir donc des prêts bancaires. La justice américaine avait eu la main très lourde et condamné à payer 454 millions de dollars. Donald Trump ne s’est pas laissé faire et fait appel de cette décision. Mais en attendant, il devait tout de même déposer une caution, une garantie de 165 millions de dollars. Raison pour laquelle, il avait multiplié les appels aux dons auprès de ses fans. Mais depuis ce mardi, on sait qu’il n’aura sans doute plus besoin du tout de leur aide ou de qui que ce soit d’ailleurs. Pour quelle raison ? Mots-Clés : adoration, électeurs, cercle, grandes fortunes, mondiales, fortune, milliard, magie, tour de passe passe, fusion, réseau social, Trust social, coquille vide, cotée en Bourse, New-York, entité, issue, valorisation, Bourse, dollars, chiffres, logique, perte, entité, voter, portefeuille, miracles, transformer, plomb, or, payer, amendes, raisons techniques, période, verrouillage, garantie, guerre, Ukraine, barrières douanières, Chine, proverbe, maison, voisin, imposer, déménager. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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  • La direction de l’avionneur Boeing a été littéralement décapitée ce lundi. Et c’est normal avec tous ces problèmes de sécurité récurrents sur ces avions, Boeing ne garde la tête aujourd’hui au-dessus de l’eau que grâce aux contrats du Pentagone, autrement dit de l’armée américaine. C’est le grand Winston Churchill qui disait "la démocratie est un mauvais système, mais c’est le moins mauvais de tous les systèmes". Et ce lundi, on a redécouvert que le capitalisme est un mauvais système aussi, mais le moins mauvais de tous les systèmes. Le PDG de Boeing a annoncé qu’il partait au plus tard pour la fin de l’année et ce délai de quelques mois n’étant là que pour donner le temps au conseil d’administration de lui trouver un remplaçant. Et quant au président du conseil d’administration actuel, il a fait comprendre qu’il ne se représenterait pas à son poste lors du renouvellement du conseil d’administration. Et comme je vous parlais de capitalisme, cette décapitation de la tête de la direction a permis à l’action de Boeing de reprendre des couleurs, ce qui montre à quel point la bourse est non seulement une grande trouillarde, mais également une grande ingrate. Sur le côté ingrat, on se souvient de la perte en plein vol d’une porte d’un Boeing 737 Max d’Alaska Airlines début janvier. Ce n’est hélas pas le seul incident enregistré par Boeing, la faute à qui ? Mots-Clés : mer, Tasmanie, altitude, passagers, ceinture, plafond, blessés, Japon, aéroport, Los Angeles, catastrophe, pneu, décollage, incidents, décennie, ingratitude, bourse, aspects financiers, avionneur, McDonnell Douglas, réduction, coûts, concentration, performances, résultat, rachat, culture, cas d’école, documentaire, Netflix, preuve, majoritaires, dividendes, rachats, actions, doper, cours, mémoire, Airbus, concurrent, européen, investissements récurrents, déboires, inverse, système, communiste, anticorps, raison, rapport. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30.

      

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