Episoder
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Dernier de Liga, à 4 longueurs du premier non-relégable, le Real Valladolid vit un début de saison galère.
Pire attaque et pire défense de LaLiga, la Pucela vient de se séparer de son entraîneur, Paulo Pezzolano.
Mais celui qui s’attire les foudres des supporters est son proprio et président depuis 2018 : un certain Ronaldo.
Accusé de ne pas tenir ses promesses, l’ex-Ballon d’Or brésilien - qui a des ambitions présidentielles à la fédé brésilienne de foot - n’a pas fermé la porte à une vente du club.
Fred Hermel, Edgar Groleau et Nicolas Vilas reviennent sur les années parfois compliquées entre R9 et le Real Valladolid.
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Le 23 novembre 2024, face à Alavés, Diego Simeone a dirigé son 700e match aux commandes de l’Atlético de Madrid. El Cholo n’a pas caché son émotion.
L’occasion de revenir sur les treize années déjà légendaires de Simeone avec les Colchoneros. Un cas de longévité rare, exceptionnel dans le football actuel.
Edgar Groleau, Fred Hermel et Nicolas Vilas dissèquent les 700 de Simeone.
Comment l’Argentin a fait (re)basculer l’Atlético dans le camp des grands ?
Son jeu a-t-il évolué ?
Quel match retiendrait-il ?
Le podcast After Espagne retrace le parcours légendaire de l’entraîneur argentin.
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Manglende episoder?
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Installé aux places qualificatives pour la Ligue des champions, Villarreal réalise un début de saison remarqué en Liga.
A l’image de son meilleur buteur Ayoze Pérez, l’équipe de Marcelino affiche l’une des meilleures attaques du championnat d’Espagne.
Le « Sous-marin jaune » est-il toutefois armé pour tenir son rang dans le quatuor de tête et retrouver l’Europe ?
Ses défaites face au Barça et au Real Madrid, sa défense friable, sont-elles des signes de fébrilité ?
A l’inverse de son voisin, le Valencia CF, Villarreal s’inscrit comme un modèle de gestion.
Podcast After Espagne avec Fred Hermel, Edgar Groleau et Nicolas Vilas.
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A l’approche du derby de Barcelone et de l’anniversaire du Real Club Deportivo Espanyol Barcelona , Fred Hermel, Edgar Groleau et Nicolas Vilas vous emmènent à la découverte de l’autre club de Barcelone.
Dans l’ombre de leur voisin, les Periquitos (Perruches) affichent pourtant une histoire aussi riche que méconnue.
Fondé en 1900 par des étudiants espagnols, le club avait pour premier but de se différencier de la majorité des autres clubs alors majoritairement créés par et pour des étrangers tels que le… FC Barcelone.
L’Espanyol qui a été l’une des équipes ayant pris part à la première édition de La Liga est, depuis, l’un des clubs comptant le plus de présences dans la compétition.
Au-delà de ses quelques titres (4 Copas del Rey), son histoire a été marquée par de grands noms, tels le mythique gardien Zamora ; des histoires parfois tragiques, comme le décès brutal de Dani Jarque ; d’autres bien plus joyeuses, comme le « Tamudazo », le doublé de Raul Tamudo en 2007 face au Barça qui a offert le titre au… Real Madrid.
Aujourd’hui et malgré un propriétaire étranger, les dirigeants tentent de maintenir une tradition de formation, de symboles, incarnée, entre autres, par Omar El Hilali qui a récemment révélé avoir refusé des approches du Barça parce que fan de l’Espanyol.
Alors, sur le terrain comme en dehors (politiquement, notamment) l’Espanyol est-il l’anti-Barça ?
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Le dernier derby de Madrid entre l’Atlético et le Real a été marqué par de nouvelles polémiques et de nouveaux incidents.
Ciblé par des « supporters » des Colchoneros, Vinícius Jr est au cœur d’un énième incident raciste.
Connu pour ses prises de position et ses déclarations sur le racisme (en Espagne), l’international brésilien continue d’alimenter les débats.
Ses coéquipiers, son entraîneur, des dirigeants mais aussi une partie de la classe politique espagnol n’ont pas manqué de réagir à ses récentes déclarations : « Si d’ici 2030, si les choses n’évoluent pas, je crois qu’il faudra changer de lieu » pour organiser la Coupe du Monde 2030.
Edgar Groleau, Fred Hermel et Nicolas Vilas analysent la situation du joueur du Real Madrid. Un cas, devenu un combat.
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Au Barça, en ce début de saison, il y a Lamine Yamal, Lewandowski mais il y a aussi Raphinha. Recruté en 2022 pour 58 millions d’euros, l’international brésilien a eu du mal à s’imposer au FC Barcelone. Annoncé partant il y a encore quelques mois, l’attaquant réalise un début de saison 2024-2025 plus que remarqué en Liga.
Adoubé par Neymar, l’ancien Rennais est carrément devenu l’un des capitaines des Culés.
Ciblé par les critiques depuis son arrivée, le joueur de 27 ans a fini par s’imposer, grâce notamment à un gros travail psychologique.
Fred Hermel, Edgar Groleau et Nicolas Vilas reviennent sur le parcours en Catalogne de Raphinha.
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Arrivé à Madrid en 2019 – recommandé par Zinedine Zidane - pour près de 50M€, Ferland Mendy s’est imposé au Real.
Présenté comme « le meilleur latéral gauche du monde défensivement » par son entraîneur, Carlo Ancelotti, le joueur de 29 ans vient de prolonger avec les Merengues.
Sans faire de bruit, l’ancien Lyonnais figure parmi les Français les plus capés de l’histoire du Real. Bien moins exposé médiatiquement que ses coéquipiers et compatriotes Mbappé, Tchouaméni et Camavinga, il est, pourtant, le Français le plus ancien au club mais aussi celui qui compte le moins de sélections avec les Bleus.
Focus sur l’ancien joueur du Havre et de l’Olympique Lyonnais avec Fred Hermel, Edgar Groleau et Nicolas Vilas.
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Dernier de LaLiga, le Valencia CF entame la saison 2024-2025 de la pire des manières. Au-delà de ses contre-performances sportives, les Chés font face à une grave crise économique et intentionnelle.
Acculé par les dettes, le club valencian – qui est notamment plombé par le projet du nouveau stade lancé en 2007 - est dans l’obligation de dégager plus de 130 millions d'€ d’ici la fin de saison. Peter Lim, propriétaire du club depuis 2014, est plus que jamais dans le collimateur des supporters.
L’affaire Rafa Mir – accusé d’agression sexuelle sur deux femmes – est venue enflammer une atmosphère déjà bouillonnante.
Fred Hermel, Edgar Groleau et Nicolas Vilas décryptent la situation d’un club historique du foot espagnol en péril.
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Dans l’ombre du Real et de l’Atlético, il y a (entre autres) à Madrid le Rayo Vallecano. La formation de Vallecas – quartier populaire de la capitale espagnole – se distingue de ses voisins et encore bien au-delà par l’engagement politique et citoyen d’une partie de ses supporters. Antifascistes, engagés dans la lutte LGBT, contre le racisme les ultras Bukaneros sont devenus le symbole d’une autre lutte : celle contre le propriétaire du club, l’homme d’affaires Raúl Martín Presa.
Entre ses envies de grandeur – qui l’avaient amené à créer la filiale du Rayo Oklahoma City aux USA- et qui le poussent à vouloir déménager de Vallecas pour construite un plus grand stade, Presa est au cœur d’un nouvelle polémique : celle d’avoir changer le design du mythique maillot rayé du Rayo, l’année de son centenaire.
Fred Hermel et Edgar Groleau (correspondant à Madrid de RMC) vous emmènent, avec Nicolas Vilas, à la rencontre d’un club foudroyant.