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  • 👟Le #sport rassemble, que ce soit en bas d’un immeuble, dans une salle de sport ou dans un stade, nous nous rĂ©unissons pour assister ou effectuer des prouesses physiques.

    Le sport est censĂ© ĂȘtre accessible Ă  tout le monde. Si certaines activitĂ©s nĂ©cessitent un matĂ©riel coĂ»teux, la plupart des sports sont gratuits ou presque. DĂšs lors qu’ils sont organisĂ©s en #compĂ©tition, ils deviennent un moment #spectaculaire mĂȘlant politique, argent et pouvoir.

    🏅Comme de nombreuses activitĂ©s sociales, le sport est soumis Ă  des normes. Que ce soit la participation, l’organisation ou les rĂšgles du jeu en lui-mĂȘme, tout est codifiĂ©. Est ce que ces rĂšgles sont Ă©quitables ? Qui, aujourd’hui, peut participer aux compĂ©titions et pourquoi ? Ces problĂ©matiques concernent-elles seulement le sport de haut niveau ?

    🎧Reflets d'un autre monde est une fiction sonore, n'hĂ©sitez pas Ă  porter un casque pour une Ă©coute idĂ©ale.


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  • 👛Avec la pandĂ©mie du covid, on a eu l’impression que les Ă©tudiant·es Ă©taient subitement devenu·es pauvres. Pourtant le virus n’a fait que mettre en lumiĂšre la situation dans laquelle de nombreux·ses Ă©tudiant·es sont aujourd’hui. On dit d’ailleurs que nous sommes prĂ©caires, mais qu’est ce que ce mot veut dire ? Est ce juste un synonyme de pauvre ? Est ce que la prĂ©caritĂ© est uniquement liĂ©e Ă  l’argent ?

    đŸ‘©â€đŸŽ“Nous avons demandĂ© Ă  Diana, Ă©tudiante tout juste diplĂŽmĂ©e qui nous livre la rĂ©trospective de ses annĂ©es Ă  l'universitĂ©. Pour Ă©largir notre regard sur la situation actuelle, nous avons questionnĂ© deux sociologues : Marie ClĂ©mence Le Pape, spĂ©cialiste des aides familiales et Elise Tenret, chargĂ©e de mission Ă  l’Observatoire Nationale de la vie Ă©tudiante.


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  • Manglende episoder?

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  • 😹Le stress ou l’anxiĂ©tĂ©, tout le monde en ressent. C’est un continuum, et chaque individu se place sur ce spectre. Lorsque cela devient trop envahissant et que nos Ă©motions nous empĂȘchent d’agir, on parle de troubles anxieux. Pour celles et ceux qui se situent Ă  l’extrĂȘme de ce spectre, souffrir de ces troubles n’est pas une impasse. Des solutions thĂ©rapeutiques existent, les troubles ne sont pas inĂ©luctables.

    đŸ™†â€â™€ïžEmma, Ă©tudiante en premiĂšre annĂ©e Ă  l’universitĂ©, nous raconte comment elle a Ă©tĂ© diagnostiquĂ©e et la maniĂšre dont elle gĂšre au quotidien ses troubles.

    đŸ‘šâ€âš•ïžLe professeur et psychiatre Nicolas Franck nous parle des origines de ces troubles et des maniĂšres d’accompagner les individus en souffrance.

    📓Si vous Ă©tudiez Ă  l’universitĂ© Lyon 1 et que vous souhaitez bĂ©nĂ©ficier d’une salle en petit comitĂ©, vous pouvez en faire la demande. Nous vous conseillons de vĂ©rifier avec la mission handicap si cela est possible pour votre formation.


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  • đŸ‘©â€đŸŽ“Faire une thĂšse est l’ultime Ă©tape de l’enseignement supĂ©rieur, quand on commence une thĂšse, on s’engage pendant plusieurs annĂ©es auprĂšs d’un laboratoire pour participer Ă  la recherche scientifique. MĂȘme si l’image commune de la recherche est un travail collaboratif, enrichissant, passionnant, la rĂ©alitĂ© nous montre l’inverse. Milieu compĂ©titif et violent, l’enseignement supĂ©rieur n’est pas toujours un contexte de travail bienveillant.

    ⛔ Pour participer Ă  la construction de meilleures conditions d’études et briser le silence face aux violences, nous allons Ă  la rencontre d’Alicia, doctorante en physique qui nous parle de son vĂ©cu de doctorante et de Camille, membre du collectif CLASHES (Collectif de lutte contre le harcĂšlement sexuel dans l’enseignement supĂ©rieur) qui revient sur le contexte de thĂšse et les diffĂ©rentes violences inhĂ©rentes au milieu.


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  • 🆘 Les #transphobies dans le milieu #mĂ©dical prennent plusieurs formes. Du manque de cours sur le sujet aux #discriminations en passant par les blagues dĂ©placĂ©es, les #transidentitĂ©s souffrent encore d’une forte stigmatisation partout dans notre sociĂ©tĂ©. Le secteur de la santĂ© ne fait pas exception.

    đŸ©ș La question de l’accueil de la patientĂšle trans questionne le fonctionnement de l’institution mĂ©dicale au niveau de la caractĂ©risation des transidentitĂ©s.

    💬 Aujourd’hui nous Ă©coutons Charlie, Ă©tudiant en mĂ©decine et Maxence, membre de l’association le cafĂ© des transidentitĂ©s, qui nous parlent de la question trans en mĂ©decine et de pourquoi l’accueil de la patientĂšle pose toujours problĂšme.


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  • 🧕 Porter le Hijab en France est un dilemme. Le foulard, qui paraĂźt anodin aux yeux d’une majoritĂ©, pose un problĂšme pour une minoritĂ©. Entre laĂŻcitĂ© et Ă©mancipation des femmes, le foulard est considĂ©rĂ© responsable de nombreux maux

    Pourtant, les premiÚres personnes victimes de ces stigmatisations sont les femmes qui le portent. Apprendre à connaßtre ces femmes est le premier pas pour déconstruire nos préjugés.

    🎧 Aujourd’hui nous rencontrons S, Ă©tudiante en master Ă  Lyon et Foued Nasri, chercheur en sciences politiques et attachĂ© de recherches au centre Max Weber.


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  • ❓Est ce que vous vous ĂȘtes dĂ©jĂ  demandĂ© ce qui faisait de vous un homme ou une femme ? Pour beaucoup, cette question binaire ne reflĂšte pas la richesse de nos identitĂ©s.

    đŸłïžâ€đŸŒˆPersonnes Queer et LGBTQIA+ ne se reconnaissent pas dans la norme binaire hĂ©tĂ©ronormative.

    Mais qu’est ce qu’ĂȘtre queer ? Quelles rĂ©percussions cela peut avoir sur nos vies quand on est queer ?

    đŸšȘQuand exister en marge de la norme rime encore avec violences et discriminations, ne rien dire ou se cacher restent trop frĂ©quemment une rĂ©alitĂ©.

    💬 EugĂ©nie et Al Caudron nous apportent leur ressenti et leur expertise sur la question qu’iels connaissent trĂšs bien.


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  • 📝Les Ă©tudes faites sur le logement Ă©tudiant sont unanimes : l’habitat reste le principal pĂŽle de dĂ©pense pour les Ă©tudiant.es. Cette tension sur le marchĂ© a des rĂ©percussions trĂšs profondes sur la vie Ă©tudiante allant jusqu’à dĂ©terminer le lieu d’études. Pour les français.es comme pour les Ă©tranger.Ăšres, trouver un logement dĂ©cent Ă  un prix abordable est devenu une mission coĂ»teuse en temps et en Ă©nergie et qui aboutit parfois Ă  un Ă©chec.

    đŸ™Žâ€â™€ïžLe logement cristallise les inĂ©galitĂ©s sociales, ĂȘtre Ă©tudiante Ă©trangĂšre comme l’est Zahra le dĂ©montre. Étudiante iranienne venue en France pour des Ă©tudes supĂ©rieures, elle s’est battue pour obtenir son diplĂŽme. Cette bataille, comme tous les combats, n’est pas sans cicatrice

    đŸ‘±â€â™‚ïžLoĂŻc Bonneval, chercheur au centre Max Weber sur les acteurs et actrices du marchĂ© du logement, revient sur cette tension, comment est elle apparue ? Quel impact a-t-elle sur le rapport de force entre locataires et propriĂ©taires ? Quels sont les privilĂšges rĂ©vĂ©lateurs de l’état du marchĂ© ? Est ce que le systĂšme d’aides fonctionne correctement ?


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  • 🎭 “MinoritĂ© modĂšle”, humour douteux, compliments dĂ©guisĂ©s, le racisme anti asiatiques porte de nombreux masques souvent invisibles.

    ProblĂšme aux racines profondes, le phĂ©nomĂšne a pris de l’ampleur et de la visibilitĂ© pendant la pandĂ©mie du covid. La jeunesse française d’origine asiatique s’élĂšve contre une identitĂ© Ă©triquĂ©e, fabriquĂ©e, alimentĂ©e par des prĂ©jugĂ©s racistes.

    đŸš¶â€â™€ïžSo, Ă©tudiante sud-corĂ©enne, nous raconte son vĂ©cu de femme asiatique en France, au croisement du sexisme et du racisme.

    Pour nous aider Ă  comprendre ce phĂ©nomĂšne, Liem KhĂȘ Luguern et Amel M’Harzi, socio-historiennes, reviennent sur les notions de stĂ©rĂ©otypes et de racisme ainsi qu’une partie de l’histoire de l’immigration sud asiatique.


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  • 📓 Une personne porteuse du trouble dĂ©velopemmental de la coordination. (mieux connu sous l'appellation parapluie de trouble dys) en Ă©tudes de mĂ©decine ? Certains prĂ©diront un Ă©chec. Pourtant, avec des amĂ©nagements, de la considĂ©ration et des encouragements, rien n’est impossible pour les personnes multidys ou prĂ©sentant un trouble dĂ©dicit de l'attention avec ou sans hyperactivitĂ© (TDAH).

    🔎 Du diagnostic Ă  la rĂ©ussite scolaire, le parcours de ces individus peut vite ĂȘtre semĂ© d’embĂ»ches. Discriminations, harcĂšlement scolaire, dĂ©couragement, piĂštre estime de soi
 La mĂ©connaissance du sujet et les associations nĂ©gatives qui y sont faites (fainĂ©antise, dĂ©sintĂ©rĂȘt) fragilisent les enfants qui en sont porteurs, entravent le diagnostic des troubles et ralentit la prise en charge et les adaptations nĂ©cessaires tout au long de la scolaritĂ© et de l'universitĂ©, aprĂšs reconnaissance du handicap par la MDPH (Maison DĂ©partementale pour les Personnes HandicapĂ©es).

    đŸ‘©â€âš•ïž Marie est Ă©tudiante en 3e annĂ©e de mĂ©decine et elle est ici pour nous raconter son parcours de combattante et sa rĂ©ussite scolaire. Personne multydis et prĂ©sentant un TDAH, elle a transformĂ© sa diffĂ©rence en force lĂ  oĂč beaucoup y voyaient une dĂ©ficience.

    đŸ‘©â€đŸ« Nicole Bouin, professeure Ă  la retraite, diplĂŽmĂ©e en psychologie cognitive et formatrice au sein de l’association atoutdys, nous Ă©claire sur le spectre des troubles dys et les difficultĂ©s que ces individus rencontrent au cours de leur scolaritĂ© mais aussi leurs forces, mĂ©connues et sous estimĂ©es


    Ressources et liens sur notre site : https://egalite-diversite.univ-lyon1.fr/2023/04/04/amphi25s3ep1/


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  • Amphi 25 saison 3 : viens, on t'emmĂšne !

    Je suis Jane, je travaille pour la mission Ă©galitĂ©-diversitĂ© de Lyon 1 et tous les jours, dans le tram j’observe les gens, leurs questionnements et leurs inquiĂ©tudes :
    j’aurais dĂ» mettre le mauve, le rouge ça se voit trop
    J’espùre que le prof va pas faire de remarque sur mon foulard
    C’est ouvert l’épicerie solidaire aujourd’hui ?
    Demain je vais tĂ©moigner, c’est promis
    Oh non y a encore qu’un seul plat vĂ©gĂ© Ă  la cantine
    je vais arriver en retard c’est sĂ»r
    je vais encore devoir tout leur expliquer
    C’est rien je vais survivre de toute façon je pas le temps de m’en occuper faut que je bosse
    Je mettrai bien du rouge à lùvres et une robe aujourd’hui
    Mais qu’est ce que je peux y faire !
    Ce n’est pas normal que je ressente de la honte, ce n’est pas moi le problùme
    Comment je vais faire pour boucler ma fin de mois ?

    On est face aux autres, dans un espace clos, oĂč l’on se touche presque sans se voir. On est lié·es par nos insĂ©curitĂ©s. MalgrĂ© ces vĂ©cus en commun, le jugement des autres nous pĂšse et perdure


    Prochaine station : Amphi 25
    L’amphi 25, c’est un espace d’écoute bienveillant et sĂ©curisant, quand j’arrive, je sens que je peux ĂȘtre moi-mĂȘme, que chacun·e peut s’exprimer librement. Dans ce lieu utopique, on a l’occasion de se rencontrer, de se dĂ©couvrir, comme nulle part ailleurs. On parle diversitĂ©, Ă©galitĂ© et discriminations.


    Entre deux cours, on se rencontre, on se raconte nos vies, nos différences, ce qui nous lie, les épreuves surmontées et les leçons retenues. Pour cette saison 3, des chercheuses, des chercheurs et des personnes qui travaillent sur le terrain viendront nous parler des inégalités qui nous façonnent et parfois nous dépassent le tout entrecroisé de témoignages et de vécus.

    Je vous invite vous aussi dans l’Amphi 25, tous les 15 jours Ă  partir du 4 Avril sur vos plateformes de podcast prĂ©fĂ©rĂ©es.


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  • đŸ–Œ Le cargo coincĂ© dans le canal de suez, le grumpy cat, Keanu Reeves, the math lady, le petit ami distrait, le doge
.

    Est-ce que ces images vous semblent familiĂšres ? Vous en avez sĂ»rement dĂ©jĂ  croisĂ© au dĂ©tour de quelques clics sur internet. Ce sont des mĂšmes. Ces lĂ©gendes d’internet sont drĂŽles, sarcastiques, inspirĂ©es. Et si elles Ă©taient plus que ça ?

    đŸ§‘đŸ»â€đŸ”ŹDans cet Ă©pisode bonus, TaĂŻmĂ© – qui a rĂ©alisĂ© la saison 2 d'Amphi 25 dans le cadre de son alternance de Master Ă  la Mission ÉgalitĂ©-DiversitĂ© de l'UniversitĂ© – raconte sa recherche produite pour son mĂ©moire. Elle nous parle des MĂšmes, qu'elle a Ă©tudiĂ©s, et de leur utilitĂ© informative et pĂ©dagogique sur des sujets de sociĂ©tĂ©, en l’occurrence les mĂšmes fĂ©ministes, queer et LGBTQIA+ qu'elle caractĂ©rise comme outil mĂ©diatique de militantisme.

    đŸ€ł đŸ’Ș“Je fais pas de sport, je fais des mĂšmes.”. Sur son compte @lobbygouine, ClĂšm, une "mĂšmeuse", crĂ©e des mĂšmes fĂ©ministes et LGBTQIA+. Elle nous explique son processus crĂ©atif, Ă©ditorial, et ce que son travail lui a apportĂ©.

    âŁïž Bonne Ă©coute, merci pour votre fidĂ©litĂ© tout au long de cette saison 2 !

    📚 Lien du mĂ©moire ici : "http://egalite-diversite.univ-lyon1.fr/files/2022/09/PACALON_MEME_MEMOIRE.pdf"


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  • Buter sur un mot, avoir les mains moites, se rĂ©pĂ©ter, reprendre sa phrase, une, deux, trois fois, c’est un sentiment que toutes personnes a connu lors d’un passage Ă  l’oral. Mais pour les personnes bĂšgues, c’est un quotidien qui gĂ©nĂšre fatigue psychique, sentiment d’ĂȘtre incompris, honte


    Cilia est Ă©tudiante en master didactique des sciences Ă  Lyon 1, et fervente militante pour l’inclusion des personnes bĂšgues. Elle nous parle de son parcours, de ses difficultĂ©s et de ses aspirations.

    Juliette DeChassey, orthoponiste et spécialiste des troubles de la fluence nous explique le bégaiement à la lumiÚre des derniÚres recherches scientifiques.

    Vincent ValdeliĂšvre est dĂ©lĂ©guĂ© rĂ©gional de l’association Parole BĂ©gaiement. En tant que personne bĂšgue, il nous parle de l’importance des espaces de paroles quand on bĂ©gaie, avec l’exemple de concours d’éloquence de l’association.


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  • BisexualitĂ©, pansexualitĂ©, polysexualité 

    Beaucoup de termes Ă©mergents et encore peu expliquĂ©s suscitant l’interrogation, voire le rejet . Ce qui rapproche ces dĂ©finitions est le fait de ne pas ĂȘtre une monosexualitĂ©, contrairement Ă  l’homosexualitĂ© ou l’hĂ©tĂ©rosexualitĂ©. Ces orientations sexuelles spĂ©cifiques produisent Ă©galement des discriminations spĂ©cifiques.

    Laurianne, partage son expĂ©rience de l’exploration de sa sexualitĂ© Ă  travers les jeux vidĂ©o.

    Catherine Deschamps, anthropologue, autrice du Miroir bisexuel, nous explique les origines de la bi/panphobie. En cause ? Notre mode de pensée binaire. Elle lie directement ces discriminations aux dynamiques de genre.

    Richard de SOS Homophobie, fait partie de la cellule biphobie et panphobie de l’association. ll nous parle de ses actions d’interventions en milieu scolaire et des impacts de la stigmatisation de la bi/pansexualitĂ©.

    Bonne Ă©coute !


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  • Amphi 25 Saison 2 Ă©pisode 7: Moustache et nail art : le genre et son expression

    Vous ĂȘtes vous dĂ©jĂ  posĂ© la question de ce qui montre votre genre ? Cheveux, vĂȘtements, langage corporel, voix
 Dans cet Ă©pisode, on vous propose une introspection dans ce langage particulier qu’est l’expression de genre.

    Léo, étudiant·e en sport à Lyon 1, aborde son rapport au genre et à son expression à travers son expérience du sport.

    StĂ©phanie Kunert, chercheuse en science de l’information et de la communication, nous explique le concept de genre, et nous parle normes de genre et langage grĂące Ă  la sĂ©miologie, la science qui Ă©tudie les signes.

    Enfin, le Conteur sans histoire renverse les normes de genre et nous parle des différentes figures du drag.

    Glossaire (définitions du petit robert):

    Personne cisgenre

    Concerne une personne dont l'identité de genre correspond au sexe biologique qui lui a été assigné à la naissance

    Personne non binaire

    Personnes dont l'identité de genre se situe en dehors du modÚle de genre binaire homme ou femme.

    Personne transgenre

    Personne dont le genre ne correspond pas au sexe biologique qui lui a été assigné à la naissance

    Queer

    Personne dont l'orientation sexuelle ou l'identité de genre ne correspond pas aux modÚles dominants.


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  • ⚠ Trigger Warning : cet Ă©pisode mentionne les questions de suicide et santĂ© mentale

    Une pĂ©riode stressante, le mĂ©moire Ă  rendre et la peur de l’avenir qui s’additionnent


    Dans cet Ă©pisode, on parle de santĂ© mentale. Nous verrons comment la question de genre a un lien avec la psychophobie. En effet, les reprĂ©sentations masculines ne permettent pas l’expression des Ă©motions par peur du jugement : la supposĂ©e faiblesse remettrait en cause la masculinitĂ©.

    La conséquence ? Les hommes ont moins souvent recours aux professionnel·les de la santé mentale.

    Cet épisode participe également à déconstruire les stéréotypes associés aux personnes souffrant de problÚmes de santé mentale.

    Roland, notre tĂ©moin, fait le rĂ©cit de son expĂ©rience d’un Ă©pisode dĂ©pressif qu’il a traversĂ© et partage tout ce qui lui a permis de se reconstruire.

    Yannick Gansel, psychiatre et anthropologue, spécialiste de la vulnérabilité chez les adolescents et adolescentes, nous explique les rapports entre genre et santé mentale et comment la précarité ou la discrimination aggravent ces problÚmes.

    Anne-Laure Krikorian, psychologue au SSU, Service de Santé Universitaire, nous fait part de ses observations issues du contact direct avec les étudiant.es. Avec elle, nous (re)découvrons les ressources disponibles au SSU, trÚs impliqué dans la prévention et le suivi en santé mentale chez les étudiant·es

    Bonne Ă©coute !


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  • Cette version de l'Ă©pisode 5 est allĂ©gĂ©e, c'est Ă  dire qu'elle est sans musiques et bruitages. Elle offre ainsi une Ă©coute plus sereine aux personnes avec une hypersensibilitĂ© auditive.

    Sheldon Cooper de The Big Bang Theory. Sam Gardner de Atypical. Forest Gump, du film Ă©ponyme. Ces reprĂ©sentations mĂ©diatiques construisent l’image que nous avons des personnes ayant un trouble du spectre de l’autisme. Cependant, nous verrons que ces reprĂ©sentations vĂ©hiculent des stĂ©rĂ©otypes persistants qui conduisent Ă  de la dĂ©sinformation.

    Manque de reprĂ©sentation. StĂ©rĂ©otypes. Discriminations Ă  l’intersection avec d’autres : le trouble du spectre autistique regroupe plusieurs problĂ©matiques dont nous allons traiter dans cet Ă©pisode.

    Juliette, Ă©tudiante en licence 3 de physiologie Ă  Lyon 1, aborde avec humour ce qu’il faut dire ou ne pas dire Ă  une personne autiste, et nous parle de son rapport trĂšs personnel au TSA (trouble du spectre de l’autisme).

    Guilhem Bonazzi, mĂ©decin psychiatre, spĂ©cialiste des troubles du neuro-dĂ©veloppement dĂ©construit les stĂ©rĂ©otypes de “l’autiste savant ou violent” en dĂ©mystifiant le TSA.

    Enfin, Romain Tabone du ZEST, Zone d’expression contre la stigmatisation, nous parle des dispositifs de l’association et insiste sur l’importance de la rencontre pour dĂ©stigmatiser le TSA.


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  • Sheldon Cooper de The Big Bang Theory. Sam Gardner de Atypical. Forest Gump, du film Ă©ponyme. Ces reprĂ©sentations mĂ©diatiques construisent l’image que nous avons des personnes ayant un trouble du spectre de l’autisme. Cependant, nous verrons que ces reprĂ©sentations vĂ©hiculent des stĂ©rĂ©otypes persistants qui conduisent Ă  de la dĂ©sinformation.

    Manque de reprĂ©sentation. StĂ©rĂ©otypes. Discriminations Ă  l’intersection avec d’autres : le trouble du spectre autistique regroupe plusieurs problĂ©matiques dont nous allons traiter dans cet Ă©pisode.

    Juliette, Ă©tudiante en licence 3 de physiologie Ă  Lyon 1, aborde avec humour ce qu’il faut dire ou ne pas dire Ă  une personne autiste, et nous parle de son rapport trĂšs personnel au TSA (trouble du spectre de l’autisme).

    Guilhem Bonazzi, mĂ©decin psychiatre, spĂ©cialiste des troubles du neuro-dĂ©veloppement dĂ©construit les stĂ©rĂ©otypes de “l’autiste savant ou violent” en dĂ©mystifiant le TSA.

    Enfin, Romain Tabone du ZEST, Zone d’expression contre la stigmatisation, nous parle des dispositifs de l’association et insiste sur l’importance de la rencontre pour dĂ©stigmatiser le TSA.


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  • AprĂšs avoir fait l’état des lieux des Ă©tudes de santĂ© et des stĂ©rĂ©otypes qu’elles peuvent vĂ©hiculer, on s’intĂ©resse Ă  la pratique de la mĂ©decine elle-mĂȘme. À travers l’exemple des violences gynĂ©cologiques et obstĂ©tricales et en partant de l’angle des professionnel·les de santĂ©, il s’agit de comprendre la violence mĂ©dicale.

    Laura nous parle de son expĂ©rience des maltraitances gynĂ©cologiques et obstĂ©tricales en tant qu’étudiante sage-femme, et sa difficultĂ©, en tant que soignante, Ă  en ĂȘtre tĂ©moin.

    Les rapports de domination passent, entre autres, par le toucher. AnaĂŻs Choulet, doctorante en philosophie s’intĂ©resse aux enjeux de pouvoirs dans la relation de soin Ă  travers ce prisme.

    Enfin, Edouard Leaune, médecin psychiatre à l'HÎpital du Vinatier, nous parlera de "responsabilité sociale", cours qu'il dispense à la faculté de médecine. Il apportera des pistes et des solutions concrÚtes pour en finir avec les violences médicales.


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  • L’OMS, organisation mondiale de la santĂ©, place l’accĂšs aux soins et Ă  la santĂ© comme un des droits fondamentaux de l’Homme. Or, l’enseignement de la mĂ©decine reste encore trĂšs excluant pour les femmes et les minoritĂ©s. Dans cet Ă©pisode, on va chercher Ă  comprendre pourquoi Ă  travers un regard historique.

    Nous questionnerons la notion de savoirs médicaux ou comme le dit Muriel Salle : "l'envers de la broderie". Qui produit ces savoirs ? Comment sont-ils construits ? Qu'entend on
    par "savoirs situés" ?

    Pour en discuter on rencontre Honorin qui nous parle de sa vision des cours en santĂ© et de la maniĂšre dont ils pourraient ĂȘtre beaucoup plus inclusifs.

    Ensuite, on échange avec Muriel Salle, historienne, maßtresse de conférences à l'Université Claude Bernard Lyon 1 et à l'IEP de Lyon. Elle nous explique, entre autres, la notion de savoirs situés afin de pouvoir questionner les savoirs médicaux et permettre une meilleure écoute de tous et toutes les patientes.

    Enfin on retrouve l'association Ă©tudiante Clit (Collectif Libre et Inclusif pour Tous·tes) qui Ɠuvre au quotidien pour ouvrir les regards Ă©tudiants et les Ă©tudes de mĂ©decine aux questions d'inclusivitĂ©.


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