Episoder

  • Adrien Gloaguen est hôtelier, président fondateur du groupe Touriste et de Campings Liberté.

    Avec actuellement 7 hôtels à Paris, 1 camping à Landrellec en Bretagne et 1 autre à Lacanau en Gironde, le but est, je cite : « d’accueillir des voyageurs, des touristes, dans le meilleur cadre qui soit, pour leur offrir la meilleure expérience possible, au prix le plus juste ».

    Adrien a commencé très jeune, dans un secteur extrêmement concurrentiel et trusté par les grands groupes hôteliers.

    C’est en prenant le contre-pied de ce marché qu’il a innové en proposant une offre un peu décalée, surtout dans un excellent rapport qualité/prix, et en faisant appel, dès le début, à des décorateurs.

    Et depuis, il a gagné le respect de toute la profession.

    Ensemble, nous avons notamment parlé :
    - de l’identité, des valeurs et de l’indépendance du groupe qu’il a fondé ;
    - de l’équipe qui oeuvre à ses côtés, et qui continue de se développer ;
    - et des indicateurs du secteur de l’hospitalité.

    Adrien Gloaguen est un entrepreneur audacieux, curieux et respectueux — et clairement un touriste cool, et fier de l’être !


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  • I’ve started this podcast almost a year and a half ago and I very much enjoy it.

    I initially wanted to offer a good balance of French and English content — however, being in France, I have to say that we mostly have a french-speaking audience so I opted for satisfying the greatest number ;)

    But I love speaking English and I’m all for being more and more inclusive.
    So, here’s to my english-speaking audience all over the world!

    And to the French who enjoy the podcast so much and wish to practice their English, that they’re up for listening to this solo summer episode :)

    When I launched the podcast in March 2023, the first episode was a way of introducing myself and giving a little background.

    This is what this solo episode is about, with an extra flavour. Enjoy!


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  • Manglende episoder?

    Klik her for at forny feed.

  • Comme elle le dit dans son livre La Réconciliation (paru aux éditions Marabout en 2019), « on n’est pas le métier qu’on fait ».

    Et ça tombe bien, car malgré nos tentatives, on ne sait pas vraiment définir son métier. Car elle en a plusieurs.

    Journaliste, autrice, professeur de yoga et méditation, organisatrice d’événements,… Lili Barbery-Coulon est en quelque sorte un canal de transmission.

    Elle transmet sa vision, ses valeurs ; elle ouvre la voie, elle suscite l’introspection ; elle partage le bon et le beau.

    Sachant qu'elle a déjà parlé de son parcours et écrit sur le sujet, nous avons commencé par aborder la pleine présence, afin de laisser encore plus de place à la spontanéité au cours de notre entretien.
    Cela étant, nous avons longuement discuté Lili et moi, et nous avons eu l’opportunité de parler en détail de ses activités, de son modèle économique ; mais aussi :

    De concentration à l’ère du digital ;

    D’émotions ;

    D’influence ;

    De marque personnelle et comment l’incarner ;

    Et de son envie de replacer le doute au centre de sa pensée.


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  • Si vous commencez par cet épisode, je vous invite à écouter la première partie dans laquelle nous avons parlé du parcours de Cécilia Mergui avant qu’elle ne décide de racheter et faire renaître la marque Bienaimé, fondée par Robert Bienaimé, parfumeur.

    J'ai été tellement captivée par son histoire et l'histoire de la marque, que nous nous sommes laissées entraîner sans voir le temps passer.
    Nous avons donc enregistré à deux reprises, d'où cette diffusion en deux parties.

    Si vous avez déjà écouté le précédent épisode, bienvenue dans la suite de cette merveilleuse histoire!

    Cécilia nous parle de sa position d’entrepreneur, de son équipe et ses partenaires, de ses choix stratégiques, de ses décisions plus empiriques, des contraintes qu’elle s’impose… et du sens profond de son projet.


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  • Cécilia Mergui a fait renaître la marque de parfums et cosmétiques, Bienaimé.

    Fondée par Robert Bienaimé en 1935, cette marque éponyme a une histoire très forte qu’il était indispensable pour Cécilia de conserver, tout en développant de nouveaux produits.

    Et dans la seconde vie de Bienaimé, je trouve que l’on ressent vraiment ce lien au passé sans être passéiste, une vraie harmonie entre histoire et innovation.

    Nous avons longuement échangé, à tel point que nous n’avons pas eu le temps de finir lors du premier enregistrement et j’ai donc opté pour un épisode en 2 parties, dont la chronologie s’est tout naturellement installée.

    Dans cette première partie, nous commençons par revenir en détail sur le parcours de Cécilia — ses études et ses diverses expériences professionnelles, jusqu’à son aventure extraordinaire avec Bienaimé.

    Puis nous avons abordé le rachat de la marque, les levées de fonds, les challenges de fabrication et de production, la composition des produits, la direction olfactive, la direction artistique, la communication…

    Bref, tous les aspects du lancement de cette marque.

    Et rendez-vous dans la seconde partie pour en apprendre plus sur l’équipe, la boutique, la commercialisation, et les perspectives de développement.


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  • Rencontre avec Marie Welté, fondatrice de @maisonlabiche 🪡

    Précurseur dans la personnalisation de t-shirts avec broderie, Maison Labiche a, depuis, développé un vestiaire féminin, masculin et pour enfants.

    Marie a toujours aimé faire et créer avec ses mains. C’est d’ailleurs elle qui brodait à la main les premiers t-shirts — comme celui que j’avais acheté au lancement de la marque il y a près de 15 ans.

    Dans cet épisode, auquel Marie souhaitait consacrer le temps nécessaire à l’approfondissent de nombreux sujets, nous avons notamment abordé :

    🧵Son cursus et les différences entre une école française et une université américaine
    🧵Le nom de la marque

    🧵La structure et la croissance de l’entreprise

    🧵Le recrutement et le développement des managers et collaborateurs.trices de MLB

    🧵Les produits : conception, qualité, commercialisation, communication

    🧵La posture de chef d’entreprise


    Musique et réalisation 🎼 @philippe_drevet


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  • Photographe autodidacte, Matthieu Salvaing vit à Paris et travaille dans le monde entier.

    Il nous raconte comment il a commencé, très jeune ; et comment les rencontres ont jalonné sa carrière, jusqu’à ce qu’il se spécialise assez naturellement en architecture, design, voyage et lifestyle.

    Si l’on peut dire que Matthieu Salvaing réalise des portraits des lieux qu’il photographie pour les plus grands architectes, les magazines les plus réputés et pointus, il est également un portraitiste très sensible au décor. Les femmes et les hommes qu’il photographie sont toujours placés dans un cadre qui dit beaucoup des protagonistes.

    A travers ses photos, on ressent qu’il est extrêmement précis et à l’écoute ; il saisit immédiatement l'âme, le lieu et l’intention.

    Dans cette interview, Matthieu Salvaing nous fait notamment voyager en Camargue, sa région d’origine, et au Brésil, son pays d’adoption. Sa voix est remplie de son Sud natal et ses mouvements s’entendent au micro, tellement il est vivant quand il parle!

    J’ai été cueillie par son récit, et charmée par son énergie.

    A la fin de l’interview, j’ai ajouté un mini bonus, une sorte de question subsidiaire posée par Alexandra Senes, une amie de longue date.


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  • Pour cette nouvelle saison, j’avais envie de vous faire un cadeau.

    Je vous présente Gregor Schultze, mon ostéopathe.

    Je connais Gregor depuis plus de 15 ans, et j’avais envie d’aborder avec lui l’écoute de soi, le bien-être, la santé physique et donc mentale.

    J’avais aussi envie de comprendre comment il a développé sa patientèle, en commençant dans le monde de la mode.

    Gregor et moi, nous avons un point commun : nous travaillons notamment la posture — lui au sens propre, moi au sens figuré.

    Au fil de notre discussion, j’ai fait le parallèle entre nos approches respectives ; et aussi entre sa position d’entrepreneur individuel, et celle des créatifs entrepreneurs, qui font face aux mêmes challenges et doivent saisir des opportunités.

    Si j’ai intitulé cet épisode « sortir du cadre », c’est parce que j’ai découvert, grâce à cet entretien, que ce qui a permis à Gregor d’en être là où il en est aujourd’hui, tant professionnellement que personnellement, c’est justement parce qu’il est régulièrement sorti du cadre — pour mieux s’aligner, se recentrer, et s’ancrer.


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  • Dans cet épisode, j’accueille Nina Senoyer.

    Ce qui m’intéressait avec Nina, c’est qu’elle a récemment opéré une reconversion professionnelle et je voulais donc connaître son parcours jusqu'à son nouveau métier : rédactrice web SEO.

    Si vous ne savez pas exactement ce que signifie cet acronyme anglais et en quoi cela consiste, ça tombe bien, car on aborde le sujet en détail dans cet entretien.

    Sa promesse ? « vous aider à prendre la place que vous méritez sur Google »

    Nous avons évidemment parlé d’optimisation de site internet, des moteurs de recherches, des réseaux sociaux, et aussi :

    - de l’importance de la qualité de contenu et de la pertinence des mots que l’on utilise

    - d’intelligence artificielle et en particulier Chat GPT

    - de la tendance actuelle à se former encore et toujours, et l’offre pléthorique de formations proposées sur les réseaux

    - de l’agilité de l’entrepreneur, et de la nécessité de s’organiser et déléguer

    Et enfin, nous avons abordé un sujet qui me tient particulièrement à coeur, et qui est justement au centre de sa reconversion : l’ikigai.


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  • Laurent Cotta est conservateur, en charge du département des arts graphiques du Palais Galliera, Musée de la Mode de la Ville de Paris.

    Lieu emblématique pour tous les connaisseurs, mais loin d’être élitiste puisqu’il appartient à la ville et a donc une mission de service public.

    Mais ce n’est pas au Palais Galliera que j’ai rencontré Laurent Cotta !

    Il m’a accueillie dans un lieu exceptionnel — les réserves et ateliers de restauration et de conservation du musée, quelque part dans Paris.

    Installés dans l’une des réserves, en sous-sol, nous avons parlé des devoirs et fonctions d’un conservateur de musée,

    du statut inaliénable des œuvres,

    de la construction d’une exposition ;

    mais aussi de vanités, de trésors, de paradoxes, d’ego,

    et même de la robe de Marilyn Monroe portée par Kim Kardashian au Met Gala.


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  • This month’s guest is French artist Malika Favre.

    And even though she speaks perfect English, we hesitated and finally decided to do the interview in French.

    Because it’s her mother tongue — and so that her mother, Ouisa, could actually listen to one of her daughter’s podcasts for once !

    So I thought it would be nice to add a bonus in English for non French speakers, with a quick recap of our conversation.

    You might not know Malika Favre’s name — but you have most likely come across her illustration work over the internet, billboards, books and/or magazines.

    Famous for her Pop Art meets Op Art bold style, she has already done a dozen of covers for The New Yorker — the ultimate goal for all illustration artists — ; the poster of the 2017 edition of the Montreux Jazz Festival — the ultimate goal for all jazz fans — ; dozens of covers for Penguin Books, editorial work for Vogue, and even 2 art books published by Counterprint.

    We addressed many subjects including: starting a career as an artist; why and how to choose your agent(s); copycats; building a reputation; building a community; collaborating with cool people and great brands; workload and time-management.

    What’s next?

    Never stop drawing.

    Make more objects.


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  • Dans cet épisode, on voyage jusqu’à Barcelone pour rendre visite à Malika Favre.

    Artiste française qui a lancé sa carrière à Londres et y a vécu pendant plus de 15 ans, Malika a eu envie de se rapprocher du soleil et des couleurs du Sud il y a quelques années.

    Son appartement est à son image : chaleureux, accueillant, graphique et coloré.

    Depuis qu’elle a commencé à dessiner, enfant, Malika n’a jamais arrêté.

    À l’intersection entre le Pop Art et le Op Art (Optical Art, art optique), son style est tellement identifiable que l’on connaît forcément son travail — même si l’on a parfois du mal à mettre son nom sur ses illustrations.

    Elle collabore avec les plus grandes marques, les plus grandes éditions, mais c’est à travers le prisme des rencontres que l’on a abordé cet entretien.

    Car comme elle le dit si bien, on parle souvent des projets que l’on a réalisés, mais on a tendance à oublier de parler des gens avec qui on a travaillé.

    Et si j’ai choisi de déroger à la règle du 15 de chaque mois pour ce nouvel épisode, c’est tout simplement parce que le 14 décembre, c’est son anniversaire. Alors happy birthday Malika, et merci pour ta générosité !


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  • Designer free-lance spécialisée dans la conception de vêtements et accessoires en cuir, Marina Dias est depuis 2020 la directrice artistique de la marque Cordiz.

    Maroquinerie de luxe made in France, Cordiz a été fondée par son père, Flavien Dias, en 1988.

    Après avoir été quelques années en sommeil, la marque renaît sous l’impulsion de Marina qui dessine des modèles en série très limitée, et qui prend part aux discussions stratégiques avec son père, dans le but de proposer un environnement — de travail, et pour la planète — qui soit écologique pour tous.

    Leur souhait est de créer un nouveau paradigme de consommation et de production raisonnée — d’où la baseline de Cordiz, « pour des sacs qui traversent le temps ».

    Marina a quitté Paris il y a 6 ans pour vivre sur la côte landaise et elle nous raconte notamment comment sa nouvelle vie lui permet d’être beaucoup plus à l’écoute de ses besoins fondamentaux.

    Elle fait régulièrement des allers-retours à Paris — car on ne quitte jamais vraiment Paris! — mais si j’ai choisi de l’interviewer chez elle, à Seignosse, c’est parce que c’est ma région de coeur.

    Nous avons abordé de nombreux sujets, comme :

    - travailler dans la mode sans vivre à Paris

    - les avantages et les challenges d’une entreprise familiale

    - sa méthodologie en tant que free-lance qui dessine pour plusieurs marques, ainsi que pour la maison familiale

    - son leadership au sein d’une équipe de free-lances

    - les difficultés pour recruter et fidéliser des artisans, et faire perdurer des savoir-faire précieux

    - la communication et la collaboration avec l’agence @frontrowparis_


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  • @madameoliviadacosta — AKA Olivia du Please — est à l’origine de @pleasemagazine, Please radio, et plus récemment de @pleasenessdotcom, qu’elle a conçu comme une émanation de Please.

    Pleaseness, c’est d’abord un e-shop, ça a été un pop up au Printemps Haussmann, et c’est depuis quelques mois une boutique, située 33 rue d’Hauteville dans le 10e à Paris. 💎💎

    On y trouve une sélection d’accessoires vintage, qu’Olivia passe beaucoup de temps à chiner.

    Et c’est vraiment à son image — ça brille, c’est graphique et coloré, avec la dose de kitsch nécessaire à être finalement hyper pointu.

    Collectionneuse, obsessionnelle, workaholic, perfectionniste et pleine d’énergie, Olivia se laisse porter par ses envies.
    « C’est ça ma force — j’ai envie de faire un truc, bam! Je le fais »

    Olivia a finalement consacré toute sa carrière à mettre les gens et les objets en valeur, et c’est donc un peu à son tour d’être dans la lumière, maintenant qu’elle est au contact direct de la clientèle dans sa boîte à bijoux en 3 dimensions.


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  • Si vous avez écouté l’interview d’Ismérie (fondatrice du salon de coiffure Atelier Ismérie), en ligne depuis le 15 septembre, vous savez que nous avons rencontré quelques imprévus !

    Après avoir terminé l’enregistrement, en continuant notre discussion, Ismérie m’a dit « j’ai pas assez parlé du coaching! Tu veux pas qu’on ressorte les micros ?! »

    Ni une ni deux, j’ai tout réinstallé rapidement, et voici donc un bonus sur un sujet qui me tient évidemment particulièrement à coeur!

    Et si vous n’avez pas encore écouté son interview, allez-y, vous allez adorer Ismérie, sa sincérité, son humour, sa clairvoyance… et j’espère aussi que vous aurez encore plus envie de la rencontrer et vous offrir une coupe de cheveux avec elle ☺️


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  • Avec Ismérie, on a parlé de tout sauf de cheveux.

    Et pourtant les cheveux, c’est sa passion.

    Comme elle aime se définir, elle est « hair lover » — amoureuse de chevelures.

    Dans un entretien empreint de sa sincérité, son humour et son humilité, elle nous raconte notamment comment elle a été rattrapée par son destin, comment elle a commencé dans la coiffure avant de fonder son salon éponyme @atelier_ismerie il y a 10 ans, ses galères d’entrepreneur et ses erreurs de manager.

    Ce qui me fascine chez Ismérie c’est son agilité — sa flexibilité, son aptitude à écouter son entourage et son équipe, se remettre en question et apprendre de ses erreurs, prendre des décisions rapidement et oser.

    Et sa capacité à créer du lien. Ce qui plaît à sa clientèle, qui est devenue sa communauté, c’est évidemment le talent et le sens du service mais c’est aussi un style détendu, naturel, accessible.

    Ismérie s’est entourée de personnes tout aussi merveilleuses, animées des mêmes valeurs :

    💇‍♀️ Ambrine @ambrinegrs

    🔥 Clémence @clemence_flamme

    🎨 Lucas @lucas_coloriste

    ✂️ Marc-Antoine @marc_antoined

    Musique et réalisation 🎼 @philippe_drevet


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  • Le mois d’août en France, c’est sacré.

    Ça rime avec congés payés, coquillages et crustacés, chassé-croisé, bison futé.


    Et c'est surtout une invitation au farniente, à la dolce vita — à l'oisiveté.
    L'oisiveté — dont l'étymologie latine "otium", s'oppose au "negotium" — désigne "l'état de quelqu'un qui vit sans travailler et sans avoir d'occupation permanente" (Larousse).

    Souvent associée à la paresse, elle est pourtant indispensable à la régénération, et donc à la créativité.


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  • Pour ce nouvel épisode du podcast Everything Happens For A Reason, j’ai la joie d’accueillir @jeanpierreblanc1, Directeur de la @villanoailles, centre d’art d’intérêt national.

    Joyau architectural conçu par Robert Mallet-Stevens pour Charles et Marie-Laure de Noailles, couple de mécènes avant-gardistes, cette maison résolument moderne fête son centenaire cette année.

    Son nom initial, le clos Saint Bernard, évoque presque un lieu de culte, de recueillement. Et c’est en quelque sorte devenu un lieu de culte esthétique, et de recueillement pour les artistes en résidence, comme pour les visiteurs.

    Passionnément engagé et animé de valeurs profondes, Jean-Pierre nous parle notamment du système français, du service public, et de leadership.

    En écoutant notre conversation, j’espère que vous pourrez ressentir à la fois l’âme des lieux et des Noailles, et l’énergie radieuse de cet homme au service de la promotion de la jeune création.


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  • Qui sont Les Crafties ?

    Les Crafties c’est un duo de designers et scénographes, composé de @mariemarievergne et @jeannemartintaton 👯‍♀️

    Les Crafties ce sont deux jeunes femmes qui viennent du Sud, respirent le Sud, vivent dans le Sud — après de brèves incartades nordistes pour leurs études et leur premier atelier — et expriment le Sud dans chaque centimètre carré de leur travail, qui s’inspire notamment de la faune et la flore Méditerranéennes et de leurs souvenirs d’enfance.

    Quand on rencontre Les Crafties, on ressent immédiatement la joie, la complicité et la confiance qui les lie.

    Ce qui m’intéressait c’était de comprendre comment elles ont commencé, comment elles travaillent en binôme, les éventuelles difficultés qu’elles rencontrent, et leur rapport à l’autre.

    Elles n’avaient pas prémédité de créer leur studio avant de participer à la première édition de la #DesignParadeToulon organisée par la @villanoailles — et elles en parlent merveilleusement bien : « Les équipes sont extraordinaires, et c’était la première fois qu’on nous donnait les moyens de bénéficier d’une équipe technique — de passer, au-delà du scolaire, à une réalisation dans le réel »

    Elles nous parlent aussi de leurs environnements familiaux respectifs, qui les ont encouragées à vivre de leur art, et de tout ce que leur apporte leur duo.

    Musique et réalisation @philippe_drevet


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  • Que l’on soit designer, journaliste, représentant d’une grande marque, ou tout simplement fan de design, Salone del Mobile est the place to be au mois d’avril.

    C’était ma deuxième édition et j’ai encore plus apprécié que l’année dernière parce que, déjà, je connais un peu mieux la ville qu’on arpente à pied de long en Large et sur des kilomètres,

    Et cette fois-ci, j’avais aussi le podcast à l’esprit, qui m’a permis de me connecter différemment à l’énergie et aux gens.

    Dans ce court bonus, je raconte mes 4 interviews :
    - Alberto Cavalli, directeur exécutif de la Michelangelo Foundation pour la créativité et l’artisanat d’art — basé à Genève

    - Sarah Quan, creative director et co-fondatrice de Villa Nomad — basée à Zürich

    - Riccardo Villa Fabbiati, architecte d’intérieur et designer et fondateur de Monstrum Studio — basé à Milan et Paris

    - Chloé Nègre, architecte d’intérieur et designer, et fondatrice de Studio Chloé Nègre — basée à Paris

    Tous s’accordent à dire que la design week de Milan est évidemment l’occasion de vivre des expériences esthétiques inédites — on a tous adoré l’installation de Dimore centrale — une claque esthétique, entre grandeur et décadence.

    Et Salone del Mobile offre surtout l’oppportunité de découvrir des lieux incroyables, secrets, fermés au public le reste de l’année.

    J’ai demandé à chacun de mes 4 invités de définir cette édition en un mot, et ils ont bien résumé l’esprit et l’énergie : épiphanie, collaboratif, solaire, et printanier.

    Et si je devais synthétiser Salone 2023 en un mot ? Je dirais exaltant !


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