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Pour l'actualité de la semaine, nous revenons sur le drop de WALLKANDA.ART, la plateforme de street art NFT qui propose à la vente les oeuvres de 15 artistes urbains à partir de ce jeudi 30 Juin. Ces street artistes internationaux vont pouvoir vendre leurs créations urbaines au travers de la technologie NFT
Le mot du jour est « lazy minting » qui revient à proposer aux artistes de placer leurs œuvres en NFT sur une plateforme sans avoir à payer les frais de gaz. C’est l’acheteur qui paiera ces frais au moment de l’achat en finalisant et en inscrivant le NFT sur la plateforme
Pour ce dernier épisode de la saison 3 de l'art du NFT, nous recevons l’artiste Abdoulaye, un jeune crypto-artiste de 28 ans dont tout le monde parle.
Il est né à New-York, il a vécu en Cote d’Ivoire et s’est formé au graphisme 3D à Paris.
C’est tout naturellement qu’il s’est tourné vers les NFT en octobre 2020 soit bien avant les autres. Il s’est mis dans les pas des plus grands et notamment BEEPLE qui lui a inspiré l’envie de bâtir des collections d’œuvres sur plusieurs plateformes NFT.
Il ne cache pas que sa maîtrise de l’anglais et son éducation multi-culturelle l’a aidé à comprendre très vite les codes du graphisme 3D et à bâtir une carrière dans les NFT. Son style artistique est à mi-chemin entre l’art procédural et la recherche du « beau ». Abdoulaye est en quête d’esthétique et de perfection visuelle.
Il établit un pont graphique et spirituel entre plusieurs cultures, plusieurs blockchains et plusieurs façons d’exprimer un monde intérieur qui vous dévore.
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L’actualité revient sur la décision de l’artiste Justin Aversano, célèbre artiste NFT, d’ouvrir une galerie de plus 3 000 m2 en Californie pour exposer ses propres photographies et celles d'autres artistes.
Le mot crypto du jour est «doxer» qui consiste à révéler son identité sur les réseaux et ainsi ne plus se cacher derrière un pseudo comme c'est la coutume dans le web3.
Aujourd’hui nous recevons Camille Roux, un artiste d’art génératif qui excelle dans le monde NFT. Camille est ingénieur en informatique et entrepreneur. On peut dire qu’il est tombé dans l’art génératif ou plutôt aspiré par cette nouvelle forme de création qui a explosé avec les NFT.
Ingénieur de formation, Camille a toujours codé. C'est un peu par hasard qu'il commence à utiliser cet outil pour créer d'abord de la musique, puis ensuite des images, qui trouvent toujours leur source dans des recherches formelles. Pour Camille Roux, art et mathématiques sont intimement liés, et il développe son esthétique passe par la pureté géométrique.
La découverte de Fxhash, plateforme d'art génératif sur la blockchain Tezos, est un vrai bouleversement, qui lui permet d'explorer de nouvelles pistes de creative coding et de se faire connaître sur la scène crypto artistique. Il minte également sur 256art, 8bidou, tout en restant l'affût de toutes les nouvelles plateformes comme typed.art, et en ayant été sélectionné par le collectif New French Touch pour minter sur SuperRare, platefome d'œuvres d'art s'il en est.
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Manglende episoder?
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L’actualité de la semaine évoque un nouveau type de galerie sur le Web3. Le projet s’appelle GODA (Gallery of Digital Assets), il regroupe des grands noms de l’art contemporain et propose des « mint pass » , un sésame en NFT, qui permettra à l’avenir d’acheter en priorité des NFT d’artistes de l’art traditionnel.
Le mot du jour est : «rug pull » qui qualifie une arnaque qui consiste à vendre un maximum de NFT pour finalement abandonner le projet « partir avec la caisse ».
Aujourd’hui nous recevons Orabel, de son vrai nom Mariama, Elle se qualifie d’artiste mais aussi d’illustratrice et de designeuse graphique. Elle découvre sa passion pour le dessin avec les mangas et garde un attachement particulier pour les couleurs vives qui illustre parfaitement son style graphique et très identifiable.
ORABEL a suivi une formation en design graphique et découvre ainsi la création sur les outils informatiques. Elle conçoit depuis lors toutes ses créations sur tablette graphique et cela l’amène tout naturellement vers le crypto art.
Les NFT font irruption dans sa vie en 2020 et lui permettront de connaître un succès immédiat, à la fois commercial et artistique. Elle peut alors envisager de vivre de sa passion et aborder les grandes plateformes de NFT comme MakersPlace, Foundation et Known Origins.
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L’actualité de la semaine : Jben est un artiste qui dessine sur le sable lors des marées basses puis photographie ses œuvres éphémères pour les vendre en NFT.
Le mot du jour est « whitelist » qui est une liste sur laquelle on peut s'inscrire pour avoir la chance de minter le NFT d’une collection en avant-première. On parle aussi de "allow list", "GMI list pour "Gonna Make It" ou "mint pass".
Cette semaine, nous recevons l’artiste Cécile, aka Lapin Mignon, une vraie crypto-artiste qui vit en Angleterre.
Sa première vie s'est déroulée derrière un bureau pour l’industrie automobile, pendant 16 ans. L’art a toujours été sa préoccupation profonde mais difficile d’assumer une carrière d’artiste dans la vraie vie. Heureusement la découverte des NFT a définitivement convaincu (et permis à) Cécile de devenir une artiste à plein temps !
Le déclic a eu lieu en 2019 lorsque ses amis l’ont entraînée sur Editional, une plateforme NFT qui permettait aux créateurs et créatrices d’exposer leur travail, mais sans le vendre à l'époque : personne n’avait encore eu l’idée saugrenue d’acheter de l’art numérique !
En juillet 2020 elle reprend le train des NFT mais cette fois sur la plateforme Rarible qui lui permet (enfin) de vendre son premier NFT. C'est le début d’une grande aventure qui l’entraine sur la voie du succès, de rencontres avec la communauté mondiale des crypto-artistes et des collectionneurs et collectionneuses fanatiques qui accumulent des œuvres numériques à la vitesse de la validation d’un block sur Ethereum.
Lapin Mignon travaille à partir de l'aquarelle puis numérise ses œuvres papier et les retravaille grâce à de multiples outils numériques. Elle réalise des expérimentations et des collaborations, par exemple pour sa collection de PFP "Mignons" générée par algorithme.
Son dernier projet, le Mignonverse, est inspiré par l’univers de Saint-Exupéry, peuplé de « mignons » qui vivent et interagissent dans un monde poétique et délicat.. comme un lapin mignon.
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L’actualité c’est le drop de NFT de reproductions numériques d'œuvres du grand artiste expressionniste Egon Schiele par le Léopold Museum de Vienne. L’argent levé permettra au musée d’acquérir une œuvre de jeunesse de l’artiste que l’on vient de découvrir, presque 100 ans après sa création !
Le mot crypto du jour est le mot « burn ». Un NFT peut être brûlé et ainsi être désactivé sur la blockchain. Rien ne peut disparaître de la blockchain par définition mais un token peut être placé dans une zone morte qui interdit quiconque de pouvoir interagir à nouveau avec lui.
Nous recevons aujourd’hui Romain Verlomme-Fried, conseiller pour la start-up Art Can Die qui aide les artistes à financer la production et la vente de leurs œuvres.
Romain est commissaire-priseur, il vit à Marseille et a déjà lancé plusieurs projets NFT donc la société TokenToMe, dans l’optique de rapprocher les passionné•es d’art des créateurs et créatrices.
Romain a l’habitude dans son métier de se trouver confronté aux problèmes d’authentification des œuvres qu’il vend aux enchères. Ainsi la blockchain et les NFT l’ont immédiatement interpellé et il s’est plongé complètement dans cet univers.
Art Can Die procède d’une démarche vraiment originale. C’est une société de promotion et de production d’art hybride. C’est à dire que les créateurs et créatrices de tous domaines peuvent soumettre leur travail afin d’être accompagné·es et financé·es pour atteindre des collectionneurs et collectionneuses.
Art Can Die va bientôt mettre en place une DAO, c’est-à-dire un système de gouvernance ouvert aux détenteurs et détentrices du $DIE, le token de la société, qui leur permettra de voter et choisir parmi les différents projets artistiques. Le projet porte une dimension financière pour l’art bien sûr mais aussi associative et communautaire pour soutenir encore mieux les artistes.
Une grande exposition inaugurale aura lieu à Bangkok en septembre 2022 et présentera des artistes et artisans de tous les horizons : peinture, écriture, verrerie...
Art Can Die propose aussi un studio de création et de production 3D afin d’accompagner les artistes traditionnel•les dans la numérisation de leur travail pour aborder le continent immense et très prometteur de l’art en NFT.
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L’actualité de la semaine revient sur les NFT de la Fondation Vasarely à Aix en Provence qui vont permettre à cette belle institution de restaurer les fresques murales du maître qui se dégradent avec le temps. D’autres NFT vont aussi proposer à leurs détenteurs des visites privées du musée et un dîner exceptionnel.
Le mot crypto du jour est le concept de « NFT on-chain », qui représente le codage sur la blockchain d’une œuvre digitale sans le recours à une image et seulement avec l’aide de lignes de codes. Le NFT est ainsi totalement décentralisé et possède un caractère éternel.
Aujourd’hui nous recevons Julien Gachadoat, artiste dans le domaine du dessin génératif. Précisons qu’il s’agit d’une imprimante d’un nouveau genre, avec un bras articulé qui tient un crayon et qui dessine un motif codé par l’artiste.
Julien se présente comme un artiste qui produit des images programmées avec du code qu’il développe lui-même.
Avec une mère galeriste d’art à Bordeaux et un père fondu d’informatique, forcément Julien choisit de ne vexer aucun de ses parents en choisissant un mix de compétences : il sera donc artiste-codeur. Julien aime la logique et les mathématiques, et aussi les jeux vidéos ce qui le rapproche de l’art graphique et visuel. Il expose ses dessins génératifs en 2020 puis se penche vers les NFT en 2021 et découvre alors un monde fascinant qui lui permet de coder directement sur la blockchain ses idées nouvelles d’art généré par du code informatique.
Il est accepté par la célèbre collection « Art Blocks » qui propose à des artistes NFT du monde entier de générer des œuvres abstraites et géométriques à travers un algorithme "artistique" qui révèle des images aléatoires. Une grande aventure pour l’artiste et surtout pour le collectionneur qui achète une œuvre non encore-créée !
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L’actualité c’est l’ouverture par SuperRare d’une galerie d’art physique à New York, et c’est une grande première pour une plateforme pure NFT et pure digitale. SuperRare devient super réel.
Le mot crypto de la semaine est le mot « wallet », portefeuille numérique en français, outil indispensable pour gérer sa crypto et ses NFT.
Nous recevons l’artiste Jaen (prononcez Jean comme le prénom) l'un des OG du crypto art français.
Jaen a toujours su au fond de lui qu'il était artiste, crayonnant sans relâche ppur traverser enfance et adolescence. On est toujours en mode survie quand on est un artiste !
Pourtant Jaen commence par échouer à entrer en école d'art et se dirige finalement vers les langues étrangères, qui l'amène à passer plusieurs années au Japon, où il découvre et analyse l’art contemporain japonais et notamment celui de Takashi Murakami.
L'art finit par le rattraper et d’abord photographe puis street artiste, Jaen se découvre artiste numérique au moment même où les NFT font irruption. Fin 2020 il postule chez SuperRare, est accepté illico et est propulsé crypto-artiste à succès ! En quelques mois il gagne sa vie grâce à ses œuvres et se sent enfin libre et encouragé par toute une communauté. Le crypto-art est une véritable renaissance et doit aussi servir l’intérêt général, comme par exemple replanter des arbres, le nouveau projet NFT de Jaen ! A suivre…
En nous racontant sa façon de rêver éveiller et de tenter de maîtriser ses rêves nocturnes, Jaen nous guide sur la voie de son art numérique, fantasmagorique et empreint de surréalisme.
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L’actualité de la semaine c’est le drop de l’artiste Alicja Kwade qui est une artiste d’art contemporain traditionnel et qui propose son autoportrait en NFT. Alicja propose à la vente sa carte génétique imprimée sur plus de 259 025 A4 feuilles A4 et divisée en 10 361 NFT.
Le mot du jour est « Degen » qui vient de « degenerate » en anglais. Ce mot répandue dans la communauté NFT qualifie celles et ceux qui font des paris risqués, et notamment investissent aveuglément dans les NFT ! Nous vous conseillons sur le sujet la passionnante newsletterde Matthieu Quiniou.
Nous recevons aujourd’hui Yanis Georges aka EthikDesign, 36 ans, qui a connu un succès fantastique dans le monde NFT en moins d’un an.
Yanis a commencé par le graffiti qui est « toute sa vie » comme il le dit lui-même. Avec son crew (son équipée créative) il parcourt les scènes hip hop pour peindre des fresques sur commande et en profite pour apprendre la danse et les codes artistiques de cette culture globale.
De son propre aveu, il aurait pu se consacrer à cette activité qu’il adorait mais les habitudes sociales l’ont porté vers la poursuite de ses études qui, par bonheur pour nous, l’ont amené à étudier l’infographie, aussi appelée à l’époque communication graphique.
Yanis découvre les possibilités infinies d’un ordinateur et des logiciels de création. Il entre de plain pied et à pleine mains, dans le monde de la 3D. Il se passionne alors pour le monde de l’art, découvre les grands musées et se dévoue entièrement à son art numérique. Yanis a une vision, et les outils numériques rendent possible l’accomplissement des œuvres qu’il a toujours rêvé de faire.
L’art numérique a développé son potentiel créatif et lui permet de se lier d’amitié avec les autres artistes numériques qui se comptent sur les doigts de la main à l’époque, dont un certain Beeple. Nous sommes en 2014 et Yanis est loin de se douter qu’en 2021 il rencontrera les NFT qui vont bouleverser sa vie.
Il est accepté en mars 2021 par la célèbre et très select plateforme SuperRare pour minter ses premiers NFT. La collection s’intitule Mondrian 3.0 en référence au grand peintre conceptuel et au web 3.0 bien sûr. Le succès est immédiat, il est repéré par le collectif Creative Work Studio qui compte dans ses rangs des stars comme Refik Anadol ou Kevin Abosh.
Avec tout ça on se dit que la carrière de Yanis ne fait que commencer, avec son CryptoPunk dans son wallet et sa communauté en pleine croissance, l’avenir lui appartient…avec un certificat NFT bien sûr.
Twitter : @ethikdesign
Liktree : linktr.ee/ethikdesign
Creative Work Studio : creativeworkstudios.com
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L’actualité revient sur le grand artiste Takashi Murakami qui va exposer prochainement à la galerie Gagosian de New York une série d’œuvres physiques, peinture et sculpture, directement inspirées de ses créations numériques vendues en NFT. Une grande première pour un artiste contemporain qui fait dialoguer ici ses deux univers, physique et numérique.
Le mot crypto de la semaine est « diamond hands » qui définit les investisseurs ou collectionneurs qui gardent précieusement leurs actifs numériques (crypto et NFT) au lieu de les revendre au moindre soubresaut.
Nous recevons l’artiste numérique Louis-Paul Caron qui s’est fait connaître avec ses œuvres en 3D qui revisitent la peinture néo-classique. Avec une famille d’amateurs d’arts et de musées, Louis-Paul s’est immergé dans la culture classique. C’est pourtant l’animation et le court-métrage dessiné qu’il l’ont attiré et ont guidé tout son parcours éducatif. A seulement 26 ans, c’est un artiste déjà accompli qui propose des œuvres numériques 3D avec des thématiques fortes et très politiques comme la place de l’être humain face à la machine et face au pouvoir, la place des citoyen•nes face au pouvoir de l’état et la place de l’imagerie antique dans les représentations sociales et picturales.
Son parcours à l’école Boule, prestigieuse école d’artisanat du bois, l’a conforté dans la plastique impeccable et de belle facture de ses personnages, mi-humains, mi-dieux, placés dans un monde futuriste et énigmatique et des scènes inspirées par le grand peintre Jacques-Louis David. Une façon de réinventer l’antiquité et de confronter la peinture académique avec les outils numériques et 3D. La mise en scène des ses œuvres est totalement cinématographique et proche des surréalistes qui voyaient dans les ruines une métaphore de l’effondrement à venir et qui résonne avec la crise climatique qui se place au cœur des préoccupations de l’artiste.
La technologie des NFT permet à l’artiste de se connecter au réel et au public qui ne maitrise pas les codes de l’art numérique et qui pourtant partage avec Louis-Paul Caron une même vision du monde.
A suivre sur son site web : louispaulcaron.com
sur Twitter : @LouisPaulCaron
et sur Instagram : @louispaulcaron
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L’actualité de la semaine est la collection « Out of Africa » qui réunit des artistes sud-africains et leurs œuvres physiques vendues en NFT sur Opensea. Leur idée est de faire le pont entre le monde physique et numérique grâce à ces œuvres originales appelées O-NFT et leur posters en grande édition appelés P-NFT.
Le "Mot crypto de la semaine" (notre nouvelle rubrique) est « genesis » qui définit le tout premier NFT d’une collection ou d’un ou une artiste.
Aujourd’hui nous recevons l’artiste CryptoClay, alias Serge, qui s’est fait connaître dans le monde NFT par ses créations en pâte à modeler. Il fait tout à la main, prend ses personnages en photo ou bien décide de les animer en stop-motion.
Son parcours est atypique car c’est longtemps la musique qui le branche. Ce goût pour le son l’amène à Paris pour travailler à la radio. Enfant de son époque, il se plonge dans les chaines musicales comme MTV avec ses célèbres clips vidéo qui lui donnent envie d’apprendre l’animation 3D. Le numérique ne le lâche plus, il travaille dans un studio d’animation, puis dans le jeu vidéo pour finalement monter une start-up internet à l’aube des années 2000.
La synthèse de tous ses talents se réalise dans le monde crypto et NFT qu’il découvre dès les années 2018-2020. Serge est un artiste qui débarque là où personne ne l’attend. Il s’inscrit sur Rarible, une plateforme NFT réputée, et prend radicalement le contre-pied de l’art numérique omniprésent, avec des créations en pâte à modeler ! Il invente des personnages bien à lui et se joue des codes NFT en singeant les crypto-punks avec sa pâte à modeler (clay en anglais).
Son dernier projet est certainement le plus fou et le plus en phase avec son parcours d’artiste-entrepreneur : sa propre maison deviendra le premier Bed & Breakfast projeté dans un métavers et entièrement géré par un smart contract !
Twitter : @CryptoClayArt
Site : https://cryptoclay.xyz
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Nous revenons cette semaine pour notre point d'actualité sur une grande œuvre numérique réalisée par une quarantaine de crypto-artistes intitulée Mariupol en hommage aux victimes ukrainiennes des bombardements russes. L’œuvre, conçue pour et exposée lors de la Non Fungible Conference à Lisbonne début avril 2022, évoque le célèbre tableau Guernica et propose une série de calques, tous différents, mintés en NFT sur Async.art afin de rendre dynamique cette incroyable collaboration.
Aujourd’hui nous recevons Mathieu Wothke, curateur de la collection de photographies NFT Invincible Summer ainsi que Cyrille de Vignemont, l'un des photographes de la série.
Mathieu revient sur son parcours très précurseur : il anime un compte Instagram depuis 2014 dans lequel il sélectionne des photos provenant de centaines d’artistes différent·es et qui lui ont donné le goût d’organiser des projets autour de la photographie, rencontres, collaborations, publications. C'est après avoir emménagé en Suède que la thématique de l'été lui apparaît comme une évidence : il en résultera un livre de photographies intitulé Remember Summer, prémisse de la collection de NFT.
Il rencontre et collabore avec Cyrille de Vignemont, photographe et réalisateur, artiste reconnu et célébré dans les musées et institutions d’art contemporain.
Mathieu et Cyrille décident de proposer une collection de photographies disponible en NFT sur la plateforme Foundation et intituléeInvincible Summer, référence à Albert Camus : « au milieu de l’hiver j’ai découvert en moi un invincible été ».
Cette collection rassemble 88 pièces uniques de 10 photographes aux univers très différents, sur le thème de l’été, de la perception de la lumière, dehors et dedans, comme autant d'allégories invitant à une introspection sensible.
Liens :
https://twitter.com/MathieuWothke
https://twitter.com/CdeVignemont
https://foundation.app/collection/invinciblesummer
https://www.instagram.com/somewhere.global/
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L’actualité de cette semaine revient sur un article publié par une grande galerie d’art à Bruxelles et qui démolit les NFT, tant sur leur principe que sur leur fonctionnement ; en fait l’auteur fait clairement référence aux « collectibles », ces imagettes en plusieurs milliers d'exemplaires qui sont effectivement très spéculatives mais oublie de parler des milliers d’artistes qui créent et vendent de véritables œuvres d’art grâce aux NFT.
Nous inaugurons une nouvelle rubrique intitulée « Le mot crypto de la semaine » pour décrypter le vocabulaire parfois obscur du monde des NFT. Aujourd’hui nous parlons des acronymes FUD et FOMO. (écoutez l’épisode pour tout savoir ;)
Nous recevons ensuite Stephan Breuer, véritable OVNI sur la planète numérique et tout nouveau arrivé sur celle des NFT. Son histoire en témoigne : il se voyait bien acteur de cinéma pour mieux rêver sa vie, et après des études de théâtre et de premiers croquis sur Keynote, le logiciel d'Apple à la base de toutes ses créations, il a un coup de foudre pour la salle des Gardes du Palais impérial de Compiègne et se promet d'y organiser sa première exposition. Qui aura bien lieu, jeu de lumière très épuré dans un lieu chargé d’histoire.
Stephan est un méditatif qui imagine ses créations de manière purement mentale, il nous raconte avoir développé son propre logiciel de visualisation interne. Avec une grande économie de moyens il nous transporte dans ses songes, peuplés de mythes et de légendes bibliques.
Les grands lieux mythiques sont un terrain de jeu pour lui. Le Musée du Louvre lui donne ainsi accès en plein confinement à la salle des Rembrandt car il a besoin d’un cliché, un seul, pris avec son téléphone (et oui encore une économie de moyens). Il saisit l’Archange et l’imprime sur une plaque d’acier pour capter la lumière spirituelle qui se dégage de cette icône glorieuse. Ce travail a été archivé par le Louvre, accompagné d'une puce NFC qui renvoie l'œuvre à son certificat sur la blockchain.
Stéphan nous dévoile en exclusivité son prochain projet, au Musée National de Rome en septembre, qui s’appellera Amor Mundi et dans lequel Stephan proposera une expérience à mi-chemin entre le monde physique et le monde numérique en intégrant un métavers et des NFT à cette œuvre monumentale !
Pour aller plus loin :
Le site internet de Stephan Breuer : stephanbreuer.com
Le compte Twitter de Stephan : @StephanBreuer1
Le compte Instagram de Stephan Breuer : @__stephanbreuer__
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L’actualité met en lumière l’arrivée en force de la photographie dans le monde des NFT. Ce medium a tardé à prendre son envol et pourtant il est parfaitement adapté à cette technologie NFT. Il véhicule des émotions fortes et intenses en deux dimensions et de façon statique et apporte une dimension nouvelle aux NFT et à l'art digital.
Aujourd’hui nous recevons l’artiste Nicolas Sassoon qui vit à Vancouver au Canada. Il a quitté la France en 2008, juste après l’obtention de son diplôme des Beaux-Arts à Angoulême en art numérique, après des années passées à dessiner et peindre. Malgré les carcans esthétiques encore présents dans de nombreuses écoles d’art en France, Nicolas a pu apprendre des autres élèves et notamment l’exploration de techniques numériques et de nouveaux médias.
C’est en partant à l’aventure au Canada que sa carrière artistique débute véritablement. Fasciné par les possibilités infinies de l’informatique et du numérique en général, il explore les langages graphiques de l'informatique des années 80 et 90, tisse des trames pixélisées, dans des palettes de couleurs limitées et à base de 3D simple et épurée. Toutes ses œuvres s’inspirent de cette logique presque archéologique des premiers pas de l’art numérique.
Encore plus surprenant, Nicolas Sassoon ne sait pas coder et ne souhaite pas coder. Ainsi il emprunte les codes du numérique à des fins de pure création sans s’embarrasser de la technologie sous-jacente et trop encombrante à ses yeux, à laquelle il préfère les techniques de l'animation. Quand il aborde les NFT en février 2021 c’est avec l’idée de dérouter ses collectionneur·ses et assumer de multiples directions artistiques qui vont de l’abstraction digitale, à l’architecture pixélisée en passant par des installations physiques qui font le pont entre mondes virtuel et réel. Nicolas jongle avec l’humour et la poésie qui transparait dans ses œuvres et font de lui un intrus bienveillant et utile dans l’écosystème NFT.
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Nous revenons sur le succès de la vente aux enchères très attendue et remarquée par toute la presse « The Burnt Auction » qui a eu lieu chez FauveParis, maison de vente aux enchères. Cette vente a été une grande première en France car elle proposait 47 œuvres numériques vendues avec un certificat NFT. La liste des artistes est remarquable et propose à la fois les plus grand·es artistes du crypto-art et des créateurs et créatrices d'art contemporain découvrant cette technologie.
Nous recevons aujourd’hui le jeune artiste-designer Kibø, qui à 22 ans seulement est à la fois diplômé en design graphique et créateur d'un univers bien à lui. Kibø a toujours recherché la liberté de s’imposer ses propres règles !
Il découvre les NFT en 2020 alors en plein cursus à l’École de Beaux-Arts et cela déroute totalement ses professeurs qui n’ont aucune considération pour cet art nouveau et cette technologie abstraite. Kibø explore les grandes plateformes NFT et vend son travail pour tenter de s’assurer une indépendance financière. Il a créé son propre personnage qui s’invite dans chacune de ses œuvres, un certain « ø » qui nous prend par la main et nous mène vers le futur métavers que compte bien fabriquer l’artiste.
Kibø est un poète qui jongle avec toutes les technologies disponibles dans le monde des NFT et qui veut au passage « capturer les rêves » et les espérances des citoyennes et citoyens du monde.
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L’actualité c’est l’expérience musicale sur la plateforme ASYNC.ART qui permet de jouer une mélodie ou une chanson avec plusieurs instruments différents et des les assembler selon vos propres envies et ainsi créer un nouveau morceau de musique qui est proposé en NFT évidemment.
Nous recevons pour cet épisode Xavier Magaldi, un artiste qui s’affirme comme pratiquant plusieurs formes d’art allant de la création graphique, à la conception d’art virtuel en passant par la sculpture physique.
Xavier vit en Suisse et ce n’est donc pas un hasard s'il est sensible à l’horlogerie traditionnelle. Cet art du mécanisme l’a inspiré pour son travail de sculpteur tant ses œuvres évoquent l’univers des machines-outils mélangé à celui de la science- fiction qu’il affectionne depuis toujours. Son parcours de street artiste l’a amené à envisager la création digitale de façon intuitive et sans préjugés. L’habitude des fresques murales et des espaces publics lui ont donné l’énergie de créer des œuvres en 3 dimensions, dans l’espace et en volume. Il adore la réalité augmentée qui nous permet de visualiser ses œuvres en virtuel sur un écran de téléphone de façon simple et très ludique. Grâce à son téléphone, on peut tourner autour de ses œuvres et ressentir la matière virtuelle de l’objet grâce aux reflets de la lumière et de tout cet espace-temps qui nous entoure.
Il expose actuellement à la Galerie Speerstra à Paris des œuvres physiques et virtuelles, c’est devenu une pratique courante pour Xavier qui est comme un poisson dans l’eau dans cet aller-retour permanent entre monde virtuel et objets physiques.
Xavier est un artiste-explorateur qui prévoit cette année des projets autour du cinéma et des maquettes physiques, en réalité augmentée et en 3D.
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L’actualité c’est une nouvelle fois le grand artiste Damien Hirst qui revient avec une nouvelle collection de NFT sur le thème de ses papillons rouges mais cette fois l’acheteur·se du NFT pourra attendre 4 ans avant de réclamer son œuvre physique promise avec le NFT afin de spéculer et tenter de le revendre avant le terme de la vente. Une façon pour Hirst d’interroger le monde de l’art et celui des NFT en général.
Nous recevons l'incontournable Niwin qui travaille dans la technologie le jour et imagine des œuvres informatiques la nuit. Il cumule ses deux grandes passions qui sont le codage et la réalisation d’œuvres génératives. Enfant il démontait les ordinateurs comme pour explorer le mystère du calcul algorithmique qui permet aujourd’hui de créer des œuvres inspirantes et multiples. Depuis toujours les artistes se nourrissent de la science pour comprendre les équations secrètes de l’univers et retranscrire ce mystère dans des œuvres d’art.
Niwin nous parle de sa « collectionnite » aiguë, qui lui a fait comprendre le sens d’une accumulation d’objets selon leur rareté et leur impact sur l’appartenance à une communauté de passionné·es.
La rencontre avec l’entreprise Ledger en 2017 le fait basculer dans le monde de la crypto et de la blockchain. C’est tout naturellement qu’il rencontre les NFT en 2020 et imagine ses premières œuvres génératives toujours réalisées en collaboration et sous l’égide de la plateforme Artblocks très célèbre aujourd’hui dans l’univers NFT.
Niwin va toujours plus loin dans l’exploration de nouvelles innovations technologiques pour créer et interroger le monde qui vient : très bientôt il sortira avec un collectif de chercheurs italiens une collection à partir de la physique quantique ! Suivez son compte de près ;)
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L’actualité se focalise sur la tokenisation du tableau The Kiss de Gustav Klimt, digitalisé et vendu en NFT par le musée du Belvédère à Vienne. L'œuvre a été divisée en 10 000 parcelles proposées à la vente unitaire sous forme de NFT.
Nous recevons aujourd’hui Zaki, mieux connu dans l’univers du digital sous son nom de code (c'est le cas de le dire !) Urbandrone. Avec une mère pianiste et un père mathématicien, il a d’emblée tenté de concilier l’art et la science, logique ! Après une formation d'architecte, Zaki a repoussé les limites de cette discipline pour en explorer les aspects artistiques et lier l'espace aux sens. Sa pratique s’est orientée vers le spectacle vivant et les espaces immersifs avec des installations vidéos et multimédia. Il est un praticien de l’espace environnant et réalise des œuvres hybrides qui interrogent l’art, le design et l’architecture.
Il a découvert les NFT en 2021 et s’est intéressé à la fois aux différentes blockchains pour minter ses NFT et aussi au développement algorithmique pour générer des œuvres d’art à la frontière des mathématiques et du « beau ».
Zaki va très loin dans l’expérimentation des projets NFT comme par exemple les DAO qui sont ces associations d’individus qui utilisent les token pour décider et voter des propositions. Zaki veut comprendre les enjeux de ces nouvelles technologies, impliquer sa communauté dans son travail et créer des œuvres qui nous obligent à inventer nous aussi ce que sera le monde de demain.
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L’actualité cette semaine c’est une vente NFT d’objets ayant appartenu à John Lennon mis en vente par son fils Julian, avec cette particularité que l’acheteur du lot mis aux enchères ne repart pas avec l’objet physique mais avec une vidéo de l’objet agrémentée d’un commentaire audio de Julian relatant l’histoire de l’objet lui-même.
C’est justement de la relation entre le physique et le digital que nous parlons aujourd’hui avec « 1789 NFT » un collectif de 10 artistes qui exposent le 16 février à la galerie Schwab à Paris.
Les artistes sont présents dans cet épisode pour chacun évoquer la façon dont ils abordent l’exposition physique d’œuvre dans la galerie mais aussi dans un espace digital appelé Cryptovoxel, un métavers dédié aux événements artistiques. Tous les artistes du collectif ont un parcours de vie et des intérêts artistiques différents, mais tous sont unis par l’envie de travailler en groupe pour explorer ces nouveaux champs de rencontre entre les amateurs d’art et les créateurs. Le collectif a l’ambition de proposer des ponts entre l’art physique et la création digitale sans jamais opposer les deux univers et aussi de mettre en avant la « french touch » en clin d’œil à la prédominance anglo-saxonne dans ce monde digital et NFT.
Le collectif exposera le 16 février pendant un mois à la Galerie Schwab à Paris des impressions sur aluminium, de la réalité augmentée, de la peinture sur toile et des hologrammes, une véritable expérience visuelle et immersive !
Les dix membres de 1789NFT sont : Booyasan, Teto, Nina Maleej, Grida, Ploouz, SB editing, Xerak, Spark, 8th project et Louis 16art
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L’actualité c’est le lancement raté du premier NFT de Picasso ! Un certain Florian Picasso, arrière petit-fils du peintre, a conçu une animation avec une céramique du maître et a voulu la vendre en NFT sans en avertir la Succession Picasso qui s’y est opposé. Moralité, on ne lance pas un NFT hors du cadre de la loi et des conventions d’usage. Nous recevons aujourd’hui l’artiste scientifique ALAgrApHY dont le prénom est Al tout simplement. Son travail consiste à utiliser des machines d’intelligence artificielle pour créer des œuvres picturales. Il se dit artiste de naissance et scientifique de formation car ses parents se sont opposés à une carrière d’artiste et l’ont incité à étudier les sciences. Al est tombé dans l’informatique complexe avec passion et a compris comment utiliser ces ressources digitales pour exprimer ce qu’il avait de plus profond en lui.Sa volonté assumée de tracer des ponts entre l’art et la science l’a amené à lire des revues scientifiques et à photographier des centaines de visages dans le monde entier, comme pour se préparer à une vie d’artiste qui vient.Le déclic vient en 2016 avec la découverte des GAN, des réseaux neuronaux artificiels, qui lui font comprendre que la puissance des machines peut servir son ambition de changer le monde de l’art. Il nourrit ses ordinateurs de milliers d’images et très vite il est repéré par le monde de l’art et expose ses œuvres au Grand Palais à Paris en 2018 au salon Comparaison puis au fameux Salon d’Automne.
Il se lance dans les NFT avec beaucoup d’appréhension pour être en phase avec ses collectionneurs dont certains sont encore hostiles aux NFT. Mais aujourd'hui il propose de nombreuses collections d’art digital ou d’art génératif sur plusieurs plateformes et sur plusieurs blockchains différentes. Al continue son exploration et va encore nous surprendre avec des NFT interactifs qui font intervenir le public dans la génération de l’œuvre.ALAgrApHY expose de nouveau au Grand Palais le 16 février 2022. A voir absolument !Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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"J'aime quand personne ne comprend rien à ce que je fais, c'est là que je me sens libre"
Nous recevons aujourd’hui Neil Beloufa à l’occasion de « Pandemic Pandemonium », sa nouvelle exposition bruxelloise, dans laquelle il propose des œuvres numériques et des installations NFT. Neil est un artiste et réalisateur de 37 ans, à la culture geek clairement assumée malgré ses études d’art dans de prestigieuses écoles françaises et américaines.
Neil aime dialoguer avec les machines, les robots et le code informatique. Mais par-dessus tout il aime déconstruire voir renverser le système du marché de l’art et le critiquer de l’intérieur. Son humour décapant révèle l’ironie et le sarcasme des mondes de l’art, de la technologie et du digital.
C’est un artiste inclassable qui travaille avec des codeurs informatiques dans son atelier et qui cherche en permanence à dérouter les visiteurs et visiteuses de ses expositions. Celle de Bruxelles n’y échappe pas. En entrant dans l’exposition on se retrouve plongé·e dans un grand casino ludique et initiatique, où on peut jouer avec les œuvres, gagner des tokens, « minter » des œuvres en NFT. En mêlant les codes de l’art et du gaming, Neil nous transforme en enfant eberlué·e. Cette exposition est une vaste satire de notre société contemporaine qui met en exergue l’absence de frontière claire entre le monde virtuel et le monde réel.
Le titre de l’exposition fait référence à une œuvre vidéo de 2014 dans laquelle il prévoyait une vaste pandémie mondiale qui précipitait les humains dans une communication réduite à des appels video sur Skype… quand on vous dit que les artistes ont des intuitions très puissantes !
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