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  • Dans le cadre du séminaire "Soutenabilités", dont l'ambition est de construire un cadre adéquat d’élaboration et de conduite des politiques publiques, France Stratégie a réalisé une série de trois épisodes de podcast, consacrée à la capacité de la modélisation à nous prévenir de l'insoutenable. Cet opus conclut notre série et s'intéresse au rôle que joue la modélisation dans la prise de décision et dans l’élaboration des politiques publiques.

    Pour en discuter, Boris Le Hir, économiste à France Stratégie, reçoit Anne Épaulard, conseillère scientifique à France Stratégie et professeure à Paris Dauphine, Domenico Rossetti, chef d’unité adjoint à la direction générale de la recherche et de l’innovation à la Commission européenne et auteur du livre The power of science : Economic Research and European Decision-Making : The Case of Energy and Environment Policies, et Franck Lecocq, ingénieur général des Ponts, des Eaux et des Forêts, directeur du CIRED et coordinateur d’un chapitre du prochain rapport d’évaluation du GIEC, à paraître en 2021.

    Retrouvez toutes les informations sur le séminaire "Soutenabilités" sur le site de France Stratégie : www.strategie.gouv.fr

  • Dans le cadre du séminaire "Soutenabilités", dont l'ambition est de construire un cadre adéquat d’élaboration et de conduite des politiques publiques, France Stratégie a réalisé une série de trois épisodes de podcast, consacrée à la capacité de la modélisation à nous prévenir de l'insoutenable.

    Pour en discuter, Mathilde Viennot, économiste à France Stratégie, reçoit Henri Waisman, chercheur au sein du programme climat de l’IDDRI, spécialiste des trajectoires de décarbonation et co-auteur du rapport spécial du GIEC de 2018 “1.5°C de réchauffement planétaire”, et Jean-Philippe Bouchaud, spécialiste de physique statistique, président et directeur de la recherche de la société Capital Fund Management, membre de l’Académie des Sciences et professeur au Collège de France, titulaire de la chaire « Innovation technologique Liliane Bettencourt ».

    Retrouvez toutes les informations sur le séminaire "Soutenabilités" sur le site de France Stratégie : www.strategie.gouv.fr

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  • Dans le cadre du séminaire "Soutenabilités", dont l'ambition est de construire un cadre adéquat d’élaboration et de conduite des politiques publiques, France Stratégie a réalisé une série de trois épisodes de podcast, consacrée à la capacité de la modélisation à nous prévenir de l'insoutenable. Ce premier épisode interroge la définition, la fonction et l'origine des modèles.

    Pour en discuter, Julien Bueb, économiste de l'environnement à France Stratégie, reçoit Frédérique Aït-Touati, spécialiste de littérature comparée et d'histoire des sciences, docteur en littérature comparée, chargée de recherche au CNRS et membre du centre de recherche sur les arts et le langage à l'EHESS, et Franck Varenne, maître de conférence en épistémologie à l'université de Rouen, co-auteur du Dictionnaire critique de l'anthropocène, Modèles et modélisations et co-rédacteur des collectifs Modéliser & simuler. Épistémologies et pratiques de la modélisation et de la simulation.

    Retrouvez toutes les informations sur le séminaire "Soutenabilités" sur le site de France Stratégie : www.strategie.gouv.fr

  • Le séminaire de France Stratégie s’est construit sous la bannière des “soutenabilités” au pluriel, pour explorer les conditions dans lesquelles l’action publique pouvait aborder de front et de manière systémique, la pluralité des “insoutenabilités” qui se font jour sur différents plans (environnemental, social, démocratique, économique, territorial…).

    Pour engager ce travail, il importe aujourd’hui de comprendre comment différents concepts mobilisateurs ont été construits et utilisés dans le but de faire évoluer l’action publique, à quelle ampleur et dans quelles directions. Les sciences politiques l’ont bien établi : la façon dont on cadre un problème détermine très largement la façon dont on le traite. Les choix de terminologie, lorsqu’il s’agit de qualifier une situation, sont essentiels car ils préparent directement la réponse qui sera apportée à cette situation.

    Il ne s’agit pas, au cours de cette première séance, de chercher “le bon concept”, qui donnerait, dans l’absolu, la clé adéquate pour décrire la situation, ni de cerner la définition juste de chacun, mais de comprendre pourquoi et comment différents acteurs utilisent certaines caractérisations comme des outils d’action et de transformation. C’est ainsi l’opérationnalité de ces concepts qu’il s’agit d’éprouver ; nous tenterons d’étudier les effets concrets du recours à ces différents concepts sur les actions engagées : qui peuvent-ils mobiliser ? quel cadre d’action peuvent-ils instaurer ? quelles conflictualités permettent-ils de dépasser, mais aussi de renouveler ou de déplacer ? pour quels résultats ? à quelle échelle (avec quels outils de coordination entre acteurs et entre territoires) ?

    Plus d’informations sur l’événement : https://cutt.ly/JtOeaMq

  • Le séminaire de France Stratégie s’est construit sous la bannière des “soutenabilités” au pluriel, pour explorer les conditions dans lesquelles l’action publique pouvait aborder de front et de manière systémique, la pluralité des “insoutenabilités” qui se font jour sur différents plans (environnemental, social, démocratique, économique, territorial…).

    Pour engager ce travail, il importe aujourd’hui de comprendre comment différents concepts mobilisateurs ont été construits et utilisés dans le but de faire évoluer l’action publique, à quelle ampleur et dans quelles directions. Les sciences politiques l’ont bien établi : la façon dont on cadre un problème détermine très largement la façon dont on le traite. Les choix de terminologie, lorsqu’il s’agit de qualifier une situation, sont essentiels car ils préparent directement la réponse qui sera apportée à cette situation.

    Il ne s’agit pas, au cours de cette première séance, de chercher “le bon concept”, qui donnerait, dans l’absolu, la clé adéquate pour décrire la situation, ni de cerner la définition juste de chacun, mais de comprendre pourquoi et comment différents acteurs utilisent certaines caractérisations comme des outils d’action et de transformation. C’est ainsi l’opérationnalité de ces concepts qu’il s’agit d’éprouver ; nous tenterons d’étudier les effets concrets du recours à ces différents concepts sur les actions engagées : qui peuvent-ils mobiliser ? quel cadre d’action peuvent-ils instaurer ? quelles conflictualités permettent-ils de dépasser, mais aussi de renouveler ou de déplacer ? pour quels résultats ? à quelle échelle (avec quels outils de coordination entre acteurs et entre territoires) ?

    Plus d’informations sur l’événement : https://cutt.ly/JtOeaMq

  • Dans le cadre de leur politique climatique, plusieurs pays de l’OCDE, dont la France, ont mis en place une taxe carbone visant à renchérir l’énergie. Dans quelle mesure ce type d’outil est-il efficace pour réduire les émissions de GES et quels sont ses impacts en termes de compétitivité des entreprises et d’emploi ?
    À partir d’un panel d’entreprises françaises observées entre 2001 et 2016, l’OCDE s’est penchée sur cette question.

    À l’occasion de la publication de l’étude Taxe carbone : quel impact environnemental et économique ? (« The joint effects of energy prices and carbon taxes on environmental and economic performance: evidence from the French manufacturing sector »), Antoine Dechezleprêtre et Damien Dussaux, économistes à la direction de l’environnement de l’OCDE, vous ont présenté en exclusivité les principaux résultats.

    La discussion a été introduite par Thibault Guyon, direction générale du Trésor, et par Caroline Mini, La Fabrique de l’industrie.

    Plus d'infos : https://cutt.ly/3rMeTFT

  • Le Secrétariat général pour l’investissement, France Stratégie et le Conseil général de l’environnement et du développement durable ont initié en 2014 un cycle de colloques sur l’évaluation socioéconomique des investissements publics, sous la présidence de Roger Guesnerie, professeur émérite au Collège de France et président honoraire de Paris School of Economics.

    Ces colloques visent à éclairer le décideur public sur la démarche en matière d’évaluation socioéconomique, rendue obligatoire pour les projets d’investissements publics par la loi n° 2012-1158 du 31 décembre. Ce neuvième colloque a eu pour thème les nouvelles frontières de l’évaluation socioéconomique.
    La réflexion s’est étendue en effet :
    • au-delà des secteurs traditionnels que sont les transports ou les infrastructures, avec l’exemple des projets immobiliers dans l’enseignement supérieur et la recherche ;
    • vers les programmes d’investissement (au lieu de projets individuels), comme l’illustre le programme de construction des prisons ;
    • vers les politiques publiques (au lieu d’investissements publics), comme les politiques climatiques, sociales, de santé et d’éducation.

    Les premiers colloques étaient consacrés : à l’évaluation socioéconomique des projets de transports (16 septembre 2014) ; à la prise en compte des externalités environnementales (2 avril 2015) ; aux effets d’agglomération (22 octobre 2015) ; à la prise en compte des risques naturels et sanitaires dans le calcul socioéconomique (17 mars 2016) ; au choix des indicateurs dans la sélection des projets (14 décembre 2016) ; au système d’actualisation (29 mars 2017) ; à la pratique de l’évaluation socioéconomique en France (20 septembre 2017) ; aux projets d’investissement en Très Haut Débit (5 avril 2018).

    Partie 2
    Thème 3 – L’évaluation socioéconomique des projets immobiliers de l’enseignement supérieur et de la recherche : du rapport E. Quinet aux pratiques
    • Émile Quinet, président du Groupe de travail « L’évaluation socioéconomique des projets immobiliers de l’enseignement supérieur et de la recherche », France Stratégie
    • Julie de Brux, Citizing
    • William Thibault, chef de projet, département de la stratégie patrimoniale, Direction générale de l'enseignement supérieur et de l'insetion professionnele, MESRI

    Table ronde
    • Cédric Audenis, président de la table ronde, commissaire général adjoint, France Stratégie
    • Thibault Guyon, sous-directeur POLSEC, DG Trésor
    • Éric Piozin, inspecteur général de l’éducation, du sport et de la recherche
    • Patrick Mounaud, ancien directeur interrégional des services pénitentiaires Sud Est (Marseille)
    • Sabine Baietto-Beysson, présidente du Groupe de travail « Projets d’aménagements urbains »

    Conclusion
    • Jean-Paul Nicolaï, chef économiste, directeur du programme d'évaluation, secrétaire général pour l'investissement

    Plus d’informations sur l’événement : https://cutt.ly/ieMKt3z

  • Le Secrétariat général pour l’investissement, France Stratégie et le Conseil général de l’environnement et du développement durable ont initié en 2014 un cycle de colloques sur l’évaluation socioéconomique des investissements publics, sous la présidence de Roger Guesnerie, professeur émérite au Collège de France et président honoraire de Paris School of Economics.

    Ces colloques visent à éclairer le décideur public sur la démarche en matière d’évaluation socioéconomique, rendue obligatoire pour les projets d’investissements publics par la loi n° 2012-1158 du 31 décembre. Ce neuvième colloque a eu pour thème les nouvelles frontières de l’évaluation socioéconomique.
    La réflexion s’est étendue en effet :
    • au-delà des secteurs traditionnels que sont les transports ou les infrastructures, avec l’exemple des projets immobiliers dans l’enseignement supérieur et la recherche ;
    • vers les programmes d’investissement (au lieu de projets individuels), comme l’illustre le programme de construction des prisons ;
    • vers les politiques publiques (au lieu d’investissements publics), comme les politiques climatiques, sociales, de santé et d’éducation.

    Les premiers colloques étaient consacrés : à l’évaluation socioéconomique des projets de transports (16 septembre 2014) ; à la prise en compte des externalités environnementales (2 avril 2015) ; aux effets d’agglomération (22 octobre 2015) ; à la prise en compte des risques naturels et sanitaires dans le calcul socioéconomique (17 mars 2016) ; au choix des indicateurs dans la sélection des projets (14 décembre 2016) ; au système d’actualisation (29 mars 2017) ; à la pratique de l’évaluation socioéconomique en France (20 septembre 2017) ; aux projets d’investissement en Très Haut Débit (5 avril 2018).

    Partie 1
    Ouverture et introduction
    • Roger Guesnerie, professeur émérite au Collège de France et président honoraire de Paris School of Economics

    Thème 1 – La valeur de l’action climatique : une valeur tutélaire du carbone pour évaluer les investissements et les politiques publiques
    • Dominique Bureau, membre de la commission « La valeur de l’action climatique », France Stratégie

    Thème 2 – L’évaluation socioéconomique des programmes et des politiques publiques : le programme de construction de prisons et ses évaluations socioéconomiques
    • Jean-Michel Josselin, professeur, Université de Rennes

    Plus d’informations sur l’événement : https://cutt.ly/ieMKt3z

  • Les 8 et 9 octobre 2019, France Stratégie a accueilli la 1re Conférence des utilisateurs de données CompNet, organisée conjointement avec CompNet et l'Institut Halle for Economic Research (IWH). Lors de cette conférence, les utilisateurs ont été invités à présenter les résultats obtenus à partir de CompNet, à discuter de la qualité des données et à échanger leurs expériences concernant ce réseau de chercheurs.

    Les questions de l'économie moderne justifient des approches différentes de celles empruntées par le passé. Si les indicateurs macroéconomiques sont largement disponibles et donnent une vue d'ensemble des économies des différents pays, la situation sur le terrain est beaucoup plus hétérogène. Différents niveaux d'agrégation des données conduisent à constater des évolutions différentes.

    Cela illustre que la productivité et d'autres déterminants importants de la performance économique ne sont pas complètement appréhendés lorsqu'on ne prend pas en compte les caractéristiques sous-jacentes de la distribution des données. De ce fait, les chercheurs travaillant sur les questions liées à la productivité, à l'innovation, à l'investissement et à la compétitivité utilisent de plus en plus des données à un niveau microéconomique. Or, les micro-données sont souvent difficiles à obtenir, coûteuses et diffèrent d'un pays à l'autre.

    C’est notamment pour dépasser les difficultés que rencontrent les chercheurs dans l’accès aux données individuelles des entreprises de nombreux pays européens que le réseau CompNet s’est constitué. Il permet également de contourner les limites en termes de comparabilité de ces données d’un pays à l’autre.

    Plus d'informations sur l'événement : https://cutt.ly/4ex7Ci2

  • Les 8 et 9 octobre 2019, France Stratégie a accueilli la 1re Conférence des utilisateurs de données CompNet, organisée conjointement avec CompNet et l'Institut Halle for Economic Research (IWH). Lors de cette conférence, les utilisateurs ont été invités à présenter les résultats obtenus à partir de CompNet, à discuter de la qualité des données et à échanger leurs expériences concernant ce réseau de chercheurs.

    Les questions de l'économie moderne justifient des approches différentes de celles empruntées par le passé. Si les indicateurs macroéconomiques sont largement disponibles et donnent une vue d'ensemble des économies des différents pays, la situation sur le terrain est beaucoup plus hétérogène. Différents niveaux d'agrégation des données conduisent à constater des évolutions différentes.

    Cela illustre que la productivité et d'autres déterminants importants de la performance économique ne sont pas complètement appréhendés lorsqu'on ne prend pas en compte les caractéristiques sous-jacentes de la distribution des données. De ce fait, les chercheurs travaillant sur les questions liées à la productivité, à l'innovation, à l'investissement et à la compétitivité utilisent de plus en plus des données à un niveau microéconomique. Or, les micro-données sont souvent difficiles à obtenir, coûteuses et diffèrent d'un pays à l'autre.

    C’est notamment pour dépasser les difficultés que rencontrent les chercheurs dans l’accès aux données individuelles des entreprises de nombreux pays européens que le réseau CompNet s’est constitué. Il permet également de contourner les limites en termes de comparabilité de ces données d’un pays à l’autre.

    Plus d'informations sur l'événement : https://cutt.ly/4ex7Ci2

  • Les 8 et 9 octobre 2019, France Stratégie a accueilli la 1re Conférence des utilisateurs de données CompNet, organisée conjointement avec CompNet et l'Institut Halle for Economic Research (IWH). Lors de cette conférence, les utilisateurs ont été invités à présenter les résultats obtenus à partir de CompNet, à discuter de la qualité des données et à échanger leurs expériences concernant ce réseau de chercheurs.

    Les questions de l'économie moderne justifient des approches différentes de celles empruntées par le passé. Si les indicateurs macroéconomiques sont largement disponibles et donnent une vue d'ensemble des économies des différents pays, la situation sur le terrain est beaucoup plus hétérogène. Différents niveaux d'agrégation des données conduisent à constater des évolutions différentes.

    Cela illustre que la productivité et d'autres déterminants importants de la performance économique ne sont pas complètement appréhendés lorsqu'on ne prend pas en compte les caractéristiques sous-jacentes de la distribution des données. De ce fait, les chercheurs travaillant sur les questions liées à la productivité, à l'innovation, à l'investissement et à la compétitivité utilisent de plus en plus des données à un niveau microéconomique. Or, les micro-données sont souvent difficiles à obtenir, coûteuses et diffèrent d'un pays à l'autre.

    C’est notamment pour dépasser les difficultés que rencontrent les chercheurs dans l’accès aux données individuelles des entreprises de nombreux pays européens que le réseau CompNet s’est constitué. Il permet également de contourner les limites en termes de comparabilité de ces données d’un pays à l’autre.

    Plus d'informations sur l'événement : https://cutt.ly/4ex7Ci2

  • Les 8 et 9 octobre 2019, France Stratégie a accueilli la 1re Conférence des utilisateurs de données CompNet, organisée conjointement avec CompNet et l'Institut Halle for Economic Research (IWH). Lors de cette conférence, les utilisateurs ont été invités à présenter les résultats obtenus à partir de CompNet, à discuter de la qualité des données et à échanger leurs expériences concernant ce réseau de chercheurs.

    Les questions de l'économie moderne justifient des approches différentes de celles empruntées par le passé. Si les indicateurs macroéconomiques sont largement disponibles et donnent une vue d'ensemble des économies des différents pays, la situation sur le terrain est beaucoup plus hétérogène. Différents niveaux d'agrégation des données conduisent à constater des évolutions différentes.

    Cela illustre que la productivité et d'autres déterminants importants de la performance économique ne sont pas complètement appréhendés lorsqu'on ne prend pas en compte les caractéristiques sous-jacentes de la distribution des données. De ce fait, les chercheurs travaillant sur les questions liées à la productivité, à l'innovation, à l'investissement et à la compétitivité utilisent de plus en plus des données à un niveau microéconomique. Or, les micro-données sont souvent difficiles à obtenir, coûteuses et diffèrent d'un pays à l'autre.

    C’est notamment pour dépasser les difficultés que rencontrent les chercheurs dans l’accès aux données individuelles des entreprises de nombreux pays européens que le réseau CompNet s’est constitué. Il permet également de contourner les limites en termes de comparabilité de ces données d’un pays à l’autre.

    Plus d'informations sur l'événement : https://cutt.ly/4ex7Ci2

  • Les 8 et 9 octobre 2019, France Stratégie a accueilli la 1re Conférence des utilisateurs de données CompNet, organisée conjointement avec CompNet et l'Institut Halle for Economic Research (IWH). Lors de cette conférence, les utilisateurs ont été invités à présenter les résultats obtenus à partir de CompNet, à discuter de la qualité des données et à échanger leurs expériences concernant ce réseau de chercheurs.

    Les questions de l'économie moderne justifient des approches différentes de celles empruntées par le passé. Si les indicateurs macroéconomiques sont largement disponibles et donnent une vue d'ensemble des économies des différents pays, la situation sur le terrain est beaucoup plus hétérogène. Différents niveaux d'agrégation des données conduisent à constater des évolutions différentes.

    Cela illustre que la productivité et d'autres déterminants importants de la performance économique ne sont pas complètement appréhendés lorsqu'on ne prend pas en compte les caractéristiques sous-jacentes de la distribution des données. De ce fait, les chercheurs travaillant sur les questions liées à la productivité, à l'innovation, à l'investissement et à la compétitivité utilisent de plus en plus des données à un niveau microéconomique. Or, les micro-données sont souvent difficiles à obtenir, coûteuses et diffèrent d'un pays à l'autre.

    C’est notamment pour dépasser les difficultés que rencontrent les chercheurs dans l’accès aux données individuelles des entreprises de nombreux pays européens que le réseau CompNet s’est constitué. Il permet également de contourner les limites en termes de comparabilité de ces données d’un pays à l’autre.

    Plus d'informations sur l'événement : https://cutt.ly/4ex7Ci2

  • Les États-providence européens font face à des défis de taille avec la transformation des activités liées au développement de l’intelligence artificielle, de l’automatisation et des plateformes numériques de mise en relation entre employeurs et travailleurs.

    Ces transformations amplifient la réduction des emplois traditionnels à plein temps et tendent à accroître le recours au travail indépendant. Elles engendrent des questions difficiles sur l’évolution du mode de financement de la protection sociale.

    À l’occasion de ce séminaire co-organisé par France Stratégie et Bruegel, l’étude Numérisation et États-providence européens, réalisée par Georgios Petropoulos, J. Scott Marcus, Nicolas Moës et Enrico Bergamini, a été présentée et discutée.

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    European welfare states face serious challenges as the workplace is transformed by factors including artificial intelligence (AI), robotisation, and online labour platforms. Notably, the changes are accelerating a shift away from traditional full time employment, and toward non traditional employment and self-employment. These changes also imply challenges for the funding of social protection schemes.

    At this event, co-organised by Bruegel and France Stratégie, the study Digitalisation and European Welfare States, authored by Georgios Petropoulos, J. Scott Marcus, Nicolas Moës and Enrico Bergamini, has been presented and discussed.

    Plus d'informations / more information : https://cutt.ly/qX4A3X

  • Épisode 4 de l'événement "Les plateformes de micro-travail : enjeu pour l’intelligence artificielle, enjeu pour l’emploi ?"

    France Stratégie, en collaboration avec la MSH Paris-Saclay, a organisé une conférence internationale à Paris, le 13 juin 2019, suivie d’un séminaire fermé de International Network on Digital Labor (INDL) le 14 juin. Elle a été l’occasion d’entendre des témoignages de micro-travailleurs et d’entreprises / plateformes qui les recrutent, de présenter les résultats des enquêtes nationales et internationales sur ces formes émergentes d’emploi et d’en débattre avec des experts académiques et institutionnels, français et étrangers.

    Après Uber, Deliveroo et autres services à la demande, le micro-travail est une nouvelle facette du travail intermédié par les plateformes numériques. Des services sur Internet ou sur mobile proposent à des foules d’individus de réaliser, pour le compte de commanditaires, des petites tâches standardisées et répétitives, en contrepartie d'une rémunération allant de quelques centimes à quelques euros par tâche. Celles-ci nécessitent en général de faibles qualifications : prendre une photo dans un magasin, reconnaître et classer des images, transcrire des bouts de texte, mettre en forme un fichier électronique… Malgré leur simplicité apparente, ces micro-tâches réalisées par des millions de personnes dans le monde, servent notamment à créer les bases de données nécessaires au calibrage et à l’« entraînement » d’algorithmes et d’intelligences artificielles.

    Au niveau international Amazon Mechanical Turk est la plus connue des plateformes de micro-travail. En France et dans les pays francophones d’Afrique, d’autres plateformes attirent un nombre croissant de travailleuses et travailleurs, pour compléter leur revenu primaire, voire pour y suppléer. Quelle est l’ampleur du phénomène ? Comment reconnaître, organiser et réguler cette nouvelle forme de travail ? Comment, finalement, s’articule-t-elle avec les formes traditionnelles de l’emploi ?

    Plus d'informations sur l'événement : cutt.ly/JFMdy6

  • Épisode 3 de l'événement "Les plateformes de micro-travail : enjeu pour l’intelligence artificielle, enjeu pour l’emploi ?"

    France Stratégie, en collaboration avec la MSH Paris-Saclay, a organisé une conférence internationale à Paris, le 13 juin 2019, suivie d’un séminaire fermé de International Network on Digital Labor (INDL) le 14 juin. Elle a été l’occasion d’entendre des témoignages de micro-travailleurs et d’entreprises / plateformes qui les recrutent, de présenter les résultats des enquêtes nationales et internationales sur ces formes émergentes d’emploi et d’en débattre avec des experts académiques et institutionnels, français et étrangers.

    Après Uber, Deliveroo et autres services à la demande, le micro-travail est une nouvelle facette du travail intermédié par les plateformes numériques. Des services sur Internet ou sur mobile proposent à des foules d’individus de réaliser, pour le compte de commanditaires, des petites tâches standardisées et répétitives, en contrepartie d'une rémunération allant de quelques centimes à quelques euros par tâche. Celles-ci nécessitent en général de faibles qualifications : prendre une photo dans un magasin, reconnaître et classer des images, transcrire des bouts de texte, mettre en forme un fichier électronique… Malgré leur simplicité apparente, ces micro-tâches réalisées par des millions de personnes dans le monde, servent notamment à créer les bases de données nécessaires au calibrage et à l’« entraînement » d’algorithmes et d’intelligences artificielles.

    Au niveau international Amazon Mechanical Turk est la plus connue des plateformes de micro-travail. En France et dans les pays francophones d’Afrique, d’autres plateformes attirent un nombre croissant de travailleuses et travailleurs, pour compléter leur revenu primaire, voire pour y suppléer. Quelle est l’ampleur du phénomène ? Comment reconnaître, organiser et réguler cette nouvelle forme de travail ? Comment, finalement, s’articule-t-elle avec les formes traditionnelles de l’emploi ?

    Plus d'informations sur l'événement : cutt.ly/JFMdy6

  • Épisode 2 de l'événement "Les plateformes de micro-travail : enjeu pour l’intelligence artificielle, enjeu pour l’emploi ?"

    France Stratégie, en collaboration avec la MSH Paris-Saclay, a organisé une conférence internationale à Paris, le 13 juin 2019, suivie d’un séminaire fermé de International Network on Digital Labor (INDL) le 14 juin. Elle a été l’occasion d’entendre des témoignages de micro-travailleurs et d’entreprises / plateformes qui les recrutent, de présenter les résultats des enquêtes nationales et internationales sur ces formes émergentes d’emploi et d’en débattre avec des experts académiques et institutionnels, français et étrangers.

    Après Uber, Deliveroo et autres services à la demande, le micro-travail est une nouvelle facette du travail intermédié par les plateformes numériques. Des services sur Internet ou sur mobile proposent à des foules d’individus de réaliser, pour le compte de commanditaires, des petites tâches standardisées et répétitives, en contrepartie d'une rémunération allant de quelques centimes à quelques euros par tâche. Celles-ci nécessitent en général de faibles qualifications : prendre une photo dans un magasin, reconnaître et classer des images, transcrire des bouts de texte, mettre en forme un fichier électronique… Malgré leur simplicité apparente, ces micro-tâches réalisées par des millions de personnes dans le monde, servent notamment à créer les bases de données nécessaires au calibrage et à l’« entraînement » d’algorithmes et d’intelligences artificielles.

    Au niveau international Amazon Mechanical Turk est la plus connue des plateformes de micro-travail. En France et dans les pays francophones d’Afrique, d’autres plateformes attirent un nombre croissant de travailleuses et travailleurs, pour compléter leur revenu primaire, voire pour y suppléer. Quelle est l’ampleur du phénomène ? Comment reconnaître, organiser et réguler cette nouvelle forme de travail ? Comment, finalement, s’articule-t-elle avec les formes traditionnelles de l’emploi ?

    Plus d'informations sur l'événement : cutt.ly/JFMdy6

  • Épisode 1 de l'événement "Les plateformes de micro-travail : enjeu pour l’intelligence artificielle, enjeu pour l’emploi ?"

    France Stratégie, en collaboration avec la MSH Paris-Saclay, a organisé une conférence internationale à Paris, le 13 juin 2019, suivie d’un séminaire fermé de International Network on Digital Labor (INDL) le 14 juin. Elle a été l’occasion d’entendre des témoignages de micro-travailleurs et d’entreprises / plateformes qui les recrutent, de présenter les résultats des enquêtes nationales et internationales sur ces formes émergentes d’emploi et d’en débattre avec des experts académiques et institutionnels, français et étrangers.

    Après Uber, Deliveroo et autres services à la demande, le micro-travail est une nouvelle facette du travail intermédié par les plateformes numériques. Des services sur Internet ou sur mobile proposent à des foules d’individus de réaliser, pour le compte de commanditaires, des petites tâches standardisées et répétitives, en contrepartie d'une rémunération allant de quelques centimes à quelques euros par tâche. Celles-ci nécessitent en général de faibles qualifications : prendre une photo dans un magasin, reconnaître et classer des images, transcrire des bouts de texte, mettre en forme un fichier électronique… Malgré leur simplicité apparente, ces micro-tâches réalisées par des millions de personnes dans le monde, servent notamment à créer les bases de données nécessaires au calibrage et à l’« entraînement » d’algorithmes et d’intelligences artificielles.

    Au niveau international Amazon Mechanical Turk est la plus connue des plateformes de micro-travail. En France et dans les pays francophones d’Afrique, d’autres plateformes attirent un nombre croissant de travailleuses et travailleurs, pour compléter leur revenu primaire, voire pour y suppléer. Quelle est l’ampleur du phénomène ? Comment reconnaître, organiser et réguler cette nouvelle forme de travail ? Comment, finalement, s’articule-t-elle avec les formes traditionnelles de l’emploi ?

    Plus d'informations sur l'événement : https://cutt.ly/JFMdy6

  • Dans cette édition 2019, l’OCDE poursuit son analyse circonstanciée de la trajectoire de croissance française. Elle s’interroge sur les lignes de forces comme sur les points faibles, en se penchant notamment sur l’état du marché du travail et la qualité de l’investissement public au niveau national.

    Si l’économie française résiste mieux au ralentissement mondial que ses partenaires, elle ne doit cependant rien négliger pour mettre en place toutes les composantes d’une croissance inclusive.

    Tout en soulignant les réformes structurelles déjà engagées, l’OCDE appelle à amplifier les efforts et les maintenir dans la durée, afin de répondre aux aspirations des Français soucieux d’égalité et de préserver la compétitivité nationale soumise à rude épreuve dans un climat commercial tendu.

    Dans son rapport l’OCDE énonçait ainsi plusieurs recommandations, notamment pour ce qui concerne le marché du travail et l’investissement public, toujours en vue d’une croissance propre à améliorer la situation de tous.

    Plus d'informations sur la présentation du rapport : http://url1.fr/YLJY

  • Dans un contexte social et juridique en constante évolution, quelle place pour le médiateur institutionnel ? France Stratégie a proposé un débat ouvert pour faire le point sur les enjeux et les pistes d’évolution en la matière.

    Quelle place pour les médiateurs institutionnels entre les administrations et le Défenseur des droits ? Quelles garanties d’indépendance pour ces médiateurs ? Le modèle historique des médiateurs bénévoles peut-il demeurer une référence ? Faut-il obliger toutes les institutions publiques à se doter de médiateurs ? Obliger les citoyens à passer par une médiation avant de saisir le juge ? Donner à l’entrée en médiation la capacité de suspendre les délais de recours devant la justice ?

    En mettant autour de la même table des acteurs jouant des rôles distincts dans ce paysage (médiateurs institutionnels, agents du Défenseur des droits, responsables administratifs, représentants d’usagers et chercheurs), il s’agissait d’élaborer un diagnostic partagé sur la situation et de mettre à l’épreuve de la discussion plusieurs hypothèses d’évolution du fonctionnement de la médiation administrative.

    Plus d'informations sur l'événement ici : http://url1.fr/zK1q