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  • -> Cet Ă©pisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce mĂȘme compte.

    Giovanna Calvenzi est une Ă©ditrice photo italienne qui a travaillĂ© pour de nombreux mĂ©dias : Corriere della Sera, Gazzetta dello Sport, mais aussi Glamour et Famiglia Cristiana. Nous avons parlĂ© du dĂ©clin de la presse et de la disparition du mĂ©tier d’éditrice photo en Italie, ainsi que des autres projets qu’elle a menĂ©s. Elle a Ă©tĂ© directrice artistique des Rencontres d’Arles en 1998, commissaire invitĂ©e Ă  Photo España en 2002, dĂ©lĂ©guĂ©e artistique au Mois de la Photo Ă  Paris en 2014 et elle s’occupe actuellement des archives de son mari dĂ©funt Gabriele Basilico, en organisant avec l’équipe des archives des expositions et des livres. Bonne Ă©coute !


    Archives Gabriele Basilico : https://www.archiviogabrielebasilico.it/it


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  • Giovanna Calvenzi est une Ă©ditrice photo italienne qui a travaillĂ© pour de nombreux mĂ©dias : Corriere della Sera, Gazzetta dello Sport, mais aussi Glamour et Famiglia Cristiana. Nous avons parlĂ© du dĂ©clin de la presse et de la disparition du mĂ©tier d’éditrice photo en Italie, ainsi que des autres projets qu’elle a menĂ©s. Elle a Ă©tĂ© directrice artistique des Rencontres d’Arles en 1998, commissaire invitĂ©e Ă  Photo España en 2002, dĂ©lĂ©guĂ©e artistique au Mois de la Photo Ă  Paris en 2014 et elle s’occupe actuellement des archives de son mari dĂ©funt Gabriele Basilico, en organisant avec l’équipe des archives des expositions et des livres. Bonne Ă©coute !


    2’ – IntĂ©ressĂ©e par la littĂ©rature italienne, assistante du photojournaliste Federico Patellani, professeur dans une Ă©cole de photo et sa premiĂšre collaboration dans la presse hebdomadaire en tant qu’éditrice photo.

    9’12 – Son expĂ©rience au Corriere della Sera, puis chez CondĂ© Nast.

    11’10 – Son expĂ©rience en tant que directrice artistique des Rencontres d’Arles en 1998 suite Ă  l’invitation de Bernard Millet et sa famille française, qui a commencĂ© avec la rencontre de Christian Caujolle.

    17’30 – Commissaire invitĂ©e Ă  Photo España en 2002 et dĂ©lĂ©guĂ©e artistique au Mois de la Photo Ă  Paris en 2014.

    22’20 – Son mĂ©tier d’éditrice photo chez Glamour pendant deux ans, puis Ă  la Gazzetta dello Sport pendant douze ans, l’arrivĂ©e des banques d’images et sa derniĂšre expĂ©rience dans la presse chez Famiglia Cristiana pendant quatre ans.

    37’ – La crise de la presse italienne avec la baisse des budgets et l’arrivĂ©e des agences en ligne. Il n’y a plus d’éditeurs photo, ce sont maintenant des iconographes.

    42’ – L’arrivĂ©e de l’IA l’enthousiasme, mais il faut protĂ©ger les auteurs en trouvant des rĂšgles.

    47’40 – Elle travaille pour les archives de son mari dĂ©funt Gabriele Basilico depuis 2013 avec l’assistant du photographe et son Ă©quipe. Elle fait des expositions, des livres et a crĂ©Ă© un site avec un ancien collĂšgue.

    50’ – Son conseil pour de futurs Ă©diteurs photo : frĂ©quenter le milieu de la photo en se dĂ©plaçant physiquement et en allant Ă  Arles, Perpignan... et lire.

    53’ – Elle lit LibĂ©ration, L’Ɠil de la photographie, le Guardian et parfois la presse italienne.

    53’30 – Son conseil pour de futurs photographes : il est important de rĂ©flĂ©chir Ă  ce qu’on aime vraiment. On peut ĂȘtre un excellent photographe tout en ayant un autre emploi comme banquier ou mĂ©decin.


    Archives Gabriele Basilico : https://www.archiviogabrielebasilico.it/it


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  • -> This episode is an extract from an interview. You will find the entire interview on this same account.

    With Chris Boot, we talked about political engagement to create a more diverse world through his work experience at Magnum Photos, Aperture, and as an independent publisher. In this conversation, we explore the beginning of his career in London, working for a co-op selling photographs and developing Magnum's presence in London and New York, and his work with Phaidon and Aperture. We discussed inclusivity in the photography industry, both in magazine pages and within companies, as he worked on at Aperture. He also gave us advice to clarify the purpose and narrative of the story we want to tell because if we find that clarity, nothing will stop us.


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  • With Chris Boot, we talked about political engagement to create a more diverse world through his work experience at Magnum Photos, Aperture, and as an independent publisher. In this conversation, we explore the beginning of his career in London, working for a co-op selling photographs and developing Magnum's presence in London and New York, and his work with Phaidon and Aperture. We discussed inclusivity in the photography industry, both in magazine pages and within companies, as he worked on at Aperture. He also gave us advice to clarify the purpose and narrative of the story we want to tell because if we find that clarity, nothing will stop us.


    3’11 – He worked as a coordinator in a photo co-op and was part of a socialist community.

    10’30 – Started working for Magnum as a salesperson with Neil Burgess.

    17’15 – Became the director in London when Neil Burgess went to NY.

    19’10 – Went to NY to find economic routes.

    21’56 – The first book he worked on was a history of Georges Rodger.

    30’50 – He returned to London, worked for Phaidon, created many books, and stayed for 10 years.

    36’45 – In 2000, he started his own publishing house.

    46’ – When he started at Aperture, they were considering stopping the publication of magazines and books, but he doubled the price of the magazine, made it more luxurious, with themes, and focused on social justice. It was a gamble.

    54’ – He aimed to create a more inclusive company, both in the magazine and in the company itself.

    56’30 – Income at Aperture at that time: 10% from exhibitions, 30% from sponsorships and grants (individual gifts), and the remaining from book and magazine sales.

    59’25 – He moved back to London, got ill, and continued to work on books.

    1’01 – Evolution in photography: social media. Before, there were no emails. You did things with people you could meet in person. Now it’s a tyranny.

    1’04’10 – His advice for photographers and publishers: Clarify the purpose and narrative. If you find that clarity, nothing can stop you.


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  • Pour la troisiĂšme confĂ©rence rĂ©alisĂ©e devant un public durant les Rencontres d’Arles 2024, je suis entourĂ©e d’Urs Stahel, conservateur Ă  la fondation MAST Ă  Bologne et Arthur Mettetal, historien des chemins de fer et spĂ©cialiste du patrimoine ferroviaire et industriel. Dans cette conversation on est revenu sur les enjeux et leurs rĂŽles de commissaires Ă  travers les exemples des expositions dont ils sont les commissaires aux Rencontres d’Arles cette annĂ©e : « Quand les images apprennent Ă  parler Â» et « Wagon-bar, une petite histoire du repas ferroviaire Â». Un grand merci Ă  l'interprĂšte Anita Saxena et trĂšs bonne Ă©coute !


    3’30 - Urs Stahel : son travail Ă  la fondation MAST et sa rencontre avec la collectionneuse Astrid Ullens de Schooten Whettnall.

    8’10 – La genĂšse de l’expo « Quand les images apprennent Ă  parler Â» et la construction de la collection A.

    12’50 – Le choix de sĂ©lection des photographies de cette collection composĂ©e de diffĂ©rentes Ă©crire qui rendent compte de la rĂ©alitĂ© des sociĂ©tĂ©s et d’histoires industrielles.

    19’10 – Cette exposition est le travail d’une toute petite Ă©quipe composĂ©e de trois personnes.

    22’ – Arthur Mettetal : dĂ©lĂ©guĂ© gĂ©nĂ©ral du fonds de dotation Orient Express et historien. Son rapport Ă  la photo est venu avec un projet, en 2010-2011, sur l’usine Metal Europe, dans le Pas de Calais. Puis rĂ©alisation d’une thĂšse sur l’histoire de l’Orient Express. RĂ©flexions sur l’utilisation de photos pour documenter et crĂ©er de l’archive, mais aussi l’utilisation d’images comme source de l’histoire. RĂ©alisation d’une premiĂšre expo Ă  Arles en 2021, intitulĂ©e : « Orient express & cie. Â»

    25’55 –Valorisation d’une recherche historique en la partageant au plus grand nombre.

    27’21 – La genùse de l'exposition.

    30’ – Comment il a sĂ©lectionnĂ© les Ɠuvres et documents Ă  inclure : un coup de foudre visuel avec une sĂ©rie. Ce n’est pas une histoire exhaustive de la nourriture dans les diffĂ©rentes mobilitĂ©s, mais partir de sĂ©rie d’images et crĂ©er un cheminement intelligible. Histoire des innovations, des chemins de fer, et de la maniĂšre dont les entreprises utilisent la photo pour se crĂ©er une culture de marque.

    32’30 – L’envers du dĂ©cor de l’exposition : Il est tout seul sur le fonds de dotation et il s’est entourĂ© de l’éditeur Textuel pour faire un livre et l’exposition est co-produite par les Rencontres d’Arles. Ils travaillent sur le fonds depuis 6 ans et ils ont eu trois mois pour ce projet.

    36’45 - Arthur Metttal : ses conseils pour des personnes qui souhaitent devenir commissaire d’exposition :

    - Se confronter à des fonds d’entreprises, car ils sont magnifiques et certains sont en danger.

    - Dans une pratique historique, ne restons pas dans les archives papier classiques, mais utilisons l’image comme source de l’image en allant sur le terrain.

    38’30 – Urs Stahel : ses conseils pour de futurs commissaires : On a l’idĂ©e qu’il y a une seule histoire de la photographie, mais il y a une histoire oubliĂ©e de l’histoire, il s’agit de l’histoire de la production et des industries.


    Quand les images apprennent Ă  parler : https://www.rencontres-arles.com/fr/expositions/view/1548/quand-les-images-apprennent-a-parler

    Wagon-bar, une petite histoire du repas ferroviaire : https://www.rencontres-arles.com/fr/expositions/view/1550/wagon-bar


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  • Pour la deuxiĂšme conversation enregistrĂ©e en public durant les Rencontres de la Photographie Ă  Arles, j’ai Ă©tĂ© invitĂ©e par la Galerie Triangle Ă  Ă©changer sur la thĂ©matique des rĂ©flexions Ă©cologiques dans le milieu de la photographie. Avec Jean-Matthieu Gautier de la revue EPIC et NadĂšge Tixier-Lamaison de la galerie Triangle nous avons explorĂ© leurs parcours, leurs projets et leurs conseils pour des photographes qui souhaiteraient voir leurs travaux publiĂ©s dans une revue ou exposĂ©s dans une galerie.


    À travers leurs expĂ©riences, nous avons parlĂ© des rĂ©flexions qu’ils ont pour faire des projets plus Ă©cologiques avec du cĂŽtĂ© de la revue EPIC : ne pas avoir de publicitĂ© pour ne pas pousser Ă  la consommation, imprimer en France et ne pas ĂȘtre disponible en kiosque pour Ă©viter d’envoyer des exemplaires au pilon. Et du cĂŽtĂ© de la Galerie Triangle : essayer de rĂ©utiliser des cadres, avoir des cadres en bois, utiliser des papiers et cartels moins chimiques et se dĂ©placer en transport en commun.


    Ce qu’on peut retenir de cette discussion, c’est que personne n’est irrĂ©prochable, mais qu’il est important de faire au mieux avec ses propres contraintes en se posant des questions pour chercher des alternatives plus Ă©cologiques en demandant des conseils autour de soi.


    1’50 – Jean-Matthieu Gautier : sa formation de journaliste, ses premiĂšres expĂ©riences professionnelles puis sa rencontre avec Ambroise Touvet de l’agence Oblique.

    La relance de la revue EPIC et son format de présenter des séries photo au long cours avec la parole des photographes.

    5’15 – Son rĂŽle chez EPIC et le reste de son Ă©quipe.

    6’50 – Ses conseils pour des photographes qui souhaiteraient voir leurs travaux publiĂ©s dans EPIC.

    11’ - La genĂšse et les Ă©volutions de la revue EPIC avec comme partis pris de ne pas avoir de publicitĂ© et d’imprimer en France.

    13’07 - Leurs rĂ©flexions sur la façon de faire un magazine alignĂ© avec ses sujets engagĂ©s :

    Se dĂ©tacher de l’actualitĂ© immĂ©diate pour se documenter avec un long temps de rĂ©flexion, mais aujourd’hui la rĂ©flexion de faire Ă©voluer ce postulat.

    Pas disponible en kiosque, car cela supposerait des envois au pilon de magazines.

    19’20 - Pour faire le lien avec l’exposition sur les murs oĂč cette discussion a eu lieu, il nous explique comment ils ont prĂ©sentĂ© le travail de Maxime RichĂ© dans les pages d’EPIC.

    25’10 – NadĂšge Tixier-Lamaison : elle nous explique les choix qui ont Ă©tĂ© faits pour prĂ©senter le travail de Maxime RichĂ© dans l’espace d’exposition.

    27’ – Sa formation de photographe et les projets Ă  Londres et en Australie qui l’ont menĂ© Ă  lancer la Galerie Triangle fin 2021 pour crĂ©er un lieu pour tout le monde et pas juste pour les connaisseurs.

    30’ - Ses conseils pour des photographes qui souhaitent rejoindre sa galerie.

    33’20 – Comment a-t-elle choisi le thĂšme de l’exposition « Change » ?

    34’50 – Les rĂ©flexions Ă©cologiques sur la façon de faire des expositions comme celle-ci : un arbitrage entre le beau, ses valeurs personnelles et des raisons Ă©conomiques, car un papier plus Ă©cologique peut coĂ»ter deux fois plus cher qu’un papier classique. Essayer de rĂ©utiliser des cadres, avoir des cadres en bois et utiliser des papiers et cartels moins chimiques, se dĂ©placer en transport en commun.


    Le site de la Galerie Triangle : https://www.galerietriangle.com/

    Le site de la revue EPIC : https://revueepic.fr/

    Instagram de la Galerie Triangle : https://www.instagram.com/galerie.triangle/

    Instagram de la revue EPIC : https://www.instagram.com/revueepic/


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  • Durant la semaine d'ouverture des Rencontres de la Photographie Ă  Arles, j'ai Ă©tĂ© ravie d'ĂȘtre invitĂ©e par le Festival Impulse pour rĂ©aliser une discussion sur les publications collectives et l'auto-Ă©dition. Nous explorons ces sujets avec ZĂ©lia Zinner de Neptune Journal, et Basile Le Cleac’h de l'Atelier du Palais. On a parlĂ©, en particulier, de l'importance d'ĂȘtre bien entourĂ© et d'ĂȘtre sincĂšre avec soi-mĂȘme et les autres. J'espĂšre que cet Ă©pisode en public vous plaira. Bonne Ă©coute !


    1' - La genĂšse de l’Atelier du Palais, l’atelier d’impression en risographie et la dĂ©fense de l’auto-Ă©dition.

    3’10 - Rencontre et collaboration avec ZĂ©lia Zinner.

    5’48 – Neptune Journal : plateforme pour des photographes femmes et non conforme au genre.

    8’40 – La rĂ©ception du premier numĂ©ro et projet du second.

    10’55 - La sĂ©lection des photographes pour Neptune Journal.

    16’ – ZĂ©lia Zinner : " Neptune Journal n’est pas une source de revenus, mais une passion ".

    21’31 - Le rîle de l'Atelier du Palais dans le projet Neptune Journal.

    23’40 - L’accompagnement des photographes à l’Atelier du Palais.

    27’10 – Exemple du livre de Simon Bouillùre.

    33’30 – Autres supports : affiches, jeux, etc.

    37’10 - Faire un lieu alternatif associatif : dĂ©fis et apprentissages.

    41’ - Conseils pour les personnes souhaitant se lancer en auto-Ă©dition et rĂ©aliser une publication collective.


    Le site de l'Atelier du Palais : https://www.librairiedupalais.fr/atelier-du-palais/

    Instagram de l'Atelier du Palais : https://www.instagram.com/atelierdupalais/

    Instagram de Neptune Journal : https://www.instagram.com/neptune.journal/


    Instagram du Festival Impulse : https://www.instagram.com/festivalimpulse/


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  • -> This episode is an extract from an interview. You will find the entire interview on this same account.

    Kent is an arts writer and Associate Professor at Montclair State University in New Jersey. In this fascinating conversation, we talk about digital culture and emerging technologies. From her love for Proust to how surrealism supported socialism and surveillance capitalism, we delve into how artists use technology in unconventional ways. We also discuss the importance of using the word "image" instead of "picture" when referring to images created by algorithms and the importance of reading and questioning things. Reading (and listening) is a community. Enjoy listening!


    Charlotte Kent's website: https://ckent.art/


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  • Charlotte Kent is an arts writer and Associate Professor at Montclair State University in New Jersey. In this fascinating conversation, we talk about digital culture and emerging technologies. From her love for Proust to how surrealism supported socialism and surveillance capitalism, we delve into how artists use technology in unconventional ways. We also discuss the importance of using the word "image" instead of "picture" when referring to images created by algorithms and the importance of reading and questioning things. Reading (and listening) is a community. Enjoy listening!


    2’42 – Childhood with a diplomat father and a film critic mother.

    8’15 – We don't like the same art at all ages. She loved Renoir's paintings as a child and now loves landscapes.

    9’30 – In college, she studied philosophy, became an artist's model, and began viewing art differently.

    10’57 – She went to graduate school to read Proust on art. She was interested in why certain writings about art are excluded from history. She studied 1930s surrealism and its support for socialism.

    14’23 – She examined the contemporary period by disrupting art historical discourse.

    14’54 – In NY after 2011, a campaign said: If you see something, say something. This worried her as it hindered education, which could teach people to interpret the world visually using art.

    17’03 – Artists working on surveillance led her to consider emerging technology. She was interested in unconventional uses of this technology by artists.

    20’32 – In 2020, she was unhappy with the NFT conversation as it ignored older practices. The same issue existed with AI, which has been a concern since 2010 due to filter bubbles and algorithms.

    25’45 – The 20th century disrupted authority by disrupting historical styles. How is it disruptive to be disruptive now?

    27’ – There is a place for new aesthetics because people want to rest their eyes.

    35’ – Mobile devices and social platforms influenced photography by allowing many photos and creating styles on platforms like Tumblr, Flickr, and Instagram. We now appreciate selfies' new angles.

    43’30 – Many artists ask: why use the media they use? Every medium has its history, politics, social influence, and practices. This is a challenge for artists, who often face questions about their methods.

    48’ – She worries when photographers avoid engaging with other practices using technology.

    50’30 – With algorithmically generated works, she prefers "image" over "picture" to address the complexities of input, systems, text, tagging, and algorithms. However, discussing photography's role in people's experiences remains essential. How do we manage this for the audience?

    55’10 – Reading is important. Reading is a community.

    57’45 – She does not believe in the hierarchy of art.

    1’02 – Exercise for her students: choose an artwork and view it in person for an hour twice a week for one or two months.


    Charlotte Kent's website: https://ckent.art/


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    Avec MĂ©lanie Scarciglia et Christophe Boutin, nous avons parlĂ© de livres d’artistes. Nous sommes revenus sur la genĂšse des deux maisons d’édition qu’ils ont fondĂ©es ensemble, Onestar Press et Three Star Books. En parcourant leurs projets, nous avons abordĂ© les Ă©volutions du milieu de l’édition, comme l’arrivĂ©e de la technologie print on demand au dĂ©but des annĂ©es 2000, qui leur a permis de faire de petites quantitĂ©s de tirages, mais aussi les premiĂšres Ă©ditions des foires du livre d’art en 2005, telles que Printed Matter Ă  New York, qui ont aussi accompagnĂ© le dĂ©veloppement du marchĂ© du livre d’artiste. Dans cet entretien, nous avons parlĂ© des multiples qu’ils ont faits : tirages, chaises, Ă©tagĂšres, des PDF de leurs livres qui sont disponibles en libre accĂšs et de leur processus de travail basĂ© sur une conversation avec des artistes pouvant prendre jusqu’à 10 ans pour rĂ©aliser un ouvrage. Bonne Ă©coute !


    Le site de Onestar press : https://www.onestarpress.com/

    Le site de Three Star Books : https://threestarbooks.com/

    Bénéficiez de 25% de remise sur touts les titres onestar press, pour des commandes supérieures à 100 avec le code promo : LESVOIX.

    Le code est valable du 26 Juin au 2 juillet.


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  • Avec MĂ©lanie Scarciglia et Christophe Boutin, nous avons parlĂ© de livres d’artistes. Nous sommes revenus sur la genĂšse des deux maisons d’édition qu’ils ont fondĂ©es ensemble, Onestar Press et Three Star Books. En parcourant leurs projets, nous avons abordĂ© les Ă©volutions du milieu de l’édition, comme l’arrivĂ©e de la technologie print on demand au dĂ©but des annĂ©es 2000, qui leur a permis de faire de petites quantitĂ©s de tirages, mais aussi les premiĂšres Ă©ditions des foires du livre d’art en 2005, telles que Printed Matter Ă  New York, qui ont aussi accompagnĂ© le dĂ©veloppement du marchĂ© du livre d’artiste. Dans cet entretien, nous avons parlĂ© des multiples qu’ils ont faits : tirages, chaises, Ă©tagĂšres, des PDF de leurs livres qui sont disponibles en libre accĂšs et de leur processus de travail basĂ© sur une conversation avec des artistes pouvant prendre jusqu’à 10 ans pour rĂ©aliser un ouvrage. Bonne Ă©coute !


    2’30 – MĂ©lanie Scarciglia : des Ă©tudes en histoire de l’art et cinĂ©ma.

    3’30 – Christophe Boutin : une premiùre carriùre dans la musique et en tant qu’artiste plasticien.

    6’ – Sa dĂ©couverte du livre d’artiste : il a dĂ©veloppĂ© avec son ex-femme, la libraire Florence Loevy, une activitĂ© de self-Ă©diteur.

    7’43 – Le premier livre d’artiste chez Onestar Press fut un livre de Christophe, puis il a travaillĂ© avec ses amis artistes.

    10’ – ArrivĂ©e de la technologie d'impression Ă  la demande qui permettait de tirer des ouvrages en petites quantitĂ©s.

    13’ – Premiùre diffusion de leurs livres à la foire du livre de Francfort en 2000, puis en 2005, premiùre foire du livre d’artistes à NY, Printed Matter.

    15’30 – Les premiers acheteurs : un public de bibliophiles, puis les institutions principalement aux USA ont suivi et certaines personnes ont souhaitĂ© acheter tous les livres.

    Tous les PDF des livres sont accessibles gratuitement en ligne.

    19’45 – Les artistes publiĂ©s deviennent eux-mĂȘmes des Ă©diteurs en invitant un artiste.

    21’20 – Maison de livres d’artistes et de multiples : photos, collages, objets, chaises, Ă©tagĂšres.

    23’15 – En 2007, crĂ©ation de Three Star Books : le livre n’est plus un geste, mais une vraie conversation pouvant aller de 1 Ă  10 ans de travail.

    26’40 – Leur processus de travail : on peut aller vers les artistes avec une idĂ©e technique Ă  tester, ou la conversation peut venir des artistes eux-mĂȘmes.

    32’30 – Exemple du livre d’artiste de Cyprien Gaillard au Sri Lanka.

    39’50 – Il s’agit de livres qui doivent ĂȘtre accompagnĂ©s et ils doivent expliquer comment ils sont faits pour les vendre.

    41’40 – Les dĂ©fis pour les Ă©diteurs de livres d’artistes : ils encouragent d’autres Ă©diteurs Ă  faire des livres d’artistes. Plus l’internet devient prĂ©sent, plus ce type d’ouvrage devient important, car il existe un contact physique avec le regardeur et les objets.

    48’48 – Des conseils pour les Ă©diteurs : il faut avoir un bon comptable et s’entourer des gens qu’on aime.

    Des conseils pour les artistes : si les artistes ne trouvent pas d’éditeurs qui veulent les Ă©diter, il faut Ă©diter soi-mĂȘme. "Il est important de faire des choses qui vous ressemblent et ne pas se laisser faire par l’objet imprimĂ©."


    Le site de Onestar press : https://www.onestarpress.com/

    Le site de Three Star Books : https://threestarbooks.com/

    Bénéficiez de 25% de remise sur tous les titres Onestar Press, pour des commandes supérieures à 100 euros avec le code promo : LESVOIX.

    Le code est valable du 26 Juin au 2 juillet.


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  • -> Cet Ă©pisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce mĂȘme compte.

    « Well Done John est une phrase qu’on peut dire Ă  la fin d’un shoot pour dire « Bravo ! Â» Avec mes formations je souhaite donner confiance aux photographes. Â» Laure Bouvet est acheteuse d’art et elle accompagne des photographes dans leurs pratiques commerciales et artistiques avec sa structure Well Done John. Dans cet entretien, on a parlĂ© de ses expĂ©riences d’acheteuse d’art chez les agences Fred & Farid et la Chose et en tant qu’indĂ©pendante, mais aussi l’évolution de son mĂ©tier et de ses formations. Elle est revenue sur l’importance de dĂ©velopper une pratique artistique Ă  cĂŽtĂ© de travail de commandes pour les photographes et de l’IA qui pousse les acheteuses d’art Ă  se rĂ©inventer. Bonne Ă©coute !


    Le site de Well Done John : https://welldonejohn.com/fr/

    CrĂ©dit photo : Ilan Deutsch @ilandeutsch. 


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  • « Well Done John est une phrase qu’on peut dire Ă  la fin d’un shoot pour dire « Bravo ! Â» Avec mes formations je souhaite donner confiance aux photographes. Â» Laure Bouvet est acheteuse d’art et elle accompagne des photographes dans leurs pratiques commerciales et artistiques avec sa structure Well Done John. Dans cet entretien, on a parlĂ© de ses expĂ©riences d’acheteuse d’art chez les agences Fred & Farid et la Chose et en tant qu’indĂ©pendante, mais aussi l’évolution de son mĂ©tier et de ses formations. Elle est revenue sur l’importance de dĂ©velopper une pratique artistique Ă  cĂŽtĂ© de travail de commandes pour les photographes et de l’IA qui pousse les acheteuses d’art Ă  se rĂ©inventer. Bonne Ă©coute !


    1’ – Une enfance entre la musique et la littĂ©rature

    4’ – Sa rencontre avec les mĂ©tiers de l’image en tant que TV producer puis acheteuse d’art chez l’agence de communication Fred et Farid.

    5’45 – Qu’est-ce que c’est le mĂ©tier d’acheteur/acheteuse d’art ?

    9’40 – Son expĂ©rience chez Fred & Farid pendant 3 ans puis chez la Chose oĂč elle Ă©tait en charge de crĂ©er le dĂ©partement achat d’art et la maison de production des campagnes Print.

    13’22 – La genĂšse et les Ă©volutions de son accompagnement pour les photographes : Well Done John.

    23’25 – « Well Done John est une phrase qu’on peut dire Ă  la fin d’un shoot pour dire Bravo. Avec mes formations je souhaite donner confiance aux photographes. Â»

    24’40 – « Les photographes pensent qu’il faut montrer beaucoup d’images alors que les acheteurs d’arts viennent chercher quelque chose de prĂ©cis. Ils sont obligĂ©s de passer par cette phase indispensable, mais en montrant trop d’images, ils risquent d’ĂȘtre dans la catĂ©gorie des photographes couteaux suisses. Il est important d’assumer une Ă©criture quand on l’a trouvĂ©. Â»

    31’20 – Les Ă©volutions dans le milieu de l’achat d’art : rĂ©duction du dĂ©lai de recherches de photographes et de shooting et certains briefs n’arrivent plus jusqu’au DA, car ils sont faits en agence grĂące Ă  l’IA. RĂ©duction des budgets avec l’arrivĂ©e des banques d’images et le droit d’auteur a Ă©tĂ© mis Ă  mal par internet et par le digital.

    35’ – L’IA pousse le mĂ©tier d’achat d’art Ă  se rĂ©inventer.

    37 – Que faire pour rĂ©ussir quand on est photographe ?

    -       DĂ©velopper son travail personnel, car le travail de commande nourrira aussi le travail artistique.

    -       ĂŠtre dĂ©terminĂ© et gĂ©rer son travail comme des entrepreneurs : capable d’oser dĂ©marcher, montrer son travail s’embarquer dans une sĂ©rie avec une Ă©criture originale.

    41’ – Il est important de prĂ©server au moins un jour pour la crĂ©ativitĂ©, et pas juste pour crĂ©er, mais pour nourrir sa crĂ©ativitĂ© avec d’autres arts.

    44’07 – Ses passions en dehors de la photographie : la musique, le cinĂ©ma, les classiques de la littĂ©rature, le yoga et ses trois enfants.

    46’ – Ses conseils pour les futurs acheteurs d’art : rester pĂ©dagogue malgrĂ© l’appauvrissement des images publicitaires, car les clients prennent moins de risque tout en demandant plus d’images dans des dĂ©lais courts et faire son mĂ©tier avec passion sans nĂ©gliger le photographe au passage.


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    CrĂ©dit photo : Ilan Deutsch @ilandeutsch. 


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    À travers la carriĂšre du directeur artistique François HĂ©bel, on parcourt l’histoire du paysage photographique français de ces quarante derniĂšres annĂ©es. François HĂ©bel revient sur l’ensemble de sa carriĂšre dans diffĂ©rentes institutions emblĂ©matiques de la photographie : directeur des rencontres de la photographie Ă  Arles en 1986-1987 et entre 2001 et 2014, premier directeur de Magnum Photos de 1987 Ă  2000, mais aussi vice-prĂ©sident de l’agence Corbis en 2000, directeur de la fondation HCB et cofondateur de la Biennale Foto/Industria Ă  Bologne. On a parlĂ© d’innovation dans le milieu culturel et de comment s’entourer de la meilleure Ă©quipe pour aller au bout de nos projets. Bonne Ă©coute !


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    2’36 – NĂ© dans une famille de journalistes et de comĂ©diens. Des Ă©tudes en communication aprĂšs un passage Ă  la fac de mĂ©decine.

    4’26 – « La direction artistique c’est un mĂ©tier oĂč on passe sa vie Ă  dire « Non » Ă  des projets artistiques. Et quand je disais « Oui Â», on me disait souvent que je n’aurais pas les moyens d’aller au bout de son projet, mais je rĂ©pondais au photographe que ce n’était pas leur affaire.

    5’18 – Son passage aux galeries photo de la Fnac dans les annĂ©es 80.

    7’- Son premier passage aux Rencontres d’Arles dans les annĂ©es 80 et ses recherches pour avoir de nouveaux lieux d’expositions.

    11’20 – Son rĂŽle en tant que premier directeur de Magnum Photos alors que l’agence Ă©tait en faillite potentielle. Les projets qu’il a mis en place : relancer l’actualitĂ©, numĂ©riser les fonds de Magnum, diversifier avec des projets corporates, des bourses et des Ă©ditions.

    18’50 – Son passage chez Corbis en tant que vice prĂ©sident pour fusionner toutes les rĂ©dactions en Europe et son retour aux Rencontres d’Arles de la Photographie en 2001 jusqu’en 2014.

    25’30 – Sa philosophie d’ajouter des projets tous les ans (prolonger la durĂ©e des rencontres jusqu’en septembre pour avoir les scolaires et mettre en place des lectures de portfolios officiellement) hĂ©ritĂ©s de l’innovation qu’il avait vue Ă  la Fnac.

    33’ – Ses conseils pour aller au bout des projets en ayant la meilleure Ă©quipe : Prendre des gens balaises pour les postes clefs, s’entourer de gens qui veulent piquer notre place et dĂ©lĂ©guer.

    35’30 – La raison qui l’a poussĂ© Ă  dĂ©missionner de son poste de directeur des Rencontres d’Arles et son poste Ă  la Fondation HCB et Ă  la Biennale de Bologne.

    50’ - Les Ă©volutions dans la photo :

    -       Tous les 10 ans, il y a une transformation technique.

    -       Les lieux de dĂ©bats et d’expos se sont multipliĂ©s.

    -       Le boom de l’édition : avant un photographe avait 3 livres dans sa carriĂšre en 2000 exemplaire, et maintenant on peut faire son propre livre.

    -       Avant le tirage Ă©tait la fin en soi alors que maintenant il y a plus de formats.

    -       IntĂ©rĂȘt pour la photographie vernaculaire. 

    56’57 – « L’artiste ce n’est pas un marginal, il est au centre de la sociĂ©tĂ©. C’est une Ă©ponge de son temps et les opĂ©rateurs culturels doivent ĂȘtre permĂ©ables aux nouvelles possibilitĂ©s des artistes Â».

    57’57 – « La plupart des artistes pensent qu’ils sont les seuls Ă  ĂȘtre en dehors du circuit auquel ils devraient appartenir. Ils sont parfois timides et les entreprenants ne sont pas les meilleurs. Il faut oser. On dira non souvent, car cela ne correspond pas Ă  ce que la personne cherche Ă  ce moment-lĂ , mais il faut continuer. Â»


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    « C’est l’écosystĂšme qui me nourrit, ce n’est pas le magazine lui-mĂȘme. Â» Avec l’éditeur Benoit Pelletier, je souhaitais qu’on aborde le sujet de l’écosystĂšme qu’il a construit autour de son magazine Process. Dans cet entretien, on est revenu sur ses diffĂ©rents projets de directeur artistique, Ă©diteur et photographe. Ses dĂ©buts dans le secteur de la musique classique auprĂšs d’artistes, puis de salles de spectacles jusqu’à ses projets avec des institutions culturelles comme le MusĂ©e national de la Marine Ă  Chaillot. Nous avons abordĂ© la genĂšse de son magazine Process qui a dĂ©butĂ© comme un hobby et a trouvĂ© sa place au fil des numĂ©ros dans l’écosystĂšme de la photographie. J’espĂšre que cet Ă©pisode vous plaira et vous inspirera dans vos projets, bonne Ă©coute !


    Le site de Benoit Pelletier : https://benoitpelletier.com/


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    2’10 – Son environnement familial, ses Ă©tudes de droit et sa premiĂšre sociĂ©tĂ© dans le secteur de la musique classique.

    6’30 – Le moment fondateur oĂč il a fait l’identitĂ© visuelle et la photo pour la scĂšne nationale du ManĂšge Ă  Reims.

    10’08 – Le dĂ©veloppement de sa premiĂšre structure avec jusqu’à 40 clients en mĂȘme temps.

    12’ – Le fonctionnement des appels d’offres.

    15’30 – La genĂšse du magazine Process comme expression naturelle de ce qu’il a toujours fait : lier le fond et la forme.

    20’15 – La sĂ©paration avec son associĂ© et l'Ă©volution de ses projets en tant que Directeur Artistique.

    27’35 – "Le magazine a un effet vitrine qui peut donner l'envie Ă  des personnes de nous consulter pour des projets d'Ă©ditions ou de direction artistique."

    28’25 – Ses projets de DA et de crĂ©ation de contenu pour des institutions culturels avec par exemple le MusĂ©e national de la Marine, Ă  Chaillot.

    30’ – L’exemple de sa collaboration avec Taittinger avec la production de contenu en ligne.

    36’26 – Son Ă©cosystĂšme : Ă©dition / DA et photographie.

    45’48 – Les Ă©volutions dans l’édition photo : "Le public est de plus en plus averti et attend d’avoir un bel objet, car il n’y a pas que les images qui comptent." "La perception du prix du livre est toujours infĂ©rieure Ă  ce qu'il coĂ»te vraiment."

    55’40 – Ses conseils pour faire un magazine : "Il ne s’agit pas d’avoir une bonne idĂ©e, mais de l’insĂ©rer dans un contexte. Il faut trouver une place qui est la nĂŽtre et se demander ce qu’on apporte."


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    Thierry Bigaignon est un galeriste parisien d’art contemporain photosensible et dans cette conversation nous revenons sur le dĂ©but de sa carriĂšre professionnelle en communication, l’ouverture de sa galerie, les Ă©volutions et particularitĂ©s de sa galerie qui a une librairie curatĂ©e, une veste de galeriste, une identitĂ© olfactive et des rĂ©serves ouvertes au public. On a parlĂ© aussi des dĂ©fis qu’il rencontre de renouveler sa clientĂšle de collectionneurs, son ambition de hisser sa galerie au rang d’un leader et il nous explique pourquoi il souhaite amener la photo vers l’art contemporain. Vous retrouverez aussi des conseils si vous souhaitez lancer votre galerie ou travailler avec un galeriste. TrĂšs bonne Ă©coute !


    Le site de Bigaignon: https://bigaignon.com/


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  • Thierry Bigaignon est un galeriste parisien d’art contemporain photosensible et dans cette conversation nous revenons sur le dĂ©but de sa carriĂšre professionnelle en communication, l’ouverture de sa galerie, les Ă©volutions et particularitĂ©s de sa galerie qui a une librairie curatĂ©e, une veste de galeriste, une identitĂ© olfactive et des rĂ©serves ouvertes au public. On a parlĂ© aussi des dĂ©fis qu’il rencontre de renouveler sa clientĂšle de collectionneurs, son ambition de hisser sa galerie au rang d’un leader et il nous explique pourquoi il souhaite amener la photo vers l’art contemporain. Vous retrouverez aussi des conseils si vous souhaitez lancer votre galerie ou travailler avec un galeriste. TrĂšs bonne Ă©coute !


    1’ – Son environnement familial, sa formation en science politique et histoire et son dĂ©but de carriĂšre professionnelle dans la communication en Angleterre et Paris.

    7’ – Le dĂ©but de sa galerie : « J’ai arrĂȘtĂ© mon agence en communication car j’avais l’impression d’ĂȘtre le seul passionnĂ© dans la salle. J’ai dĂ©cidĂ© de crĂ©er ma galerie car dans une galerie, on parle entre passionnĂ©s. Â»

    9’10 – Les dĂ©buts de la galerie Ă  l’hĂŽtel de Reitz et l’histoire de son exposition inaugurale avec Ralph Gibson.

    21’30 – Son ambition : envie de se hisser au rang d’un leader. « Le propre des galeries est d’ĂȘtre des petites entreprises qui agissent comme des grandes. Il existe une dichotomie entre la taille des entreprises dans le marchĂ© de l’art et le marchĂ© mondial que l’on vise. »

    28’- Pourquoi il souhaite amener la photo vers l’art contemporain.

    34’ – Une des particularitĂ©s de sa galerie : une librairie curatĂ©e qui se renouvelle tous les trois mois.

    44’ – Ses stratĂ©gies pour rester pertinent dans le marchĂ© de l’art : crĂ©ation d’une veste de galeriste et travail sur une identitĂ© olfactive diffusĂ© dans la galerie/librairie et dans les foires.

    50’30 – Les dĂ©fis auxquels il fait face en tant que galeriste :

    Mutation des collectionneurs : travail pour se rapprocher des collectionneurs millennials pour maintenir sa clientĂšle de collectionneurs.

    Mutation technologique qui touche le mĂ©tier de galeriste et l’art lui-mĂȘme car on est dans une pĂ©riode de changement technologique importante et le galeriste est un passeur entre le monde de la crĂ©ation et les acheteurs.

    InstabilitĂ© politique. Quand on veut promouvoir des artistes Ă  l’étranger, on doit se poser la question, est-ce qu’on fait les bons choix ?

    57’40 – S’il Ă©tait artiste et qu’il souhaite montrer son travail Ă  un galeriste, il essayerait de faire une liste des galeries qui correspondent Ă  son travail, aller Ă  toutes les expos, comprendre comment la galerie fonctionne et rencontrer les autres artistes de la galerie. Je ferai des expos collectives en centre d’art et je ferai des livres avant mĂȘme d’ĂȘtre en galerie. Un galeriste ne va pas montrer d’artiste qui n’a jamais montrĂ© son travail.

    1’00'00 – Ses conseils pour les jeunes ou futurs galeristes : C’est un mĂ©tier trĂšs difficile Ă©conomiquement et la passion ne suffit pas. Il faut avoir le cƓur solide et le sens des responsabilitĂ©s.


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    Pour ce 100Ăšme Ă©pisode, je suis ravie d’avoir Ă©tĂ© interviewĂ©e par l’hĂŽte du podcast The Bold Way (Anciennement Entreprendre dans la mode), Adrien Garcia. Nous sommes revenus sur la genĂšse, les Ă©volutions et l’avenir de mon podcast lancĂ© il y a quatre ans, mes coups de cƓur mais aussi ce que je fais pour m’amĂ©liorer et mes conseils pour des personnes qui souhaiteraient lancer un podcast. J’espĂšre que cet Ă©pisode spĂ©cial vous plaira, encore merci Ă  Adrien et bonne Ă©coute !


    Le site de The Bold Way : https://www.theboldway.fr/


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