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  • Ce qu'on retient des chercheur·es, bien souvent, c’est ce qu’ils ont trouvé. Or derrière l’objectivité des résultats se trouvent des personnes qui mènent des enquêtes, qui formulent des hypothèses, sur un temps long. Pour produire du savoir, il faut chercher, et ce chemin peut être tortueux, semé d’embûches et de doutes, mais on y fait aussi de belles rencontres et des découvertes stimulantes. Dans la série de l'été « En quête de savoirs », nous allons donc explorer comment la recherche est vécue par celles et ceux qui la pratiquent.

    Dans le quatrième épisode de cette série, Corine Defrance, directrice de recherche au CNRS rattachée à l’UMR SIRICE et Andreas Wilkens, professeur à l’Université de Lorraine, reviennent sur l'enquête et les questions qu'ils se sont posées autour de l'écriture d'une biographie. Chacun·e a travaillé sur une femme méconnue de l’histoire du XXème siècle, Françoise Frenkel et Hilda Monte. Ces deux écrivaines juives, aux identités fluctuantes et aux parcours migratoires traversant l'Europe d'est en ouest, ont été victimes du nazisme et y ont résisté chacune à leur manière.

    Les ouvrages mentionnés dans l’épisode sont les suivants :

    Corine Defrance, Françoise Frenkel, portrait d’une inconnue, Gallimard, Paris, 2022.

    Françoise Frenkel, Rien où poser sa tête, préface de Patrick Modiano, Gallimard, Paris, 2015.

    Françoise Frenkel, Zone de la douleur. Inédits et textes retrouvés, traduction des textes allemands par Olivier Le Lay, Gallimard, Paris, 2022.

    Hilda Monte, The Unity of Europe, édité par Andreas Wilkens, Peter Lang, Bruxelles, 2023.

    Andreas Wilkens, Mit dem Leben bezahlt : Hilda Monte, eine Europäerin im Widerstand, à paraître, Lukas Verlag.

    Layla Kiefel est doctorante associée au Centre Marc Bloch.


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  • Ce qu'on retient des chercheur·es, bien souvent, c’est ce qu’ils ont trouvé. Or derrière l’objectivité des résultats se trouvent des personnes qui mènent des enquêtes, qui formulent des hypothèses, sur un temps long. Pour produire du savoir, il faut chercher, et ce chemin peut être tortueux, semé d’embûches et de doutes, mais on y fait aussi de belles rencontres et des découvertes stimulantes. Dans la série de l'été « En quête de savoirs », nous allons donc explorer comment la recherche est vécue par celles et ceux qui la pratiquent.

    Dans le troisième épisode, les historiennes Esther Möller et Sonia Combe échangent autour de leurs expériences en archives dans les différents pays où elles ont mené leurs recherches, en France, en Allemagne, au Liban et en Égypte. Un problème majeur qu’elles ont rencontré est celui de l’accessibilité des archives. Comment l’accès aux sources a-t-il influencé leur recherche ? Comment faire quand les archives ne sont pas ouvertes au chercheur·es ? Elles y répondent dans une discussion mêlant méthodes de recherche et enjeux politiques.

    L’ouvrage de Sonia Combe dont il est question dans l’épisode est le suivant : Sonia Combe, Archives interdites. Les peurs françaises face à l’histoire contemporaine, Paris, Albin Michel, 1994 (rééd. Archives interdites. L’histoire confisquée, Paris, La Découverte, 2001).

    Layla Kiefel est doctorante associée au Centre Marc Bloch.


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  • Ce qu'on retient des chercheur·es, bien souvent, c’est ce qu’ils ont trouvé. Or derrière l’objectivité des résultats se trouvent des personnes qui mènent des enquêtes, qui formulent des hypothèses, sur un temps long. Pour produire du savoir, il faut chercher, et ce chemin peut être tortueux, semé d’embûches et de doutes, mais on y fait aussi de belles rencontres et des découvertes stimulantes. Dans la série de l'été « En quête de savoirs », nous allons donc explorer comment la recherche est vécue par celles et ceux qui la pratiquent.

    Dans le deuxième épisode de cette série, Ophélie Mercier et Mohamad El-Hadidi discutent de leur rapport à l’enquête en anthropologie. Elle est doctorante à l’Université de Gand et au Centre Marc Bloch, il est cinéaste installé à Berlin depuis 2020, et elle dit en plaisantant qu’il est l’un des personnages principaux de sa thèse. Nous nous intéressons aux influences qu’ils exercent l’un sur l’autre, entre enquêtrice et enquêté, entre une chercheuse et un artiste. En partageant leurs réflexions sur l’exil, ils sont devenus amis, et interrogent les frontières entre l’enquête et l’intimité.

    Rectificatif : en France, il est interdit de porter des écouteurs à vélo. Pour écouter Radio Marc Boch en pédalant, il vous faudra donc d’abord passer Outre-Rhin !

    Layla Kiefel est doctorante associée au Centre Marc Bloch.


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  • Ce qu'on retient des chercheur·es, bien souvent, c’est ce qu’ils ont trouvé. Or derrière l’objectivité des résultats se trouvent des personnes qui mènent des enquêtes, qui formulent des hypothèses, sur un temps long. Pour produire du savoir, il faut chercher, et ce chemin peut être tortueux, semé d’embûches et de doutes, mais on y fait aussi de belles rencontres et des découvertes stimulantes. Dans la série de l'été "En quête de savoirs", nous allons donc explorer comment la recherche est vécue par celles et ceux qui la pratiquent.

    Dans le premier épisode, Alexandra Oeser et Romain Tiquet reviennent sur leur positionnement vis-à-vis de leurs recherches. Elle est allemande, non-juive et travaille sur le rire sous le nazisme, il est français, blanc et spécialiste de l’Afrique de l’Ouest. Comment les débats autour de la positionnalité des chercheur·es les ont-ils influencé·es ? Dans un monde académique qui ne laisse de place qu’aux certitudes, Alexandra Oeser et Romain Tiquet prônent le doute et la remise en question des chercheur·es.

    Une série imaginée et réalisée par Layla Kiefel, doctorante associée au CMB.


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  • Les grands projets d’aménagement sont une cible privilégiée des mouvements écologistes. Dénoncés comme « inutiles et imposés », ces projets font l’objet de multiples résistances. Pourtant, la notion d’utilité publique est au cœur de leur légitimation par les pouvoirs publics français. Car aux yeux de l’administration, l’utilité publique ne renvoie pas à l’idée générale de bien commun, c’est un principe au nom duquel il est juridiquement possible de transformer l’état du monde, en sacrifiant certaines populations et environnements. La conformité ou non d’un projet à ce principe résulte d’une procédure administrative ancienne et méconnue, l’enquête publique, mise en scène par excellence du consentement de tous. Dans son livre Inutilité Publique. Histoire d'une culture politique française (2022 Éditions Amsterdam) Frédéric Graber propose un décryptage de ce rouage central de l’économie des projets. Retraçant l’histoire de la fiction juridique qu’est l’utilité publique et de la procédure participative qui la soutient, il montre comment la référence à ce principe, formulé sous l’Ancien régime pour favoriser certains intérêts tout en se prévalant d’une forme de justice, a été maintenue jusqu’à nos jours. Il s'entretient ici avec Anja Röcke.

    Frédéric Graber est historien au CNRS, basé au Centre de recherches historiques (EHESS, Paris) et membre associé au Centre Marc Bloch. Ses travaux portent sur l'histoire environnementale des mondes contemporains et plus spécifiquement sur les outils administratifs du développement industriel et infrastructurel.

    Anja Röcke est sociologue à l’Université de la Sarre, à l’Université Humboldt de Berlin et chercheuse associée au Centre Marc Bloch. Ses travaux portent sur la sociologie de la culture, notamment sur les théories et pratiques d’optimisation de soi, la sociologie politique et la sociologie de l'Europe.


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  • Pour ce nouvel épisode de Radio Marc Bloch, nous vous proposons un échange entre l'essayiste féministe Titiou Lecoq et l’historien Andreas Mayer autour de l'oeuvre d'Honoré de Balzac!

    A l’occasion de la traduction de son ouvrage "Honoré et moi" chez la Friedenauer Presse (Matthes und Seitz), Titiou Lecoq, essayiste et journaliste féministe, notamment connue pour son podcast "Rends l'argent", sur la place des arrangements financiers dans le couple, revient avec Andreas Mayer (historien, chercheur au Centre Marc Bloch/Centre Alexandre Koyré, EHESS), sur plusieurs thématiques centrales de l’œuvre de Balzac : le couple, l’argent et la modernité.

    Dans son approche de Balzac, Titiou Lecoq estime que l’argent est aussi un enjeu profondément balzacien, que l'on retrouve à la fois comme objet de ses romans, de ses obsessions personnelles, et enjeu dans ses relations amoureuses. Etonnamment, si Balzac a analysé avec brio les mécanismes financiers du capitalisme industriel naissant, dans ses romans, ses propres entreprises personnelles ont toujours échoué! Elle évoque aussi les prises de position relativement modernes de Balzac sur la question du mariage, des droits des femmes ou encore des violences sexuelles.

    Andreas Mayer, qui dans le sillage de son histoire des études sur le mouvement au XIXe siècle a traduit plusieurs oeuvres de Balzac pour la Friedenauer Presse (Traité des excitants modernes/ Abhandlung über moderne Stimulanzien, La théorie de la démarche/Theorie des Gehens), évoque quant à lui autre aspect de l’œuvre de Balzac, tout à fait révélateur lui aussi de sa modernité, la question du corps et de la démarche. Si Balzac lui-même n’aimait pas son corps, l’émergence de cette question est aussi propre à une époque où promenade et mondanité se conjuguent.

    Cette conversation a été modérée par Marieke Louis, directrice adjointe du Centre Marc Bloch, avec le soutien de Maroussia Héron, stagiaire au Centre Marc Bloch. Il a été enregistré le 7 juin 2024 à l'occasion d'une journée d'études "Penser la société avec Balzac" qui s'est terminée par une conférence avec Titiou Lecoq, Andreas Mayer, et l'éditeur Andreas Rötzer de Matthes und Seitz. Vous pourrez retrouver cette conférence ici.

    Pour aller plus loin, nous vous recommandons les ouvrages suivants:

    Titiou Lecoq, Honoré et moi (L'Iconoclaste, 2019, Le Livre de Poche, 2021, trad. allemande Balzac und ich, Friedenauer Presse 2024); Les Morues (Au Diable Vauvert, 2011); Libérées ! Le combat féministe se gagne devant le panier de linge sale (Fayard, 2017),

    Andreas Mayer, nouvelle édition de la Théorie de la démarche d'Honoré de Balzac (Editions Le Passage, 2025) et traduction allemande (Theorie des Gehens, Friedenauer Presse, 2022); Wissenschaft vom Gehen. Die Erforschung des Gehens im 19. Jahrhunderts (Fischer, 2013; trad. française à paraître en 2025, Les Belles Lettres)


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  • Leyla Dakhli est historienne au CNRS et chercheuse associée au Centre Marc Bloch. Ses recherches sur l’histoire des mouvements sociaux et des mondes intellectuels dans le monde arabe contemporain, notamment sur les mobilisations féminines et féministes, portent sur les intellectuel.les arabes et sur l’histoire sociale du Sud de la Méditerranée, en particulier sur l’histoire des femmes et sur la question des exilés intellectuels et activistes. Parmi ses publications figurent « Histoire du Proche-Orient contemporain » (2015), « Le Moyen-Orient (fin XIXe-XXe siècle) » (2016) et « L’esprit de la révolte. Archives et actualités des révolutions arabes » (2020).

    Leyla Dakhli a coordonné le projet DREAM (Drafting and Enacting the Revolutions in the Eastern Mediterranean), mené avec une quinzaine de chercheurs et chercheuses entre 2018 et 2024. L’équipe de DREAM a exploré les révoltes et soulèvements dans les pays du Sud de la Méditerranée. Alors que le mot de « révolution » évoque souvent d’abord les Printemps arabes (2010-11) et les luttes de décolonisation (1930-1960), le projet DREAM a exploré aussi les « entre-temps » et les continuités révolutionnaires. En résulte des histoires parfois personnelles, souvent sociales et politiques, qui tentent de préserver des récits souvent passés sous silence.

    En février dernier, le projet DREAM s’est conclu par une exposition/conférence « Les cartes de la dignité » au cours de laquelle les membres de l’équipe ont présenté la représentation graphique de recherches menées sur le concept de dignité.

    Ophélie Mercier, doctorante associée au CMB, revient avec Leyla Dakhli sur le parcours de recherche réalisé au cours du projet DREAM et les réflexions qui en émanent.


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  • Der Begriff der „Blue Economy“ ist jetzt in Mode, aber welche Sektoren verbergen sich tatsächlich hinter dieser „blauen Wirtschaft“? Und welchen Einfluss hat die Energiewende auf Bereiche wie Meeresschutz, maritimen Transport oder Fischerei? Sind Elektro-Containerschiffe in naher Zukunft vorstellbar?

    Dies ist das Thema der sechsten Episode des Podcasts #WuPiG (Wissenschaft und Politik im Gespräch), der Vertreterinnen und Vertreter aus Politik und Forschung zusammenbringt.

    Zu Gast ist Felix Leinemann, Referatsleiter für blaue Wirtschaftssektoren, Aquakultur und maritime Raumplanung in der Generaldirektion Maritime Angelegenheiten und Fischerei der Europäischen Kommission. Er spricht in dieser Folge mit Florian Lennert, Experte für nachhaltige Innovation und Entwicklung, Klaus-Töpfer-Sustainability Fellow am Research Institute for Sustainability.

    Das Podcast-Projekt "Wissenschaft und Politik im Gespräch" (#WuPiG) wird wissenschaftlich begleitet und wir würden uns sehr freuen, wenn Sie sich ein paar Minuten Zeit nehmen, um den folgenden Fragebogen zum Thema Podcasts in der Wissenschaft auszufüllen:
    📲evaluationsplattform.impactunit.de/show/719

    Wissenschaftskommunikator Sébastien Vannier hat den Podcast am RIFS im vom Bundesministerium für Bildung und Forschung geförderten #FactoryWissKomm-Fellowship entwickelt. Dies in Zusammenarbeit mit dem deutsch-französischen Forschungszentrum Centre Marc Bloch. Die Wissenschaftsjournalistin Julia Vismann moderiert.
    📲Musik: Nicolas Pannetier
    📲Tonmastering: Yuliia Vlaskina

    Dieser Podcast wurde in Zusammenarbeit mit dem Research Institute for Sustainability (RIFS) und dem Programm #FactoryWissKomm produziert. Die Erstveröffentlichung erfolge auf der Podcast-Seite von RIFS.


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  • A moins d'une semaine des élections européennes, Elsa Tulmets (Université européenne de la Viadrina/Centre Marc Bloch) et Arnaud Lechevalier (Paris 1 Panthéon-Sorbonne/Centre Marc Bloch) nous éclairent sur la place des questions sociales et internationales dans l'agenda européen ces dernières années mais aussi sur les enjeux à venir.

    Alors que sur le plan de la politique extérieure la guerre en Ukraine a rouvert la question de l’élargissement de l’Union européenne, et qu'au niveau intérieur la politique sociale est devenue centrale depuis la pandémie de Covid, les sondages annoncent pourtant un virage à l'extrême-droite, pourtant historiquement opposée à ce double agenda d'une Europe sociale et d'une Europe de la défense.

    Après une mise en contexte de la campagne électorale (3:25), Arnaud Lechevalier est notamment revenu sur la tension historique entre l’Europe sociale et l’Europe du marché, ainsi que sur les récentes initiatives européennes pour une politique sociale commune (7:35 et suivantes). Elsa Tulmets s'est quant à elle penchée sur la position des pays du groupe de Visegrád (Pologne, République tchèque, Slovaquie et Hongrie) depuis l'agression russe de l'Ukraine et les enjeux de l’élargissement européen (31:50-54). L'échange s'est conclu sur une présentation de la Chaire « Pensées françaises contemporaines » (54:25), fruit d'un partenariat entre l'Université européenne de la Viadrina, l'Université Paris 1 Panthéon Sorbonne et le Centre Marc Bloch.

    Arnaud Lechevalier est professeur d’économie à l’Université Paris I Sorbonne et chercheur associé au Centre Marc Bloch. Il est actuellement titulaire de la Chaire "Pensées françaises contemporaines". Ses recherches portent sur les systèmes de protection sociale dans l'Union européenne, l’État-providence et l’intégration européenne. Il a récemment publié "L'Europe sociale par-delà le "Socle européen des droits sociaux" (Note de l'Institut Veblen, 27 mars 2024).

    Elsa Tulmets est en poste à l’Université de la Viadrina, à Francfort-sur-l’Oder et chercheuse associée au Centre Marc Bloch. Ses recherches portent sur la politique extérieure de l’Union Européenne, avec un focus sur l’Allemagne, les pays de l’Europe centrale et de l’Europe de l’Est. Elle a récemment publié "The EU Presidencies of Central Eastern European Members: A Framework for Mutual Socialisation and Normative Influence on the EU’s Agenda?" » dans Kolmašová, Š. et Reboredo, R. (eds), Norm Diffusion Beyond the West. Norm Research in International Relations (Springer, 2023).

    Cette discussion a été modérée par Marieke Louis, directrice adjointe du Centre Marc Bloch, avec le soutien d'Emil Rau, stagiaire au Centre Marc Bloch.


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  • Ein Gespräch mit Michael Jopp, (Senatsverwaltung Berlin) und Jutta Katthage (Bundesinstitut für Sportwissenschaft).

    Die UEFA und der DFB haben nichts weniger versprochen, als „die nachhaltigste Fußball-Europameisterschaft aller Zeiten“ zu organisieren. Aber welche konkreten Maßnahmen sind damit gemeint? Welche Sektoren kann das Organisationskomitee in dieser Hinsicht überhaupt beeinflussen? Und wie sind die Auswirkungen auf die Nachhaltigkeit überhaupt messbar?

    Dies ist das Thema der fünften Episode des Podcasts #WuPiG (Wissenschaft und Politik im Gespräch), der Vertreterinnen und Vertreter aus Politik und Forschung zusammenbringt. Zu Gast ist Michael Jopp, Nachhaltigskeitsmanager in der "EURO 2024 Host City Berlin" bei der Senatsverwaltung Berlin für Inneres und Sport und stellvertretender Sprecher der EURO 2024 Host City AG ESG. Er spricht in dieser Folge mit Jutta Katthage, Leiterin des Bereich Sportökologie bei dem Bundesinstitut für Sportwissenschaft.

    Das Podcast-Projekt "Wissenschaft und Politik im Gespräch" (#WuPiG) wird wissenschaftlich begleitet und wir würden uns sehr freuen, wenn Sie sich ein paar Minuten Zeit nehmen, um den folgenden Fragebogen zum Thema Podcasts in der Wissenschaft auszufüllen:
    📲evaluationsplattform.impactunit.de/show/719

    Wissenschaftskommunikator Sébastien Vannier hat den Podcast am RIFS im vom Bundesministerium für Bildung und Forschung geförderten #FactoryWissKomm-Fellowship entwickelt. Dies in Zusammenarbeit mit dem deutsch-französischen Forschungszentrum Centre Marc Bloch. Die Wissenschaftsjournalistin JuliaVismann moderiert.

    📲Musik: Nicolas Pannetier
    📲Tonmastering: Yuliia Vlaskina

    Dieser Podcast wurde in Zusammenarbeit mit dem Research Institute for Sustainability (RIFS) und dem Programm #FactoryWissKomm produziert. Die Erstveröffentlichung erfolge auf der Podcast-Seite von RIFS.


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  • Ein Gespräch zum „Nachhaltigen Bauen“ mit Elisabeth Kaiser (SPD) und Eike Roswag-Klinge (TU Berlin)

    Wie kann das Gebäudesektor seine Klimaziele überhaupt erreichen? Ist das Ziel der Bundesregierung 400 000 neue Wohnungen pro Jahr zu bauen überhaupt sinnvoll und nachhaltig? Welche realistischen Baustoffalternativen gibt es für den Klimasünder Beton?

    Dies ist das Thema der vierten Episode des Podcasts #WuPiG (Wissenschaft und Politik im Gespräch), der nun jede Woche Vertreterinnen und Vertreter aus Politik und Forschung zusammenbringt.

    Zu Gast ist Elisabeth Kaiser (SPD), Parlamentarische Staatssekretärin bei der Bundesministerin für Wohnen, Stadtentwicklung und Bauwesen und Bundestagsabgeordnete aus dem Wahlkreis Gera. Sie spricht in dieser Folge mit Eike Roswag-Klinge, Professor für Architektur an der Technischen Universität Berlin und Leiter des Natural Building Lab.

    Das Podcast-Projekt "Wissenschaft und Politik im Gespräch" (#WuPiG) wird wissenschaftlich begleitet und wir würden uns sehr freuen, wenn Sie sich ein paar Minuten Zeit nehmen, um den folgenden Fragebogen zum Thema Podcasts in der Wissenschaft auszufüllen:
    📲evaluationsplattform.impactunit.de/show/719

    Wissenschaftskommunikator Sébastien Vannier hat den Podcast am RIFS im vom Bundesministerium für Bildung und Forschung geförderten #FactoryWissKomm-Fellowship entwickelt. Dies in Zusammenarbeit mit dem deutsch-französischen Forschungszentrzum Centre Marc Bloch. Die Wissenschaftsjournalistin Julia Vismann moderiert.

    Diese Folge wurde auf dem UFO-Boot Futuro 13 in Berlin-Plänterwald aufgenommen.

    📲Musik: Nicolas Pannetier
    📲Tonmastering: Yuliia Vlaskina

    Dieser Podcast wurde in Zusammenarbeit mit dem Research Institute for Sustainability (RIFS) und dem Programm #FactoryWissKomm produziert. Die Erstveröffentlichung erfolge auf der Podcast-Seite von RIFS.


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  • Die Benutzung der Künstlichen Intelligenz gehört in vielen Bereichen inzwischen zum Alltag, aber gibt es schon genug wissenschaftlichen Daten, um ihre Auswirkungen auf Nachhaltigkeit zu messen? Und wo sollte die Politik den Cursor platzieren, um die Entwicklungen der KI zu regulieren?

    Dies ist das Thema der dritten Episode des Podcasts #WuPiG (Wissenschaft und Politik im Gespräch), der nun jede Woche Vertreterinnen und Vertreter aus Politik und Forschung zusammenbringt.

    Zu Gast ist Maximilian Funke-Kaiser, Digitalpolitischer Sprecher der FDP-Bundestagsfraktion. Er spricht in dieser Folge mit Stefanie Kunkel, Forscherin in der Gruppe „Digitalisierung und Transformation zur Nachhaltigkeit“ am RIFS. Sie arbeitet u.a zu den Auswirkungen von und Gestaltungsmöglichkeiten für Künstliche Intelligenz in Hinblick auf ihre ökologischen Effekte.

    Das Podcast-Projekt "Wissenschaft und Politik im Gespräch" (#WuPiG) wird wissenschaftlich begleitet und wir würden uns sehr freuen, wenn Sie sich ein paar Minuten Zeit nehmen, um den folgenden Fragebogen zum Thema Podcasts in der Wissenschaft auszufüllen:
    📲evaluationsplattform.impactunit.de/show/719

    Wissenschaftskommunikator Sébastien Vannier hat den Podcast am RIFS im vom Bundesministerium für Bildung und Forschung geförderten #FactoryWissKomm-Fellowship entwickelt. Dies in Zusammenarbeit mit dem deutsch-französischen Forschungszentrzum Centre Marc Bloch. Die Wissenschaftsjournalistin Julia Vismann moderiert.

    📲Musik: Nicolas Pannetier
    📲Tonmastering: Yuliia Vlaskina

    Dieser Podcast wurde in Zusammenarbeit mit dem Research Institute for Sustainability (RIFS) und dem Programm #FactoryWissKomm produziert. Die Erstveröffentlichung erfolge auf der Podcast-Seite von RIFS.


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  • Dieser Podcast wurde in Zusammenarbeit mit dem Research Institute for Sustainability (RIFS) und dem Programm #FactoryWissKomm produziert. Die Erstveröffentlichung erfolge auf der Podcast-Seite von RIFS.

    Barcelona, London und jetzt Berlin: die „Kiezblocks“ (Wohngebiete ohne Durchgangsverkehr) sind nicht mehr nur Experimente der Mobilitätspolitik, sie sind Realität geworden in mehreren europäischen Metropolen und ernten Lob und Kritik in der Bevölkerung. Welche Mobilitätswende ist in der Hauptstadt möglich?

    Dies ist das Thema der zweiten Episode des Podcasts WuPiG (Wissenschaft und Politik im Gespräch), der jede Woche Vertreterinnen und Vertreter aus Politik und Forschung zusammenbringt.

    Zu Gast ist Almut Neumann (Bündnis 90/Die Grünen), Bezirksstadträtin für Ordnung, Umwelt, Natur, Straßen und Grünflächen im Bezirk Mitte in Berlin. Zuvor hatte sie sich bei der Initiative „Volksentscheid Berlin autofrei“ engagiert und war Verwaltungsrichterin in Berlin. Kurz vor der Veröffentlichung dieser Episode hat sie angekündigt, dass aus familiären Gründen aus Ihrem Amt zurückzutreten.

    Sie spricht in dieser Folge mit Dirk von Schneidemesser, Sozialwissenschaftler und wissenschaftlicher Mitarbeiter im Projekt „Ko-Kreation und zeitgemäße Politikberatung“ am RIFS. Er leitet dort auch das Projekt „Kiezblocks als modulare sektorenübergreifende Anpassungsstrategie an den Klimawandel“.

    Das Podcast-Projekt "Wissenschaft und Politik im Gespräch" (WuPiG) wird wissenschaftlich begleitet und wir würden uns sehr freuen, wenn Sie sich ein paar Minuten Zeit nehmen würden, um den folgenden Fragebogen zum Thema Podcasts in der Wissenschaft auszufüllen:
    📲evaluationsplattform.impactunit.de/show/719

    Wissenschaftskommunikator Sébastien Vannier hat den Podcast am RIFS im vom Bundesministerium für Bildung und Forschung geförderten FactoryWissKomm-Fellowship entwickelt.
    📲www.rifs-potsdam.de/de/wissenschaft…ik-im-gespraech

    Der Podcast entsteht in Zusammenarbeit mit dem deutsch-französischen Forschungszentrzum Centre Marc Bloch. Die Wissenschaftsjournalistin Julia Vismann moderiert.

    📲Musik: Nicolas Pannetier
    📲Tonmastering: Yuliia Vlaskina


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  • Dieser Podcast wurde in Zusammenarbeit mit dem Research Institute for Sustainability (RIFS) und dem Programm #FactoryWissKomm produziert. Die Erstveröffentlichung erfolge auf der Podcast-Seite von RIFS.

    Letzte Generation, Bauernproteste oder Einhaltung der Klimaziele: Es gibt viele Dossiers, um die nachhaltige Entwicklung auf die Agenda unserer politischen Vertreter und Verterinnen zu setzen. Aber ist der politische Rhythmus mit der Zeitskala kompatibel, in der die Herausforderungen unseres Planeten noch zu schaffen sind? Welche konkreten Vorschläge gibt es, um einen fruchtbaren Dialog mit Bürgerinnen und Bürgern zu führen, um nachhaltige Lösungen zu finden?

    Dies ist das Thema der ersten Episode des Podcasts #WuPiG (Wissenschaft und Politik im Gespräch), der nun jede Woche Vertreterinnen und Vertreter aus Politik und Forschung zusammenbringt.

    Zu Gast ist Doris Fuchs, wissenschaftliche Direktorin am Forschungsinstituts für Nachhaltigkeit oder RIFS Potsdam, von Research Institute for Sustainability. Die Politikwissenschaftlerin ist auch Professorin für Nachhaltige Entwicklung an der Universität Münster. Sie spricht mit Andreas Jung, klima- und energiepolitischer Sprecher der CDU/CSU-Fraktion am Bundestag und stellvertretender Vorsitzender der CDU.

    Das Podcast-Projekt "Wissenschaft und Politik im Gespräch" (#WuPiG) wird wissenschaftlich begleitet und wir würden uns sehr freuen, wenn Sie sich ein paar Minuten Zeit nehmen würden, um den folgenden Fragebogen zum Thema Podcasts in der Wissenschaft auszufüllen:
    📲evaluationsplattform.impactunit.de/show/719

    Wissenschaftskommunikator Sébastien Vannier hat den Podcast am RIFS im vom Bundesministerium für Bildung und Forschung geförderten FactoryWissKomm-Fellowship entwickelt.
    📲www.rifs-potsdam.de/de/wissenschaft…ik-im-gespraech

    Die Wissenschaftsjournalistin Julia Vismann moderiert.

    📲Musik: Nicolas Pannetier
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  • The Israel-Palestine conflict and the Gaza War in international media. A podcast with media researchers Jérôme Bourdon and Carola Richter (recorded on 08/02/2024)

    Since the 7th of october, the attack of Hamas in Israel and the war of the Israeli army in Gaza, the Middle-East conflict has returned to our attention and has provoked very different reactions in Europe, especially in France and Germany. We take this as a starting point to adress the question of media coverage of the conflict in German and French, but also other Western and Israeli and Arab media. The two communication scholars and media researchers Carola Richter and Jérôme Bourdon discuss conditions, constraints and problems of this coverage and situate it in a wider historical and political context.

    Carola Richter is professor for international communication at Freie Universität Berlin. Her fields of expertise are media systems and communication cultures in the Middle East and North Africa, media coverage of foreign affairs, media and migration and Islam and media. She is engaged in many institutions related to these topics, she is for example co-editor of the Global Media Journal – German Edition. She has published an edited volume (2014) on the Israel-Palestine conflict in the media to be found open access here: https://www.globalmediajournal.de/index.php/gmj/issue/view/7. She also intervenes in public media, for example in an interview with Deutschlandfunk Kultur about the role of al-Jazeera in the current conflict in the Middle East in January 2024: https://www.deutschlandfunkkultur.de/al-jazeera-unabhaengige-arabische-stimme-fuer-die-welt-dlf-kultur-9421ea4a-100.html

    Jérôme Bourdon is a professor at the department of communication at Tel Aviv University and an associate researcher at Paris University 2 (Paris Assas) and the Center of Media Research in Paris. He has a wide exertise on the history of television in Europe, the sociolgy of media professionals, Media, Memory and History in France and Israel, and the coverage of the Middle East conflict in Western media. On this topic he has widely published, including his book The impossible narrative. The Israeli-Palestinian conflict and the media (in French as Le récit impossible. Le conflit israélo-palestinien et les médias, De Boecke, 2009). He also intervenes in public media, recently on France Culture about the uses of the words colonist, colonisation, in the Israeli-Palesitnian context: https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/le-temps-du-debat/colons-3430400, or in Mediapart about the images of horror in the conflict between Hamas and Israel in November 2023: https://www.mediapart.fr/journal/international/141123/les-images-de-l-horreur-diffusees-par-les-acteurs-du-conflit-sont-une-nouvelle-escalade

    More at: https://www.researchgate.net/profile/Jerome-Bourdon-2/savedlist

    Moderation: Esther Möller, vice director of the Centre Marc Bloch


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  • In this new episode of the "Dialogues" section of the Radio Marc Bloch podcast series, Nazan Maksudyan, historian, senior researcher at the Centre Marc Bloch and visiting professor at the Free University of Berlin, talks to Joseph Ben Prestel about his current research project, which analyzes the rise and fall of Palestinian solidarity movement in West Germany between the 1950s and 1980s. Author of a recent article on the topic, "A Diaspora Moment: Writing Global History Through Palestinian-West German Ties," Joseph Ben Prestel explains the changing trajectories of solidarity movements within a global historical framework and in particular in dialog with Palestinian migration to West Germany.

    Joseph Ben Prestel is an Assistant Professor of History at the Freie Universität Berlin. He received his PhD from the same institution in April 2015. Before joining Freie Universität’s history department, he held a position at the Center for the History of Emotions within Berlin’s Max Planck Institute for Human Development. He has received fellowships from the Max Planck Society, the American University in Cairo, the University of Cambridge, and the Orient Institut Beirut. During the academic year 2018-19, he was a Fung Global Fellow at Princeton University. Prestel’s research and teaching focus on modern global and urban history with an emphasis on the entangled history of Europe and the Middle East. His first book Emotional Cities: Debates on Urban Change in Berlin and Cairo, 1860-1910 (Oxford UP, 2017) examines the parallel rise of arguments about specifically urban emotions in Berlin and Cairo during the second half of the nineteenth century. The book is the co-winner of the Urban History Assocation's Best Book in Non-North American History Award, 2017-18. An Arabic translation was published, in 2023. He is a co-founder of the Global Urban History Project and a co-editor of the new Cambridge Elements in Global Urban History. His work has also appeared in publications like Frankfurter Allgemeine Zeitung, Merkur, and Berlin Review.


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  • Dans cet épisode de la rubrique "Dialogues" du podcast Radio Marc Bloch, Emmanuel Taïeb, professeur de science politique à Sciences Po Lyon, et chercheur associé au Centre Marc Bloch, part avec Thierry Roche sur les traces du Berlin des films de Wim Wenders, avant et après la chute du Mur, pour découvrir une ville qui se réinvente sans cesse architecturalement, tout en essayant de préserver sa mémoire. Nouvelle cité des anges, ceux des Ailes du désir et Si loin, si proche, Berlin capture ce qui a défini le cinéma de Wenders : l'errance, le cosmopolitisme, l'histoire qui ne veut pas s'effacer et l'exorcisation du nazisme. Entre récit de voyage et le journal intime, le portrait d'une ville-monde.

    Thierry Roche est professeur en Études cinématographiques à l’Université d’Aix-Marseille. Il est spécialiste du paysage et de la question des lieux au cinéma, auteur de plusieurs ouvrages sur le cinéma, notamment le cinéma italien. Il signe le texte de Wenders/Berlin. Une fiction, publié aux éditions Yellow Now en 2023, et illustré avec des photos de Guy Jungblut, directeur de la maison d’édition.


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  • Pour ce nouvel épisode de la rubrique "Dialogues" du podcast Radio Marc Bloch, Mathias Delori, politiste, chercheur au CNRS et associé au Centre Marc Bloch, nous propose la deuxième partie de son échange avec Dario Battistella sur les guerres contemporaines, avec un focus sur la guerre en Ukraine.

    Dans l'épisode précédent, Dario Battistella avait expliqué pourquoi les théories des relations internationales sont utiles pour comprendre les causes de cette guerre. Dans celui-ci, il présente plus en détail son explication "réaliste" de cette guerre, laquelle insiste sur les considérations de la Russie en termes de "puissance", et pronostique la victoire de l'Ukraine.

    Dario Battistella est professeur de science politique à Sciences Po Bordeaux. De culture familiale italienne, il est né et a grandi au Luxembourg avant de faire ses études et sa carrière en France. Dans son travail, il défend une approche disciplinaire de l’étude des relations internationales, à contre-courant des approches sociologiques et pluridisciplinaires qu’on trouve majoritairement en France et en Allemagne. Il estime que la discipline anglo-américaine des relations internationales permet de constituer un espace délibératif au sens habermasien du terme, c'est-à-dire qui favorise l’accumulation de connaissances. Dario Battistella est l’auteur de plusieurs ouvrages de références sur les théories des relations internationales et sur le phénomène guerrier. Il tient aussi un blog très pédagogique sur ce sujet.


    Battistella, Dario, Théories des Relations Internationales, Presses de SciencesPo, 2019, 6e édition.


    Battistella, Dario, Un monde unidimensionnel, Presses de Sciences Po, 2015, 2e édition.Dans ce deuxième épisode de la série "guerres contemporaines", Dario Battistella revient sur l'actualité de cette guerre et les perspectives d'avenir.


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  • Pour ce nouvel épisode de la rubrique "Dialogues" du podcast Radio Marc Bloch, Mathias Delori, politiste, chercheur au CNRS et associé au Centre Marc Bloch, nous propose un échange avec Dario Battistella sur les guerres contemporaines. Auteur d'un ouvrage sur la guerre en Ukraine qui sortira au printemps 2024, Dario Battistella explique, dans ce premier épisode de la série « guerres contemporaines », pourquoi les théories des relations internationales sont utiles pour comprendre les causes de la guerre en Ukraine.

    Dario Battistella est professeur de science politique à Sciences Po Bordeaux. De culture familiale italienne, il est né et a grandi au Luxembourg avant de faire ses études et sa carrière en France. Dans son travail, il défend une approche disciplinaire de l’étude des relations internationales, à contre-courant des approches sociologiques et pluridisciplinaires qu’on trouve majoritairement en France et en Allemagne. Il estime que la discipline anglo-américaine des relations internationales permet de constituer un espace délibératif au sens habermasien du terme, c'est-à-dire qui favorise l’accumulation de connaissances. Dario Battistella est l’auteur de plusieurs ouvrages de références sur les théories des relations internationales et sur le phénomène guerrier. Il tient aussi un blog très pédagogique sur ce sujet.

    Pour aller plus loin


    Dario Battistella, Théories des Relations Internationales, Presses de SciencesPo, 2019, 6e édition.


    Dario Battistella, Un monde unidimensionnel, Presses de Sciences Po, 2015, 2e édition.


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  • « Je suis convaincu des bienfaits de la mobilité. » Dans cet épisode de la série « Par ailleurs – Desweiteren » de Radio Marc Bloch, le chercheur Roberto Dagnino, interviewé par Alix Winter, revient sur la mobilité dans la recherche, les hasards de sa carrière et les différences culturelles dans l’enseignement universitaire en France, en Allemagne et au Pays-Bas.

    Roberto Dagnino a achevé au printemps 2023 un séjour de recherche au Centre Marc Bloch dans le cadre de la Chaire Marc Bloch avec un projet de recherche portant sur l’iconographie nationale néerlandaise et notamment l’évolution visuelle et conceptuelle de la personnification nationale de la Vierge Néerlandaise.

    Proposée aux enseignant.e.s-chercheur.e.s de Strasbourg par le biais d’une coopération entre l’Université de Strasbourg et le Centre Marc Bloch, la Chaire Marc Bloch lui a permis de donner des séminaires dans une université de la région berlinoise partenaire. Roberto Dagnino partage avec nous son expérience des différentes cultures universitaires et ses découvertes de nouveaux sujets de recherche à travers l’échange avec ses collègues.


    Roberto Dagnino est maître de conférences en Langue et Culture Néerlandaises et directeur du département d'Études Néerlandaises à la Faculté des Langues de l'Université de Strasbourg. Il a fait des études de traduction et de langues en Italie et aux Pays-Bas et enseigné à l‘Université de Padoue et à Paris IV-Sorbonne avant de rejoindre l‘UniStra. Spécialiste de l'histoire littéraire et culturelle du 19ème et 20ème siècle, il a travaillé sur l'histoire religieuse (catholique) des Pays-Bas et de la Flandre, sur le nationalisme flamand et sur la circulation internationale de la littérature néerlandaise en traduction. À Berlin il enseigne les langues et cultures basques et néerlandaises à la Freie Universität (FU).

    Les candidatures à la Chaire Marc Bloch sont encore ouverte jusqu’au 28 février 2024. Vous trouvez toutes les informations sur le dossier à soumettre sur le site de la MISHA de l’UniStra.

    Pour en savoir plus sur les recherches de Roberto Dagnino, nous vous recommandons les publications suivantes:

    Making the constitution more Catholic ? Catholic adaption strategies to the Belgian constitutional liberties of 1831, Journal of Constitutional History 2018.

    Un corps pour la nation. Pour une première exploration des multiples représentations de la Vierge néerlandaise, in: Deshima. Revue d'histoire globale des Pays du Nord 2017.

    Twee Leeuwen, Een Kruis. De rol van katholieke culturele kringen in de Vlaams-Nederlandse verstandhouding (1830-ca. 1900) (Deux lions, Une Croix. Le rôle des cercles culturels catholiques dans les relations flamando-hollandaises), édition Verloren 2015.


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