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  • Grégory Privat, né le 22 décembre 1984 en Martinique, est un pianiste et compositeur de jazz. Il grandit à Saint-Joseph, en Martinique, dans une famille de musiciens. Son père, José Privat, est compositeur et pianiste du groupe martiniquais Malavoi. C'est lui qui l'encourage à apprendre le piano dès l'âge de six ans. Après dix ans de formation classique, Grégory se met à la composition et à l'improvisation, particulièrement dans le jazz. De 2004 à 2007, il mène une double vie, suivant l’enseignement d’une école d'ingénieur à Toulouse le jour, jouant dans des clubs de jazz la nuit.

    Il commence à écrire ses premières compositions et fait la première partie du Biguine Jazz Festival à Sainte-Marie en 2005. Grégory s'installe ensuite à Paris, où il travaille comme ingénieur, tout en continuant de fréquenter les jam sessions. Inscrit à des compétitions de piano, il arrive demi-finaliste au concours du Montreux Jazz Festival en 2008, puis au Concours Martial Solal en 2010. Il crée alors son propre groupe, et sort un premier album en 2011, Ki Koté, auquel participent Renaud Gensane, Rafael Paseiro, Sonny Troupé, Olivier Juste et la chanteuse Faustine Cressot.

    L'année suivante, âgé de 27 ans, il abandonne son emploi, pourtant confortable, pour devenir musicien professionnel et se consacrer entièrement à la musique. Bientôt, il joue avec des pointures caribéennes du jazz, comme le saxophoniste Jacques Schwarz-Bart, le trompettiste Franck Nicolas et le percussionniste Sonny Troupé, maître du Gwoka, qui devient un ami proche. Puis en 2014 paraît l'album concept Tales of Cyparis, sur le label Plus Loin Music, avec l'implication de Joby Bernabé et Gustav Karlström. Le nom de l'album est une référence à Cyparis, survivant de l'éruption de la Montagne Pelée en 1902. L’année suivante il sort Luminescence avec Sonny Troupé: un album en duo reflétant un mélange de jazz et de sonorités Gwoka. Toujours en 2015, Grégory Privat est nommé aux Victoires du Jazz dans la catégorie « Révélation de l'année, prix Frank- Ténot ». Son album Family Tree suit en 2016, il y présente son premier trio avec Linley Marthe et Tilo Bertholo sur le label ACT. Grégory Privat collabore avec de grands noms de la scène européenne comme Stéphane Belmondo, Rémi Vignolo, et Guillaume Perret. Il fait également partie du Liberetto ensemble conduit par le bassiste suédois Lars Danielsson.

    Souhaitant plus de liberté artistique, Grégory crée son propre label en 2019: c’est la naissance de Buddham Jazz. L'année suivante, il produit et enregistre son album Soley, avec son nouveau trio: Chris Jennings à la contrebasse et Tilo Bertholo à la batterie. En 2022, il enregistre son premier album solo : Yonn. Dans cette production intimiste, il mêle sa voix au piano, en écho à la traversée récente de la pandémie et aux confinements qui l’ont jalonnée.

    En 2023, il reçoit le prix Adami de "L'Artiste à suivre" lors de la Nuit des Artistes et il est finaliste au Prix Django Reinhardt de l'Académie du Jazz ! Un album solo d’improvisation sort la même année, intitulé Nuit & Jour et enregistré à Marseille sur le label Paradis Improvisé.

    En 2024, Grégory Privat sortira Phoenix, nouvel album en trio qu’il considère comme une continuité de son album Soley.

    Pourquoi son album se nomme « Phoenix »

    La continuité musicale entre « Soley » et « Phoenix »

    Le chant

    L’apport des musiciens

    Le titre « Chlordeconomy », drame sanitaire

    Le titre « Téléphone », le jazz et son côté savant, la musique populaire

    Le smartphone lors des concerts

    « Lotbo-a » hommage à son grand-père

    La cover de l’album « phoenix », Cédric Richer

    Son premier contact avec le piano

    La routine de Grégory Privat

    Le Grégory d’aujourd’hui

    Vivre de sa musique

    Les mots

    Budam Jazz, la méditation

  • "Sophian Fanen, journaliste musical, cofondateur de la revue Les Jours et auteur du livre "Boulevard du stream: du MP3 à Deezer, la musique libérée"(Le Castor Astral, 2017).". Il est également auteur du documentaire «Comment le streaming a mangé la musique» (Arte, 2023)"

    -Mises à jour du streaming

    -Le streaming ouvre de nouveaux genres musicaux

    -L’omniprésence de l’artiste sur les réseaux sociaux, dans la production musicale pour exister 1-L’artiste et sa santé mentale

    -La rémunération de l’artiste et le streaming

    -L’achat des streams, la dictature du chiffre

    -L’évolution de Tik Tok, le format des titres

    -L’intelligence artificielle, le live artificiel, les hologrammes

    -Le format du podcast, la radio

    -Le format du concert, des changements, une évolution


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  • Rappeur et beatmaker, Ron Brice a sorti récemment son album "Exhibition" avec Larry Koubiak sur le label 12 Monkeys Records

    La version intégrale de la rencontre avec Ron Brice :

    -Stratégie du label 12 mockeys records, le travail avec Larry Koubiak

    -L’hommage au groupe Les Sages Poètes de la Rue

    -Les soucis de la vie, les expériences de vie, la notion de liberté

    -Les objectifs de « Exhibition LP », les synthèses de l’album « Côte Est »

    -La régularité, l’inspiration

    -Le merchandising du label

    -Le sport, la quarantaine, le street workout, son bien-être physique

    -Son accompagnement, ses entrainements

    -La blessure physique

    -Les clips à venir de « Exhibition LP »

    -Les mots

    -Percer le plafond de verre

    -Emily Gonneau, son livre « L’artiste, le numérique et la musique »


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  • "Franco-Anglaise diplômée de Sciences Po Paris, Emily Gonneau a commencé sa carrière en major pendant quatre ans à Londres et Paris. Elle a fondé et dirige Unicum Music (2009), société de management d’artistes, d’édition et label ; Nüagency (2013), agence Web2 et Web3 spécialisée en musique et culture ; et Causa (2023), laboratoire d’idée consacré à la musique, l’innovation et l’engagement. Membre de la commission innovation du Centre national de la musique et programmatrice de MaMA Invent (conférences dédiées à l’innovation au sein du MaMA Music & Convention), elle a lancé La Nouvelle Onde et les #PrixLNO pour valoriser les talents de l’industrie musicale de moins de 30 ans. Emily Gonneau a enseigné au sein de divers masters à la Sorbonne pendant dix ans (à Paris et Abu Dhabi), elle est également formatrice au CNM."

    -Les évolutions numériques depuis 2017

    -Avoir une vision en tant qu’artiste

    -La mise en place d’un objectif réalisable

    -L’utilisation des données analytiques, les 5 plans de coupes, la méthodologie

    -Le temps passé sur les réseaux sociaux, le temps de création

    -La santé mentale des artistes

    -De nombreux artistes, qu’est ce qu’un artiste, la valeur de la création, l’intelligence artificielle -L’artiste entrepreneur avec des compétences multiples

    -L’idée de création du livre « L’artiste, le numérique et la musique »

    -Un livre de travail pour les artistes

    -Une La rémunération équilibrée sur les plateformes de streaming

    -Le mode de consommation musicale

    -Le Mama music et convention

    -La transmission


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  • L’aventure du Saïan Supa Crew est belle et bien derrière lui. Leeroy Kesiah continue d’explorer de nouveaux terrains musicaux. Pour son nouveau projet, Leeroy a décidé de rendre hommage à l’artiste nigérian Fela Kuti, décédé en août 1997. Lors de cette rencontre avec Réel Carter, il vous dira tout sur l’élaboration du disque « Fela is the future ».


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  • "Journaliste, réalisatrice, présentatrice de télévision, productrice et conférencière, Stéphanie Brillant consacre depuis sept ans son travail aux thématiques liées à la libération du potentiel humain. Elle a réalisé le film documentaire «Le Cerveau des enfants, un potentiel infini »(2017) et publié trois ouvrages chez Actes Sud, dont «L’Incroyable Pouvoir du souffle» (2021) qui a rencontré un franc succès en librairie. Stéphanie Brillant a fondé en 2021 l’Académie du Souffle www.academiedusouffle.com et en 2022 l’Académie de l’Amour www.academiedelamour.com qui propose des outils pratiques, des événements et des formations et lignes. Dans cet essai qui fait suite au très remarqué L'Incroyable Pouvoir du souffle, Stéphanie Brillant propose un regard nouveau sur l'amour en tant qu'énergie à la source des diverses émotions et sentiments positifs que nous avons tendance à confondre avec lui. En mêlant recherches scientifiques, expériences, et sagesses, elle montre que l'amour est notre plus grand capital santé, tant mentalement que physiquement. Car l'amour est l'une des forces les plus puissantes de la nature et nous en sommes les catalyseurs. "

    Dans cette version intégrale de ce Stay Tuned consacrée à Stéphanie Brillant nous évoquons :

    Pourquoi un livre sur l’amour ?

    La peur, le frein à l’amour

    L’amour, une énergie

    L’Amour trauma

    Les relations sociales

    Se centrer, sortir des névroses

    Être parent aujourd’hui et la surproduction des enfants

    On fait souvent à contrecœur

    Vivre des moments douloureux pour rebondir, la musique en fond sonore du livre

    Les applications de rencontres

    Quelques mots…


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  • "Balthazar Dao, de son nom d'artiste Buddy Sativa, évolue au niveau de la scène musicale parisienne depuis une quinzaine d'années de manière assez confidentielle. Formé aux percussions africaines et autodidacte du piano. Il se fait connaître essentiellement pour ses productions hip-hop et jazz , bien que sa production globale couvre un spectre si large qu'on ne peut véritablement le caser dans un style. C'est une sorte de polyglotte très doué pour comprendre le langage musical propre à tel ou tel genre de musique et on n'a pas fini de les compter, du moins ceux qui ont eu le privilège de pouvoir se retrouver dans sa tanière, pour les autres , on attend encore malheureusement, mais bientôt très bientôt les vannes vont s'ouvrir! Il a collaboré de manière assidue avec l'artiste français Onra au début des années 2010, dans certaines productions de ce dernier, et l'a surtout accompagné en tant que clavier sur ses tournées pendant 3 ans.Il est partenaire de longue date avec l'artiste Yann Kesz avec lequel il collabore régulièrement.Son intérêt pour la musique de film couplé à plusieurs expériences professionnelles dans le domaine de l'illustration sonore et de la publicité, lui font porter un goût croissant pour la relation entre le son et l'image, ainsi que la fonction symbolique et ornementale de la musique. Composer une musique au service d'une idée d'un concept ou d'une histoire plutôt que pour servir une intention strictement esthétique, se présente comme un chemin alternatif et d'ouverture, dans sa propre progression artistique.Sa rencontre en 2014 avec l'Artiste peintre Edem Allado, désireux de travailler un projet chorégraphique, lui offre un prétexte pour se lancer un nouveau défi musical, et partager une belle expérience collaborative (qui le change de ses pérégrinations solitaires!) multidisciplinaire (Danse, peinture, musique) inédite dans son parcours conduira 2 ans plus tard au spectacle "Mnémé:Ivresse nostalgique" naît donc sous la tutelle artistique d'Edem Allado, le mouvement de Salomon Mpondo Dicka, et la musique de Balthazar Dao. Une musique riche, méditative avec une force narrative rarement atteinte dans ses précédents travaux."

    Dans cette version intégrale de ce Stay Tuned consacrée à Buddy Sativa nous évoquons :

    Présentation/générique

    Son hommage à l’artiste de jazz Sun Ra

    L’histoire de Sun Ra, son état d’esprit

    Sa manière de travailler sur le projet Sun Ra

    Sa rupture des réseaux sociaux 13:51

    Son approche du jazz

    Instrumentiste, le piano et les percussions

    L’arrivée de la musique, ses inspirations, les frères Mizell

    La jeunesse de Buddy Sativa

    La spiritualité

    La discipline, la constance

    Sa complicité avec le beatmaker Yann Kesz et Al Quetz

    La musique passion, le rêve

    Le regret

    Retour à des béats hip hop ?

    Le streaming, le format numérique, les réseaux sociaux

    Son projet : https://buddysativa.bandcamp.com/album/homo-sunrapiens


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  • Rencontre avec Daz-Ini membre du groupe Force Pure.

    J'échange avec lui sur :

    -Son état d’esprit à l’époque de l’album « Dream Big » avec Abraham Tismé

    -Son état d’esprit actuel

    -Sa vision de la rareté

    -Le manque de visibilité de ses projets

    -Une quête artistique, l’égo et l’artiste

    -La transmission aux autres, le Hip hop

    -La présence de la mort, l’héritage, être parent

    -Les covers "Misty Mountain Blues", l’illustrateur Nkodem, la vision de Phalo Pantoja

    -Son travail en tant que photographe

    -Les projets à venir


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  • Yann Cléry est un artiste guyanais basé à Paris.

    Flûtiste, chanteur, auteur-compositeur et producteur, il est aussi ce qu’on appelle un caméléon artistique : il s’intègre dans tous les styles.
    Et si on le connait surtout comme flûtiste et chanteur ou rappeur Mc, on oublie qu’il s’est essayé à l’art de la scène en tant que comédien et danseur dans les Cie le Monte-Charge en 2006 et Hapax en 2007.
    Cette polyvalence explique sûrement pourquoi il est si à l’aise et explosif sur scène. Lorsqu’il est sur le carré magique il déploie une énergie à la fois « joeystarrienne » et une sensualité « jacquesdutronesque » qui ne laisse personne insensible.
    Depuis plus de 15 ans il partage la scène avec des artistes comme UHT° (drum & bass), Booster & Sandra NKaké (jazz electro), The Jazz Liberatorz (rap), Emmanuel Bex (jazz) ou encore Jamalski (jungle ragga) en tant que chanteur, choriste et/ou flûtiste.

    Il collabore aujourd’hui avec les groupes Chlorine Free (funk/electro), et Mo’Kalamity (reggae roots) et se produit dans les plus grandes salles et festivals en France en Europe et dans le monde.
    Yann Cléry est à l’origine de plusieurs créations originales: «Visions de Guyane», spectacle jeune Public, «Witongo» avec les Bushinengés du groupe Duracel à St Laurent en Guyane, «Rythmes Sacrés» avec les Amérindiens Teko et en 2019, «Potomitan» avec Yannick Théolade et son art martial le Djokan.
    Pédagogue, il a créé il y a 8 ans un programme de formation pluri-disciplinaire proposant de la MAO, des master class de flûte traversière et des stages d’improvisation et de management.

    Yann Cléry a sorti son 1e album Motozot sous son nom en octobre 2017. Le fil rouge de cet opus est le tambour zoban de la tradition guyanaise, marié aux musiques actuelles (rock, slam, drum&bass) et au jazz. Cet opus a été salué par une critique enthousiaste (FIP, France Musique..) et un Lindor du meilleur compositeur en 2018.


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  • Rencontre avec Yasmine Kyd pour évoquer son disque troisième disque "Privacy Settings".


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  • Patrick Montel est journaliste sportif depuis bientôt trente ans. Il encourage, supporte et commente les exploits des athlètes sur France Télévision. Patrick a sorti récemment un livre « Concentré d’émotions » pour compter ses rencontres les plus marquantes de sa carrière.


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  • Rencontre avec le journaliste Brice Miclet, auteur du livre « Sample ! Aux origines du son hip-hop ».


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  • Né en Martinique au mois de décembre 1984, Grégory Privat est le fils du pianiste José Privat, connu pour sa participation au groupe antillais Malavoi. Attiré par le piano, il suit des cours particuliers dès l'âge de six ans et consacre dix années à un apprentissage classique avant de se tourner vers le jazz et les techniques d'improvisation. Étudiant en école d'ingénieur à Toulouse, il s'échappe le soir pour jouer en petite formation dans les clubs de la ville.

    Avec Grégory Privat, nous évoquons :

    -Présentation et son album "Yonn", le lien avec son public sur scène

    -La formule piano, voix, un retour aux fondamentaux

    -La création de l’album « Yonn » pendant le confinement

    -Le titre « tonalité et la réappropriation de qui nous sommes; la civilisation antillaise avec le titre « Yonn »

    -l’évolution du jazz antillais

    -Son lien avec l’Allemagne et l’enregistrement de « Yonn » à Cologne et l’accueil du public à l’étranger

    -Son label « Buddham Jazz » et l’indépendance artistique

    -Ses collaborations artistiques

    -Le passage entre ingénieur informatique à musicien à plein temps

    -L’inspiration de son papa José Privat et l’apprentissage des notes, du solfège

    -Grégory Privat petit


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  • Rappeur et beatmaker, Ron Brice a sorti récemment son album "Côte Est" avec Ali, Benjamin Epps, CHAM rapper en featuring. Cet opus est sorti sur le label 12 Monkeys Records.

    On évoque avec Ron Brice :

    -Son album "Côte Est", sa discographie, ses influences

    -Être beatmaker et rappeur, la création

    -Son lien avec l'écriture, le sens des textes, le rap français

    -Sa voix et sa manière de rapper et sa technique pour enregistrer en studio

    -Le streaming, la compétition et la nouvelle école du rap français

    -Casser le plafond de verre, la visibilité sur les réseaux sociaux

    -Sa façon de voir le temps qui passe et l’expérience acquise

    -Le sport et la musique, la discipline, la motivation, le Street workout

    -Le soutien d'Ali et Benjamin Epps

    -Son pseudo Ron Brice et le petit Ron Brice

    -Son perfectionnisme et sa manière de donner la musique

    -Son autonomie, sa difficulté à déléguer, le contrôle sur sa musique


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  • Sophian Fanen est journaliste et cofondateur du média en ligne Les Jours. Il a auparavant travaillé à Libération, et produit des séries documentaires pour France Culture. Il est aussi chroniqueur à RFI pour l’émission Musiques du Monde.


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  • Franco-Britannique, Emily Gonneau est diplômée de SciencesPo Paris. Après 4 ans en label (Londres puis Paris), elle a pris le large pour fonder Unicum Music, sa société de management d’artistes, d’édition musicale, désormais aussi label. Elle a co-fondé Nüagency, agence de communication et stratégie digitale spécialisée musique et culture, afin de former et aider artistes, producteurs et salles de spectacles à développer, financer, promouvoir et monétiser leurs projets sur le web. Elle enseigne à l’EMIC et à la Sorbonne, où elle est Maître de Conférences Associée. Elle est l'autrice du livre "L'Artiste, le Numérique et la Musique", paru aux éditions IRMA en 2016.


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  • China Moses, la fille de la chanteuse Dee Dee Bridgewater et du réalisateur Gilbert Moses, a baigné dès son enfance dans le monde de la musique et du théâtre. Particulièrement précoce, elle enregistre à l’âge de seize ans Time (1996), son premier single, qui fera l’objet d’un clip réalisé par Jean-Baptiste Mondino. Ce succès est conforté par les recueils « China » (1997), « On Tourne en Rond » (2000) et « Good Lovin’ » (2004) qui l’imposent comme une référence de la scène hexagonale du R’n’B[réf. nécessaire]. Pour ces albums, elle a travaillé avec le laboratoire de production suédois Breaking Bread et des personnalités comme DJ Mehdi, Diam’s, Karriem Riggins, Guru, Anthony Marshall, Mounir Belkhir ou encore l’ingénieur du son Bob Power.

    Illustrant le dicton « sharing is caring », elle aime partager sa passion de la musique en animant des émissions sur des chaînes musicales : MCM (1999-2001), MTV France (2004-2011). En 2011, elle intègre l’équipe de la 8e saison du Grand Journal sur Canal+ qu’elle quitte en juillet 2012. D'octobre 2011 à fin 2012, Jazz Radio lui confie les manettes de l’émission, « Made in China », quotidienne de 19h à 20h. Afin de gérer ses multiples activités d’entertainer, China a fondé en 2008 sa propre société de production MadeInChina Productions.

    China Moses, une des choristes de la chanteuse Camille à l'époque, rencontre le pianiste Raphaël Lemonnier. Le courant passe et ensemble, ils créent le show « Gardenias For Dinah », un hommage à leur idole Dinah Washington, qui fera l’objet de l’album « This One’s For Dinah » paru en 2009 sur le label Blue Note et unanimement apprécié par la critique [1].

    Après une tournée internationale (Europe, Inde, Liban, Canada, Japon...), China Moses et Raphaël Lemonnier poursuivent leur collaboration en rendant hommage aux grandes chanteuses du blues et de la soul avec l'album « Crazy Blues » (MadeInChina Productions/Decca/UMG).

    Dans le cadre du programme estival « Summer of Soul », Arte lui confie la présentation de l'émission « Soul Power in concert » en 2013.

    Faisant suite à sa collaboration avec André Manoukian pour son album « So in love » en 2010 (Blue Note France/EMI), China Moses présente à l'automne 2013 un nouveau spectacle en duo piano-voix avec le musicien. Le spectacle tourne autour des torch songs tels que Don't let me be misunderstood, Lullaby of Birdland, I've got you under my skin. Elle fait également partie de l'équipe de « Cafe Society Swing », un spectacle écrit par Alex Webb et qui retrace les belles heures du club new-yorkais Cafe Society (en) des années 1940, devenu légendaire notamment pour sa lutte contre les inégalités raciales et où Billie Holiday a chanté Strange Fruit pour la première fois.

    Elle coprésente et chante pour le premier International Jazz Day à Paris à l'Unesco en 2012 et se produit régulièrement à l'Unesco US. Elle est également à l'origine d'un documentaire sur la première et la seconde édition du festival International Jazz Day à Paris en 2013. La même année, elle est conviée à participer au Young Leaders Program de la French American Foundation.

    Elle a partagé la scène à plusieurs reprises avec sa mère Dee Dee Bridgewater, accompagnée d'orchestres tels que le Deutsches Filmorchester Babelsberg (en) et le WDR Big Band (de).

    À l'occasion du Festival d'Angoulême 2017, elle chante des standards de ses chanteuses préférées en compagnie de Pénélope Bagieu chargée de dessiner ces icônes de la musique noire américaine le temps de la chanson. Le 31 Mars 2017, elle publie l'opus Nightintales.

  • "Saxophoniste prometteur, Léon Phal fait partie de cette jeune génération de musiciens de jazz biberonnée aux classiques, dont il s’affranchit tout en leur rendant hommage à chaque note avec brio, qu’il s’agisse du RH Factor de Roy Hargrove ou du « Voodoo » de D’Angelo. Entouré de ses complices de toujours, sa maîtrise de l’instrument, son sens inouï de la mélodie et la délicatesse de ses compositions amplifiées par un groove dévastateur, présagent un bel avenir à ce franco-suisse originaire de Aÿ en Champagne."


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  • Elle a 24 ans quand elle est révélée aux Transmusicales de Rennes. L’année suivante sera l’année Pauline Croze : elle remporte le prix Sacem au tremplin du festival Chorus puis se produit en première partie de Miossec, M, Bernard Lavilliers, Lhasa ou Cali. Du beau monde.
    En 2005, elle sort son premier album, simplement intitulé Pauline Croze. Il est disque d’or, elle-même est nommée aux Victoires de la musique et enchaîne une tournée d’un an et demi qui passe par La Cigale et l’Olympia. Autant dire que le nom de Pauline Croze est sur toutes les lèvres et dans toutes les oreilles.
    Son deuxième album arrive bientôt Un bruit qui court (2007) qui précède une tournée en France, au Japon et en Afrique de l’Ouest. Elle compose également le titre Dans les films pour le long-métrage de Maïwenn, Le Bal des artistes. Après Le Prix de l’Eden, elle publie Bossa Nova qui, comme son titre l’indique, reprend des standards de la musique brésilienne.
    Ne rien faire, son album le plus récent (2018) sonne comme un oxymore : Pauline Croze donne de sa personne, à la voix et à la guitare, pour raconter les peines du cœur, les drames murmurés et le soleil, là-bas, qui frémit quand même.

    Son 6ème album « Après les heures grises » est sorti le 08 octobre 2021.


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