Episoder
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Iris est anglaise, très amoureuse d’un de ses collègues qui la mène un peu en bateau. Amanda, elle, vit à Los Angeles et vient de rompre. Les deux cherchent donc un moyen de s’échapper pendant les vacances de Noël, et Amanda en cherchant sur Internet va tomber sur la maison de Iris, disponible à la location. Elle contacte cette dernière qui lui affirme que la maison est disponible, mais seulement dans le cadre d’un échange de maisons. Amanda accepte, les deux vont alors échanger leur maison pendant 15 jours. Vont-elles pouvoir se sortir de leur quotidien et oublier leurs problèmes? Comment va se dérouler cette vie dans une maison d’une inconnue? Quelles nouvelles rencontres vont-elles peut-être faire?
On s’évade ensemble cette semaine en parlant du film de Noël, « The Holiday », réalisé par Nancy Meyers et sorti en 2006.
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Un chauffeur de taxi prénommé Max, en l’apparence ordinaire, commence sa tournée à Los Angeles et prend une première cliente prénommée Annie. Le feeling est bon et il arrive à l’emmener à destination dans les temps, tout va bien. Puis la nuit tombe et un autre client arrive, un certain Vincent. Businessman en l’apparence avec son costume gris impeccable, il indique à Max qu’il a cinq rendez-vous à honorer dans la nuit et lui propose une grosse somme d’argent en échange. Max refuse, mais Vincent insiste. Max accepte un peu à contre coeur et se lance dans une tournée qu’il n’est pas prêt d’oublier. Que cache ce Vincent et est-il vraiment un agent immobilier? Max a-t-il une chance de revoir Annie qu’il avait croisée au début de la soirée? En quoi cette nuit peut-elle tout changer? On parle cette semaine du film « Collateral », sorti en 2004 et réalisé par Michael Mann.
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Manglende episoder?
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A quelques jours de la sortie du dernier Spiderman: No Way Home, on s'intéresse cette semaine à un autre Spiderman sorti il y a quelques années et qui avait apporté un vent de fraîcheur ultime dans l'univers des comics. Je parle bien sûr du somptueux Spiderman: Into the Spiderverse, sorti en 2018 et réalisé par Bob Persichetti, Peter Ramsey et Rodnay Rothman.
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Si j’apprécie les comédies romantiques au style assez classique, classique dans le sens où on a une rencontre de deux personnes que tout oppose et qui se retrouvent à la fin, j’aime les films où la romance est présente mais se mélange à une histoire dans laquelle on retrouve plusieurs thèmes sous-jacents qui nous emportent tout autant. C’est le cas avec le film que je vais vous présenter aujourd’hui, à savoir « What if », réalisé par Michael Dowse et sorti en 2013.
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Samantha, une élève de terminale qui commence sa journée de façon assez banale, se rend compte que cette dernière va se terminer brusquement dans la nuit. Elle va alors se réveiller au même moment que la veille et revivre cette même journée à l’issue dramatique. Elle se demande alors si elle est en train de vivre le dernier jour de sa vie et comment elle peut faire pour changer le cours des évènements. Est-elle en train de rêver? Comment les choix qu’elle effectue pendant la journée peuvent-ils impacter son déroulé? Peut-elle sortir de ce cycle dans lequel elle se trouve quelque peu enfermée? On parle cette semaine de "Before I Fall", sorti en 2017 et réalisé par Ry Russo-Young.
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Comme l’indique le titre du film, l'histoire se concentre autour de deux personnages principaux, en l'occurrence Mélanie et Rémy. Tous deux trentenaires, ils habitent dans le même quartier et se retrouvent malgré eux dans une forme de solitude dans cette grande ville qu’est Paris, où les rencontres semblent faciles en apparence, mais où la réalité les empêche l’un et l’autre d’avancer dans leur vie. Ils vont alors consulter chacun de leur côté un psy pour les aider à prendre du recul et se remettre en quelque sorte sur le droit chemin. Vont-ils trouver les raisons de leur mal-être? Quels événements vont les amener à changer leur regard sur la vie? Quasiment voisins, vont-ils finir par se rencontrer? On parle ensemble cette semaine du dernier film en date réalisé par Cédric Klapisch et sorti en 2019.
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Nadine, une adolescente de 17 ans bouleversée par un drame familial et qui a beaucoup de mal à s’intégrer dans son lycée, se cherche en permanence et se pose beaucoup de questions. Elle peut heureusement compter sur son amie de longue date Krista avec qui une complicité forte est née. Sauf que cette dernière va sortir avec son grand frère et Nadine le vit un peu comme une trahison. Elle va alors se tourner vers un de ses professeurs M. Bruner pour se confier et avancer. Nadine va-t-elle pouvoir pardonner à sa meilleure amie et à son frère? Comment son professeur peut-elle l’aider à y voir plus clair? Peut-elle enfin réussir à profiter de ses années lycée et sortir de cette soit-disant galère? Découvrons ensemble « The Edge of Seventeen », réalisé par Kelly Fremon Craig et sorti en 2016.
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Pour le film de cette semaine, j’ai choisi l’Oscar du meilleur film en 2019, rien que ça. L’histoire en quelques mots nous ramène en 1962. On suit Tony Lip, habitant du Bronx et videur dans un night club, qui va être embauché suite à la fermeture temporaire de son établissement pour conduire le célèbre musicien noir Dr Don Shirley dans une tournée de concerts. Leur périple de huit semaines va les amener dans le « deep south », le sud profond du pays, où à ce moment de l’histoire la ségrégation raciale demeure fortement présente. Tony va alors s’appuyer sur le "Green Book", un livre qui recense les adresses où les personnes de couleur pouvaient à l’époque séjourner sans problème, afin de mener à bien ce périple. La cohabitation est-elle possible entre ces deux personnages que tout semble opposer? Comment vont-ils réagir face aux épreuves qui vont se dresser sur leur route dans le sud des Etats-Unis? Que vont-ils apprendre l’un sur l’autre à travers ce voyage? Parlons ensemble de Green Book, réalisé par Peter Farrely.
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Nous sommes dans un univers post-apocalyptique. Un virus a décimé la planète et le monde est désormais divisé en deux : d’un côté la partie de l’humanité qui a survécu, protégée grâce à des murs gigantesques, de l’autre celle qui malheureusement est infectée et s’est transformée en morts-vivants. C’est dans ce camp que l’on suit le jeune « R », un mort-vivant somme tout classique mais qui se différencie des autres par une certaine conscience du monde qui l’entoure. Son groupe de zombies va au détour d’une de leurs rondes faire face à un groupe de survivants : l’affrontement est rude et le jeune « R » se retrouve perturbé face à la douce Julie, qu’il décide de sauver contre toute attente. Un lien se crée petit à petit entre les deux personnages et Julie se rend compte que R n’est peut-être pas celui qu’elle croyait. Peut-elle être attirée par un mort-vivant? Doit-elle rentrer auprès des siens pour espérer survivre? R peut-il changer et espérer sortir de sa condition de zombie? On célèbre Halloween et on parle aujourd’hui de « Warm Bodies », sorti en 2013 et réalisé par un Jonathan Levine.
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8 avril 2020, soit cinq longues années après le dernier opus, une éternité. Et puis finalement le 11 novembre 2020. Ah ben non, c'est plutôt le 31 mars 2021. Quoique en fait non plus, ce sera en réalité le 6 octobre 2021. Après plusieurs reports et une attente démesurée est sorti en effet il y a quelques semaines le dernier opus de la saga James Bond avec Daniel Craig. L’occasion pour moi de vous parler de mon ressenti sur « No Time To Die », mais aussi de revenir sur les 5 films dans lesquels Daniel Craig a interprété le célèbre agent 007.
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Andrew Largeman, 26 ans, est un peu perdu dans sa vie et doit retourner dans son New Jersey natal pour l’enterrement de sa mère. Une épreuve qui s’accompagne d’une forme de retour aux sources puisqu’il va retrouver ses amis d’enfance mais aussi faire face à son passé et à son père. Il va également un peu par hasard faire la connaissance de la jolie Sam, dont l’énergie communicative va l’amener à repenser sa vie. Comment ce retour dans le New Jersey va-t-il se passer? Quel souvenir du passé va-t-il devoir affronter? Sam peut-elle lui redonner l’élan qui lui manquait? On repart cette semaine en 2005 pour le film « Garden State » réalisé par Zach Braff.
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Adapté d’un best seller écrit par Jessie Andrews et publié en 2012, le film de cette semaine s’ouvre sur la perspective du jeune Greg, high school senior, ou élève de terminale, qui tente de passer ses années lycée en toute discrétion, avec un but simple : survivre. Il passe une bonne partie de son temps avec son pote d’enfance Earl, avec qui il réalise des parodies de films. La vie de Greg va prendre un autre tournant quand sa mère lui annonce que Rachel, une connaissance de longue date, a une leucémie. Il va alors passer du temps avec elle et tenter par sa présence de lui changer les idées. Jusqu’où cette amitié naissante peut-elle aller? Comment Rachel va-t-elle faire face à cette terrible situation? A quel point cette année va-t-elle bouleverser nos trois personnages?
Je vous parle aujourd’hui de « Me and Earl and The Dying Girl », réalisé par Alfonso Gomez-Rejon. -
Dans la famille Hoover, les membres se trouvent toutes et tous dans des situations instables, mais malgré tout les liens familiaux persistent. Si chacun doit faire face à des défis différents, d’ordre financier pour le père par exemple ou encore psychologique pour l’oncle, la petite famille va tenter de mettre de côté les tensions et ne faire qu’un pour soutenir Olive, 7 ans, dans son rêve de devenir une reine de beauté. Par un concours de circonstances, elle se retrouve en effet qualifiée pour le concours national de Little Miss Sunshine en Californie. Ils vont alors toutes et tous s’y rendre grâce à leur combi jaune et démarrer ainsi un road-trip des plus forts et mouvementés. Olive va-t-elle réussir à décrocher le titre? La famille peut-elle enfin s’entendre pendant ces quelques jours? Que vont-ils découvrir sur eux-même à travers ce périple?
Cette semaine on s’arrête quelques instants et on part pour un road-movie exceptionnel avec le sublime « Little Miss Sunshine », sorti en 2006 et réalisé par Jonathan Dayton et Valerie Faris. -
Angélique est une chocolatière talentueuse dont l’émotivité est dévorante. On la retrouve au début du film dans une réunion des « émotifs anonymes », où chaque personne peut exprimer son ressenti et parler des problèmes que peut générer cet excès d’émotion. Elle va postuler et être engagée dans La fabrique de chocolat, une enseigne du coin. Elle va ainsi faire la rencontre de Jean-René, le directeur de l’établissement, lui aussi émotif et dont la passion commune pour le chocolat va les rapprocher. Sauf que leur timidité respective et leurs différentes peurs vont rendre la situation bien plus compliquée qu’elle ne pourrait l’être. Vont-ils pouvoir sauter le pas et entamer une relation malgré leur émotivité? L’arrivée d’Angélique au sein de la fabrique la sauvera-t-elle de la faillite? Jean-René parviendra-t-il enfin à mettre ses peurs de côté? On s'empare de nos émotions cette semaine avec le film « Les émotifs anonymes », réalisé par Jean-Pierre Améris et sorti en 2010.
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Si dans les films souvent on peut percevoir le temps qui passe à travers les générations grâce à plusieurs acteurs ou actrices casté.e.s judicieusement selon leurs ressemblances, le film du jour a l’originalité d’aborder une période de 12 ans avec les mêmes acteurs/actrices. Le tournage s’est donc étalé de manière exceptionnelle sur de nombreuses années, avec les défis que cela comporte, mais surtout un résultat unique et incroyable selon moi. L’histoire démarre très simplement sur la vie du jeune Mason junior, 6 ans. Il vit avec sa soeur et sa mère, ses parents sont divorcés et il tente de grandir en faisant face à aux différents défis qui se présentent à lui. Comment s’intégrer dans son environnement alors qu’il déménage régulièrement? Comment interagir avec ce père a priori distant? Comment malgré les aléas de la vie garder son innocence en grandissant?
Redécouvrons le temps qui passe et plongeons nous dans l’enfance et l’adolescence avec le film « Boyhood » sorti en 2014 et réalisé par Richard Linklater.
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Episode exceptionnel cette semaine car dédié au Festival du film américain de Deauville ! Le festival fête cette année sa 47ème édition et se déroule du 3 au 12 septembre 2021. J'ai eu la chance de m'y rendre quelques jours afin d'y découvrir un maximum de films ! Au programme : Blue Bayou, Pleasure, La fracture, JFK L'enquête, Flag Day, Ogre, Stillwater, The night house, The last son et We are living things.
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Jesse, 35 ans, fait une sorte de la crise de la trentaine. Il vit à New York et se trouve dans un quotidien peu épanouissant, loin en tout cas de ses belle années d’étudiant. Quand un de ses anciens professeurs l’appelle pour l’inviter à son pot de départ à la retraite dans l’Ohio, il n’hésite pas longtemps avant d’accepter. L’occasion pour lui de renouer avec son passé, de retourner dans l’université dans laquelle il a étudié et où il s’y plaisait. Sa rencontre avec la jeune Zibby, étudiante en deuxième année, va cela dit le troubler et l’inviter à se replonger dans son existence passée et à se questionner sur ses envies. Est-il trop vieux pour elle? Cette attirance est-elle embarrassante ou doit-il lâcher prise? Comment repenser sa vie à New-York et avancer après ce retour dans le passé?
Je vous parle cette semaine du nostalgique "Liberal Arts", réalisé par Josh Radnor et sorti en 2012.
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Ryan est sénior dans son entreprise qui licencie les employés à la place de leur employeur. La particularité de son job, c’est qu’il est mandaté partout aux Etats-Unis et qu'il voyage énormément en avion. Quand une nouvelle recrue, jeune et pleine d’initiative remet en question tous ces vols et amorce des changements au sein de l’entreprise, c’est non seulement son quotidien qu’elle bouleverse, mais également son mode de vie. En effet, Ryan rejette tout engagement et se complait parfaitement dans cette vie se rendant d’aéroport en aéroport. Une rencontre avec une femme partageant cette idée va également remettre en question ses principes : une vie sans attache est-elle si libre et épanouissante? Comment une relation peut-elle exister dans ce cadre et cette volonté de distance sur tout n’est-elle pas au final un frein pour Ryan?
On répond ensemble à ces questions à travers le film "Up in the air", réalisé par Jason Reitman et sorti en 2009.
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Direction la Californie et Los Angeles en particulier pour l'épisode de la semaine ! Une histoire typique de cette ville où beaucoup tentent leur chance pour devenir acteur ou actrice. L’espoir d’une carrière à Hollywood est souvent confrontée à la réalité plus difficile, surtout quand on est pas seul et qu’il y a toute une petite famille autour don’t il faut s’occuper. C’est une des thématiques que nous allons aborder aujourd’hui avec le film « Wish I was here » ou « Le rôle de ma vie », sortie en 2014 et réalisé par Zach Braff.
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« This is a story of boy meets girl, but you should know up-front, this is not a love story ». Dès le début, le film nous présente une facette en retrait des comédies romantiques habituelles. L’histoire en quelques mots, c’est la rencontre entre Tom et Summer. Lui écrit des cartes de voeux, elle arrive du jour au lendemain dans la même entreprise en tant qu’assistante du directeur. Tom tombe de suite sous le charme de Summer, un rapprochement se fait malgré leur perception différente de l'amour et une relation naît. Summer représente-t-elle le grand amour dont Tom a toujours rêvé? Tom arrivera-t-il à faire changer d’avis Summer qui ne croit pas en l’amour? Jusqu’où cette relation peut-elle les mener?
Je vous parle cette semaine de l'incontournable "500 Days of Summer", réalisé par Marc Webb et sorti en 2009.
- Vis mere
