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  • Faites entrer l’accusĂ© s’intĂ©resse ce soir Ă  Suzanne Barou de la LombardiĂšre de Canson, hĂ©ritiĂšre d’une richissime famille dont le nom a Ă©tĂ© donnĂ© au cĂ©lĂšbre papier Ă  dessin. TrĂšs tĂŽt mariĂ©e Ă  son cousin germain, la jeune Ă©pouse refuse pourtant le destin qui lui est assignĂ© : elle quitte son mari pour une femme de dix ans son aĂźnĂ©e. Et puis, pour assurer un train de vie aisĂ©, elle dilapide l’hĂ©ritage de son pĂšre, aprĂšs sa mort, revendant antiquitĂ©s prĂ©cieuses et toiles de maĂźtre dispendieuses. Cette attitude prodigue ne passe pas inaperçue, surtout lorsqu’une Ɠuvre du peintre baroque BartolomĂ© Esteban Murillo, "Le Gentilhomme sĂ©villan", devient un objet de convoitise, puisqu’elle fait partie d’une collection personnelle que l’hĂ©ritiĂšre gĂšre depuis 1958. Le Louvre souhaiterait l’acquĂ©rir, Suzanne de Canson n’y est pas favorable. Pendant ce temps, une certaine JoĂ«lle Pesnel, artiste-peintre, ancienne gĂ©rante d’un bar de Toulon, est entrĂ©e dans la vie de la riche dame. A partir de lĂ , les ennuis vont commencer...

  • Faites entrer l’accusĂ© s’intĂ©resse ce soir Ă  Suzanne Barou de la LombardiĂšre de Canson, hĂ©ritiĂšre d’une richissime famille dont le nom a Ă©tĂ© donnĂ© au cĂ©lĂšbre papier Ă  dessin. TrĂšs tĂŽt mariĂ©e Ă  son cousin germain, la jeune Ă©pouse refuse pourtant le destin qui lui est assignĂ© : elle quitte son mari pour une femme de dix ans son aĂźnĂ©e. Et puis, pour assurer un train de vie aisĂ©, elle dilapide l’hĂ©ritage de son pĂšre, aprĂšs sa mort, revendant antiquitĂ©s prĂ©cieuses et toiles de maĂźtre dispendieuses. Cette attitude prodigue ne passe pas inaperçue, surtout lorsqu’une Ɠuvre du peintre baroque BartolomĂ© Esteban Murillo, "Le Gentilhomme sĂ©villan", devient un objet de convoitise, puisqu’elle fait partie d’une collection personnelle que l’hĂ©ritiĂšre gĂšre depuis 1958. Le Louvre souhaiterait l’acquĂ©rir, Suzanne de Canson n’y est pas favorable. Pendant ce temps, une certaine JoĂ«lle Pesnel, artiste-peintre, ancienne gĂ©rante d’un bar de Toulon, est entrĂ©e dans la vie de la riche dame. A partir de lĂ , les ennuis vont commencer...

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  • Faites entrer l’accusĂ© s’intĂ©resse ce soir Ă  Suzanne Barou de la LombardiĂšre de Canson, hĂ©ritiĂšre d’une richissime famille dont le nom a Ă©tĂ© donnĂ© au cĂ©lĂšbre papier Ă  dessin. TrĂšs tĂŽt mariĂ©e Ă  son cousin germain, la jeune Ă©pouse refuse pourtant le destin qui lui est assignĂ© : elle quitte son mari pour une femme de dix ans son aĂźnĂ©e. Et puis, pour assurer un train de vie aisĂ©, elle dilapide l’hĂ©ritage de son pĂšre, aprĂšs sa mort, revendant antiquitĂ©s prĂ©cieuses et toiles de maĂźtre dispendieuses. Cette attitude prodigue ne passe pas inaperçue, surtout lorsqu’une Ɠuvre du peintre baroque BartolomĂ© Esteban Murillo, "Le Gentilhomme sĂ©villan", devient un objet de convoitise, puisqu’elle fait partie d’une collection personnelle que l’hĂ©ritiĂšre gĂšre depuis 1958. Le Louvre souhaiterait l’acquĂ©rir, Suzanne de Canson n’y est pas favorable. Pendant ce temps, une certaine JoĂ«lle Pesnel, artiste-peintre, ancienne gĂ©rante d’un bar de Toulon, est entrĂ©e dans la vie de la riche dame. A partir de lĂ , les ennuis vont commencer...

  • AnaĂŻs Guillaume, une jeune Ardennaise d’une vingtaine d’annĂ©es, disparaĂźt dans la nuit du 16 au 17 avril 2013. Elle venait de passer la soirĂ©e avec Philippe Gillet, un Ă©leveur de vaches installĂ© Ă  Fromy, dans la rĂ©gion Grand Est. Elle connaissait trĂšs bien cet homme, puisqu’elle avait effectuĂ© un stage au sein de sa ferme, dans le cadre de sa formation en bac professionnel en 2011. Gillet et Guillaume Ă©taient trĂšs vite devenus amants. Quelques heures aprĂšs la disparition de la jeune femme, on repĂšre sa voiture dans une forĂȘt, Ă  la frontiĂšre belge. Le vĂ©hicule est entiĂšrement brĂ»lĂ©. L’enquĂȘte s’oriente alors vers l’agriculteur. En 2019, des restes d’AnaĂŻs Guillaume seront retrouvĂ©s sur sa propriĂ©tĂ©. Le suspect sera une premiĂšre fois condamnĂ© en 2019 Ă  vingt-deux ans de rĂ©clusion criminelle pour la mort de son ancienne stagiaire. En 2021, la cour d’assises d’appel de la Marne alourdira cette peine Ă  trente ans, mais disculpera Gillet par rapport au dĂ©cĂšs de son Ă©pouse CĂ©line, le 3 janvier 2012, dans des circonstances Ă©tranges. Longtemps, l’accusĂ© avait Ă©tĂ© soupçonnĂ© du meurtre de cette femme.

  • AnaĂŻs Guillaume, une jeune Ardennaise d’une vingtaine d’annĂ©es, disparaĂźt dans la nuit du 16 au 17 avril 2013. Elle venait de passer la soirĂ©e avec Philippe Gillet, un Ă©leveur de vaches installĂ© Ă  Fromy, dans la rĂ©gion Grand Est. Elle connaissait trĂšs bien cet homme, puisqu’elle avait effectuĂ© un stage au sein de sa ferme, dans le cadre de sa formation en bac professionnel en 2011. Gillet et Guillaume Ă©taient trĂšs vite devenus amants. Quelques heures aprĂšs la disparition de la jeune femme, on repĂšre sa voiture dans une forĂȘt, Ă  la frontiĂšre belge. Le vĂ©hicule est entiĂšrement brĂ»lĂ©. L’enquĂȘte s’oriente alors vers l’agriculteur. En 2019, des restes d’AnaĂŻs Guillaume seront retrouvĂ©s sur sa propriĂ©tĂ©. Le suspect sera une premiĂšre fois condamnĂ© en 2019 Ă  vingt-deux ans de rĂ©clusion criminelle pour la mort de son ancienne stagiaire. En 2021, la cour d’assises d’appel de la Marne alourdira cette peine Ă  trente ans, mais disculpera Gillet par rapport au dĂ©cĂšs de son Ă©pouse CĂ©line, le 3 janvier 2012, dans des circonstances Ă©tranges. Longtemps, l’accusĂ© avait Ă©tĂ© soupçonnĂ© du meurtre de cette femme.

  • AnaĂŻs Guillaume, une jeune Ardennaise d’une vingtaine d’annĂ©es, disparaĂźt dans la nuit du 16 au 17 avril 2013. Elle venait de passer la soirĂ©e avec Philippe Gillet, un Ă©leveur de vaches installĂ© Ă  Fromy, dans la rĂ©gion Grand Est. Elle connaissait trĂšs bien cet homme, puisqu’elle avait effectuĂ© un stage au sein de sa ferme, dans le cadre de sa formation en bac professionnel en 2011. Gillet et Guillaume Ă©taient trĂšs vite devenus amants. Quelques heures aprĂšs la disparition de la jeune femme, on repĂšre sa voiture dans une forĂȘt, Ă  la frontiĂšre belge. Le vĂ©hicule est entiĂšrement brĂ»lĂ©. L’enquĂȘte s’oriente alors vers l’agriculteur. En 2019, des restes d’AnaĂŻs Guillaume seront retrouvĂ©s sur sa propriĂ©tĂ©. Le suspect sera une premiĂšre fois condamnĂ© en 2019 Ă  vingt-deux ans de rĂ©clusion criminelle pour la mort de son ancienne stagiaire. En 2021, la cour d’assises d’appel de la Marne alourdira cette peine Ă  trente ans, mais disculpera Gillet par rapport au dĂ©cĂšs de son Ă©pouse CĂ©line, le 3 janvier 2012, dans des circonstances Ă©tranges. Longtemps, l’accusĂ© avait Ă©tĂ© soupçonnĂ© du meurtre de cette femme.

  • Ils trempaient dans l’huile, puis dans l’eau, les billets qu’ils dĂ©robaient, comme dans la chanson. Cela donnait non pas un escargot tout chaud, mais la possibilitĂ© de financer d’autres braquages, jusqu’à l’attaque de trop, le 30 mars 2006. Avant cette date, les malfaiteurs ont commis plusieurs vols, avec une mĂ©thode ingĂ©nieuse, qui leur permettait d’accĂ©der aux mallettes a priori inviolables, sans que l’argent en papier ne soit maculĂ© d’une encre indĂ©lĂ©bile : d’abord, l’introduction du corps gras dans les petites valises entrouvertes par une pince-monseigneur, puis la rĂ©cupĂ©ration des billets enduits, enfin le sĂ©chage pour leur rendre une apparence convenable. En tout, le gang a accumulĂ© 1,5 million d’euros, avant d’ĂȘtre arrĂȘtĂ© : seul le chef a Ă©chappĂ© Ă  la justice en se suicidant, alors qu’il Ă©tait sur le point d’ĂȘtre neutralisĂ©. CondamnĂ©s par la cour d’assises de Lyon, tous les accusĂ©s ont aujourd’hui retrouvĂ© la libertĂ©.

  • Ils trempaient dans l’huile, puis dans l’eau, les billets qu’ils dĂ©robaient, comme dans la chanson. Cela donnait non pas un escargot tout chaud, mais la possibilitĂ© de financer d’autres braquages, jusqu’à l’attaque de trop, le 30 mars 2006. Avant cette date, les malfaiteurs ont commis plusieurs vols, avec une mĂ©thode ingĂ©nieuse, qui leur permettait d’accĂ©der aux mallettes a priori inviolables, sans que l’argent en papier ne soit maculĂ© d’une encre indĂ©lĂ©bile : d’abord, l’introduction du corps gras dans les petites valises entrouvertes par une pince-monseigneur, puis la rĂ©cupĂ©ration des billets enduits, enfin le sĂ©chage pour leur rendre une apparence convenable. En tout, le gang a accumulĂ© 1,5 million d’euros, avant d’ĂȘtre arrĂȘtĂ© : seul le chef a Ă©chappĂ© Ă  la justice en se suicidant, alors qu’il Ă©tait sur le point d’ĂȘtre neutralisĂ©. CondamnĂ©s par la cour d’assises de Lyon, tous les accusĂ©s ont aujourd’hui retrouvĂ© la libertĂ©.

  • Ils trempaient dans l’huile, puis dans l’eau, les billets qu’ils dĂ©robaient, comme dans la chanson. Cela donnait non pas un escargot tout chaud, mais la possibilitĂ© de financer d’autres braquages, jusqu’à l’attaque de trop, le 30 mars 2006. Avant cette date, les malfaiteurs ont commis plusieurs vols, avec une mĂ©thode ingĂ©nieuse, qui leur permettait d’accĂ©der aux mallettes a priori inviolables, sans que l’argent en papier ne soit maculĂ© d’une encre indĂ©lĂ©bile : d’abord, l’introduction du corps gras dans les petites valises entrouvertes par une pince-monseigneur, puis la rĂ©cupĂ©ration des billets enduits, enfin le sĂ©chage pour leur rendre une apparence convenable. En tout, le gang a accumulĂ© 1,5 million d’euros, avant d’ĂȘtre arrĂȘtĂ© : seul le chef a Ă©chappĂ© Ă  la justice en se suicidant, alors qu’il Ă©tait sur le point d’ĂȘtre neutralisĂ©. CondamnĂ©s par la cour d’assises de Lyon, tous les accusĂ©s ont aujourd’hui retrouvĂ© la libertĂ©.

  • Le 15 juillet 2010, Ă  Épernay dans la Marne, les pompiers reçoivent un coup de fil d’un homme affolĂ©. Il s’agit de Sylvain Dromard, un habitant de Saint-Martin d’Ablois. Ce dernier affirme avoir dĂ©couvert, en rentrant chez lui, son Ă©pouse, dans une mare de sang, au beau milieu de la cuisine. Selon lui, sa femme, Laurence, a Ă©tĂ© attaquĂ©e par un cambrioleur qui lui a portĂ© des coups violents Ă  la tĂȘte. Elle meurt, lors de son arrivĂ©e à l’hĂŽpital. Mais les gendarmes ont du mal Ă  croire Ă  la thĂšse du cambriolage. De plus, Sylvain Dromard porte des traces suspectes sur le corps.

  • Le 15 juillet 2010, Ă  Épernay dans la Marne, les pompiers reçoivent un coup de fil d’un homme affolĂ©. Il s’agit de Sylvain Dromard, un habitant de Saint-Martin d’Ablois. Ce dernier affirme avoir dĂ©couvert, en rentrant chez lui, son Ă©pouse, dans une mare de sang, au beau milieu de la cuisine. Selon lui, sa femme, Laurence, a Ă©tĂ© attaquĂ©e par un cambrioleur qui lui a portĂ© des coups violents Ă  la tĂȘte. Elle meurt, lors de son arrivĂ©e à l’hĂŽpital. Mais les gendarmes ont du mal Ă  croire Ă  la thĂšse du cambriolage. De plus, Sylvain Dromard porte des traces suspectes sur le corps.

  • Le 15 juillet 2010, Ă  Épernay dans la Marne, les pompiers reçoivent un coup de fil d’un homme affolĂ©. Il s’agit de Sylvain Dromard, un habitant de Saint-Martin d’Ablois. Ce dernier affirme avoir dĂ©couvert, en rentrant chez lui, son Ă©pouse, dans une mare de sang, au beau milieu de la cuisine. Selon lui, sa femme, Laurence, a Ă©tĂ© attaquĂ©e par un cambrioleur qui lui a portĂ© des coups violents Ă  la tĂȘte. Elle meurt, lors de son arrivĂ©e à l’hĂŽpital. Mais les gendarmes ont du mal Ă  croire Ă  la thĂšse du cambriolage. De plus, Sylvain Dromard porte des traces suspectes sur le corps.

  • Le 28 juillet 2014, Bernadette Cogis, une veuve de 67 ans, a Ă©tĂ© retrouvĂ©e Ă©gorgĂ©e devant la porte de sa villa, Ă  Roquebrune-sur-Argens, dans le Var. La prĂ©sence d’une bouteille d’essence et de plusieurs dĂ©parts de feu prouvent que son assassin lui a tendu un piĂšge, pour obliger la veuve Ă  sortir de chez elle. Lorsqu'elle a mis le pied dehors, il s’est acharnĂ©, en la poignardant de plusieurs coups de couteau. Plus tard, les gendarmes dĂ©couvrent que la victime a entretenu une relation intime avec HervĂ© Robino, son jardinier de septembre 2013 Ă  mai 2014.

  • Le 28 juillet 2014, Bernadette Cogis, une veuve de 67 ans, a Ă©tĂ© retrouvĂ©e Ă©gorgĂ©e devant la porte de sa villa, Ă  Roquebrune-sur-Argens, dans le Var. La prĂ©sence d’une bouteille d’essence et de plusieurs dĂ©parts de feu prouvent que son assassin lui a tendu un piĂšge, pour obliger la veuve Ă  sortir de chez elle. Lorsqu'elle a mis le pied dehors, il s’est acharnĂ©, en la poignardant de plusieurs coups de couteau. Plus tard, les gendarmes dĂ©couvrent que la victime a entretenu une relation intime avec HervĂ© Robino, son jardinier de septembre 2013 Ă  mai 2014.

  • Le 28 juillet 2014, Bernadette Cogis, une veuve de 67 ans, a Ă©tĂ© retrouvĂ©e Ă©gorgĂ©e devant la porte de sa villa, Ă  Roquebrune-sur-Argens, dans le Var. La prĂ©sence d’une bouteille d’essence et de plusieurs dĂ©parts de feu prouvent que son assassin lui a tendu un piĂšge, pour obliger la veuve Ă  sortir de chez elle. Lorsqu'elle a mis le pied dehors, il s’est acharnĂ©, en la poignardant de plusieurs coups de couteau. Plus tard, les gendarmes dĂ©couvrent que la victime a entretenu une relation intime avec HervĂ© Robino, son jardinier de septembre 2013 Ă  mai 2014.

  • L’affaire Rodica Negroiu rappelle Ă  bien des Ă©gards l’affaire Simone Weber. Une rĂ©gion semblable : la Lorraine. Un mobile : l’argent. Un mode opĂ©ratoire similaire : le poison. Le 14 dĂ©cembre 1990, Raymond Jactel, un militaire Ă  la retraite, meurt d’un accident cardiaque Ă  l’hĂŽpital de Nancy. En fait, il a Ă©tĂ© empoisonnĂ© Ă  la digoxine, un mĂ©dicament utilisĂ© contre diverses affections du cƓur. Rapidement, une aide-soignante d’origine roumaine est soupçonnĂ©e, d’autant qu’elle semble liĂ©e Ă  la disparition suspecte de ses deux prĂ©cĂ©dents maris. La femme incriminĂ©e sera finalement jugĂ©e en 1999 par la cour d’assises de Meurthe-et-Moselle. Rodica Negroiu a Ă©tĂ© condamnĂ©e Ă  vingt ans de rĂ©clusion criminelle. Elle est sortie de prison le 24 janvier 2015.

  • L’affaire Rodica Negroiu rappelle Ă  bien des Ă©gards l’affaire Simone Weber. Une rĂ©gion semblable : la Lorraine. Un mobile : l’argent. Un mode opĂ©ratoire similaire : le poison. Le 14 dĂ©cembre 1990, Raymond Jactel, un militaire Ă  la retraite, meurt d’un accident cardiaque Ă  l’hĂŽpital de Nancy. En fait, il a Ă©tĂ© empoisonnĂ© Ă  la digoxine, un mĂ©dicament utilisĂ© contre diverses affections du cƓur. Rapidement, une aide-soignante d’origine roumaine est soupçonnĂ©e, d’autant qu’elle semble liĂ©e Ă  la disparition suspecte de ses deux prĂ©cĂ©dents maris. La femme incriminĂ©e sera finalement jugĂ©e en 1999 par la cour d’assises de Meurthe-et-Moselle. Rodica Negroiu a Ă©tĂ© condamnĂ©e Ă  vingt ans de rĂ©clusion criminelle. Elle est sortie de prison le 24 janvier 2015.

  • L’affaire Rodica Negroiu rappelle Ă  bien des Ă©gards l’affaire Simone Weber. Une rĂ©gion semblable : la Lorraine. Un mobile : l’argent. Un mode opĂ©ratoire similaire : le poison. Le 14 dĂ©cembre 1990, Raymond Jactel, un militaire Ă  la retraite, meurt d’un accident cardiaque Ă  l’hĂŽpital de Nancy. En fait, il a Ă©tĂ© empoisonnĂ© Ă  la digoxine, un mĂ©dicament utilisĂ© contre diverses affections du cƓur. Rapidement, une aide-soignante d’origine roumaine est soupçonnĂ©e, d’autant qu’elle semble liĂ©e Ă  la disparition suspecte de ses deux prĂ©cĂ©dents maris. La femme incriminĂ©e sera finalement jugĂ©e en 1999 par la cour d’assises de Meurthe-et-Moselle. Rodica Negroiu a Ă©tĂ© condamnĂ©e Ă  vingt ans de rĂ©clusion criminelle. Elle est sortie de prison le 24 janvier 2015.

  • Le mari, la femme, l’amant. Et le mobile : l’argent. Une configuration classique qui engendre un nouveau fait divers. En 1995, sur une route de Corse, une voiture quitte la route et plonge dans un ravin. Marc Van Beers, un fiscaliste bruxellois de trente-six ans, est retrouvĂ© mort.Son Ă©pouse, vingt-six ans, en rĂ©chappe. Son tĂ©moignage interroge : elle raconte aux gendarmes qu’elle a rĂ©ussi Ă  sauter juste avant la chute du vĂ©hicule. Elle a ensuite descendu cent-quarante mĂštres de la falaise abrupte, Ă  la recherche de son mari. Elle a fini par le retrouver. Mais il Ă©tait trop tard. L’autopsie accentue les doutes : la victime Ă©tait dĂ©jĂ  morte avant l’accident.Alors, quoi ? Au fil des investigations, un soupçon Ă©merge : la veuve, Aurore Martin, aurait fomentĂ© un sombre complot avec son amant Peter Uwe Schmitt. Le motif de cette action ? Plusieurs assurances-vie, pensent les enquĂȘteurs. Le problĂšme, c’est que les deux complices ont touchĂ© l’argent un peu trop vite et qu’ils ont menĂ© grand train en Floride oĂč ils se sont rĂ©fugiĂ©s. Le FBI finira par les rattraper et la justice française leur demandera lĂ©gitimement des explications...

  • Le mari, la femme, l’amant. Et le mobile : l’argent. Une configuration classique qui engendre un nouveau fait divers. En 1995, sur une route de Corse, une voiture quitte la route et plonge dans un ravin. Marc Van Beers, un fiscaliste bruxellois de trente-six ans, est retrouvĂ© mort.Son Ă©pouse, vingt-six ans, en rĂ©chappe. Son tĂ©moignage interroge : elle raconte aux gendarmes qu’elle a rĂ©ussi Ă  sauter juste avant la chute du vĂ©hicule. Elle a ensuite descendu cent-quarante mĂštres de la falaise abrupte, Ă  la recherche de son mari. Elle a fini par le retrouver. Mais il Ă©tait trop tard. L’autopsie accentue les doutes : la victime Ă©tait dĂ©jĂ  morte avant l’accident.Alors, quoi ? Au fil des investigations, un soupçon Ă©merge : la veuve, Aurore Martin, aurait fomentĂ© un sombre complot avec son amant Peter Uwe Schmitt. Le motif de cette action ? Plusieurs assurances-vie, pensent les enquĂȘteurs. Le problĂšme, c’est que les deux complices ont touchĂ© l’argent un peu trop vite et qu’ils ont menĂ© grand train en Floride oĂč ils se sont rĂ©fugiĂ©s. Le FBI finira par les rattraper et la justice française leur demandera lĂ©gitimement des explications...