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Le 29 Décembre 2024, Lucien Cerise et Terence D’Araucanie étaient les invités de Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde.
Lucien Cerise est un auteur français, docteur en philosophie et spécialiste de l’ingénierie sociale. Il a notamment publié « Ukraine : La guerre hybride de l’OTAN ».
Terence D’Araucanie est un écrivain et journaliste français, connu pour ses travaux sur la géopolitique et les mouvements identitaires, ainsi que ses analyses critiques des institutions politiques, des enjeux de souveraineté nationale et des dynamiques de pouvoir internationales.
Retour sur l’élection américaine et ses dynamiques troubles
L’élection présidentielle américaine de 2024 a mis en lumière les failles structurelles et les zones d’ombre du système électoral. Entre le rôle des grands électeurs et un vote populaire souvent désynchronisé, ce processus suscite des critiques, notamment sur l’influence des sondages.Kamala Harris, candidate démocrate, a opté pour une stratégie centriste visant à séduire les modérés, mais son approche prudente s’est heurtée à l’élan d’un Donald Trump plus combatif que jamais.
Un cabinet aux orientations marquées
Les premières indiscrétions sur la composition du cabinet Trump laissent entrevoir une équipe resserrée et sans concessions. Peu de diversité, et encore moins de minorités visibles : la prédominance de conservateurs anti-chinois et de sionistes chrétiens semble un choix délibéré pour rassurer son électorat de base. Ce cabinet reflète une stratégie claire : Trump entend respecter les attentes de ses soutiens influents, notamment l’entourage de Sheldon Adelson, tout en recentrant ses priorités géopolitiques.Parmi ces priorités, un potentiel abandon du soutien militaire à l’Ukraine est évoqué, perçu comme une manière de ménager la Russie dans une optique de détente stratégique. Mais le véritable enjeu semble se situer ailleurs : l’Iran. L’administration Trump semble prête à intensifier la pression sur le régime des mollahs, au risque de fracturer certaines alliances historiques.
Le rôle ambigu du sionisme dans la stratégie de Trump
Le sionisme selon Trump défie les cadres traditionnels. Son soutien à Israël, combiné à une critique acerbe des élites cosmopolites, illustre une vision singulière : celle d’un sionisme chrétien conservateur, en opposition aux approches progressistes souvent associées à l’agenda mondialiste. Ce positionnement stratégique lui permet de solidifier des alliances tout en affirmant son rejet du globalisme.Mais peut-on réellement concilier un soutien sans faille à Israël et un rejet des structures supranationales ?
Des priorités géopolitiques clivantes
Pour ce second mandat, Trump devra rapidement clarifier sa position sur deux dossiers brûlants : l’Ukraine et l’Iran. Le désengagement militaire en Ukraine, s’il se confirme, pourrait marquer une rupture stratégique avec l’Europe tout en facilitant un rapprochement avec Moscou. En revanche, la ligne dure adoptée face à l’Iran promet de redéfinir les équilibres au Moyen-Orient, avec un cabinet peuplé de figures ouvertement hostiles au régime des mollahs.En parallèle, des tensions internes secouent déjà les services de renseignement américains, exacerbées par des affaires comme celles des missiles Stormshadows et ATACMS. Ces luttes intestines entre factions anti-russes et anti-iraniennes ne sont pas anodines et pourraient fortement conditionner la marge de manœuvre de Trump.
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Le 29 décembre, Mickaël vous donnait rendez-vous pour un micro-trottoir GPTV Investigation dans les rues d’Amiens. Il interrogeait les Français concernant la situation économique et sociale en France pour l’année 2025.
Entre une croissance en berne, une dette publique écrasante et un climat social sous pression, le pays semble s’engager sur une pente glissante. Les Français, eux, oscillent entre lassitude, colère et résilience face à ces défis.
Une croissance économique au point mort
En 2025, la croissance française plafonne à 0,9 %, un chiffre bien en deçà des espérances du gouvernement. Cette stagnation est directement liée à l’instabilité politique et aux tensions géopolitiques internationales. Le contexte énergétique, marqué par des pénuries persistantes, continue de peser lourdement sur les secteurs clés comme l’industrie et les transports.
Le faible dynamisme économique affecte également les investissements. Les entreprises hésitent à engager des dépenses conséquentes face à une fiscalité perçue comme punitive et un environnement économique incertain. Cette situation asphyxie l’innovation et limite la création d’emplois, amplifiant la crise.
Un marché de l’emploi en crise
Le chômage remonte à 8 %, avec près de 143 000 pertes d’emplois prévues sur l’année. Les secteurs traditionnellement porteurs, comme l’automobile ou la construction, souffrent de restructurations massives. En parallèle, les tensions sur le marché du travail sont exacerbées par la montée de l’automatisation, rendant obsolètes de nombreux postes peu qualifiés.
Le pouvoir d’achat des Français subit également une érosion lente mais continue. Les salaires n’évoluent pas au rythme d’une inflation pourtant modérée, ce qui accentue le déclassement dans les classes moyennes et populaires. Les dépenses contraintes, comme le logement, l’énergie et l’alimentation, absorbent une part croissante des revenus, laissant peu de place aux loisirs ou à l’épargne.
Une dette publique qui inquiète
La dette publique atteint un niveau record de 115,1 % du PIB en 2025, tandis que le déficit budgétaire stagne autour de 5 %. Ces chiffres traduisent une incapacité chronique de l’État à maîtriser ses finances. Les politiques publiques, souvent dictées par des impératifs électoralistes, manquent de cohérence à long terme.
Dans ce contexte, les marges de manœuvre pour engager des réformes ambitieuses sont quasi inexistantes. Les investissements dans la transition énergétique, l’éducation ou encore les infrastructures, pourtant cruciaux pour l’avenir, sont relégués au second plan. La France s’enferme dans un cercle vicieux où la dette alimente les déficits, sans véritable stratégie de relance économique.
Un climat social sous tension
Sur le plan social, les inégalités continuent de se creuser, nourrissant un ressentiment croissant au sein de la population. Les mobilisations sociales se multiplient, traduisant une exaspération générale face à l’inaction des élites. Les réformes impopulaires attisent les tensions.
La jeunesse, frappée de plein fouet par le chômage et la précarité, exprime de plus en plus ouvertement son désespoir. Beaucoup d’étudiants et de jeunes actifs envisagent de quitter le pays, faute de perspectives d’avenir. Cette fuite des talents risque de priver la France de forces vives essentielles pour rebondir.
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Le 29 décembre 2024, Mike Borowski vous attendait pour un sujet d’actualité, sur Géopolitique Profonde.
Le groupe Bilderberg, cette organisation ultra-secrète où se croisent les élites politiques, économiques et médiatiques mondiales, a frappé un grand coup. En choisissant Jens Stoltenberg, ancien secrétaire général de l’OTAN, comme son nouveau leader, il annonce clairement une nouvelle phase de son plan mondialiste. Derrière cette nomination, se dessine une stratégie froide et calculée : accélérer l’Agenda 2030 et imposer une centralisation du pouvoir global.
Une nomination stratégique pour un plan déjà en marche
Stoltenberg, architecte clé des décisions de l’OTAN, est bien plus qu’un simple bureaucrate. Sous son mandat à l’OTAN, il a orchestré une politique d’expansion militaire agressive, notamment contre la Russie, consolidant les intérêts occidentaux face aux puissances émergentes. Aujourd’hui, en prenant les rênes du groupe Bilderberg, il dispose des moyens pour appliquer cette même vision militariste et centralisatrice à l’échelle globale.
L’Agenda 2030, ce programme controversé soutenu par les Nations Unies, vise une transformation profonde des sociétés : réduction des libertés sous prétexte d’urgence climatique, contrôle numérique total à travers les monnaies numériques de banque centrale (CBDC) et surveillance accrue via l’IA. Stoltenberg est le rouage parfait pour synchroniser ces projets entre les sphères politiques, économiques et militaires.
Cette nomination survient à un moment où les crises géopolitiques se multiplient, créant un terreau fertile pour imposer des solutions autoritaires sous couvert de stabilité mondiale. Le groupe Bilderberg se renforce pour piloter les prochaines étapes de cette transformation.
2024 : une année charnière pour les mondialistes
Les événements symboliques de 2024, comme les Jeux Olympiques de Paris et la réouverture de Notre-Dame, servent d’outils pour habituer les populations à des transformations globales. Les JO deviennent un terrain d’essai pour des technologies de surveillance, tandis que des institutions supranationales imposent des mesures autoritaires, telles que les passeports biométriques.
Avec Stoltenberg à sa tête, le Bilderberg exploite ces événements pour accélérer la transition vers un ordre mondial centralisé.
Pourquoi Stoltenberg ? Un homme de l’ombre au service des élites
Le choix de Stoltenberg n’a rien d’un hasard. Formé dans les cercles de pouvoir transatlantiques, cet ancien Premier ministre norvégien a toujours été proche des grandes institutions mondialistes. Sous son mandat à l’OTAN, il a démontré une capacité à gérer des crises complexes tout en restant aligné sur les intérêts des élites occidentales.
Sa nomination au Bilderberg lui donne un nouveau levier : celui de coordonner les actions entre les différentes sphères de pouvoir. Contrairement à ses prédécesseurs, Stoltenberg est un expert militaire. Cela pourrait indiquer une militarisation accrue des décisions mondiales, notamment face aux défis posés par la Chine et la Russie.
Bilderberg et l’agenda globaliste
Le groupe Bilderberg, souvent discret, joue un rôle crucial dans les stratégies globales. Avec Stoltenberg, il vise une accélération de l’Agenda 2030, combinant contrôle économique, écologique et militaire. 2024 pourrait marquer un tournant, exploitant les crises pour justifier des mesures autoritaires au nom de la stabilité mondiale.
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Le 29 décembre 2024, Gérard Chevrier et Raphaël Besliu étaient les invités de Nicolas Stoquer et Lara Stam sur Géopolitique Profonde.
Gérard Chevrier est un spécialiste du nucléaire qui s’est distingué par son analyse géostratégique et géopolitique des guerres et conflits actuels. Il est particulièrement reconnu pour ses contributions sur les sujets liés aux risques nucléaires et à la protection contre les retombées radioactives. Auteur de l’ouvrage percutant La prochaine guerre sera nucléaire, il propose une réflexion inédite sur les réalités d’un conflit atomique et ses conséquences pour l’humanité.
Raphaël Besliu est le directeur de rédaaction de Géopolitique Profonde. Il anime des émissions et des interviews sur des sujets comme les conflits, les stratégies militaires et la politique mondiale. Son objectif : proposer des analyses claires et différentes de celles des médias classiques.
L’humanité s’approche inexorablement d’une guerre nucléaire. C’est le constat glaçant du livre La prochaine guerre sera nucléaire de Gérard Chevrier. Cet ouvrage ne s’embarrasse pas de demi-mesures : il décrit un avenir où l’arsenal atomique devient une arme stratégique incontournable et explique pourquoi ce conflit ne signifiera pas la fin du monde.
Un risque nucléaire devenu inévitable
Selon Gérard Chevrier, l’escalade géopolitique actuelle rend un conflit nucléaire presque inévitable. Les grandes puissances – États-Unis, Russie, Chine – perfectionnent leurs arsenaux, tandis que les tensions autour de Taïwan, de l’Ukraine ou du Golfe Persique exacerbent les risques.
Les doctrines de dissuasion mutuelle, autrefois garantes de la stabilité, s’effondrent sous la pression des rivalités croissantes. Les démonstrations de force nucléaire deviennent monnaie courante, rendant l’engrenage vers un affrontement atomique de plus en plus probable.
Comprendre les types d’explosions nucléaires et leurs impacts
Le livre distingue divers types d’explosions nucléaires :
Explosions aériennes : destruction massive sur une large zone avec moins de retombées radioactives.Explosions au sol : impact local plus concentré, mais plus de radioactivité.Les armes modernes, tactiques ou stratégiques, sont conçues pour des usages précis. Cependant, l’utilisation d’une seule arme nucléaire pourrait déclencher une escalade globale incontrôlable.
Survivre à un conflit nucléaire
La survie dépend de la préparation face aux retombées radioactives, notamment les rayonnements gamma. Gérard Chevrier propose des solutions pratiques et scientifiquement solides :
Réduction de l’exposition aux radiations.Conception d’abris efficaces.Gestion des ressources dans un environnement contaminé.Ces conseils pragmatiques pourraient sauver des millions de vies dans un monde post-conflit nucléaire.
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Le 28 décembre2024, Alexis Tarrade, Xavier Moreau, Fabrice Sorlin et Nikola Mirkovic vous donnaient rendez-vous pour faire le bilan de l’année 2024 dans un nouvel épisode de Divergence sur Géopolitique Profonde !
Alexis Tarrade, figure clé des relations franco-russes, a dirigé l’Union des Français de l’Étranger en Russie et commente régulièrement la crise ukrainienne. Ancien président des Républicains Russie-Biélorussie, il a quitté ce poste en 2020.Xavier Moreau, analyste en relations internationales, diplômé de Saint-Cyr et de Paris IV, vit en Russie depuis 24 ans. Il dirige Stratpol, se concentre sur la géopolitique russe et est l’auteur de Nouvelle Grande Russie.Fabrice Sorlin, nationaliste et catholique traditionaliste, a présidé l’association Dies Irae et est vice-président du Mouvement international russophile, participant à des débats sur la Russie.Nikola Mirkovic, auteur et président de l’association Ouest-Est, mène des missions humanitaires au Donbass et au Kosovo. Il est invité par divers médias pour ses analyses géopolitiques.La réélection de Poutine consolide son pouvoir malgré la guerre
En 2024, Poutine remporte une victoire électorale écrasante, renforçant l’unité nationale malgré la guerre contre l’OTAN. Les contre-offensives ukrainiennes échouent, consolidant les gains russes au Donbass. Zelensky, affaibli et isolé, est proche de perdre le pouvoir. Pendant ce temps, les BRICS renforcent leur influence, accélérant l’émergence d’un ordre mondial multipolaire.
L’unité politique russe contraste avec les divisions croissantes au sein de l’OTAN, où les intérêts américains et européens divergent. La fin de Zelensky pourrait ouvrir la voie à des négociations dictées par Moscou.
Le retour de Trump et le basculement des États-Unis
Trump remporte une victoire retentissante, marquant un rejet des élites globalistes. Il annonce un durcissement envers la Chine, intensifiant les tensions militaires et commerciales en Asie-Pacifique. Face à la Russie, Trump promet un apaisement, rompant avec la ligne belliciste des démocrates.
L’arrestation de Pavel Durov : un coup d’État numérique
L’arrestation du fondateur de Telegram symbolise la peur des élites face aux outils de communication décentralisés. Cet acte illustre la volonté des gouvernements de renforcer leur contrôle narratif et pose un grave danger pour les libertés individuelles.
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Le 28 décembre 2024, François Martin, Laurent Artur du Plessis et Lara Stam étaient les invités de Nicolas Stoquer, sur Géopolitique Profonde.
François Martin est un géopolitologue, journaliste et essayiste français, diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, et auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Avec une carrière de 40 ans dans le commerce international de l’alimentaire, il a acquis une expérience considérable sur plus de 100 pays et maîtrise six langues et est connu pour ses analyses pénétrantes sur des sujets internationaux complexes.
Laurent Artur du Plessis est un analyste reconnu pour sa capacité à décrypter les complexités des relations internationales. Dans son ouvrage “Au cœur de la 3e guerre mondiale”, il explore les tensions géopolitiques qui définissent notre époque. Avec une approche rigoureuse et documentée, il examine les stratégies des grandes puissances et les répercussions potentielles sur l’équilibre mondial.
Lara Stam, chroniqueuse de talent sur Radio Courtoisie, elle est connue pour ses prises de position très pragmatiques sur les questions de souveraineté nationale et d’indépendance géopolitique.
Trump bouleverse-t-il l’ordre mondial ?
Donald Trump incarne une rupture géopolitique majeure. Son approche, centrée sur « America First », remet en question l’OTAN et les traités multilatéraux, favorisant une diplomatie transactionnelle axée sur les rapports de force. Cette stratégie désorganise l’ordre international et ouvre des opportunités pour ses rivaux, notamment la Chine et la Russie.Poutine, l’homme aux nerfs d’acier
Vladimir Poutine reste une figure stratégique incontournable. Résistant aux sanctions économiques et à l’isolement diplomatique, il s’impose par une vision à long terme. Exploitant les ressources énergétiques et l’arsenal militaire de la Russie, il consolide son pouvoir intérieur tout en défiant l’Occident.
La marche du monde entre hasard et nécessité
Les bouleversements de 2024 révèlent une instabilité croissante : révoltes populaires, effondrements économiques et alliances inattendues redessinent la carte géopolitique. Cependant, ces crises sont ancrées dans une logique historique d’expansion et de domination héritée des grandes puissances.
2025 pourrait marquer la fin d’un cycle. Les fractures sociales, économiques et géopolitiques atteignent un point critique, mais ouvrent aussi des perspectives de transformation. Ce tournant historique pourrait permettre l’émergence de nouveaux équilibres, à condition de rompre avec le fatalisme et d’agir avec audace.
Conclusion : un monde au bord du gouffre
L’humanité se trouve à un carrefour. La guerre et le chaos resteront-ils inévitables, ou les dirigeants sauront-ils saisir les opportunités pour écrire une histoire différente ? L’avenir dépendra de leur capacité à relever ces défis majeurs.
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Le 28 décembre 2024, Mike Borowski analysait un sujet d’une importance cruciale que les médias subventionnés se gardent de relayer, sur Géopolitique Profonde.
Un réseau pédopornographique d’une ampleur inédite démantelé
Les autorités françaises viennent de frapper un grand coup dans la lutte contre la pédocriminalité. Une enquête internationale a permis de démanteler un réseau actif sur l’application chiffrée Signal, regroupant plus de 16 000 membres dans 130 pays.En France, 95 individus ont été interpellés, parmi lesquels des personnalités travaillant avec des enfants : un éducateur sportif, un directeur d’association pour la jeunesse et même un adjoint au maire. Au total, 375 000 photos et 156 000 vidéos pédopornographiques ont été saisies. Cette saisie titanesque met en lumière l’ampleur insoupçonnée de cette criminalité sur Internet.
Une justice qui manque d’envergure face à un réseau tentaculaire
Si l’arrestation de 95 personnes constitue un pas important, elle soulève aussi des questions. Pourquoi seulement une fraction des 16 000 membres identifiés a-t-elle été inquiétée par la justice ? Les enquêteurs expliquent que les preuves tangibles, nécessaires pour procéder à des interpellations, nécessitent un travail titanesque.
Cependant, ce faible nombre d’arrestations alimente les suspicions d’une justice dépassée par la complexité et l’ampleur du phénomène. Ces réseaux, souvent protégés par des technologies de chiffrement, prospèrent dans l’ombre, profitant de la lenteur des systèmes judiciaires et des limites des enquêtes internationales.
Une recrudescence inquiétante de la pédocriminalité en ligne
La pédocriminalité connaît une véritable explosion à l’ère numérique. Les plateformes sécurisées comme Signal, mais aussi le dark web, offrent aux prédateurs un terrain de jeu où ils opèrent avec un sentiment d’impunité.
L’augmentation des contenus pédopornographiques saisis – 217 téraoctets dans ce seul réseau – témoigne d’une recrudescence inquiétante. Les experts attribuent ce phénomène à l’accès de plus en plus facile à des technologies anonymisantes, ainsi qu’à une faible coordination internationale pour traquer les auteurs de ces crimes. Dans cette affaire, l’ampleur des saisies montre que les autorités françaises, bien qu’actives, ne peuvent à elles seules enrayer cette menace mondiale.
Le silence médiatique, symptôme d’un malaise national
Malgré l’ampleur du scandale, l’affaire n’a pas suscité un débat médiatique proportionnel à son importance. Ce silence interroge : est-il dû à la sensibilité du sujet, ou cache-t-il des protections accordées à certaines figures impliquées ? Parmi les 95 interpellés, les profils influents posent question. Pourquoi ces personnes, supposées garantes de la sécurité des enfants, bénéficient-elles parfois d’une couverture médiatique atténuée ?
Ce silence contribue à alimenter le sentiment d’une société malade, où la pédocriminalité, pourtant en augmentation, reste un sujet tabou.
Face à ces révélations, la protection des enfants et la lutte contre la pédocriminalité doivent devenir des priorités absolues.
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Le 28 décembre 2024, Patrick Pasin était l’invité de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde.
Patrick Pasin est un auteur, conférencier et entrepreneur français, connu pour ses critiques sur la géopolitique, la santé publique et la souveraineté individuelle.
Le climat est devenu l’outil principal des élites mondialistes pour remodeler les sociétés selon leur agenda totalitaire. Sous le prétexte de l’urgence écologique, ils manipulent l’opinion publique pour imposer des mesures liberticides et centraliser le pouvoir mondial.
« Pour gagner une guerre, il faut maîtriser cinq facteurs essentiels : la stratégie, les alliances, et surtout trois éléments liés au climat – le terrain, les conditions météorologiques et le contrôle des ressources naturelles. »
- Sun Tzu dans L’Art de la guerre
Un prétexte écologique pour restreindre les libertésDepuis des décennies, les élites mondialistes utilisent l’urgence climatique pour renforcer leur contrôle. En diffusant un discours apocalyptique sur les catastrophes naturelles, amplifié par des campagnes médiatiques, ils conditionnent les populations à accepter des mesures liberticides, comme les taxes « vertes », le rationnement énergétique ou la surveillance numérique.
Derrière cette façade écologique se cache le Great Reset, un projet visant à centraliser le pouvoir mondial et à rendre les citoyens dépendants d’institutions comme l’ONU ou le Forum Économique Mondial.
Des catastrophes climatiques amplifiées par des technologies militaires
Les catastrophes naturelles ne sont plus uniquement des phénomènes géologiques. Des technologies militarisées, comme le programme HAARP, sont accusées de déclencher artificiellement des tempêtes, sécheresses ou tremblements de terre. Ces manipulations servent à déstabiliser des nations et à justifier des interventions sous contrôle des élites mondialistes.
En détruisant des régions entières, ces stratégies forcent les gouvernements à accepter des aides conditionnées, installant des infrastructures de surveillance numérique et augmentant la dépendance au système globalisé.
Les États-Unis et leurs expérimentations sur les populations civiles
La manipulation climatique s’inscrit dans une tradition d’expériences secrètes menées par les gouvernements, notamment aux États-Unis. Entre les années 1950 et 1970, l’armée américaine a exposé des millions de civils à des substances chimiques et biologiques :
Pulvérisations massives :
À San Francisco, des bactéries pathogènes ont été dispersées, causant des infections graves. À Saint-Louis, des particules toxiques de zinc et de cadmium ont affecté durablement les habitants.Agents biologiques :
Des substances comme la toxine botulique et l’anthrax ont été testées sur des populations sans leur consentement.Ces expériences montrent un mépris total pour la vie humaine, sous prétexte de « progrès scientifique ».
Résister face à un projet global de domination
Ces manipulations, qu’elles soient climatiques ou sanitaires, s’inscrivent dans une logique d’affaiblissement des peuples pour accroître leur dépendance à un pouvoir centralisé. Chaque crise – climatique, pandémique ou économique – est exploitée pour avancer vers le Great Reset, remodelant les sociétés selon un modèle néo-féodal où une élite contrôle toutes les ressources et libertés individuelles.
Face à ces manipulations, la vigilance et l’action sont essentielles.
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Le 27 décembre 2024, Gilles Lartigot était l’invité d’Un Soir avec Lara animée par Lara Stam, sur Géopolitique Profonde.
Gilles Lartigot est un auteur et conférencier français, connu pour son militantisme en faveur d’une consommation alimentaire saine et consciente.
Il est particulièrement connu pour son ouvrage “EAT – Chronique d’un fauve dans la jungle alimentaire”, publié en 2013 et “EAT 2 – Des morts et des vivants”, la suite de son premier volume. Il vient aujourd’hui nous présenter son nouvel ouvrage « La jungle alimentaire ».
Si EAT était un cri d’alarme, ce manifeste est un appel à l’action, un engagement renouvelé à ne pas baisser les bras face à la complexité des enjeux, tout en privilégiant l’écoute, le dialogue et le respect des opinions de chacun, pour une alimentation saine, éthique et respectueuse de l’environnement.
L’alimentation moderne entre destruction et renouveauL’industrie agroalimentaire est l’un des principaux défis de notre époque. Axée sur la productivité, elle s’appuie sur l’utilisation intensive de pesticides, additifs et conservateurs, au détriment de la santé et de l’environnement. Résultat : une explosion des maladies chroniques (cancers, obésité, diabète) et une biodiversité menacée.
Gilles Lartigot dénonce ce modèle destructeur, qui enrichit les multinationales tout en sacrifiant notre bien-être. Pour lui, chaque choix alimentaire constitue un acte de résistance face à ce système.
Les consommateurs au cœur du changement
Les citoyens ont un pouvoir immense : leur pouvoir d’achat. En privilégiant les produits locaux, biologiques et non transformés, ils peuvent inverser la tendance. Ce changement simple a des répercussions profondes, encourageant une agriculture respectueuse des écosystèmes et renforçant les économies locales.
Cependant, ce mouvement doit être soutenu par des politiques publiques ambitieuses, remplaçant les subventions à l’agriculture intensive par des financements durables. En attendant, les citoyens doivent agir en pionniers.
Le poison invisible des pesticides et additifs
Les pesticides de synthèse contaminent sols, eaux et aliments, provoquant des déséquilibres écologiques majeurs, comme la disparition des pollinisateurs. Pour les humains, les liens entre ces substances et des maladies graves, dont les cancers, sont avérés.
Les additifs alimentaires, omniprésents dans les produits transformés, compromettent également notre santé. L’urgence est de revenir à une alimentation simple, basée sur des produits bruts exempts de manipulations industrielles.
Une boucle toxique : agro-industrie et Big Pharma
L’agriculture intensive et Big Pharma forment un cercle vicieux : une alimentation toxique provoque des maladies chroniques, générant des profits colossaux pour l’industrie pharmaceutique. Ce système exploite à la fois notre santé et nos ressources financières.
Retrouver une santé optimale après les excès
Après les fêtes, Gilles Lartigot prône une détoxification simple : légumes frais, eau pure et absence de produits transformés. Il recommande des smoothies verts (concombre, épinards, pomme verte, citron) pour éliminer les toxines et rebooster l’organisme.
Au-delà des recettes, il insiste sur l’importance d’un engagement quotidien pour une alimentation éthique et respectueuse, essentielle pour notre santé et celle de la planète.
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Le 27 décembre 2024, Laurent Henninger et Laurent Artur du Plessis étaient les invités de La Grande Émission, animée par Nicolas Stoquer, sur Géopolitique Profonde.
Laurent Henninger est historien spécialiste de l’histoire militaire, membre de la Revue Défense Nationale et du comité de rédaction de Guerres et Histoire. Ses recherches portent sur l’évolution des stratégies militaires, notamment le concept d’« art opératif » et les révolutions technico-militaires. Il co-anime des séminaires sur la guerre moderne à l’EHESS et intervient régulièrement dans des think tanks souverainistes comme le Cercle Aristote.
Laurent Artur du Plessis, analyste des relations internationales, est l'auteur de Au cœur de la 3e guerre mondiale, où il décrypte avec rigueur les tensions internationales actuelles, mettant en lumière les stratégies des grandes puissances et leurs conséquences sur l’équilibre mondial.
La guerre en Ukraine : un conflit mondial en devenir
Ce qui a débuté comme une invasion régionale en 2022 s’est transformé en une guerre à dimension internationale. L’Occident arme massivement l’Ukraine, tandis que des sanctions économiques sans précédent visent la Russie. L’OTAN renforce ses alliances, faisant de ce conflit un pivot stratégique global.
L’Ukraine : laboratoire de guerre technologique
Les drones redéfinissent les champs de bataille modernes. Essaims automatisés, frappes de précision et surveillance de pointe montrent une rupture avec les guerres conventionnelles. La Russie collabore avec l’Iran pour produire des drones kamikazes en masse, tandis que l’Ukraine bénéficie des technologies américaines et israéliennes. Ces avancées technologiques augmentent l’efficacité meurtrière tout en désincarnant les combats.
L’Indo-Pacifique : un autre foyer de tensions
Au-delà de l’Europe, l’Indo-Pacifique devient un nouveau théâtre de conflits. La Corée du Nord intensifie ses essais balistiques, franchissant des seuils critiques avec des missiles intercontinentaux. Soutenu par la Chine et la Russie, Pyongyang devient un acteur déstabilisateur.
En réponse, le Japon abandonne son pacifisme et investit massivement dans son armée. Tokyo émerge comme un allié clé pour contrer la montée en puissance chinoise et nord-coréenne, mais le risque d’une confrontation directe s’intensifie.
Une logique néoconservatrice et ses dangers
Les États-Unis poursuivent une politique d’escalade, injectant des milliards de dollars dans l’armement et imposant des sanctions globales. En Ukraine, cette stratégie alimente une spirale dangereuse, étendant les tensions jusqu’à l’Indo-Pacifique.
Le spectre nucléaire : une menace grandissante
Depuis 1945, l’arme nucléaire a maintenu un équilibre précaire, mais la menace de son utilisation n’a jamais été aussi forte. La Russie multiplie les exercices simulant des frappes tactiques. En Asie, la Corée du Nord brandit ouvertement l’option nucléaire, tandis que les États-Unis adoptent une posture ambiguë, oscillant entre dissuasion et prudence.
Un monde au bord du gouffre
Les crises en Ukraine, dans le Pacifique et ailleurs sont interconnectées. Les avancées technologiques comme les drones et l’intelligence artificielle, combinées à la menace nucléaire, rapprochent les grandes puissances d’un point de non-retour. Une erreur stratégique ou un incident isolé pourrait déclencher une conflagration mondiale.
Pour éviter une tragédie inédite, les dirigeants doivent rompre avec cette logique d’escalade.
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Le 27 décembre 2024, Mike Borowski vous donnait rendez-vous sur Géopolitique Profonde.
En 2025, Emmanuel Macron pourrait franchir une étape décisive en activant l’article 16 de la Constitution, un outil rarement utilisé qui confère au Président des pouvoirs quasi absolus. Dans un climat de blocage institutionnel et de tensions sociales croissantes, cette décision marquerait un tournant majeur pour la démocratie française.
Une mesure exceptionnelle qui concentre tous les pouvoirs
L’article 16, introduit en 1958 par Charles de Gaulle, n’a été utilisé qu’une fois, en 1961, lors du putsch des généraux en Algérie. Il avait alors permis à de Gaulle de concentrer les pouvoirs exécutifs et législatifs pour stabiliser la République.
En 2025, les circonstances seraient bien différentes. Un blocage institutionnel, provoqué par une censure probable du gouvernement Bayrou, offrirait à Macron l’opportunité d’invoquer l’article 16. Contrairement à 1961, cette crise serait davantage le résultat d’une impasse politique que d’une menace externe.
Une France au bord de la rupture démocratique
Si cet article venait à être activé, les oppositions parlementaires seraient neutralisées, et les décisions pourraient être imposées sans débat. Les libertés individuelles pourraient également être suspendues, justifiées par la stabilité nationale.
L’histoire montre que ces situations d’exception ont des effets durables. En 1961, bien que temporaire, l’usage de l’article 16 avait suscité de vives critiques. En 2025, une telle mesure pourrait banaliser l’autoritarisme, renforcé par des outils modernes de contrôle numérique comme les monnaies numériques de banque centrale (CBDC) ou la surveillance accrue des communications.
Un climat propice à la dérive autoritaire
Depuis des années, les gouvernements successifs affaiblissent les contre-pouvoirs institutionnels. L’utilisation fréquente de l’article 49.3 pour passer des lois sans vote illustre cette tendance. Les mouvements sociaux sont réprimés, et les médias indépendants peinent à s’exprimer.
En 2025, un nouveau prétexte, comme une crise sanitaire, pourrait aggraver la situation. Les crises précédentes, telles que le Covid-19, ont montré comment les peurs collectives peuvent justifier des restrictions sévères, de nouveaux confinements ou couvre-feux.
Les dangers d’un précédent durable
L’activation de l’article 16 ne concernerait pas uniquement Emmanuel Macron, mais ouvrirait la voie à une normalisation de la concentration des pouvoirs. Les successeurs pourraient s’appuyer sur ce précédent pour justifier des mesures similaires face à d’autres crises, affaiblissant davantage la démocratie française.
Résister à la normalisation de l’exception
Pour éviter ce basculement, les citoyens doivent rester vigilants. L’histoire prouve que des mobilisations populaires peuvent influencer les décisions politiques. Toutefois, face à des outils numériques de contrôle et une répression organisée, la tâche est plus complexe aujourd’hui.
Il est crucial de renforcer les réseaux d’information indépendants et de privilégier des solutions locales pour échapper aux outils de contrôle financier et numérique. La défense des libertés fondamentales passe par une mobilisation collective, pacifique mais déterminée.
En 2025, la France devra choisir entre céder à la tentation autoritaire ou défendre ses valeurs républicaines. Ce choix appartient à chaque citoyen refusant la résignation.
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Le 27 décembre 2024, Marc-Gabriel Draghi et Laurent Artur du Plessis étaient les invités de La Matinale animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde.
Marc Gabriel Draghi est un juriste français spécialisé dans l’histoire du droit. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur la question monétaire et l’histoire du capitalisme, dont « Le règne des marchands du temple », « Le grand reset en marche ! » et « La Grande Narration : Vers la mort des Nations ». Il dénonce les dangers du projet du Forum économique mondial, qu’il considère comme une tentative de soumettre l’humanité à une élite mondialiste.
Laurent Artur du Plessis est un analyste reconnu pour sa capacité à décrypter les complexités des relations internationales. Dans son ouvrage “Au cœur de la 3e guerre mondiale”, il explore les tensions géopolitiques qui définissent notre époque. Avec une approche rigoureuse et documentée, il examine les stratégies des grandes puissances et les répercussions potentielles sur l’équilibre mondial.
La troisième guerre mondiale : une réalité économique et financière en marche
L’affrontement global n’est plus militaire, mais économique. Les États-Unis et la Chine s’affrontent dans une guerre commerciale féroce, tandis que la dédollarisation orchestrée par Pékin, Moscou et Téhéran remet en question l’hégémonie américaine. Les sanctions économiques exacerbent les tensions et durcissent les blocs.
Le Great Reset, promu par Davos, accentue les fractures. Présenté comme une solution universelle, ce projet technocratique favorise les élites et attise une révolte mondiale montante.
Donald Trump : un catalyseur de chaos ?
Sous Donald Trump, les États-Unis ont adopté une posture protectionniste. En s’attaquant à la Chine avec des tarifs douaniers, en quittant des accords internationaux et en critiquant des institutions comme l’OTAN, Trump a fragilisé l’ordre mondial. Si ses partisans louent son anti-mondialisme, ses décisions ont multiplié les tensions internationales, préparant le terrain à des conflits plus profonds.
Une guerre multidimensionnelle et ses répercussions
Les guerres économiques affectent directement les sociétés. En Europe, les sanctions contre la Russie provoquent une flambée des prix de l’énergie, alimentant une colère sociale grandissante. Aux États-Unis, la séparation économique avec la Chine affaiblit plusieurs secteurs tout en alimentant l’inflation.
Parallèlement, le cyberespace devient un nouveau champ de bataille. Les alliances militaires se recomposent : le Japon remilitarise, la Russie intensifie ses opérations, et l’Europe demeure hésitante face à ces bouleversements.
Le chaos intérieur : une menace mondiale
Les inégalités sociales, exacerbées par la financiarisation de l’économie, fracturent profondément les sociétés. Grèves, mouvements populistes et violences explosent en Europe, aux États-Unis et en Chine. Ces guerres intérieures affaiblissent les nations et les rendent vulnérables aux influences extérieures.
Ces divisions internes, combinées à des tensions géopolitiques, pourraient conduire à une guerre civile mondiale, où les intérêts des élites s’opposent à ceux des peuples.
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Le 26 décembre 2024, Pierre Barnérias était l’invité d’Un Soir avec Lara animée par Lara Stam, sur Géopolitique Profonde.
Pierre Barnérias est un réalisateur et un journaliste, il construit sa carrière en explorant des sujets que d’autres médias jugent trop sensibles, trop dérangeants. En 2010, il décide de quitter les structures traditionnelles pour fonder l’agence Citizen, une plateforme indépendante dédiée à l’investigation et aux récits documentés. Son objectif : offrir aux spectateurs une vérité brute, sans filtre, sur des problématiques sociales et sociétales majeures. Parmi ses productions marquantes, Les Survivantes occupe une place centrale. Ce documentaire, qui plonge dans l’univers de la pédocriminalité, secoue autant qu’il éveille.
La pédocriminalité : un fléau sous-estimé
Chaque année, des milliers d’enfants subissent des violences sexuelles, souvent dans l’indifférence. Les réseaux pédocriminels, parfois protégés par des figures influentes, prospèrent grâce à un silence institutionnel et médiatique. Les scandales révélés restent rares, et beaucoup d’affaires sont étouffées par des pressions politiques et économiques.
Ce silence représente une entrave directe à la justice. La médiatisation, pourtant essentielle pour briser l’omerta, est limitée par les intérêts financiers ou politiques des grandes rédactions.
Sensibilisation et prévention : une urgence collective
La lutte contre la pédocriminalité commence par l’éducation et la vigilance. Parents, éducateurs et institutions doivent être formés pour détecter les signes de maltraitance. Les campagnes de sensibilisation, souvent insuffisantes, doivent s’adresser directement au grand public sans édulcorer la réalité.
Internet, principal outil des réseaux criminels, doit devenir un espace de prévention. Les plateformes numériques ont la responsabilité de surveiller leurs contenus et de signaler les activités illégales.
Le rôle clé des lanceurs d’alerte et des journalistes
Les journalistes d’investigation et les lanceurs d’alerte sont essentiels pour dénoncer les réseaux pédocriminels. Ils révèlent des vérités que beaucoup préféreraient ignorer. Mais ils affrontent des défis majeurs : menaces, procès intimidants et violences.
Face à l’omerta des grandes rédactions, les médias indépendants offrent un espace pour des enquêtes rigoureuses et libres de contraintes politiques ou financières.
Responsabilité du public et éthique médiatique
Le public joue un rôle crucial. En soutenant les médias indépendants et en relayant les enquêtes, il contribue à exposer les injustices. Cependant, cette implication doit respecter les victimes, évitant voyeurisme et sensationnalisme.
Les journalistes doivent garantir une approche respectueuse, mettant en avant la dimension humaine des affaires sans réduire les victimes à des objets médiatiques. Une couverture éthique peut briser les tabous et susciter des changements concrets.
Une lutte de longue haleine
La pédocriminalité exige une mobilisation à tous les niveaux : médias, institutions, associations et citoyens. Chaque acteur doit contribuer à démanteler les réseaux et protéger les victimes.
Dans un monde où l’information est parfois manipulée ou étouffée, le journalisme d’investigation reste une arme essentielle pour exposer la vérité et bâtir une société plus juste.
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Le 26 Décembre 2024, Christian Cotten, son avocat, Philippe Fortabat-Labatut et Lionel Labosse, étaient les invités de Mike Borowski sur Géopolitique Profonde, pour développer la plainte déposée contre Brigitte Macron.
Une plainte contre Brigitte Macron secoue la RépubliqueChristian Cotten, psychosociologue et militant, a déposé une plainte contre X devant le Doyen des juges d’instruction du Tribunal Judiciaire de Paris, liée à l’affaire « Jean-Michel Trogneux-Brigitte Macron », et portant sur des accusations graves :
Usurpation d’identité : Brigitte Macron serait en réalité « Jean-Michel Trogneux », une identité masculine supposément dissimulée par des documents falsifiés. Cette théorie, apparue sur Internet, est aujourd’hui formalisée dans une plainte officielle.Usage de faux et crime de faux par représentant de l’État : Les documents d’état civil liés à Brigitte Macron seraient falsifiés. Des incohérences flagrantes existent dans les archives officielles, compromettant la validité de l’identité de la Première Dame.Atteintes sexuelles sur mineur et mariage illégal : Les accusations les plus graves concernent des faits présumés d’abus sexuels sur mineur, impliquant une position d’autorité. Ces faits, vieux de plusieurs décennies, seraient à l’origine d’un mariage qualifié d’illégal.Escroquerie au jugement : Les institutions judiciaires auraient validé des décisions basées sur des informations falsifiées, entraînant une manipulation à grande échelle.Atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation : La plainte conclut en affirmant que ces agissements mettent en danger la République elle-même, en fragilisant la légitimité des plus hautes autorités de l’État.Pourquoi cette plainte inquiète le pouvoir
Cette affaire dépasse les accusations contre Brigitte Macron et interroge l’intégrité des institutions françaises. Ses impacts potentiels sont nombreux :
Atteinte à l’image présidentielle : Une mise en cause de la Première Dame affaiblirait directement Emmanuel Macron, déjà fragilisé par une contestation sociale.Pression sur la justice : Une enquête exigerait l’examen de documents officiels et pourrait révéler des manipulations au sommet de l’État.Mobilisation des contestataires : Ce scandale pourrait renforcer la défiance envers les élites et alimenter les discours appelant à réformer les institutions.Une République fragilisée
Au-delà de Brigitte Macron, cette plainte reflète une crise de confiance majeure entre citoyens et institutions. Une enquête approfondie pourrait révéler des dysfonctionnements systémiques, affectant la présidence et la démocratie française. À l’inverse, un classement sans suite renforcerait les soupçons de protection des élites.
Le mystère autour du test ADN
Un test ADN pourrait lever les doutes sur l’identité de Brigitte Macron. Elle refuse néanmoins cette démarche, alimentant la suspicion. Ce refus intervient dans un contexte d'accusations de pédocriminalité qui soulèvent des interrogations sur l’abus d’autorité dans la relation entre Brigitte Trogneux, alors enseignante et son élève, Emmanuel Macron.
Dans une société marquée par des scandales impliquant des personnalités influentes et au-delà des rumeurs, ces accusations interpellent sur les limites tolérées parmi les élites, notamment face à la protection des mineurs.
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Le 26 décembre 2024, Nicolas Stoquer vous donnait rendez-vous sur Géopolitique Profonde, pour une analyse explosive du remplacement des vitraux de Notre-Dame de Paris voulu par Emmanuel Macron.
Une offensive idéologique déguisée en art contemporain
Les vitraux originaux, témoins uniques de l’histoire chrétienne, sont remplacés par des œuvres de Claire Tabouret, artiste reconnue pour son militantisme progressiste. Vivant à Los Angeles et soutenue par des élites culturelles, Tabouret impose une vision idéologique étrangère à l’essence chrétienne de Notre-Dame.
Ses créations évoquent des thèmes centrés sur les migrants et puisent dans l’occultisme, notamment le tarot Rider-Waite-Smith. Ce jeu ésotérique, conçu par Pamela Colman-Smith, figure de la Golden Dawn, une société secrète britannique, s’écarte profondément de la symbolique chrétienne. Ces vitraux modernes abandonnent la lumière divine pour un univers ésotérique et idéologique.
Quand l’occultisme s’immisce dans un lieu sacré
Pamela Colman-Smith, inspiratrice majeure de Tabouret, était liée à des pratiques mystiques loin de la tradition chrétienne. Contrairement au tarot de Marseille, enraciné dans la culture européenne, le Rider-Waite-Smith est associé à des rituels occultes. Le remplacement des vitraux chrétiens par des œuvres imprégnées de cette symbolique brise la continuité spirituelle de Notre-Dame et brouille son message sacré.
Cette transformation n’est pas qu’esthétique : elle reflète une agression culturelle. En adoptant ces créations modernes, les autorités renient l’identité chrétienne de la cathédrale et en font une plateforme pour une idéologie progressiste, éloignée des racines historiques et spirituelles de l’édifice.
Un projet révélateur d’une stratégie globale
Claire Tabouret, soutenue par des mécènes comme la fondation Pinault, est emblématique d’une élite artistique mondialiste. Basée à Los Angeles, haut lieu du wokisme, elle produit des œuvres engagées, déconnectées des valeurs chrétiennes. Ce choix d’artiste illustre une volonté délibérée de transformer Notre-Dame en un symbole d’universalité progressiste.
Tabouret s’appuie sur des références occultes liées à la Golden Dawn, dont les influences ont été récupérées par des mouvements extrêmes comme la Société de Thulé. Ce rapprochement entre occultisme et idéologie pose un risque inquiétant, d’autant plus lorsqu’il s’immisce dans un lieu de culte.
Une banalisation inquiétante de l’occultisme
L’introduction de symboles ésotériques dans Notre-Dame, volontaire ou non, est une provocation. La Golden Dawn, connue pour ses pratiques mêlant divination et magie, a influencé des mouvements comme la Société de Thulé, associée à des idéologies destructrices. Ces références, intégrées à un lieu aussi emblématique, brouillent dangereusement les frontières entre foi et militantisme.
En perdant ses vitraux d’origine, Notre-Dame perd aussi une partie de son âme et de son rôle comme gardienne de l’identité chrétienne.
Une atteinte à l’identité française
Notre-Dame incarne l’histoire et les racines chrétiennes de la France. Altérer ses vitraux, piliers de son architecture spirituelle, est une atteinte à ce qu’elle représente pour des millions de croyants et citoyens. Les décideurs de ce projet prennent le risque de trahir l’essence même de la cathédrale, au détriment de son unité culturelle et spirituelle.
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Le 26 décembre2024, Oskar Freysinger et Christian Vanneste étaient les invités de La Matinale, animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde.
Oskar Freysinger, homme politique suisse, ancien vice-président de l’UDCet ex-élu du parlement, a exercé la fonction de Secrétaire d’État. Il se consacre désormais à l’écriture, la traduction avec notamment son dernier ouvrage, Animalia.
Christian Vanneste, homme politique et essayiste, est un ex membre du RPR puis de l’UMP, ex député du Nord de 1993 à 1997, puis de 2002 à 2012. Il est président du think tank la Droite libre depuis 2015.
Bayrou prend le contrôle : un gouvernement de revenants sous les projecteurs
François Bayrou a imposé sa stratégie : un gouvernement rempli de « poids lourds », mais ces figures du passé suscitent déjà rejet et colère. La situation est claire : Emmanuel Macron, affaibli, a cédé le pouvoir à un Premier ministre de substitution, espérant calmer une situation explosive. Le résultat ? Un exécutif qui ressemble davantage à un casting de seconds rôles démodés qu’à une équipe prête à relever les défis.Parmi les ministres nommés, la controverse est immédiate. Des figures oubliées comme Manuel Valls font leur retour, provoquant l’indignation. Les Français, déjà exaspérés par une inflation galopante, des services publics en crise et une classe politique déconnectée, voient dans cette équipe un ultime affront. Ce gouvernement, censé stabiliser le pays, incarne l’échec et l’arrogance.
Manuel Valls : le retour du symbole de la trahison
Manuel Valls, nommé ministre de l’Outre-mer, est au cœur des critiques. L’ancien Premier ministre de François Hollande, devenu un symbole de la trahison politique, a détruit le Parti socialiste avant de tenter une reconversion en Espagne. Après un échec retentissant à Barcelone, il tente un retour opportuniste en France.
Manuel Valls incarne tout ce que les Français détestent : ambition personnelle, opportunisme et déloyauté. Pendant des années, il a multiplié les volte-face, trahissant Benoît Hamon en 2017, puis s’alignant sur Emmanuel Macron pour disparaitre, lorsque la situation tournait mal.
Sur France Inter, la colère populaire s’est exprimée avec un auditeur excédé, qui l'a qualifié d’« étron », en direct, révélant l’exaspération générale face au retour de ces figures qui symbolisent le mépris et l’échec.
Un gouvernement au bord du gouffre
Le pari de François Bayrou de stabiliser l’exécutif se retourne déjà contre lui. En imposant des ministres « revenants », il pensait rassurer une population en colère et solidifier son pouvoir face à un Macron affaibli. Le résultat est tout autre : ce gouvernement aggrave la fracture sociale et politique.
Les Français ne voient pas une équipe capable de résoudre les crises, mais une tentative désespérée de recycler des figures usées, incapables de répondre aux défis actuels.
Emmanuel Macron, en acceptant de céder à Bayrou, a sacrifié ce qu’il lui restait d’autorité, et devient le spectateur de sa propre chute.
Une chute inévitable
Ce gouvernement est condamné. La colère gronde dans le pays, et ce cabinet ne pourra pas tenir face à un tel rejet. Les manifestations de défiance se multiplient, la légitimité de l’exécutif s’effondre chaque jour un peu plus. Bayrou, qui se voulait stratège, pourrait bien précipiter l’implosion totale de ce pouvoir en crise, devenu le symbole d’une classe politique en déroute.
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Le 18 décembre 2024, Nicolas Conquer, Gilles Lartigot, Antoine Gainot et Patrick Pasin étaient les invités de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde !
Nicolas Conquer est un communicant et analyste politique français, actuellement porte-parole de Donald Trump en France. Défenseur des politiques trumpiennes, il promeut la vision de Trump auprès du public français, en expliquant les enjeux géopolitiques d’une réélection de l’ex-président américain.Gilles Lartigot est un auteur et conférencier connu pour son militantisme en faveur d’une alimentation saine et pour ses ouvrages, EAT – Chronique d’un fauve dans la jungle alimentaire et EAT 2 – Des morts et des vivants, dans lesquels il dénonce les dérives de l’industrie agroalimentaire.Antoine Gainot, éditorialiste pour Front populaire, aborde l’actualité politique et sociétale avec une démarche critique et souverainiste. Ses analyses questionnent les dogmes dominants et défendent la souveraineté populaire.Patrick Pasin, auteur et entrepreneur, s’illustre par ses critiques sur la géopolitique, la santé publique et la souveraineté individuelle.Biden prépare un terrain miné pour Trump
Joe Biden orchestre un sabotage systématique pour entraver Trump dès son retour à la Maison Blanche. La transition présidentielle se transforme en un véritable champ de bataille. Biden multiplie les décrets exécutifs pour ancrer des politiques progressistes, rendant toute marche arrière complexe. Trump héritera d’une économie fragilisée par des dépenses incontrôlées et un déficit abyssal.
Des nominations stratégiques placent des loyalistes dans les services-clés (renseignement, justice, armée), afin de paralyser les réformes trumpiennes. Ces actions s’inscrivent dans une volonté de l’État profond de neutraliser Trump avant même sa prise de fonction.
L’État profond veut éliminer Trump à tout prix
L’État profond mène une guerre acharnée contre Trump, symbolisée par trois tentatives d’assassinat. Une quatrième menace plane. Trump représente une rupture totale avec les élites financières et militaro-industrielles. Biden, quant à lui, protège les membres corrompus de l’État profond par des amnisties stratégiques, renforçant ainsi la corruption systémique.
Pour dissuader Trump, des opérations sous faux drapeau sont envisagées. Elles serviraient à discréditer le président ou à plonger le pays dans le chaos, justifiant une intervention exceptionnelle pouvant aller jusqu’à une suspension temporaire du pouvoir présidentiel.
L’Amérique retrouve sa souveraineté sous Trump
Trump prévoit de mettre fin aux interventions militaires et d’entamer une sortie inévitable de l’OTAN, privant les élites globalistes de leur bras armé. L’Amérique se recentre sur sa souveraineté, rompant avec des alliances toxiques.
Son gouvernement sera un « gouvernement de combat », avec des fidèles comme Robert Kennedy Jr., prêt à s’attaquer aux industries et lobbies corrompus. L’objectif est clair : nettoyer l’État profond.
La résistance interne sera brutale. Agents infiltrés, bureaucrates hostiles et juges complices tenteront de saboter ses réformes. Mais Trump, déterminé, entend redonner le pouvoir au peuple américain.
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Le 25 décembre 2024, Nicolas Stoquer vous donnait rendez-vous sur Géopolitique Profonde.
Noël : une fête chrétienne enracinée dans le solstice d’hiver
La célébration de Noël au 25 décembre est un syncrétisme où le christianisme prolonge des traditions païennes en leur donnant une signification nouvelle. La Nativité supplante progressivement les Saturnales romaines, la fête de Yule germanique ou encore le culte de Mithra.
En 274, l’empereur Aurélien instaure le Dies Natalis Solis Invicti, jour du Soleil invaincu, pour unifier les croyances autour d’un culte solaire. L’Église christianise cette date, élevant Jésus au rang de « Soleil de justice ». Ce choix facilite la transition des rituels païens vers la liturgie chrétienne, en préservant les symboles de lumière et de renouveau liés au solstice.
Dès le IVᵉ siècle, la messe de minuit marque la naissance du Christ, pierre angulaire du calendrier liturgique. Bien qu’aucune source biblique ne précise la date exacte de sa naissance, les Évangiles évoquent des indices climatiques éloignés de l’hiver. Le choix stratégique du 25 décembre illustre la volonté de l’Église d’assurer une continuité avec les cultes païens tout en les surpassant.
Les symboles de la crèche : spiritualité et cosmos
La crèche incarne des symboles riches, empruntés à divers héritages culturels. Le bœuf et l’âne, absents des Évangiles, proviennent de la prophétie d’Isaïe : « Le bœuf connaît son propriétaire, et l’âne la mangeoire de son maître. » Ces animaux symbolisent la reconnaissance instinctive du divin. La mangeoire évoque à la fois la simplicité et le sacrifice, rappelant des divinités nées dans l’humilité, comme Mithra.
Le cadre rural de la crèche illustre une religion accessible, dépassant les hiérarchies. Les bergers, premiers croyants, symbolisent l’humilité et la réceptivité à l’annonce divine. Ce décor mêle récits bibliques et mythologies locales, reflétant une tradition à la fois spirituelle et universelle.
Les rois mages et le massacre des innocents : mythe et politique
Les récits des rois mages et du massacre des innocents visent à affirmer l’universalité du Christ tout en dénonçant l’oppression. Les mages, venant d’Orient, incarnent les nations païennes reconnaissant Jésus comme roi des rois. Leur origine perse et leur astrologie montrent l’influence des traditions zoroastriennes et mithraïques, bien ancrées dans l’Empire romain.
Quant au massacre des innocents, il s’agit d’une référence directe aux récits bibliques de l’Exode, où Pharaon ordonne la mort des nouveau-nés hébreux. En mettant en parallèle Hérode et Pharaon, l’Évangile de Matthieu condamne les tyrans tout en glorifiant la figure salvatrice de Jésus, nouveau Moïse.
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Le 25 décembre 2024, Fabien Bouglé était l’invité de Nicolas Stoquer dans Le Monde Réel, sur Géopolitique Profonde !
Fabien Boulgé, est un expert en politique énergétique et auteur du livre « La guerre de l’énergie : Au cœur du nouveau conflit mondial« . Il décortique les enjeux stratégiques de la guerre énergétique relancée par les récents événements internationaux, notamment l’élection de Donald Trump et le sommet des BRICS à Kazan.
La France détruit son modèle énergétique et plonge dans le chaos
La France, autrefois pionnière avec un modèle énergétique performant basé sur le nucléaire, abandonne cette excellence pour adopter un système voué à l’échec. Avec une électricité décarbonée à 95 %, elle s’inflige un désastre en suivant les dogmes européens et l’échec allemand de l’Energiewende. En misant sur des énergies intermittentes comme l’éolien et le solaire, incapables de garantir une production stable, elle compromet sa sécurité énergétique. Dépendantes de la météo, ces énergies obligent à maintenir des centrales fossiles, augmentant les émissions de CO2. Pendant ce temps, l’Allemagne retourne au charbon pour éviter le blackout. Ce choix met en péril l’autonomie énergétique de la France et son avenir.
Subventions colossales et explosion des prix de l’électricité
Les énergies renouvelables coûtent cher aux finances publiques, avec des subventions massives enrichissant des multinationales étrangères. Ces équipements, majoritairement importés, n’ont généré aucun bénéfice concret. En 12 ans, les prix de l’électricité ont grimpé de 120 %, étranglant ménages et entreprises. L’industrie française, déjà affaiblie, est durement touchée. Le coût énergétique pousse à la délocalisation, aggravant la désindustrialisation. EDF, symbole de souveraineté nationale, est sacrifiée : ses centrales nucléaires sont ralenties pour laisser passer l’électricité intermittente, affaiblissant durablement sa production et ses finances.
Ce modèle détruit la compétitivité, plonge les foyers dans la précarité et déstabilise le réseau électrique. Cette politique, loin d’être une transition énergétique, constitue une trahison nationale.
Bruxelles orchestre la destruction énergétique de la France
La France a perdu la maîtrise de son avenir énergétique. Bruxelles impose des directives favorisant les intérêts allemands et les lobbies pro-renouvelables. Ces diktats punissent le nucléaire français, pourtant exemplaire sur les plans écologique et performant. L’Union européenne agit sciemment contre les intérêts français.
Des rapports de l’École de Guerre Économique révèlent une ingérence étrangère structurée pour affaiblir le nucléaire français. Financé par des puissances étrangères, ce sabotage infiltre l’administration française où des décideurs liés aux lobbies imposent des choix contraires à l’intérêt national. Parallèlement, des associations militantes, souvent subventionnées, mènent une campagne idéologique en faveur de ce modèle ruineux, sabotant les politiques régionales. Ainsi, la souveraineté française est méthodiquement sacrifiée au détriment des citoyens.
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Le 24 décembre 2024, Nicolas Stoquer analysait l'annonce du gouvernement Bayrou, sur Géopolitique Profonde.
Le gouvernement Bayrou : la dernière danse de la Cinquième République
Le Rassemblement National (RN) profite du chaos. Marine Le Pen, bien qu’en retrait, tire les ficelles. Macron, autrefois maître de l’arène politique, apparaît comme une marionnette entre les mains de Bayrou et des exigences populistes du RN. Ce gouvernement pourrait bien sceller la fin d’un régime incapable de relever les défis contemporains.
Valls, le retour du mal-aimé
Manuel Valls revient sur la scène française après ses échecs en Catalogne et une série de revers personnels. Sa gestion passée de crises, notamment lors des attaques terroristes, et ses décisions autoritaires continuent de hanter son image. Ses prises de position controversées et alliances opportunistes ternissent sa crédibilité.Un remaniement pour la survie politique
François Bayrou orchestre un remaniement de survie. Élisabeth Borne à l’Éducation nationale apaise les syndicats sans réformes de fond. Gérald Darmanin étend son contrôle à la justice, illustrant une inquiétante concentration des pouvoirs. Éric Lombard, à Bercy, demeure un gestionnaire discret face à la dette.Sur les postes secondaires, Rachida Dati et Aurore Bergé naviguent dans une souplesse idéologique confondante. Sophie Primas devient porte-parole, apportant peu de substance. Le duo Lecornu-Barrot, fidèle à Macron, poursuit une ligne belliciste, éloignant la France de son rôle de médiateur international.
Une République en fin de vie
Ce gouvernement reflète un système politique à l’agonie. Fondée pour gérer les crises de son époque, la Cinquième République échoue à s’adapter. Bayrou pourrait en signer le dernier acte, miné par l’opportunisme et l’incapacité chronique à réformer.Le RN, en embuscade, attend son heure, tandis que Macron s’accroche désespérément à un pouvoir qui lui échappe. La France, elle, reste en suspens, coincée entre un passé figé et un avenir incertain.
Conclusion : vers une nouvelle ère politique ?
Le gouvernement Bayrou annonce la fin d’une époque. Les tensions accumulées, l’inaction face aux véritables défis et les manœuvres désespérées des élites accélèrent le basculement de la France vers une nouvelle ère.La question n’est plus de savoir si le changement aura lieu, mais quand et sous quelle forme.
Découvrez les dessous de cette implosion politique et les scénarios pour l’avenir de la France grâce a votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.
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