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L’Université Feng Chia de Taichung a lancé son deuxième prototype de fusée de recherche, la SHSR-Aero2, à Pingtung la semaine dernière. Le projet, dirigé par le professeur Yeh Chun-liang (葉俊良), vise à développer une fusée de recherche hybride à un seul étage et à mener des missions scientifiques, en collaboration avec la TASA, agence spatiale nationale de Taïwan.
Yeh Chun-liang a déclaré que la SHSR-Aero2 utilise un système de propulsion amélioré, ainsi qu’une électronique embarquée et des systèmes de soutien au sol optimisés. Ces améliorations ont considérablement augmenté les performances de la fusée par rapport à son prédécesseur, la SHSR-Aero1, lancée l’année dernière. L’Université Feng Chia a indiqué que la SHSR-Aero2 avait atteint une poussée moyenne de 1 250 newtons, avec une impulsion totale d’environ 15 000 newton-secondes. La fusée a enregistré un temps de vol total d’environ 75 secondes et une altitude de 6,4 kilomètres, atteignant ainsi ses objectifs.
Retour en détails sur le lancement de la SHSR-Aero2 dans l’émission Taïwan en ébul’action de ce vendredi.
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L’agence spatiale taïwanaise (TASA) a annoncé que le satellite « Onglaisat » co-développé par Taïwan et le Japon, avait été lancé avec succès dans l’espace la semaine dernière. Après avoir rejoint la station spatiale internationale, le cube-sat doit être déployé en orbite basse terrestre à 410 kilomètres d’altitude, d’ici la fin du mois, pour commencer sa mission de tests durant les six prochains mois.
Le satellite surnommé « Onglai », homophone de prospérité et d’ananas doit tester et valider les technologies clés du système de télédétection nouvellement développé, les technologies de collecte de données haute résolution et de compression d’images, développées en partenariat avec l’Institut de recherche en semi-conducteurs de Taïwan (TSRI), et autres tests en coopération avec l’université de Tokyo.
Retour en détails sur cette nouvelle étape du développement spatial de Taïwan dans l’émission Taïwan en ébul’action de ce vendredi.
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Une équipe de recherche interdisciplinaire de Taïwan a mis au point une technologie révolutionnaire dans les communications de prochaine génération avec une détection 4D haute sensibilité qui améliore les performances d’intégration avec les communications 6G.
Cette nouvelle technologie pourrait être prochainement utilisée dans des domaines tels que l’Internet des Objets Médicaux (IoMT) : détection physiologique à distance pour surveiller la respiration et le rythme cardiaque, détection d’éventuelle chute d’une personne âgée via le Wi-Fi...
L’équipe de recherche dirigée par Horng Tzy-sheng (洪子聖), professeur à l’Université nationale Sun Yat-sen de Kaohsiung, a indiqué que, dans l’intégration communication-détection, des bandes de fréquences de fonctionnement plus élevées permettaient non seulement d’augmenter le débit de communication, mais également d’améliorer significativement la résolution de détection. Cependant, les puces de bande térahertz rencontrent généralement des défis liés à une faible efficacité et une consommation d’énergie élevée.
Grâce à un emballage « flip-chip », les chercheurs ont conçu une puce émetteur-récepteur MIMO (entrées et sorties multiples) pour la bande térahertz 6G, résolvant les problèmes de faible efficacité et de consommation d’énergie élevée.
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La grande exposition d’arts et de technologies TTXC vient de se tenir à Kaohsiung, ces 15 derniers jours, faisant la part belle aux avancées créatives de l’IA autour d’une thématique générale « FUTURE AT PLAY », articulant trois expositions principales :
-« GAME » déclinée en quatre concepts : G signifie génératif, A pour l’IA, M pour humanité (Mankind en anglais) et E pour évolution, tourné vers l’avenir qui se focalise sur la tendance mondiale.
-« XR DREAMLAND », qui est la plus grande présentation immersive de toute l’Asie.
-« INNOVATIONS » basé sur l’innovation culturelle et technologique (développé par la TAICCA).Plus de 70 créations de Taïwan et de l’étranger jouaient ainsi autour de ces idées générales avec une centaine d’activités, discussions et interactions combinant les nouvelles technologies, l’art et la culture.
Retour en détails sur ces 15 jours d'exposition et les enjeux de l'IA dans la création culturelle en compagnie d'Emiko Ogawa, directrice du prix Ars Electronica, et du commissaire de l'expo TTXC-GAME 2024, Escher Tsai (蔡宏賢). -
Les produits de technologie optoélectronique pourront bientôt devenir plus petits, plus efficaces et surtout consommer moins d’énergie !
L’équipe de chercheurs taïwanais dirigée par le professeur Lin Tsung-hsien (林宗賢), directeur du développement de la faculté d’ingénierie photonique à l’Université nationale Sun Yat-sen de Kaohsiung, a développé une nouvelle technique de « déformation électrostrictive inverse », capable de produire en une poignée de minutes seulement de grands cristaux liquides en phase bleue stables, améliorant considérablement la vitesse de croissance des cristaux photoniques par rapport aux méthodes traditionnelles.
Cette technologie innovante promet des avancées sans précédent dans les domaines des équipements optoélectroniques, des capteurs et des communications optiques, propulsant ainsi la technologie verte efficace et à faible consommation d’énergie.
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Les dispositifs de réalité virtuelle ou augmentée s’étendent progressivement aux domaines de l’ingénierie et de la médecine, mais le port prolongé de casques AR peut causer des vertiges. Toutefois, une solution vient d’être trouvée grâce à une coopération université-industrie à Taïwan.
C’est une équipe de l’Université nationale de technologies, en collaboration avec la société Chao Hui Optoelectronics, qui a développé une technologie d’affichage AR à champ lumineux, c’est-à-dire un système de réalité augmentée qui simule les rayons lumineux des images réelles. Cette approche innovante permet de résoudre les problèmes de vertiges causés par les dispositifs AR. Ce qui nous intéresse principalement dans cette avancée taïwanaise, c’est que l’innovation qui fait ses preuves sur plusieurs plans pourrait aussi et surtout être appliquée à la médecine intelligente à l’avenir, permettant aux médecins de localiser plus rapidement les lésions et de réduire le temps nécessaire pour les interventions chirurgicales.
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Le fabricant d'électronique Inventec a présenté lors de sa journée « AI Day » ses dernières avancées en matière de technologies en intelligence artificielle et en robotique.
En particulier, Inventec a souligné comment la technologie du modèle de langage à grande échelle (LLM) peut aider à diagnostiquer la maladie d'Alzheimer en analysant le langage des patients pour détecter les premiers symptômes de neurodégénérescence. Contrairement aux méthodes traditionnelles qui ne fournissent que des évaluations de phrases fragmentées, la technologie LLM permet l'identification précise des erreurs de phrase...
Retour en détails sur cette avancée, grâce à l'IA, dans l'émission Taïwan en ébul'action de ce vendredi.
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Le suivi oculaire n’est pas nouveau. L’histoire de cette technologie remonte au début du 20ᵉ siècle quand un certain Edmund Huey inventa un instrument capable de suivre les mouvements oculaires pendant le processus de lecture. Depuis, la technologie oculaire a évolué, elle a parcouru de nombreux kilomètres dans le domaine de l’amélioration technologique au point de s’immiscer dans de vastes champs d’application.
Dans l’émission Taïwan en ébul'action de ce vendredi, nous écoutons Chien Shao-yi (簡韶逸), professeur en ingénierie électrique à l’Université nationale de Taïwan, qui a mis au point des lunettes AR/VR futuristes révolutionnaires dont il est persuadé qu’elles seront un accessoire commun de tout un chacun à l’avenir.
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La Foire de Paris 2024, rendez-vous mondial de l’invention, a réuni en mai dernier à Paris la crème de la crème des inventions. Avec elle, le traditionnel concours Lépine, Graal espéré des inventeurs en tout genre depuis 123 ans, a récompensé les meilleures inventions. Taïwan, a récolté cette année 13 médailles d’or, 17 d’argent et 36 de bronze sur quelque 66 produits présentés. Le meilleur cru taïwanais au concours Lépine !
Si nous en parlons cette semaine, c’est parce que le directeur de la délégation des jeunes inventeurs taïwanais est venu partager son expérience au micro de Rti. L’occasion de revenir sur son cursus et, bien évidemment, sur l’approche adoptée dans l’accompagnement des inventeurs en herbe taïwanais. Xu Jie-zhong (徐捷中) a dirigé la délégation taïwanaise à quatre reprises, depuis 2021, après avoir été lui-même primé en 2018, pour sa première participation en présentant l'application de traduction be*U basée sur le dessin, alors qu'il était en 3e année d'études universitaires.
Aujourd'hui, il nous détaille quelques médailles d'or de Taïwan au concours Lépine et souligne surtout quels sont les atouts qu'il faut alimenter pour que les inventeurs servent la cause de notre quotidien. Bonne écoute !
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La fixation du CO2 des gaz de combustion dans la résine de polycarbonate, développée en collaboration entre l’entreprise Chimei et l’ITRI, a remporté un « Oscar de l'innovation » 2024 dans la catégorie "Mécanique/Matériaux", la 62ᵉ édition des « R&D 100 Awards » qui récompensent les meilleures avancées technologiques au monde et dont les applications offrent déjà une contribution sur le marché.
Retour en détails sur cette prouesse en marche qui, grâce au développement de nouveaux catalyseurs, offre un processus efficacement raccourci et surtout améliore le problème de consommation d'énergie azéotropique de l'ancien processus pour réaliser des économies d'énergie et une réduction des émissions de carbone. Cette technique de captage du CO2 émis, assaini et réutilisé comme matière première, engage la pétrochimie sur la voie de l'économie circulaire avec une réduction moyenne de 17 % des gaz à effet de serre, soit l'équivalent de 178 500 tonnes d'émissions carboniques par an.
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A l'ère de l’intelligence artificielle, Taïwan souhaite rester à la pointe de la technologie et des atouts qu'elle représente. Dans le monde de l'éducation, le ministère a déjà choisi d'intégrer des formations à l'IA aussi bien pour le corps professoral que pour les élèves avec le souci de proposer une application des outils liés à l'IA et pas une seule approche théorique.
Dans ce cadre, outre des ateliers, concours et autres approches ludiques et formatrices, les manuels scolaires sont invités à faire peau neuve. Lian Yu-ren (連育仁), président du ViewSonic College et professeur associé en littérature chinoise appliquée de l’Université Chung Yuan, nous explique dans l’émission Taïwan en ébul’action de ce vendredi comment ViewSonic coopère avec les Éditions scolaires pour mettre en œuvre le tout premier manuel scolaire d'intelligence artificielle qui vient de faire sa rentrée des classes au début du mois.
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L’intelligence artificielle frappait à nos portes hier, aujourd’hui, elle règne déjà dans cette nouvelle ère ou presque. Apportant son lot de technologies, d’atouts et d’avantages, elle présente aussi certains défis aux industries : concurrence, pénurie de talents, exploitation saine et innovante de la technologie IA.
Et l’écosystème industriel taïwanais n’y échappe pas depuis l’amont et la conception jusqu’en aval et l’application.
Lian Yu-ren (連育仁), président du ViewSonic College et professeur associé en littérature chinoise appliquée de l’Université Chung Yuan, nous explique dans l’émission Taïwan en ébul’action de ce vendredi comment, Taïwan, doté d’atouts incomparables, doit aussi s’adapter et mettre en œuvre tout un processus incorporatif complet afin de maintenir sa compétitivité industrielle et ses avantages à l’ère de l’IA.
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Tsai Fu-ji (蔡富吉), fondateur de SiriuXense, a lancé une approche innovante des soins pour les nouveaux-nés et les personnes âgées, basée sur son expérience.
Grâce aux nouvelles technologies et aux promesses de l'IA, il a mis au point un système d'écoute du nouveau-né pour saisir ses besoins vitaux. A l'écoute de celui qui ne sait pas encore parler, tel est son pari réussi grâce à un capteur non invasif qui détecte les "sons" corporels et signes vitaux : respiration, digestion, etc.
Son système qui offre une meilleure compréhension et surtout un suivi de tous les instants séduit déjà plusieurs marchés, des soins de puériculture jusqu'aux soins longue durée à Taïwan et sur les cinq continents.
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Li Ming-chia (李明家), professeur agrégé du Département de biotechnologie de l'Université nationale des sciences et technologies Yang-Ming, a dirigé une recherche sur la soie d’araignée pour développer un hydrogel nano-composite auto-cicatrisant. En s’inspirant de la filature des protéines de soie d’araignée, l’équipe a développé une méthode pour produire des filaments résistants en utilisant la bio-impression 3D par extrusion et le relargage de la protéine en améliorant les propriétés de rigidité et de ductilité de la soie d’araignée. En résulte un mélange de gélatine polymère naturelle partiellement cristalline et thermosensible et de réseaux de polymère G viscoélastiques, imitant les composants de la soie d’araignée aux applications biomédicales intéressantes : cet hydrogel nano-composite auto-cicatrisant présente des propriétés mécaniques exceptionnelles, une biocompatibilité, un comportement de fluidification par cisaillement et un mécanisme de gélification bien contrôlé pour l’impression 3D.
Retour en détails dans l’émission Taïwan en ébul’action de ce vendredi.
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Les tremblements essentiels sont répandus chez les personnes âgées. La découverte du mécanisme à l’origine des tremblements semble être la clé du diagnostic et du traitement, et c’est justement là que le professeur Pan Ming-kai (潘明楷) et son équipe de chercheurs de la faculté de médecine de l’Université nationale de Taïwan interviennent. Ils ont en effet découvert que des tremblements étaient générés dans le cervelet et que, tant que la fréquence cérébelleuse du patient était régulée, les actions thérapeutiques pouvaient être envisagées.
Retour en détails sur cette avancée qui a recouru à une « stimulation électrique cyclique » pour tenter d’interférer avec la fréquence des tremblements et soulager efficacement les symptômes de tremblements des patients.
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Une véritable avancée !
Une équipe de l’hôpital mémorial Chang Gung de Kaohsiung et des chercheurs de l’Université nationale Yang Ming Jiao Tong ont découvert un nouveau gène humain en lien avec la lissencéphalie : le NDEL1.
Cette avancée s’avère importante dans les besoins de diagnostic de ce type de maladie cérébrale pour les médecins. Elle offre aussi de nouvelles données pour comprendre pourquoi des enfants sans antécédents familiaux contractent tout de même cette maladie grave, bien que rare. Le gène isolé découvert par l’équipe taïwanaise pourrait même être utilisé comme test de dépistage prénatal à l’avenir pour réduire le risque de maladie.
En outre, sur le plan scientifique, cela peut fournir aux scientifiques une compréhension approfondie du mécanisme de développement du cerveau humain et offrir de nouveaux horizons pour le développement de médicaments ou de thérapies géniques à l’avenir.
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L’agence centrale de météorologie (CWA) coopère avec NVIDIA pour développer une technologie de prévision météorologique de haute résolution qui s’appuie sur la technologie de l’intelligence artificielle.
La topographie complexe de Taïwan et de sa position géographique font que l’île est sujette à des conditions météorologiques changeantes et de plus en plus extrêmes avec le réchauffement climatique. Et c’est justement pour répondre à ces défis que l’agence centrale de météorologie a choisi de s’appuyer sur l’expertise de NVIDIA en matière de technologie IA appliquée aux prévisions des typhons, aux précipitations extrêmes, aux tempêtes de mer ou encore dans l’analyse précoce des données sismiques.
Une avancée majeure de cette collaboration est le développement de la technologie CorrDiff, une IA générative capable d’améliorer la résolution des prévisions météorologiques à deux kilomètres. Cela permet une meilleure précision des prévisions, notamment pour les phénomènes météorologiques locaux extrêmes.
Le directeur de l’agence centrale de météorologie, Cheng Chia-Ping (程家平), a souligné que cette technologie, en partenariat avec NVIDIA, est la première du genre et possède un potentiel d’application vaste, allant au-delà des prévisions de typhons pour inclure des phénomènes météorologiques tels que les pluies saisonnières et les événements météorologiques intenses.
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Depuis son lancement en orbite et une fois tous les réglages testés et mis en place, le satellite Triton est entré en service.
Sa mission ? Il est responsable de la collecte de données météorologiques, en particulier de conditions relatives à la vitesse du vent et aux champs de vents marins en surface, notamment en s’appuyant sur le mouvement, la force et la vitesse des vagues, lesquelles sont le témoin direct privilégié et quantifié des vents marins en surface.
Cette mission a valu à ce satellite développé par Taïwan le surnom de « chasseur de vent ». Pour mener à bien sa tâche météorologique principale, le satellite est en connexion avec la constellation des six micro-satellites Formosat-7 déjà opérationnelle pour améliorer la précision et la capacité de prévision des services météorologiques de Taïwan, mais aussi des autres pays bénéficiant de ces données satellitaires.
Nous revenons aujourd’hui sur les premières données de Triton exploitées par l’agence nationale spatiale (TASA) et l’agence centrale de météorologie avec les détails du directeur général de la TASA Wu Jong-shinn (吳宗信) et Cheng Jia-ping (程家平), responsable de l’agence météorologique.
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Comment améliorer l’efficacité et l’expérience de la gestion au bureau ou en entreprise à Taïwan avec une touche de modernité technologique et de sécurité informatique ?
Cette vaste question nous invite à découvrir le monde des lieux de travail intelligents, ce qu’ils proposent, ce qu’il manque encore. Cet état des lieux sur une approche intelligente et automatisée, y compris et à commencer dans le service public, est dressé par Adam Hsu, développeur pour la startup SwipedOn, et responsable du développement commercial pour le monde chinois.
Pourquoi Taïwan, un des leaders mondiaux dans le développement technologique des semi-conducteurs, semble rester à la traîne de la numérisation et de l’électronisation de la gestion des bureaux et des entreprises ?
Adam Hsu nous détaille la situation et énumère les atouts de la gestion intelligente et du suivi régulier du high-tech par les institutions publiques, les bureaux en général et les entreprises, gage d’une efficience productive et d’une sécurité renforcée en soulignant comment une approche renouvelée et automatisée peut renforcer la sécurité des données personnelles et professionnelles.
crédit illustration: Vectorportal.com, CC BY
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L’application taïwanaise OiO propose une sorte de tourisme numérique interactif et immersif. Elle a remporté une médaille d’or au salon de l’invention de Paris en mai dernier.
Trois jeunes taïwanais sont à l’origine de cette aventure tech’ qui souhaite mettre le cap sur les JO de Paris pour améliorer l’interaction entre les lieux de visite, de passage, de séjour, les résidents, les locaux et les passants.
A la base, OiO est donc une APP de contenu informatif touristique pour rendre les visites touristiques plus accessibles, plus complètes et interactives, voire inoubliables. En utilisant un téléphone portable et en utilisant la reconnaissance photographique AR, les utilisateurs peuvent par exemple trouver instantanément des descriptions culturelles et historiques de sites pittoresques ou de plats gastronomiques d’un lieu donné, et même planifier à l’avance des itinéraires personnalisés.
Ni Cheng-hsuan (倪政煊), Lu Chih-ya (盧智雅) et Jerry Shih (施述哲) nous racontent leur approche, les défis rencontrés et leurs prochains objectifs avec APP populaire qui évolue jour après jour.
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