Episodes
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The Cranberries est un groupe de rock alternatif originaire de Limerick en Irlande. Leur deuxième album sort en 1994 et s’intitule No Need to Argue. Ce sera le plus grand succès du groupe avec 17,8 millions d’exemplaires vendus dans le monde. C’est sur cet album qu’apparaît la chanson contestataire zombie. Un morceau en réaction à un attentat de l’armée republicaine d’irlande (IRA), commis le 20 mars 1993 dans le centre ville de Warrington, en Angleterre, et ayant entraîné la mort deux enfants, de 3 et 12 ans.
Dans ce Copier Mais Pas Coller on vous propose de découvrir l’histoire de cette chanson, le destin tragique de la chanteuse Dolores O’Riordan, et deux reprises bien différentes l’une de l’autre de Zombie.
Vous pouvez retrouver Copier mais pas coller sur l’antenne de Radio 2 L'Hers ou encore sur le site Non-dits
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En 1991 sortait le premier album de Massive Attack, Blue Lines. Sur cet album figure le titre Safe from Harm interprété par Shara Nelson. Un morceau qui sera repris 20 ans plus tard par le jamaïcain Horace Andy.
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Missing episodes?
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Depuis quelques années le mois de Mai est devenu le mois des commémorations mémorielle. Qu'est ce qui se cache derrière cette inflation du souvenir, de la mémoire et de la repentance. C'est ce que nous allons voir avec l'historienne Sophie Dulucq
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Red right Hand est devenue la chanson la plus emblématiques de Nick Cave. Elle a connu de très nombreuses ré-interpretations. Dans ce Copier Mais Pas Coller on vous en fait découvrir quelques unes.
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En 1984 Cyndi Lauper chante Girls just want to have a
fun. Une chanson qu'elle avait refusé la considérant comme trop sexiste. On vous raconte l'histoire de ce tube et nous verrons ce qu'a fait le groupe électro ChromaticsVoir le site de Radio 2 L'hers
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Brigitte Fontaine est l’une des chanteuses françaises parmi les plus connues au Etats Unis. En 1969 elle enregistre son album mythique « Comme à la radio » avec l’Art Ensemble of Chicago. Dans cet album figure Le goudron. Une chanson produite à l’origine pour une pièce de théâtre intitulée Les Enfants sont tous fous, écrite et jouée par Rufus, un vieux copain de Brigitte fontaine comme le fut Jacques Higelin.
C'est cette chanson que le groupe Yacht a reprise en 2012. Découvrez comment...
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En 2008 René Pommier publiait Sigmund est fou et Freud a tout faux.
Infatigable pourfendeur de tout ce qui lui paraît marqué par la prétention ou la sottise, René Pommier s'est fait connaître comme l'adversaire acharné de la «nouvelle critique», en s'en prenant dans sa thèse de doctorat au Sur Racine de Roland Bar thés. Et puis il s'est lancé dans la critique des écrits du père de la psychanalyse. Il a commencé par l'étude des rêves qui, selon Freud lui-même, est la partie de son oeuvre la plus apte à emporter la conviction de ses lecteurs. René Pommier pense, au contraire, que nulle part n'apparaît mieux la faiblesse d'une méthode d'interprétation qui ne retrouve jamais, dans les faits qu'elle étudie, que les idées préconçues qu'elle y a mises. Il publie alors une critique décapante : Sigmund est fou et Freud a tout faux.
Ecoutez l'interview que nous avions réalisé en 2008.
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Le 20 août 1940 927 réfugiés espagnols furent déportés d'Angoulême vers le camp de Mauthausen. Ce fut le premier convois de déportation de civils parti d'Europe occidental vers un camp nazi. De ces familles qui fuyaient la répression de Franco seulement 73 hommes sur les 470 en ont réchappé tandis que femmes et enfants furent livrés en gare d'Irun à la police franquiste.
En 2005 la journaliste Montse Armengou a consacré un documentaire sur cette tragédie. C'est l'entretien que j'ai eu à l'époque avec elle que je vous propose d'écouter dans ce nouveau podcast.
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L'entretien que je vous propose aujourd'hui dans ï Trëma date de 2009. Si j'ai fait le choix de mettre en ligne cet enregistrement c'est parce qu'il éclaire de façon percutante la situation politique et idéologique que connait actuellement la gauche. Comme on le constate à l'occasion de cette campagne la gauche a perdu le peuple. C'était déjà l'analyse que proposaient de Gaël Brustier, Jean-Philippe Huelin dans leur livre Cherche Peuple désespérément chez Bourrin éditeur. Comme vous pourrez le constater tout était déjà annoncé dans cet entretien avec le politilogue Gaël Brustier ?
Extrait de la 4ème de couverture :
Depuis trente ans, les changements profonds que la France a connus ont conduit à une rupture entre les élites et le peuple... Une gauche enfermée dans les centres-villes a perdu le contact avec son électorat traditionnel populaire. Elle ne sait plus où il se trouve. Pour redonner du sens à une politique au service des couches populaires, les auteurs de Recherche le peuple désespérément ont analysé la géographie sociale de la France d'aujourd'hui....
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Sophie Dulucq est historienne. En 2008 elle co-dirige avec Jean-François Klein et Benjamain Stora un abécédaire intitulé "les mots de la colonisation. " Un inventaire linguistique qui permet de toucher du doigt la complexité de la colonisation. Déjà en 2008 on s'intéressait sur les problème que posent les théorie post-coloniales
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Seconde et dernière partie de notre entretien avec Robert Veliounsky, résistant juif au nazisme. Membre de l’Organisation Juive de Combat à la fin de la guerre Robert Veliounsky va prendre part à la constitution de l’Etat d’Israel notamment en livrant des armes à la haganah, l’organisation paramilitaire des juifs en Palestine. Convaincu du bien fondé de cette lutte, Robert Veliounsky s’installe alors en Israel. Mais très vite la vie là-bas n’est pas celle dont il rêve.
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Robert Veliounsky nous raconte ses années de résistances au sein de l’Organisation Juive de Combat à Toulouse. Il nous dévoile son attachement à la France et son rapport à Israel. Il rappelle que les Juifs furent les premiers, comme René Cassin, à rejoindre de Gaulle. Ils étaient appelés «les Juifs conscients». C’est d’ailleurs dés la fin 1940 que nait à Toulouse l’OJC». Une résistance qui va s’accélérer à l’été 1942 après la décision des nazis début 1942 d’exterminer les juifs d’Europe.
Cette interview a été enregistré peu de temps avant le décès de Robert Veliounsky (le 01/10/2009)
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J'ai réalisé ce reportage il y a une dizaine d'année. La maison d'à côté existe toujours. Et entre temps les violences faîtes aux femmes n'ont fait qu'augmenter.
L’association Olympe de Gouge est née en 1952. Située au cœur du quartier St Cyprien à Toulouse cette association a pour vocation d’accueillir les femmes en difficulté en leur offrant l'hébergement et en leur permettant une réinsertion.
Cette réinsertion se fait notamment grâce à La Maison d’à côté. Un restaurant qui se trouve en face du centre d’hébergement et dans lequel tout le monde peut venir manger. L'établissement est tenu par les femmes en réinsertion qui s’occupent du service, de la préparation de la salle et de la cuisine. Ce processus s’articule sous le nom d’atelier de vie active (AVA) qui est un outil social dépendant du centre d’hébergement et est reconnu par l’état.
Le facebook de la Maison d'à côté : https://www.facebook.com/Maison-dà-côté-Toulouse-2346101538944605/
Reportage.
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De 31 janvier au 9 février 1939, des centaines de milliers d'hommes, de femmes, d'enfants et de vieillards franchissent la frontière espagnoles afin de fuir le franquisme et de trouver refuge en France. Les réfugiés traversent les Pyrénées dans des conditions épouvantables. Dans la seconde partie de ce podcast l'historien Jean-François Berdha revient sur la politique que met en place le gouvernement français à partir du moment où la guerre avec l'Allemagne nazie est déclarée. Les espagnols formeront alors une main d’œuvre à bon marché et aussi des soldats acquis à la cause contre le fascisme. Nous évoquont aussi les guerrilleros et le caractère politique de cette immigration.
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De 31 janvier au 9 février 1939, des centaines de milliers d'hommes, de femmes, d'enfants et de vieillards franchissent la frontière espagnoles afin de fuir le franquisme et de trouver refuge en France. Les réfugiés traversent les Pyrénées dans des conditions épouvantables. En réponse à cette situation le gouvernement français de l'époque par manque d'anticipation entasse ces centaines de milliers d'immigrés dans des camps, que l'on appellera plus tard les camps du mépris.
Qui sont ces réfugiers? Quelle est l'origine de ceux que l'on nomme aujourd'hui les républicains espagnoles. Quelle fut la politique mise en place pour les accueillir? L'historien Jean-François Berdha nous raconte.
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Robert Redeker est philosophe. Il est l'auteur de nombreux ouvrages. Son dernier a pour titre "Réseaux sociaux : la guerre des Léviathans". Il y analyse l'importance qu'ont pris les GAFAM sur notre vie et le pouvoir qu'ils ont par rapport aux Etats. Robert Redeker s'inquiète aussi de la disparition de la vie privée comme de la tyrannie de la transparence. Pour argumenter son analyse il fait appel à Hobbes, Rousseau, et démontre l'influence qu'ont eu des philosophes français comme Deleuze ou Foucault dans la construction du wokisme qui va de pair avec l'omniscience des GAFAM.
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Les éducateurs sont souvent seuls face à la violence qui se déchaine dans certains quartiers. Parfois ils sont mêmes les premières cibles de cette violence. Alors que l'insécurité s'étend et qu'elle s'invite dans la campagne électorale des présidentielles, il est bon de rappeler que les travailleurs sociaux ont depuis longtemps tiré la sonnette d'alarme. A Toulouse il ne se passe pas une année sans que des éducateurs se mettent en grève afin de dénoncer les dangers qui pèsent sur eux. En 2008 après l'agression d'un éducateur avec une arme à feu l'ensemble des associations avaient organisé une réunion dans le quartier bagatelle afin de discuter avec les habitants.
reportage.
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L'Armée juive (AJ), ou Organisation juive de combat (OJC), est une organisation de résistance créée en 1942 à Toulouse par Abraham Polonski, qui permet le passage en Espagne de centaines de Juifs, qui en fournit d'autres en faux-papiers et qui participe aux combats de la Libération.
Monique-Lise Cohen, fut l'une des grandes spécialistes de la Résistance juive et elle fut auteur d'une trentaine d'ouvrages. Elle est décédée le 3 novembre 2020 à l'âge de 76 ans. Elle m'avait accordée un entretien en 2006. Je vous propose de l'écouter.
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J'ai rencontré Taslima Nasreen en 2006. Elle était venue à Toulouse pour parler de son oeuvre et de la lutte qu'elle mène contre l'obscurantisme islamique. Depuis 1993 sa tête est mise à prix pour avoir critiqué l'islam au Bangladesh. Elle s'enfuit de son pays en 1994 à la suite de la parution de son livre Lajja, dénonçant l'oppression musulmane sur une famille hindoue. À la suite d'une conférence en Inde en 2007, une prime de 500 000 roupies est offerte par un groupe islamiste pour sa décapitation dès mars 2007. Fin novembre 2007, elle fuit Calcutta à la suite de violentes manifestations contre sa présence. Dans les jours suivants, elle est exfiltrée de ville en ville à la suite de propos jugés blasphématoires contre l'islam. Le 19 mars 2008, elle se réfugie définitivement en Europe après avoir été accusée de blasphème par des musulmans radicaux en Inde.
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Poucharramet est un village qui se situe à une trentaine de kilomètres de Toulouse et qui compte un peu plus de 800 habitants.
Au cœur du village se trouve une bâtisse du 16ème siècle entièrement rénovée selon les normes Haute Qualité Environnementale. Elle est tenue par l'association socio-culturelle La Maison de la Terre. C'est dans ce lieu que nous reçoit frédéric Matisse, un enfant du village, à l'origine de 3PA; une association de sensibilisation aux question environnementales. Elle s'est donnée pour mission de sensibiliser et former les jeunes à l'écologie. 3PA organise aussi des chantiers d'intérêt général. Des actions menées le plus souvent en partenariat avec le service de prévention spécialisé "Circuit Jeune" - dont les éducateurs interviennent au sein de certains quartiers toulousains - et l'association Etudes et Chantiers qui a pour vocation de développer des projets de volontariat en France et à l'étranger.
Et c'est à l'occasion d'un dimanche de pâques que j'ai retrouvé les membres de ces associations accompagnés d'une dizaine de jeunes issus de la banlieue toulousaine pour un reportage sur le démarrage du chantier de Poucharramet.
C'est pour moi l'occasion d'interroger la questions des représentations et celle des discriminations. J'ai pu constater qu'elles ne sont souvent pas là où on le croit.
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