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7 janvier 2015, en plein coeur de Paris, 2 heures s'introduisent les locaux de Charlie hebdo.
Cette histoire qui a profondément marqué les Français va mener les forces de l'ordre jusqu'à Reims.
Ville où les frères pourraient être cachés. -
Le petit Tony a vécu un véritable calvaire. Les coups qui lui ont été portés entraîneront sa mort. Retour sur une affaire qui a ému toute une région.
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Les documents obtenus par Daniel Jolivet tendent à démontrer qu’il ne pouvait pas se trouver sur les lieux du crime dans la nuit du quadruple meurtre. Il ne pouvait pas non plus se trouver dans un restaurant avec Claude Riendeau le lendemain des faits, puisqu’il aurait plutôt été en déplacement dans son véhicule. Pourquoi les policiers ont-ils négligé ces éléments cruciaux de l’enquête? « C’est ce que les avocats appellent la vision tunnel, explique la journaliste Isabelle Richer. C’est le suspect idéal, les policiers vont s’accrocher à lui et vont tout interpréter […] de façon à ce que ça colle à leur théorie. » Avec Isabelle Richer (journaliste), Daniel Jolivet, Lida Sara Nouraie (intervenants) et Cédric Chabuel (réalisateur)
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La cause de Daniel Jolivet a été entendue en Cour supérieure, en Cour d’appel et finalement en Cour suprême, qui a maintenu son verdict de culpabilité. « Neuf fois sur dix, c’est là que les bandits craquent », note la journaliste Isabelle Richer. Plutôt que de se laisser abattre, Daniel Jolivet se met à multiplier les demandes d’accès à l’information depuis le fond de sa cellule. Avec l’aide de son avocate, Lida Sara Nouraie, il réussit à obtenir de nouveaux éléments de preuve. Avec Isabelle Richer (journaliste), Daniel Jolivet, Lida Sara Nouraie (intervenants) et Cédric Chabuel (réalisateur)
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En 1994, Daniel Jolivet est condamné à la prison à vie, sans possibilité de libération conditionnelle avant 25 ans. Le témoin principal lors du procès est Claude Riendeau, un criminel de carrière. Ce délateur soutient avoir reçu les confessions de Jolivet le lendemain du quadruple meurtre. « Il y a toujours quelque chose d’un peu risqué à faire témoigner un délateur », explique la journaliste Isabelle Richer. Non seulement les délateurs se font payer, mais ils obtiennent aussi des avantages sur le sort que la justice leur réserve. Avec Isabelle Richer (journaliste), Daniel Jolivet, Lida Sara Nouraie (intervenants) et Cédric Chabuel (réalisateur)
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Le 10 novembre 1992, des policiers découvrent quatre cadavres dans un luxueux immeuble à condos de Brossard. Les victimes sont deux hommes impliqués dans le trafic de stupéfiants et deux jeunes femmes sans antécédents judiciaires. Le 14 novembre, la police arrête deux suspects, Daniel Jolivet et Paul-André Saint-Pierre. Ce dernier plaide coupable et incrimine Jolivet en échange d’une peine réduite. Daniel Jolivet va toujours clamer son innocence. Avec Isabelle Richer (journaliste), Daniel Jolivet (intervenant) et Cédric Chabuel (réalisateur)
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Les enfants disparus de Pakuashipi ont tous été envoyés à l’hôpital de Blanc-Sablon, à la frontière entre le Québec et Terre-Neuve-et-Labrador. Anne Panasuk apprend qu’il reste des traces de leur passage dans les archives de l’établissement. La journaliste se rend sur place en compagnie de femmes innues proches des enfants disparus.
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Anne Panasuk a recueilli les témoignages incriminants de 10 oblats, mais sa liste en compte 15 en tout. C'est une véritable organisation de prédateurs sexuels. Sur la Côte-Nord, les Innus ont obtenu gain de cause pour faire reconnaître leur déportation au fédéral et souhaitent maintenant exhumer le corps de Joveneau pour le renvoyer chez les oblats.
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« Chaque communauté semble avoir eu son missionnaire abuseur », constate la journaliste Anne Panasuk. Alexis Joveneau sur la Côte-Nord, Raynald Couture en Mauricie ou encore Edmond Brouillard en Abitibi; tous ces bourreaux ont en commun d’être des oblats puissants, craints et protégés par leur congrégation.
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L’oblat Alexis Joveneau, surnommé autrefois le « pape de la Côte-Nord », est désormais connu sous le nom de « monstre de la Côte-Nord ». Ses crimes sordides ont été dévoilés lors des audiences de l’Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées. La journaliste Anne Panasuk recueille les témoignages de nombreuses victimes de Joveneau.
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Au début des années 60, le gouvernement canadien a forcé les Innus de Pakuashipi à quitter leur territoire. Deux ans après cette déportation, ils sont revenus sur leurs terres ancestrales, défiant l’autorité d’Ottawa. Les Innus n’obtenant plus d’aide du fédéral, Anne Panasuk croit que les enfants disparus sont morts faute d’avoir reçu des soins appropriés.
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Tous les témoignages que reçoit Anne Panasuk décrivent le même scénario : des enfants autochtones sont envoyés à l’hôpital et ne reviennent jamais. Certains y sont morts, sans que leurs parents aient été avisés, tandis que d’autres ont été placés en adoption. Les Innus de Pakuashipi, qui ont mis au jour cette affaire, demandent une enquête publique.
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Après la diffusion de son reportage sur les enfants disparus de Pakuashipi, Anne Panasuk est contactée par des Attikameks qui rapportent des histoires similaires vécues dans leur communauté. La journaliste se rend à Manawan, à 250 km au nord de Montréal, où elle constate que le même scénario d’horreur s’est produit.
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Au début des années 70, neuf enfants d’une toute petite communauté de la Basse-Côte-Nord, Pakuashipi, ont disparu. « Dans une communauté d’alors 80 personnes, [c’était] une véritable saignée », souligne la journaliste Anne Panasuk. Contactée par des membres de la famille de ces enfants disparus, elle se lance dans une quête pour savoir ce qui leur est arrivé.
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Cette semaine nous vous proposons d'entendre le discours prononcé par Agathe André, présidente et fondatrice de l'association Dessinez Créez Liberté, pendant la manifestation en hommage a Samuel Paty. En seconde partie vous trouverez un ensemble de témoignages d'enseignants recueillis par Laure Daussy.
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Coraly Zahonero est comédienne, sociétaire de la Comédie-française, metteur en scène et adaptatrice. Elle travaille avec l’équipe de Charlie-Hebdo depuis trois ans dans le cadre d’un projet d’écriture et de mise en scène autour de l’histoire du journal.
Mixage : Julia
Musique : Brand Essence – des éditions Stela Polaris – Luis Rigou -
Le 7 janvier 2015, l’ancienne avocate et chroniqueuse judiciaire Sigolène Vinson était dans la salle de rédaction de Charlie Hebdo. Elle a survécu à l’attentat. Dans « Le Son de Vie », le nouveau podcast d’Europe 1 Studio sur la résilience, elle raconte à travers les bruits et les musiques de sa vie, son chemin pour surmonter la douleur et inventer son monde d’après.
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Cette affaire a tenu en haleine la France entière pendant des mois. Le 30 octobre 2017, la jolie Alexia Daval, 29 ans, est retrouvée sauvagement assassinée au bord d'un chemin. Devant les caméras, son mari, Jonathann, se montre éploré et inconsolable. Mais les gendarmes, eux, sont convaincus qu'il cache quelque chose... Et l'enquête va leur réserver bien des surprises... Découvrez les secrets de l'affaire Jonathann Daval, dans ce podcast de Chroniques Criminelles. Un podcast du Groupe TF1.
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David Koresh, leader des Davidiens, mène un groupe apocalyptique au Texas. En 1993, après un siège de 51 jours avec le FBI, leur complexe est incendié, provoquant des dizaines de morts et laissant une empreinte tragique dans l'histoire américaine.
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Aujourd’hui, nous allons évoquer l’un des plus célèbres faits divers des années 30. L’affaire de la fascinante Violette Nozière qui a commis un parricide et a défrayé la chronique..
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Le 9 septembre 1949, en plein ciel, le DC-3 de la Canadian Pacific Airlines piloté par le capitaine Pierre Larin, qui se dirigeait au Baie-Comeau, explose en plein vol. Mais qu’est-ce qui a bien pu se passer ? Est-ce un accident, une défaillance quelconque ? Est-ce un acte terroriste ? Toutes les hypothèses sont prises en compte.
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