Episodios
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On souligne les 30 ans de ce film culte.
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Un épisode de 24 minutes sur le "chef-d’œuvre" de Jan De Bont, Speed, paru en 1994 et mettant en vedette Keanu Reeves, Sandra Bullock, Jeff Daniels et Dennis Hopper. On niaise ben, mais on a eu beaucoup de fun à le revoir pour vous en parler.
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¿Faltan episodios?
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On revisite la comédie musicale la plus célèbre de l'histoire du cinéma qui fête ses 70 ans cette année.
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L'année 2003 était foisonnante pour le cinéma québécois puisque paraissait entre autre Gaz Bar Blues, le 2e long-métrage de Louis Bélanger, qui fait encore du bien à l'âme près de 20 ans après sa sortie.
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On revient sur ce classique de Richard Kelly qui a révélé à un plus grand public l'acteur Jake Gyllenhaal dans le rôle d'un adolescent torturé qui commet des actes criminels à cause d'un lapin nommé Frank.
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On profite du mois de l'épouvante pour vous partager un court épisode sur le premier film d'Ari Aster, Hereditary (2018), pour qui Maxime, Jonathan et Mathieu ont beaucoup d'admiration.
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Mathieu nous partage un de ses premiers coups de cœur au cinéma alors qu'il avait 8 ans, la comédie d'action Last Action Hero qui a été un flop lors de sa sortie, mais qui semble retrouver son public maintenant que l'humour méta est au goût du jour.
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C'est le classique des classiques en matière de film d'hockey, pour le Québec en tout cas. Nous avons une relation particulière avec ce film dû au célèbre doublage qui nous a donné des citations savoureuses comme par exemple : Donne-moé un coke ou ben un orangeade, toute sauf d'l'hostie d'root beer.
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Le classique de science-fiction de Luc Besson.
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Le cinéaste qu'on vous présente ce mois-ci c'est le néerlandais Paul Verhoeven qui est principalement connu pour ses films américains tels que Robocop, Total Recall, Basic Instinct, Showgirls et Starship Troopers. Ce sont les principaux films que nous allons approfondir dans cet épisode, mais nous allons aussi faire un survol de sa carrière néerlandaise et française qui en vaut vraiment la peine. Verhoeven sème la controverse dans le monde du cinéma depuis les années 70 puisque c'est un réalisateur qui ne fait pas de compris. Il aborde la sexualité, la violence et la religion avec beaucoup de vérité. C'est un artiste qui ne laisse personne indifférent et qui cherche toujours à divertir l'auditoire.
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Voici notre lettre d'amour à un de nos réalisateurs préférés, un monument méconnu du Québec qui repousse sans cesse les limites du cinéma, l'inimitable Robert Morin.
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Le décès de Jean-Marc Vallée nous a tous pris par surprise et nous a attristés durant le temps des fêtes. On a perdu un grand cinéaste qui a marqué le cinéma québécois et international avec des films touchants et divertissants à la fois. Voici un épisode hommage à sa belle et trop courte carrière qui a commencé au grand écran avec Liste noire (1995) et qui s'est terminé avec Demolition (2015). Repose en paix Jean-Marc.
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Noah Baumbach est un des grands réalisateurs du moment. Max et Jo en parlent avec passion durant cet épisode qui parcourt sa carrière de 1995 à aujourd'hui. De toute évidence, Baumbach fut très influencé par le cinéma de Woody Allen, mais il est plus qu'une copie du cinéaste d'Annie Hall, il a sa propre sensibilité à propos des relations de couple, du milieu artistique new-yorkais et de la famille dysfonctionnelle. Ses personnages sont assez sombres, ils ont de la difficulté à communiquer entre eux et ça laisse place à des situations où l'humour et le drame se côtoient à merveille. S'il n'est pas un grand technicien du cinéma, il est un scénariste de haut niveau puisque ses dialogues sont toujours justes et intelligents. Il est capable de nous faire pleurer de rires et pleurer tout court dans la même scène.
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Le cinéma sud-coréen est en plein essor depuis une vingtaine d'années et il était plus que temps de l'aborder. On survole donc la carrière d'un des plus grands ambassadeurs du pays : Bong Joon-ho. La popularité du réalisateur de 52 ans a montée en flèche après que Parasite (2019) est remporté la Palme d'or au Festival de Cannes et 4 oscars dont meilleur film (une première pour un film en langue étrangère). Vous avez peut-être déjà entendu parler de Okja (2017) et/ou Snowpiercer (2013) puisqu'ils sont présentement accessibles sur Netflix, ce sont ses deux seuls films qui sont majoritairement en anglais. Avant d'être considéré comme une des personnalités les plus influentes de 2020 par le magazine TIME, le cinéaste a fait des films brillants dans son pays natal. Memories of murder (2003) est un thriller policier qui tente de faire la lumière sur le premier tueur en série de la Corée du Sud, The Host (2006) est un monster movie réinventé au sujet d'une créature géante qui menace une ville entière et Mother (2009) est une drame hitchcockien au sujet d'une mère qui est prête à tout pour prouver l'innocence de son fils qui est accusé de meurtre.
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C'est avec beaucoup d'excitation qu'on vous présente le premier épisode qui aborde un réalisateur du cinéma d'animation et pas n'importe lequel, le maître Hayao Miyazaki. Sa carrière s'échelonne sur 6 décennies (!), il a co-fondé le mythique Studio Ghibli en 1985, il a produit des séries télés, des courts-métrages, des mangas et réalisé 11 longs-métrages. À l'aube de ses 81 ans, il est en production depuis plus de 5 ans sur son prochain film "How do you live?". L'imaginaire du cinéaste japonais est sans borne et empreint de plusieurs messages à caractères sociaux et politiques. Il s'est exprimé sur la pollution et la déforestation bien avant son temps, il aborde le féminisme à travers ses nombreuses héroïnes et il est un féroce militant anti-guerre.
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C'est pas un nom qui est familier avec tout le monde, mais il suffit de mentionner quelques-un de ses films (Heat, Last of the mohicans, Collateral, Miami Vice) pour le replacer. Le vétéran de 78 ans se situe à mi-chemin entre le classicisme d'Hollywood et le cinéma d'auteur. Étant un fan du cinéma de genre, principalement le film néo-noir, il nous offre des œuvres très accessibles et dynamiques tout ayant sa propre signature. La première décennie de sa carrière est plutôt hétérogène, il jongle entre le film néo-noir, l'horreur et le film d'époque. Mais c'est en 1995 qu'il frappe un grand coup avec le film Heat qui réunit deux légendes, Robert De Niro et Al Pacino. Michael Mann trouve sa véritable identité dans ce thriller brillamment écrit et mis en scène. Il décrochera par la suite 7 nominations aux Oscars pour son film suivant, The Insider (1999), et il surprendra tout le monde en choisissant Tom Cruise pour interpréter un tueur à gages dans l'excellent Collateral (2004).
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Maxime reçoit son ami Francis Juteau, auteur et professeur de littérature et de cinéma au cégep, pour parler d'un réalisateur qu'ils admirent tous les deux. Pierre Falardeau n'est pas que le père d'Elvis Gratton. Il est un pamphlétaire qui a défendu la liberté durant près de quatre décennies et tout a commencé par des courts-métrages documentaires qu’il a coréalisés avec son acolyte Julien Poulin. C’est Pea Soup (1979) qui retient le plus l’attention dans cette période, grâce au PFK Kid, et Le temps des bouffons (1993) où il déverse sa violente poésie sur le Beaver Club. Dans les années 80, le tandem Falardeau/Poulin mettent au monde le personnage le plus iconique du cinéma québécois : Bob Gratton. C’est sous le couvert de la comédie qu’ils parlent de la crise identitaire de la société québécoise et qu’ils ridiculisent la fascination pour l’American Dream. Avec les suites, le personnage d’Elvis Gratton devient une caricature de lui-même et s’en prend au monde des médias, au star système, aux politiciens, à tout le monde dans l’fond! L’autre volet de sa filmographie est plus posé et dramatique. Avec Le Party (1990), Octobre (1994) et 15 février 1839 (2001), Pierre Falardeau s’intéresse à des personnages, parfois issus de notre histoire, qui rêvent de liberté dans un monde d’oppression. Il pose sa caméra au cœur d’une situation fragile et raconte les motivations qui poussent un groupe à se battre pour son indépendance.
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Edgar Wright a conquit toute une génération en 2004 avec la sortie de Shaun of the dead sur les écrans. En plus d'exposer de nouveaux talents (Simon Pegg et Nick Frost en particulier), il a apporté un vent de fraicheur dans la comédie au cinéma avec son sens du punch, mais aussi, son sens du spectacle. Trois ans après ce succès, il revient à la charge avec le même duo d'acteurs dans un autre style soit celui du film d'action policier. Il s'agit bien de Hot Fuzz et c'est un hit encore une fois. On parle même d'une trilogie thématique qui s'est concrétisée avec la sortie de The World's End en 2013 et qui est ironiquement appelé The Three Flavours Cornetto Trilogy. Le troisième opus joue encore sur les thèmes de l'amitié et la nostalgie, mais cette fois-ci à travers la science-fiction. Edgar Wright est réputé pour s'amuser avec les différents genres cinématographiques et amène une dimension hautement divertissante grâce à sa maîtrise du montage. Scott Pilgrim vs. the world est l'ultime exemple d'un film au rythme effréné, remplit d'emprunts aux autres formes d'art et le résultat est à couper le souffle. Avec Baby Driver, il a poussé son utilisation de la musique à un autre niveau en chorégraphiant toutes ses scènes en fonction de la bande sonore. Le cinéaste anglais propose toujours une réalisation audacieuse et son plus récent Last Night In Soho n'y fait pas exception sur le plan visuel. Le film est présentement à l'affiche et on l'a vu pour vous, mais on ne divulgâche rien, promesse de cinéphile!
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Celui de l'on surnomme le maître de l'horreur a créé le mythique film Halloween en 1978. Avec un budget de 300 000$, des acteurs inconnus et un masque; il a instauré certains codes du slasher movie. Et que dire de la trame sonore iconique qu'il a lui même composé comme c'est le cas dans la plupart de ses films. 43 ans plus tard, Michael Myers continue de tuer à travers l'une des plus grandes franchises du cinéma d'horreur. Le réalisateur américain n'est pas l'auteur d'un seul grand film. Avec Kurt Russell, son acteur fétiche des années 80, il a utilisé l'archétype du anti-héros à toutes les sauces à commencer par Escape from New York. Un film de science-fiction hautement divertissant qui s'inscrit dorénavant dans la culture populaire. En 1982, c'est l'arrivée de The Thing sur les écrans et c'est un flop... Mais le temps a donné raison à John Carpenter puisqu'on le voit maintenant comme une œuvre culte avec des scènes sanglantes incomparables. Carpenter ne s'éloigne pas trop de l'horreur avec l'adaptation du roman de Stephen King « Christine » en 1983 avant de se lancer dans la comédie fantastique d'action « Big trouble in little China ». De toute évidence, il s'est amusé avec un film sans prétention qui pastiche les films d'aventure qui gagnaient en popularité à l'époque. En 1988, il nous offre sa création la plus politisée « They Live » en réponse aux décisions de Ronald Reagan. C'est à travers la science-fiction qu'il passe son message alors qu'un homme sans histoire découvre des lunettes qui lui permettent de voir le monde tel qu'il est réellement c'est-à-dire gouverné par des extra-terrestres.
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Ceux qui nous suivent depuis longtemps se souviennent peut-être d’un épisode sur les « films d’action qui ont une grande valeur artistique » (succès populaire et critique) où nous avions jasé de The Dark Knight, Skyfall et Mad Max : Fury Road. On vous avait titillé avec la plus récente franchise de Batman et l’univers de Christopher Nolan par le fait même. 1 an plus tard, on parcourt la filmographie complète du cinéaste anglais qui nous a offert plusieurs gros canons du cinéma contemporain. Christopher Nolan a rapidement fait tourner les têtes en début de carrière avec l’audacieux Memento qui lui a valu une nomination aux Oscars pour le scénario qu’il a co-écrit avec son frère Jonathan. Il a non seulement prouvé qu’il était capable de créer un suspense original, mais qu’il avait une fascination pour le temps. On peut qualifier plusieurs de ses films de « high concept » puisqu’il s’amuse avec des histoires complexes qui comptent de nombreuses couches narratives. Avec un casting récurrent, on n’a qu’à penser à Christian Bale, Michael Caine, Marion Cotillard ou Tom Hardy, et son fidèle collaborateur musical Hans Zimmer, Nolan nous a habitué à un haut standard de divertissement au fil des deux dernières décennies. Dans cet épisode, on souligne les bons coups du réalisateur d’Inception et on se questionne sur son dernier long-métrage, Tenet, qui n’a pas reçu autant d’éloge que les précédents.
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