Episodios
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Pour cette dernière capsule, nous tirons dans toutes les directions. Jacques présente notamment ses choix de meilleurs joueurs, lanceurs et gérants de l’histoire des Expos de Montréal. Beaucoup de plaisir à sortir du domaine factuel pour se diriger vers l’opinion, l’opinion d’une bible sur pattes !
En terminant, un immense merci à tous ceux qui nous ont suivi au cours de la dernière année. Ce document de 42 capsule radio demeurera une pièce importante relatant l’histoire des Expos. En espérant que le tout vous a plu, et n’hésitez pas à partager !
Baseballement,
Jacques et Pierre
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On aurait aussi pu intituler cet extrait «Bud Selig» ! Une courte capsule qui touche un élément majeur de l’histoire des Expos…
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¿Faltan episodios?
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Malchanceux ont été les Expos pendant toutes ces années, et les exemples sont multiples. On en parle dans cette capsule des plus intéressante, notamment parce que Jacques Doucet analyse d’une main de maître ces quelques dossier.
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Capsule un peu différente cette semaine : on se penche sur la grande question, très large «Pourquoi sont-ils partis ?» Et vous, quelle est votre réponse ?
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Elle aura été repoussée autant que possible, cette dernière saison des Expos. Au point d’instaurer un climat déprimant dans l’entourage de l’équipe, on ne peut s’en cacher…
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En 2003, il peut paraître surprenant de constater que les Expos sont encore à Montréal. Mais en fait, le sont-ils encore vraiment, maintenant que l’équipe joue des matchs locaux à Porto Rico ?
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En 2002, alors que tous s’attendent à voir partir les Expos dans les minutes, un sursis inattendu survient. Les Expos sont donc à Montréal encore cette saison, mais pour combien de temps ?
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La lente agonie des Expos est amorcée depuis un certain temps déjà. Une autre preuve en cette saison 2001 : les médias présentent de moins en moins de matchs. De plus, un contrat de 250 millions de dollars est signé au Texas, pour un seul joueur. De cette façon, comment entrevoir l’avenir avec optimisme pour un petit marché comme Montréal ?
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En 2000, rien ne va plus dans les coulisses. Heureusement sur le terrain, les fans ont encore les Guerrero, Cabrera et Vidro à se mettre sous la dent !
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En 1999, un curieux personnage revient faire son tour dans l’entourage des Expos. Cette fois, Loria réussira son plan…
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Vive déception en 1998 : l’as lanceur Pedro Martinez quitte pour les Red Sox de Boston, tout de suite après avoir été sacré meilleur lanceur de la nationale, en 1997.
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1997 - Pedro, le meilleur et Vlad impressionne ! - Ceux qui croyaient que les Expos étaient morts, oubliez ça ! Ils alignent d’ailleurs deux des joueurs les plus excitants du baseball majeur en 1997, en Pedro Martinez et Vladimir Guerrero. Deux membres du Temple de la renommée aujourd’hui…
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C’est une surprise, mais les Expos de 1996 son dans la course ! C’est à se demander si quelqu’un ou quelque chose réussira réellement à faire plier les genoux aux hommes de Felipe Alou…
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Les Expos ne sont pas devenus littéralement mauvais en 1995. Tout de même, à la suite de la vente de feu survenue après l’annulation de la saison, force est d’admettre que l’équipe est méconnaissable…
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En 1994, les Expos et leurs partisans ont probablement vécu la plus grande déception des 36 années du club à Montréal. Cette grève, on la regrette encore, plus de 20 ans après…
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En 1993, on comprend que les Expos de Montréal sont sur le point de devenir une réelle puissance dans le baseball majeur. On sait que l’avenir est rose sur le terrain. Ça sent très bon !
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En 1992, les Expos engagent Felipe Alou comme entraîneur de l’équipe, après des années à consolider les jeunes talents de l’organisation dans les ligues mineures. Une embauche de qualité, il va sans dire !
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En 1991, les Expos changent de main. Il s’agit d’un tournant majeur dans l’histoire de l’équipe, tournant qui donnera le ton à une décennie des plus particulières, tant hors que sur le terrain…
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En 1990, la situation financière de l’équipe inquiète, et pas à peu près. Dommage que tout ce talent sur le terrain soit éclipsé par des considérations monétaires…
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Ce qui s’annonçait comme une année des plus prometteuses chez les Expos s’est transformé en un malheureux échec. L’acquisition de Mark Langston aura coûté… TRÈS cher…
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