Episodios
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Dans cet épisode, je sors du tennis pour partir à la rencontre de Dorian Foulon, champion paralympique de vélo de poursuite à Tokyo. Né avec un pied bot, Dorian nous raconte ce que c'est de grandir et de se construire comme homme et athlète avec ce handicap. Il nous partage aussi son rêve fou pour Paris. Hors norme.
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Dans cet épisode, on part à la rencontre de la 25 ème mondiale en tennis fauteuil, qui nous raconte son parcours, ainsi que son rêve olympique.
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¿Faltan episodios?
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Dans cet épisode, le premier artiste invité du podcast. Gauvain Sers nous parle du lien qu'il voit entre l'art et le sport de haut niveau, entre le fait de performer sur un court rempli et de se retrouver sur scène, de la solitude du chanteur, qui pourrait se comparer à celle du joueur de tennis. Bonne écoute!
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Dans cet épisode, j'ai voulu interviewer le très libre "Mika", où il parle sans langue de bois sur son parcours de vie, l'importance de son père, sa femme, le milieu du tennis, ses nouvelles passions etc...
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C'est la deuxième partie de ce podcast avec le récit incroyable de la traversée du Lac Titicaca, et puis la vie d'un jeune homme, en situation de handicap, qui nous dit qu'on peut faire des rencontres aimer, faire l'amour, et tellement plus.
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Dans ce premier hors-série, le parcours de vie de Théo à qui à 6 ans, on doit couper les quatre membres, et puis, sa résilience, son charme, son courage, ses valeurs, ses rêves, sa vie, sa magie.
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Réfugié dans un parking en sous-sol à cause des raids aériens russes, Sergiy Stakhovsky nous livre son témoignage édifiant. Nous avons très peu parlé de tennis, et beaucoup parlé de guerre, malheureusement.
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La première fois que je l'ai vu, je ne m'en souviens pas très bien... mais depuis deux ans et demi, c'est un nom qui revient souvent et de plus en plus fort, tant il ne cesse de monter.
Et quand on se penche sur sa personnalité, on comprend il travaille, persuadé que les résultats ne seront que les conséquences de ses progrès et non une fin en soi. Lui, c'est Arthur Rinderknech.
Il dégage énormément de confiance, de sérénité, il s'adapte quoi qu'il arrive.
C'est une vraie chance d'enregistrer ce dernier épisode de l'année avec l'une des révélations de la saison.
Je m'appelle Antoine Benneteau, bienvenue dans Echange et bonne écoute.
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Retrouvez les épisodes précédents :
Cédric Pioline : "Je suis arrivé à New York en étant 'nobody', j’y suis reparti en étant quelqu'un"
Jo-Wilfried Tsonga : "Au fond de moi, j'aimerais ne jamais arrêter"
Yannick Noah, sa double vie, ses chairs de poule, ses déceptions
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La première fois que je l'ai vu, j'avais cinq ans. C'était devant ma télévision et je ne mesurais pas la portée de l'exploit qui s'écrivait sous mes yeux. Je suis juste content, on a gagné... la Coupe Davis, à Lyon face aux Etats-Unis d'Andre Agassi et Pete Sampras. C'était en 1991.
C'est par la suite que je me suis rendu compte que c'était l'un des plus grands exploits du sport français. Et au milieu de cette folie pure, un homme : Henri Leconte.
Il y a le résultat bien sûr, mais il y a aussi la manière, le plus important étant ce qu'il se passe autour. Son retour de l'enfer, sa folle trajectoire, ses coups de gueule, ses regrets, il n'a pas eu une carrière comme les autres. Entre ses souvenirs 30 ans après cette victoire et sa vision sur le tennis actuel, il nous raconte tout.
Voici donc Henri Leconte, le génial gaucher, Riton, pour les intimes. Comme on l'aime, sans filtre, entier. Merci pour sa générosité du moment.
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Sébastien Grosjean: "Gagner Bercy au meilleur des 5 sets donnait encore plus de prestige à ma victoire"
Cédric Pioline : "Je suis arrivé à New York en étant 'nobody', j’y suis reparti en étant quelqu'un"
Jo-Wilfried Tsonga : "Au fond de moi, j'aimerais ne jamais arrêter"
Yannick Noah, sa double vie, ses chairs de poule, ses déceptions
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La première fois que je l'ai vu, je ne m'en souviens pas exactement... en revanche, je me souviens m'être levé en pleine nuit pour regarder la finale de Coupe Davis entre la France et l'Australie. C'était en 2001, il y a déjà 20 ans. On l'appelait la victoire du bout du monde. Aujourd'hui, Sébastien Grosjean, mon invité, en est le capitaine.
Cette saison 2001 était sa plus belle. Celle où il a explosé en Grand Chelem, celle où il a remporté le tournoi de Bercy, désormais nommé le Rolex Paris Masters, celle qui l'a emmené jusqu'au Masters à Houston, où il jouera la finale face à Lleyton Hewitt, avant cette fameuse finale de Coupe Davis. Cette année 2001 sera ainsi le fil conducteur de cet échange pour se plonger dans son immense carrière, l'une des plus grandes du tennis français.
Sa passion pour le tennis est intacte et communicative. Immense merci à Sébastien Grosjean pour ce moment de partage que, j'espère, vous apprécierez.
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Cédric Pioline : "Je suis arrivé à New York en étant 'nobody', j’y suis reparti en étant quelqu'un"
Jo-Wilfried Tsonga : "Au fond de moi, j'aimerais ne jamais arrêter"
Yannick Noah, sa double vie, ses chairs de poule, ses déceptions
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La première fois que je l'ai vue, c'était cet été, à la télévision, elle était consultante pour les Jeux Paralympiques de Tokyo.
Pauline Déroulède a un rêve : la médaille d'or en tennis fauteuil à Paris en 2024. Un rêve né d'un drame qu'elle partage sans s'épargner. Pendant l'enregistrement, j'ai été bouleversé par son honnêteté et surtout sa combativité, bluffé par sa force et transpercé par ses deux billes bleues qui vous regardent droit dans les yeux.
Merci à Pauline de bien avoir voulu se livrer sans retenue sur son parcours et tout ce qu'elle entreprend depuis son terrible accident, qui lui a coûté une jambe. Comment ne pas être derrière elle dans sa quête paralympique en 2024 ?
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Cédric Pioline : "Je suis arrivé à New York en étant 'nobody', j’y suis reparti en étant quelqu'un"
Jo-Wilfried Tsonga : "Au fond de moi, j'aimerais ne jamais arrêter"
Yannick Noah, sa double vie, ses chairs de poule, ses déceptions
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La première fois que je l'ai vu, je devais avoir 7 ans. J'adorais son style, technique pure, revers à une main sublime, une démarche et une raquette qui me fascinait. Il s'agit de Cédric Pioline.
Tout ça lui a permis d'obtenir l'un des plus grands palmarès du tennis français. Individuel, atypique, caractériel, il ne laissait jamais indifférent. Atypique, comme son immense carrière dont nous allons parler.
Il était l'une de mes idoles de jeunesse... Je mesure donc ma chance aujourd'hui d'avoir un moment privilégié avec lui.
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Jo-Wilfried Tsonga : "Au fond de moi, j'aimerais ne jamais arrêter"
Yannick Noah, sa double vie, ses chairs de poule, ses déceptions
Julien Benneteau, ses victoires, ses regrets, son frère
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La première fois que je l'ai vu, il devait avoir 11 ans. Et moi 10. On était de jeunes espoirs, mais il avait déjà quelque chose de différent. Il était là pour être fort. Une immense confiance se dégageait de lui, naturelle.
Jo-Wilfried Tsonga est devenu l'un des plus grands joueurs de tennis en France, peut-être juste après Yannick Noah. Il est en train d'écrire la fin de sa carrière qu'il nous partage ici, sans filtre. Une immense carrière qui n'est pas tout à fait finie.
Quand ce sera vraiment fini, il nous manquera. C'est toujours la même chose, on aimerait que ça dure toujours un peu petit peu plus...
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C'est le grand retour d'Echange ! Et avec Roland-Garros qui arrive, je voulais marquer le coup en cette année 2021. J'ai donc décidé de tendre mon micro à Guy Forget, directeur du tournoi majeur parisien, ancien capitaine de Coupe Davis et... ancien n°4 mondial, c'était il y a 30 ans.
La première fois que je l'ai vu, j'avais 5 ans et j'étais devant ma télé. Un coup droit poussé, croisé, et puis il s'effondre. Yannick Noah le rejoint, le relève et puis le stade Gerland explose. Il est porté en triomphe par ses copains avec qui il vient d'accomplir l'un des plus grands exploits du sport français. Cela venait couronner la saison 91, sa plus grande, c'était il y a donc 30 ans. C'était hier.
Alors, à quelques jours de Roland-Garros, j'ai passé plus d'une heure et demie avec Monsieur le Directeur, pas mal pour une reprise, non ? Je ne sais pas si vous trouverez ça trop long, moi, j'aurais pu y rester des heures...
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La première fois que je l'ai vu, c'était à la télévision. Un dimanche soir du mois d'octobre, comme 5 millions d'autres Français ! Bien sûr, j'avais entendu parler de lui, mais c'est la première fois que je le voyais jouer. Et son tennis m'a tout de suite plu, comme à tout le monde.
Ce jour-là, il a poussé le double finaliste de Roland-Garros Dominic Thiem en cinq sets sur la terre battue parisienne, un exploit qui suivait une formidable victoire sur Stan Wawrinka, vainqueur à Paris en 2016. Mais il en a accompli un autre, peut-être plus important, en rendant le tennis accessible et disponible pour tous.
Commencer l'année avec la révélation de l'année 2020, cela faisait sens pour moi. Souhaitons que son ascension continue. Ce podcast a toutefois été enregistré avant son départ pour Doha et les qualifications pour l'Open d'Australie, événement qu'il ne disputera finalement pas, lui qui a perdu au premier tour. Je suis sûr qu'il aura bien d'autres occasions de se rattraper.
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La première fois que je l'ai vue, elle avait 15 ans et elle jouait déjà son premier Roland-Garros. Alizé Cornet avait même passé le premier tour. elle était sur le court Suzanne-Lenglen avec Amélie Mauresmo, son idole qui se tenait en face d'elle. C'est le début d'une grande carrière : 11e mondiale, huitième-de-finaliste dans les quatre tournois du Grand Chelem et vainqueur de la Fed Cup, entre autres...
Entre ses rages, ses angoisses, ses réussites et ses espoirs, elle nous raconte tout dans cet épisode, sans compromis. "Sans compromis", c'est aussi le titre de son livre publié aux éditions Amphora. Et je trouve que ça résume bien le caractère de cette grande championne.
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La première fois que je l'ai vu, c'était au fin fond de l'Ouzbékistan, il entraînait un Lucas Pouille de Challenger, il n'y est pas resté longtemps. Lui, c'est Emmanuel Planque, Manu pour les intimes. La première chose qu'il m'a dite, c'est : "est-ce que tu aimes que l'on t'encourage pendant tes matches ?" Il n'était pas obligé.
Pendant deux semaines, j'ai partagé leurs séances et leur quotidien. Nous avons toujours échangé depuis. Il m'a toujours partagé ses convictions sur le tennis et sur les conditions de la performance. Et c'était toujours passionnant. A chaque fois que je le rencontre, c'est toujours pareil : il me fascine autant qu'il m'intrigue. C'est donc tout naturellement que j'ai voulu échanger avec ce mordu de tennis...
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La première fois que je l'ai vu, j'avais 12 ans et Toni accompagnait son neveu, qui était déjà un joueur à part. Rafael remportait alors le tournoi d'Are, avant tout le reste. Et quel reste...
Lui, c'est donc Toni Nadal, qui a fait l'effort de parler de lui et de sa relation avec son champion de neveu dans une langue qui n'est pas la sienne. Parfois, il faut tendre l'oreille, mais on comprend toujours.
Federer, Djokovic, le coaching, le tennis français, l'évolution du tennis, Roland-Garros, nous avons pu parler de tout. On se demande toujours ce qui fait une légende du jeu. Après cet échange, on a quelques éléments de réponse. Laissez-vous porter par sa voix cassée. Bienvenue dans Echange.
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Qui n'a-t-il pas déjà surpris ? Felix Auger-Aliassime est un phénomène dans le petit monde de la balle jaune. Pour beaucoup d'observateurs, c'est lui qui incarne la suite du leadership mondial après les trois monstres, alors qu'il n'a que 20 ans.
Le Canadien n'a pas encore gagné de trophées sur le circuit ATP, mais il gagnera sans doute un titre du Grand Chelem un jour, en tout cas on lui souhaite quand on l'entend s'exprimer... Ce n'est pas encore un champion sur le court, mais c'en est déjà un en dehors sans aucune doute.
Dans un moment où le tennis se perd un peu, il est bon qu'un homme de 20 ans apporte de l'espoir. On peut se dire que notre sport est entre de bonnes mains. Au micro d'Antoine Benneteau, venez à la découverte de Felix Auger-Aliassime, un joueur avec un coeur grand comme ça.
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Jérémy Chardy est un sportif aux multiples facettes. D'abord, celle que vous connaissez sans doute : le joueur. Du haut de ses 33 ans, le Palois poursuit une carrière, qui tend doucement mais sûrement vers la fin, même s'il lui reste encore quelques coups à réaliser.
Ensuite, celle que vous ne soupçonnez peut-être pas : le directeur de tournoi. A Pau, là d'où il est originaire, un Challenger a poussé grâce à lui. Puis celle que vous découvrirez sans doute : le père. Depuis le mois de février, Jérémy a découvert les joies (et les contraintes) de la paternité.
Et enfin celle qu'il a bien voulu dévoiler au micro d'Antoine Benneteau, l'homme hyper sensible sous sa casquette vissée sur sa tête. Sensible à l'évolution de son sport, aux difficultés qui y sont liées et, bien sûr, à ceux qui l'entourent.
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