Episodios
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Le 11 mars 2025, Alexandra Brazzainville et Jean-Luc Robert étaient les invités de La Grande Émission, animée par Mike Borowski sur Géopolitique Profonde.
Alexandra Brazzainville est une personne intersexe atteinte du syndrome de Klinefelter, une condition génétique caractérisée par la présence de deux chromosomes X et d’un chromosome Y. Forte de son expérience et de son parcours, elle s’engage activement dans la dénonciation des dérives de certaines associations LGBT concernant la transition des mineurs et œuvre avec détermination pour la protection des enfants contre toutes formes de violence.
Jean-Luc Robert est un auteur connu pour ses analyses critiques des dérives sociétales, en particulier celles liées à la santé mentale et à la neurodiversité. Après une carrière en tant que psychologue spécialisé dans les troubles du comportement chez les enfants, il se tourne vers l’écriture et la vulgarisation pour dénoncer les excès de la médicalisation à outrance. Son dernier ouvrage, “Neuro divers +”, explore les enjeux et les conséquences du surdiagnostic chez les jeunes et les adultes, dévoilant les dangers de la marchandisation de la santé mentale.
La mère de Macron, une figure mystérieuse au rôle clé
Françoise Noguès-Macron, mère du président, est une femme de l’ombre dont l’influence reste méconnue. Médecin-conseil à la Sécurité sociale, elle a occupé une position stratégique dans la gestion des politiques de santé et des remboursements médicaux.
Contrairement à d’autres parents de dirigeants, elle s’efface totalement depuis l’accession de son fils à l’Élysée. Ce silence soulève des interrogations, d’autant que son métier lui a permis d’être au cœur des décisions de financement, notamment celles concernant les parcours de transition de genre. Une coïncidence troublante alors que l’idéologie transgenre s’est accélérée sous la présidence Macron.
Macron, cheval de Troie du transgenrisme ?
Sous Macron, la promotion du transgenrisme envahit écoles, culture et publicité. L’accès aux traitements hormonaux dès l’adolescence est facilité.
Ce mouvement n’est pas anodin. Macron s’entoure de militants transactivistes et favorise une législation qui efface les repères biologiques. Ce projet, soutenu par des lobbies internationaux, dépasse le cadre français.
L’énigme du couple Macron et la révolution sociétale
Le couple Macron alimente les interrogations. Brigitte, plus âgée que son mari, incarne une remise en question des schémas classiques, influençant son agenda progressiste.
Dès l’enfance, la fluidité du genre est imposée à l’école. L’art et la culture valorisent ces thématiques. La France devient un laboratoire de cette mutation idéologique portée par des élites convaincues de sa nécessité.
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Le 11 mars à 2025, Nicolas Stoquer vous attendait pour un sujet explosif sur Géopolitique Profonde.
Une attaque d’ampleur et des menaces explicites
Elon Musk fait face à une cyberattaque massive. Selon lui, l’opération est menée par un groupe coordonné d’envergure, voire par un État. L’homme le plus puissant de la tech ne cache plus son inquiétude : « Il y a de fortes chances qu’ils essaient de me tuer. » Ces mots ne relèvent pas de la paranoïa, mais d’un constat brutal. Musk dérange, et ses prises de position le placent directement dans la ligne de mire des puissances en place.
Son engagement en Ukraine en est l’un des exemples les plus frappants. Un jour, il menace de couper Starlink aux forces ukrainiennes. Le lendemain, il propose de sanctionner les oligarques ukrainiens pour mettre fin à la guerre. Aujourd’hui, il exige que les États-Unis quittent l’OTAN, jugeant absurde que l’Amérique finance la défense européenne. Ces positions iconoclastes le confrontent aux intérêts des services ukrainiens, connus pour leur brutalité et déjà impliqués dans plusieurs tentatives d’assassinat, y compris en dehors de la Russie. Myrotvorets, le site des « ennemis de l’Ukraine », avait d’ailleurs déjà mis sa tête à prix.
Un combat contre l’État profond et la corruption
Musk ne s’arrête pas là. Il s’attaque frontalement aux circuits de corruption et aux réseaux d’influence occultes. Son implication dans le DOGE et ses révélations sur des contrats frauduleux de centaines de milliards de dollars font trembler les élites. Il dénonce autant les manipulations des agences de renseignement que les collusions politico-financières. Chaque jour, de nouveaux scandales éclatent, exposant la corruption systémique qui gangrène les institutions.
Il ne s’agit pas seulement de corruption financière, mais aussi de la mainmise des cercles de pouvoir sur l’information. Musk a prouvé qu’il pouvait divulguer ce que personne ne devait voir : la liste Epstein, les meurtres des Kennedy, ou encore certaines affaires explosives en Europe. X (ex-Twitter) est devenu une arme de divulgation massive incontrôlable, échappant aux censures habituelles imposées par les gouvernements et leurs relais médiatiques.
Un homme incontrôlable et en sursis ?
Elon Musk n’est pas TikTok, ni Telegram. Contrairement aux plateformes que le système tente de canaliser ou de diaboliser, il agit de manière totalement indépendante. Il refuse l’alignement, dérange les plans des élites et expose leurs mécanismes d’influence. L’ancien commissaire européen Thierry Breton a déjà exprimé son hostilité ouverte à Musk, inquiet de son pouvoir de diffusion. Mais il n’est pas le seul.
La cyberattaque qui frappe X n’est peut-être que le début d’une offensive plus large. Musk a ouvert trop de fronts à la fois : Ukraine, corruption d’État, contrôle de l’information, collusion des élites. Son combat est devenu existentiel, et ses ennemis pourraient bien vouloir en finir.
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Le 11 mars 2025, Sylvain Ferreira, Michela Wrong et Christian Combaz étaient les invités de La Matinale animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu sur Géopolitique Profonde.
Christian Combaz, écrivain et journaliste français, est connu pour son regard critique sur la société et la politique. Né à Alger et ayant grandi dans un milieu catholique à Bordeaux, il a suivi une formation variée, allant de Sciences Po à l’atelier Viseux aux Beaux-Arts. Auteur de nombreux essais et romans, il s’est également distingué comme vidéaste web en créant la chaîne Campagnol TVL, où il partage ses réflexions sur la France contemporaine et nous parle des gens simples, normaux, avec le ton d’un témoin et d’un artiste. Son dernier ouvrageest « Rebarbe à Campagnol« , aux Editions Jean Cyrille Godefroy.
Sylvain Ferreira est un historien militaire français, spécialisé dans l’art de la guerre et son évolution de 1850 à 1945. Il s’intéresse particulièrement à l’impact de l’ère industrielle sur les combattants et a contribué à plusieurs revues d’histoire militaire. Auteur et concepteur de jeux de stratégie, il a récemment publié La bataille de Marioupol : 25 février – 20 mai 2022.
Michela Wrong est une journaliste britannique de renom (Reuters, BBC, Financial Times), et s’est forgé une réputation mondiale pour sa couverture de l’Afrique. Lauréate du prix James Cameron en 2010 pour son intégrité et sa vision morale, elle a notamment couvert la chute du dictateur Mobutu et le génocide rwandais.
L’Union européenne, prison des peuples et déclin de la démocratie
L’Europe, jadis berceau de la démocratie, est devenue une technocratie autoritaire sous l’égide de l’UE. De la souveraineté populaire, il ne reste qu’un simulacre. Bruxelles impose ses décisions, écrasant identités et voix dissidentes.
L’éviction en Roumanie de Georgescu, grand favori de la présidentielle, illustre cette dérive. La démocratie est étouffée par une oligarchie cosmopolite qui impose son agenda. L’Europe se précipite vers un totalitarisme orwellien, notamment à travers son soutien aveugle à l’Ukraine, gangrenée par la corruption et des mouvements extrémistes.
L’Occident isolé face au Sud global
L’illusion universaliste de l’Occident s’effondre. Les BRICS redéfinissent la géopolitique, reléguant l’Occident à un rôle marginal.
L’Afrique illustre ce basculement. La France, autrefois influente, est chassée de ses anciennes colonies. L’Amérique suit, tandis que la Chine et la Russie renforcent leur présence. Dans ce vide, des régimes autoritaires comme celui de Paul Kagamé prospèrent, sans contrainte occidentale.
La France entre propagande et chaos
Pendant que le monde évolue, la France s’enferme dans l’illusion. Le pouvoir macronien idéalise un récit patriotique, cachant l’inquiétude croissante.
Va-t-on revivre 1914, où les Français partiront au combat, embrigadés par une propagande belliciste ? Les tambours de guerre résonnent sous prétexte de défendre une Europe en déclin. L’ennemi n’est plus seulement extérieur, il est au cœur des institutions, façonnant un monde où les peuples sont réduits au silence.
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Le 10 mars 2025, Franck Pengam et Philippe Herlin étaient les invités de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde !
Franck Pengam, analyste géopolitique et expert en métaux précieux, est le fondateur de Géopolitique Profonde et de la chaîne YouTube GPTV. Spécialiste des crises économiques et de la dédollarisation, il propose des analyses indépendantes sur les BRICS et l’effondrement financier mondial. À travers sa revue et ses émissions, Géopolitique Profonde s’affirme comme un contrepoids aux discours médiatiques dominants, offrant une vision sans concession des enjeux géopolitiques actuels.
Philippe Herlin est un économiste français spécialisé dans les questions monétaires et financières. Dans son dernier livre, Bitcoin : Comprendre et investir, il décrypte les enjeux économiques et techniques de cette cryptomonnaie révolutionnaire.
La confiscation de l’or pour financer la guerre
L’or, dernière richesse échappant au contrôle de l’État, est convoité par le gouvernement. Alors que la France s’engage davantage contre la Russie, Macron cherche de nouveaux financements. Après l’épuisement des hausses d’impôts et de la dette, l’épargne privée devient la prochaine cible.
Historiquement, les États en guerre réquisitionnent l’or. Roosevelt l’a fait en 1933, obligeant les Américains à vendre leur or so
La France a déjà préparé le terrain : surveillance des achats d’or, interdiction des transactions en liquide au-delà de 1 000 €, stigmatisation de la détention d’or physique. Ceux qui conservent leur or en banque risquent de le voir saisi sous prétexte d’« urgence nationale ».
La mort sociale des opposants au système
Le contrôle financier est devenu l’arme ultime contre ceux qui refusent de se soumettre. Journalistes indépendants et lanceurs d’alerte voient leurs comptes bloqués sans préavis. Testée au Canada contre le Convoi de la liberté, cette stratégie s’intensifie en Europe.
Les banques, devenues des outils de répression, bloquent les fonds des dissidents. Avec la disparition du cash, chaque citoyen devient vulnérable. Plus besoin d’envoyer la police : il suffit de couper l’accès à l’argent pour exclure l'individu du système.
Ce modèle repose sur une logique implacable : sans compte bancaire ni carte de crédit, impossible de louer un logement ou de souscrire un abonnement. L’arrivée de l’euro numérique renforcera ce contrôle, limitant encore plus les transactions des personnes jugées « déviantes ».
Le Bitcoin, seule échappatoire face à la tyrannie financière
Dans un monde sous surveillance, le Bitcoin est le dernier bastion de liberté. Contrairement aux monnaies classiques, il ne dépend d’aucune banque centrale ni d’aucun gouvernement.
Son attrait grandit car il offre un contrôle total sur son patrimoine. Peu importe les sanctions, un individu peut envoyer, recevoir et stocker son argent sans craindre un blocage arbitraire. Aucun pouvoir ne peut geler un portefeuille Bitcoin.
Face à cette menace, les gouvernements cherchent à diaboliser les cryptomonnaies, imposent des restrictions, renforcent la surveillance et promeuvent des monnaies numériques contrôlées par les banques centrales. Ces efforts confirment que le Bitcoin est une arme redoutable contre le totalitarisme financier. Ceux qui l’adoptent aujourd’hui prennent une longueur d’avance pour préserver leur liberté économique.
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Le 10 mars 2025, Nicolas Stoquer dénonçait la complicité de l’Occident et de la Turquie dans l’ascension des djihadistes en Syrie, leur rôle dans les massacres des chrétiens et alaouites, ainsi que l’hypocrisie géopolitique de la France et des États-Unis, sur GPTV.
L’Occident et la Turquie ont installé les djihadistes au pouvoir
Les groupes djihadistes contrôlant une partie de la Syrie doivent leur ascension à un soutien occidental massif, appuyé par la Turquie. Dès le début du conflit, les États-Unis, la France et le Royaume-Uni ont financé et armé des factions islamistes sous prétexte de renverser Bachar el-Assad. Ankara a ouvert ses frontières, facilitant l’arrivée de combattants et d’armes.
Ces alliances ont permis aux terroristes de s’imposer. L’ex-Front al-Nosra, branche d’Al-Qaïda, a reçu financements et armes sous l’étiquette fallacieuse de « rebelles modérés ». Dès le départ, ils appliquaient la charia avec brutalité et persécutaient les minorités. Aujourd’hui, ils mènent une campagne d’extermination des alaouites et des chrétiens, sans que l’Occident ne remette en question son soutien.
Preuve de cette complaisance, des dirigeants européens continuent de légitimer ces factions. Jean-Noël Barrot et Annalena Baerbock ont rencontré Abou Mohammed al-Joulani, chef de l’ex-Front al-Nosra. Emmanuel Macron est allé plus loin en l’invitant à l’Élysée, reconnaissant ainsi un ancien chef terroriste comme interlocuteur politique.
Persécutions et massacres des minorités en Syrie
Les chrétiens et les alaouites vivent un enfer. La mère supérieure du couvent carmélite de Maaloula témoigne de l’horreur : les djihadistes traquent et exécutent ces populations.
À Banya, une école remplie d’enfants et de familles est encerclée par les islamistes. Les massacres sont systématiques : pillages, destructions d’églises, assassinats de chefs religieux. Ceux qui fuient décrivent des scènes de barbarie dignes de Daech.
Ces crimes ne sont pas des cas isolés, mais un génocide planifié. Pourtant, les médias occidentaux restent silencieux. L’Europe persiste à reconnaître ces groupes comme forces légitimes de l’opposition syrienne.
Silence complice et jeux géopolitiques cyniques
Face à cette tragédie, la réponse internationale est marquée par l’inaction et l’hypocrisie. Les États-Unis, qui pourraient exercer une pression sur leurs alliés, refusent d’intervenir. Selon Pozzo Di Borgo, un membre de l’équipe de Donald Trump aurait confié que Washington ne bougerait pas, une position qui arrangerait Israël.
Les Européens prétendent que ces massacres sont l’œuvre de Bachar el-Assad. Une accusation absurde, l’armée syrienne ayant perdu le contrôle de ces régions. Ce mensonge permet d’éviter d’admettre qu’ils ont aidé à installer des criminels au pouvoir.
La France, autrefois protectrice des chrétiens d’Orient, a abandonné ce rôle. En légitimant les djihadistes, en les recevant dans ses ministères, elle se rend complice de leur politique d’extermination. Macron, fidèle exécutant des intérêts atlantistes, applique la ligne imposée par Washington et Bruxelles. Paris ne protège plus les minorités, mais s’assure que la Syrie reste un champ de ruines, incapable de retrouver sa souveraineté.
L’Occident a fait son choix. Ce n’est pas une simple erreur stratégique : c’est une destruction méthodique des dernières forces faisant obstacle à l’ordre mondial voulu par Washington et ses alliés. Pendant ce temps, des milliers d’innocents meurent dans l’indifférence.
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Le 10 mars 2025, Claude Janvier, le Général Dominique Delawarde et Roland Hureaux étaient les invités de La Matinale de Géopolitique Profonde, animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu !
Claude Janvier est un écrivain et essayiste auteur de plusieurs ouvrages qui explorent les dynamiques de pouvoir et les influences cachées au sein des structures étatiques et supranationales. Il est notamment le coauteur de L’État Profond Français.
Le Général Dominique Delawarde, Saint-cyrien de formation, a servi dans les prestigieux chasseurs alpins et la Légion étrangère. Expert en gestion des ressources humaines, il a dirigé des officiers de liaison français aux États-Unis, où il réside régulièrement. Lors de la crise balkanique de Sarajevo en 1994-1995, il a mené des opérations à la tête du 7e Bataillon de Chasseurs Alpins . En tant qu’ancien chef de la « Situation-Renseignement-Guerre électronique » pour la planification opérationnelle, son expertise militaire est indiscutable.
Roland Hureaux est un homme politique, haut fonctionnaire et essayiste, diplômé de l’École normale supérieure de Saint-Cloud, de l’Institut d’études politiques de Paris, et ancien élève de l’ENA. Il a occupé divers postes, notamment à la DATAR et en Tanzanie. Engagé dans les mouvements souverainistes et gaullistes, il a également travaillé avec des figures politiques telles que Philippe Séguin et Édouard Balladur. Il est auteur du livre L’homme qui n’aimait pas la France.
L’Occident piégé par sa propre propagande
L’hystérie anti-russe médiatique a fini par piéger les dirigeants occidentaux eux-mêmes. Pendant des années, ils ont présenté la Russie comme un État faible, militairement dépassé et isolé. Or, la réalité les contredit : l’armée russe s’est modernisée et dépasse l’Occident en production militaire. L’OTAN, qui prétend écraser Moscou, peine à fournir à Kiev le matériel nécessaire.
Les dirigeants refusent d’admettre leur erreur et poursuivent un narratif mensonger qui les enferme dans une impasse stratégique.
Macron joue avec le feu
Emmanuel Macron ne défend pas la France, mais ses propres ambitions. Son discours sur l’envoi de troupes en Ukraine n’est qu’un coup de communication pour s’imposer comme chef de guerre. Il veut compenser l’inaction allemande et se positionner pour une place future dans les institutions européennes.
Mais la France n’a pas les moyens de sa rhétorique. L’armée manque d’effectifs, de munitions et de logistique. Un engagement militaire direct contre la Russie signerait la destruction de l’armée française en quelques semaines. Macron le sait, mais il joue un jeu dangereux et irresponsable.
L’illusion d’une guerre nucléaire « contrôlable »
L’Occident a gouverné par la peur : Covid, crise climatique, maintenant guerre mondiale. Mais une guerre nucléaire pose un problème inédit : elle ne peut être instrumentalisée sans risquer l’anéantissement total.
L’Occident cherche à maintenir une tension suffisante pour justifier l’économie de guerre et le contrôle des populations, sans déclencher un conflit irréversible. Mais la Russie sait que l’Occident bluffe, rendant cette stratégie inefficace.
Macron et l’OTAN veulent faire peur, mais ne peuvent aller jusqu’au bout. Ce discours absurde finira par s’effondrer comme les précédents récits officiels.
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Le 9 mars 2025, Philippe Fabry était l’invité de La Grande Émission, animée par Raphaël Besliu sur Géopolitique Profonde.
Philippe Fabry est historien du droit, des institutions et des idées politiques. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages et essais sur les cycles historiques, la géopolitique, la Ve République et l’islamogauchisme . Il est le concepteur de l’historionomie, l’étude des schémas historiques récurrents qui permettent de modéliser l’Histoire et d’en dégager les lois. Il applique cette méthode à l’analyse des crises actuelles et à la prévision des événements futurs.
La fin de l’oligarchie américaine
L’Amérique traverse une transformation radicale. En appliquant l’outil historionomique, Philippe Fabry dévoile les cycles qui régissent l’évolution des nations et explique pourquoi les États-Unis entrent dans une nouvelle phase décisive. Loin d’être un simple phénomène politique, la montée en puissance de Trump s’inscrit dans un processus historique inévitable.
Depuis plusieurs décennies, les États-Unis étaient dominés par une oligarchie omniprésente. Big Pharma, Big Tech, Big Media, ces mastodontes ont façonné la politique et l’économie du pays. Mais tout cycle a une fin. L’émergence d’un Trump triomphant en 2024 marque la transition vers une nouvelle phase : l’absolutisme. L’administration actuelle subit une purge profonde, et le pouvoir se concentre autour d’une figure forte, balayant les anciennes structures.
Cette mutation n’a rien d’exceptionnel. L’histoire montre que toutes les grandes nations passent par des étapes similaires. Les États-Unis, plus jeunes que leurs homologues européens, suivent simplement leur propre rythme. Loin d’un « retour en arrière », ce changement marque une évolution naturelle dans leur développement.
Un bouleversement politique et géopolitique
L’entrée dans la phase absolutiste implique un recentrage du pouvoir et une redéfinition des priorités nationales. Sur le plan intérieur, cela signifie une reprise en main des institutions, un affaiblissement des contre-pouvoirs et une gouvernance plus autoritaire. Sur le plan extérieur, les alliances traditionnelles vacillent et une nouvelle doctrine stratégique émerge.
L’Europe, vieillissante et enfermée dans un parlementarisme épuisé, peine à comprendre ce basculement. Le rejet de Trump par les élites européennes découle de cette incompréhension. Ce que l’Europe perçoit comme une menace est en réalité un passage obligé dans l’évolution des États-Unis. Ce réalignement américain aura des répercussions mondiales : réorganisation des alliances, refonte des rapports de force, redistribution des rôles entre grandes puissances.
Une lecture historionomique incontournable
L’historionomie offre une grille d’analyse claire et implacable. En comparant les trajectoires des grandes républiques du passé, Philippe Fabry démontre que le phénomène Trump n’est ni une anomalie ni une aberration, mais une nécessité historique. La superpuissance américaine entre dans une nouvelle ère, et le monde doit s’y préparer.
Ce basculement va redéfinir la politique intérieure américaine, mais aussi remodeler l’ordre international. L’étude des cycles historiques permet d’anticiper ces bouleversements et d’en saisir la portée. Plus qu’une simple alternance électorale, c’est un changement de paradigme qui s’opère sous nos yeux.
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Le 9 mars 2026, GPTV Investigation vous proposait un nouveau micro-trottoir. Mickaël est allé à la rencontre des Français pour recueillir leurs avis sans filtre au sujet des tensions créés par le conflit en Ukraine.
Un conflit qui divise l’opinion
Depuis plus de deux ans, la guerre en Ukraine fracture l’opinion publique et les élites politiques. L’UE et les États-Unis soutiennent Kiev financièrement et militairement, tandis que d’autres appellent à une issue diplomatique, comme Donald Trump.
Mais cette guerre peut-elle être gagnée par l’Ukraine ? L’Europe peut-elle poursuivre son engagement ? Comment éviter une escalade incontrôlable ?
L’impasse du financement occidental
Les milliards versés à l’Ukraine depuis 2022 n’ont pas renversé le rapport de force. Après une contre-offensive infructueuse en 2023 et des pertes massives, Kiev peine face à une Russie qui renforce sa production militaire et résiste aux sanctions.
Les économies occidentales subissent de plein fouet les conséquences du conflit : inflation, explosion des coûts de l’énergie, budgets militaires en hausse. Les citoyens voient leur niveau de vie chuter pendant que leurs dirigeants investissent des milliards dans une guerre sans issue claire.
Malgré ces doutes, Emmanuel Macron et d’autres dirigeants veulent aller plus loin. Le président français a même évoqué un engagement militaire direct, choquant jusque dans son propre camp. L’Europe est-elle prête à entrer en guerre contre la Russie ?
Donald Trump et la solution diplomatique
Donald Trump défend une approche différente. Il affirme pouvoir mettre fin à la guerre en négociant avec Vladimir Poutine, estimant que ce conflit ne concerne pas directement les États-Unis et qu’il n’y a pas lieu d’y engloutir des ressources infinies.
Cette position séduit une partie de l’opinion, notamment en Europe, où le soutien à Kiev s’effrite face aux difficultés économiques. Pour beaucoup, la diplomatie est la seule issue raisonnable.
Mais Trump est-il sincère, ou cherche-t-il simplement à utiliser le conflit comme levier pour négocier avec la Russie ? Son approche marque en tout cas une rupture avec la ligne actuelle de l’administration Biden et de l’Union européenne.
L’Europe face à une guerre impossible à mener
Les déclarations de Macron sur l’envoi de troupes en Ukraine ont provoqué un tollé. Beaucoup dénoncent une escalade irresponsable menant l’Europe vers un conflit direct avec la Russie.
Mais la réalité est implacable : l’Europe n’est pas prête pour une guerre. Après des décennies de sous-investissement, ses armées manquent de moyens. Un ancien militaire l’affirme : « La jeunesse occidentale n’a aucune préparation militaire. Nos soldats sont peu nombreux et sous-équipés. Nous ne sommes pas prêts à affronter une puissance comme la Russie. »
Dans ce contexte, l’attitude belliqueuse de certains dirigeants européens semble déconnectée de la réalité. Une issue diplomatique apparaît comme la seule alternative viable.
L’Europe peut-elle éviter une escalade fatale ?
L’UE, largement alignée sur Washington, peut-elle encore mener une politique étrangère indépendante ? Poursuivre le financement de l’Ukraine sans objectif clair, ou négocier une paix qui protège ses intérêts : le choix est crucial.
Pour comprendre les véritables enjeux et sortir du discours officiel, plongez dans votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde.
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Le 9 mars à 2025, Mike Borowski s’attaquait aux journalistes de France TV et à leur train de vie plus que douteux sur Géopolitique Profonde.
Un train de vie digne de la haute bourgeoisie
La révélation des avantages scandaleux dont bénéficient les journalistes du service public suscite l’indignation. 1 000 salariés disposent d’une carte bancaire « corporate », leur permettant d’effectuer des dépenses faramineuses chaque mois. Ces cartes de paiement, censées être utilisées pour des frais professionnels, sont en réalité détournées pour des dépenses personnelles, une pratique désormais confirmée par la direction elle-même.
Face à la polémique, France Télévisions a dû reconnaître une « recrudescence d’utilisation à des fins personnelles », ainsi qu’une « augmentation des impayés imputés sur le compte bancaire » du groupe. Autrement dit, des salariés ont librement puisé dans l’argent public pour couvrir leurs plaisirs personnels, sans même prendre la peine de rembourser leurs excès.
Dans un pays où les classes moyennes et populaires subissent de plein fouet l’inflation, où des millions de Français peinent à boucler leurs fins de mois, ces révélations sont une véritable provocation. Elles exposent un système d’entre-soi où le service public médiatique fonctionne comme une oligarchie, profitant sans scrupule d’un budget de 4 milliards d’euros alimenté par nos impôts.
Un gouffre financier entretenu par l’argent public
Ce scandale n’est que la partie émergée de l’iceberg. L’audiovisuel public est un fossé financier abyssal, qui ne survit que grâce à la manne fiscale. En plus de ces cartes bancaires « corporate », les journalistes bénéficient de déductions fiscales allant jusqu’à 7 500 euros sur l’impôt sur le revenu, un avantage réservé à une caste protégée.
Comment justifier de tels privilèges quand France Télévisions accumule des pertes colossales ? En 2024, le déficit s’élevait déjà à 41 millions d’euros, et rien ne semble pouvoir freiner l’hémorragie. Mais plutôt que de remettre en question ce modèle économique moribond, l’État continue de renflouer cette machine de propagande.
Ce gaspillage est d’autant plus choquant que France Télévisions, loin d’être un service d’information neutre et rigoureux, est devenu un organe de propagande au service du pouvoir. La ligne éditoriale, formatée et bien-pensante, sert à imposer un récit unique aux Français, tout en méprisant les opinions dissidentes.
Une caste protégée par l’impunité et le silence médiatique
Si un tel scandale éclate aujourd’hui, c’est parce que les chiffres sont devenus trop énormes pour être cachés. Pourtant, ces pratiques sont connues depuis des années et rien n’a jamais été fait pour les stopper. Pourquoi ? Parce que les journalistes qui bénéficient de ces largesses sont les mêmes qui contrôlent l’information.
Les médias traditionnels, financés en grande partie par des subventions publiques, n’ont aucun intérêt à dénoncer un système dont ils profitent eux-mêmes. Pendant que les contribuables payent, cette élite journalistique continue de jouir d’un train de vie extravagant sans jamais être inquiétée.
Ce scandale est une preuve de plus que le service public audiovisuel n’est qu’un outil au service d’une oligarchie déconnectée du réel, qui impose sa vision du monde tout en vivant sur le dos du peuple.
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Le 9 mars 2025, Lucien Cerise, Antoine Cuttitta et Sylvain Ferreira étaient les invités de Nicolas Stoquer, dans le Libre Journal de Géopolitique Profonde.
Lucien Cerise est un auteur français, docteur en philosophie et spécialiste de l’ingénierie sociale. Il a publié plusieurs ouvrages dont Ukraine : La guerre hybride de l’OTAN.
Antoine Cuttitta est le fondateur de l’Alliance Humaine, organisation engagée dans la défense des valeurs humaines et sociales. Il œuvre pour une société plus juste, en prônant l’autonomie, la solidarité, et le respect des libertés individuelles.
Sylvain Ferreira est un historien militaire français, spécialisé dans l’art de la guerre et son évolution de 1850 à 1945. Spécialisé dans l'impact de l’ère industrielle sur les combattants, il a contribué à plusieurs revues d’histoire militaire. Il a récemment publié La bataille de Marioupol : 25 février – 20 mai 2022.
L’Europe s’enfonce dans un conflit qu’elle ne contrôle pas
Tandis que Washington ajuste sa stratégie face à la Chine, les élites européennes continuent d’alimenter la guerre en Ukraine, sacrifiant les intérêts de leurs propres populations.
Cette fuite en avant repose l’incapacité à tirer les leçons des échecs militaires et une soumission totale aux dogmes néoconservateurs de Washington.
L’Ukraine, instrument de l’OTAN contre la Russie
Depuis 2014, l’Ukraine est un outil occidental. Loin d’être un État souverain, elle est le bastion avancé de l’OTAN contre Moscou. Son régime repose sur des milices tolérées et financées par les États-Unis et l’UE. Cette guerre n’a jamais eu pour but de défendre la démocratie, mais d’affaiblir la Russie en sacrifiant l’Ukraine.
L’Occident masque cette réalité avec une propagande permanente. Comme lors de la crise sanitaire, la peur est utilisée pour imposer des mesures absurdes. Pendant que les citoyens subissent l’inflation et la crise énergétique, une minorité oligarchique engrange des profits massifs grâce aux contrats d’armement et aux marchés de reconstruction promis à l’Ukraine.
Washington recule, l’Europe s’obstine
Le scandale entre la Maison-Blanche et Kiev révèle un tournant stratégique. Washington comprend que l’Ukraine est un poids mort et veut réorienter ses efforts contre la Chine. Les élites européennes, elles, restent enfermées dans une vision idéologique déconnectée de la réalité militaire.
La stratégie de l'OTAN, inspirée des doctrines allemandes de la Seconde Guerre mondiale, ignore la profondeur stratégique russe. Ce biais mène à une impasse : l’Ukraine s’effondre sous les coups de Moscou. Pourtant, l’Europe persiste et s’enlise toujours plus dans une guerre qu’elle ne peut ni gagner ni contrôler.
L’Europe, dernière victime de la guerre impériale
Alors que les États-Unis cherchent une sortie, l’UE s’engage dans un conflit qui la condamne à la ruine. Ce n’est pas sa guerre, mais elle en paie déjà le prix. Sous prétexte de soutenir l’Ukraine, elle sacrifie son économie, sa souveraineté et sa stabilité politique. L’austérité imposée aux peuples, l’explosion des dépenses militaires et la soumission à Washington aggravent une situation déjà intenable.
L’Histoire se répète : l’Ukraine sera abandonnée, comme tant d’autres pions impérialistes avant elle. Mais cette fois, l’Europe risque de sombrer avec elle dans une spirale de déclin dont elle pourrait ne jamais se relever.
Décryptez les véritables enjeux de cette guerre et l’impasse stratégique de l’Occident avec votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde.
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Le 8 mars 2025, Hervé Juvin et Laurent Artur Du Plessis étaient les invités de Nicolas Stoquer, sur Géopolitique Profonde !
Hervé Juvin est un essayiste, économiste et homme politique français. Spécialiste des questions de souveraineté, d’économie locale et d’identité culturelle, il critique le mondialisme et défend un retour aux frontières pour préserver les nations et leurs traditions. Il prône la fin du gouvernement des juges et la primauté de la démocratie directe sur les élites technocratiques. Son engagement repose sur une vision enracinée de l’Europe, axée sur le localisme, la réindustrialisation et l’autonomie stratégique.
Laurent Artur du Plessis, analyste spécialisé en relations internationales, explore dans Au cœur de la 3e guerre mondiale, les tensions géopolitiques et les stratégies des grandes puissances, mettant en lumière les répercussions mondiales des conflits actuels.
La fin de la fausse Europe de Bruxelles
L’UE n’a plus d’influence. Alors que Macron cherche un rôle à Washington et Ursula von der Leyen tente d’exister en Ukraine, le régime de Kiev s’effondre. Les négociations entre la Russie et les États-Unis se font sans l’Europe, reléguée au rang de figurant.
L’Otan, colonne vertébrale de l’UE, s’effondre. L’alignement sur les États-Unis a vidé l’Europe de toute autonomie. Soumise aux diktats de Bruxelles, elle est devenue une entité technocratique incapable de défendre ses peuples.
Guerre économique et faillite européenne
Le monde bascule dans le protectionnisme et les confrontations commerciales. Les blocs économiques se renforcent et seuls ceux ayant une industrie solide peuvent survivre. L’Europe, affaiblie par des décennies de libéralisme et de désindustrialisation, est incapable de rivaliser.
Alors que les États-Unis et la Chine investissent dans leur réindustrialisation, Bruxelles asphyxie son économie par des réglementations excessives et un dogmatisme écologiste. Le libre-échange a détruit la compétitivité européenne, et seule une rupture radicale peut éviter l’effondrement.
Un retour au nationalisme économique est inévitable : restaurer la souveraineté industrielle et agricole, rétablir des barrières tarifaires et mettre fin au sacrifice des intérêts européens au profit du mondialisme.
Le choc conservateur venu des États-Unis
Les États-Unis amorcent un tournant. Le rejet du wokisme et de l’idéologie progressiste s’accélère. Le Trumpisme dépasse le cadre électoral et devient une révolution culturelle, annonçant une remise en cause du modèle mondialiste en Europe.
Les droites européennes, enfermées dans un néo-libéralisme stérile, vacillent. Face à l’échec des élites progressistes, le retour aux valeurs traditionnelles et à l’identité nationale devient une nécessité.
Hervé Juvin défend le localisme et la fin du gouvernement des juges comme solutions. Seule une reprise en main nationale peut rendre aux citoyens leur souveraineté et sortir l’Europe de l’impasse bruxelloise.
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Le 8 mars 2025, Mike Borowski dénonçait l’escalade belliciste de Macron, totalement soumis à l’OTAN, qui sabote toute solution diplomatique et entraîne la France dans une confrontation directe avec la Russie, au service des élites mondialistes, sur Géopolitique Profonde.
Macron, instrument de l’État profond
Emmanuel Macron s’est aligné sur l’agenda atlantiste, intensifiant le soutien français à l’Ukraine non pour la défense, mais pour affronter directement Moscou. Son discours sur une possible intervention de troupes européennes marque un tournant : la France franchit la ligne rouge.
Cette escalade n’est pas un dérapage, mais un schéma récurrent où les conflits sont justifiés par la défense des valeurs démocratiques, alors qu’ils servent les intérêts impérialistes américains.
Les militaires français alertent sur une guerre ingagnable qui transformerait l’Europe en champ de bataille. Mais Macron persiste : maintenir la pression sur Moscou et prolonger la guerre sert les élites mondialistes, prêtes à sacrifier la sécurité de l’Europe pour asseoir leur contrôle.
Le rôle de la France et du Royaume-Uni
En 2022, un accord de paix entre la Russie et l’Ukraine était envisageable. Sous l’impulsion de la Turquie, les négociations incluaient la neutralité de l’Ukraine et un règlement sur les régions séparatistes.
Mais cet accord a été saboté par les Occidentaux, en particulier Londres et Paris, sous ordre de Washington. Boris Johnson a exigé que Zelensky rejette tout compromis, promettant une aide militaire massive et une victoire totale.
Macron a suivi sans discuter, multipliant livraisons d’armes et déclarations hostiles, refusant toute issue diplomatique. Cette stratégie n’a eu qu’un effet : transformer la guerre en conflit d’usure pour affaiblir la Russie et maintenir une instabilité en Europe.
Les populations ukrainiennes et européennes paient le prix de cette stratégie irresponsable, tandis que l’industrie de l’armement et les cercles financiers liés à l’OTAN en tirent des profits énormes.
En refusant la diplomatie, Macron et ses alliés ont condamné l’Ukraine à un conflit prolongé et exposé l’Europe à une confrontation directe avec la Russie, aux conséquences potentiellement catastrophiques.
La destitution de Macron, seule issue
Pour éviter un désastre, la seule solution est la destitution de Macron. Son mépris des avertissements militaires, son alignement sur Washington et son entêtement à engager la France dans un conflit extérieur en font un danger national.
Macron ne gouverne plus pour les Français, mais pour les intérêts globalistes. Il applique les directives américaines et européennes, sacrifiant la souveraineté nationale à l’OTAN. Son obsession pour la confrontation avec la Russie ne repose sur aucun intérêt stratégique français, mais sur la volonté d’affaiblir Moscou, quitte à précipiter l’Europe dans le chaos.
L’article 68 de la Constitution française prévoit la destitution du président en cas de manquements graves à ses devoirs. Or, engager la France dans une guerre contre une puissance nucléaire sans mandat démocratique et sans consultation militaire constitue une trahison pure.
Tant que Macron restera au pouvoir, il continuera à servir les intérêts américains et à précipiter la France vers un conflit incontrôlable. Ce n’est plus un débat politique, mais une question de survie nationale. Laisser faire, c’est accepter que la France devienne un pion sacrifié dans la stratégie de l’OTAN.
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Le 8 mars 2025, Gary Laski était l’invité de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde !
Gary Laski, docteur en philosophie est un ancien élève de Chantal Delsol, une philosophe du courant libéral-conservateur. Ses travaux s’inscrivent dans une réflexion critique sur la modernité, le pouvoir et les dérives idéologiques des sociétés contemporaines. Il interroge les mécanismes de domination intellectuelle et politique, dénonçant les formes insidieuses de contrôle social et de manipulation médiatique.
Une démocratie confisquée par une élite invisible
La France n’est plus gouvernée par son peuple, mais par une oligarchie contrôlant institutions, médias et finance sous une façade démocratique. Le véritable pouvoir appartient à une élite administrative et économique qui impose son agenda sans opposition réelle.
Les décisions stratégiques sont verrouillées, indépendamment des élections : l’UE, les multinationales et les groupes financiers dictent la politique, reléguant les élus au rôle d’exécutants. L’État ne défend plus le bien commun, mais sert une caste dirigeante. La haute administration, la justice et les grandes institutions sont noyautées par des technocrates interchangeables partageant les mêmes intérêts.
La séparation des pouvoirs a disparu : l’exécutif contrôle le législatif via les partis, et la justice est instrumentalisée contre toute contestation. Le citoyen est privé de recours face à des décisions imposées au bénéfice des mêmes acteurs.
La tyrannie moderne : censure, surveillance et coercition
Le contrôle de la population repose sur une domination totale. La censure numérique élimine toute pensée dissidente sous couvert de lutte contre la désinformation. Les médias, détenus par quelques milliardaires, façonnent artificiellement l’opinion publique en diffusant un discours unique.
L’État a renforcé son arsenal juridique et technologique pour neutraliser toute opposition. Le fichage numérique, la surveillance des réseaux sociaux, des transactions bancaires et l’usage de caméras intelligentes assurent un contrôle permanent. Les forces de l’ordre sont mobilisées pour réprimer les contestations, criminalisant la dissidence sous prétexte de maintien de l’ordre.
Les restrictions économiques et sociales asservissent progressivement la société. L’État punit les réfractaires en limitant l’accès aux services publics et restreint des droits fondamentaux. La peur devient une arme, incitant à l’auto-censure et à la soumission.
La crise sanitaire, laboratoire d’un pouvoir absolu
Entre 2020 et 2022, la crise sanitaire a servi de test pour l’instauration d’un régime autoritaire sous prétexte d’urgence. Le gouvernement a imposé des mesures liberticides inédites : confinement, couvre-feu, restrictions de circulation, divisions sociales.
L’ingénierie sociale a conditionné la population à accepter l’inacceptable. La peur entretenue par une communication de crise permanente a conduit à l’exclusion des non-vaccinés et à la stigmatisation de toute critique. Cette période a habitué les citoyens à se soumettre à des règles absurdes, ouvrant la voie à de futures restrictions sous d’autres prétextes.
Mais le plus inquiétant est l’héritage de cette période. L’État a pris goût au pouvoir absolu et n’entend pas y renoncer. Les outils de surveillance et de contrôle expérimentés sont désormais intégrés dans le fonctionnement normal du pays : pass sanitaire, identification numérique, restrictions sous couvert de sécurité.
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Le 7 mars 2025, Bojana Kondic Panic et Georges Domergue étaient les invités de La Grande Émission, animée par Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde.
Bojana Kondić Panić, diplômée en économie et relations internationales de l’Université de Banja Luka et ancienne cheffe de cabinet du maire de Laktaši, a été enseignante et traductrice de français. En tant qu’Ambassadrice, elle œuvre à promouvoir les atouts économiques et naturels de la Bosnie-Herzégovine et à renforcer les liens avec la diaspora, notamment l’Union des Serbes de France.
Georges Domergue est avocat.
La fin des accords de Dayton
Signés en 1995, les accords de Dayton ont figé un équilibre fragile en Bosnie-Herzégovine, divisant le pays en deux entités : la Fédération de Bosnie-et-Herzégovine et la République serbe de Bosnie. Ce compromis imposé par l’Occident visait à stopper la guerre sans résoudre ses causes profondes. Aujourd’hui, cet équilibre vacille sous la pression de Milorad Dodik, président de la République serbe de Bosnie, qui veut desserrer l’étau international sur son territoire.
Les sanctions américaines de décembre 2024 contre son entourage et sa condamnation en février 2025 à un an de prison pour avoir refusé de reconnaître l’autorité du Haut-Représentant international, Christian Schmidt, marquent une rupture. Dodik et ses partisans dénoncent une ingérence étrangère et réclament plus d’autonomie, face à un pouvoir central bosniaque verrouillé par l’Occident. La Republika Srpska se radicalise, menaçant de briser définitivement l’illusion de l’unité nationale.
Le Haut-Représentant, outil de domination occidentale
L’Accord de Dayton n’a jamais garanti une souveraineté réelle à la Bosnie-Herzégovine. Depuis la Conférence de Bonn de 1997, le Haut-Représentant international dispose de pouvoirs quasi-absolus, lui permettant de révoquer des élus et d’imposer des lois. Actuellement occupé par l’Allemand Christian Schmidt, ce poste est contesté par les Serbes de Bosnie et par Moscou.
Dodik refuse de plier face à ce diktat institutionnel, ce qui lui vaut d’être ciblé par Washington et Bruxelles. Sa condamnation s’inscrit dans une logique de coercition exercée depuis des décennies sur les dirigeants des Balkans. Dans ce climat tendu, la Republika Srpska se rapproche de la Russie et de la Serbie, tandis que l’Union européenne et les États-Unis multiplient les pressions pour maintenir leur mainmise sur la région.
Vers une nouvelle explosion des Balkans ?
Le retour de l’instabilité en Bosnie-Herzégovine devient une menace tangible. Les tensions ethniques exacerbées, l’instrumentalisation du droit international par l’Occident et la radicalisation des camps opposés rendent le statu quo intenable. L’autonomie croissante de la Republika Srpska, combinée à la répression judiciaire contre ses dirigeants, pourrait mener à une rupture brutale.
La politique étrangère française, alignée sur Bruxelles et Washington, aggrave cette escalade. Emmanuel Macron soutient les forces favorables à une Bosnie centralisée, ignorant les réalités locales. Ce positionnement alimente la crise et fragilise un équilibre déjà précaire. Dans ce contexte explosif, une nouvelle fracture des Balkans semble inévitable.
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Le 7 mars 2025, Mike Borowski vous attendait pour un sujet explosif, sur Géopolitique Profonde.
Xavier Niel : un empire bâti sur un passé trouble
Xavier Niel, magnat des télécoms et fondateur de Free, est l’un des hommes les plus puissants de France. Pilier du capitalisme numérique et acteur-clé des médias, il est aussi un proche du pouvoir. Mais derrière son image de visionnaire, son passé trouble ressurgit.
Le 9 mars, un reportage d’Off Investigation reviendra sur ses débuts dans le Minitel rose et ses condamnations pour proxénétisme, révélant un parcours où sexe et argent ont pavé la route du succès.
Minitel rose : exploitation sordide et controverses
Dans les années 1980, Niel se lance dans le Minitel rose, secteur lucratif mais sulfureux. Off Investigation révèle des pratiques sordides, où des annonces explicites auraient servi d’appâts, exploitant les pires fantasmes pour générer des profits colossaux.
Loin d’un simple service de rencontres pour adultes, ce business repose sur des méthodes controversées. Aujourd’hui, l’homme qui détient une part significative de la presse française et influence l’opinion publique a bâti sa fortune sur une industrie trouble.
Une condamnation passée sous silence
En 2004, Niel est accusé de proxénétisme aggravé et de recel d’abus de biens sociaux. Il est placé en détention provisoire pendant un mois. Ses investissements dans des peep-shows et sex-shops, où la prostitution était pratiquée, éveillent les soupçons.
Si l’accusation de proxénétisme est finalement abandonnée faute de preuves directes, il est reconnu coupable de recel d’abus de biens sociaux et condamné en 2006 à deux ans de prison avec sursis et 350 000 euros d’amende.
À l’époque, cette condamnation fait peu de bruit. Les médias, habituellement friands de scandales, restent silencieux. Quelques années plus tard, Niel rachète plusieurs titres de presse, dont Le Monde, assurant son influence sur l’information en France.
Un réseau trouble au sommet du pouvoir
Niel n’est pas un homme isolé. Financier clé de la campagne d’Emmanuel Macron en 2017, il évolue dans un cercle où figurent Daniel Cohn-Bendit, Olivier Duhamel et d’autres personnalités éclaboussées par des affaires de mœurs.
Cohn-Bendit a tenu des propos ambigus sur des attouchements sur mineurs. Olivier Duhamel a dû se retirer après la révélation de ses actes incestueux. Macron, propulsé par ce réseau, se montre complaisant envers ces figures.
Ce schéma révèle un entrelacement de pouvoir, d’influence et d’omerta médiatique, où la pédocriminalité et le proxénétisme ne sont pas des accidents de parcours mais des réalités couvertes par le silence.
L’immunité par le contrôle des médias
Pourquoi Niel jouit-il d’une telle impunité ? Parce qu’il contrôle une partie essentielle du paysage médiatique français. Co-actionnaire du groupe Le Monde,
Le reportage d’Off Investigation pourrait briser ce silence. Mais combien de temps avant que les révélations ne soient éclipsées par un contre-feu médiatique ? La puissance de Niel ne repose pas uniquement sur sa fortune, mais sur un réseau qui lui assure une protection de fer.
Face à cette machine de propagande, la seule arme est l’information libre et indépendante. Découvrez les vérités cachées derrière les décisions qui façonnent le monde avec votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde.
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Le 7 mars 2025, Marc-Gabriel Draghi et Philippe Herlin étaient les invités de La Matinale, animée par Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde.
Marc Gabriel Draghi est un juriste français spécialisé dans l’histoire du droit. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur la question monétaire et l’histoire du capitalisme, dont Le règne des marchands du temple, Le grand reset en marche ! et La Grande Narration : Vers la mort des Nations.
Philippe Herlin est un économiste français spécialisé dans les questions monétaires et financières. Dans son dernier livre, Bitcoin : Comprendre et investir, il décrypte les enjeux économiques et techniques de cette cryptomonnaie révolutionnaire.Un projet européen délirant de 800 milliards d’euros
Macron a livré un message sans ambiguïté : l’Europe entre en économie de guerre, et c’est aux citoyens de payer la facture. Ursula von der Leyen a annoncé un plan de financement militaire européen à hauteur de 800 milliards d’euros, une somme abyssale qui ne repose sur aucun fondement économique viable. La France et l’Allemagne veulent, en parallèle, exploser leurs budgets militaires, malgré des finances publiques déjà exsangues.
Ce projet ne vise pas seulement à soutenir l’Ukraine, mais à ancrer durablement l’Union européenne dans une logique d’affrontement avec la Russie. Or, les États européens sont surendettés, affaiblis par la crise énergétique et victimes d’une politique inflationniste suicidaire. Face à cet abîme financier, la seule issue trouvée par Bruxelles et Paris est de ponctionner l’épargne des citoyens sous couvert de “solidarité européenne”.
L’épargne des Français en ligne de mireLes signaux ne trompent pas. Depuis des mois, les taux d’emprunt souverains s’envolent, mettant les finances publiques sous pression. Dans le même temps, la BCE assouplit curieusement sa politique monétaire, facilitant ainsi la confiscation déguisée de l’épargne privée. Macron prépare le terrain : après avoir laminé la classe moyenne avec l’inflation et la fiscalité, il s’attaque désormais à l’épargne populaire pour financer la machine de guerre européenne.
Cette stratégie s’appuie sur un discours anxiogène : la “menace russe” est agitée en permanence pour faire accepter des sacrifices inédits. Pourtant, la véritable menace vient des décisions mêmes de Bruxelles et de l’Élysée, qui plongent l’Europe dans une spirale économique infernale. La France, ruinée, finance une guerre qu’elle ne peut pas se permettre, au prix de la destruction du pouvoir d’achat des citoyens.
L’Europe dans la tourmente, l’Amérique en embuscadePendant que l’Europe s’enfonce dans une stratégie de surarmement et d’austérité imposée, les États-Unis profitent de la situation. La guerre commerciale entre les deux blocs s’intensifie : Washington, refusant de voir l’UE jouer un rôle autonome, multiplie les sanctions et les restrictions sur les exportations européennes. L’industrie européenne est étranglée, incapable de rivaliser face aux subventions massives du plan Biden.
L’Europe s’est enfermée dans un jeu où elle ne maîtrise plus rien. Privée de son accès à l’énergie russe, incapable de financer son propre modèle sans taxer ses citoyens, elle devient un vassal stratégique des États-Unis, tout en prétendant défendre une souveraineté militaire illusoire.
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Le 6 mars 2025, Georges Clément, Serge Federbusch et Franck Layre Cassou étaient les invités de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde !
Georges Clément est le président du comité Trump France. Il milite pour le rapprochement entre les droites françaises et américaines, cherchant à renforcer les relations transatlantiques autour de valeurs conservatrices et nationalistes. En 2019, il publie Les Peuples contre les États : La Souveraineté Confisquée, un essai dans lequel il dénonce la centralisation du pouvoir au détriment de la volonté populaire, plaidant pour une restitution des droits aux nations et aux citoyens.
Serge Federbusch, essayiste et homme politique, fondateur d’Aimer Paris, critique des élites et de la gestion publique. Il est l'auteur de Le Sabre et l’Esprit.
Franck Layré-Cassou, passionné d’histoire et napoléonien, est un ancien candidat de Reconquête!, aujourd’hui militant du Rassemblement National.
Trump impose la paix en Ukraine en humiliant Zelensky
De retour au pouvoir, Trump met fin à l’escalade en Ukraine. Il convoque Zelensky à Washington et lui impose un constat brutal : les États-Unis ne financeront plus la guerre. Acculé, Zelensky admet la nécessité de négocier avec Poutine.
Les négociations sous Trump consacrent la reconnaissance de la Crimée et du Donbass comme russes. Privée du soutien américain, l’Europe suit le mouvement. Le complexe militaro-industriel, grand bénéficiaire du conflit, voit son influence réduite.
Trump démontre ainsi que la guerre était une instrumentalisation géopolitique orchestrée par l’État profond. La paix était possible dès le début, mais interdite par les élites mondialistes.
Une purge massive pour écraser l’État profond
Trump s’attaque aussi à la bureaucratie. Dès son retour, il licencie des milliers de fonctionnaires fédéraux, mettant fin au règne des technocrates progressistes.
Il cible les départements de l’éducation, de la justice et de l’environnement, bastions du wokisme. Les universités perdent leurs financements pour les programmes de diversité et inclusion.
Il va plus loin en supprimant la reconnaissance du genre « non-binaire » et en interdisant aux mineurs de changer de sexe. Les lobbies LGBT, surpuissants sous Biden, sont mis en échec. La politique identitaire, outil de division, s’effondre.
Un protectionnisme agressif qui fait trembler l’Europe
Trump relance sa politique de taxes douanières contre l’Europe, l’accusant de profiter d’un libre-échange asymétrique. Ces taxes frappent les secteurs automobile et agroalimentaire, forçant l’UE à revoir sa stratégie économique.
Ce retour au nationalisme économique réduit la dépendance américaine vis-à-vis de la Chine et de l’UE. Les multinationales sont contraintes de relocaliser leur production aux États-Unis.
L’Europe, affaiblie par son mondialisme, subit le choc. Macron et Scholz dénoncent une hostilité, mais n’ont aucun levier contre un Trump qui n’a plus rien à négocier.
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Le 6 mars 2025, Mike Borowski dénonçait l’engagement irresponsable de Macron qui entraîne la France dans une escalade militaire en Ukraine, accélère la militarisation de l’Europe sous commandement français et précipite une guerre économique contre les États-Unis et la Russie, sur GPTV.
Macron engage la France dans une guerre qui ne dit pas son nom
Emmanuel Macron prépare l’opinion publique à une implication militaire accrue en Ukraine. Il dramatise la situation en affirmant que la Russie menace l’Europe, imposant l’idée d’une invasion imminente.
Il justifie cette escalade par des accusations floues contre Moscou : cyberattaques, manipulations électorales, assassinats politiques, sans preuves concrètes. Il cherche avant tout à légitimer une guerre larvée, exigeant des Français qu’ils se mobilisent et acceptent les sacrifices à venir.
Plus grave encore, il évoque une présence militaire européenne en Ukraine. Officiellement après un accord de paix, mais cette idée ouvre la porte à une intervention directe. La confrontation entre l’Europe et la Russie devient une possibilité réelle, sous couvert de garantir un ordre inexistant.
L’Europe devient une armée sous commandement français
Avec le retrait des États-Unis, Macron veut s’imposer comme chef militaire de l’Europe. Il ne se contente plus d’exiger des hausses de budgets, il ambitionne une armée européenne sous direction française, alignée sur Paris et Berlin.
Il aborde aussi la question nucléaire, suggérant que la dissuasion française pourrait protéger d’autres pays européens. Cela renforce son projet de domination stratégique et accroît le contrôle de la France sur la défense du continent.
Derrière ces ambitions, une réalité inquiétante : des investissements massifs dans la militarisation européenne, financés par des coupes dans les budgets sociaux. Une politique qui ne sert ni les Français ni les Européens, mais les intérêts stratégiques de l’Élysée.
Une guerre économique contre les États-Unis et la Russie
L’illusion d’une Europe unie s’effondre. Washington, se désengageant de l’Ukraine, prépare une guerre commerciale contre l’Europe. Donald Trump veut imposer des taxes douanières exorbitantes, affaiblissant encore une économie européenne déjà fragile.
De son côté, Moscou renforce ses alliances avec Pékin et consolide son économie. La France n’a pas les moyens de riposter efficacement aux pressions économiques américaines et aux sanctions contre la Russie, laissant l’Europe piégée entre un allié hostile et un adversaire déterminé.
La confiscation des avoirs russes est un acte de guerre économique aux conséquences lourdes. Moscou répliquera, et d’autres puissances comme la Chine surveillent cette manœuvre risquée. L’Europe prouve ainsi qu’aucun pays n’est à l’abri d’un tel coup de force, ce qui érode la confiance dans son système financier et accélère la transition vers de nouveaux blocs économiques hors de son contrôle.
Macron ne protège pas la France, il l’isole et l’entraîne dans une guerre aux dimensions militaire et économique qui dépasse largement le conflit ukrainien.
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Le 6 mars 2025, Oskar Freysinger, Andy Bussaglia et Youssef Hindi, étaient les invités de La Matinale, animée par Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde.
Youssef Hindi est écrivain, chercheur indépendant et historien de l’eschatologie messianique. Il étudie notamment les origines des idéologies modernes, leur évolution et leur influence sur la politique et la géopolitique contemporaines. Il a récemment publié son dernier ouvrage, co-écrit avec Pierre-Antoine Plaquevent Israël et la guerre mondiale des religions : Géopolitique et millénarisme.
Oskar Freysinger, ex vice-président de l’UDC et parlementaire suisse, a également exercé la fonction de Secrétaire d’État. Aujourd’hui écrivain et chroniqueur, son dernier ouvrage s'intitule Animalia ( éditions Serena).
Andy Bussaglia est un expert en finance et gestion de patrimoine. Titulaire d’un Master II en Finance, il analyse les marchés et contribue à nos publications. Il intervient aussi en tant que chroniqueur financier dans des médias spécialisés.
Trump-Zelensky : une alliance forcée sous la menace
Volodymyr Zelensky, sous pression de Donald Trump, doit accepter un nouvel équilibre dicté par Washington. Trump affiche clairement son retrait progressif du conflit ukrainien, mettant fin au soutien inconditionnel amorcé sous Biden.
L’Ukraine, affaiblie, perd son principal appui logistique et financier. Zelensky tente de rassurer ses alliés, mais l’Europe ne peut compenser l’absence américaine. Pendant ce temps, Macron pousse à une militarisation accélérée et évoque l’envoi de troupes européennes en Ukraine, une déclaration explosive qui expose l’Europe à un affrontement direct avec la Russie.
800 milliards d’euros pour la guerre : qui va payer ?
Face au retrait américain, Ursula von der Leyen annonce un plan massif de 800 milliards d’euros pour renforcer l’armement européen. Mais d’où viendra cet argent ?
La France envisage de puiser dans l’épargne des citoyens, une mesure rappelant la crise chypriote de 2013, où les comptes bancaires avaient été ponctionnés. Cette idée n’est plus un tabou dans les cercles de pouvoir, et l’Europe pourrait suivre cet exemple, imposant aux épargnants un financement forcé de la militarisation.
Privées du soutien américain, les nations européennes doivent désormais autofinancer leur défense, au risque de déclencher une crise sociale majeure, impactant les classes moyennes et les retraités.
L’Europe en mutation
Tandis que Bruxelles s’engage dans une fuite en avant militariste, l’Allemagne et l’Autriche amorcent un virage conservateur. Friedrich Merz (CDU/CSU) coupe les financements aux ONG militantes comme Greenpeace ou Attac, dénonçant leur influence politique. Berlin rompt avec l’ère Scholz pour adopter une ligne plus souverainiste et pragmatique.
L’Autriche suit cette dynamique avec un gouvernement inédit réunissant conservateurs, populistes et écologistes. En Brandebourg et au Burgenland, la polarisation politique s’accentue, illustrant une recomposition européenne.
Cette tendance s’observe aussi en Suisse, où la droite souverainiste a triomphé lors des élections valaisannes.
Gaza, l’oubli stratégique
Pendant que l’Occident se focalise sur l’Ukraine et la Russie, la crise à Gaza s’aggrave. Les bombardements continuent, la situation humanitaire devient dramatique, et le chaos s’installe.
Les médias vous mentent à propos de cette guerre comme ils vous mentent sur tous les autres conflits ! Informez-vous réellement grâce à votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !
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Le 5 mars 2025, Charles Onana et François Martin étaient les invités de La Grande Émission, animée par Mike Borowski sur Géopolitique Profonde.
Charles Onana est un journaliste d’investigation, politologue et essayiste franco-camerounais, spécialiste des conflits en Afrique des Grands Lacs. Il a publié plusieurs ouvrages controversés sur le génocide rwandais et l’implication internationale dans les guerres de la région. Dans Holocauste au Congo : L’Omerta de la communauté internationale, il dénonce l’invasion du Congo par des forces liées à Paul Kagame et le silence complice des puissances occidentales. Il developpe ces thèmes lors de l’émission.
François Martin est un géopolitologue, journaliste et essayiste français, diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, et auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Avec une carrière de 40 ans dans le commerce international de l’alimentaire, il a acquis une expérience considérable sur plus de 100 pays et maîtrise six langues et est connu pour ses analyses pénétrantes sur des sujets internationaux complexes.
Une tragédie aux millions de victimes
La République Démocratique du Congo subit l’une des pires crises humanitaires de l’histoire contemporaine. Depuis les années 1990, les conflits armés ont causé des millions de morts et de déplacés, dans une indifférence internationale quasi totale.
Des rapports de l’ONU et d’ONG dénoncent des violences impliquant des groupes armés congolais et étrangers. Certains parlent d’un génocide silencieux, sans réponse internationale malgré des preuves accablantes de crimes de guerre et contre l’humanité.
Le rôle des puissances étrangères
Des documents suggèrent l’implication de puissances étrangères dans cette instabilité. Les États-Unis, la France et d’autres pays sont accusés d’avoir fermé les yeux, voire soutenu certains acteurs régionaux pour des raisons stratégiques.
Paul Kagame, président du Rwanda, est un allié clé de Washington. Son influence en RDC via l’armée rwandaise et des groupes armés affiliés est largement documentée. Les puissances occidentales lui accorderaient un soutien pour des raisons sécuritaires et économiques, notamment face aux groupes terroristes.
Les ressources minières au cœur des tensions
La RDC possède un sous-sol parmi les plus riches du monde : coltan, cobalt, or, diamant. Ces ressources sont cruciales pour les industries technologiques et énergétiques mondiales. Des groupes armés financent leurs activités par l’exploitation illégale de ces minerais, perpétuant un cercle de violence.
Les grandes puissances, des États-Unis à la Chine, ont des intérêts stratégiques en RDC. Certaines multinationales sont accusées de se procurer des minerais issus de zones contrôlées par des groupes armés, soulevant des questions éthiques et de responsabilité internationale.
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