Episodios

  • Le 27 novembre 2024, Casus Lady, Amir Apostat, Adela et Fabrice di Vizio étaient les invités de La Grande Émission, animée par Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde !

    Maître Fabrice Di Vizio s’est fait connaître comme un fervent défenseur des libertés individuelles et un opposant aux mesures sanitaires prises par le gouvernement français durant la pandémie de COVID-19. Avocat inscrit au barreau de Paris, il s’est imposé dans le paysage médiatique grâce à ses prises de position audacieuses et sa volonté de contester ce qu’il considère comme des atteintes aux libertés fondamentales.

    Casus Lady est une lanceuse d’alerte, une influenceuse politique active sur TikTok et d’autres plateformes. Elle anime également une chaîne YouTube où elle publie des vidéos critiques sur diverses thématiques sociétales et religieuses.

    Amir Apostat est un ex-musulman marocain devenu athée militant. Il partage son parcours et ses réflexions sur la religion à travers des vidéos et des podcasts, notamment sur sa chaîne YouTube « Mémoires d’un apostat marocain » . Il aborde des sujets tels que la critique de l’islam, la liberté d’expression et la laïcité.

    Adela est une lanceuse d’alerte, elle se décrit comme étant une « Ex musulmane, humaniste contre l’obscurantisme et l’autorité religieuse ».

    La République s’attaque-t-elle à la religion catholique pour imposer une société sans foi ?

    Depuis sa naissance, la République française a érodé le poids du catholicisme, perçu comme un frein à la modernité et à la laïcité. Cet affrontement historique semble encore d’actualité en 2024, avec une foi chrétienne souvent critiquée comme archaïque ou réactionnaire. Parallèlement, l’islam devient une nouvelle cible sous couvert de laïcité, bien que les attaques directes soient plus rares, les institutions craignant des accusations d’islamophobie et de fractures communautaires.

    La disparition des religions conduit-elle à l’inversion des valeurs ?

    Dans un monde dominé par le capitalisme et le matérialisme, l’effacement des religions chrétiennes en Occident a laissé place à un individualisme et un relativisme moral croissants. Les valeurs spirituelles, autrefois repères éthiques et vecteurs de cohésion sociale, ont été remplacées par des valeurs fluctuantes, dictées par le consumérisme et le progrès.

    En 2024, l’humanité semble confrontée à une question centrale : peut-elle vivre sans foi ? Si la liberté de se détourner des religions séduit, elle engendre aussi confusion et vide existentiel. Les structures religieuses, incapables d’être remplacées par des idéologies politiques ou économiques, laissent un désenchantement profond où l’homme, malgré ses richesses matérielles, reste en quête de sens.

    Religion et modernité : une incompatibilité illusoire ?

    Les religions sont souvent jugées incompatibles avec la modernité. Pourtant, des traditions comme le catholicisme ont démontré leur capacité d’adaptation, tout en préservant leurs principes fondamentaux. En réalité, ce sont les idéologies républicaines et le capitalisme globalisé qui perçoivent la religion comme un obstacle à leur domination totale.

    La foi est-elle réellement désuète ou simplement marginalisée ? Si l’athéisme progresse, le besoin spirituel humain persiste. Dans un monde saturé de matérialisme, un retour du religieux semble inévitable, comme une réponse à une quête de sens que ni la science, ni le marché n’ont pu combler.

    Approfondissez votre compréhension des enjeux spirituels et sociétaux en recevant votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde.

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  • Le 27 novembre 2024, Aram Mardirossian était l’invité de Nicolas Stoquer sur Géopolitique Profonde !

    Aram Mardirossian, professeur à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, est un historien et juriste franco-arménien. Il est reconnu pour ses travaux sur le génocide arménien et la protection des chrétiens d’Orient. En tant que défenseur des droits de l’homme, il critique la négligence de l’État laïque français envers la christianophobie croissante. Son engagement s’étend à la défense du patrimoine religieux et des croyances chrétiennes, notamment face aux crimes haineux et aux profanations.

    Philippe le Bel : un roi bâtisseur d’État

    Philippe le Bel (1268-1314), roi de France de 1285 à 1314, demeure l’un des souverains les plus controversés et influents de l’histoire. Son règne est marqué par une volonté implacable de renforcer l’État français, quitte à employer des méthodes brutales. Profondément dévot, il ne se plie toutefois pas aux exigences du Vatican. Le célèbre adage selon lequel « le roi de France est empereur en son royaume » trouve en Philippe un parfait défenseur.

    Sous son règne, la monarchie capétienne se détache de l’influence papale. Il humilie le pape Boniface VIII, instaurant un gallicanisme avant l’heure, et établit les bases d’un rapport de force où l’État prime sur l’Église. Philippe est aussi l’architecte des institutions modernes : il pose les jalons de la justice royale, restructure l’armée et centralise le pouvoir, faisant de l’État un outil au service de la nation.

    Les Templiers : une menace pour l’État royal

    Philippe le Bel orchestre en 1307 une opération sans précédent : la rafle des Templiers. Ces chevaliers, à l’origine dévoués à la défense de la chrétienté, deviennent une menace pour l’autorité royale en raison de leur immense richesse et de leur influence politique. Le roi les accuse d’hérésie et engage un procès retentissant, marqué par des confessions extorquées sous la torture.

    La destruction de l’ordre des Templiers marque un tournant dans l’histoire de France : pour la première fois, un souverain utilise l’État comme une arme politique contre ses ennemis internes. Cette stratégie montre l’audace et la détermination de Philippe le Bel, qui n’hésite pas à sacrifier des institutions anciennes pour préserver et renforcer son pouvoir.

    La malédiction de Philippe le Bel et son héritage

    La légende veut que Jacques de Molay, dernier grand maître des Templiers, ait maudit Philippe le Bel et sa lignée avant d’être brûlé sur le bûcher en 1314. Quelques mois plus tard, le roi meurt subitement, et la dynastie capétienne s’éteint peu après.

    Malgré ce sombre épilogue, l’héritage de Philippe le Bel reste considérable. Il ancre l’idée d’un État fort et centralisé, servant une finalité supérieure : la défense de la nation française et du christianisme. Contrairement à la République, souvent perçue comme antichrétienne, Philippe voit dans l’État un moyen de protéger les valeurs spirituelles tout en affirmant l’indépendance nationale. Sa vision souverainiste et pragmatique continue de nourrir les débats sur la relation entre pouvoir, religion et nation.

    Pour approfondir votre compréhension et vous armer face aux crises à venir, recevez dès maintenant votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.

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  • Le 27 novembre 2024, Oskar Freysinger et François Martin étaient les invités de La Matinale, animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde !
    Ensemble, ils analysaient la montée des vagues populistes qui ébranlent l’Europe et les réactions des élites mondialistes face à cette révolte.

    Oskar Freysinger est un homme politique suisse, ancien vice-président de l’UDC (Union Démocratique du Centre) et ex-élu au parlement suisse. Il a également exercé la fonction de Secrétaire d’État. Aujourd’hui, il se consacre à l’écriture, la traduction et partage ses analyses en tant que chroniqueur.

    François Martin est un géopolitologue, journaliste et essayiste français, diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, et auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Avec une carrière de 40 ans dans le commerce international de l’alimentaire, il a acquis une expérience considérable sur plus de 100 pays et maîtrise six langues et est connu pour ses analyses pénétrantes sur des sujets internationaux complexes.

    La montée du FPÖ en Autriche : un séisme politique

    En Autriche, le FPÖ a obtenu un résultat historique avec 35 % des suffrages dans le Land de Styrie, un bastion traditionnel de l’ÖVP. Ce succès s’inscrit dans une tendance nationale, où le FPÖ atteint 28,8 % des voix aux législatives, symbolisant un rejet des politiques globalistes et une demande accrue de souveraineté. À travers l’Europe, les électeurs se tournent de plus en plus vers des partis prônant la défense des intérêts nationaux contre les institutions supranationales.

    Roumanie : percée pro-russe

    En Roumanie, Călin Georgescu, candidat pro-russe qualifié d’extrême droite par ses détracteurs, a surpris en remportant 23 % des voix au premier tour des présidentielles. Face à lui, Elena Lasconi peine à mobiliser un électorat désillusionné par des années de corruption et de stagnation économique. Cette situation pourrait bouleverser les relations entre la Roumanie, l’Union européenne et l’OTAN, surtout dans un contexte où la Russie gagne en influence dans les Balkans.

    Résistances en Allemagne et Suisse aux politiques globalistes

    En Allemagne, l’Alternative pour l’Allemagne (AfD) progresse, récoltant 16 % des voix aux dernières européennes. Avec une CDU divisée et un gouvernement affaibli, des voix réclament des élections anticipées pour contrer l’ascension de l’AfD.
    En Suisse, le rejet massif de l’initiative « zéro carbone » traduit une défiance croissante envers des politiques écologiques jugées coûteuses et inefficaces.

    Populisme contre mondialisme : un monde à la croisée des chemins

    Ces évolutions politiques traduisent une mutation globale. Donald Trump polarise encore les débats, inspirant des mouvements souverainistes. Une question s’impose : les élites mondialistes vont-elles se retirer ou tenter une ultime manœuvre pour maintenir leur pouvoir ?
    En France, Emmanuel Macron paraît isolé, critiqué pour ses choix internationaux jugés belliqueux, tandis que le mécontentement social grandit face aux sacrifices économiques et tensions militaires.

    L’Europe se trouve à un carrefour : répondre à la demande croissante de souveraineté ou risquer une fracture durable entre gouvernants et gouvernés.

    Allez plus loin dans l’analyse des grands bouleversements grâce à la revue mensuelle Géopolitique Profonde.

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  • Le 26 novembre 2024, Myriam Palomba, Laurence Beneux, Sarah Frikh et Jean-Luc Robert étaient les invités de Mike Borowski sur Géopolitique Profonde !

    L’ombre des réseaux d’influence

    L’affaire Pierre Palmade dépasse un simple fait judiciaire. L’humoriste bénéficie d’un traitement de faveur, lié à son statut et à ses relations supposées. Bien que les preuves formelles manquent, des spéculations sur des connexions avec des élites politiques ou proches de l’Élysée circulent. Mimi Marchand, experte en communication de crise et proche des sphères présidentielles, est fréquemment citée. Son rôle supposé dans cette affaire illustre les protections dont jouissent les puissants.

    L’enquête judiciaire et médiatique semble avoir été freinée, marquant une différence criante avec des affaires similaires concernant des citoyens lambda. Cette gestion opaque alimente le doute sur l’équité du traitement réservé aux personnalités influentes.

    Une décision qui indigne les victimes

    Malgré une condamnation à deux ans de prison ferme, Pierre Palmade évite l’incarcération grâce à un bracelet électronique. Ce traitement apparaît comme une insulte aux victimes. Les faits, pourtant accablants – conduite sous stupéfiants, récidive, accident mutilant une famille et causant la mort d’un fœtus – auraient entraîné des sanctions bien plus sévères pour un citoyen ordinaire.

    Le parquet avait requis une peine plus lourde, mais les arguments de la défense, fondés sur l’état de santé de Palmade, ont convaincu les juges. Cette décision, perçue comme un exemple de justice à deux vitesses, accentue le sentiment d’injustice parmi les citoyens. Une question persiste : la loi s’applique-t-elle équitablement ou certains bénéficient-ils de privilèges ?

    La fracture entre élites et citoyens

    L’affaire Palmade illustre un malaise profond au sein de la société française. Les citoyens perdent confiance en une justice égalitaire, voyant dans ce cas une démonstration de l’impunité des élites. Des rumeurs évoquent la présence de personnalités influentes aux côtés de l’humoriste avant l’accident, accentuant la suspicion d’un traitement privilégié.

    Les réseaux sociaux et les débats publics s’enflamment, révélant une colère croissante face à cette justice protectrice envers les puissants. Cette affaire transcende le cas personnel de Pierre Palmade pour devenir un symbole des fractures sociales et de la défiance généralisée envers les institutions.

    Pour comprendre les réseaux de pouvoir et les privilèges occultes qui gangrène notre société, découvrez votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Le 26 novembre 2024, Jean-Claude Pascal était l’invité de Nicolas Stoquer sur Géopolitique Profonde !

    Jean-Claude Pascal est un ingénieur français spécialisé en thermodynamique, également reconnu pour son intérêt pour l’alchimie et les traditions ésotériques. Fort de son parcours scientifique, il s’est orienté vers l’étude des pratiques alchimiques, cherchant à relier principes scientifiques modernes et enseignements mystiques. Son approche unique combine rigueur scientifique et exploration spirituelle, mettant l’accent sur la transformation intérieure et les mystères de la matière, avec l’appui de ses connaissances en thermodynamique pour interpréter les traditions hermétiques.

    La Porte Rouge

    Notre-Dame de Paris, joyau de l’art gothique, regorge de détails architecturaux et sculpturaux racontant des récits spirituels et historiques complexes. Parmi eux, la Porte Rouge et le Portail Saint-Étienne se distinguent par leur richesse artistique et symbolique, véritables livres d’histoire gravés dans la pierre, témoins de la foi médiévale et du génie créatif de l’époque.

    Située sur la façade nord de Notre-Dame, la Porte Rouge date de 1260-1270, période d’apogée du style gothique rayonnant. Dépourvue de trumeau, elle était réservée aux chanoines, membres du clergé, pour accéder directement au chœur. Son nom vient de la couleur rouge ornant ses linteaux, symbolisant le sang du Christ et la passion religieuse.

    Le tympan illustre le couronnement de la Vierge, glorification de Marie dans la théologie catholique. Saint Louis et Marguerite de Provence, mécènes royaux, y figurent également, reflétant leur dévotion et leur volonté de légitimer leur règne à travers une symbolique religieuse puissante.

    La voussure encadrant la porte est ornée de scènes de la vie de Saint Marcel, évêque de Paris du IVe siècle et saint patron de la ville. Ces récits, transcrits au VIe siècle par Venance Fortunat, poète chrétien, relatent sa lutte contre le paganisme et sa piété. Ces sculptures ancrées dans l’histoire spirituelle de Paris renforcent l’importance de la Porte Rouge comme symbole religieux et historique.

    Deux témoins silencieux de l’histoire

    La Porte Rouge et le Portail Saint-Étienne ne sont pas de simples ornements de Notre-Dame, mais des récits sculptés qui incarnent les valeurs, les croyances et les ambitions de l’époque médiévale. Ces œuvres mettent en avant des figures majeures de la foi chrétienne, comme la Vierge Marie et saint Étienne, tout en reflétant l’importance politique et religieuse des mécènes royaux et ecclésiastiques.

    La Porte Rouge, dédiée à la Vierge et à Saint Marcel, se distingue par sa simplicité formelle et son symbolisme profond, tandis que le Portail Saint-Étienne impressionne par la richesse de ses détails narratifs et sa composition savamment orchestrée. Ensemble, ces deux portails offrent une vision captivante du mariage entre art, spiritualité et pouvoir à l’âge gothique.

    La cathédrale de Notre-Dame de Paris, à travers ces deux portails, continue de transmettre un message universel : celui d’une foi inébranlable et d’un art qui dépasse les siècles. Ces joyaux sculpturaux demeurent des témoins silencieux de l’histoire, invitant chaque visiteur à s’immerger dans leur beauté et leur signification profonde.

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  • Le 26 novembre 2024, le Général Jean-Bernard Pinatel était l’invité de Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde !

    Jean-Bernard Pinatel est un des rares officiers à avoir accompli une double carrière militaire et civile tout en étant universitaire, enseignant et auteur. Après avoir servi dans les Troupes Aéroportées (chef de section, commandant de compagnie, puis chef du bureau Renseignement et Opérations de la 11ème Division Parachutiste), il cofonde le Groupe Permanent d’Évaluations de Situations (GPES) à la demande de Valéry Giscard d’Estaing. Il quitte l'armée à 50 ans et fonde une entreprise devenue LexisNexis Business Information Solutions, où il est Senior Advisor. Docteur en études politiques, titulaire d’une maîtrise en physique nucléaire, breveté de l’École supérieure de Guerre et du Centre des Hautes Études Militaires, et ancien auditeur de l’IHEDN, il est auteur de plusieurs ouvrages sur les relations internationales et la Défense.

    Trump accélère la paix en Ukraine et affaiblit l’État profond

    Donald Trump reprend en main le dossier ukrainien avec un objectif clair : mettre fin à une guerre jugée inutile, alimentée par les néoconservateurs américains et leurs alliés européens. Par des nominations stratégiques dans la défense et le renseignement, il intensifie les efforts de paix, bouleversant les intérêts de l’État profond. Ce retour de Trump, soutenu par un électorat excédé par les guerres incessantes, illustre l’échec des élites à maintenir leur emprise

    En Europe, les dirigeants persistent pourtant dans l’escalade militaire, alignés sur Washington. La France, notamment, adopte une posture belliciste, avec des déclarations comme celles de Jean-Noël Barrot sur l’usage de missiles à longue portée contre la Russie. Paris s’enferme dans une stratégie risquée, négligeant les bénéfices d’une paix négociée.

    L’Europe impuissante face à un désengagement américain

    L’Europe demeure dépendante de la puissance militaire américaine. Même avec des investissements colossaux, une défense européenne autonome reste une illusion. En cas de retrait des États-Unis, les Européens se retrouveraient vulnérables face à la Russie. Ces limites rendent les appels à une "européanisation" de l’OTAN peu crédibles.

    Certains pays adoptent cependant une approche plus pragmatique. L’Allemagne, fortement dépendante du gaz russe, anticipe une réorientation stratégique. Dès un cessez-le-feu, Berlin cherchera à renouer avec Moscou pour préserver ses intérêts économiques. Les pays du Sud, comme l’Italie et l’Espagne, privilégieront eux aussi la stabilité économique plutôt qu’un

    L’Europe post-conflit prête à renouer avec Moscou

    Une fois la paix établie, l’Europe entamera une réorganisation stratégique. Les pays pragmatiques renoueront rapidement avec Moscou pour garantir leur sécurité énergétique et maintenir leur compétitivité. L’Allemagne jouera un rôle clé dans cette phase, tirant parti de sa capacité à négocier avec le Kremlin. Les pays du Sud suivront, cherchant à préserver leurs économies.

    En revanche, la France risque de subir les conséquences de ses choix idéologiques. En misant sur l’escalade, Paris se coupe des opportunités qui découleront d’une Europe cherchant stabilité et reconstruction. Cette stratégie pourrait affaiblir durablement son influence au sein de l’Union européenne et sur la scène internationale. Alors que Trump redessine l’ordre mondial, la France reste enfermée dans une vision dépassée, jouant un rôle secondaire.

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  • Le 25 novembre 2024, Pierre Hillard et Sylvain Studer étaient les invités du Grand Débat, animé par Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde, sur le thème du sionisme, ses origines, ses implications géopolitiques et spirituelles, ainsi que son rôle dans les rapports entre Israël, les chrétiens et l’Occident.

    Pierre Hillard est docteur en sciences politiques, écrivain, spécialisé dans l’étude du mondialisme. Son dernier ouvrage s’intitule « Comprendre l’Empire Loubavitch ».

    Sylvain Studer, auteur et conférencier, se concentre sur des sujets théologico-politiques. Professeur de français et d’hébreu, il a passé trois ans en Israël pour approfondir ses connaissances bibliques. Ses œuvres, telles que “L’identité de Dieu” et “Pour l’amour du petit reste français”, explorent la spiritualité et la politique.

    Une fracture spirituelle et géopolitique persistante

    Le sionisme, idéologie née à la fin du XIXᵉ siècle sous l’impulsion de Théodore Herzl, demeure l’un des sujets les plus polarisants. Sa concrétisation en 1948, avec la fondation de l’État d’Israël, est célébrée par ses partisans comme un accomplissement historique et spirituel pour le peuple juif, tandis que ses détracteurs dénoncent une dérive politique et géopolitique. Cette idéologie est souvent perçue comme un projet mondialiste à tendance impérialiste.

    Aujourd’hui, le sionisme divise particulièrement dans les milieux chrétiens, où les positions divergent sur le rôle spirituel et politique d’Israël.

    Le clivage chrétien : soutien ou méfiance ?

    Dans le monde chrétien, les positions sur le sionisme varient largement. Les évangéliques américains soutiennent Israël, basant leur position sur une lecture littérale des Écritures. Ils considèrent le rétablissement d’Israël comme un signe eschatologique annonçant les prophéties bibliques. Ce soutien a marqué des décisions majeures, comme la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël sous Donald Trump.

    D’autres traditions chrétiennes, notamment catholiques, adoptent une approche critique et dénoncent une influence excessive du sionisme.

    Jésus et le sionisme : entre théologie et politique

    Le lien entre Jésus-Christ et le sionisme suscite des débats. Les Évangiles sont invoqués pour soutenir des positions opposées. Certains estiment que les paroles du Christ légitiment le lien entre le peuple juif et Israël, se basant sur les promesses de l’Ancien Testament.

    D’autres voient dans le message de Jésus un appel à transcender divisions ethniques et spirituelles, prônant une universalité incompatible avec un nationalisme. Cette divergence illustre que le sionisme dépasse les questions politiques pour toucher les croyances religieuses et identitaires.

    Sionisme : idéologie ou droit légitime ?

    Né d’une aspiration nationale face aux persécutions, le sionisme fait face à des critiques croissantes. Certains le décrivent comme un colonialisme moderne, exacerbé par le conflit israélo-palestinien, où la quête d’un État juif se fait au détriment des droits palestiniens. D’autres y voient un projet hégémonique déséquilibrant l’ordre mondial.

    Ses partisans défendent son unicité : il incarne le droit d’un peuple persécuté à retrouver une patrie après des millénaires de diaspora.

    Le sionisme reflète les tensions globales : est-il un droit légitime ou une idéologie dépassée ?
    La question ultime demeure : Peut-on être chrétien et sioniste ?

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  • Le 25 novembre 2024, Corinne Lalo est l’invitrée de Nicolas Stoquer, sur Géopolitique Profonde !

    Corinne Lalo, journaliste et grand reporter spécialisée dans la santé depuis trente ans, a couvert certaines des affaires les plus marquantes de notre époque : du scandale du sang contaminé au nuage de Tchernobyl, en passant par la controverse de la vaccination contre l’hépatite B et la grippe H1N1.

    Elle est aussi coauteure de Le Livre noir du médicament et Se soigner sans médicaments de A à Z, œuvres incontournables pour comprendre les dangers des produits pharmaceutiques et la recherche de solutions alternatives. Son livre « Les perturbateurs endocriniens : Tout ce qu’on ne vous dit pas« , réédité aux Éditions Le Cherche Midi, offre un éclairage précieux sur cette question de santé publique souvent passée sous silence. Grâce à ses recherches, elle apporte un éclairage important sur l’impact de ces substances chimiques sur notre organisme.

    Les perturbateurs endocriniens : une menace silencieuse

    Les perturbateurs endocriniens, comme les PFAS, bisphénol A et phtalates, s’infiltrent dans notre quotidien via des emballages alimentaires, cosmétiques, vêtements imperméables, etc. Invisibles mais omniprésents, ils persistent dans l’environnement et nuisent gravement à la santé humaine.

    L’Agence nationale de sécurité sanitaire (ANSES) alerte sur les PFAS, surnommés "polluants éternels", qui contaminent l’air, l’eau et les sols. Ces substances provoquent des perturbations hormonales, augmentent les risques de cancer, altèrent le développement des enfants et réduisent la fertilité. Par ailleurs, une étude au Portugal a établi un lien entre le bisphénol A et des maladies métaboliques, comme le diabète, et des troubles cardiovasculaires.

    Malgré ces dangers, leur usage perdure en raison de leur faible coût et de leurs nombreuses applications, notamment pour renforcer la durabilité des produits.

    Réduire l’exposition : des gestes simples

    Voici quelques mesures pour limiter l’exposition aux perturbateurs endocriniens :

    Choisir des produits naturels : Privilégiez des cosmétiques, textiles et produits ménagers sans substances chimiques.Éviter les plastiques : Préférez le verre, l’inox ou la céramique pour les contenants alimentaires. Même les plastiques "sans BPA" restent risqués.Adopter une alimentation consciente : Préférez des produits non transformés et non emballés, idéalement bio ou issus de circuits courts.Filtrer l’eau : Utilisez des filtres à charbon actif ou des systèmes d’osmose inverse pour éliminer les micropolluants.Se fier aux certifications : Recherchez des labels garantissant l’absence de substances nocives.

    Ces gestes réduisent non seulement l’exposition personnelle, mais incitent aussi les industriels à changer leurs pratiques.

    Mobilisation collective : un enjeu urgent

    En France, des réglementations strictes encadrent les substances toxiques, notamment en agriculture et élevage. Cependant, l’Union européenne autorise l’importation de produits non conformes à ces normes, entraînant une concurrence déloyale et affaiblissant les efforts français.

    Face à cette menace, une prise de conscience collective est essentielle.

    Ne laissez pas ces menaces invisibles compromettre votre santé ! Pour mieux comprendre les objectifs de Big Pharma, recevez votre revue mensuelle Géopolitique Profonde.

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  • Le 25 novembre 2024, le Général Didier Tauzin était l’invité de La Matinale, animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde.

    Le général Didier Tauzin est une figure emblématique de l’armée française connu pour son parcours exceptionnel.
    Né à Dakar en 1950, il a gravi les échelons de l’armée de terre pour atteindre le grade de général de division. Sa carrière militaire, marquée par des postes opérationnels et stratégiques, reflète son engagement envers la France et ses valeurs.
    Le général s’est également distingué par son engagement politique, cherchant à apporter son expérience du terrain à la sphère publique.
    Il vient de publier ses mémoires « Apprends lui à aimer la France à en crever ».

    La France face à l’escalade militaire en Ukraine

    Le conflit en Ukraine atteint un niveau de tension inédit. La décision de Joe Biden d’autoriser des frappes ukrainiennes en profondeur symbolise une nouvelle étape dans l’escalade militaire. La France, autrefois médiatrice, adopte désormais une posture alignée sur les intérêts américains.

    Depuis 2022, l’OTAN s’impose comme acteur central du conflit, alimentant une logique de surenchère. Emmanuel Macron, critiqué pour son manque de vision stratégique, poursuit une politique amplifiant les tensions. L’envoi de matériel militaire à Kiev illustre cet alignement sur une logique belliqueuse, loin de l’indépendance gaullienne.

    Une alliance devenue un carcan

    Conçue à l’origine comme une alliance défensive, l’OTAN s’est transformée en acteur agressif, multipliant ingérences et escalades. Son rôle en Ukraine exacerbe les tensions et éloigne toute perspective de paix. En s’alignant sur cette structure, la France renonce à son autonomie stratégique.

    Sortir de l’OTAN apparaît comme une nécessité pour restaurer la souveraineté et renouer avec une politique étrangère alignée sur les intérêts nationaux. Cette stratégie permettrait à la France de redevenir une puissance de médiation et de neutralité, fidèle à son histoire et à ses principes.

    Une armée au bord de la rupture stratégique

    Au sein des forces armées, des voix s’élèvent pour dénoncer l’absence de cap clair. La subordination aux États-Unis et l’abandon d’ambitions souveraines inquiètent. L’armée française doit retrouver son rôle stabilisateur, loin des pressions extérieures.

    Les militaires font face à un dilemme : suivre des directives politiques jugées dangereuses ou défendre une vision stratégique autonome. Une rupture semble inévitable si ces signaux d’alerte persistent. L’opinion publique, hostile à un engagement militaire intensifié, accentue la fracture entre gouvernants et gouvernés.

    Une nation désorientée

    La France traverse une période de désorientation. La méfiance envers les élites politiques atteint des sommets, tandis que les repères traditionnels s’effacent. Le patriotisme, central dans le discours du général Tauzin, pourrait restaurer unité et indépendance nationale.

    Face à une classe politique enfermée dans une logique d’escalade, les citoyens doivent reprendre le contrôle de leur destin. Les militaires, garants d’une certaine souveraineté, pourraient jouer un rôle clé dans cette reconquête. L’enjeu dépasse le conflit ukrainien : il s’agit de préserver l’indépendance de la France face à une guerre qui la dépasse.

    Pour comprendre les bouleversements actuels et mieux vous préparer, recevez votre revue mensuelle Géopolitique Profonde !

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  • Le 24 novembre 2024, Jean-Michel Jacquemin-Raffestin était l’invité de Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde !

    Jean-Michel Jacquemin Raffestin est un essayiste et analyste réputé, spécialisé dans les enjeux de société et de géopolitique, connu pour son style incisif et sans concession. Dans son dernier ouvrage, Ne leur pardonnez pas, ils savent ce qu’ils font – Volume 3, il poursuit sa critique des élites et des structures de pouvoir, dénonçant les manipulations et les dérives politiques qui influencent et dirigent les décisions de nos sociétés contemporaines.

    L’Empire du Mensonge : Les États-Unis, Fauteurs de Guerres Mondiaux

    Depuis leur fondation, les États-Unis ont imposé leur domination via un chaos méthodique : en 248 ans, ils ont déclenché 201 des 248 conflits armés recensés dans 153 régions. Ce bilan unique illustre une stratégie d’ingérence sans précédent. Sous couvert de démocratie et de droits de l’homme, ils privilégient la force brute pour préserver leur hégémonie.

    En 1962, lors de la crise des missiles de Cuba, John F. Kennedy a empêché l’installation de bases nucléaires soviétiques près de ses frontières, un acte salué comme courageux. Aujourd’hui, Vladimir Poutine, en refusant des bases de l’OTAN à ses portes, est qualifié de tyran. Ce double standard révèle une constante : accuser ceux qui défient l’ordre américain tout en poursuivant un agenda impérialiste.

    L’Ukraine : Une Crise Orchestrée par les États-Unis

    Les tensions en Ukraine s’inscrivent dans une stratégie américaine visant à affaiblir la Russie depuis l’effondrement de l’URSS. Les Accords de Minsk, supposés pacifier le Donbass, servaient en réalité à militariser l’Ukraine, comme l’ont admis François Hollande et Angela Merkel. La guerre était planifiée.

    Les révolutions de Maïdan et la Révolution orange, prétendues populaires, ont été orchestrées par la CIA pour évincer des gouvernements hostiles aux intérêts occidentaux. Transformée en pion géopolitique, l’Ukraine a été sacrifiée sur l’autel des ambitions américaines.

    L’expansion de l’OTAN illustre cette politique. Malgré les promesses de 1993, sous George H. W. Bush, de ne pas dépasser l’Elbe, l’OTAN compte aujourd’hui plus de 850 bases mondiales. Un document signé par la Russie de Boris Eltsine atteste de ces engagements trahis. Exploitant les faiblesses de ses adversaires, les États-Unis ont privilégié leur agenda expansionniste.

    L’Europe : La Victime des Stratégies Américaines

    L’Europe, partenaire historique des États-Unis, subit lourdement leur stratégie. L’explosion des gazoducs Nord Stream, annoncée par Joe Biden, a paralysé l’économie européenne, empêchant toute collaboration entre l’Europe et la Russie. Washington redoute une alliance stratégique entre ces blocs, menaçant son hégémonie.

    En Ukraine, les populations russophones de l’Est subissent depuis dix ans les exactions de milices aux idéologies nazies : tortures, massacres et persécutions. Les médias occidentaux, silencieux, en deviennent complices.

    Cependant, le plan américain rencontre des revers. Les sanctions économiques contre la Russie ont renforcé Moscou, tandis que la France et ses voisins sombrent dans une crise énergétique et économique profonde. Ce fiasco révèle une Europe incapable de défendre ses intérêts face à la soumission à l’agenda américain.

    Ne restez pas prisonnier des récits biaisés des médias traditionnels. Découvrez des analyses approfondies qui dévoilent les véritables stratégies des élites globalistes grâce à votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Le 24 novembre 2024, Mike Borowski décryptait la libération sous caution potentielle de P. Diddy, accusé de crimes graves, face à une justice sous pression.

    Le juge sous pression dans l’affaire P. Diddy

    Sean “P. Diddy” Combs, figure emblématique du rap américain et magnat de l’industrie musicale, est au cœur d’une tempête judiciaire sans précédent. Incarcéré au Metropolitan Detention Center de Brooklyn, il a déposé une troisième demande de libération sous caution le 22 novembre 2024. Cette fois, l’artiste propose une somme record de 50 millions de dollars, assortie d’une assignation à résidence sous surveillance électronique stricte.

    Pourtant, le parquet fédéral reste ferme. Les procureurs accusent P. Diddy d’avoir tenté de corrompre l’enquête en contactant des témoins clés depuis sa cellule, excluant ainsi toute possibilité de libération, même sous conditions strictes. Le juge Arun Subramanian, en charge de cette affaire ultra-médiatisée, doit rendre sa décision définitive d’ici la fin de la semaine prochaine. En attendant, P. Diddy demeure incarcéré, sous haute surveillance, dans ce qui s’annonce déjà comme l’un des procès les plus suivis de l’histoire récente.

    P. Diddy au cœur d’un réseau d’abus et d’exploitation

    Les accusations contre P. Diddy vont bien au-delà de simples délits. Il est poursuivi pour des crimes graves : trafic sexuel, extorsion et exploitation de personnes vulnérables. Selon l’acte d’accusation, ces faits auraient été commis dans le cadre d’un réseau organisé et opérant en toute impunité pendant des années.

    Les témoignages de plus de 120 victimes présumées dressent un tableau accablant. Ces récits, corroborés par des preuves matérielles, décrivent un système sophistiqué d’exploitation dirigé par P. Diddy et ses proches. Ce réseau aurait utilisé argent et influence pour intimider, réduire au silence et protéger ses activités criminelles.

    Le procès, prévu pour mai 2025, s’annonce crucial non seulement pour l’accusé, mais aussi pour l’ensemble de l’industrie du divertissement. Cette affaire met en lumière les abus de pouvoir souvent occultés dans les sphères influentes, où les moyens financiers permettent fréquemment d’échapper aux conséquences légales.

    Les procureurs, inquiets de potentielles manipulations, insistent sur le maintien en détention de l’artiste. Ils estiment que les risques de pressions sur les témoins et d’obstruction à la justice sont trop élevés pour permettre sa libération.

    Une décision attendue

    La décision du juge Subramanian sur la libération sous caution est imminente et pourrait être déterminante à plusieurs niveaux. Une libération, malgré les accusations graves et les preuves avancées, soulèverait des questions sur l’influence de la richesse dans un système judiciaire souvent critiqué pour sa partialité envers les élites. Cela exposerait également les témoins à des risques accrus, compromettant potentiellement l’intégrité de l’enquête.

    En revanche, un refus de libération enverrait un signal fort. Cela démontrerait que, malgré l’influence médiatique et financière de P. Diddy, la justice traite les charges portées contre lui avec sérieux et impartialité. Une telle décision pourrait renforcer la confiance du public dans le système judiciaire, en rappelant son engagement à garantir l’égalité devant la loi, indépendamment du statut ou de la richesse des accusés.

    Ce moment pourrait marquer un tournant pour réaffirmer la crédibilité de la justice américaine, souvent accusée de favoritisme envers les puissants.

    Pour comprendre les dessous cachés de cette affaire explosive et bien d’autres scandales, découvrez votre revue mensuelle Géopolitique Profonde !

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  • Le 24 novembre 2024, Pierre Jovanovic était l’invité de Nicolas Stoquer sur Géopolitique Profonde !

    Pierre Jovanovic est un journaliste économique, éditeur et éditorialiste français, auteur d’essais historiques, théologiques, financiers et politiques. Il anime sa chaîne Youtube Pierre Jovanovic – La revue de presse et vient également de publier 888 : « L’humour noir et les pouvoirs surnaturels du Christ ».

    Une offensive judiciaire sans précédent contre Marine Le Pen et le RN

    Marine Le Pen, leader du Rassemblement National, fait face à un procès majeur sur l’utilisation des fonds européens. Ce dossier, ouvert le 30 septembre au tribunal correctionnel de Paris, vise 25 personnes, dont Marine Le Pen, accusées d’avoir détourné des fonds destinés à rémunérer des assistants parlementaires entre 2004 et 2016.
    Selon les accusations, ces fonds auraient été utilisés pour financer des activités politiques du RN, en violation des règles européennes. Le Parlement européen estime le préjudice à environ 7 millions d’euros.
    Le parquet a requis contre Marine Le Pen cinq ans de prison, dont deux ferme aménageables, une amende de 300 000 euros et une interdiction d’exercer tout ma

    Marine Le Pen modère, Donald Trump s’impose avec fermeté

    Marine Le Pen et Donald Trump ont tous deux affronté des attaques judiciaires visant à affaiblir leur influence. Toutefois, leurs stratégies divergent. Marine Le Pen, dans sa démarche de dédiabolisation, modère son discours pour séduire un public plus large et apparaître comme une alternative acceptable.
    Cette approche vise à réduire les tensions et à rassurer les électeurs indécis. Donald Trump, au contraire, refuse toute modération. Il transforme chaque attaque en outil de mobilisation, consolidant un soutien inébranlable parmi ses partisans.
    Ses critiques du système corrompu et son attitude de défiance galvanisent son électorat, même en période de diabolisation intense.
    La réélection de Trump démontre qu’une posture offensive peut triompher, contrairement à la stratégie de Marine Le Pen qui, en tentant d’élargir son électorat, risque de perdre une partie de son soutien militant. Ces trajectoires opposées illustrent deux visions distinctes de la résistance face à des institutions perçues comme hostiles.

    Le système financier mondial au bord de l’effondrement

    En dehors des enjeux politiques, une crise économique mondiale d’une ampleur sans précédent se profile. Des dettes colossales, l’instabilité bancaire croissante et les manipulations monétaires des grandes puissances mettent le système financier actuel au bord de l’effondrement.
    Cet effondrement n’est plus une hypothèse : il est imminent. La France, sous la contrainte des règles européennes, est particulièrement vulnérable. Les taxes énergétiques en hausse, la dette publique mal gérée et l’incapacité à protéger les intérêts nationaux aggravent la situation. Si aucune décision radicale n’est prise, les conséquences sur les citoyens seront désastreuses.
    La souveraineté économique apparaît comme l’unique solution pour éviter le chaos. Les politiques actuelles, dictées par des institutions déconnectées des réalités nationales, ne répondent plus aux défis à venir.
    Le temps presse pour agir avant que la crise ne devienne irréversible.

    Pour approfondir votre compréhension vous armer face aux crises à venir, accédez dès maintenant à votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde !

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  • Le 23 novembre 2024, Xavier Moreau, Thomas Thomasovitch, Édouard Chanot et Alexis Tarrade vous donnaient rendez-vous pour un nouveau format d’émission sur Géopolitique Profonde !

    Xavier Moreau, ancien Saint-Cyrien et historien diplômé de la Sorbonne, est installé à Moscou depuis plus de deux décennies. Analyste politicostratégique, il dirige la société LinkIT Vostok, spécialisée dans le conseil pour les groupes internationaux en Russie et dans les pays de l’ex-URSS.

    Thomas Thomasovitch, créateur de la chaîne YouTube « Thomasovitch », partage son quotidien en Russie tout en dirigeant l’agence de voyage Aventurusse.

    Édouard Chanot, ancien rédacteur en chef de Sputnik Paris et RT France, anime aujourd’hui l’émission Chocs du Monde sur TVL.

    Alexis Tarrade, entrepreneur et ancien délégué des Républicains en Russie, s’investit pour faciliter l’installation des expatriés français en Fédération de Russie.

    La troisième guerre mondiale n’aura pas lieu
    Vladimir Poutine et le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov ont révisé la doctrine nucléaire, envoyant un message clair à l’Occident : la Russie ne reculera devant rien pour défendre ses intérêts. Mais une 3ème guerre mondiale est peu probable, les conséquences étant trop catastrophiques pour toutes les parties. Tous les acteurs sérieux le savent. Cependant, le fragile équilibre repose sur des négociations incertaines, et le temps presse pour désamorcer cette crise.

    Les tensions entre la Russie et l’Ukraine ont atteint un niveau critique, avec des implications géopolitiques majeures. L’utilisation de missiles ATACMS et de Storm Shadow par le régime de Kiev, approuvée par Joe Biden, a provoqué une escalade inquiétante. Ces frappes augmentent le risque d’une confrontation directe avec Moscou.

    Le wokisme : un mouvement en fin de vie ?

    Le wokisme, longtemps perçu comme un moteur de progrès social par les élites mondialistes, semble aujourd’hui perdre de son influence. Aux États-Unis, les dernières élections révèlent un rejet croissant de cette idéologie, au profit de préoccupations plus immédiates. Inflation, flambée des prix et tensions sur l’emploi captent désormais l’attention des citoyens, reléguant les débats identitaires au second plan. Et c’est tant mieux !

    Donald Trump, fidèle à son style provocateur, a annoncé son intention de bannir des écoles américaines toute forme de « propagande gauchiste wokiste », affirmant vouloir protéger les enfants d’une influence subversive. Son élection traduit une prise de conscience des Américains face à une idéologie jugée dogmatique et mortifère. Ce recul marque-t-il une parenthèse ou le début d’une remise en question durable ?

    Coup de froid pour les politiques climatiques mondiales

    À l’instar du wokisme, la crise financière et l’inflation galopante ont relégué les politiques climatiques au second plan. Trump, fidèle à sa stratégie provocatrice, vient de nommer Chris Wright, qualifié par les médias de « climato-sceptique », à la tête du ministère de l’Énergie.

    Pendant ce temps, Bruxelles persiste dans sa voie controversée. Entre les futurs accords du Mercosur et l’interdiction des voitures thermiques dès 2035, l’Union européenne semble déterminée à fragiliser l’économie des Européens avant de sauver la planète. Ces décisions, pourtant présentées comme bénéfiques, risquent d’aller à l’encontre de leurs objectifs.

    Pour comprendre les bouleversements actuels et mieux vous préparer, recevez votre revue mensuelle Géopolitique Profonde !

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  • Le 23 novembre 2024, Gilles Lartigot était l’invité du Monde Réel, animé par Nicolas Stoquer, sur Géopolitique Profonde.

    Gilles Lartigot est un auteur et conférencier français, reconnu pour son militantisme en faveur d’une consommation alimentaire saine et consciente.

    Il est particulièrement connu pour son ouvrage “EAT – Chronique d’un fauve dans la jungle alimentaire”, publié en septembre 2013 et “EAT 2 – Des morts et des vivants”. Il vient nous présenter son nouvel ouvrage " La jungle alimentaire ".

    Mercosur, une mondialisation qui étouffe nos agriculteurs

    Le Mercosur, cet accord commercial liant l’Union européenne à des pays d’Amérique du Sud, met nos agriculteurs en difficulté. Les produits importés, souvent issus d’exploitations intensives et subventionnées, inondent les marchés à bas prix, concurrençant les productions locales. Résultat : de nombreux agriculteurs français abandonnent, face à une compétition déséquilibrée. Au-delà de l’économie, c’est notre souveraineté alimentaire qui s’effrite. La France, autrefois leader agricole, subit l’impact de cette mondialisation qui favorise des aliments produits dans des conditions bien moins strictes que celles imposées chez nous.

    Nos assiettes en danger : des produits qui font peur

    Les aliments ultra-transformés posent aussi problème : riches en sucres, graisses saturées, perturbateurs endocriniens et toxines, ils nuisent à notre santé. Près de 17 % des adultes français souffrent d’obésité, un problème qui touche surtout les foyers modestes. Ces produits, souvent moins chers, aggravent les inégalités sociales tout en alourdissant notre système de santé. Par ailleurs, leur production a un impact environnemental majeur : emballages plastiques, additifs chimiques et méthodes industrialisées génèrent des pollutions qui affectent l’ensemble de la chaîne alimentaire.

    Élevage industriel : quel prix pour les animaux et la planète ?

    Les produits importés issus de l’élevage intensif soulèvent de graves questions. Les conditions déplorables d’élevage dans certaines régions, sans normes sanitaires ou éthiques, portent atteinte au bien-être animal. Ces pratiques polluent les sols et eaux et contribuent massivement aux émissions de gaz à effet de serre. En Amérique du Sud, la déforestation massive pour cultiver du soja destiné à l’alimentation animale détruit des écosystèmes et menace la biodiversité.

    Changer nos habitudes : et si on reprenait la main ?

    L’alimentation ne devrait pas être une simple routine ou un plaisir immédiat, mais un levier pour protéger notre santé. Acheter auprès de producteurs locaux soutient une économie durable et garantit des produits de qualité. Éduquer les consommateurs sur les impacts des aliments transformés et de l’élevage industriel pourrait entraîner des changements profonds dans nos habitudes alimentaires.

    Il est temps de revoir des accords commerciaux comme le Mercosur pour protéger nos agriculteurs et valoriser une alimentation saine. Encourager les circuits courts et limiter les importations non conformes à nos normes pourrait aider à restaurer notre souveraineté alimentaire. Ce que nous mangeons façonne notre santé et notre société. Protéger nos agriculteurs et privilégier une alimentation éthique, c’est un choix vital pour l’avenir.

    Pour approfondir votre compréhension des crises de santé publique, recevez votre revue mensuelle Géopolitique Profonde, cliquez sur l’image.

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  • Le 23 novembre 2024, Mike Borowski animait une nouvelle édition d’actualité sur Géopolitique Profonde.

    La crise sanitaire et les injections Covid-19 : une interrogation nationale

    Depuis décembre 2019, la pandémie de Covid-19 a bouleversé le monde. En France, la gestion de cette crise a marqué un tournant inédit avec les confinements, le port obligatoire du masque, le pass sanitaire et le QR code. Ces mesures ont transformé le quotidien des citoyens et suscité de vifs débats.

    Parmi ces dispositifs, les campagnes de vaccination massive ont été érigées en principal remède pour sortir de la crise.

    Un coût financier exorbitant

    Le coût de gestion de la pandémie a dépassé 600 milliards d’euros. Cette somme englobe l’achat des vaccins, les aides aux entreprises en difficulté et le soutien aux hôpitaux. Mais l’efficacité et les impacts durables de ces dépenses divisent.

    Les effets secondaires des vaccins anti-Covid-19 restent un sujet sensible. Bien que la vaccination ait progressé à un rythme sans précédent, les discussions sur leur innocuité ont souvent été marginalisées.

    Effets secondaires : un tabou médical ?

    Deux ans après le début de la vaccination, des milliers de personnes signalent des effets secondaires qu’elles attribuent aux injections. En France, plus de 200 000 cas d’effets indésirables ont été rapportés, selon Le Figaro. Ces témoignages incluent des douleurs chroniques, des troubles neurologiques, des myocardites ou encore des paralysies. Les victimes réclament une reconnaissance et une prise en charge, tout en dénonçant un silence médical persistant.

    Pourquoi ce silence ? Certains pointent les pressions économiques et politiques exercées par les laboratoires pharmaceutiques, qui auraient imposé une vision univoque des vaccins, réduisant au silence les voix discordantes.

    L’argent au cœur du débat

    Les bénéfices records réalisés par Pfizer, Moderna et d’autres soulèvent des interrogations sur la finalité de la gestion de cette crise. Ces multinationales ont fait de la pandémie une opportunité économique colossale, tandis que les États, garants de la santé publique, ont servi de relais à leur profit.

    La question demeure : à qui cette crise a-t-elle vraiment profité ? Les 200 000 cas recensés pourraient n’être que la partie émergée de l’iceberg, laissant entrevoir des conséquences sanitaires plus larges à l’avenir.

    Vers une crise de confiance généralisée ?

    Au-delà des chiffres, cette pandémie a profondément modifié la relation entre les citoyens et les institutions médicales. La gestion perçue comme opaque, le manque de transparence sur les effets secondaires et les profits astronomiques des laboratoires ont alimenté une défiance croissante.

    Cette fracture ne se limite pas au domaine de la santé. Elle symbolise une rupture entre les citoyens et des élites accusées de privilégier leurs intérêts au détriment du bien commun.

    La pandémie de Covid-19 restera un tournant historique, révélateur des failles de nos sociétés. Le débat sur les vaccins ne fait que commencer, et ses implications pourraient durer des décennies.

    Ne laissez plus les vérités vous être cachées. Rejoignez la revue Géopolitique Profonde pour comprendre les crises sanitaires et leurs conséquences.
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  • Le 23 novembre 2024, Sarah Frikh était l’invitée de Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde !

    Sarah Frikh est une journaliste, consultante en harcèlement et cyberharcèlement. Elle est également présidente de l’association « Réchauffons nos SDF » qui a aidé près d’une centaine de femmes et enfants et fait plus de 200 mises à l’abri. Elle a lancé en 2017 une pétition sur change.org pour demander des centres d’hébergement pour les femmes SDF, qui a recueilli plus de 404 000 signatures. Elle alerte régulièrement sur la situation de ces personnes en difficulté sur les réseaux sociaux et organise des actions concrètes pour leur venir en aide.

    Les derniers mots de Mounir

    Mounir Saad, jeune étudiant français, avait choisi de poursuivre ses études en Australie, un rêve pour beaucoup, une chance d’explorer de nouveaux horizons. En colocation avec trois amis à Sydney, il menait une vie ordinaire, partagé entre ses cours et la découverte d’un nouveau pays. Rien ne laissait présager le drame qui allait survenir. Une nuit, un appel bouleverse sa mère : « Ils m’ont eu, ils m’ont rasé, ils m’ont humilié, je vais mourir. » Ces mots terrifiants, pleins de détresse, sont les derniers qu’elle entendra de son fils.

    Quelques heures plus tard, le corps de Mounir est retrouvé sans vie, mutilé, sous un train. L’affaire est rapidement classée par les autorités australiennes comme un suicide. Pourtant, pour sa famille, cette version des faits est inacceptable. Qui sont ces « ils » dont il parle ? Pourquoi semblait-il terrorisé ? Et surtout, qu’est-il arrivé entre cet appel et sa mort ?

    Une enquête bâclée

    Les autorités australiennes n’ont montré aucun sérieux dans cette affaire. L’enquête, expédiée en quelques jours, ignore des indices essentiels. Les colocataires, bien qu’étant les derniers à avoir vu Mounir vivant, ne sont pas sérieusement interrogés. Pire encore, la scène du drame n’a fait l’objet d’aucune investigation approfondie. Ce manque de rigueur n’est pas un hasard, mais bien un choix délibéré de minimiser l’affaire.

    Les parents de Mounir dénoncent avec force cette mascarade judiciaire. Les preuves qui pourraient contredire la thèse du suicide sont systématiquement écartées. Aucune expertise indépendante n’a été menée, aucun témoignage recueilli de manière sérieuse. Tout cela montre une volonté évidente d’enterrer cette affaire pour éviter les remous.

    Ce genre d’attitude n’est pas isolé. Trop souvent, les victimes étrangères se heurtent à des systèmes judiciaires locaux qui préfèrent éviter le scandale plutôt que de chercher la vérité. Mounir Saad n’a pas mis fin à ses jours. Il a été assassiné.

    Le combat d’une famille

    La famille de Mounir se bat pour que son décès ne soit pas oublié. Dans leurs témoignages bouleversants, ils exposent les failles du système judiciaire australien et réclament une enquête rigoureuse pour que la vérité éclate. Ils refusent que l’affaire soit réduite à un dossier classé.

    Avec détermination, ils appellent à une mobilisation internationale pour faire pression sur les autorités australiennes. Ils exigent une nouvelle enquête qui respecte la mémoire de Mounir et offre des réponses aux nombreuses incohérences.

    Malgré les obstacles, la famille poursuit son combat, épaulée par une communauté internationale grandissante. Leur objectif va au-delà de leur douleur personnelle : rendre justice à Mounir et à toutes les victimes dont les droits ont été bafoués.

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  • Le 22 novembre 2024, Éric Denécé, le Colonel Alain Corvez et Laurent Artur Du Plessis étaient les invités de La Grande Émission, animée par Nicolas Stoquer, sur Géopolitique Profonde.

    Éric Denécé, docteur en science politique, dirige le Centre Français de Recherche sur le Renseignement (CF2R) et sa société de conseil en Risk Management (CF2R SERVICES). Ancien officier-analyste et spécialiste en intelligence économique, il a occupé divers postes stratégiques dans la défense et la communication internationale, tout en menant des missions sensibles au Cambodge, en Birmanie et dans les pays des « révolutions » arabes. Parallèlement, il a enseigné dans de prestigieuses institutions et publié de nombreux ouvrages sur le renseignement, l’intelligence économique et le terrorisme, récompensés par plusieurs distinctions.

    Le Colonel Alain Corvez, expert en géopolitique, combine une solide expérience militaire et diplomatique. Ancien conseiller stratégique auprès de la Force des Nations Unies au Sud-Liban (FINUL) et des ministères de l’Intérieur et de la Défense, il a développé une expertise approfondie des relations internationales.

    Laurent Artur du Plessis est un analyste reconnu des relations internationales. Dans son ouvrage “Au cœur de la 3e guerre mondiale”, il explore les tensions géopolitiques contemporaines, analysant les stratégies des grandes puissances et leurs répercussions sur l’équilibre mondial.

    Les États-Unis à un tournant

    Alors que l’investiture présidentielle du 20 janvier approche, les États-Unis traversent une période de grande instabilité. L’administration Biden a autorisé des frappes stratégiques en Russie, notamment avec des missiles Storm Shadow visant des officiers russes et coréens. Ces attaques, perturbant la logistique russe, redéfinissent les équilibres géopolitiques en Europe.

    Cette stratégie reflète les tensions internes au sein de l’administration américaine. Tandis que le Département d’État préconise une approche agressive, le Pentagone, prudent, alerte sur les risques d’escalade. Cette division montre une administration tiraillée, menant des choix contradictoires avec des implications pour la sécurité mondiale.

    Les fragilités des élites mondialistes

    Les élites mondialistes cherchent à masquer leurs difficultés en focalisant l’attention sur des menaces externes, comme la Corée du Nord. Cette rhétorique vise à dissimuler les faiblesses technologiques des États-Unis, particulièrement dans les missiles balistiques et hypersoniques, domaines où la Russie et la Chine progressent rapidement. Ces lacunes remettent en question la capacité américaine à maintenir son rôle dominant.

    Une riposte russe ferme

    Face aux actions occidentales, Vladimir Poutine a averti que les pays fournissant des armes à l’Ukraine, comme la France et le Royaume-Uni, pourraient devenir des cibles légitimes si ces armes sont utilisées contre la Russie. Cette position souligne la détermination russe à protéger ses intérêts face à ce qu’elle considère comme une guerre indirecte menée par l’Occident.

    Escalade incontrôlable ?

    Le conflit ukrainien, impliquant de plus en plus les grandes puissances, pourrait entraîner une dégradation rapide de l’ordre international. Les décisions actuelles, notamment américaines, risquent de transformer un conflit régional en un affrontement global.

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  • Le 22 novembre 2024, Mike Borowski analysait comment Vincent Bolloré, Bernard Arnault et Rodolphe Saadé, en contrôlant les principaux médias et l’École Supérieure de Journalisme, orchestrent la censure totale au service de l’État profond et de l’oligarchie française.

    Les médias français sous l’emprise des milliardaires

    La presse en France est devenue une arme aux mains des élites. Les médias ne jouent plus leur rôle de contre-pouvoir. Ils sont désormais sous le contrôle total d’un petit cercle de milliardaires et de l’État profond. Vincent Bolloré, Bernard Arnault et Rodolphe Saadé ont consolidé leur emprise sur les principaux groupes médiatiques du pays. Ils possèdent une liste impressionnante de titres et de chaînes, parmi lesquels Le Parisien, BFM TV, Les Échos, Paris Match, Canal+, C8, Europe 1 et RMC.

    Ce monopole médiatique ne laisse aucune place à l’impartialité ou à l’indépendance. Les informations diffusées sont sélectionnées, modifiées ou purement supprimées si elles ne servent pas leurs intérêts. Ces trois hommes, qui détiennent également des liens étroits avec le pouvoir en place, manipulent l’opinion publique en dictant ce que les Français doivent penser, dire et croire.

    Le pluralisme est mort. La vérité est étouffée.

    Derrière cette domination se cache une stratégie parfaitement orchestrée : contrôler chaque aspect de l’information pour protéger leurs intérêts économiques et politiques. La presse, autrefois perçue comme le pilier de la démocratie, s’est transformée en un outil de propagande, au service exclusif de l’oligarchie française.

    Une école de journalisme transformée en outil de censure

    L’acquisition de l’École Supérieure de Journalisme de Paris (ESJ), fondée en 1899, marque une nouvelle étape dans cette stratégie. Cette institution, autrefois symbole d’impartialité et d’engagement envers la vérité, est désormais sous le contrôle des mêmes magnats.
    Désormais, les futurs journalistes ne seront plus formés à enquêter ou dénoncer, mais à protéger les intérêts de leurs employeurs.
    Le rachat de l’ESJ verrouille encore davantage le paysage médiatique, garantissant l’obéissance des journalistes à des récits prédéfinis. La pluralité des voix dans l’information disparaît, renforçant un système de propagande totalitaire.

    Une démocratie menacée

    Cette concentration médiatique annihile le rôle des médias comme contre-pouvoir. Les scandales sont étouffés, les abus de pouvoir ignorés, et la censure devient omniprésente. Privée d’information libre et honnête, la société française voit sa démocratie fragilisée. Les journalistes, soumis à des pressions économiques et politiques, évoluent dans un environnement où la vérité n’a plus de place. La domination des médias par quelques milliardaires met en péril la liberté d’expression et transforme les citoyens en spectateurs passifs, manipulés par une élite déconnectée.

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  • Le 22 novembre 2024, Gérard Chevrier, Laurent Michelon et le Colonel Jacques Baud étaient les invités de Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, pour La Matinale de Géopolitique Profonde !

    00:33:40 : Gérard Chevrier01:02:00 : Jacques Baud02:50:00 : Laurent Michelon à 9h30.

    Gérard Chevrier, spécialiste du nucléaire, est particulièrement reconnu pour ses contributions sur les sujets liés aux risques nucléaires et à la protection contre les retombées radioactives.

    Jacques Baud est un ancien colonel de l’armée suisse, analyste stratégique, spécialiste du renseignement et du terrorisme. Il a été formé dans les services de renseignement américain et britannique, et a participé à plusieurs missions des Nations unies en Afrique et au Soudan.

    Laurent Michelon est un entrepreneur français en Chine qui partage son temps entre Hong Kong et Pékin. Il est établi dans la région depuis plus de 20 ans, où il a travaillé dans la diplomatie culturelle française et pour plusieurs groupes de communication internationaux. Il est l’auteur du livre “Comprendre la relation Chine-Occident”.

    Les défenses ukrainiennes vacillent face à l'avancée russe

    Les forces russes progressent vers Pokrovsk, un objectif stratégique crucial dans l’est de l’Ukraine. Cette offensive manifeste révèle les difficultés de Kiev à contenir cette pression militaire.

    Dans la région de Koursk, des missiles ukrainiens ont été interceptés près de la centrale nucléaire de Kourtchatov, témoignant de l’escalade des attaques ciblées sur des infrastructures sensibles. La réponse russe, rapide et efficace, souligne la supériorité de Moscou sur le terrain.

    L'arme secrète de Moscou : le missile Orechnik

    Vladimir Poutine a annoncé l’utilisation du missile balistique Orechnik, une arme de haute précision récemment déployée sur un site industriel à Dnipro. Ce développement marque une étape stratégique, affirmant la supériorité technologique russe et adressant un avertissement direct aux soutiens militaires de Kiev.

    Le président russe a averti que toute aide étrangère à l’Ukraine entraînerait des représailles immédiates. L’Orechnik ne se limite pas à son rôle destructeur : il constitue une puissante arme dissuasive, renforçant la pression sur les alliés de Kiev tout en consolidant la position militaire de Moscou.

    Poutine met l’Occident en garde

    Les récents événements autour de Pokrovsk et de Koursk illustrent une stratégie russe implacable. La destruction des infrastructures critiques ukrainiennes et la dissuasion envers les soutiens occidentaux de Kiev en sont les piliers.

    Poutine a menacé d’étendre les frappes aux pays fournissant des armes à l’Ukraine, traduisant sa volonté de riposter à toute escalade extérieure. L’interception des missiles ukrainiens à Koursk démontre le contrôle russe non seulement sur le champ de bataille, mais aussi sur des axes stratégiques vitaux.

    Les frappes ciblées et l’utilisation des nouvelles technologies militaires révèlent une stratégie méthodique pour imposer un rapport de force favorable. En sécurisant ses infrastructures et en projetant sa puissance, Moscou maintient une position dominante face à Kiev et ses alliés.

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  • Le 21 Novembre 2024, Ludovic Malot, Marc Daoud, Frigide Barjot et Andrzej Linowiecki étaient les invités de La Grande Émission, animée par Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde.

    Spécialiste en théologie et en histoire des religions, Ludovic Malot est reconnu pour ses analyses percutantes sur les bouleversements politiques et spirituels de notre époque. Auteur de plusieurs essais, il analyse les liens occultes entre les élites mondialistes et la dégradation de notre civilisation.

    Directeur de publication du magazine bimestriel Nexus, Marc Daoud traite de sujets variés tels que la médecine non conventionnelle, l’écologie, la spiritualité et les théories du complot.

    Figure médiatique et militante, Frigide Barjot est connue pour son engagement en faveur des valeurs familiales et traditionnelles. Ancienne humoriste, elle s’est fait connaître comme porte-parole de la Manif pour tous, mobilisant autour de la défense de la famille traditionnelle, non sans controverses.

    Écrivain et historien polonais, Andrzej Linowiecki est spécialisé dans les mouvements d’opposition en Europe de l’Est, notamment contre le communisme. Auteur de nombreux ouvrages sur la Pologne et le mouvement Solidarnosc, il met en lumière le rôle clé de ces résistances dans la chute du régime soviétique.

    L’incendie de Notre-Dame : accident ou conspiration ?

    L’incendie de Notre-Dame de Paris, en avril 2019, a bouleversé le monde. Bien qu’officiellement déclaré accidentel, il soulève de nombreuses questions et nourrit spéculations et mystères.

    Au cœur de l’énigme : l’entreprise Aubriat

    La société Aubriat, chargée du traitement de la charpente, intrigue. « L’incendie n’a pas pu partir d’un court-circuit. Il faut une vraie charge calorifique pour démarrer un tel sinistre. Le chêne est un bois très résistant », souligne Philippe Villeneuve, architecte en chef de Notre-Dame.

    En 2018, Aubriat applique un gel antifongique sur les poutres de chêne, bien qu’aucune urgence sanitaire ne soit avérée. Ce produit, contenant des substances inflammables comme le thermite 7, pourrait avoir accéléré la propagation des flammes. La fumée jaune, d’abord attribuée au plomb fondu, pourrait aussi s’expliquer par une réaction chimique liée à ce traitement.

    En outre, l'expérience limitée d’Aubriat en restauration de monuments historiques interroge. Pourquoi cette entreprise a-t-elle été choisie ? Pourquoi un traitement potentiellement risqué a-t-il été imposé ?

    Des liens troublants et un mysticisme persistant

    Le directeur d’Aubriat, Édouard Aubriat, alimente les spéculations avec ses propos énigmatiques : « Je n’irais à Paris que pour travailler sur Notre-Dame ». Son logo, perçu par certains comme évoquant des symboles occultes, renforce ces soupçons.

    Au-delà des faits, l’incendie semble chargé de symbolisme mystique. Des prophéties attribuées à Nostradamus y sont liées, et certains y voient une connexion avec Emmanuel Macron, acteur majeur de la reconstruction.

    Vers une enquête sans concessions

    Si des preuves, comme la présence de thermite 7, étaient confirmées, la version officielle s’effondrerait, impliquant des poursuites pénales. L’incendie de Notre-Dame ne peut se limiter à un drame patrimonial : il questionne nos valeurs politiques, spirituelles et symboliques. Une enquête approfondie et transparente est indispensable.

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