Episodios
-
Hyundai, Toyota, Stellantis, Renault mais aussi BMW et bientôt Skoda, en attendant un jour Ferrari... Que ce soit pour la route ou sur piste, avec une pile à combustible ou avec un moteur à combustion, l'hydrogène va se faire une place dans l'auto. Un rendez-vous fixé vers 2030.
-
Un rapport sur la compétitivité de l’Europe a été rédigé par l’ancien Premier Ministre italien, Mario Draghi. Ce document évoque le décrochage du continent dans plusieurs domaines, dont l’automobile. Il est nécessaire d'accompagner de façon globale ce secteur et de restaurer enfin la neutralité technologique au lieu de tout miser sur l'électrique.
-
¿Faltan episodios?
-
L'hydrogène dans l'automobile ? Très mauvaise idée s'indignent les militants de la voiture électrique. Il en faudrait plus pour dissuader le numéro 1 mondial et le spécialiste allemand du Premium. Tous deux considèrent que l'hydrogène a sa place dans l'auto, en complément de la batterie, de l'hybride et du moteur à combustion.
Et en 2028, les deux marques vont sortir des modèles abordables.
-
Si l'Europe vise une sortie du moteur thermique en 2035 et rêve d'un avenir 100 % électrique, le marché n'est pas au rendez-vous. Du coup, les constructeurs replacent l'hybride au centre du jeu pour réduire les émissions. Volkswagen marche anisi dans les pas de Toyota.
-
Soutien officiel de Donald Trump, le patron de Tesla est en pleine dérive. Il minimise le changement climatique et se radicalise. Est-ce bien sérieux de la part du patron d'une marque qui fait des voitures électriques. Un Président ne devrait pas dire ça.
-
Nissan et Honda vont coopérer ensemble dans la voiture électrique et les logiciels. Et Mitsubishi serait prêt à rejoindre le club. Un pied de nez à l'alliance avec Renault et Mitsubishi. L'industrie japonaise, qui est challengée par les chinois, préfère trouver des solutions en interne plutôt que de coopérer avec des occidentaux.
-
Alors que la France se passionne pour les JO, Toyota en profite pour mettre en avant son approche multi-énergies pour la mobilité. Et ce qui est vrai pour la route se vérifie encore plus sur les circuit et en rallye. Le constructeur considère que c'est un super banc de test.
-
Partenaire des Jeux Olympiques, Toyota va déployer plus de 2 600 véhicules, tous électrifiés. Le japonais, qui ne cède pas aux sirènes du tout électrique, estime que plusieurs solutions ont leur place, y compris l'hydrogène. Ca ne plait pas à tout le monde, mais le numéro un mondial de l'automobile assume.
-
Dans la perspective de 2035, qui reste l'objectif pour la fin des moteurs thermiques, la Présidente (réélue) de la Commission Européenne ouvre un peu plus la porte aux e-fuels. Décriés par les uns, considérés comme une niche pour Porsche et Ferrari, ces carburants à base de CO2 et d'hydrogène intéressent en réalité bien plus de monde.
-
Alors que Dacia présente sa nouvelle Spring et que Fiat sort sa Grande Panda, pour renforcer l'offre de Stellantis avec sa C3 électrique, la course est lancée pour des véhicules à batterie à moins de 25 000 euros, voire moins de 20 000 ? Mais peut-on le faire ailleurs qu'en Chine ou dans les pays low cost ? C'est ce que j'aborde dans ce podcast.
-
A partir du 7 juillet 2024, tous les véhicules neufs vendus en Europe doivent intégrer des systèmes de sécurité, souvent utiles mais venant renchérir le prix. Et Bruxelles impose en plus un enregistreur de données en cas d'accident et une protection de cybersécurité.
-
D'aucuns croient que Tesla va pouvoir investir le marché du robot-taxi, déjà bien préempté par Waymo, Cruise et des acteurs chinois (Baidu, Auto X). En Europe, c'est le croate Rimac -le spécialiste de l'hypercar électrique - qui surprend son monde avec la Verne. Cette berline sans volant redéfinit le voyage avec de la sécurité et du confort. Et elle embarque la technologie éprouvée de MobilEye.
-
Alors que le marché de l'électrique ralentit, des propos tenus par un cadre de Volkswagen peuvent laisser penser que le géant allemand revenait en arrière. Mais il n'en est rien. Et le patron des achats de Stellantis est sur la même position. Je l'avais pour invité, récemment, lors d'une émission sur Sud Radio. Explications.
-
L'édition 2024 des 24 h a mis plus que jamais l'hydrogène en avant. Zidane passager de l'Alpine Alpenglow Hy4, la H24 EVO dévoilée en statique au sein d'un village hydrogène de 2 500 m2, la catégorie H2 des 24 h recalée à 2028 avec de l'hydrogène liquide. La semaine a été riche en annonces.
-
Boutons "start" difficiles à trouver, leviers de vitesses pas commodes, écrans avec trop de menus : on a le sentiment que le progrès technique se traduit parfois par un recul. J'ai beau aimer la techno, les constructeurs devraient essayer de simplifier l'utilisation de leurs modèles sur les voitures hybrides et électriques.
-
Renault, Geely, mais aussi Toyota, Mazda et Subaru... Voilà des constructeurs qui pensent qu'il faut continuer à développer le moteur thermique en parallèle de l'électrification. Des moteurs qui ne brûleront pas de carburants fossiles, mais des carburants neutres en carbone.
Ces industriels ont d'ailleurs décidé de lancer des alliances pour développer le moteur à combustion de demain. On vous explique tout cela.
-
C’est vrai qu’avec une dizaine de constructeurs, la thématique automobile était assez visible. Et l’événement cette année, c’était la présence de Tesla avec son Cybertruck. Mais, il y avait aussi BYD, Xpeng, Peugeot, Renault et quelques autres.
-
L'accord entre Stellantis et Leapmotor fait beaucoup parler. Est ce que le groupe dirigé par Carlos Tavares a vendu son âme ? Abandonne-t-il pour autant tout espoir de faire une voiture électrique low cost ? Dans cette chronique, j'explique que les chinois sont de toute façon incontournables, et cela est vrai pour Stellantis comme pour Renault.
-
A l'occasion des 6 h de Spa, Alpine a dévoilé l'Alpenglow Hy4. Il s'agit d'une voiture de course, profilée comme une Hypercar et intégrant un moteur à hydrogène. Une solution qui préserve le bruit et la sensation, la pollution en moins. La verra t on courir un jour aux 24 h du Mans ?
-
Vous pensiez peut-être que la France allait marquer une pause dans l’électrification et peut-être reconsidérer le thermique ? Ce n’est pas du tout ce qui a été convenu entre les pouvoirs publics et la filière automobile. Le nouveau contrat de filière, signé ce 6 mai à Bercy, prévoit au contraire d’amplifier l’effort sur la période 2024-2027
- Mostrar más