Episodios
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Bienvenue dans cet épisode de Thèse ? Antithèse ? Synthèse !
Si vous vous sentez perdu face aux démarches, aux étapes à franchir, ou aux choix à faire pour décrocher une thèse, vous êtes exactement au bon endroit.
Quand et comment peut-on postuler à une thèse ?
Est-ce qu’il y a un bon moment ?
Faut-il passer des concours ? Des entretiens ?
Nous abordons toutes ces questions et bien d’autres dans cet épisode avec nos 3 invités du jour :
- Marie Dinh : Une doctorante en première année à l'INSERM qui a passé 2 concours pour décrocher sa thèse.
- Saniya Kari : Une post-doctorante à l'Institut Cochin qui a passé 20 entretiens pour décrocher sa thèse.
- Erika Dupont : Docteure en histoire de l'art et fondatrice de l'Agence Conseil aux Jeunes chercheurs qui accompagne toute personne souhaitant se lancer dans une thèse sans savoir comment s'y prendre.
Nous avons notamment évoqué :
1. La possibilité de commencer sa carrière de recherche à tout moment et d'envisager une thèse à tout âge.
2. Le manque de clarté du processus d'obtention de thèse.
3. L’absence de moment unique ou "parfait" pour poser une candidature de thèse.
4. Les variations du processus de candidature selon les domaines et les écoles doctorales.
5. La construction du sujet de thèse et la recherche d’encadrants et de financement par les candidats en sciences humaines et sociales.
6. L’importance du réseautage pour trouver des opportunités de thèse, y compris les offres non publiées.
7. L’utilisation de LinkedIn pour l’élargissement de son réseau professionnel.
8. L’initiative de contacter directement les chercheurs qui nous intéressent plutôt que d'attendre leurs offres.
9. L’adaptation du CV et de la lettre de motivation pour chaque candidature, avec mise en avant des compétences pertinentes.
10. La préparation rigoureuse aux entretiens, avec anticipation des questions et présentation du projet de recherche.
11. L'importance de savoir expliquer clairement l'importance scientifique du sujet qu'on défend.
12. La démonstration de la capacité à mener le projet à terme dans les délais.
13. La recherche d’informations sur les écoles doctorales, les laboratoires et les encadrants potentiels avant de s'engager dans une thèse.
14. L'écoute des retours des anciens doctorants pour se faire son avis sur l’encadrement et l’environnement de travail de sa thèse potentielle.
15. La nécessité d’un bon encadrement et du soutien de son directeur pendant sa thèse.
16. La possibilité d'une alternative aux thèses universitaires via les thèses CIFRE en entreprise, souvent moins sélectives sur les notes.
17. La compréhension des différents types de financements et des arguments pertinents pour convaincre les jurys.
18. La capacité des candidats à surmonter les épreuves et à rester motivés malgré les refus fréquents en candidature de thèse
Si vous avez des questions, des remarques, des suggestions, des propositions d'intervenants, etc.. n'hésitez pas à m'en informer en envoyant un mail à [email protected] !
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Bienvenue dans cet épisode très particulier de Thèse ? Antithèse ? Synthèse !
Très particulier puisque j’invite pour la première fois des fidèles auditeurs du podcast à témoigner sur leurs propres expériences.
Cette fois-ci, je vous propose de parler de l’expérience du doctorat quand on décide de le démarrer longtemps après ses études.
Eh oui ! Figurez-vous que tous les doctorants ne sortent pas de master, il y a aussi des doctorants et des doctorantes qui ont enchainé des CDI et qui se sont dit un jour qu’un doctorat ce serait pas mal tout de même...
Alors, pourquoi vouloir se lancer dans undoctorat quand on est déjà loin des études ?
À quel point c’est difficile d’en décrocher un dans ce contexte ?
Comment équilibrer sa vie pro etsa vie perso dans ce cas ?
Nous abordons toutes ces questions et bien d’autres dans cet épisode avec nos 4 invités du jour :
- Ines Zaid : Une Senior Architect qui a décidé de se lancer dans un doctorat en Sciences de l'Architecture à Delft University of Technology après 10 ans de CDI.
- Arnaud Bougaham : Un ingénieur en Data Science qui a décidé de se lancer dans un doctorat financé par son entreprise après 12 ans de CDI.
- Christine Vallin : Une doctorante en Sociologie à l'Université de Lille qui a exercé de nombreux métiers dans le secteur public pendant 33 ans avant de se lancer dans un doctorat.
- Jihane Chaari : Une docteure en Sciences de Gestion qui avait commencé sa thèse dans son entreprise après 12 ans de CDI.
Nous avons notamment évoqué les points suivants :
- Les principales motivations qui poussent à se lancer dans un doctorat bien après avoir fini ses études
(Curiosité insatiable, Recherche d'une prise de recul, Volonté de vouloir tisser des liens avec le milieu académique, Reprendre le temps d'aller au bout des choses, Volonté d'avoir un impact sur l'avenir de son métier, etc.)
- Les difficultés rencontrées par les professionnels qui souhaitent se lancer dans un doctorat (Méconnaissance du milieu académique, Pauvre réseau universitaire, Nécessité de reprendre les études dans certain cas, etc.)
- L'équilibre vie pro/vie perso des professionnels qui se lancent dans uen thèse.
- La façon de gérer la transition (parfois brutales) vie pro → doctorat.
- Le soutien reçu par l'entourage des professionnels qui se lancent dans une thèse.
- Les défis que ces personnes ont rencontrés en retournant à l'université après une longue période dans le monde du travail.
- Les compétences acquises tout au long de leur parcours professionnel qui rendent leur doctorat plus simple à gérer au quotidien.
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¿Faltan episodios?
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Dans cet épisode, nous nous intéressons la thématique suivante : Faire une thèse en sciences du numérique quand on est une femme !
Pourquoi avoir choisi un sujet aussi spécifique ? Après tout, c'est vrai que j'aurais pu faire un épisode plus large comme "faire une thèse quand on est une femme".
Il y a des domaines dans lesquels les femmes sont minoritaires et cela entraîne des expériences encore plus singulières pour elles. Puisque je fais moi-même une thèse en sciences du numérique, cela m'a semblé pertinent d'aborder cette question sous l'angle de ce domaine où il y a un enjeu de fond encore plus important.
Ceci dit, si vous êtes étudiante, doctorante ou docteure dans d'autres domaines, je suis persuadée que l'épisode va tout de même vous plaire et vous apporter des informations intéressantes.
Alors, être une femme et faire une thèse en sciences du numérique, qu'est-ce que ça change ? Quels sont les obstacles, les chances et les défis d'un tel projet ?
Pour en parler, j'ai le bonheur de recevoir quatre invitées exceptionnelles :
- Edwige Cyffers : Doctorante en 3ᵉ année dans l'équipe Magnet de l'Inria Lille
- Manon Mottier : Doctorante en dernière année de thèse en Traitement du Signal et IA à CentraleSupelec
- Hélène Touzet : Directrice de recherche au laboratoire CRIStAL à Lille et Animatrice de la commission "égalité-parité" de ce même laboratoire.
- Isabelle Collet : Professeure à la section des sciences de l’éducation de l’Université de Genève - Directrice de l'équipe G-RIRE : Genre - Rapports intersectionnels, Relation éducative.
Ces invitées nous partagent leurs parcours, leurs ressentis, leurs visions et leurs conseils à travers cet épisode.Vous allez voir qu'être une femme et faire une thèse en sciences du numérique, c'est non seulement faisable, mais aussi enrichissant et épanouissant.
Nous avons notamment évoqué :
- Les difficultés quotidiennes auxquelles les doctorantes sont confrontées - sciences du numérique ou pas - (syndrome de l'imposteur, sexisme, harcèlement, chantage, pression sociale et familiale, sensation d'isolement). Comment y faire face et réagir ?
- La sous-représentation des femmes dans les sciences du numérique.
- Le sentiment d'illégitimité renforcé par les quotas.- La sursollicitation des chercheuses en sciences du numérique.
- Comment prendre sa place/s'imposer et sortir de l'isolement dans un milieu traditionnellement masculin ?
- Les modèles féminins en sciences du numérique : qui sont-elles et comment peuvent-elles inspirer les futures générations de doctorantes dans ce domaine ?
- Exemples de propositions pour rendre l'expérience de la thèse plus agréable pour les doctorantes, toute thèse confondus. (Ex : Mentorat, Lieux de confessions, Se trouver des alliés.)----------------------
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Mettre un terme à sa thèse, cela n'a rien d'évident. Au fur et à mesure que les années passent, nous avons de plus en plus d'idées et tout d'un coup, vient le temps de les synthétiser. Nous devons peu à peu renoncer à la recherche au profit de la rédaction de notre manuscrit de thèse et à la préparation de notre soutenance. C'est à la fois frustrant et angoissant pour tout le monde. Mais alors, comment s'y prendre pour bien finir sa thèse ? Quand doit-on s'arrêter ? Quand doit-on commencer à rédiger notre manuscrit et comment bien le rédiger ? Comment réussir à résumer 3 ans en quelques centaines de pages et une présentation de quelques dizaines de minutes ? Nous répondons à toutes ces questions et bien d'autres dans cet épisode avec nos 4 invités du jour :
- Lina Sami - Doctorante en 3ième année à l'Institut du Cerveau à Paris.
- Mylène Maida (PhD) - Professeure des universités rattachée au laboratoire Paul Painlevé à Lille.
- Estafania Dominguez (PhD) - Docteure en didactique des langues, Fondatrice de "Ma coach de thèse"
- Martha Boeglin (PhD) - Docteure en philosophie - Formatrice & experte en rédaction scientifique (Français, Anglais, Allemand, Espagnol), fondatrice de scriptoria.org
Nous avons notamment évoqué :
- La difficulté de la période de fin de thèse.
- La pédagogie exemplaire des manuscrits de thèses.
- Le choix stratégique de la composition du jury de thèse.
- L'angoisse de la page blanche poussée par le syndrome de l'imposteur.
- La nécessité de connaître et garder en tête ses problématiques et son objectif pendant la rédaction du manuscrit. Connaître son audience permet aussi de mieux jauger le niveau de vulgarisation.
- La nécessité de s'habituer à prendre des notes et rédiger le plus tôt possible. Ne surtout pas hésiter à varier les supports selon ses envies (papiers, bloc-notes, tableau, tablette, ordinateurs, journal, blog, etc.).
- L'alternance entre détente et rédaction pour rester motivé.
- Le risque de la recherche de perfection dans la phase de rédaction.
- L'importance d'homogénéiser ses notations, de rendre transparent la prise de recul de son travail et de laisser transparaître sa personnalité dans son manuscrit de thèse.
- Les échéances et les règles de composition du jury transmises par les écoles doctorales.
- Les échanges très enrichissants avec les jurys de la soutenance de thèse.
- La nécessité de déléguer un maximum l'organisation de la soutenance pour rester concentré sur sa présentation.
- Le passage du stress intense à l'extase une fois arrivé au bout de la soutenance.
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Un grand nombre de doctorants choisissent de se lancer dans une thèse avec l'intention de devenir enseignant-chercheur. Pour atteindre cet objectif, la première étape consiste à consacrer une part importante de son temps à l'enseignement pendant la thèse. Ensuite, il faudra participer à un concours pour décrocher le fameux poste de maître de conférence. Alors, comment se déroule concrètement cette expérience d'enseignement pendant la thèse ? Quelles sont les conditions à remplir pour décrocher un poste de maître de conférence? Quelles sont les implications de ce métier et quelles sont les premières démarches à entreprendre ? Nous répondons à toutes ces questions dans cet épisode avec nos 4 invités du jour !
Martin Rouault, un doctorant en deuxième année qui travaille au sein de l'équipe SIGMA du laboratoire CRIStAL (Centre de Recherche en Informatique, Signal, et Automatique de Lille) et qui est aussi membre du laboratoire de Mathématiques Paul Painlevé de l'Université de Lille. Florian Lecaer, doctorant en 4ᵉ année de thèse au laboratoire du CERGAM, Centre d'Études et de Recherche en Gestion d'Aix-Marseille. Bérengère Denizeau, Maitresse de Conférence à l'ESIT, École supérieure d'interprètes et de traducteurs rattachée au laboratoire CLESTHIA à Paris Christelle Garnier, Maîtresse de conférence à l'Institut Mines Télécom rattaché et chercheuse dans l'équipe SIGMA du laboratoire CRIStAL de Lille.Nous avons notamment évoqué durant l'épisode :
1 - L'effort de pédagogie que nécessite l'exercice d'enseignement.
2 - La difficulté d'animer des cours et de garder la motivation des étudiants.
3 - La préparation des cours pendant la thèse.
4 - L'importance de bien choisir ses cours quand on peut les choisir.
5 - Les conditions à réunir pour devenir maître de conférences.
6 - Recourir à l'enseignement pour financer une thèse dans le domaine des sciences humaines et sociales.
7 - Le trac de donner cours à des étudiants qui ont 2 ans de moins que nous.
8 - La charge de travail monstrueuse en ATER (Attaché Temporaire Enseignement Recherche).
9 - La nécessité de "jouer le flic" pour certains cours.
10 - La possibilité de donner des cours magistraux pour les docteurs en SHS.
11 - La difficulté d'équilibrer enseignement et recherche.
12 - L'importance de faire preuve d'autorité très tôt dans son enseignement pour asseoir sa crédibilité.
13 - Animer ses cours avec des qcms interactifs.
14 - La difficulté des cours L1.
15 - Les attentes cachées pour décrocher un poste de mcf (Implication dans la vie du laboratoire).
16 - La redoutable phase des concours de MCF.
17 - Le tour de France du MCF.
18 - Conseils pour se démarquer en concours de MCF.
19 - Le manque de partage des ressources pédagogiques dans la recherche.
20 - Les formations MCF.
21 - La charge administrative méconnue dans le métier de MCF.
22 - La difficulté de s'organiser dans son quotidien de MCF
23 - La multitude des fonctions exercées par un Maître de Conférences.
24 - Ajuster son contenu pédagogique au rythme des innovations technologiques.
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De plus en plus de doctorants veulent se lancer dans le privé après leur thèse. Cela s'explique en partie par la pénurie de poste dans le secteur académique et la volonté des jeunes chercheurs de travailler dans quelque chose de concret qui va avoir un impact sur la société de demain. Force est de constater qu'il y a toujours un problème pour tous ces jeunes docteurs qui veulent s'insérer dans le privé.
D'un côté, peu d'entreprises valorisent le doctorat. Il faut dire que ce parcours universitaire est assez floue auprès du grand public qui le voit comme un master supplémentaire. D'un autre côté, les jeunes docteurs eux-mêmes ne savent pas valoriser leurs atouts auprès des entreprises. Il y a un donc un super quiproquo qui empêche les uns de comprendre les autres et nous tentons ici de le briser avec :
Calvin Tagne Kaegom, un doctorant en sciences des Matériaux en pleine recherche d'emplois pour son après-thèse. Kevin Duchier, DRH chez Mindflow Marc Godard (PhD), fondateur de Become Better, un accompagnement à la poursuite de carrière dans le privée pour les docteur·es Delphine KAPPS (PhD), Consultante en financement R&D/Innovation & Co-fondatrice de Résalience : booster l'employabilité des PhD 🎓Nous avons notamment évoqué durant l'épisode :
La pénurie de postes dans le milieu académique qui pousse les jeunes docteurs à s'orienter davantage vers l'industrie. La discrimination de certains recruteurs envers les docteurs causée par des biais de type "Un docteur est surqualifié et coûte plus cher qu'un ingénieur". La nécessité de postuler qualitativement plutôt que quantitativement. La honte de cacher son doctorat sur son CV. Le crédit impôt recherche permettant aux entreprises d'embaucher "gratuitement" des jeunes docteurs pendant 2 ans. La méconnaissance du milieu académique par les recruteurs. La capacité des docteurs à plonger dans la théorie et faire preuve de créativité dans l'incertitude. Comment vendre son doctorat auprès des recruteurs ? La nécessité pour les docteurs d'apprendre à communiquer sur leur doctorat, à faire preuve d'empathie vis-à-vis des recruteurs, à apprendre à négocier et à faire des compromis. L'importance du réseautage pendant son doctorat. Apprendre à parler d'à quoi sert nos recherches plutôt de comment on s'y est pris pour les réaliser. La sélection naturelle des entreprises qui veulent innover sans investir dans la recherche. Cultiver un état d'esprit ouvert pour éviter la confrontation et apprendre à donner de soi-même. Valoriser correctement le CIR dans sa recherche d'emploi sans pour autant en faire l'argument principal pour votre candidature. La puissance de Linkedin pour construire son réseau. Apprendre à se détacher de l'aspect technique pour expliquer en quoi notre doctorat est intéressant à un recruteur (Activités et compétences développées). La possibilité pour les docteurs de sous-traiter la recherche d'emplois en passant par des cabinets spécialisés dans le placement des docteurs dans les entreprises. L'importance de bien penser son projet professionnel en amont du doctorat. Se demander comment y arriver plutôt que de se lamenter sur son sort. L'importance de se responsabiliser et de prendre confiance en soi.BONUS :
1 - Je vous mets ci-dessous le lien permettant de télécharger l'Excel listant toutes les entreprises profitant actuellement du Crédit Impôt Recherche : https://data.enseignementsup-recherche.gouv.fr/explore/dataset/organismes-experts-bureaux-2-style-stylistes-agrees-credit-d-impot-recherche-cir/export/
2 - N'hésitez pas à aller jeter un œil à ce post d'Hélène Godin : https://bit.ly/encoreplusdastuce !
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Dans cet épisode, vous allez découvrir comment les chercheurs peuvent se lancer dans l'entrepreneuriat, en combinant leur passion pour la recherche avec l'ambition de créer des solutions concrètes pour la société. Malgré les défis, leur obstination et leur engagement pour faire progresser la technologie restent les ingrédients principaux de leur réussite. Si vous envisagez de devenir chercheur entrepreneur, cet épisode vous offre des conseils et des perspectives inspirantes pour vous aider à franchir le pas.
Les invités de cet épisode sont :
Arthur Lin - Doctorant en sciences de l'Information et de la communication à l'université Gustave Eiffel et Entrepreneur.
Louis Fleury - Principal à Entrepreneur First (Talent Investor)
Frederic Sauvage - Directeur de recherche au CNRS et Entrepreneur.
Hervé Lebret - Codirecteur de l'Inria Startup Studio
Nous avons notamment évoqué dans l'épisode :
Les motivations pour devenir entrepreneur : Les chercheurs partagent leur passion pour la recherche, mais aussi leur désir de voir leurs découvertes bénéficier directement à la société. Devenir entrepreneur leur offre cette opportunité. Le passage du monde académique à l'entrepreneuriat : Les chercheurs qui souhaitent créer leur entreprise doivent faire face à un changement de référentiel. Ils doivent passer de la recherche fondamentale à la vision commerciale d'un produit ou d'un service. Les structures de soutien : L'épisode explore les différentes structures d'accompagnement pour les chercheurs entrepreneurs, telles qu'Entrepreneur First, le CNRS et l'INRIA Startup Studio. Ces structures peuvent offrir une aide financière et des conseils précieux pour mener à bien les projets de start-up. Les compétences nécessaires pour réussir : Les chercheurs entrepreneurs doivent maîtriser la technologie et la vision du développement technologique, ainsi que des compétences en gestion d'entreprise et en vente. La composition de l'équipe : L'équipe est un facteur clé de succès pour une start-up. Les chercheurs doivent s'entourer de personnes complémentaires, qu'ils soient chercheurs ou non, pour mener à bien leur projet. Les difficultés rencontrées : Les chercheurs entrepreneurs doivent faire face à des obstacles culturels, juridiques et financiers. La recherche de financement et la prise de risques sont des défis majeurs. La passion et l'obstination : La passion pour la recherche et l'entrepreneuriat sont des moteurs essentiels pour surmonter les difficultés et persévérer dans l'aventure entrepreneuriale. Les exemples de réussite : L'épisode présente des exemples inspirants de chercheurs qui ont créé des start-ups à succès, mettant en évidence la valeur de l'entrepreneuriat pour transformer des idées de recherche en produits et services concrets.Si vous êtes déjà en doctorat, vous pouvez rejoindre ma newsletter pour exploiter le potentiel de toute cette aventure : https://gerersatheseavecbrio.substack.com/?showWelcome=true
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Dans cet épisode, nous mettons en lumière les moments marquants du doctorat. Ces moments sont évidemment personnels et uniques à chaque individu. Pour traiter ce sujet de manière approfondie, j'ai invité 2 docteurs en sciences exactes ainsi que 2 docteures en SHS à venir témoigner des moments qui ont profondément marqué chaque étape de leur propre doctorat. Leurs récits nous offre un aperçu général des moments significatifs qui ont façonné leur parcours.
Ces fameux invités sont les suivants :
Ryad Belhakem - Data scientist à Quantmetry Camille Cornut - Ingénieure pédagogique à TRALALERE Jean Feydy - CR Inria à HeKA Maria Francesca Gigliotti - Chercheuse à FilboostNous avons notamment évoqué durant l'épisode :
L'expérience longue, difficile mais gratifiante que représente le doctorat. La joie de pouvoir se lancer dans une thèse. L'expérience du premier enseignement : trac et gratitude. La cartographie du savoir réalisée par les doctorants. L'importance de choisir un sujet qui vous passionne et de travailler avec un directeur de thèse qui vous soutient (Cf Episode 6) L'importance de prendre son temps pour construire quelquechose de solide en science : Privilégier la qualité de ses travaux par rapport à la quantité. Le financement SHS plus simple à décrocher pour le domaine de la psychologie par rapport aux autres domaines. La confiance donnée aux étudiants dans la préparation d'un doctorat. La volonté du doctorant de creuser là où personne n'a encore jamais creuser. L'avenir instable et précaire des chercheurs qui rend difficile l'anticipation de leurs avenirs professionnels. Le doctorant : un créateur d'outils à destination des médecins et des ingénieurs. La possibilité de pouvoir contredire ses encadrants de thèses quand on commence à mieux maitriser notre sujet qu'eux. La solitude des doctorants accentuée par l'expérience du covid. MT180 : Expérience de médiation scientifique permettant de rencontrer des doctorants de tout horizons. L'écriture du manuscrit vécue avec plus ou moins de facilités selon les invités. L'importance de prendre des pauses et de se détendre de temps en temps, afin de ne pas se brûler. La volonté d'écrire sa thèse comme un manuel pour transmettre rapidement ses connaissances à des futurs étudiants. Les nouvelles connaissances et compétences apportées par le doctorat. La thèse = moment béni où on peut se concentrer sur sa recherche sans perdre du temps sur des formalités administratives. Le fait que la thèse n'est qu'un moment de la vie, et qu'il y a beaucoup d'autres choses à vivre après.Si vous êtes déjà en doctorat, vous pouvez rejoindre ma newsletter pour exploiter le potentiel de toute cette aventure : https://gerersatheseavecbrio.substack.com/?showWelcome=true
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Dans cet épisode nous parlons des motivations qui poussent certains à se lancer dans une thèse SHS ainsi que les raisons pour lesquelles d’autres choisissent de ne pas en entreprendre une. Pourquoi se lancer dans une thèse SHS ? Pour quoi faire ensuite ? Ce sont ces questions que nous abordons avec nos 3 invités :
Sophie Changeur, Référente du Doctorat Sciences de Gestion à l'Université de Picardie Jules Vernes (UPJV) Michaël V. Dandrieux - PhD. Sociologue de l’imaginaire - cofondateur d'Eranos, enseignant à Sciences Po. Léo Laglenne, Étudiant en M2 à l'Université de Picardie Jules Verne (UPJV) qui poursuit un doctorat en histoire l'année prochaine.Nous avons notamment évoqué durant l'épisode :
Le soutien financier limité, voire inexistant, pour ceux qui poursuivent une thèse SHS. L'influence des antécédents familiaux sur la perception des études universitaires et de la thèse. L'évolution de la perception de la thèse SHS passant d'une vision négative à une appréciation plus positive. Le manque de bienveillance du milieu universitaire envers les doctorants avec des enseignants-chercheurs parfois peu coopératifs. L'expérience personnelle et l'influence des parents qui façonnent la perception de la thèse SHS. L'autonomie et l'exploration personnelle encouragée par l'expérience de la thèse. Le dilemme éthique de l'enseignement pendant la thèse lié à la transmission du savoir. La plus longue durée des thèses SHS selon le domaine. L'exigence du mode de vie particulier de la thèse en SHS. Le rollercoaster du doctorat avec des questionnements sur la bibliographie, l'écriture et la pertinence du sujet. L'abandon nécessaire pour achever sa thèse. La vision globale et la conscience des lacunes de recherche à la fin du doctorat. La difficulté de consacrer plusieurs années à un sujet et de bien s'entendre avec celui-ci. Le doctorat SHS nécessite du temps et contribue à la société. Les docteur.e.s partagent au quotidien leur expertise et rendent des comptes. Le doctorat SHS renforce l'interconnexion avec la société. Les doctorants SHS sont parfois perçus comme non opérationnels. La compréhension de la façon de penser des docteurs peut échapper aux entreprises. Les docteurs SHS parfois considérés comme peu opérationnels. Les docteurs apportent une capacité d'analyse et de reflexion utiles pour des décisions à long terme. Les docteurs sont confrontés au défi d'évolution de la pensée et à l'approche de la complexité en entreprise. Une fierté et un sentiment d'accomplissement sont ressentis avec l'obtention du doctorat.Si vous êtes déjà en doctorat, vous pouvez rejoindre ma newsletter pour exploiter le potentiel de toute cette aventure : https://gerersatheseavecbrio.substack.com/?showWelcome=true
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Fonder une famille pendant son doctorat, c'est un sujet tabou ! Comment concilier les exigences du doctorat avec les responsabilités parentales ? Comment la gestion de sa vie de famille influence-t-elle le doctorat ? Quelles sont les principales difficultés auxquelles doivent faire face les parents doctorants ? Nous abordons toutes ces questions avec nos 2 invités du jour :
Olivier Cadeau, Doctorant en neuropsychologie de l'enfant à l'Université d'Angers Anais Thomas, Docteure en biologie & écologie des forêts et agrosystèmes (diplomée de l'Université de Lorraine)Nous avons notamment évoqué durant l'épisode :
1 - La préparation sérieuse du doctorat avant d'avoir un enfant. Une progression rapide dans ses travaux permet d'alléger la pression liée au doctorat avant l'arrivée de l'enfant.
2 - L'appréhension de la réaction de l'entourage professionnel suite à l'annonce d'une grossesse pendant le doctorat.
3 - L'importance du choix d'une équipe encadrante adaptée à sa personnalité et ses ambitions personnelles.
4 - La gestion des complications familiales en parallèle du doctorat.
5 - L'importance de pouvoir compter sur un entourage fiable pour aider la garde des enfants.
6 - Le recours à une crèche dès le plus jeune âge pour pouvoir travailler sereinement pendant la journée.
7 - L'impact du doctorat sur l'entourage familial.
8 - Être parent et doctorant : une aventure avec des difficultés, notamment la gestion des urgences avec les enfants.
9 - La préparation de thèse à l'hôpital.
10 - L'inexistence du bon moment pour avoir des enfants, il n'y a pas de "bon" moment.
11 - La perception extérieure du doctorat comme une vie étudiante alors qu'il s'agit d'une expérience professionnelle.
12 - Les 3 clés garantissant une bonne expérience de parent : Être bien dans sa tête, bien dans sa peau, et bien entouré.
13 - Faire face aux préjugés liés à la grossesse et s'affranchir des opinions des autres.
14 - Le métier d'enseignant-chercheur est plus flexible pour gérer sa vie de famille.
15 - Ne pas culpabiliser de ne pas avancer sur sa thèse au profit de la famille ou de ne pas pouvoir être toujours présent pour son enfant en raison de son travail de chercheur.
16 - La répartition des tâches entre conjoints.
17 - La difficulté de la gestion du sommeil en tant que parent.
18 - L'impossibilité de procrastiner en tant que parent doctorant.
19 - L'absence d'enjeu de timing en cas de non-financement qui permet plus de liberté pour gérer son temps de thèse.
20 - Ce que les enfants recherchent avant tout : Maximiser les moments familiaux de qualité plutôt que la quantité de temps passé en famille.
21 - Les responsabilités parentales encouragent le développement de compétences organisationnelles bénéfiques pour la progression de sa thèse.
22 - Le manque de lieux réservés à l'allaitement dans les laboratoires.
23 - Le flou entourant le statut de doctorant pour le monde extérieur.
24 - La possibilité de réduire le temps de formation obligatoire pour obtenir sa thèse quand on est parent.
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Dans cet épisode nous parlons des motivations qui poussent certains à se lancer dans une thèse ainsi que les raisons pour lesquelles d’autres choisissent de ne pas en entreprendre une. Pourquoi se lancer dans une thèse ? Pour quoi faire ensuite ? Ce sont ces questions que nous abordons avec nos 4 invités :
Teddy Furon, Directeur de Recherche à l’INRIA Rennes, co-fondateur d’IMATAG. Guillaume Saes, PhD Data Scientist à Quantmetry - Chercheur à l’UPEC en Analyse Multifractale - Créateur Youtube sur Science Trash Marine Robinson - M2 en Sciences des données à Centrale Lille Lilia Cuciuffo, Étudiante en M1 de physique fondamentale parcours cosmologie à LyonNous avons notamment évoqué durant l'épisode :
Le passage par la recherche obligatoire pour certains métiers (Exemple de la Cosmologie) L'envie de répondre à des questions sans réponse. L'autonomie et la liberté très présente dans la recherche. La (trop) faible rémunération des chercheurs. La frustration très présente dans le quotidien d'un chercheur. Le stéréotype de l'entreprise où les employés pointent et n'ont pas beaucoup de liberté. La possibilité de travailler sur des sujets recherche en entreprise. L'influence d'un master de recherche sur la volonté de poursuivre en thèse. La volonté de gagner en connaissances, en expertise, de se dépasser et de voir jusqu'où on peut aller. Faire une thèse pour le prestige du diplôme : Fausse bonne idée ! L'influence d'une école d'ingénieur sur la volonté de s'orienter vers l'entreprise. Le stéréotype du chercheur qui ne fait qu'écrire et lire des articles. La difficulté de se projeter sur le long terme quand on est étudiant. La peur d'être déçu par la recherche et de ne pas y trouver son bonheur. La poursuite en thèse toujours possible suite à des problèmes personnels. La volonté de réfléchir sur des problématiques complexes qui racontent une histoire. Le faible nombre de postes pour les chercheurs (notamment en mathématiques). La possibilité de s'épanouir en faisant de la recherche dans le privé. Le suivi régulier en recherche privé où on attend des résultats et des justifications sur l'avancée de nos recherches. La passion de la recherche transmise par des professeurs extraordinaires. La recherche publique est plus libre et flexible que la recherche privée. La recherche privée nécessite systématiquement un retour sur investissement. Tout ce que peut apporter une thèse : Des compétences, de l'autonomie, de la rigueur, de la tenue, de l'exigence, une meilleure façon de communiquer les choses, de construire des projets, de voir à long terme et de prendre du recul. Les directeurs de thèses façonnent leurs doctorant.e.s. La recherche dépend de la façon dont on souhaite la vivre et la mener. Les moments extrêmement difficile de la thèse (notamment début et fin de thèse). Le sentiment de faire perdre son temps à ses encadrants de thèses. Les 4 piliers qui expliquent la volonté de poursuivre une thèse (Projet professionnel, Reconnaissance, Démarche intellectuelle et Formation). La différence entre un master et un doctorat. Le manque de reconnaissance dans le milieu de la recherche. La thèse est plus proche du monde de Zelda que celui de Peter Pan. Le doctorat apporte de la reconnaissance et de la crédibilité. La dévalorisation du doctorat par les employeurs.Si vous êtes déjà en doctorat, vous pouvez rejoindre ma newsletter pour exploiter le potentiel de toute cette aventure : https://gerersatheseavecbrio.substack.com/?showWelcome=true
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Faire un doctorat est une aventure passionnante et exigeante qui implique de nombreux choix et compromis. Pour vous lancer dans ce parcours, il est essentiel de savoir à quoi vous attendre et comment vous y préparer. Cet épisode vous offre un éclairage sur les conditions et les prédispositions nécessaires pour faire de votre doctorat un succès.
Qu'est-ce que réussir sa thèse ? Quels facteurs peuvent influencer le succès ou l'abandon d'un doctorat ? Que doit-on savoir avant de s'embarquer dans cette aventure ?Nous vous renseignons à ce sujet dans cet épisode avec nos 3 invités du jour :
- Kamal Lmimouni (Directeur du collège doctoral de l'université de Lille)
- Robin Wollast (Post-Doctorant en psychologie à l'université de Stanford)
- Samantha Holin (Jeune docteure en psychologie à l'université de Lille, actuellement ATER dans cette même université)
Nous abordons notamment les thématiques suivantes :
- Les missions des écoles doctorales (Recrutement, Inscription, Formations, Soutenance).
- Les missions du collège doctoral (Formations pour le parcours professionnel des doctorants, Mobilités internationales et Valorisation du doctorat).
- Les rencontres entre doctorant.e.s de différents domaines encouragées par les formations du collège doctoral.
- Les indicateurs de succès d'une thèse propres à chaque doctorant (compétences et connaissances acquises, développement de la personnalité, soutenance réalisée).
- Le taux d’abandon de thèse est plus élevé dans les SHS que dans les sciences exactes, notamment à cause du manque de financement.
- Les principales causes d'abandons de thèse (Financements, Motivation, Santé mentale, Équipe encadrante, Sens lié au projet).
- Le comité de suivi de thèse (CSI) : Moment d'échange pour les doctorant.e.s en difficulté.
- La possibilité de rompre son contrat doctoral à tout moment.
- L'importance de prendre le temps de rencontrer d'autres doctorants pendant sa thèse pour repérer les dysfonctionnements de sa propre thèse.
- La médiation des écoles doctorales pour gérer les abandons de thèses.
- Le stress des doctorant.e.s engendrés par les délais serrés et les situations d'urgence.
- L'impact du profil du superviseur sur la réussite de ses doctorant.e.s (Affiliation vs Déni, Structure vs Chaos, Autonomie vs Contrôle).
- Mention de l'épisode 6 sur l'importance de bien choisir son équipe encadrante
- La nécessité d'identifier le besoin de faire un doctorat pour tenir sur la durée
- Correspondance entre style de supervision et style de travail du doctorant
- L'importance d'être présent au laboratoire, d'avoir un bureau et de discuter avec ses collègues pour éviter l'isolement.
- La charge administrative des doctorant.e.s.
- L'évolution de la motivation tout au long des 3 années de thèses.
- La baisse de motivation causée par la répétition de tâches identiques.
- Le gain de motivation généré par le lancement de nouvelles études et le démarrage de nouvelles tâches.
- L'importance d'être fier de son travail de thèse et de profiter de sa soutenance.
- Les formations du collège doctoral à destination des encadrants de thèse.
- La possibilité de faire un stage pré-thèse pour analyser sa potentielle équipe encadrante.
- L'important de recueillir des témoignages de doctorants de tout horizon quand on hésite à se lancer dans une thèse.
- L'écosystème du doctorant (encadrants, laboratoire, école doctorale, collège doctoral, etc.)
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Pendant un doctorat scientifique, on est amené à communiquer de nombreuses fois autour de nos travaux de recherches. On ne le sait pas forcément avant de s'engager et pourtant, savoir bien communiquer peut se révéler primordiale tout au long de cette aventure et très enrichissant pour la suite de notre carrière.
Doit-on être un bon communiquant avant de commencer une thèse scientifique ?
Est-ce vraiment si important que ça de développer cette compétence pour une carrière de chercheur ?
Comment fait-on pour s'améliorer à ce sujet-là ?
Nous vous renseignons à ce sujet dans cet épisode avec nos 2 invités du jour :
- Fred Courant (Co-créateur, auteur et présentateur de l'émission "C'est Pas Sorcier" sur France 3 / Co-fondateur, rédacteur en chef et présentateur de l'Esprit Sorcier)
- Assia Asrir (Cheffe de projet R&D et Présidente de l'Asso Résalience PhD)
Nous abordons notamment les thématiques suivantes :
- L'omniprésence de la communication scientifique pendant un doctorat scientifique (Partage de résultats à ses encadrants, son équipe, son laboratoire, à une conférence ou à un congrès | Transmettre ses connaissances en enseignant et en participant à des concours de vulgarisations).
- Le célèbre concours de vulgarisation MT180 (C'est quoi le concept ? Comment peut-on s'entraîner pour ce concours ?).
- L'importance de savoir s'adapter à son audience.
- La possibilité de nouer des relations enrichissantes grâce à la communication.
- Progresser en communication via le doctorat scientifique.
- La valorisation de ses compétences de communication pendant les entretiens d'embauches.
- La distinction entre communiquer, vulgariser et faire de la médiation scientifique.
- Parler au nom d'une communauté scientifique plutôt que tout centrer sur soi-même.
- Oser transmettre et vulgariser quand on est scientifique pour créer des vocations.
- L'omniprésence de la science dans notre quotidien.
- L'importance de faire prendre conscience au grand public ce qui se passe dans leur quotidien.
- Susciter la curiosité du grand public quand on est scientifique.
- Avoir le courage d'admettre ses erreurs quand on fait des sciences.
- La possibilité de créer des histoires avec la science pour la rendre plus accessible.
- Savoir doser la vulgarisation par rapport à son public.
- L'évolution de la confiance en soi tout au long du doctorat.
- Le regard des pairs par rapport à l'activité de vulgarisation.
- La nécessité de faire constamment preuve de rigueur scientifique même lorsqu'on vulgarise.
- Se livrer à la vulgarisation, c'est se livrer soi-même.
- Faire face à sa peur de se confronter au grand public.
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Dans cet épisode, nous parlons de la question de l'encadrement de thèse.
Pourquoi faut-il se renseigner sur les encadrants tout autant que sur le sujet de thèse ?
Comment s'assurer que notre future équipe encadrante va répondre à nos attentes ?
Que faire si on se rend compte que nos encadrants ne nous conviennent pas ?
Nous vous renseignons à ce sujet dans cet épisode avec nos 3 invités du jour :
Arthur Strauss - Doctorant en Informatique Quantique en 2ᵉ année à Singapour Erika Dupont - Docteure en histoire de l’art contemporain et Fondatrice de l'Agence Conseil aux jeunes chercheurs Mathieu Giraud - Directeur de recherche CNRS en informatique au laboratoire CRIStAL à Lille (Équipe Algomus)Nous abordons notamment les thématiques suivantes :
Se retrouver seul face à son sujet de thèse Trouver l'équipe qui répond à nos attentes L'importance de communiquer avec ses encadrants de thèses Est-il facile de changer de superviseur de thèse ? Les signes d'un mauvais encadrement Comment enquêter sur sa potentielle future équipe encadrante ? Vérifier qu'un superviseur est en adéquation avec notre personnalité La nécessité, pour le superviseur, de s'adapter au doctorant L'apprentissage d'un savoir-faire en thèse La vie d'équipe en doctorat La régularité des bilans avec les encadrants de thèses Qui peut encadrer une thèse ? Les avantages d'une équipe encadrante multigénérationnelle Le comité de suivi de thèse (CSI) Pourquoi vouloir encadrer un doctorat ? Les formations sur l'encadrement de thèse des collèges doctoraux Savoir exprimer des besoins à ses directeurs de thèses Trouver le meilleur compromis avec son encadrant pour sa situation en doctorat Communiquer avec son laboratoireSi vous avez des questions, des remarques, des suggestions, des propositions d'intervenants, etc.. n'hésitez pas à m'en informer en envoyant un mail à [email protected] !
Si vous hésitez à faire une thèse scientifique, n'hésitez pas pour autant à répondre à ce formulaire sur le besoin de renseignements sur la thèse scientifique https://colibris.link/6Fnvo
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Dans cet épisode, nous parlons des thèses académiques et des thèses CIFRE. Quelles sont les différences entre les deux ? Quel est l'avantage de l'une par rapport à l'autre vis-à-vis de votre projet professionnel ? Nous vous renseignons à ce sujet dans cet épisode avec nos 3 invités du jour :
Alain Célisse, Professeur à Paris 1 Panthéon-Sorbonne en Apprentissage Statistique Thomas Thebaud, Jeune docteur CIFRE (Laboratoire LAUM, Université du Mans - Orange), désormais en post-doctorat à l'université de Johns-Hopkins à Baltimore Pierre Palud, Doctorant académique en 3ᵉ année dont la thèse résulte d'une collaboration entre l'Université de Lille et L'observatoire de Paris à MeudonNous abordons notamment les thématiques suivantes :
Quotidien Thèse Académique VS Thèse CIFRE La possibilité d'être en parfaite autonomie dans les 2 types de thèses Les interactions avec les collègues dans les 2 types de thèses Le problème de diversité des sujets proposés pour les thèses CIFRE La négociation du contrat CIFRE Les différents environnements de travail selon que l'on est à l'université ou en entreprise La nécessité de vulgariser au quotidien ses travaux de recherches à ses collègues lorsque l'on est en CIFRE La valorisation de l'expérience professionnelle procurée par la thèse CIFRE devant les recruteurs La question de la propriété intellectuelle lorsque l'on est en CIFRE La méconnaissance des personnes intéressées par la thèse vis-à-vis du monde la recherche L'importance de l'équilibre Doctorant - Encadrant(s) Choisir son type de thèse par rapport à son projet professionnel La nécessité de se sortir de son quotidien en CIFRE et en Académique La prise d'initiative du doctorant pour orienter sa thèse face à ses encadrants La possibilité de faire une thèse CIFRE abstraite et une thèse académique plus applicativeSi vous avez des questions, des remarques, des suggestions, des propositions d'intervenants, etc.. n'hésitez pas à m'en informer en envoyant un mail à [email protected] !
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Bienvenue dans ce nouvel épisode de Thèse ? Antithèse ? Synthèse ! portant sur le syndrome de l'imposteur. Avec nos trois invités du jour, nous explorons ensemble ce phénomène courant chez les étudiants et les chercheurs, qui consiste en des sentiments de doute et d'insécurité face à ses propres compétences et réussites. Nous discutons notamment de ses causes, de ses conséquences sur la motivation et la performance, et de stratégies pour le surmonter.
Invités :
Pierre Chainais, Professeur des universités à Centrale Lille Institut et chercheur CNRS au Centre de Recherche en Informatique, Signal et Automatique de Lille (CRIStAL) Pauline Puteaux, Chercheuse CNRS au Centre de Recherche en Informatique, Signal et Automatique de Lille (CRIStAL) Julie Lopes, Docteure en microbiologie et accompagnatrice de doctorants et docteurs.Nous avons notamment évoqué durant l'épisode :
La peur d'échouer aux concours permettant de décrocher des bourses de thèses. Le syndrome de l'imposteur bien présent chez les candidates pour les doctorats en informatiques. La montée rapide en compétences et connaissances lors des premiers mois de thèses. Les qualités nécessaires pour garantir un bon déroulement d'une thèse. Le syndrome de l'imposteur pendant la thèse. La nécessité de faire des coupures pendant sa thèse. L'importance d'avancer dans son sujet en prenant le temps de faire des "baby steps". Le caractère cyclique de la thèse. La célébration de ses petites victoires de la semaine. La peur d'aller présenter son travail dans une conférence quand on est doctorant. Rôle et responsabilité du superviseur de thèse vis-à-vis de de son doctorant. La nécessité pour un doctorant d'alerter de sa situation quand elle devient critique.BONUS : https://vaillantsdoctorants.com/le-syndrome-de-limposteur-en-doctorat/
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Beaucoup de gens hésitent à poursuivre en thèse scientifique en raison d'un manque de connaissances sur ce qu'implique réellement ce type de travail. Je vous propose alors de démystifier un peu ce métier en donnant des exemples du quotidien de 3 doctorants en sciences exactes et expérimentales :
Matthis Briatte, doctorant en Mécanique et Science des matériaux au Laboratoire de Mécanique, Multiphysique, Multiéchelle de Lille (LaMcube) Lucas Fortier, doctorant en Catalyse Photo-Rédox à l'École nationale supérieure de chimie de Lille (ENSCL) Rony Abecidan, doctorant en Intelligence Artificielle et Cybersécurité au Centre de Recherche en Informatique, Signal et Automatique de Lille (CRIStAL)Nous avons notamment évoqué durant l'épisode :
L'importance de la recherche bibliographique en doctorat. Les interactions doctorants-encadrants. Les journées peu productives en doctorat. Les discussions avec d'autres chercheurs pour sortir de sa bulle. L'activité d'enseignement en doctorat. L'encadrement d'étudiants pour leurs projets de fin d'études ou pour un stage quand on est doctorant. La possibilité d'effectuer des missions de conseils pour les doctorants. (Avec notamment la mention de Consulid) Les formations doctorales (Exemple pour l'Université Paris-Saclay) La participation à des écoles d'étés. La participation à des conférences scientifiques nationales et internationales. Les collaborations avec d'autres équipes de recherche.Si vous êtes déjà en doctorat, vous pouvez rejoindre ma newsletter pour exploiter le potentiel de toute cette aventure : https://gerersatheseavecbrio.substack.com/?showWelcome=true
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Quand on songe à faire un doctorat scientifique, il n'est pas rare de croire que la seule carrière envisageable juste après est une carrière de professeur. La réalité est bien différente de ce que l'on veut nous faire croire ! Que ce soit en académique ou en industrie, une grande variété de métiers s'offre aux docteurs et vous êtes sur le point de les découvrir.
En effet, dans cet épisode, nous abordons précisément la question des carrières post-thèses pour les doctorants scientifiques avec :
Pierre-Antoine Thouvenin (PhD) - Maître de conférence à l'école Centrale de Lille et chercheur au laboratoire CRIStAL Morgane Lebosq (PhD) - Responsable Communication & Marketing chez Adoc Talent Management Emeline M. HATCHI (PhD) - Chef de projet formation chez Adoc Talent ManagementNous avons notamment évoqué :
Adoc Talent Management - (https://www.adoc-tm.com/) 'Maître de Conférence' VS 'Professeur des Universités' (https://www.orientation.com/articles/metiers/metiers-de-lenseignement/professeur-duniversite-ou-maitre-de-conferences-quelle-difference/) Les Établissements publics à caractère industriel et commercial - E.P.I.C. (https://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/fr/etablissements-publics-caractere-industriel-et-commercial-epic-45851) Les Établissements publics à caractère scientifique et technologique - E.P.S.T (https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tablissement_public_%C3%A0_caract%C3%A8re_scientifique_et_technologique) La thèse CIFRE (https://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/fr/les-cifre-46510) Les sociétés de recherche contractuelle - C.R.O (https://documentation-snds.health-data-hub.fr/glossaire/cro.html) La multitude des métiers possibles pour les docteurs (https://www.abg.asso.fr/fr/vue/parcours-et-metiers) Les docteurs entrepreneurs (https://bpifrance-creation.fr/entrepreneur/temoignage-invite/quand-doctorat-se-conjugue-entrepreneuriat) L'enquête IPDOC 2019 - très intéressante ! (https://publication.enseignementsup-recherche.gouv.fr/eesr/FR/T834/le_devenir_des_docteurs_trois_ans_apres_l_obtention_de_leur_these/)Si vous avez des questions, des remarques, des suggestions, des propositions d'intervenants, etc.. n'hésitez pas à m'en informer en envoyant un mail à [email protected] !
Si vous hésitez à faire une thèse scientifique, n'hésitez pas pour autant à répondre à ce formulaire sur le besoin de renseignements sur la thèse scientifique https://framaforms.org/enquete-sur-le-besoin-de-renseignements-a-propos-de-la-these-scientifique-1648293672
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Quand on hésite à se lancer dans un doctorat scientifique, on se pose plein de questions mais on ne sait pas toujours où trouver nos réponses... Il y a aussi des questions qu'on ne se pose pas et qui pourtant vont se révéler cruciales pour la suite. Quelles questions faut-il se poser avant de poursuivre en thèse ? Où trouver les réponses à ces questions ?
Dans cet épisode nous abordons précisément cette problématique avec :
Catherine Thomas, responsable de formations et d'accompagnement des doctorants pour l'Association Bernard Gregory Victor Lalleman, doctorant en 1ère année au LaMcube à Lille (Mécanique des matériaux, des milieux et des structures) Anthony Frion, doctorant en 1ère année à l'IMT Atlantique à Brest (Intelligence Artificielle pour les images satellites)Nous avons notamment évoqué :
L'Association Bernard Gregory - ABG pour les intimes - (https://www.abg.asso.fr/fr/) La plateforme d'offre de thèse du Groupe de Recherche ISIS : GdR ISIS (https://www.gdr-isis.fr/index.php/proposition-de-postes/) Le Cnes (https://cnes.fr/fr) Les thèses CIFRE (https://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/fr/les-cifre-46510) La plateforme d'offres de thèse de Campus France (https://doctorat.campusfrance.org/phd/offers) La plateforme d'offres de thèse de l'ABG (https://www.abg.asso.fr/fr/candidatOffres/list/type_offre/2) La plateforme d'offres de thèse à l'étranger d'EURAXESS (https://euraxess.ec.europa.eu/) La plateforme d'offres de thèse à l'étranger PhdPortal (https://www.phdportal.com/) La plateforme d'offres de thèse CIFRE de l'Anrt (https://offres-et-candidatures-cifre.anrt.asso.fr/) L'annuaire des écoles doctorales (https://doctorat.campusfrance.org/phd/dschools/main) Le site http://www.theses.fr/ qui recense les thèses en cours et déjà passées. Scanr (https://scanr.enseignementsup-recherche.gouv.fr/) La formation Avanthèse de l'ABG (https://www.abg.asso.fr/fr/formation/avanthese)Si vous avez des questions, des remarques, des suggestions, des propositions d'intervenants, etc.. n'hésitez pas à m'en informer en envoyant un mail à [email protected] !
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Cela fait quelques semaines que je parle de ce podcast sur LinkedIn, il est désormais réel !
À travers ce court épisode introductif, vous allez en savoir un peu plus sur moi mais aussi sur ce podcast.
J'ai essayé de résumer de façon la plus concise possible ma vision et mes objectifs pour les épisodes qui vont suivre.
Qui suis-je ? Pourquoi ce podcast ? Pour qui ? Avec qui ? À quelle fréquence ? : J'aborde toutes ces questions dans cet épisode !
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