Episodit
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Quel est le point commun entre Anne-Sophie Lapix, David Pujadas et Ruth Elkrief ? …Eh bien tous ont été formés au Centre de Formation des Journalistes.
Au top du classement des meilleures écoles de journalisme de France, le CFJ, prestigieux établissement fondé en 1946 par le journaliste et résistant Philippe Viannay, recrute chaque année une cinquantaine d’étudiants, parmi plusieurs centaines de candidatures.
Mais comment ces aspirants journalistes sont-ils formés, dans un contexte où désinformation, IA, défiance et précarité viennent percuter la profession ?
Stéphanie Lebrun, directrice du CFJ, également cofondatrice de la société de production Babel Doc, répond à toutes ces questions. Elle est l‘invitée de notre podcast #69. Le dernier de la saison !
Parmi les thèmes abordés :
L’adaptation des étudiants aux nouvelles technologies
Les armes fournies par l’école pour affronter la désinformation
Le souci du CFJ de représenter la société pour répondre à la défiance
Les limites fixées à l’engagement des étudiants : le cas du conflit israélo-palestinien
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Il a « streamé » avec Jean-Luc Mélenchon, Yannick Jadot ou Fabien Roussel.
Chaque semaine dans son émission « Backseat », Jean Massiet et ses chroniqueurs passent en revue l’actualité politique sur Twitch.
Suivi par plus 240 000 personnes sur la plateforme, le vidéaste dit appartenir au mouvement de « l’éducation populaire » et s’est donc fixé un objectif : vulgariser et analyser la politique pour sa jeune audience, âgée de 24 ans en moyenne. Sa manière à lui de sensibiliser cette génération qui se détourne de la chose publique et boude les médias traditionnels.
Avec la dissolution de l'Assemblée nationale, Jean Massiet a décidé de multiplier ses émissions et de s’impliquer personnellement : le « streameur », passé par différents cabinets politiques, vient de signer une tribune appelant à voter pour le Nouveau Front Populaire aux prochaines législatives anticipées.
Dans ce nouvel épisode de notre podcast, il revient pour MediaConnect sur :
les raisons du succès de son émission « Backseat »
son regret d’avoir accepté de participer à l’émission « Quelle époque » (France 2)
son refus d’inviter des membres du Rassemblement National
le « business model » de son émission
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Puuttuva jakso?
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Jusqu’à 5 000 photos, 400 dépêches et 40 vidéos par jour. Le tout en 6 langues ?
C’est la promesse de l’AFP, dans sa couverture des prochains Jeux olympiques et paralympiques de Paris, du 26 juillet au 8 septembre.
Avec plus de 200 journalistes mobilisés, la célèbre agence de presse compte bien se démarquer grâce à sa dimension internationale. Avec un traitement éditorial de l’événement, entre le sportif et l’extra-sportif, entamé il y a maintenant plus de 10 ans.
Pierre Galy, son chef du département des sports, est l’invité de ce nouvel épisode de notre podcast « ça bouge dans les médias ».
Parmi les thèmes :
le dispositif de couverture globale de l’événement
la singularité de l’AFP vis-à-vis de la concurrence
la place du chauvinisme dans une agence attachée au factuel
la question des critiques dans le traitement médiatique de l’événement
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Avec 11 millions d’abonnés sur TikTok, Gala assoie chaque jour un peu plus son rang de 3e compte média le plus suivi au monde sur le réseau social. Devant MTV.
Le secret ? Des vidéos coulisses, captées au plus près des célébrités françaises et internationales, lors de grands événements. Des vidéos courtes, brutes, sans commentaire, presque sans montage et immensément virales.
Désormais propriété du Groupe Le Figaro, Gala s’est ainsi taillé la réputation de rendre accessible l’inaccessible. A l’image du dernier dîner d’Etat à Versailles, en l’honneur de Charles III.
Dans ce nouvel épisode de notre podcast, son directeur de la rédaction, Matthias Gurtler, nous raconte cette « succès story » numérique aux 3 milliards de vues… sur une plateforme chinoise néanmoins menacée dans plusieurs Etats.Parmi les thèmes :
les ingrédients d’une recette devenue virale
l'avenir incertain du réseau social Tik Tok
la monétisation d’une audience considérable
l'impact du rachat sur la vie du magazine
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J-1 pour la chaîne M6 : demain, son offre de streaming « 6Play » deviendra « M6+ ». Au programme : 30.000 heures de contenus, principalement issus des programmes phares du groupe.
La plateforme de M6 fait peau neuve, quatre mois après le lancement de TF1+, l’offre de streaming du concurrent TF1. Dans un contexte où le temps moyen des Français devant la TV linéaire ne cesse de baisser, au profit de plateformes vidéo de plus en plus nombreuses ces dernières années.
Comme la « Une », M6+ a fait le choix d’un modèle hybride, entre la formule gratuite financée par la publicité (AVOD) et l’abonnement (SVOD) pour accéder à certains avantages.
Au-delà des contenus, M6 annonce investir 40 millions d’euros dès cette année et compte par ailleurs sur son moteur de recherche boosté à l’IA.
Henri de Fontaines, membre du directoire de M6 et directeur du streaming, est l’invité de ce podcast #65.
Parmi les thèmes :
l’offre M6 et son modèle hybride AVOD / SVOD
la concurrence TF1+
la problématique de trop-plein de contenus
l’espérance de vie de la TV linéaire
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« On voulait vulgariser et partager leurs savoirs.» Combiner l’expertise universitaire à l’exigence journalistique : telle est la mission de la rédaction de The Conversation France.
Dans une époque où règnent la désinformation et l’opinion, ses journalistes ne collaborent qu’avec des académiques et des chercheurs, dans l'objectif de fournir une analyse de l'actualité, à la fois rigoureuse, fiable et indépendante.
Déclinaison française d’un réseau international, née en 2015, The Conversation France a noué un partenariat avec 90% des universités du pays et comptabilise désormais plus de 6 millions de pages vues par mois.A la tête de cette rédaction inhabituelle, son directeur Fabrice Rousselot (ancien directeur de la rédaction de Libération), nous en raconte les coulisses, dans ce nouvel épisode de notre podcast dédié au monde des médias.
Parmi les thèmes abordés :
-la collaboration entre les experts et les journalistes
-la garantie d’une ligne éditoriale objective et factuelle
-les difficultés rencontrées pendant l’épidémie du COVID-19
-le modèle économique atypique d'un média à but non lucratif
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Cette semaine, place à une rédaction tout à fait singulière. Son nom ? « Citizen Facts. »
Ses membres ne sont pas journalistes de métier, mais lycéens, sages-femmes, informaticiens, ou retraités... Tous détestent les fausses informations qui circulent en ligne et n’ont qu’une envie : démonter celles-ci.
Un projet citoyen né pendant la crise du Covid-19, face à la montée en puissance des théories du complot et porté par la journaliste Aude Favre, fondatrice de la chaîne YouTube WTFake!, invitée de notre podcast cette semaine.
Les enquêtes, menées en « open source », grâce aux compétences de chacun, ont fait l’objet d’une mini-série documentaire diffusée sur ARTE à l’automne dernier. Celle-ci nous plonge dans les coulisses du travail de cette rédaction virtuelle, qui s’efforce de démystifier des sujets bien réels, tels que le discours des « anti-vax », des « anti-IVG » ou la pratique du « greenwashing ».
« Citizen Facts » compte aujourd’hui 2 000 « enquêteurs citoyens ». Européens, pour la plupart et tous bénévoles.
Aude Favre nous raconte cette folle aventure.
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Ne l’appelez plus L’Obs, mais bien Le Nouvel Obs. Le célèbre hebdomadaire a officiellement fait peau neuve le 21 mars dernier. Changement de nom. Changement d’identité visuelle. Mais surtout : changement de site Internet, son plus gros chantier.
Dans un contexte délicat pour les magazines d’actualité, les ventes du titre ont reculé de 7% en 2023 et l’hebdomadaire, lancé il y 60 ans par Jean Daniel et Claude Perdriel, est de nouveau déficitaire. Il s’est donc fixé un objectif de taille : augmenter le nombre de ses abonnés numériques de 20%, d'ici à 2025.
Face à ces nombreux défis, sa directrice générale Julie Joly nous explique comment le newsmag, adossé au groupe Le Monde, entend écrire ce nouveau chapitre de son histoire.
Parmi les thèmes abordés :
Les grands axes de la nouvelle formule
Les ambitions numériques du titre
La ligne « clairement progressiste » du newsmag
L’absence assumée de synergie éditoriale au sein du groupe Le Monde
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Les révélations ont eu l’effet d’une détonation.
Des accusations de viol et agressions sexuelles portées contre le psychanalyste Gérard Miller en janvier dernier. Ces témoignages, recueillis et publiés par le magazine ELLE, ont ainsi marqué le point de départ de l’affaire, qui totalise désormais plusieurs dizaines d’accusations.
Signée Cécile Ollivier et Alice Augustin, l’enquête a aussi permis de rappeler l’ambition du titre féminin : creuser le sillon d’une ligne éditoriale bien plus sociétale, dans un monde post-#MeToo.
Une ligne portée par Ava Djamshidi, ancienne grand reporter au Parisien, désormais la rédactrice en chef du ELLE. Sous l’impulsion de Véronique Philipponnat, directrice du magazine et invitée de notre podcast, cette semaine.
Emblématique et historique, le titre lancé en 1945 par Hélène Lazareff, revendique aujourd’hui près de 10 millions de lecteurs mensuels au global.
Parmi les thèmes de l'épisode :
Les raisons du virage éditorial du magazine
Sa vision transgénérationnelle du féminisme
La déclinaison internationale de la marque
La santé économique du titre
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Ce mardi, l'Arcom publie son rapport annuel sur la représentation des femmes en TV et radio. L'an passé, celui-ci faisait état de « résultats quantitatifs en progrès. »
Alors cette semaine, à quelques jours du 8 mars, Journée internationale des droits des femmes, « Ça bouge dans les médias » avec Christelle Chiroux, directrice adjointe de l’information à TF1 et directrice déléguée de sa Fondation. En charge de la médiation et de la RSE au sein du groupe, elle porte l'initiative des « Expertes à la Une », programme d'accompagnement qui vise à renforcer la présence des expertes dans les médias, pour leur assurer une meilleure représentation.
La 4e promotion sera dévoilée demain, mercredi 6 mars. 15 femmes, expertes de thématiques variées (géopolitique, environnement, aérospatial, etc.) vont ainsi bénéficier du parrainage de journalistes du groupe TF1, mais aussi d'ateliers de coaching et media training, opérés par des entreprises extérieures.
Dans cet épisode, Christelle Chiroux revient notamment sur :-Le programme de tutorat de la 4e promotion
-Les craintes des femmes expertes
-Les origines de l’initiative des « Expertes à la Une »
-L’engagement interne et externe du groupe TF1 sur ces questions>>> Pour accéder à l'interview écrite donnée par Christelle Chiroux à MediaConnect en 2023, c'est par ici !
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Comment sont creusés les tunnels du métro ? D’où viennent nos noms de famille ? Les athlètes peuvent-ils encore battre des records ?
Qu'il s'agisse de science, d'histoire, ou de sport, Explore Media s’est fixé la mission de diffuser la connaissance au plus grand nombre. Avec une ligne de conduite : le faire de façon ludique. C’est ce qu’on appelle désormais l’« edutainment » ; à savoir du contenu éducatif divertissant.
« Très souvent, les réseaux sociaux peuvent être décriés comme des plateformes futiles où on va perdre du temps », se désole son cofondateur Jérémie Nacache, invité cette semaine de notre podcast « Ça bouge dans les médias. »
Lancé en 2017, Explore Media s’est depuis déployé sur toutes les plateformes, en France et à l’étranger. Suivi par des millions de personnes, ce média 100% social, réputé pour ses contenus viraux, a atteint le milliard de vues en 2023. Des contenus, pour partie, produits avec des marques.
Parmi les thèmes de cet épisode :les caractéristiques éditoriales de l’« edutainment »
la nécessité de composer avec les algorithmes des plateformes
la perception du public vis-à-vis du « brand content »
les défis de leur stratégie internationale
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Lancer un journal papier en 2023 ? Un dominical ? Et en 80 jours ? C’est le pari que s’est lancé Bruno Jeudy.
« J’ai l’âge raisonnable de mener une mission aussi peu raisonnable ! », constate, à 60 ans, le directeur délégué de la rédaction de La Tribune dimanche, également passé par Le Parisien, Le Figaro, Paris Match, ou Le JDD. Le voici, cette semaine, invité de notre podcast « ça bouge dans les médias ».
Déclinaison généraliste du site économique La Tribune, le journal dominical est arrivé dans les kiosques le 8 octobre dernier, porté par une vingtaine de journalistes. Et s'est vu immédiatement vu qualifié d'alternative au Journal du dimanche, depuis son changement de ligne éditoriale.
Racheté par la branche médias de CMA CGM, du groupe de l’armateur Rodolphe Saadé, La Tribune Dimanche assume sa volonté de récupérer des déçus du JDD, en se positionnant comme un « journal de la nuance » et du pluralisme.4 mois et 18 numéros plus tard, quel bilan ? Les objectifs fixés ont-ils été atteints ? Bruno Jeudy raconte, au micro de MediaConnect, cette aventure semée d’embûches.
Parmi les thèmes de l’épisode :
Les aléas du lancement d’un média
Le positionnement du journal vis-à-vis des extrêmes
La découverte de nouvelles fonctions pour Bruno Jeudy
Les ambitions du journal
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Le Vaquita est un marsouin du Pacifique, et surtout, le mammifère marin le plus menacé de la planète. Symbole de la résistance, il prête son nom au média numérique d’investigation lancé par le journaliste Hugo Clément en novembre 2022.
L’ambition de Vakita : enquêter, pour sensibiliser le plus grand nombre aux sujets liés à la planète et encourager le passage à l’action.
Vakita se veut résolument orienté vers les solutions. Un média porté des équipes convaincues qu’il est possible de concilier journalisme et engagement.
Aujourd’hui « Ça bouge dans les médias » avec son rédacteur en chef : Axel Roux. L’ancien responsable des enquêtes de l’émission « Sur le front », revient sur plusieurs points tels que :
S’engager sans dénaturer l’idée même du journalisme
L’impact concret des enquêtes de Vakita
Convaincre au-delà de son cercle de personnes déjà convaincues
Assurer son indépendance éditoriale vis-à-vis de ses actionnaires
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Thierry Ardisson l’a confié récemment au « Figaro » : ils sont capables de « régénérer les écrans.» Ils ? Ce sont les contenus du média « Le Crayon », dédié au débat et lancé sur You Tube en 2020, à destination des 18-35 ans.
Parmi ses cofondateurs, son CEO Wallerand Moullé-Berteaux, 26 ans, et l’invité de notre tout premier épisode podcast de l’année 2024. Cette semaine, « ça bouge dans les médias » avec le cofondateur d’un média, dont l’ambition est de passer par la discussion, la réflexion, pour « réunir la société française. » Un média, désormais suivi, au global sur les réseaux sociaux, par plus de 700 000 abonnés.
Classé au « 30 under 30 » de Forbes France, Wallerand Moullé-Berteaux est à la tête d’un groupe média, dans lequel figurent, en plus de la chaîne « Le Crayon » : une agence RP pour les dirigeants (« Le Surligneur »), une agence de contenu pour les entreprises (« Le Pinceau ») et depuis peu, un autre média (« Les pépites de France »), dédié au tourisme et au patrimoine.
Dans cet épisode, l'entrepreneur média revient notamment sur les sujets suivants :
Le pari de l’opinion pour nourrir la réflexion
La pluralité de profils des jeunes générations abonnées au Crayon
Du linéaire au flux, les opportunités offertes à la TV pour se réinventer
L'objectif stratégique de « led media company » choisi pour développer Le Crayon
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Place au dernier épisode de l'année 2023 ! Cette semaine, « ça bouge dans les médias » avec Eric Chol, directeur de la rédaction de L'Express.
À l’occasion des 70 ans de l’emblématique « newsmag », la rédaction s’est plongée dans ses archives, pour les mettre à l’honneur dans un numéro spécial. Environ 200 pages de récits et photos, pour raconter l’histoire du journal, mêlée à celles d'une France et d'un monde, profondément transformés en l’espace de sept décennies.
Lancé en 1953, par les iconiques Françoise Giroud et Jean-Jacques Servan-Schreiber, L’Express a toujours porté haut ses engagements. Opposé à la guerre d’Indochine et militant pour la décolonisation, à ses débuts, le titre assume volontiers sa ligne libérale et pro-européenne d’aujourd’hui. Et affiche clairement ses ambitions, sous l’impulsion de son propriétaire Alain Weill : devenir le «The Economist français. »
Dans cet épisode, Eric Chol rappelle quelques-uns des temps forts qui ont jalonné l’histoire de L’Express. Sans oublier ses prises d’engagement, au nom de la défense des libertés. Le directeur de la rédaction nous explique également sa vision éditoriale et son positionnement, dans le secteur très concurrentiel des « newsmagazines » en France. Il esquisse aussi l’avenir de L’Express dans les 70 prochaines années.
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57% des Français disent se méfier de ce que disent les médias sur les grands sujets d’actualité, selon le dernier baromètre Kantar pour La Croix, de la confiance des Français dans les médias.
Dans un contexte où la désinformation et la défiance vis-à-vis des journalistes sont grandes, comment donner le goût de s’informer ? Et surtout, quels outils fournir pour naviguer au mieux dans ce flot d'actualités ? Telles sont les missions de l’association« Entre les lignes », née en 2010.
Cette semaine « ça bouge dans les médias » avec Fanny Lattach, ex-journaliste à l’AFP et désormais directrice adjointe de cette association.
Aujourd'hui, « Entre les lignes » compte un réseau d’environ 250 journalistes bénévoles, issus de rédactions partenaires (AFP, Groupe le Monde, Contexte) engagés au service de l’éducation aux médias. Ces professionnels de l'information œuvrent principalement au sein des établissement mais aussi en dehors.
Dans cet épisode, Fanny Lattach revient notamment sur l'approche pédagogique de l’association, la formation des journalistes bénévoles. Mais aussi les questions récurrentes posées lors des ateliers, ou les outils fournis aux jeunes publics vis-à-vis des influenceurs.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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« On m’a souvent dit : raconte-moi une histoire, mais on ne m’a jamais dit comment raconter une histoire. La narration ça s’apprend. » Après 20 ans d’expérience en radio, Jules Lavie, désormais rédacteur en chef au Parisien et présentateur du célèbre podcast « Code Source » , s’est depuis bien rattrapé.
Cette semaine, « ça bouge dans les médias » avec la voix du podcast à succès. Né en mai 2019, ce format quotidien totalise 700 000 à 800 000 téléchargements chaque mois en France. Au point d'être entré dans le club fermé des 3 podcasts d’actualité les plus suivis du pays.
En quatre ans, le crédo du programme n’a pas changé : des histoires qui font l’actualité, racontées par ses témoins et des journalistes de la rédaction du Parisien. Le journal, « populaire et de qualité » selon Jules Lavie, reste le point de départ de chaque épisode de « Code Source ». Derrière le rideau, s’organise ainsi une véritable synergie entre la rédaction et l’équipe du podcast, au service de la marque.
Dans cet épiosde, Jules Lavie se confie sur sa source d’inspiration journalistique. Il nous explique l’importance du storytelling dans la transmission de l’information, nous dévoile les coulisses d’un épisode de « Code Source » et se livre sur sa stratégie pour de rester attractif malgré l’hyper-concurrence du podcast d’actualité en France.
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« Lorsque l’on révèle la fortune de Cyril Hanouna, ça intéresse beaucoup, ça fait plus d’1 million de vues. »
Cette semaine, « ça bouge dans les médias », avec Gilles Tanguy, fondateur et directeur de la rédaction de l’Informé : un pure player indépendant, né en 2022 et spécialisé dans l’investigation économique.Sa promesse : « Chaque jour, la rédaction de l’Informé révèle des informations exclusives que les entreprises et leurs dirigeant(e)s, préfèrent cacher, dans tous les secteurs de l’économie.» En moyenne, 4 à 6 scoops économiques sont ainsi révélés au quotidien.
Pour y parvenir, l’équipe de Gilles Tanguy est composée de journalistes expérimentés, au réseau établi.Dans cet épisode, le fondateur du pure player indépendant, nous décrit les spécificités de l’investigation économique et nous donne son point de vue sur la pratique du « off » dans ce journalisme-là. Il revient également sur l'importance de l'indépendance éditoriale de sa rédaction vis-à-vis de son actionnaire Xavier Niel, mais aussi sa stratégie globale pour conquérir de nouveaux abonnés.
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« Les femmes ont le droit d’ouvrir un compte bancaire, de gérer leurs biens et de travailler sans le consentement de leur mari seulement depuis 1965. À ce jour, 25% des femmes ne possèdent pas de compte bancaire personnel. »
Rappel historique de Valérie Lion, rédactrice en chef de « ViveS Média », cette semaine, au micro de MediaConnect.
Lancé en 2021 au sein du groupe Bayard, « ViveS» qui entend toucher un maximum de femmes, en tant que « média d’alerte et de solutions », pour les sensibiliser à la question d’indépendance économique et financière.
Pour Valérie Lion, il s’agit-là de « la dernière brique » permettant l’émancipation totale des femmes. Après celles atteintes par le travail et par le corps.
Pour atteindre son objectif, « ViveS Média » a donc été pensé comme un média global, fait de contenus pensés pour être accessibles, engageants et entraîner le passage à l'action ; à savoir, une newsletter hebdomadaire, un podcast (« Osons l’oseille »), des vidéos de formation, mais aussi un forum annuel, ou un baromètre en collaboration avec l'IFOP, LFDE et Boursorama.
Valérie Lion nous détaille l'action de ce collectif de journalistes passionnés et engagés.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Cette semaine nous discutons avec Hervé Poirier, rédacteur en chef de la revue Epsiloon. Ce jeune magazine scientifique "pop" vise à "dépoussiérer" le genre de magazine de science.
Pour rappel, le journaliste et son équipe quitté la rédaction de Science & vie en 2021 pour des questions d'indépendance éditoriale.
Aujourd'hui, avec ses 35 000 abonnés, la rédaction a pour ambition de faire d'Epsiloon “𝘭𝘦 𝘫𝘰𝘶𝘳𝘯𝘢𝘭 𝘥𝘦 𝘳𝘦́𝘧𝘦́𝘳𝘦𝘯𝘤𝘦 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘤𝘶𝘭𝘵𝘶𝘳𝘦 𝘴𝘤𝘪𝘦𝘯𝘵𝘪𝘧𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘧𝘳𝘢𝘯𝘤𝘰𝘱𝘩𝘰𝘯𝘦."
Dans cet épisode, Hervé Poirier nous partage sa vision du journalisme. Pour lui, informer doit se faire par la transmission d'émotions. Le rédacteur en chef estime aussi que le journaliste doit refuser la position du sachant et se placer en dessous du lecteur.
Epsiloon c’est aussi, un record historique de financement participatif sur la plateforme Ulule. Et à ce jour, 95% des revenus de la revue proviennent des abonnés. Pour Hervé Poirier, la transparence est une absolue nécessité pour tisser un lien confiance avec le lecteur.
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