Episodit
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Quel genre de photographe êtes vous pendant vos vacances? Photos de famille, souvenirs de voyage, pas de photo du tout? C’est le thème de cette libre antenne qui est également le dernier épisode de la saison.
On se retrouve en septembre pour la cinquième saison du podcast, et si vous voulez participer aux prochaines libre antennes, rejoignez nous sur le serveur Discord de DLODP: https://discord.gg/HwC7Zyrf4v
Bonnes vacances à tous et toutes. -
Dans la libre antenne, les auditeurs débattent avec moi sur un thème donné. Cette semaine, on se demande s'il est plus facile de photographier au coin de la rue ou au bout du monde?
Enregistrement des libre antennes un dimanche soir sur deux sur le Discord de DLODP: https://discord.gg/CZWRumQtxf
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Puuttuva jakso?
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Et si on plaquait tout pour partir découvrir le monde en famille? C’est l’idée folle qui est passée par la tête de mon invité, et en plus, le fou, il l’a fait.
Six mois, plus de 200 jours à faire un demi tour du monde à quatre, avec des enfants très jeunes, ça demande une certaine organisation. Documenter tout ça, ça place la barre encore plus haut. Mais malgré les embuches et difficultés plus ou moins évidentes et visibles, pouvoir faire découvrir le monde à ses enfants et se reconnecter avec eux quand on est soi-même un grand enfant, c’est une expérience qui n’a pas de prix.
Aujourd’hui, vous allez voir qu’on peut grandir humainement et professionnellement en sortant très loin de sa zone de confort, qu’on peut finalement faire beaucoup avec peu de choses, qu’il n’y a aucune obligation de se conformer aux attentes des autres, que les enfants sont la clef de beaucoup de contacts humains, et qu’il est possible de trouver une femme qui insiste pour qu’on emmène le drone en voyage (mais ne rêvez pas, elle est déjà prise).
Bienvenue dans l'oeil de Bertrand Roguet.
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On ne va pas se mentir, j’ai avant tout fait cet épisode parce que dans mon mois de juin surchargé, je n’ai pas eu le temps de planifier un épisode régulier d’interview. Mais je l’ai déjà dit, le podcast est pour moi un lieu de création, de rencontre, d’expression et d’expérimentations, et à ce titre j’avais depuis longtemps cette idée de libre antenne, que j’ai commencé à poser sans prendre le temps de la développer. Le seul point qui était très clair à mes yeux, c’est que d’avoir créé une communauté Discord était la bonne plate forme et une occasion parfaite pour se lancer dans ce genre d’échanges.
Je suis un enfant des années 80 et 90 et de la bande FM, et ma jeunesse a été marquée par ces émissions tardives où on parlait de tout et de n’importe quoi.Pour cette première tentative, c’est précisément ce qu’on a produit: tout et n’importe quoi. C”est assez fouillis, j’oublie de présenter les gens qui parlent, il y a de longs blancs, et je n’ai absolument pas monté quoi que ce soit, donc c’est du brut de chez brut, du vrai live. Et j’aime bien.
Les interviews ne s’en vont nulle part, mais je m’autoriserai, de la même manière que je suis parfois tout seul, à sortir ce genre d’épisodes de temps en temps. On va affiner un peu et prendre de bonnes habitudes, mais j’ai bien aimé donner la parole à qui veut la prendre, et on a passé un bon moment tous ensemble. Rejoignez nous donc sur le serveur Discord pour participer à la prochaine.
Bienvenue dans les yeux des auditeurs du podcast.
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Je pourrais choisir la facilité et vous dire que mon invitée fait des photos de nu féminin. Je pourrais, et vous savez que j’aime bien forcer le trait des clichés pour en ressortir aussi vite qu’on y est entrés. Mais quand on regarde de plus près, et on va le faire tout au long de cet épisode, on réalise vite que le travail d’Angélique est infiniment plus profond qu’une telle description ne le laisserait paraitre. Avant de photographier le corps, elle photographie l’esprit et le visage, qui relèguent tout le reste au second plan. Avant de parler de technique, elle parle de connexion et de rapport à l’autre, et de l’intimité qui peut se créer le temps d’un portrait entre photographe et modèle.
Elle fait consciemment des choix qui ont un yin et un yang: l’argentique pour les contraintes qu’il lui impose, un corps nu pour mieux mettre en valeur un visage, créer pour soi mais partager pour que la création garde un sens, photographier les autres pour se photographier soi. Ne pas chercher LA photo mais savoir à quel moment on la tient.
Bienvenue dans l'oeil d’Angélique Boissière.
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S’il y a un nom qui revient très souvent dans les requêtes d’invités, c’est bien celui d’Elsa. Et à raison: en plus d’être une photographe lifestyle d’exception, elle a débarqué dans le paysage street Francophone en boulet de canon, s’imposant en moins de trois ans comme une des valeurs montantes du milieu.
Rigoureuses, colorées, inventives, pleines d’humour et toujours dans le bon tempo, ses photos sont un magnifique exemple de ce vers quoi on devrait tous tendre au final: une image, une histoire. Et un petit coté où est Charlie qui n’est pas pour me déplaire.
Dans cet épisode, nous allons parler des effets bénéfiques du confinement, que nous sommes finalement nombreux à avoir ressentis, de la place des femmes dans la photo de rue et des difficultés spécifiques qu’elles peuvent rencontrer, de la bonne façon de faire plein de choses très différentes, de la patience et d’évaluer ses chances, et d’un nouvel outil révolutionnaire pour évaluer si une photo est bonne: le poilomètre.
Bienvenue dans l'oeil d’Elsa Lebaratoux.
Page web de l'épisode: http://www.dlodp.fr/episodes/112
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Pour la toute première fois en 111 épisode, je fais un Q&A où je réponds à toutes vos questions.
Les questions:
- As-tu déjà eu envie d'arrêter la photo?
- Comment pallier au manque d'inspiration?
- Qu'est ce que tu préfères/aimes le moins dans ton métier?
- As-tu un projet de livre photo?
- L'IA peut-elle sauver la photo?
- Comment trouver ses premiers clients quand on est débutant?
-Rise Up v5
- Compagnonnage Vs Workshop?
Le discord tout neuf de DODP: https://discord.gg/be89m62Z7s -
Lundi 28 avril, 10h. J’arrive sur le parking du rendez vous, au coeur de la forêt de Fontainebleau. Des retraités s’échauffent pour leur randonnée, bâtons de marche en main, et s’éloignent alors que je descends de ma voiture, me laissant seul avec un silence dont je n’ai plus l’habitude depuis longtemps, moi qui suis suis habitué à un fond sonore permanent typique de la vie dans une grande ville.
Francesco est déjà là et me repère instantanément. Il est en tenue de randonneur, je suis en pantalon basket, le plus proche de ce que j’aurais pu imaginer devoir porter en ayant cette idée d’enregistrer cet épisode au coeur de son sujet, en pleine forêt.
Il me fait visiter, me montre ses spots préférés, fait une photo en passant, connait la forêt comme je connais les rues en bas de chez moi, et nous escaladons un rocher pour nous retrouver devant une vue digne d’un tableau, où nous surplombons la forêt. C’est là que nous enregistrerons notre épisode, assis à même le sol, avec une vue à couper le souffle, et le vent qui menace de faire tomber mon enregistreur de plusieurs mètres à tout moment.
D’habitude, je vous fais un résumé de ce que nous allons dire, mais cette fois, je pense que le récit de la rencontre vous donnera une bonne idée du personnage que je vais interviewer. Cette année, j’ai décidé que le podcast allait, comme la photo, me faire voir le monde en plus de me faire rencontrer du monde, et j’ai sauté sur l’occasion de découvrir un lieu mystérieux à mes yeux, et aussi de parler du rapport entre photographie et peinture, qui m’intéresse beaucoup en ce moment. Le mail de Francesco est arrivé pile à ce moment là. En Anglais, ça s’appelle “Serendipity”, l’univers qui répond à nos demandes.
Bienvenue avec nous dans la forêt de Fontainebleau. Bienvenue dans l'oeil de Francesco Carovillano.
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Il y a un vrai sujet à photographier son quotidien, et Paul Napo illustre parfaitement cette idée.
Basé en Irlande du coté de Dublin, il photographie les gens qui l’entourent, et de son propre aveu, l’essentiel des photos qu’il publie sont prises dans un rayon de 2 kilomètres autour de chez lui. Notre conversation va donc beaucoup tourner autour du fait de photographier l’intimité des gens, de revenir encore et encore sur les mêmes lieux et les mêmes sujets, de la bonne manière d’approcher les gens, en éveillant la curiosité plutôt que la méfiance, de son talent pour faire des portraits d’enfants, de l’échec invisible, et de comment ça peut s’intégrer, ou pas, dans son quotidien de photographe de mariage.
Bienvenue dans l'oeil de Paul Napo.
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Shooter du sport en argentique, aujourd’hui, à l’heure où l’instantanéité de l’information est reine, c’est clairement pas banal, mais c’est la voie choisie par mon invité qui concilie ainsi deux de ses passions, le foot et le lifestyle qui va avec, et la photographie. De sa première rencontre pas très concluante avec la photo numérique à sa redécouverte du médium par l’argentique, nous allons voir que beaucoup de travail et un peu de débrouillardise, ajoutés à une grosse passion, peuvent être un cocktail détonnant pour se fabriquer une carrière sur mesure.
Aujourd’hui, je vous invite dans une discussion avec un jeune homme qui a la tête bien sur les épaules, où on va parler de travail acharné, de passion dévorante, de l’importance d’être bien conseillé, de ne pas se former sur les réseaux sociaux, de savoir se relever, mais surtout, on va voir que parfois, m c’est l’imperfection qui rend la photo parfaite.
Bienvenue dans l'oeil de Sabi Singh.
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Gaelle, c’est à mes yeux LA personne facile à aborder, et je sais depuis que je la connais que cet épisode parlera avant tout émotion, connexion, et humour, car elle a un humour bien à elle, qu’on retrouve un peu partout dans son travail et dans tout ce qu’elle laisse voir d’elle.
C’est aussi une vision radicalement différente de la mienne de l’enfance, et de la façon de la photographier, parce que nous avons beau avoir certaines expériences en commun, les miennes ont été transformées par la paternité, mais en même temps il n’est jamais trop tard pour ré-apprendre à faire autrement.
Dans cet épisode, on va parler de connexion, d’humour, du langage de l’âme, de discuter avec tout le monde, de carapaces et de les casser, de conditionnement, et de têtards, les Rise-upiens sauront tout de suite de quoi je veux parler.
Bienvenue dans l'oeil de Gaelle Caré.
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La curiosité n’est pas un vilain défaut, bien au contraire. C’est en tout cas l’avis de mon invité qui est avant tout poussé par son envie de contact, d’échanges avec les autres, et sa soif de découvertes à toute épreuve.
Aujourd’hui, nous allons écouter l’histoire de quelqu’un qui s’intéresse à tout, qui avance, qui se préoccupe davantage du chemin que de la destination, et de la joie que le chemin lui apporte plutôt que de sa rentabilité. Quelqu’un qui pratique en premier lieu, parce que la pratique, c’est l’endroit où se fabrique le talent.
Bienvenue dans l'oeil de Romain De Sigalas.
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Et si on parlait de se réinventer? Genaro Bardy était bien installé dans son métier de photographe Parisien, quand il est parti vivre au Brésil, renonçant à 50% de sa clientèle restée en France, pendant que le Covid et les confinements successifs se chargeaient de lui faire perdre les 50% restants.
Face à la nécessité de se réinventer, il s’est dirigé vers l’éducation et le partage du savoir, les livres, ce qui fait une bonne photo, et tout ce qui touche à la street photography en général.
Dans cet épisode, on va parler de ténacité, de faire et de consommer des livres, des échecs qui font avancer, d’être dans le flow, de fonctionner en séries, d’être sincère, de la peur et de ce qu’elle signifie vraiment, de l’effet Batman, de bien travailler sa scène, et de vivre pour photographier plutôt que de photographier pour vivre.
Bienvenue dans l'oeil de Genaro Bardy.
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Normalement, photographe et vidéaste de mariage, c’est chien et chat. Mais parfois, le chien et le chat non seulement parviennent à cohabiter, mais en plus sont meilleurs en équipe que l’un sans l’autre. Ne me dites pas non, vous savez que ça a été le point de départ de beaucoup de très bons films.
J’avais déjà eu l’occasion de discuter avec Alison dans un précédent épisode du podcast, mais elle a sensiblement évolué depuis sa rencontre avec Adrien et ça valait une nouvelle discussion. Je n’avais pas encore eu l’occasion d’enregistrer avec Adrien, mais je savais après avoir vu son travail et avoir un peu discuté avec lui que son approche documentaire et du storytelling donneraient un épisode passionnant. Mais au-delà de ces deux épisodes qui auraient largement pu être distincts, il y a la rencontre, et comme tous mes épisodes sont finalement des histoires de vie, elle est en fait autant sinon plus importante que tout le reste.
Dans cet épisode, on va bien évidemment parler de famille, mais aussi de l’environnement, de conjuguer maternité et entreprenariat, de trouver le fil rouge, d’avoir de l’intention, de ne pas reproduire bêtement ce qui fonctionne chez les autres, des détails et de la bonne façon de les incorporer dans son récit, de destructurer ses vidéos, d’images qui bougent, d’audio, et d’immortalité.
Bienvenue dans l'oeil d’Alison et Adrien, the A-Team.
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Quand on dit “Street Photography”, on pense tout de suite voyage, New York, situations incongrues et rues noires de monde, mais mon invité d’aujourd’hui est davantage le Friendly Neighborhood Street Photographer, qui est aussi à l’aise à faire des photos dans son petit village du Nord de la France que dans les rues commerçantes Parisiennes.
Dans cet épisode, on va parler de curiosité, de faire quelque chose de ses idées, de rencontres, de prendre la peur comme un signal qu’un truc intéressant arrive, de flash, de galoches, de narration, de visibilité, de mode, et d’enfant intérieur.
Bienvenue dans l'oeil d’Alex Dinaut. -
Coralie Garavel a un oeil graphique et coloré, que j’ai longtemps pensé inné, mais vous allez vite comprendre que c’est le résultat d’un travail acharné et de beaucoup de persistance.
Dans cet épisode, on va donc parler de graphisme et de couleurs, d’être la tata cool qui prend des photos, de béton, de se renouveler tout le temps, de la vraie définition du lifestyle, d’utiliser des mots qui ont été usés et abusés, de posing naturel, d’être une personne pleine de couleurs, et d’imperfection.
Bienvenue dans l'oeil de Coralie Garavel.
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Une des expressions Américaines que je déteste le plus, c’est “never meet your heroes (because you’ll end up disappointed)”, parce que je n’aime pas l’idée qu’on se voile la face de peur de prendre la réalité en pleine poire. Si vos héros sont vraiment bien, il en sortent grandis, s’ils sont décevants, autant le savoir vite et s’en trouver des meilleurs.
C’est donc avec une pointe d’appréhension que j’ai rencontré une de mes principales influences, parce que c’est un excellent photographe, mais surtout parce que c’est un excellent créateur qui touche à plein de domaines et partage ce qu’il partage simplement parce qu’il a envie de le faire, comme il parlerait à un pote.
On va parler en Anglais, et c’est pour une bonne raison: je ne pouvais pas lalsser passer la chance d’interviewer Daniel, qui était de passage à Paris et que j’avais prévu de rencontrer, juste parce qu’il ne parle pas Français. Et je suis très content d’avoir saisi cette chance, assis sur un banc au pied de la Tour Eiffel.
Cet épisode va me coûter plus qu’il ne me rapportera: je vais perdre des auditeurs Francophones qui ne le comprendront pas, et je n’ai rien à gagner du coté des Anglophones car ça restera l’exception. Mais il est très intéressant, et au moment de le publier, je me dis qu’il vaut vraiment la peine d’être partagé.
On va parler de la photographie comme d’une petite partie d’une grande conversation, du fait que l’argentique est romantisé, de Roger Ballen qui passe l’air de rien devant nous, de curiosité, d’avoir le cerveau en ébullition en permanence, d’avoir désappris la créativité, de tenir un journal, de s’investir dans ses sujets, d’être vraiment unique, de se comprendre soi-même et de la nécessité d’un vrai editing, qui réduit non pas à 500, mais à 12 photos.
Bienvenue dans l’oeil de Daniel Milnor. -
Pour ce 100ème épisode, je fais un point sur ce qui a évolué dans ma photographie après avoir discuté avec une centaine de photographes différents, j’aborde ma victoire à la Rise Cup et ses effets positifs sur mon mental, et je vous offre le magnifique livre d’Eric Bouvet, Élévations.
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Et si la photo n'était qu'un moyen de partager ce qu'on aime plutôt qu'une fin en soi?
Mon invité a un amour dévorant pour l'automobile, qu'il a couplé à sa passion de la photo pour se créer un métier et une vie sur mesure.
Dans cet épisode on va parler de se différencier de soi-même, de tout donner dès le départ, des choix du journal, d'être au mauvais endroit pile au bon moment, de persévérer, de garder la leçon mais pas le souvenir, et d'un tout petit boulon qui fait de gros dégâts.
Bienvenue dans l'oeil d'Antonin Vincent.
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Si vous suivez le podcast depuis longtemps, vous savez que ma vision des choses, c’est avant tout reportage et moment.
Mon invité, c’est tout le contraire: il réfléchit en amont, il est dans la précision extrême, et ses déclenchements sont rares.
Entre photo d’architecture et argentique, lignes droites et minimalisme, investissement personnel et horizons droits, nous allons surtout discuter d’un projet vraiment à part qui va cumuler un peu de toutes ses expériences: l’expérience de photographier Tchernobyl, normalement une première fois, puis sur de la pellicule irradiée lors de sa seconde visite.
Bienvenue dans l'oeil d'Adrien Michel.
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