Episodit
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Le 20 mai 2025, Sylvain Ferreira, Lara Stam et Christian Vanneste étaient les invités de La Matinale, animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu sur Géopolitique Profonde.
Sylvain Ferreira est un historien militaire français, spécialisé dans l’art de la guerre et son évolution de 1850 à 1945. Il s’intéresse particulièrement à l’impact de l’ère industrielle sur les combattants et a contribué à plusieurs revues d’histoire militaire. Auteur et concepteur de jeux de stratégie, il a récemment publié La bataille de Marioupol : 25 février – 20 mai 2022.
Lara Stam est chroniqueuse et animatrice, passée par Radio Courtoisie avant de rejoindre GPTV, où elle a animé une émission nocturne, « Un Soir avec Lara », et contribue à d’autres formats comme « La Grande émission » sur GPTV et « Le Libre Journal de Géopolitique Profonde » sur Radio Courtoisie.. Spécialiste des questions de souveraineté et d’indépendance géopolitique, elle traite notamment des conflits oubliés (Arménie-Haut-Karabagh) et des enjeux multipolaires.
Christian Vanneste est un homme politique et essayiste français. Ancien membre du RPR puis de l’UMP, il a été député de la dixième circonscription du Nord de 1993 à 1997, puis de 2002 à 2012. Il est également président du RPF 1 de 2012 à 2014 et du think tank la Droite libre depuis 2015.
Révisionnisme historique occidental : un outil de totalitarisme culturel
Selon Lara Stam et Yulia Moskvitshenko, vice-directrice du musée de la Grande Guerre patriotique à Moscou, l’histoire est réécrite pour servir un projet idéologique. L’Occident gommerait le rôle de l’URSS dans la Seconde Guerre mondiale pour construire un récit binaire : l’Ouest comme sauveur, la Russie comme menace.
Sylvain Ferreira dénonce une falsification idéologique des faits historiques. L’histoire ne serait plus enseignée, mais utilisée pour formater. Le passé est modifié pour légitimer un présent déconnecté du réel. Ce révisionnisme sert un projet culturel déconstructeur, hostile à toute racine.
L’idéologie contre le réel
Le révisionnisme historique devient un instrument central du wokisme. Pour imposer que l’identité est fluide, les genres multiples et les civilisations égales, il faut effacer les repères traditionnels. Ce processus s’accompagne de censure, de criminalisation du passé et d’un récit toujours plus autoritaire.
Mais le réel s’impose. Tandis que l’Europe débat de genres et de pronoms, la géopolitique mondiale avance sans elle. À Moscou, Pékin ou Téhéran, la puissance reste structurante. L’Europe woke n’est plus actrice : elle devient spectatrice de son propre effacement.
La prophétie en marche
Le cycle occidental touche à sa fin. Son récit ne fédère plus. Il aliène. Les peuples décrochent. L’insécurité, la crise éducative et l’effondrement moral accélèrent. Le discours dominant, de plus en plus autoritaire, ne masque plus la réalité d’un système à bout de souffle.
Face à cela, les nations enracinées et les puissances continentales reprennent le devant. L’histoire avance. L’Occident, en niant ses racines, se marginalise. Ce n’est pas la Russie qui falsifie l’histoire, mais l’Europe qui la fuit. L’Histoire continue… sans elle.
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Le 19 mai 2025, Nicolas Stoquer et Lara Stam étaient les invités de Mike Borowski sur Géopolitique Profonde !
Lara Stam est chroniqueuse et animatrice, passée par Radio Courtoisie avant de rejoindre Géopolitique Profonde et GPTV. Spécialiste des questions de souveraineté et d’indépendance géopolitique, elle décrypte avec un ton incisif les crises internationales et les rapports de force mondiaux. Elle traite notamment des conflits oubliés (Arménie-Haut-Karabagh) et des enjeux multipolaires. Sur GPTV, elle a animé une émission nocturne, « Un Soir avec Lara », et contribue à d’autres formats comme « La Grande émission » sur GPTV et « Le Libre Journal de Géopolitique Profonde » sur Radio Courtoisie.
Nicolas Stoquer, diplômé de Sciences Po Paris, est titulaire d’un doctorat de Philosophie Politique. Il a été 28 ans fonctionnaire de l’Éducation nationale et du Ministère de l’économie et des finances en tant que Comptable Public. Il est un animateur phare de GPTV, où il dirige La Matinale et L’Actualité de midi. Ces émissions, mêlant revue de presse et analyses approfondies, sont devenues incontournables pour les spectateurs en quête d’une lecture alternative et critique des enjeux sociétaux, géopolitiques ou économiques.
Kiev, laboratoire du pouvoir occulte américain
Depuis Maïdan, l’Ukraine est perçue comme une base avancée du globalisme occidental. Washington y aurait établi un système de corruption, d’expérimentation biologique et d’exploitation humaine. Kiev, selon cette lecture, serait devenue un centre mafieux déguisé en démocratie, au service d’une élite qui instrumentalise la souffrance pour ses propres intérêts.
L’État profond occidental au bord de l’implosion
Les élites occidentales sont accusées de gouverner par la coercition culturelle. Sexe, drogues et idéologie de genre seraient utilisés pour déstabiliser les repères identitaires. Hollywood, Bruxelles et la Silicon Valley imposeraient une morale inversée, pathologisant les racines et criminalisant la différence.
Ce système ne tolérerait aucune alternative : toute opposition serait systématiquement disqualifiée. L’Occident ne serait plus un pôle de progrès, mais un vecteur de désintégration intérieure.
La Russie, bastion contre le nihilisme occidental
Moscou incarnerait aujourd’hui une résistance au déclin civilisationnel de l’Occident. En défendant souveraineté, ordre et sacré, la Russie proposerait un modèle alternatif. Poutine redonnerait sens à la notion de civilisation.
Le Sud global s’en rapprocherait : Afrique, Asie et Moyen-Orient verraient en la Russie un contre-pouvoir crédible face aux pressions occidentales. La Russie apparaîtrait comme un pilier de stabilité et d’équilibre identitaire.
La France face à son destin
La France, à l’instar de la Russie, pourrait retrouver son autonomie. Cela impliquerait de rompre avec l’OTAN, de désobéir à Bruxelles, et de restaurer les fondements nationaux : souveraineté, famille, transcendance.
Portée par une mémoire de résistance, la France pourrait redevenir un pôle de contestation culturelle et géopolitique. Le choix serait clair : suivre l’empire ou raviver la nation.
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Puuttuva jakso?
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Le 19 mai 2025, Nicolas Stoquer révèlait comment Macron, accusé d’ingérence via Telegram, aurait orchestré une fraude électorale en Roumanie pour empêcher la victoire de George Simion, sur GPTV !
Macron pris la main dans le sac
Emmanuel Macron est accusé d’ingérence dans la présidentielle roumaine de 2025. Pavel Durov, fondateur de Telegram, a révélé une tentative de censure orchestrée par un pays occidental visant des chaînes pro-Simion. Sans citer la France, les indices convergent. Durov a dénoncé une manipulation d’opinion et rejeté fermement la demande. Le Quai d’Orsay a réagi avec un démenti jugé vide et suspect.
En Roumanie, George Simion a fustigé Macron, l’accusant de vouloir empêcher l’émergence de leaders patriotes. La presse roumaine a relayé l’affaire comme un cas flagrant de néocolonialisme européen, attisant une polarisation de l’opinion publique. Macron incarne désormais, pour beaucoup, l’arrogance technocratique de Bruxelles.
Une élection verrouillée par le système
La présidentielle roumaine 2025 aurait été biaisée dès le départ. George Simion aurait affronté un appareil verrouillé : médias, institutions, observateurs. Des fraudes ont été relevées : listes électorales douteuses, votes multiples, pression sur les électeurs. Au second tour, face à Nicușor Dan, ces irrégularités auraient été amplifiées.
Dan, perçu comme pro-européen, a bénéficié d’un traitement de faveur. Les partisans de Simion ont été censurés, surveillés, criminalisés. Les résultats dans les fiefs nationalistes, aux taux de participation anormalement bas, contrastent avec des scores “soviétiques” en zones favorables à Dan. Le résultat final, 53,6 %, sent la manipulation.
La Roumanie avait déjà annulé une élection en 2024 pour ingérence russe. Cette fois, l’ingérence viendrait de Paris. Le vote réel aurait été confisqué pour empêcher une victoire souverainiste.
Le masque démocratique de l’Union européenne
Cette séquence révèle l’hypocrisie de l’UE. Quand un pays vote contre l’agenda eurocratique, l’État de droit est invoqué. Mais en cas de fraude favorable, silence complet. Si une affaire Telegram avait concerné Poutine, le tollé aurait été mondial. Là, c’est la France, et tout le monde détourne le regard.
Macron incarne une ingérence humanitaire 2.0 : décider qui peut être élu, au nom des valeurs. Ce néocolonialisme vise à contenir les résistances internes à l’UE. La Roumanie est un terrain d’essai. D’autres pays suivront : Hongrie, Slovaquie, Italie.
Les conséquences sont lourdes. En Roumanie, la confiance dans la démocratie s’effondre. Les jeunes rejettent le modèle occidental perçu comme hypocrite. La victoire de Dan est vue non comme un triomphe démocratique, mais comme l’imposition d’un vassal par l’empire eurocratique.
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Le 19 mai 2025, Claude Janvier, Xavier Moreau et Éric Denécé étaient les invités de La Matinale de GPTV animée par Nicolas Stoquer !
Claude Janvier, écrivain et essayiste français, est l’auteur de plusieurs ouvrages qui explorent les dynamiques de pouvoir et les influences cachées au sein des structures étatiques et supranationales. Son dernier livre s’intitule « L’État Profond Français ».
Xavier Moreau est un analyste français spécialisé dans les relations internationales. Diplômé de Saint-Cyr et ancien officier parachutiste, il est titulaire d’un DEA en relations internationales de Paris IV Sorbonne, où il s’est spécialisé dans les relations soviéto-yougoslaves pendant la guerre froide. Résidant en Russie depuis 24 ans, il dirige la société LinkIT Vostok. Installé à Moscou depuis de nombreuses années, il se consacre à la géopolitique russe et a fondé le centre d’analyse Stratpol. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont « Nouvelle Grande Russie » et « Pourquoi la Russie a gagné ? ».
Éric Denécé est un spécialiste français du renseignement et de l’intelligence économique. Il est le fondateur et directeur du Centre français de recherche sur le renseignement (CF2R). En outre, il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur les questions de sécurité.
Poutine impose sa paix, pas celle de l’OTAN
La position russe est claire : victoire stratégique, souveraineté et sécurité. Lors des pourparlers d’Istanbul, Vladimir Poutine ne cherche pas un compromis mais impose un nouvel équilibre. Pour lui, chaque négociation s’inscrit dans une logique de puissance. Le cessez-le-feu proposé par Macron est perçu comme un outil masqué d’intervention européenne. Moscou le rejette : la Russie veut un règlement, pas un gel du conflit.
Cette stratégie est réaliste : nommer l’ennemi, fixer les lignes rouges, agir pour l’intérêt national. L’objectif russe est d’éviter l’encerclement, restaurer une profondeur stratégique et éradiquer les foyers de déstabilisation. Les propositions occidentales, jugées creuses, sont ignorées.
L’Occident en panne de réalité
Pendant que Moscou avance, l’Occident se perd. Paris, Berlin et Bruxelles appellent à la paix, sans vision stratégique. Leurs démarches diplomatiques reposent sur une ambiguïté constante. L’idée d’envoyer des troupes sous prétexte humanitaire masque la peur d’un affrontement direct.
L’Occident connaît une double faillite : militaire, les livraisons d’armes ayant peu d’effet ; morale, avec l’effondrement des repères culturels et sociaux. Cette faiblesse intérieure se reflète dans une diplomatie désincarnée. Poutine, en contraste, avance dans la continuité, fondée sur la stabilité et le réel.
Trump relégué au rôle de figurant
Trump, ancien maître du jeu diplomatique, n’a plus d’impact sur la guerre en Ukraine. Son entretien prévu avec Poutine relève du symbole, pas de l’influence. Il s’adresse à ses électeurs, mais Moscou ne l’écoute plus. Les États-Unis ont perdu l’initiative. Le pouvoir se déplace.
Poutine, en concédant quelques mots à Trump, lui offre une sortie honorable sans rien lui céder. Ce jeu subtil illustre une bascule : Washington parle, mais n’est plus entendu. La Russie s’impose comme puissance centrale, pendant que l’Occident regarde son autorité vaciller.
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Le 18 mai 2025, Nicolas Stoquer vous dévoilait son entretien exclusif tourné en Russie avec Yury Afonin !
Yury Afonin est député à la Douma d’État et Premier vice-président du comité central du Parti communiste de la Fédération de Russie (PCFR). Il siège au Comité de sécurité et de lutte contre la corruption, à la Commission budgétaire de la défense ainsi qu’à la Commission de déclaration des revenus et du patrimoine des députés. Figure montante du PCFR, il incarne une ligne patriote, souverainiste et sociale, prônant un État fort, une économie planifiée, et une rupture assumée avec l’idéologie libérale occidentale.
Le socialisme patriotique à la russe
Le PCFR ne suit plus l’orthodoxie marxiste-léniniste. Il prône une économie mixte : propriété privée et initiative individuelle sont acceptées, si elles servent l’intérêt général. L’État contrôle les secteurs clés, oriente l’investissement, et assure une redistribution réelle.
Sa planification est souple et axée sur les besoins collectifs. Le parti défend la réindustrialisation, la souveraineté alimentaire, la gestion des ressources naturelles, et rejette l’extraversion néolibérale. Il cible les oligarques, pas les petits entrepreneurs, prône une fiscalité progressive et des investissements publics massifs.
Défense de la souveraineté et critique de l’Occident
Le PCFR soutient l’intervention en Ukraine, perçue comme une action défensive. Il dénonce l’OTAN comme force déstabilisatrice et les sanctions comme une tentative d’asphyxie économique. Ces mesures sont vues comme des occasions stratégiques pour relocaliser et renforcer les alliances alternatives.
L’Europe est perçue non comme ennemie, mais comme soumise à une élite inféodée à Washington. Le parti appelle à reconstruire une diplomatie continentale affranchie de l’atlantisme.
Une critique radicale des dérives sociétales
Le PCFR a pris un virage conservateur. Il défend la famille, rejette les théories de genre et critique la culture woke, qu’il considère comme un outil de domination culturelle. Il affirme que les partis communistes occidentaux se sont perdus dans l’idéologie minoritaire.
Il valorise la stabilité familiale, la transmission culturelle, et rejette la déconstruction historique. Il soutient la liberté d’expression, mais dans un cadre ancré dans les valeurs nationales.
Un héritage revendiqué, mais modernisé
Le PCFR assume l’héritage soviétique : éducation gratuite, santé universelle, souveraineté. Il rejette la période Gorbatchev-Eltsine, perçue comme une trahison. Son objectif : réutiliser les acquis de l’URSS en rejetant ses dérives bureaucratiques.
L’éducation politique est centrale. Le parti veut réformer l’école pour transmettre l’histoire nationale, cultiver l’esprit critique et libérer la jeunesse de l’influence occidentale.
Une alternative politique crédible
Le PCFR se présente comme la principale opposition structurée. Il refuse la rupture frontale avec le pouvoir, propose une redirection et parle à toutes les couches sociales. Il rejette les clivages artificiels, appelle à un bloc populaire et offre une gauche d’ordre, un patriotisme social, une réforme par enracinement.
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Le 18 mai 2025, Mike Borowski vous donnait rendez-vous pour une émission sans filtre sur GPTV : Juan Branco hospitalisé pour une intoxication suspecte.
Il y a quelques jours nous recevions Pierre Jovanovic qui nous confiait avoir été ciblé par une intervention policière suivie d’une tentative d’internement. Deux affaires en apparence distinctes, mais qui interrogent sur le climat politique et judiciaire actuel.
Pourquoi ces figures dissidentes sont-elles aujourd’hui dans le viseur ?
L’affaire Juan Branco : une intoxication qui soulève des interrogations
Juan Branco a été hospitalisé d’urgence au Sénégal, puis transféré à Paris. Les analyses auraient révélé une intoxication aiguë, évoquant un empoisonnement. Officiellement, rien n’est confirmé, mais ses proches s’inquiètent. Il revenait d’un engagement politique fort en Afrique, notamment en soutien à Ousmane Sonko, opposant sénégalais. Ses prises de position contre les pouvoirs sénégalais et français pourraient lui avoir attiré des inimitiés. Accident, négligence ou acte délibéré ? Le silence officiel entretient le doute.
Pierre Jovanovic : une intervention musclée et opaque
Pierre Jovanovic rapporte une descente chez lui impliquant la BAC et le GIPN, accompagnée d’une équipe médicale voulant l’interner. Aucun fondement judiciaire n’a été communiqué. Connu pour ses critiques sur les médias et les élites financières, il voit dans cet épisode une tentative de le faire taire. Le recours à des moyens psychiatriques pour traiter une voix dissidente serait un précédent inquiétant, s’il était avéré.
Pression sur les voix dissidentes : l’affaire Branco relance le débat
Malgré des profils et des contextes différents, ces deux affaires touchent des figures indépendantes et critiques du pouvoir. Ni Branco ni Jovanovic n’ont été condamnés pour des propos violents ou subversifs. Pourtant, ils subissent des événements aux conséquences potentiellement graves. Depuis des années, des journalistes, intellectuels et lanceurs d’alerte dénoncent intimidations et censures. Le terme « complotiste » sert souvent à disqualifier ces voix sans examen du fond. Or, la démocratie exige que tous puissent s’exprimer sans craindre pour leur santé ou leur liberté.
Le besoin urgent de transparence et de garanties
Il ne s’agit pas d’avaliser toutes les thèses ni de jeter l’opprobre sans preuve. Mais deux personnalités médiatiques confrontées à de tels faits, à quelques jours d’intervalle, nécessitent une clarification.
L’équilibre démocratique repose sur la transparence. Si le pouvoir agit sans rendre compte, il sape sa propre légitimité. Enquêtes ouvertes, respect des droits fondamentaux et protection des opposants sont des impératifs. La démocratie ne s’honore que si elle protège aussi ceux qui dérangent.
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Le 18 mai 2025, le Colonel Jacques Hogard et Sylvain Durain étaient les invités de Nicolas Stoquer et Lara Stam, pour Le Libre Journal de Géopolitique Profonde !
Le Colonel Jacques Hogard est un ancien officier supérieur de l’armée française, spécialiste des opérations extérieures. Il critique certaines interventions occidentales et la politique étrangère française, notamment vis-à-vis de l’OTAN. Il est l’auteur de La guerre en Ukraine, L’Europe est morte à Pristina, et Les larmes de l’honneur.
Sylvain Durain, auteur, réalisateur et éditeur aux Éditions du Verbe Haut, est spécialisé dans les systèmes familiaux, religieux et politiques. Il a récemment publié René Girard, du désir à la violence, une exploration du penseur qui a profondément renouvelé l’analyse de la violence humaine et du religieux.
Le retour du sacrifice dans une modernité sans transcendance
La disparition du père dans les sociétés occidentales est un bouleversement anthropologique. Sans père, plus de Loi ni de limite. Le matriarcat s’installe non comme douceur mais comme pouvoir, absorbant la transcendance au nom d’un care devenu contrôle. L’avortement, perçu comme liberté, devient un nouveau sacrifice collectif.
René Girard l’avait anticipé : sans rituel, la violence resurgit. Le diable moderne prend l’apparence de la victime pour légitimer l’élimination de l’autre. Le sacrifice ne disparaît pas, il devient central dans une société désacralisée. Sous couvert de justice, on répète le meurtre.
Le totalitarisme comme rite sacrificiel absolu
Au XXe siècle, totalitarismes fasciste, nazi et communiste ont réinventé le sacrifice à l’échelle industrielle. La guerre devient un rituel païen où l’homme, privé de transcendance, devient victime expiatoire. Auschwitz, le Goulag, Hiroshima : liturgies profanes d’une modernité sans Dieu.
Cette guerre n’aspire plus à sauver, mais à purifier. L’idéologie remplace Dieu, exige le sang pour affirmer sa légitimité. Le langage du sacré est subverti : l’ennemi devient bouc émissaire, l’extermination un salut collectif. L’homme, privé de Vérité, accepte de tuer au nom du Bien.
La messe, unique contre-sacrifice chrétien
Contre cette logique, le christianisme oppose la messe : non un sacrifice répété, mais la réactualisation de l’unique don du Christ. Le Christ se donne, refuse d’être bourreau ou victime. Il démasque le mensonge sacrificiel. L’eucharistie libère, elle n’appelle à aucun autre meurtre.
Avec le colonel Hogard, la guerre juste reprend sens. Le christianisme n’exclut pas la guerre, mais la restreint : elle doit être défensive, limitée, au service de la paix. L’Ukraine devient symbole : conflit géopolitique ou combat spirituel ? Le chrétien ne peut sanctifier la guerre, mais doit y voir l’échec de la fraternité humaine.
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Le 17 mai 2025, Nicolas Stoquer vous dévoilait son entretien exclusif tourné en Russie avec Alexandre Douguine, sur GPTV !
La qualité audio de ce podcast sera très prochainement améliorée.
Alexandre Douguine est un philosophe et stratège russe, considéré comme l’un des penseurs géopolitiques les plus influents de la Russie contemporaine. Théoricien du néo-eurasisme, il rejette le modèle libéral occidental et défend un ordre mondial multipolaire fondé sur des blocs civilisationnels autonomes. Alexandre Douguine plaide pour une Europe continentale souveraine, alliée à la Russie, face à l’hégémonie atlantiste.
L’effondrement du pôle globaliste
Le monde unipolaire dominé par l’axe américano-européen s’effondre. Ce modèle, imposé après l’URSS, reposait sur une élite transatlantique libérale et technocratique, promouvant la dérégulation et l’universalisation des valeurs occidentales. Il se désintègre face aux fractures internes américaines et à la crise du système démocrate. L’Europe, privée de cap, en reste prisonnière. Davos, Bruxelles, OTAN apparaissent comme des reliques.
L’Ukraine est le dernier bastion sacrificiel du globalisme. Utilisée pour entretenir une illusion idéologique, elle masque l’impuissance des élites européennes, accrochées à un ordre périmé.
La recomposition en pôles civilisationnels
Le monde se restructure autour de pôles enracinés dans leur culture et histoire : Chine, Inde, Russie, islam, Afrique, Amérique latine. Ce pluralisme vertical remplace la domination idéologique globale. Chaque entité fonde désormais sa légitimité sur sa cohérence interne.
La Russie émerge comme acteur majeur. Elle se définit par l’orthodoxie, l’héritage byzantin et une vision impériale. Elle oppose à l’ordre post-historique occidental une conception ancrée du pouvoir et de la mémoire.
L’Europe piégée entre deux mondes
L’Europe apparaît dominée, étranglée par l’atlantisme. Son identité est diluée, son pouvoir confisqué, ses peuples écartés. L’élite européiste, fidèle au globalisme, soutient Zelensky, méprise les souverainetés nationales et s’accroche à un paradigme rejeté jusque chez elle.
Pour Douguine, seule une mémoire d’une Europe enracinée peut relancer un réveil politique. Cela suppose de rompre avec la domination technocratique et les élites globalistes.
Vers une Europe continentale souveraine
L’alternative passe par une Europe continentale, gaullienne, affranchie de l’OTAN, redevenant souveraine militairement, énergétiquement, diplomatiquement. Une Europe de l’Atlantique à l’Oural, consciente de ses liens civilisationnels avec la Russie.
Ce projet suppose une rupture stratégique avec Washington et un retour à la verticalité politique. Il ne s’agit pas de nostalgie, mais d’un acte fondateur.
Restaurer la tradition comme acte géopolitique
Le cœur du combat est identitaire. Le globalisme vise la désintégration culturelle. Pour s’en libérer, chaque peuple doit renouer avec sa tradition, comme socle politique. Ce retour est amorcé en Russie, Chine, Inde.
L’Europe doit relire son histoire avec lucidité, reconstruire une mémoire active. La tradition devient un moteur d’avenir. La westernologie, critique de l’occidentalisation, éclaire la bifurcation civilisationnelle et la restauration de l’unité culturelle.
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Le 17 mai 2025, nous révélions en exclusivité pour GPTV Investigation, les dessous explosifs du procès Rey-Macron : une carte d’électeur contestée, des preuves absentes, des plaignants invisibles… et un verdict qui pourrait bouleverser la liberté d’enquête en France.
Procès en appel suivi en direct : nous étions seuls dans la salle
Le procès opposant Natacha Rey et Amandine Roy à Brigitte et Jean-Michel Trogneux s’est tenu dans une salle quasi vide, sans présence médiatique. Pourtant, les enjeux juridiques et politiques sont considérables. En décembre 2021, Rey remettait en cause l’identité de Brigitte Macron dans une vidéo relayée par Roy. Condamnées en première instance, les deux femmes contestent la procédure en appel.
Me François Danglehant, avocat de Rey, accuse le premier jugement d’être basé sur des motifs absents de l’ordonnance. Il évoque une falsification de procédure et nie toute mention de faux actes d’état civil ou de transidentité. Il réclame l’annulation du jugement pour “faux en écriture publique”.
La défense insiste sur la liberté d’expression et le droit à la critique publique. Me Maud Marian, avocate de Roy, invoque la bonne foi et l’indépendance éditoriale, soulignant que sa cliente n’est pas l’autrice de la vidéo.
Une preuve unique et contestée : la carte d’électeur
Me Jean Ennochi, avocat de la partie civile, présente une photocopie de carte d’électeur de Jean-Michel Trogneux comme preuve de son existence. Mais la défense conteste : une copie non authentifiée n’a pas de valeur probante. Surtout, elle souligne l’absence de documents officiels comme un acte de naissance.
Danglehant affirme que la mairie d’Amiens n’a pas pu fournir l’acte de naissance demandé, renforçant le doute. Selon lui, condamner une enquête sur cette seule base serait juridiquement infondé. La vidéo présentée en preuve est mal structurée et jugée peu convaincante, ce qui affaiblit la crédibilité de l’accusation. Les 15 000 euros de dommages réclamés paraissent excessifs au vu de la légèreté du dossier.
Absents à l’audience : les Trogneux choisissent le silence
Ni Brigitte Macron ni Jean-Michel Trogneux ne se sont présentés à l’audience. Officiellement, pour éviter la surmédiatisation. Mais dans une affaire d’atteinte à la réputation, cette absence accroît le doute. Aucun document officiel n’a été produit en leur nom.
Pour la défense, ce silence empêche toute confrontation directe. La cour a refusé de convoquer les plaignants ou d’exiger les pièces d’état civil, ce que la défense interprète comme un refus d’instruire pleinement le dossier.
Cette stratégie alimente les soupçons. Le refus d’apparaître ensemble, alors que la plainte repose sur leur coexistence, est perçu comme une incohérence. Le procès, au lieu de clore le débat, l’a ravivé.
Le verdict est attendu le 10 juillet. Il décidera non seulement du sort des prévenues, mais aussi du droit d’enquêter, de la transparence judiciaire et de la liberté face aux tabous institutionnels.
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Le 17 mai 2025, Mike Borowksi révélait pourquoi l’Union européenne, Emmanuel Macron et les élites occidentales ont saboté la paix à Istanbul pour imposer une guerre perpétuelle et verrouiller le contrôle des peuples, sur GPTV.
La paix refusée pour prolonger l’ordre établi
Les négociations d’Istanbul n’avaient aucune chance d’aboutir. La délégation ukrainienne, guidée par Zelensky, a quitté la table après des échanges figés, dictés par des exigences irréalistes : retrait total russe, abandon des territoires conquis, retour aux lignes de 2014. Ces conditions rendaient tout accord impossible.
L’Occident n’a aucun intérêt à la paix. Tant que la guerre continue, les États-Unis et l’Union européenne justifient un contrôle accru des populations, des dépenses militaires massives et une propagande permanente. Le conflit devient un outil politique, un cadre structurant qui empêche le retour à la souveraineté nationale, monétaire ou énergétique.
Refuser la paix est une stratégie. En écartant les médiations alternatives (Chine, Afrique du Sud) et en maintenant une ligne intransigeante, les Européens institutionnalisent la guerre. Elle sert à encadrer les colères sociales, à légitimer l’autorité et à maintenir un ordre politique verrouillé.
Macron verrouille toute issue diplomatique
Macron ne joue pas un rôle secondaire : il est au cœur du dispositif. Il multiplie les déclarations offensives, rejette tout compromis et alimente l’escalade : armements, formation de troupes ukrainiennes, sanctions renforcées. Il incarne la stratégie du conflit prolongé.
Son objectif est double : renforcer la position centrale de la France dans le bloc occidental et éteindre toute voix dissidente. Viktor Orbán et autres critiques sont marginalisés. Toute opposition devient suspecte. Macron verrouille le débat comme il verrouille l’issue : la paix ne peut passer que par la capitulation de la Russie, toute autre voie est exclue.
Cette posture sacrifie la diplomatie française traditionnelle. Paris s’aligne désormais sur les intérêts de l’OTAN, renonçant à tout rôle de médiateur. La France n’essaie plus de rapprocher les camps, elle impose un scénario unique. Ce dogmatisme empêche toute solution politique.
L’Europe entretient la guerre pour se maintenir
L’Union européenne tire profit du conflit. Elle centralise le pouvoir, contourne les souverainetés nationales, et impose des régimes d’exception. Sous couvert de solidarité, elle accélère ses projets : fiscalité commune, réarmement massif, surveillance accrue.
Le choc énergétique, les hausses de prix, les restrictions sont justifiés par l’effort de guerre. Toute critique est disqualifiée comme « pro-russe ». L’opposition est exclue du débat. Le conflit devient une arme politique pour neutraliser les résistances sociales.
En maintenant la guerre, l’UE renforce aussi la dépendance : militaire aux États-Unis, économique à Bruxelles, diplomatique à Paris et Berlin. La paix remettrait en cause cet édifice. Elle n’est donc ni négociée, ni souhaitée. Elle est devenue une menace pour l’ordre établi.
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Le 17 mai 2025, Jean-Luc Robert était l’invité de Mike Borowski pour Le Libre Journal de Géopolitique Profonde !
Jean-Luc Robert est un auteur et conférencier, connu pour ses analyses critiques des dérives sociétales, liées à la santé mentale et à la neurodiversité. Après une carrière en tant que psychologue spécialisé dans les troubles du comportement chez les enfants, il se tourne vers l’écriture pour dénoncer les excès de la médicalisation à outrance. Son dernier ouvrage, NeuroVibe: NeuroDiversité de A à Z, est une plongée critique et documentée dans le phénomène de la neurodiversité, entre avancée sociétale et risque de fragmentation sociale, à travers les prismes du TDAH, TSA, HPI, HPE, DYS et LGBTQIA+.
La fabrique du crétin moderne : quand la jeunesse est programmée pour la dépendance
Le système investit massivement dans la neutralisation mentale de la jeunesse. École, médias et divertissement convergent vers une destruction du sens critique. L’école, jadis lieu d’élévation, privilégie désormais bienveillance et égalité émotionnelle au détriment de la mémoire, de l’exigence et de l’autorité.
Résultat : une jeunesse désarmée, dépendante des écrans, coupée de sa culture. Le système forme des consommateurs passifs et déracinés. L’industrie culturelle, avec ses contenus courts et simplistes, participe à cette désintégration cognitive. Le temps long disparaît, la lecture est marginalisée. Le jeune devient un individu hyper-connecté, sans repères stables, incapable de révolte. L’objectif est clair : neutraliser toute contestation.
Big Pharma et médicalisation de la jeunesse : un contrôle par les médicaments
À ce conditionnement s’ajoute une médicalisation massive des comportements. Big Pharma infiltre les institutions éducatives et psychiatriques, imposant une lecture biomédicale des difficultés scolaires. Un enfant distrait devient « TDAH », un ado triste « dépressif », un timide « autiste Asperger ». Ces diagnostics permettent une prescription systématique de médicaments.
Les traitements comme la Ritaline et les antidépresseurs pour enfants explosent, modifiant le cerveau en développement. Les effets secondaires sont minimisés, les études biaisées, et les médecins transformés en relais des laboratoires. L’objectif n’est pas de soigner, mais de formater des enfants dociles et dépendants. Big Pharma ne soigne pas, elle conquiert un marché.
Culpabilisation des parents et destruction de l’autorité
Le système sape aussi l’autorité parentale. L’enfant devient le centre, l’adulte s’efface. L’éducation verticale est remplacée par une horizontalité nuisible. Les enfants deviennent tyranniques, incapables de frustration, et les parents, culpabilisés, doivent se justifier à chaque malaise.
Cette idéologie permet au système de remplacer les familles : l’école prescrit, l’État surveille, les psychologues diagnostiquent, Big Pharma médicamente. L’éducation devient un domaine technocratique. Les familles perdent leur rôle, réduites à un soutien affectif. En culpabilisant les parents, le système impose un modèle d’enfant standardisé, flexible, prêt à être intégré à la machine sociale.
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Le 16 mai 2025, Franck Pengam, Lara Stam et Olivier Duteil étaient les invités de Nicolas Stoquer pour émission exceptionnelle sur Géopolitique Profonde : après une immersion de plusieurs jours à Moscou, notre équipe GPTV vous livre tous les détails de cette incursion inédite, au cœur du pouvoir russe.
À l’occasion des célébrations du 9 mai, nous avons obtenu un accès exclusif aux plus hautes sphères politiques, géopolitiques et culturelles de la Russie. Ce reportage unique, fruit d’un travail de terrain sans précédent, révèle une Russie mobilisée, souveraine, et déterminée à affronter les défis de l’époque. Ne manquez pas cette plongée sans filtre dans la capitale d’un pays en pleine affirmation historique.
Franck Pengam est analyste géopolitique et expert en métaux précieux, fondateur de Géopolitique Profonde et de la chaîne YouTube GPTV. Spécialiste des crises économiques et de la dédollarisation, il propose des analyses indépendantes sur les BRICS et l’effondrement financier mondial.
Lara Stam est chroniqueuse et animatrice, passée par Radio Courtoisie avant de rejoindre Géopolitique Profonde et GPTV. Spécialiste des questions de souveraineté et d’indépendance géopolitique, elle décrypte avec un ton incisif les crises internationales et les rapports de force mondiaux.
Russie en ordre de bataille
Le 9 mai à Moscou a révélé bien plus qu’une simple commémoration : c’est un pays en état de mobilisation totale que l’équipe de Géopolitique Profonde a rencontré. Présents au cœur des célébrations, un accès inédit a été obtenu aux cercles influents du pouvoir russe. Des entretiens ont été menés avec des députés, ministres, chefs de partis, intellectuels et figures culturelles, tels que Dougine, Tolstoï, Zakharova, Simonian. Tous affirment : la Russie est prête, unifiée et déterminée.
Loin des fractures occidentales, la société russe affiche une cohésion remarquable. Enfants en uniformes, jeunes femmes engagées, citoyens fiers : la mobilisation est vécue comme un devoir sacré. La Russie avance avec calme, non comme un État assiégé, mais comme une civilisation debout.
Sécurité, discipline, puissance
Moscou impressionne par sa sérénité. Malgré la guerre, la ville fonctionne efficacement. La sécurité est visible, mais sans tension. Le sentiment de protection découle d’une discipline civique et d’une présence policière discrète. Les Moscovites vivent sans peur. Cette stabilité montre un État fort et une société civile solide.
La modernité de Moscou contraste avec le déclin des métropoles occidentales. Infrastructures impeccables, transports fluides, économie dynamique : la guerre structure la Russie. Ici, pas d’auto-flagellation : le pays construit et avance.
Une France trahie par ses élites, aimée par les Russes
Dans chaque entretien, revient un constat inattendu : l’amour intact des Russes pour la France. Politiques et intellectuels saluent notre culture et notre passé révolutionnaire. Ils espèrent un réveil du peuple français, un sursaut de souveraineté. Cette fidélité culturelle contraste avec le mépris envers des élites jugées soumises à l’étranger.
La Russie voit la France comme un géant trahi par ses dirigeants. Tandis que Moscou resserre ses rangs, Paris s’enlise dans l’autocensure. Les Russes espèrent son retour. En attendant, ils avancent sans elle, convaincus que l’avenir appartient aux peuples enracinés.
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Le 16 mai 2025, Mike Borowski dévoilait le projet implacable du WEF : remplacer l’humain occidental affaibli par la machine, dans une mécanique de dépopulation froide et stratégique, sur Géopolitique Profonde.
Une stratégie de dénatalité masquée
Le World Economic Forum (WEF) promeut depuis des décennies des politiques influençant la natalité : accès facilité à la contraception, avortement, et encouragement des carrières féminines avant la maternité. Ces initiatives, présentées comme des avancées sociales, contribuent à la baisse des taux de natalité dans les pays occidentaux.
Ce déclin démographique est utilisé pour justifier une transformation économique radicale. Avec une population vieillissante, les élites technocratiques avancent l'idée d'une société gérée par des machines, où la robotisation compense le manque de main-d'œuvre.
BlackRock : investissements stratégiques dans l’IA et la robotique
BlackRock, par sa puissance financière, joue un rôle clé dans cette transition. Le fonds d’investissement oriente des capitaux massifs vers l’intelligence artificielle et la robotique. Larry Fink, son PDG, affirme que les pays à population décroissante bénéficieront de l'automatisation pour maintenir leur niveau de vie.
Les investissements se concentrent sur des secteurs visant à maximiser la productivité sans intervention humaine, renforçant l'idée que la machine est la solution à la crise démographique.
Transhumanisme : nouvelle norme des élites
Le transhumanisme s'impose comme l'idéologie dominante de cette nouvelle ère. Le WEF intègre cette vision dans ses perspectives d'avenir, prônant l'augmentation de l'humain par la technologie. Des projets de neurotechnologie, comme ceux de Blackrock Neurotech, visent à connecter directement le cerveau humain au cloud, transformant le corps en interface adaptable.
Ces initiatives, financées par des acteurs majeurs, ne visent pas uniquement le confort ou la guérison, mais le contrôle et la modification de l'humain. Le corps social est formaté pour une fusion totale avec la machine, rendant l'humain manipulable et remplaçable.
Ce processus est planifié, financé et orchestré par une élite globale. La dénatalité n'est pas une dérive, mais une étape. Le remplacement de l'humain n'est pas un accident, mais un projet. Le transhumanisme n'est pas un fantasme, mais le futur selon le WEF.
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Le 16 mai 2025, Marc-Gabriel Draghi, Terence d’Araucanie, Alexis Poulain et François Martin étaient les invités de La Matinale, animée par Raphaël Besliu, sur Géopolitique Profonde.
Marc-Gabriel Draghi est un juriste français spécialisé dans l’histoire du droit. Auteur de plusieurs ouvrages, dont Le règne des marchands du temple et La Grande Narration, il critique le projet du Forum économique mondial, qu’il considère comme une tentative de soumission de l’humanité à une élite mondialiste.
Terence d’Araucanie est un écrivain et journaliste français, connu pour ses travaux sur la géopolitique et les mouvements identitaires. Il s’intéresse particulièrement aux enjeux de souveraineté nationale et aux dynamiques de pouvoir internationales.
Alexis Poulin est journaliste, essayiste et fondateur du Monde Moderne, un média indépendant proposant une analyse critique de l’actualité.
François Martin, géopolitologue, journaliste et essayiste, est diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Fort de 40 ans d’expérience dans le commerce international de l’alimentaire, il a acquis une connaissance approfondie de plus de 100 pays et maîtrise six langues.
Poutine esquive, Moscou impose le tempo
L’absence de Vladimir Poutine à Istanbul n’est pas anodine. En déléguant les discussions à une équipe de second rang, Moscou affiche une volonté de paix tout en gardant le contrôle. Le Kremlin veut reprendre les négociations entamées en 2022 à Istanbul, torpillées par Boris Johnson.
La Russie avance avec cohérence. Ses exigences : reconnaissance des annexions, neutralité ukrainienne, fin du soutien militaire occidental. Ce cadre est imposé comme préalable. En relançant un processus qu’elle avait figé, Moscou reprend la main.
Zelensky en perte de contrôle
Zelensky, en se rendant à Istanbul, espérait reprendre l’initiative. Mais son initiative de convoquer une délégation parallèle a renforcé sa fragilité politique. Maria Zakharova l’a qualifié de “clown” et de “raté”, symbole d’un mépris institutionnalisé.
Les échecs militaires, l’épuisement occidental et les critiques internes affaiblissent son autorité. Son intransigeance devient un handicap.
L’Europe s’impatiente, Trump attend son heure
Donald Trump installe un nouveau rapport de force. Il a déclaré que rien ne changerait sans une rencontre directe avec Poutine. Il capitalise sur la division européenne pour devenir le médiateur central.
Les Européens s’agacent. Le ministre allemand de la Défense évoque des “alternatives” si Kiev bloque les avancées. L’unité occidentale s’effrite. L’objectif n’est plus la victoire ukrainienne, mais la stabilisation du front.
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Le 15 mai 2025, Jacky Cassou et Patrick Passin étaient les invités de Mike Borowski, pour La Grande Émission de Géopolitique Profonde !
Jacky Cassou est un auteur et animateur français engagé dans la critique des politiques sanitaires et des institutions internationales. Il a notamment publié OMS, menace pour l'humanité, un ouvrage dans lequel il dénonce le rôle de l'Organisation mondiale de la santé, qu'il accuse de dérives autoritaires et de collusions avec des intérêts privés.
Patrick Pasin est un auteur, conférencier et entrepreneur français, connu pour ses critiques sur la géopolitique, la santé publique et la souveraineté individuelle.
L’OMS s’impose comme autorité supranationale
L’OMS agit désormais comme une autorité mondiale, plaçant ses directives au-dessus des lois nationales. Les règlements sanitaires internationaux signés par 196 États lui permettent d’imposer des mesures sans validation parlementaire. La pandémie COVID-19 a révélé cette mécanique brutale : confinements, masques, passes sanitaires imposés sans débat.
Les gouvernements ont servi de relais à cette technocratie globalisée, invoquant une science validée par l’OMS. En réalité, la santé devient l’outil d’un pouvoir sans contrôle démocratique, piloté depuis des sommets technocratiques. L’organisation prépare de nouveaux traités renforçant cette tutelle sur les États.
Gates, financeur et stratège de la gouvernance sanitaire
Bill Gates, deuxième financeur de l’OMS après les États-Unis, oriente son agenda : vaccination de masse, surveillance numérique, cartographie virale. Sa fondation finance aussi Gavi, CEPI et les partenaires de l’OMS, définissant les priorités globales de recherche.
L’OMS devient un exécutant d’un programme conçu ailleurs, dominé par des industriels. L’obsession vaccinale de Gates traduit une stratégie globale de contrôle sanitaire. En Afrique, les vaccins contraceptifs proposés sous couvert d’aide au développement suscitent des inquiétudes sur un agenda démographique plus vaste.
Corruption, pandémie orchestrée et soumission généralisée
L’OMS dépend à 80 % de financements privés. Cela fragilise son indépendance. La crise du COVID-19 a illustré une soumission aux donateurs : alerte tardive à Wuhan, alignement sur la communication chinoise, promotion d’un narratif unique et répressif.
Les gouvernements ont imposé confinement, QR codes, propagande vaccinale, tandis que les traitements alternatifs étaient censurés. Le débat scientifique a été étouffé. L’OMS a permis une expérimentation à grande échelle de contrôle social sous prétexte sanitaire. La souveraineté a été suspendue, la liberté conditionnée.
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Le 15 mai 2025, Mickaël Lelièvre demandait à Nicolas Vidal et aux Français, si la démocratie existe encore… les réponses révèlent un pays au bord de la rupture, sur GPTV Investigation !
Une démocratie de façade
La démocratie française donne encore l’illusion d’un choix citoyen, mais dans les faits, ce pouvoir est confisqué par une élite technocratique. Les passants interrogés décrivent une mécanique bien huilée où les urnes servent à légitimer des décisions déjà prises en haut lieu. Les réformes impopulaires s’enchaînent malgré les protestations massives, les référendums sont contournés, les contre-pouvoirs sont affaiblis. Le constat est sans appel : la démocratie française ne repose plus sur la souveraineté populaire, mais sur une architecture institutionnelle verrouillée.
Ce que les citoyens appellent désormais une « démocratie déguisée », c’est un système où les apparences sont préservées mais où le fond a été vidé de sa substance. Les grands médias sont accusés de jouer le rôle de relais idéologique des puissants, limitant le débat public à des oppositions superficielles. Ce sentiment d’être trahi par les institutions alimente une colère sourde, une méfiance généralisée envers tout ce qui émane de l’autorité. Ce n’est plus un simple désintérêt pour la politique, c’est une rupture profonde avec un modèle obsolète.
Vers l’embrasement
Le spectre d’une tempête sociale n’est plus une fiction romanesque, mais une réalité évoquée par de nombreux témoignages. Inspirés par « La Tempête qui vient » de Nicolas Vidal, les citoyens décrivent une France sur le fil, prête à basculer. Certains parlent de manifestations massives, d’autres évoquent une révolte plus brutale, un scénario de rupture. Ce ne sont pas des élucubrations : c’est le fruit d’un climat délétère où le dialogue entre gouvernants et gouvernés est rompu.
Les tensions sociales se cristallisent autour d’un sentiment d’injustice économique, d’impunité politique et d’absence d’écoute. Plusieurs passants l’ont dit clairement : si rien ne change, le pays risque l’explosion. La colère n’est plus localisée ou marginale, elle est diffuse, transversale, présente dans toutes les classes sociales. Et cette colère n’est plus contenue. Elle attend une étincelle.
Une France à bout, mais lucide
Fatigue, résignation, peur. Le triptyque revient avec force dans les réponses récoltées. Une France qui n’a plus foi dans ses institutions, mais qui continue à espérer un sursaut. Les témoignages montrent une population exténuée par les crises successives, désabusée par la politique, et inquiète pour l’avenir de ses enfants. Derrière la lassitude, il y a pourtant un fond de lucidité : les citoyens ne sont pas dupes. Ils savent ce qui se joue, ils sentent la manipulation, ils dénoncent l’hypocrisie.
Ce qui émerge, c’est aussi une demande de réveil collectif. Certains appellent à une révolution des consciences, à une réappropriation du politique par la base. Pas nécessairement dans la violence, mais dans l’affirmation d’un autre modèle. Plus direct, plus humain, plus ancré dans la réalité. Si un message traverse ces voix diverses, c’est celui-ci : il est temps d’arrêter de subir. L’histoire ne se subit pas, elle s’écrit.
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Le 15 mai 2025, Mike Borowski dévoilait les vérités interdites du procès en appel de Natacha Rey, entre révélations sur Brigitte Macron, pressions judiciaires et machine politico-médiatique, sur GPTV!
Un procès en appel sous haute tension
Le procès en appel de Natacha Rey et Delphine Jégousse, jugées pour avoir diffusé une « rumeur » sur l’identité de Brigitte Macron, s’est tenu les 14 et 15 mai 2025. Les deux militantes avaient soutenu en 2021 que Brigitte serait Jean-Michel Trogneux, son frère.
Brigitte Macron et Jean-Michel Trogneux ne se sont pas présentés, représentés par Me Jean Ennochi. Natacha Rey était absente pour raisons médicales, Delphine Jégousse brièvement aperçue. Me François Dangléhant a dénoncé un faux en écriture publique et annoncé vouloir citer des témoins clefs.
Une défense acharnée face à des accusations graves
Rey et Jégousse avaient été condamnées à une amende de 500 € avec sursis, plus 13 000 € de dommages. En appel, elles risquent jusqu’à un an de prison et 45 000 € d’amende pour diffamation à caractère discriminatoire.
L’accusation évoque une attaque transphobe. Me Ennochi parle d’une stratégie politique visant à déstabiliser le président. Me Dangléhant affirme que la vidéo de 2021 n’apporte aucune preuve directe, et dénonce une répression judiciaire d’enquêteurs indépendants.
Une affaire à portée internationale et symbolique
L’affaire dépasse la France. Aux États-Unis, la commentatrice Candace Owens a relayé la rumeur, amplifiant sa portée mondiale. Les réseaux sociaux ont massivement soutenu Rey, perçue comme une lanceuse d’alerte.
Emmanuel Macron a dénoncé une « fake news ignoble ». Ce procès vise aussi à défendre l’image présidentielle. Mais pour la défense, c’est une attaque contre la liberté d’expression. Le verdict attendu pourrait créer un précédent sur les limites du débat public et la régulation des contenus alternatifs.
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Le 15 mai 2025, Oskar Freysinger et Xavier Moreau étaient les invités de La Matinale de GPTV, animée par Raphaël Besliu !
Sylvain Ferreira et Claude Janvier étaient également présents pour rendre hommage au général Dominique Delawarde, qui nous a quittés le 11 mai dernier.
Oskar Freysinger est un homme politique suisse, ex-vice-président de l’UDC, ancien parlementaire et Secrétaire d’État. Il se consacre aujourd’hui à l’écriture, la traduction et au commentaire politique.
Xavier Moreau est un analyste géopolitique français, ancien parachutiste, diplômé en relations internationales (Sorbonne). Résidant en Russie, il dirige LinkIT Vostok et le centre Stratpol. Auteur de Nouvelle Grande Russie et Pourquoi la Russie a gagné ?
Sylvain Ferreira est un historien militaire français, spécialisé dans l’art de la guerre et son évolution de 1850 à 1945. Il s’intéresse particulièrement à l’impact de l’ère industrielle sur les combattants et a contribué à plusieurs revues d’histoire militaire. Auteur et concepteur de jeux de stratégie, il a récemment publié La bataille de Marioupol : 25 février – 20 mai 2022.
Claude Janvier est un écrivain et essayiste français, auteur de L’État Profond Français, critique des structures de pouvoir étatiques et transnationales.
Zelensky face à l’ultimatum de la défaiteEn se rendant à Istanbul, Zelensky implore une trêve, conscient que le rapport de force a définitivement basculé. L’absence de Poutine montre que Moscou n’a aucun intérêt à négocier. L’Occident tente de sauver la face à travers des menaces sans portée réelle, pendant que la Russie avance, sûre d’elle.
Le sommet de Kiev, au lieu d’afficher l’unité européenne, a révélé la fracture : les peuples décrochent, les arsenaux sont vides, et le mythe d’une guerre « juste » se délite. Zelensky, seul, sait que le rêve d’une Ukraine intacte s’effondre.
Le narratif occidental au bord de la rupture
L’Europe reste figée dans l’illusion. Tandis que les plans de paix se multiplient, le front ukrainien s’effondre. Les aides deviennent symboliques, et la démographie ukrainienne ne suit plus. Toute paix serait une capitulation maquillée.
Les États-Unis, eux, ont obtenu l’essentiel : contrats sur les ressources ukrainiennes, tests d’armement, renforcement de leur mainmise sur l’Europe. Désormais, ce sont les Européens qui doivent gérer les retombées de cette stratégie de proxy war.
Une paix impossible à digérer pour l’Europe
Un cessez-le-feu à Istanbul serait vécu comme un échec total par les élites européennes. L’UE, transformée en machine de guerre bureaucratique, perdrait tout prétexte à ses politiques coercitives. Réquisitions, impôts d’exception, économies militarisées : tout cela deviendrait injustifiable.
Ce serait aussi une humiliation stratégique : Moscou aurait imposé sa vision. L’Europe ne combat plus pour Kiev, mais pour sauver l’illusion de sa souveraineté. Poutine, en venant, dicterait ses conditions. Et l’UE, désarmée, n’aurait plus qu’à les accepter.
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Le 14 mai à 19h, Alain Escada et le Docteur Typhaine Pinsolle étaient les invités de La Grande Émission, animée par Mike Borowski en direct sur Géopolitique Profonde.
Alain Escada est un militant et essayiste belge connu pour ses positions traditionalistes et ses critiques acerbes contre la mondialisation et les élites. Président de Civitas, un mouvement catholique traditionaliste, Alain Escada s’illustre par son engagement contre le sécularisme, le mondialisme, et la laïcité.
Le Dr Typhaine Pinsolle est une scientifique française spécialisée en microbiologie médicale. Elle est connue pour ses prises de position concernant la pandémie de COVID-19 et les vaccins, qu’elle qualifie d’armes biologiques. Forte de son expertise, elle se distingue par ses analyses pointues sur des sujets scientifiques complexes, notamment la protéine Spike, et se positionne en opposition au narratif officiel.
Un pape aligné sur le programme de Davos
Le pape Léon XIV s’aligne clairement sur l’agenda du Forum économique mondial : climat, inclusion numérique, justice sociale. Son langage épouse celui de Davos. Il agit en voix morale d’un ordre mondial post-national, non en guide spirituel catholique.
Ses principaux conseillers sont liés aux réseaux du WEF. Sous couvert de fraternité universelle, le pape neutralise les fondements doctrinaux catholiques pour légitimer un projet globaliste. L’Église devient un rouage idéologique de la gouvernance mondiale.
Franc-maçonnerie et Ordre de Malte : une recomposition des alliances
Le pape a décoré des personnalités proches des loges maçonniques avec la grande croix de l’ordre de Malte. Ce geste n’est pas anodin : l’ordre, autrefois bastion souverainiste, se transforme en levier diplomatique au service d’un pouvoir hybride, mêlant Église et réseaux maçonniques.
Nominations suspectes, silences étranges, discours ambigus : les loges progressistes gagnent du terrain à Rome. Le pape ne résiste pas à cette infiltration ; il l’accompagne. La modernité devient la nouvelle doctrine, sacralisée au nom du dialogue et de l’ouverture.
Sionisme politique et trahison du magistère
Le tropisme sioniste du nouveau pape est manifeste : bienveillance envers Israël, proximité avec ses options les plus dures. Sous prétexte de dialogue interreligieux, Jérusalem devient le centre moral d’un nouvel ordre spirituel, piloté diplomatiquement par l’État hébreu.
Cette orientation s’inscrit dans la dynamique ouverte par Vatican II. La reconnaissance des racines juives du christianisme devient justification d’un renversement : abandon de l’évangélisation, relativisation du salut chrétien, et réhabilitation absolue du judaïsme.
Le pape pousse cette logique à l’extrême : l’Église n’est plus gardienne de la Vérité, mais médiatrice d’un syncrétisme religieux mondial. Le catholicisme cède sa place à une plateforme d’unité religieuse, sous influence politique.
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Le 14 mai 2025, Mike Borowski revenait sur un sujet brûlant d’actualité, sur Géopolitique Profonde.
Procès P. Diddy : la justice sous influence
Le procès de Sean « Diddy » Combs ne se limite pas à des accusations sordides. Il révèle les failles d’une justice confrontée à une célébrité tentaculaire. Le 5 mai 2025, les charges tombent : trafic sexuel, extorsion, proxénétisme, intimidation. Vingt ans d’abus émergent enfin au grand jour.
À huis clos mais sous surveillance médiatique, le procès expose un empire bâti sur l’exploitation. Combs, incarcéré depuis septembre 2024, reste mutique. La défense dénonce une cabale raciste. L’accusation, elle, dresse un système organisé : drogues, orgies, vidéos non consenties, violences. Une séquence de 2016 où il frappe Cassie Ventura devient centrale. Le message est clair : Diddy dirigeait un réseau.
La disparition d’un témoin clé : une manœuvre invisible
Le choc majeur se joue hors du tribunal : la « victime n°3 », témoin clé, disparaît. Son avocat est injoignable, sa famille inquiète. Elle devait témoigner à visage découvert, portant les accusations les plus lourdes. Son absence affaiblit l’accusation.
Difficile de ne pas penser à Epstein, Maxwell, ou d’autres témoins disparus. L’écho est glaçant. Cette disparition n’est pas anecdotique. C’est une alerte. Le procès devient un test pour la justice fédérale : peut-elle encore protéger celles qui osent parler ?
Le spectre de l’État profond
Quand un témoin central s’évapore au moment crucial, le hasard n’est plus crédible. Une telle disparition nécessite des relais, des complicités. Le système judiciaire affronte une machine plus forte qu’un seul accusé : un réseau mêlant divertissement, finance et politique.
L’État profond opère dans l’ombre : intimidation, corruption, disparition. Ce procès est plus qu’un scandale judiciaire. Il devient le théâtre d’un affrontement entre vérité et protection du pouvoir. Si la victime n°3 ne reparaît pas, le procès est faussé.
Le parallèle avec Epstein n’est plus une spéculation. Il devient un scénario. Même stratégie, même silence, même mécanique. La seule question est désormais : jusqu’où ira ce système pour enterrer une vérité devenue trop visible ?
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