Episodit
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Ils sont attirés par des emplois bien rémunérés, mais finissent enfermés, à travailler de force, battus et parfois assassinés. Des dizaines de milliers de personnes, de toutes nationalités, sont retenues à la frontière entre la Thaïlande et la Birmanie, dans des zones de jungle, contrôlées par des groupes armés birmans. C’est là que des mafias chinoises ont monté ces centres de fraude en ligne.
En février 2025, une grande opération de police a permis de libérer 7 000 victimes. Mais des milliers d’autres sont toujours retenus. Carol Isoux a enquêté pendant de longs mois, et a pu entrer en contact avec certains de ces cyber-esclaves, qui nous révèlent leurs conditions de vie inhumaines.
«Fraude en ligne et esclavage moderne, enquête sur les usines de cybercriminalité de Birmanie», un Grand reportage de Carol Isoux.
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Pour l’Inde, la réélection de Donald Trump comme président des États-Unis a eu une conséquence immédiate et brutale : le renvoi de centaines de migrants illégaux. Ces dernières semaines, ils arrivent donc en Inde par avions militaires, enchaînés, comme des esclaves. L’humiliation est grande, surtout pour le Premier ministre nationaliste indien, Narendra Modi, proche de Donald Trump. Mais, plus gravement, cela révèle le désespoir de millions d’Indiens, qui ne trouvent pas de travail chez eux, et sont prêts à risquer leur vie pour entrer aux États-Unis.
«Les migrants indiens expulsés par Donald Trump, symbole de la crise économique en Inde», un Grand reportage de Côme Bastin.
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Puuttuva jakso?
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C’est l’une des colonnes vertébrales de l’économie gabonaise: le train transgabonais traverse le pays depuis plus de 40 ans, coupe à travers les fleuves et la savane, et d’Owendo à Franceville, offre une ligne de vie à des milliers de personnes. Il transporte, aussi, le bois et le précieux manganèse. Cette ligne, lancée par Omar Bongo, vieillit cependant. Un nouveau programme de rénovation du rail a été lancé, mais il faudra encore d’importants investissements pour qu’il aboutisse. C’est donc l’un des grands projets d’infrastructures que devra reprendre le futur président, élu le 12 avril prochain.
«Le train transgabonais, la difficile modernisation d’une ligne de vie», un Grand reportage de François Mazet.
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Dans le supplément de ce dimanche, en première partie, direction l'Irak où il y a 37 ans, plus de 180 000 Kurdes ont été assassinés par l'armée de Saddam Hussein. En deuxième partie, direction le Pakistan, où la tendance est de posséder des fauves domestiques et, plus couramment, au sein de familles aisées.
Génocide d’Anfal : le deuil impossible des Kurdes irakiensIl y a 37 ans, en Irak, l'armée de Saddam Hussein lance une rafle contre les Kurdes du nord du pays, c'est l'opération Anfal. En quelques semaines, la population de villages entiers est décimée, 180 000 Kurdes sont alors assassinés. Après des années d'attente, la Cour suprême irakienne a reconnu le caractère génocidaire de cette campagne meurtrière, ce qui ouvre la voie à un travail de fouille et de mémoire. Et c'est ce que nous allons illustrer aujourd'hui.
En janvier 2025, en effet, un charnier a été exhumé dans le désert du sud du pays, révélant les restes de 153 femmes et enfants kurdes. Pour les rescapés d'Anfal, cette découverte ravive l'espoir de retrouver les corps de leurs proches.
Un Grand reportage de Lucas Lazo qui s'entretient avec Sébastien Farcis.
Lions et tigres de compagnie, une obsession pakistanaiseAu Pakistan, avoir un lion ou un tigre domestique à l’instar d’un chat ou d’un chien est de plus en plus tendance. Riches hommes d'affaires, industriels, propriétaires terriens ou trafiquants, ont leur zoo personnel. Sur les réseaux sociaux, pour des influenceurs, s’exhiber avec un félin sauvage est un symbole de puissance chic et choc. Les gros félins domestiqués seraient des centaines au Pakistan. Les organisations de défense de la cause animale dénoncent les mauvais traitements, les autorités laissent faire, la loi est permissive.
Un Grand reportage de Shahzaib Wahlah, Sonia Ghezali (avec la collaboration de Talha Saeed) qui s'entretient avec Sébastien Farcis.
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Le Grand reportage week-end de ce samedi est consacré, en première partie, à Berlin, en Allemagne, qui mène des défis en vue de s'adapter au mieux au changement climatique. En deuxième partie, direction le Pérou, aux côtés du peuple des Mashco Piro.
Berlin, ville éponge: sur la voie de l’adaptation au changement climatiqueBerlin vit la plus importante transformation de son histoire. Comme d’autres grandes villes dans le monde, la capitale allemande et ses quatre millions d’habitants doivent faire vite pour s’adapter aux effets du changement climatique. La municipalité a donc adopté un nouveau concept : celui de la « ville-éponge ». Il s’agit de permettre à la terre d’absorber l’eau. Ou bien de la collecter pour la rendre ensuite disponible en période de sécheresse.
Depuis 2018, pour chaque nouvelle construction, plus aucune goutte de pluie ne doit partir dans les canalisations. Cela pose des défis considérables et oblige à trouver des solutions innovantes.
Un Grand reportage de Stefanie Schüler qui s'entretient avec Sébastien Farcis.
Au plus près des Mashco Piro, un peuple isolé du PérouIls refusent tout contact avec l'extérieur. Entre le Pérou et le Brésil, au moins 48 peuples dits non contactés, ont été identifiés. L'un des plus nombreux est celui des Mashco Piro, qui compterait plus de 750 membres, répartis dans l'Amazonie. Ces dix dernières années, toutefois, les tensions s’accroissent avec les villageois qui vivent à côté de leurs réserves. Entre peur, préjugés et affrontements, les deux mondes tentent de cohabiter.
Un Grand reportage de Juliette Chaignon qui s'entretient avec Sébastien Farcis.
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Il y a 37 ans, en Irak, l'armée de Saddam Hussein lance une rafle contre les Kurdes du nord du pays, c'est l'opération Anfal. En quelques semaines, la population de villages entiers est décimée, 180 000 Kurdes sont alors assassinés. Après des années d'attente, la Cour suprême irakienne a reconnu le caractère génocidaire de cette campagne meurtrière, ce qui ouvre la voie à un travail de fouille et de mémoire. Et c'est ce que nous allons illustrer aujourd'hui.
En janvier 2025, en effet, un charnier a été exhumé dans le désert du sud du pays, révélant les restes de 153 femmes et enfants kurdes. Pour les rescapés d'Anfal, cette découverte ravive l'espoir de retrouver les corps de leurs proches.
« Génocide d’Anfal : le deuil impossible des Kurdes irakiens », un Grand reportage de Lucas Lazo.
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Au Pakistan, avoir un lion ou un tigre domestique à l’instar d’un chat ou d’un chien est de plus en plus tendance. Riches hommes d'affaires, industriels, propriétaires terriens ou trafiquants, ont leur zoo personnel. Sur les réseaux sociaux, pour des influenceurs, s’exhiber avec un félin sauvage est un symbole de puissance chic et choc. Les gros félins domestiqués seraient des centaines au Pakistan. Les organisations de défense de la cause animale dénoncent les mauvais traitements, les autorités laissent faire, la loi est permissive.
« Lions et tigres de compagnie, une obsession pakistanaise », un Grand reportage de Shahzaib Wahlah, Sonia Ghezali, avec la collaboration de Talha Saeed.
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Berlin vit la plus importante transformation de son histoire. Comme d’autres grandes villes dans le monde, la capitale allemande et ses quatre millions d’habitants doivent faire vite pour s’adapter aux effets du changement climatique. La municipalité a donc adopté un nouveau concept : celui de la « ville-éponge ». Il s’agit de permettre à la terre d’absorber l’eau. Ou bien de la collecter pour la rendre ensuite disponible en période de sécheresse.
Depuis 2018, pour chaque nouvelle construction, plus aucune goutte de pluie ne doit partir dans les canalisations. Cela pose des défis considérables et oblige à trouver des solutions innovantes.
« Berlin, ville éponge : sur la voie de l’adaptation au changement climatique », un Grand reportage de Stefanie Schüler.
(Rediffusion du 20 novembre 2024)
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Ils refusent tout contact avec l'extérieur. Entre le Pérou et le Brésil, au moins 48 peuples dits non contactés, ont été identifiés. L'un des plus nombreux est celui des Mashco Piro, qui compterait plus de 750 membres, répartis dans l'Amazonie. Ces dix dernières années, toutefois, les tensions s’accroissent avec les villageois qui vivent à côté de leurs réserves. Entre peur, préjugés et affrontements, les deux mondes tentent de cohabiter.
« Au plus près des Mashco Piro, un peuple isolé du Pérou », un Grand reportage de Juliette Chaignon.
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Dans le supplément de ce dimanche, en première partie, direction l'Argentine, où les crimes de la dictature peinent à être punis même si les anciens militaires ont été condamnés. En deuxième partie, direction le Brésil, où l'addiction aux paris en ligne est un véritable fléau qui endette bien souvent les familles les plus modestes.
En Argentine, le démantèlement silencieux de la mémoire de la dictatureEn Argentine, les crimes de la dictature militaire continuent à hanter une partie de la société. Cela fait plus de 50 ans que ce régime a pris fin, mais tous les ans, de nouvelles familles, séparées de force à l’époque sont réunies… Et des anciens militaires sont condamnés. Or, ce travail de justice et de réparation est aujourd’hui entravé : le nouveau président Javier Milei coupe les budgets des centres d’archives et des associations de victimes. Sous couvert d’une réduction des dépenses publiques, c’est tout un travail de mémoire qui est menacé.
Un Grand reportage de Théo Conscience qui s'entretient avec Sébastien Farcis.
Brésil: la fièvre des jeux en ligne3 milliards d'euros, c'est ce que dépensent chaque mois les Brésiliens dans les paris en ligne, on commence par miser sur un score d'un match de football sur son téléphone et rapidement, ce jeu devient une drogue qui engloutit les économies des plus modestes et fait sombrer des familles entières dans la précarité. Pendant des années, le gouvernement brésilien a fermé les yeux sur ce fléau avant d'imposer enfin, cette année, une taxe sur ses plateformes de paris. Toutefois, rien n'est fait pour limiter les publicités omniprésentes et la population continue donc de s'endetter.
Un Grand reportage de Sarah Cozzolino qui s'entretient avec Sébastien Farcis.
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Le Grand reportage week-end de ce samedi est consacré au départ pour une reconstruction. En première partie, direction l'Italie, avec la mafia calabraise dont les activités criminelles sont souvent familiales. Comment des enfants de mafieux font-ils pour briser la chaîne du crime ? En seconde partie, direction la Corée du Sud, où des jeunes Nord-Coréens ont fait le choix de tout quitter pour se construire un avenir côté Sud.
En Italie, grandir loin de la mafiaEn Italie, la mafia calabraise - la N’Drangheta - est considérée comme l’organisation criminelle la plus redoutable et la plus puissante. Ce sont les liens du sang qui constituent les clans. Les activités criminelles se transmettent de père en fils. Pour briser la chaîne du crime, le juge italien Roberto Di Bella a imaginé le programme « Liberi di scegliere ». En italien, cela veut dire : Libres de choisir : entre un destin criminel ou une nouvelle vie.
Pour cela, les enfants de mafieux sont exfiltrés et envoyés loin de la Calabre, loin de leur famille et de la mafia.
Comment reconstruire sa vie loin des siens ? Comment proposer une alternative aux enfants qui se sont construits avec les règles de la criminalité organisée ?
Un Grand reportage de Cécile Debarge qui s'entretient avec Sébastien Farcis.
Les Nord-Coréens de la génération Z connaissent les codesIls ont grandi dans l’un des régimes les plus autoritaires du monde, avant de réussir à s’enfuir. Des milliers de jeunes Nord-Coréens ont traversé la frontière ces dernières années avec leurs parents, et refont leur vie chez leur voisin du Sud. Du jour au lendemain, ils doivent s’adapter à un monde capitaliste et compétitif, très éloigné de leur société d’origine. Difficile, mais pas impossible. Les jeunes Nord-Coréens ont plein de ressources. Et s’en sortent mieux que leurs parents.
Un Grand reportage de Célio Fioretti qui s'entretient avec Sébastien Farcis.
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3 milliards d'euros, c'est ce que dépensent chaque mois les Brésiliens dans les paris en ligne, on commence par miser sur un score d'un match de football sur son téléphone et rapidement, ce jeu devient une drogue qui engloutit les économies des plus modestes et fait sombrer des familles entières dans la précarité. Pendant des années, le gouvernement brésilien a fermé les yeux sur ce fléau avant d'imposer enfin, cette année, une taxe sur ses plateformes de paris. Toutefois, rien n'est fait pour limiter les publicités omniprésentes et la population continue donc de s'endetter.
« Brésil, la fièvre des jeux en ligne », un Grand reportage de Sarah Cozzolino.
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Ils ont grandi dans l’un des régimes les plus autoritaires du monde, avant de réussir à s’enfuir. Des milliers de jeunes Nord-Coréens ont traversé la frontière ces dernières années avec leurs parents, et refont leur vie chez leur voisin du Sud. Du jour au lendemain, ils doivent s’adapter à un monde capitaliste et compétitif, très éloigné de leur société d’origine. Difficile, mais pas impossible. Les jeunes Nord-Coréens ont plein de ressources. Et s’en sortent mieux que leurs parents.
«Les Nord-Coréens de la génération Z connaissent les codes», un Grand reportage de Célio Fioretti.
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En Argentine, les crimes de la dictature militaire continuent à hanter une partie de la société. Cela fait plus de 50 ans que ce régime a pris fin, mais tous les ans, de nouvelles familles, séparées de force à l’époque sont réunies… Et des anciens militaires sont condamnés. Or, ce travail de justice et de réparation est aujourd’hui entravé : le nouveau président Javier Milei coupe les budgets des centres d’archives et des associations de victimes. Sous couvert d’une réduction des dépenses publiques, c’est tout un travail de mémoire qui est menacé.
En Argentine, le démantèlement silencieux de la mémoire de la dictature, un Grand reportage de Théo Conscience.
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En Italie, la mafia calabraise - la N’Drangheta - est considérée comme l’organisation criminelle la plus redoutable et la plus puissante. Ce sont les liens du sang qui constituent les clans. Les activités criminelles se transmettent de père en fils. Pour briser la chaîne du crime, le juge italien Roberto Di Bella a imaginé le programme « Liberi di scegliere ». En italien, cela veut dire : Libres de choisir : entre un destin criminel ou une nouvelle vie.
Pour cela, les enfants de mafieux sont exfiltrés et envoyés loin de la Calabre, loin de leur famille et de la mafia.
Comment reconstruire sa vie loin des siens ? Comment proposer une alternative aux enfants qui se sont construits avec les règles de la criminalité organisée ?
« En Italie, grandir loin de la mafia », c’est un Grand Reportage de Cécile Debarge.
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Dans le supplément de ce dimanche, le sujet est l'emploi. En première partie, les salariés des verres Duralex ont repris leur entreprise qui était à nouveau en redressement judiciaire en 2024.
Les verres Duralex rebondissent en coopérative
En deuxième partie, à l'occasion du Salon international de l'Agriculture qui se tient à Paris, la parole est donnée aux agriculteurs.Pour la sixième fois de son histoire, Duralex s’est retrouvée en 2024 en redressement judiciaire. Cette fois-ci, les salariés eux-mêmes ont proposé de reprendre l’entreprise, sous la forme d’une Scop, une coopérative. Les 226 emplois ont été conservés. La mutation de l'entreprise est toutefois un défi économique, dans une France qui peine à faire face à la désindustrialisation. RFI a suivi les salariés de la Scop Duralex pendant près de six mois.
Un Grand reportage de Justine Fontaine qui s'entretient avec Sébastien Farcis.
Agriculteurs : comment continuer à vivre de ce métier dans 10 ans ?Faiblesse des revenus, complexité administrative, changement climatique… le métier d’agriculteur est en crise. À l’occasion du Salon de l’Agriculture qui referme ses portes ce dimanche 2 mars 2025, RFI donne la parole à celles et ceux qui nourrissent les Français. Avec une question : comment voient-ils leur profession dans dix ans ? De l’Oise au Val d’Oise, rencontre avec deux céréaliers. Ils cultivent les mêmes récoltes avec passion, mais ne proposent pas les mêmes solutions pour l'avenir de leur travail…
Un Grand reportage de Nicolas Feldmann (et Igor Strauss) qui s'entretient avec Sébastien Farcis.
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Le Grand reportage week-end de ce samedi est consacré entièrement à la guerre en Ukraine. En première partie, les Ukrainiens fatigués et résignés après trois ans de guerre menée par la Russie. En seconde partie, des mercenaires étrangers, dont des Colombiens, viennent pour combattre aux côtés des Russes ou des Ukrainiens, en échange d'un bon salaire.
Après 3 ans de guerre, les Ukrainiens résignésCela fait trois ans, aujourd’hui, que la Russie a lancé son invasion de l’Ukraine. La population ukrainienne, est épuisée. Sur le front, l’armée résiste mais les forces russes continuent d’avancer dans l’est du pays. C’est ce moment que Donald Trump choisit pour engager des négociations directes avec Vladimir Poutine, provoquant stupeur et inquiétude en Ukraine.
Un Grand reportage de Julien Chavanne (avec Boris Vichith & Hlib Yehorov) qui s'entretient avec Sébastien Farcis.
Guerre en Ukraine : ces mercenaires colombiens qui partent au frontDepuis trois ans déjà, l’agression russe ravage l’Ukraine. Les villes sont dévastées, la population épuisée. Mais certains voient dans cette guerre, une opportunité. Ce sont les milliers de mercenaires étrangers qui sont engagés pour combattre des deux côtés. Parmi eux, des centaines de Colombiens. Ils sont généralement vétérans et accourent derrière la promesse d’un salaire alléchant. mais une fois sur place, c’est l’horreur qui les submerge. Et peu d’entre eux reviennent vivants.
Un Grand reportage de Najet Benrabaa qui s'entretient avec Sébastien Farcis.
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Faiblesse des revenus, complexité administrative, changement climatique… le métier d’agriculteur est en crise. À l’occasion du Salon de l’Agriculture qui referme ses portes ce dimanche 2 mars 2025, RFI donne la parole à celles et ceux qui nourrissent les Français. Avec une question : comment voient-ils leur profession dans dix ans ? De l’Oise au Val d’Oise, rencontre avec deux céréaliers. Ils cultivent les mêmes récoltes avec passion, mais ne proposent pas les mêmes solutions pour l'avenir de leur travail…
«Agriculteurs : comment continuer à vivre de ce métier dans 10 ans ?», un Grand reportage de Nicolas Feldmann et Igor Strauss.
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Pour la sixième fois de son histoire, Duralex s’est retrouvée en 2024 en redressement judiciaire. Cette fois-ci, les salariés eux-mêmes ont proposé de reprendre l’entreprise, sous la forme d’une Scop, une coopérative. Les 226 emplois ont été conservés. La mutation de l'entreprise est toutefois un défi économique, dans une France qui peine à faire face à la désindustrialisation. RFI a suivi les salariés de la Scop Duralex pendant près de six mois.
« Les verres Duralex rebondissent en coopérative », un Grand reportage de Justine Fontaine, réalisé par Pauline Leduc.
En images
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Depuis trois ans déjà, l’agression russe ravage l’Ukraine. Les villes sont dévastées, la population épuisée. Mais certains voient dans cette guerre, une opportunité. Ce sont les milliers de mercenaires étrangers qui sont engagés pour combattre des deux côtés. Parmi eux, des centaines de Colombiens. Ils sont généralement vétérans et accourent derrière la promesse d’un salaire alléchant. mais une fois sur place, c’est l’horreur qui les submerge. Et peu d’entre eux reviennent vivants.
«Guerre en Ukraine : ces mercenaires colombiens qui partent au front», un Grand Reportage de Najet Benrabaa.
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