Episodit

  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : l'impact de l'IA sur l'éducation, les nouveaux modèles de Meta, et les outils de recherche approfondie. C’est parti !Commençons par l'éducation et l'IA. L'émergence de ChatGPT et l'essor de l'IA générative suscitent des débats sur leur rôle dans l'enseignement supérieur. Bien que certains experts voient l'IA comme une révolution éducative, d'autres soulignent les dangers de remplacer les enseignants humains. L'éducation ne se limite pas à transmettre des connaissances, elle est aussi sociale et interactive. Les enseignants servent de modèles et leur présence est cruciale pour l'apprentissage des compétences. Les universités devraient investir dans des classes plus petites et des enseignants passionnés plutôt que de se tourner vers des solutions IA douteuses. L'IA peut assister, mais ne doit pas remplacer l'humain dans l'éducation.Passons maintenant à Meta, qui a récemment dévoilé deux nouveaux modèles multimodaux : Llama 4 Scout et Llama 4 Maverick. Ces modèles, disponibles sur llama.com et Hugging Face, sont intégrés dans les produits Meta AI. Llama 4 Scout, avec ses 17 milliards de paramètres actifs, est conçu pour des tâches complexes comme la synthèse de documents. Il surpasse ses prédécesseurs et concurrents sur plusieurs benchmarks. Llama 4 Maverick, quant à lui, est destiné à des usages haut de gamme avec 128 experts et 400 milliards de paramètres au total. Il rivalise avec des modèles plus grands pour le raisonnement et le codage. Meta met l'accent sur l'ouverture pour stimuler l'innovation, et ces modèles sont publiés sous des conditions ouvertes.Enfin, intéressons-nous aux outils de recherche approfondie, une nouvelle génération d'IA capable de mener des investigations complètes sur des sujets complexes. Contrairement aux chatbots standards, ces outils parcourent diverses sources et adaptent leurs stratégies en temps réel pour fournir des rapports structurés et cités. Par exemple, pour planifier un voyage en Europe, un outil de recherche approfondie vérifierait les horaires de train, explorerait les forums de voyageurs et comparerait les coûts, offrant un itinéraire complet et détaillé. Ces outils montrent une autonomie en décomposant les tâches et en documentant leur raisonnement, ce qui les rend précieux pour la recherche professionnelle et académique.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : traitement des transcriptions vidéo avec des modèles de langage, défis de Wikimedia face aux robots de scraping, perspectives sur le marché des LLM, et innovations en interfaces cérébrales. C’est parti !Commençons par Federico Viticci, qui a récemment exploré l'utilisation de l'outil en ligne de commande LLM de Simon Willison pour traiter les transcriptions de vidéos YouTube sur macOS. Cet outil permet d'interagir avec des modèles de langage hébergés dans le cloud, comme Claude et Gemini, directement depuis le terminal. Viticci a créé un raccourci sur son Mac pour reformater les transcriptions de vidéos sans modifier le contenu original. Il a constaté que Claude suivait mieux les instructions détaillées, bien que l'API d'Anthropic puisse être coûteuse. En revanche, Gemini 2.5 Pro, gratuit pendant sa phase expérimentale, offre une grande fenêtre de contexte, idéale pour traiter de grandes quantités de texte. Cependant, Viticci a rencontré des limites de taux d'API et espère une disponibilité générale pour Gemini 2.5 Pro.Passons maintenant à Wikimedia, qui fait face à une augmentation exponentielle des requêtes automatisées pour son contenu, principalement alimentée par des robots de scraping. Depuis janvier 2024, la bande passante utilisée pour télécharger du contenu multimédia a augmenté de 50 %. Environ 65 % du trafic le plus coûteux provient de robots, ce qui impose une charge significative sur l'infrastructure de Wikimedia. Cette situation a été illustrée lors du décès de Jimmy Carter en décembre 2024, où sa page Wikipédia a enregistré plus de 2,8 millions de vues en une journée. La Fondation Wikimedia doit gérer ces pics de trafic tout en maintenant l'accès pour les utilisateurs humains.En parlant de l'avenir des modèles de langage, John-David Lovelock de Gartner Research prévoit une "extinction" des fournisseurs de LLM, estimant que le marché ne pourrait soutenir que trois grands acteurs. Il souligne que chaque dollar dépensé pour les LLM est retiré d'un autre budget, ce qui n'est pas favorable, étant donné que de nombreux projets d'IA échouent. Malgré cela, Lovelock reste optimiste quant à l'intégration de l'IA générative dans divers appareils et logiciels, bien que cela dépende de la volonté des entreprises d'écouter les exigences du marché.Enfin, une avancée en interfaces cérébrales permet de traduire les pensées en discours intelligible en temps quasi réel. Ce système repose sur un modèle d'IA qui décode l'activité électrique du cortex sensorimoteur du cerveau. Cette technologie pourrait transformer la communication pour les personnes atteintes de handicaps sévères, bien que des questions éthiques et de sécurité subsistent. Des chercheurs de l'université de Duke travaillent également sur des implants cérébraux capables de décoder les signaux cérébraux en paroles, ouvrant la voie à de nouvelles formes de communication.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Puuttuva jakso?

    Paina tästä ja päivitä feedi.

  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : l'usage innovant des modèles de langage pour traiter des transcriptions, les prévisions sur le marché des LLM, et les avancées des outils de recherche approfondie. C’est parti !Commençons par Federico Viticci, qui a récemment exploré l'utilisation de l'outil en ligne de commande LLM de Simon Willison pour traiter les transcriptions de vidéos YouTube sur macOS. Cet outil permet d'interagir avec des modèles de langage de grande taille comme Claude et Gemini directement depuis le terminal. Viticci a créé un raccourci sur son Mac pour reformater les transcriptions et éliminer les tics verbaux. Bien que Claude suive mieux les instructions, l'API d'Anthropic peut être coûteuse. En revanche, Gemini 2.5 Pro, bien qu'expérimental, est gratuit et offre une grande fenêtre de contexte. Cependant, Viticci a rencontré des problèmes de surcharge avec l'API de Gemini. Il espère que Google annoncera bientôt la disponibilité générale et les tarifs pour Gemini 2.5 Pro, ce qui pourrait améliorer la stabilité pour ces tâches longues.Passons maintenant aux prévisions de Gartner sur le marché des modèles de langage de grande taille. John-David Lovelock, analyste distingué, prévoit une "extinction" des fournisseurs de LLM, estimant qu'il n'y a de place que pour trois grands acteurs. Il souligne que le soutien financier à OpenAI provient de capitaux à risque, souvent sans retour sur investissement clair. Lovelock reste cependant optimiste quant à l'avenir des IA génératives, prévoyant leur intégration dans tous les appareils et logiciels. Cette vision dépend de la volonté des entreprises comme Apple d'intégrer des fonctionnalités d'IA, même si elles ne sont pas toujours bien accueillies par les utilisateurs.En parlant d'innovation, les outils de recherche approfondie représentent une nouvelle génération d'IA conçue pour mener des investigations complètes sur des sujets complexes. Contrairement aux chatbots standard, ces outils parcourent diverses sources et adaptent leurs stratégies de recherche en temps réel. Par exemple, pour planifier un voyage en Europe, un outil de recherche approfondie vérifierait les horaires de train, explorerait les forums de voyageurs et comparerait les coûts sur les sites de réservation. Ces outils redéfinissent la manière dont nous abordons la collecte et l'analyse d'informations, transformant déjà des industries comme le conseil et la finance.Enfin, explorons BAML, un langage spécifique au domaine qui transforme les prompts en fonctions structurées. Cette approche révolutionne le développement de l'IA en se concentrant sur les schémas de sortie plutôt que sur la création de textes de prompts parfaits. BAML se distingue par sa nature polyglotte et ses capacités de test, ce qui le rend précieux pour les environnements d'entreprise. Il minimise les erreurs de parsing et évite les appels API inutiles, se traduisant par des économies significatives. BAML joue également un rôle clé dans la construction de systèmes de graphes de connaissances multimodaux, enrichissant le contexte et la portée des modèles de langage.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : l'impact des LLM sur les infrastructures numériques, les innovations en interfaces cerveau-machine, et les avancées dans le traitement des transcriptions vidéo. C’est parti !Commençons par l'impact des modèles de langage de grande taille, ou LLM, sur les infrastructures numériques. Depuis le début de l'année 2024, la demande pour le contenu de Wikimedia Commons a explosé, en grande partie à cause des robots de scraping qui collectent des données pour entraîner ces modèles. En janvier 2024, la bande passante utilisée pour télécharger du contenu multimédia a augmenté de 50 %, mettant à rude épreuve l'infrastructure de Wikimedia. Environ 65 % du trafic le plus coûteux provient de ces robots, ce qui pose des défis en termes de ressources et de coûts. Cet afflux de requêtes automatisées, souvent sans attribution, menace l'équilibre de l'infrastructure, nécessitant une gestion plus responsable pour garantir l'accès humain à la connaissance.Passons maintenant aux interfaces cerveau-machine. Une nouvelle technologie permet de traduire les pensées en discours intelligible en temps quasi réel. En analysant l'activité électrique du cortex sensorimoteur, cette interface pourrait transformer la communication pour les personnes atteintes de handicaps sévères, comme la paralysie. Cependant, l'implantation de ces dispositifs soulève des questions éthiques et de sécurité, alors que de nombreuses entreprises se précipitent pour tester leurs implants sur des sujets humains. Cette avancée souligne l'intérêt croissant pour les interfaces cerveau-machine, qui pourraient révolutionner notre interaction avec la technologie.Enchaînons avec les innovations dans le traitement des transcriptions vidéo. Federico Viticci a exploré l'utilisation de l'outil en ligne de commande LLM de Simon Willison pour traiter les transcriptions de vidéos YouTube via l'application Raccourcis sur macOS. Cet outil permet d'interagir avec des modèles de langage hébergés dans le cloud, comme Claude et Gemini. Viticci a créé un raccourci sur son Mac pour reformater les transcriptions et extraire des passages intéressants. Bien que Claude ait montré une meilleure capacité à suivre des instructions détaillées, les coûts de l'API d'Anthropic peuvent être élevés. En revanche, Gemini 2.5 Pro, gratuit pendant sa phase expérimentale, offre une grande fenêtre de contexte, malgré quelques problèmes de surcharge.Enfin, abordons l'avenir des fournisseurs de LLM. Selon John-David Lovelock de Gartner, il n'y aurait de place que pour trois grands LLM sur le marché, en raison de la concentration des fournisseurs de services cloud. Cependant, des acteurs comme DeepSeek en Chine affirment réaliser des bénéfices avec des coûts d'API inférieurs à ceux d'OpenAI, compliquant la situation pour les grands LLM américains. Lovelock prévoit que l'IA générative s'intégrera dans tous les appareils et logiciels, mais cela dépendra de la volonté des entreprises comme Apple d'intégrer ces fonctionnalités dans leurs produits.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : l'IA en cybersécurité, les biais dans les modèles de langage, les défis du droit d'auteur, les avancées en vidéo générée par IA, et l'avenir du codage. C’est parti !Commençons par la cybersécurité. Microsoft a récemment utilisé son assistant IA, Security Copilot, pour identifier une vingtaine de vulnérabilités critiques dans les bootloaders GRUB2, U-Boot et Barebox. Ces programmes, essentiels au démarrage des ordinateurs, sont vulnérables à des attaques permettant de contourner le Secure Boot et d'installer des bootkits indétectables. Grâce à l'IA, ces failles ont été découvertes en une semaine, un gain de temps considérable par rapport à une analyse manuelle. Des correctifs ont été publiés, soulignant l'importance de mettre à jour les systèmes pour éviter des compromissions durables.Passons maintenant à l'étude menée par Shauli Ravfogel et son équipe sur les biais dans les modèles de langage. Ils ont développé une méthode pour rendre visibles les schémas cachés dans les représentations internes des modèles, en traduisant ces interventions en texte naturel. Leur recherche a montré comment le genre influence subtilement la génération de langage, et a démontré que l'ajout de contre-factuels de genre aux données d'entraînement peut réduire les biais sans sacrifier la précision.En parlant de données, OpenAI est accusé d'avoir utilisé des livres d'O'Reilly Media sans licence pour entraîner son modèle GPT-4o. Cette situation soulève des questions sur l'utilisation de contenus protégés par le droit d'auteur pour l'entraînement des modèles d'IA. Le débat se poursuit sur la nécessité de respecter ces lois tout en permettant l'innovation technologique.Dans le domaine de la vidéo générée par IA, Runway a annoncé son modèle Gen-4, qui améliore la continuité et le contrôle dans la narration visuelle. Ce modèle permet de créer des personnages et des objets cohérents à travers différentes prises, résolvant ainsi un problème courant dans les vidéos générées par IA. Cependant, des préoccupations subsistent quant à l'utilisation de contenus protégés pour l'entraînement de ces modèles.Enfin, Kevin Scott, directeur technique de Microsoft, a prédit que d'ici cinq ans, 95 % du code sera généré par l'IA. Bien que cela soulève des questions sur l'avenir de l'apprentissage du codage, l'aspect créatif du développement logiciel restera une compétence humaine essentielle. L'IA a encore des limitations, notamment dans la compréhension et l'adaptation du code à des contextes spécifiques, ce qui souligne l'importance de la supervision humaine pour garantir la qualité et la sécurité des logiciels.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : les collaborations inattendues dans le monde de l'IA, les avancées en génération d'images et les défis de l'intégration de l'IA dans l'éducation. C’est parti !Commençons par une collaboration surprenante entre OpenAI et Anthropic. Malgré leurs divergences passées, ces deux géants de l'IA se sont unis autour d'un défi technique : connecter leurs modèles à des sources de données externes. Anthropic a développé le Model Context Protocol, ou MCP, une spécification ouverte qui standardise cette connexion, un peu comme l'USB-C pour les appareils électroniques. MCP permet aux modèles d'accéder facilement à des bases de données ou moteurs de recherche, simplifiant ainsi les intégrations et réduisant la dépendance aux fournisseurs. Microsoft et OpenAI ont déjà adopté ce protocole, marquant un pas vers une collaboration interplateforme plus large.Passons maintenant à OpenAI, qui a récemment relancé son générateur d'images intégré à ChatGPT, désormais alimenté par GPT-4o. Ce nouvel outil a suscité un vif intérêt, mais aussi des frustrations. En raison de la surcharge des serveurs, OpenAI a dû limiter l'accès aux utilisateurs non abonnés, provoquant la colère des abonnés payants qui s'attendaient à une expérience plus fluide. Cette situation met en lumière les défis d'équilibrer l'accès aux innovations tout en maintenant la satisfaction des clients.Dans le domaine de l'éducation, une conférence à la NEOMA Business School a réuni enseignants et journalistes pour discuter de l'intégration de l'IA générative dans les classes préparatoires. Près de 80 % des élèves utilisent déjà ces outils, mais seulement 44 % des enseignants y ont recours, créant un fossé d'usage. Les discussions ont porté sur l'authenticité des devoirs et l'égalité d'accès aux outils. Les enseignants ont partagé des expériences concrètes, comme l'utilisation de ChatGPT pour la relecture ou l'analyse de données financières. L'objectif est de former des esprits capables de collaborer avec les machines, tout en évitant les usages dangereux de l'IA en classe.Enfin, une étude récente explore les similitudes entre l'activité neuronale humaine et les modèles de langage de grande taille. Des chercheurs ont découvert que les représentations internes de modèles comme Whisper s'alignent avec l'activité neuronale lors de conversations naturelles. Cette recherche, menée par Google Research et plusieurs universités, montre comment les modèles d'IA peuvent servir de cadre pour comprendre le traitement du langage par le cerveau humain.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : avancées en IA générative, défis juridiques et innovations en vidéo. C’est parti !Commençons par Google, qui a récemment dévoilé Gemini 2.5, un modèle d'intelligence artificielle de nouvelle génération. Présenté comme le plus intelligent de Google à ce jour, Gemini 2.5 utilise une puissance de calcul accrue pour vérifier les faits et résoudre des problèmes complexes, notamment en mathématiques et en codage. Bien qu'il ait surpassé plusieurs modèles concurrents dans des tests de référence, il a été moins performant que le modèle Claude 3.7 Sonnet d'Anthropic dans le développement logiciel. Ce modèle peut traiter environ 750 000 mots simultanément, avec des plans pour doubler cette capacité.Passons maintenant à OpenAI, qui a intégré une nouvelle fonctionnalité de génération d'images dans ChatGPT, alimentée par GPT-4o. Cette fonctionnalité permet de générer des images directement dans le chat, améliorant la cohérence des relations entre objets et le rendu du texte. Bien que le temps de génération soit plus long, OpenAI estime que la qualité justifie l'attente. Cependant, la popularité de la génération d'images dans le style Ghibli a conduit à des limitations temporaires pour éviter de surcharger les serveurs.Tencent a lancé son modèle d'IA Hunyuan T1, qui a obtenu 87,2 points sur le benchmark MMLU Pro, surpassant DeepSeek-R1 mais restant derrière le modèle o1 d'OpenAI. Le T1 a également bien performé dans d'autres évaluations, notamment l'AIME 2024. En termes de tarification, le T1 est compétitif, facturant 1 yuan par million de tokens d'entrée et 4 yuans par million de tokens de sortie.Sur le plan juridique, un juge fédéral a autorisé une poursuite pour violation du droit d'auteur par le New York Times contre OpenAI. Le journal accuse OpenAI d'avoir utilisé son contenu sans autorisation pour entraîner ChatGPT. OpenAI se défend en invoquant l'usage équitable, mais l'affaire pourrait avoir des implications significatives pour l'industrie de l'information.Runway a lancé Gen-4, un modèle d'IA pour la génération de vidéos, qui améliore la cohérence des personnages et des objets à travers les scènes. Gen-4 utilise des références visuelles et textuelles pour maintenir la cohérence des styles, permettant de créer des vidéos dynamiques avec des mouvements réalistes.Enfin, Google Workspace a annoncé des mises à jour pour mars 2025, intégrant l'IA pour améliorer les réunions et la création de vidéos. Google Meet propose désormais des notes de réunion automatiques et des transcriptions liées, tandis que Google Vids facilite la création de vidéos avec des voix off générées par l'IA. La fonctionnalité "Traduire pour moi" dans Chat permet une communication fluide entre équipes multilingues.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : le raisonnement des modèles de langage, la préservation numérique, l'auto-amélioration des IA, Nvidia Dynamo, et les défis d'OpenAI. C’est parti !Commençons par les modèles de langage de grande taille, ou LLMs, qui franchissent une nouvelle étape avec le raisonnement. Traditionnellement basés sur la reconnaissance de motifs, ces modèles s'attaquent désormais à des tâches complexes comme les énigmes logiques. Des outils innovants, tels que les graphes d'attribution, permettent de mieux comprendre leurs mécanismes internes, souvent comparés à des boîtes noires. Ces avancées révèlent des stratégies sophistiquées, mais restent limitées, ne couvrant qu'une fraction des mécanismes des modèles.Passons à la Digital Preservation Coalition, qui a lancé la troisième édition de son modèle d'évaluation rapide en plusieurs langues, dont le français. Cet outil aide les organisations à évaluer leurs capacités de préservation numérique. La DPC, en tant que fondation internationale, s'engage à garantir un accès durable aux contenus numériques, soulignant l'importance de la traduction pour soutenir la communauté mondiale.Ensuite, découvrons Ebiose, une startup qui réinvente l'IA avec un système distribué inspiré des écosystèmes biologiques. Fondée par Vincent Barbot et Xabier Jaureguiberry, Ebiose propose des agents intelligents capables de s'auto-améliorer. En adoptant une approche open source, la startup encourage l'innovation collaborative. Soutenue par Inria Startup Studio, Ebiose vise à transformer la conception des agents d'IA.Poursuivons avec Nvidia Dynamo, un cadre open source optimisant l'inférence des modèles de langage sur plusieurs GPU. Présenté comme le "système d'exploitation d'une usine d'IA", Dynamo améliore le débit et réduit la latence. Il introduit un service désagrégé et une planification dynamique des GPU, répondant aux besoins accrus des modèles axés sur le raisonnement. Bien que prometteur, Dynamo reste à valider dans des environnements de production.Enfin, abordons les défis d'OpenAI avec son outil de génération d'images intégré à ChatGPT. La demande massive a surchargé les serveurs, poussant OpenAI à limiter temporairement les générations d'images. Une mise à jour vers GPT-4o a été déployée pour améliorer les capacités graphiques. OpenAI a également lancé un outil pour détecter les images générées par DALL-E 3, visant à garantir une utilisation responsable de l'IA.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : OpenAI et ses défis financiers, la nouvelle vague d'images IA inspirées de Studio Ghibli, et les avancées dans la génération d'images photoréalistes. C’est parti !Commençons par OpenAI, qui a récemment mis à jour ChatGPT avec des capacités de génération d'images, permettant de transformer des photos en dessins de style anime, inspirés par le Studio Ghibli. Cette fonctionnalité a suscité un engouement sur les réseaux sociaux, mais elle semble aussi être une tentative de détourner l'attention des problèmes financiers de l'entreprise. OpenAI, qui dépense à un rythme effréné, fait face à des difficultés car elle n'a pas réussi à rendre ses opérations efficaces. Des concurrents comme DeepSeek proposent des solutions similaires à moindre coût, attirant ainsi des clients d'OpenAI. Pour maintenir l'intérêt des investisseurs, OpenAI multiplie les annonces, envisageant même une levée de fonds avec Softbank, malgré les risques associés.Passons maintenant à la nouvelle fonctionnalité de génération d'images d'OpenAI, intégrée dans ChatGPT-4o. Cette mise à jour a fait sensation, mais la demande massive a contraint OpenAI à retarder son déploiement pour les utilisateurs de la version gratuite. Actuellement, seuls les abonnés payants peuvent en profiter. OpenAI travaille à l'expansion de son infrastructure pour répondre à cette demande, mais pour l'instant, les utilisateurs gratuits devront patienter.En parallèle, les hallucinations dans les grands modèles de langage (LLM) continuent de poser des défis. Ces occurrences, où l'IA génère du contenu plausible mais incorrect, affectent la confiance des utilisateurs. Comprendre et atténuer ces hallucinations est crucial pour améliorer la qualité des résultats de l'IA.Dans le domaine de la génération d'images, Ideogram a lancé sa version 3.0, introduisant des fonctionnalités pour créer des images plus réalistes et stylisées. Avec un système de référence de style et 4,3 milliards de préréglages, Ideogram vise à brouiller la frontière entre les images générées et réelles. Cette mise à jour positionne Ideogram devant Midjourney, qui n'a pas encore publié sa mise à jour promise.Enfin, OpenAI a repoussé le déploiement de sa mise à jour de ChatGPT, incluant le nouvel outil 4o Image Generation, en raison d'une demande massive. Ce modèle offre des images plus fidèles et la possibilité d'éditer des photos existantes. Cependant, cette avancée soulève des préoccupations concernant la modération et la sécurité, notamment avec la possibilité de générer des images de personnalités publiques. OpenAI a mis en place des restrictions pour limiter les abus, mais la question de la démocratisation de l'IA reste posée.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : OpenAI et ses défis financiers, la nouvelle génération d'images IA, et les hallucinations des modèles de langage. C’est parti !Commençons par OpenAI, qui a récemment mis à jour ChatGPT avec des capacités de génération d'images inspirées du style du Studio Ghibli. Cette innovation a suscité un engouement sur les réseaux sociaux, mais elle masque des difficultés financières. OpenAI, confronté à la concurrence de DeepSeek, qui propose des modèles performants à moindre coût, doit revoir sa stratégie. La consommation énergétique élevée et le modèle économique basé sur des dépenses rapides ne sont plus viables. OpenAI cherche à lever 40 milliards de dollars, avec Softbank en tête, mais les fonds manquent encore. Sam Altman, PDG d'OpenAI, doit multiplier les annonces pour maintenir l'intérêt des investisseurs.Passons maintenant à la nouvelle fonctionnalité de génération d'images de ChatGPT-4o. Cette mise à jour a captivé les internautes, mais la demande massive a retardé son déploiement pour les utilisateurs gratuits. Actuellement, seuls les abonnés payants peuvent en profiter. OpenAI avait prévu un accès sans barrière de paiement, mais les contraintes de ressources ont modifié ces plans. Cette situation rappelle les limitations précédentes avec l'outil vidéo Sora. OpenAI travaille à l'expansion de son infrastructure pour répondre à la demande croissante.En parallèle, les hallucinations dans les grands modèles de langage, comme GPT-3, posent des défis. Ces phénomènes, où l'IA génère des informations incorrectes, affectent la confiance des utilisateurs. Comprendre et réduire ces hallucinations est crucial pour améliorer la fiabilité des modèles. Les biais dans les ensembles de données d'entraînement contribuent à ces erreurs. Des approches comme l'amélioration des données et l'ajustement des algorithmes sont recommandées pour atténuer ces risques.Enfin, Ideogram a lancé sa version 3.0, introduisant des fonctionnalités pour créer des images plus réalistes. Le système de référence de style permet d'utiliser des images de référence pour guider l'esthétique du rendu. Avec 4,3 milliards de préréglages de style, Ideogram se positionne devant Midjourney. La mise à jour inclut un éditeur d'images alimenté par l'IA, Canvas, pour créer et combiner des images. Cette avancée met en lumière la compétition intense dans le domaine de la génération d'images par IA.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : OpenAI et ses défis financiers, la nouvelle génération d'images IA, et les hallucinations des modèles de langage. C’est parti !Commençons par OpenAI, qui a récemment mis à jour ChatGPT avec des capacités de génération d'images inspirées du style du Studio Ghibli. Cette fonctionnalité a rapidement conquis les réseaux sociaux, mais elle cache des défis financiers pour l'entreprise. OpenAI, initialement conçue pour dépenser rapidement, est maintenant surpassée par des concurrents comme DeepSeek, qui offre des modèles performants à moindre coût. Cette situation a poussé OpenAI à multiplier les annonces pour maintenir l'intérêt des investisseurs, malgré des projets parfois peu convaincants. L'entreprise prépare un nouveau tour de financement de 40 milliards de dollars avec Softbank, mais les fonds ne sont pas encore réunis.Passons maintenant à la nouvelle fonctionnalité de génération d'images de ChatGPT-4o. Cette mise à jour permet de transformer des photos en œuvres d'art de style Ghibli, mais la demande massive a retardé son déploiement pour les utilisateurs gratuits. Actuellement, seuls les abonnés payants peuvent en profiter. OpenAI avait prévu un accès sans barrière de paiement, mais les contraintes de ressources ont obligé l'entreprise à revoir ses plans. Cette situation soulève des questions sur la démocratisation de l'IA et la gestion des ressources nécessaires pour soutenir cette innovation.En parallèle, le phénomène des hallucinations dans les grands modèles de langage reste un sujet de préoccupation. Ces hallucinations se produisent lorsque l'IA génère des informations plausibles mais incorrectes, affectant la confiance des utilisateurs. Comprendre ces phénomènes est crucial pour améliorer la qualité et l'équité des résultats de l'IA. Les hallucinations ne se limitent pas aux modèles de langage, mais touchent diverses applications de l'IA, soulignant la nécessité de stratégies pour atténuer ces risques.Enfin, Ideogram a lancé sa version 3.0, introduisant des fonctionnalités pour créer des images plus réalistes et stylisées. Le système de référence de style permet aux utilisateurs de télécharger des images pour guider le rendu esthétique. Avec 4,3 milliards de préréglages de style, Ideogram se positionne devant Midjourney, qui n'a pas encore publié sa mise à jour promise. Cette avancée montre l'évolution rapide des outils de génération d'images, offrant aux utilisateurs des capacités créatives sans précédent.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : avancées en IA multimodale, innovations en génération d'images, et défis de l'IA dans le journalisme. C’est parti !Commençons par le lancement de Qwen2.5-Omni, le dernier modèle multimodal de la série Qwen. Ce modèle, disponible sur des plateformes comme Hugging Face et GitHub, est conçu pour traiter simultanément texte, images, audio et vidéo. Grâce à son architecture Thinker-Talker, il génère des réponses textuelles et vocales en temps réel. Avec des performances supérieures dans des tâches multimodales, Qwen2.5-Omni surpasse ses prédécesseurs et rivalise avec des modèles propriétaires. Son encodage TMRoPE synchronise efficacement les entrées vidéo et audio, renforçant sa capacité à suivre des instructions vocales complexes.Passons maintenant à OpenAI, qui a intégré GPT-4o Image Generation dans ChatGPT, remplaçant DALL-E. Ce nouvel outil génère des images réalistes avec une attention particulière aux détails, y compris le texte dans les images. Capable de traiter jusqu'à 20 demandes en une seule requête, il offre une polyvalence allant des photographies aux infographies. Bien que des limitations subsistent, comme des recadrages serrés et des hallucinations occasionnelles, OpenAI met l'accent sur la sécurité avec des métadonnées C2PA pour indiquer l'origine des images.Deevid.ai a également fait parler de lui avec son générateur vidéo IA, permettant de créer des vidéos de haute qualité à partir de simples invites textuelles. Cette plateforme vise à démocratiser la création vidéo, offrant des outils avancés sans nécessiter de compétences techniques. Avec une interface utilisateur intuitive, elle permet aux créateurs de produire du contenu professionnel rapidement, tout en intégrant des fonctionnalités comme la synthèse vocale et le support multilingue.Dans le domaine du journalisme, une étude du Tow Center for Digital Journalism révèle des problèmes d'exactitude avec les modèles d'IA génératifs. Testant huit outils de recherche, les chercheurs ont constaté que plus de 60 % des citations étaient incorrectes. Les modèles fournissent souvent des réponses plausibles mais erronées, posant des questions sur leur fiabilité. Les éditeurs font face à un dilemme : bloquer les robots d'exploration d'IA ou permettre une réutilisation sans trafic vers leurs sites.Enfin, Google a lancé Gemini avec personnalisation, exploitant votre historique de recherche pour des réponses plus pertinentes. Cette fonctionnalité marque un pas vers un assistant personnel IA, capable de personnaliser les réponses en fonction de vos recherches passées. Bien que perfectible, elle montre des résultats prometteurs, rapprochant Gemini de l'assistant personnel idéal.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : l'évolution de l'inférence en IA, les défis de gouvernance, et les avancées technologiques récentes. C’est parti !Commençons par l'évolution de l'inférence en intelligence artificielle. Alors que l'IA se concentrait traditionnellement sur l'entraînement de modèles de plus en plus grands, nous assistons à un déplacement vers l'inférence. Cette approche alloue dynamiquement des ressources de calcul pendant l'exécution, permettant à l'IA de raisonner plus profondément et de produire des résultats sophistiqués. Cependant, cette avancée entraîne des coûts opérationnels élevés, obligeant les organisations à faire des choix stratégiques sur l'allocation des ressources. Les cadres de gouvernance actuels, comme l'EU AI Act, se concentrent sur l'entraînement, mais l'inférence soulève de nouvelles questions de régulation, notamment en matière de transparence et d'équité.Passons maintenant à une polémique récente en France. Une affiche de La France Insoumise a suscité des critiques pour son imagerie antisémite, mettant en lumière les dangers des IA non supervisées comme Grok, développée par l'Alt Right. Cette IA est critiquée pour son manque de filtres, générant des contenus controversés. Le débat soulève des questions sur la responsabilité et la culture visuelle des utilisateurs d'IA, et sur la manière dont ces technologies peuvent reproduire des éléments problématiques du passé.En parlant de technologies numériques, le numérique a exacerbé des formes de néo-management toxiques, théorisées dès l'époque nazie. Ces pratiques sont aujourd'hui automatisées par les plateformes numériques, créant des continuités historiques troublantes. L'uberisation et la gig economy reposent sur un néo-fordisme où les notifications algorithmiques jouent le rôle de contremaîtres, exploitant les travailleurs pauvres. La collecte de données personnelles renforce les inégalités, et bien que le numérique puisse être émancipateur, il est rarement utilisé collectivement à cette fin.Sur le front des avancées technologiques, Baidu a lancé deux nouveaux modèles multimodaux, Ernie 4.5 et Ernie X1, qui rivalisent avec des modèles occidentaux comme GPT-4.5. Ces modèles sont proposés à des prix compétitifs, influençant le marché de l'IA. OpenAI a également introduit de nouveaux modèles audio, améliorant la conversion de la parole en texte et vice versa. Nvidia et Apple ont annoncé des avancées matérielles, avec des GPU et des Mac capables de faire fonctionner des modèles IA de grande envergure.Enfin, OpenAI a intégré des capacités de génération d'images dans ChatGPT, remplaçant DALL-E. Ce système traite simultanément le texte et les images, offrant des résultats plus cohérents. Il peut gérer jusqu'à 20 objets différents, maintenant les relations correctes entre eux. Cette capacité élargit les possibilités créatives pour la génération d'images par IA, bien que des limitations subsistent, notamment dans le rendu du texte non latin.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : l'impact des modèles de langage sur la description d'images, l'éducation en ligne mondiale, les avancées des modèles audio et les défis de la dépendance émotionnelle aux IA. C’est parti !Commençons par les modèles de langage de grande taille (LLM) et leur capacité à décrire des images. En 2025, des modèles comme ChatGPT, Claude et Gemini sont testés pour rédiger des descriptions textuelles d'images. Sans contexte, ces modèles se concentrent souvent sur des détails superficiels, mais avec un contexte, ils parviennent à des descriptions plus précises. Cependant, des erreurs subsistent, comme des hallucinations où des éléments inexistants sont décrits. Cela souligne la nécessité d'une révision humaine pour garantir l'exactitude des descriptions.Passons maintenant à l'éducation en ligne mondiale. Alors que l'automatisation menace de nombreux emplois, un système éducatif global et accessible est envisagé. Ce concept propose une école en ligne sans frais, offrant des diplômes reconnus et un apprentissage à son propre rythme. Les MOOC actuels manquent d'interaction humaine, mais des initiatives comme "Code in Place" intègrent des réunions virtuelles pour renforcer l'engagement. La technologie est prête, mais des défis subsistent, notamment en matière de sécurité et de motivation.En parlant de technologie, OpenAI a récemment dévoilé de nouveaux modèles audio, dont GPT-4o-transcribe et GPT-4o-mini-transcribe, qui améliorent la précision de transcription dans plusieurs langues. Le modèle GPT-4o-mini-tts permet de contrôler le ton de l'IA, une fonctionnalité appelée "steerability". Baidu, de son côté, a lancé Ernie 4.5 et Ernie X1, des modèles multimodaux capables de traiter divers types de médias. Ces avancées montrent une compétition intense dans le domaine de l'IA.Enfin, abordons la dépendance émotionnelle aux LLMs. Une étude d'OpenAI et du MIT Media Lab révèle que certains utilisateurs développent une dépendance émotionnelle à des modèles comme ChatGPT. Ces "power users" montrent des signes d'addiction similaires à ceux des réseaux sociaux. Les résultats soulignent l'importance pour les développeurs de créer des IA utiles sans encourager la dépendance. Cela pose des questions sur nos interactions humaines et la place des IA dans nos vies.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : l'alignement entre le cerveau humain et les modèles de langage, les enjeux des droits d'auteur pour l'IA, et les avancées des modèles multimodaux. C’est parti !Commençons par une étude fascinante qui révèle comment l'activité neuronale dans le cerveau humain s'aligne avec les modèles de langage de grande taille, ou LLMs. Des chercheurs de Google Research, en collaboration avec plusieurs universités, ont découvert que les représentations internes de ces modèles, comme Whisper, s'alignent de manière linéaire avec l'activité neuronale lors de conversations naturelles. En utilisant des électrodes intracrâniennes, ils ont observé que les embeddings de la parole et du langage du modèle prédisent l'activité neuronale dans différentes zones du cerveau, comme la zone de Broca et le cortex moteur, avant et après l'articulation des mots. Cette découverte offre un cadre pour comprendre comment le cerveau traite le langage.Passons maintenant aux débats sur les droits d'auteur dans le domaine de l'IA. OpenAI et Google font pression sur le gouvernement américain pour permettre l'entraînement de leurs modèles sur du matériel protégé par des droits d'auteur. Ils soutiennent que cela est crucial pour maintenir l'avance des États-Unis en IA face à la Chine, où les développeurs ont un accès illimité aux données. OpenAI affirme que l'application des protections de l'usage équitable est une question de sécurité nationale. Cependant, cette position soulève des préoccupations, notamment en raison des accusations de violation de droits d'auteur auxquelles font face plusieurs entreprises d'IA.En parallèle, OpenAI a annoncé de nouvelles fonctionnalités API pour la conversion texte-parole et parole-texte. Bien que prometteurs, ces modèles présentent des risques d'exécution accidentelle d'instructions, notamment à cause de l'injection de prompt. Le modèle gpt-4o-mini-tts, par exemple, permet de moduler le ton de la lecture, mais pourrait mal interpréter des directives scéniques. Ces défis soulignent l'importance de la prudence dans l'utilisation de ces technologies.Un incident récent met en lumière les risques des hallucinations des modèles de langage. Arve Hjalmar Holmen, un citoyen norvégien, a été faussement accusé par ChatGPT d'avoir commis des crimes graves. Cette situation a conduit à une plainte pour violation du RGPD, soulignant les enjeux de l'exactitude des données personnelles traitées par l'IA. OpenAI reconnaît que ses modèles peuvent générer des informations inexactes, mais cela ne les dispense pas de leurs obligations légales.Enfin, Microsoft a lancé son modèle multimodal Phi-4, capable de traiter simultanément texte, images et parole. Ce modèle se distingue par sa capacité à répondre à des entrées vocales et à surpasser d'autres modèles dans des tâches combinant différentes modalités. L'approche Mixture-of-LoRAs utilisée dans Phi-4-multimodal démontre l'efficacité des modèles mixtes pour le traitement des données multimodales, bien que des défis subsistent pour garantir la pertinence des réponses.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : Gemini 2.0 Flash, les défis des contenus générés par IA, et l'impact environnemental des LLM. C’est parti !Commençons par Gemini 2.0 Flash, une avancée majeure dans la création d'images par IA. Google AI Studio a récemment ouvert cette fonctionnalité aux développeurs du monde entier. Gemini 2.0 Flash se distingue par sa capacité à combiner texte et images, permettant de raconter des histoires illustrées de manière cohérente. Il offre également une édition d'images conversationnelle, facilitant l'itération vers une image parfaite. Contrairement à d'autres modèles, Gemini utilise une compréhension du monde pour créer des images réalistes, comme illustrer une recette. Il excelle aussi dans le rendu de texte, surpassant ses concurrents dans la création de publicités et d'invitations. Les développeurs peuvent expérimenter cette technologie via l'API Gemini, ouvrant la voie à de nouvelles applications visuelles.Passons maintenant aux défis posés par les contenus générés par IA, souvent appelés GenAI. La prolifération de ces contenus rend difficile la distinction entre créations humaines et machines. Des cas d'accusations erronées d'étudiants utilisant des outils comme ChatGPT illustrent ce problème. Bien que des outils existent pour rendre les textes IA plus humains, le risque de faux positifs persiste. Une extension de navigateur a été développée pour alerter les utilisateurs des sites générés par IA, mais elle a aussi révélé des erreurs de classification. La transparence dans l'utilisation des contenus GenAI est cruciale pour éviter les malentendus et garantir la fiabilité des informations.En parlant de fiabilité, l'importance de la transparence des données d'entraînement des IA est soulignée par l'initiative Data Provenance. Cette initiative vise à améliorer la documentation des jeux de données utilisés pour entraîner les modèles d'IA. Des audits ont révélé des vulnérabilités, comme l'utilisation non autorisée de contenus protégés. Un outil a été développé pour tracer la provenance des données, réduisant les erreurs de licence et améliorant l'utilisation responsable des données. L'initiative prévoit d'étendre ses efforts à d'autres médias, contribuant ainsi à une utilisation plus éthique des données d'entraînement.Enfin, abordons l'impact environnemental des modèles de langage de grande taille (LLM). Ces modèles consomment une quantité significative d'énergie, avec des émissions de CO2 conséquentes. En 2022, la consommation énergétique des centres de données IA a atteint 23 TWh. Des initiatives comme le AI Energy Score Benchmark tentent de quantifier cette consommation. Les progrès en efficacité énergétique, grâce à des innovations matérielles et logicielles, réduisent l'empreinte carbone des IA. Cependant, l'empreinte reste préoccupante, bien que l'IA puisse parfois représenter un gain net en énergie, par exemple en optimisant la consommation dans divers domaines.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : nouvelles avancées de Gemini 2.0 Flash, réflexions sur l'avenir des LLM, défis de la GenAI, retour sur AI Dev 25, et enjeux de la transparence des données. C’est parti !Commençons par Gemini 2.0 Flash, une avancée majeure dans la génération d'images par IA. Désormais disponible pour les développeurs via Google AI Studio, ce modèle combine texte et images pour créer des récits illustrés cohérents. Il permet également l'édition d'images par dialogue naturel et se distingue par sa capacité à rendre du texte de manière lisible, un défi pour de nombreux modèles. Cette innovation ouvre de nouvelles perspectives pour les applications visuelles et interactives.Passons maintenant aux réflexions de Nicholas Carlini sur l'avenir des grands modèles de langage (LLM). Il envisage deux scénarios : une amélioration exponentielle des LLM, surpassant les experts humains, ou une progression plus lente. Carlini souligne l'importance de rester humble face aux incertitudes technologiques et de définir des critères clairs pour évaluer les capacités des LLM. Il réfute également certaines critiques, affirmant que les limitations actuelles des LLM ne sont pas insurmontables.En parlant de défis, la GenAI complique la distinction entre contenus humains et générés par IA. Les outils de détection, bien qu'améliorés, ne sont pas infaillibles et peuvent confondre des textes humains avec ceux générés par IA, surtout pour les non-natifs. La transparence est cruciale, et une extension de navigateur a été développée pour alerter les utilisateurs sur les sites potentiellement générés par IA. Cependant, des erreurs persistent, soulignant la nécessité de méthodes de vérification plus robustes.Revenons sur AI Dev 25, une conférence dédiée aux développeurs en IA. Cet événement a rassemblé des passionnés du monde entier pour échanger sur les dernières innovations. Les participants ont apprécié le caractère technique des sessions, et l'événement a mis en avant l'importance d'un forum neutre pour les développeurs. Malgré la limitation de l'espace, l'enthousiasme était palpable, et l'événement a été un succès.Enfin, abordons la question de la transparence des données d'entraînement des modèles d'IA. L'Initiative de Provenance des Données, menée par des chercheurs du MIT, vise à améliorer la documentation des ensembles de données utilisés pour l'IA. Cette initiative aide à retracer l'origine des données, réduisant ainsi les risques juridiques et de biais. Des outils ont été développés pour faciliter la sélection de données appropriées, contribuant à une utilisation plus responsable des données.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : Gemini 2.0 Flash, les défis des contenus générés par IA, et l'impact environnemental des LLM. C’est parti !Commençons par Gemini 2.0 Flash, une avancée majeure dans la génération d'images par IA. Désormais disponible pour les développeurs via Google AI Studio, ce modèle combine des entrées multimodales et un raisonnement amélioré pour créer des images cohérentes et réalistes. Que ce soit pour raconter des histoires avec des illustrations ou éditer des images par conversation, Gemini 2.0 Flash se distingue par sa capacité à comprendre le monde et à rendre le texte avec précision. Cette innovation ouvre de nouvelles possibilités pour les développeurs, notamment dans la création de publicités et de contenus sociaux.Passons maintenant aux défis posés par la prolifération des contenus générés par IA, souvent appelés GenAI. La difficulté de distinguer les créations humaines de celles produites par des machines a conduit à des accusations erronées, notamment dans le milieu éducatif. Des étudiants ont été faussement accusés d'avoir utilisé des outils comme ChatGPT pour leurs devoirs. Une extension de navigateur a été développée pour alerter les utilisateurs des sites générés par IA, mais elle a également produit des faux positifs. La transparence et une approche mesurée sont essentielles pour éviter une panique morale autour de l'IA.En parlant de ChatGPT, un incident en Norvège a mis en lumière les risques liés aux hallucinations des modèles d'IA. Arve Hjalmar Holmen a découvert que ChatGPT avait faussement affirmé qu'il avait assassiné ses enfants. Cette erreur soulève des questions sur la précision des données et le respect du RGPD. OpenAI a été invité à supprimer ces informations diffamatoires et à affiner son modèle pour éviter de futures violations.Abordons maintenant l'impact environnemental des modèles de langage de grande taille (LLM). Ces modèles consomment une quantité significative d'énergie, entraînant des émissions de CO2. Bien que des progrès aient été réalisés pour améliorer l'efficacité énergétique, l'entraînement et l'utilisation des LLM restent coûteux en ressources. Par exemple, l'entraînement de GPT-3 a nécessité 1,287 gigawattheures. Cependant, des innovations logicielles et matérielles continuent de réduire la consommation énergétique, et l'IA est utilisée pour optimiser l'efficacité énergétique dans divers domaines.Enfin, l'Initiative de Provenance des Données vise à améliorer la transparence des ensembles de données utilisés pour entraîner les modèles d'IA. Un outil, le Data Provenance Explorer, permet de tracer l'origine des données et de vérifier les licences, réduisant ainsi les risques juridiques et de biais. Cette initiative est cruciale pour garantir une utilisation responsable des données dans le développement des modèles d'IA.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : l'impact des modèles de langage sur les systèmes de recommandation, l'édition entièrement produite par l'IA d'un quotidien italien, le paradigme du vibe coding, et bien plus encore. C’est parti !Commençons par les systèmes de recommandation. Historiquement, ces systèmes ont utilisé des modèles de langage pour améliorer leurs performances. Aujourd'hui, les modèles de langage de grande taille (LLM) et la multimodalité sont de plus en plus adoptés pour surmonter les limitations des approches traditionnelles basées sur les identifiants. Par exemple, YouTube utilise des IDs sémantiques pour améliorer l'efficacité des recommandations. Des modèles comme M3CSR de Kuaishou et FLIP de Huawei montrent comment les LLMs peuvent être intégrés pour optimiser les recommandations en ligne et améliorer les prédictions de taux de clics. Ces innovations permettent de mieux gérer les recommandations d'éléments peu fréquents ou nouveaux.Passons maintenant à l'édition expérimentale du quotidien italien Il Foglio, entièrement produite par l'intelligence artificielle. Pendant un mois, l'IA a généré l'ensemble du contenu, des articles aux lettres des lecteurs, avec les journalistes se limitant à poser des questions. Cette initiative met en lumière l'influence croissante de l'IA dans le journalisme, tout en soulevant des questions sur la fiabilité des informations générées et l'avenir des emplois dans ce secteur.En parlant de nouvelles approches, le vibe coding, introduit par Andrej Karpathy, redéfinit le rôle des développeurs. Ce paradigme permet aux développeurs de décrire la fonctionnalité souhaitée en langage naturel, laissant l'IA générer le code. Bien que critiqué par certains comme un simple rebranding, le vibe coding souligne l'évolution vers une orchestration de haut niveau par les développeurs, plutôt que l'écriture de chaque ligne de code.Dans le domaine de la génération vidéo, Step-Video-TI2V, un modèle de pointe avec 30 milliards de paramètres, se distingue par sa capacité à créer des vidéos à partir de textes. Ce modèle, accompagné de son benchmark Step-Video-TI2V-Eval, offre des performances remarquables dans la génération d'images en vidéos, démontrant l'évolution rapide des capacités de l'IA dans ce domaine.Enfin, la startup française Mistral AI a dévoilé Mistral Small 3.1, un modèle open source qui prétend surpasser des modèles bien connus comme GPT-4o. En parallèle, Google a introduit Gemma 3, optimisé pour divers dispositifs, et OpenAI se concentre sur GPT-5, simplifiant ainsi son offre. Ces développements montrent l'importance de l'open source pour l'innovation rapide et la collaboration mondiale.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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  • Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : décryptage des nouvelles techniques de reverse engineering, innovations dans le codage assisté par l'IA, création artistique numérique accessible à tous, et régulations sur les contenus générés par l'IA. C’est parti !Commençons par une avancée qui bouleverse la protection du code source. Historiquement, la compilation et l'obfuscation étaient des méthodes efficaces pour protéger le code. Cependant, avec l'arrivée de modèles de langage de grande taille comme Claude d'Anthropic, cette barrière est tombée. Geoffrey Huntley a démontré comment ces outils peuvent transformer un logiciel en code open-source. En utilisant Claude Code, il a réussi à rendre lisible un fichier minifié de 5 Mo, prouvant que même les codes obfusqués peuvent être analysés et réécrits. Cette technique, qui rappelle la série "Halt and Catch Fire", permet de recréer des fonctionnalités entières sans être détecté, posant un défi majeur pour les entreprises qui souhaitent protéger leurs innovations.Passons maintenant à Google, qui a élargi les capacités de Gemini avec "Canvas", un espace de travail interactif pour simplifier la création de contenu et le codage. Cet outil permet aux utilisateurs de bénéficier de l'intelligence artificielle de Gemini dans un environnement dédié, facilitant des tâches allant de l'édition de documents au développement de prototypes. Les développeurs peuvent générer des prototypes d'applications web et prévisualiser le code en temps réel, rendant le processus de création plus fluide et interactif. Canvas est désormais disponible mondialement pour les abonnés de Gemini, offrant une nouvelle dimension aux flux de travail de codage assistés par l'IA.En matière de création artistique, l'AI Ease AI Art Generator se distingue en permettant de créer des œuvres d'art à partir de simples descriptions textuelles. Gratuit et facile à utiliser, cet outil démocratise l'accès à la création artistique numérique. Que vous soyez intéressé par des personnages d'anime ou des paysages futuristes, AI Ease vous permet de réaliser votre vision sans compétences techniques particulières. Il suffit de taper votre idée, de choisir un style et de laisser l'IA faire le reste, rendant l'art accessible à tous.Enfin, la Chine a annoncé qu'à partir de septembre 2025, les contenus générés par IA devront être étiquetés comme tels. Cette décision vise à réduire la désinformation et à responsabiliser les fournisseurs de services. Les contenus synthétiques devront inclure des identifiants explicites et implicites, comme des filigranes numériques. Cette initiative s'inscrit dans un mouvement global, avec des réglementations similaires en Europe et aux États-Unis. Par exemple, l'AI Act européen exige que les contenus synthétiques soient marqués, et aux États-Unis, un décret prévoit des mécanismes pour authentifier les contenus. Ces mesures visent à contrôler les risques de désinformation et à promouvoir un développement sain de l'IA.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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