Episodit
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Alain Prochiantz
Collège de France
Processus morphogénétiques
Année universitaire 2018-2019
Leçon de clôture : 1989-2019 : Trente années de circonvolutions homéotiques
Dans sa leçon de clôture, le Pr Alain Prochiantz reviendra sur ses recherches qui, depuis 1989, ont permis à son équipe de démontrer l'existence d'un nouveau mécanisme de signalisation cellulaire et d'en explorer les multiples facettes, dans les domaines du développement, de la physiologie et des pathologies du système nerveux.
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Alain Prochiantz
Collège de France
Processus morphogénétiques
Année universitaire 2018-2019
Leçon de clôture : 1989-2019 : Trente années de circonvolutions homéotiques
Dans sa leçon de clôture, le Pr Alain Prochiantz reviendra sur ses recherches qui, depuis 1989, ont permis à son équipe de démontrer l'existence d'un nouveau mécanisme de signalisation cellulaire et d'en explorer les multiples facettes, dans les domaines du développement, de la physiologie et des pathologies du système nerveux.
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Puuttuva jakso?
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Alain Prochiantz
Collège de France
Processus morphogénétiques
Année universitaire 2017-2018
Le mythe des 1,23%
Le cours 2017-2018 du Professeur Alain Prochiantz « Le mythe des 1,23% », poursuit en lui donnant une inflexion plus génétique la réflexion initiée l'année précédente sur les différences entre Homo sapiens et les primates non-humains, en particulier Pan paniscus (bonobos) et Pan troglodytes (chimpanzés).
Le Professeur analysera, à partir de la littérature scientifique récente, comment une différence génétique limitée peut se traduire en des différences physiologiques et comportementales extrêmes qui rendent compte de la singularité cognitive et culturelle de notre espèce.
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Alain Prochiantz
Collège de France
Processus morphogénétiques
Année universitaire 2017-2018
Le mythe des 1,23%
Le cours 2017-2018 du Professeur Alain Prochiantz « Le mythe des 1,23% », poursuit en lui donnant une inflexion plus génétique la réflexion initiée l'année précédente sur les différences entre Homo sapiens et les primates non-humains, en particulier Pan paniscus (bonobos) et Pan troglodytes (chimpanzés).
Le Professeur analysera, à partir de la littérature scientifique récente, comment une différence génétique limitée peut se traduire en des différences physiologiques et comportementales extrêmes qui rendent compte de la singularité cognitive et culturelle de notre espèce.
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Alain Prochiantz
Collège de France
Processus morphogénétiques
Année universitaire 2017-2018
Le mythe des 1,23%
Le cours 2017-2018 du Professeur Alain Prochiantz « Le mythe des 1,23% », poursuit en lui donnant une inflexion plus génétique la réflexion initiée l'année précédente sur les différences entre Homo sapiens et les primates non-humains, en particulier Pan paniscus (bonobos) et Pan troglodytes (chimpanzés).
Le Professeur analysera, à partir de la littérature scientifique récente, comment une différence génétique limitée peut se traduire en des différences physiologiques et comportementales extrêmes qui rendent compte de la singularité cognitive et culturelle de notre espèce.
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Alain Prochiantz
Collège de France
Processus morphogénétiques
Année universitaire 2017-2018
Le mythe des 1,23%
Le cours 2017-2018 du Professeur Alain Prochiantz « Le mythe des 1,23% », poursuit en lui donnant une inflexion plus génétique la réflexion initiée l'année précédente sur les différences entre Homo sapiens et les primates non-humains, en particulier Pan paniscus (bonobos) et Pan troglodytes (chimpanzés).
Le Professeur analysera, à partir de la littérature scientifique récente, comment une différence génétique limitée peut se traduire en des différences physiologiques et comportementales extrêmes qui rendent compte de la singularité cognitive et culturelle de notre espèce.
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Alain Prochiantz
Collège de France
Processus morphogénétiques
Année universitaire 2017-2018
Le mythe des 1,23%
Le cours 2017-2018 du Professeur Alain Prochiantz « Le mythe des 1,23% », poursuit en lui donnant une inflexion plus génétique la réflexion initiée l'année précédente sur les différences entre Homo sapiens et les primates non-humains, en particulier Pan paniscus (bonobos) et Pan troglodytes (chimpanzés).
Le Professeur analysera, à partir de la littérature scientifique récente, comment une différence génétique limitée peut se traduire en des différences physiologiques et comportementales extrêmes qui rendent compte de la singularité cognitive et culturelle de notre espèce.
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Alain Prochiantz
Collège de France
Processus morphogénétiques
Année universitaire 2017-2018
Le mythe des 1,23%
Le cours 2017-2018 du Professeur Alain Prochiantz « Le mythe des 1,23% », poursuit en lui donnant une inflexion plus génétique la réflexion initiée l'année précédente sur les différences entre Homo sapiens et les primates non-humains, en particulier Pan paniscus (bonobos) et Pan troglodytes (chimpanzés).
Le Professeur analysera, à partir de la littérature scientifique récente, comment une différence génétique limitée peut se traduire en des différences physiologiques et comportementales extrêmes qui rendent compte de la singularité cognitive et culturelle de notre espèce.
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Alain Prochiantz
Collège de France
Processus morphogénétiques
Année universitaire 2017-2018
Le mythe des 1,23%
01 - La place de sapiens dans l'évolution
Le cours 2017-2018 du Professeur Alain Prochiantz « Le mythe des 1,23% », poursuit en lui donnant une inflexion plus génétique la réflexion initiée l'année précédente sur les différences entre Homo sapiens et les primates non-humains, en particulier Pan paniscus (bonobos) et Pan troglodytes (chimpanzés).
Le Professeur analysera, à partir de la littérature scientifique récente, comment une différence génétique limitée peut se traduire en des différences physiologiques et comportementales extrêmes qui rendent compte de la singularité cognitive et culturelle de notre espèce.
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Alain Prochiantz
Collège de France
Processus morphogénétiques
Année universitaire 2017-2018
Le mythe des 1,23%
01 - La place de sapiens dans l'évolution
Le cours 2017-2018 du Professeur Alain Prochiantz « Le mythe des 1,23% », poursuit en lui donnant une inflexion plus génétique la réflexion initiée l'année précédente sur les différences entre Homo sapiens et les primates non-humains, en particulier Pan paniscus (bonobos) et Pan troglodytes (chimpanzés).
Le Professeur analysera, à partir de la littérature scientifique récente, comment une différence génétique limitée peut se traduire en des différences physiologiques et comportementales extrêmes qui rendent compte de la singularité cognitive et culturelle de notre espèce.
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