Episodes
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Le refus, c’est tout le discours intérieur, inefficace et usant, pour ne pas accepter la réalité.
D’après Clément Rosset, Swâmi Prajnanpad, Arnaud Desjardins, Alexandre Jollien.
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Cet épisode est inspiré du livre de Maurice Maeterlinck, la sagesse et la destinée.
« A mesure que nous devenons sages, nous échappons à quelques-unes de nos destinées instinctives.
Un défaut que vous regardez en face ne peut plus vous nuire, ni à vous, ni aux autres. »
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Episodes manquant?
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Cet épisode évoque le mystère de la gratitude. Pourquoi est-ce un mystère ? La gratitude, en effet, devrait aller de soi. Que ce soit une vertu justement démontre le contraire.
Pourquoi ?
D’après le livre d’André Comte-Sponville : Petit traité des grandes vertus.
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Cet épisode parle de la vertu de miséricorde.
Pardonner n’est pas effacer, ni oublier. C’est cesser de haïr. C’est d’abord un cadeau que l’on se fait à soi-même.
D’après le livre d’André Comte-Sponville : Petit traité des grandes vertus.
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Il semble que les rédacteurs de la bible, dans le premier livre, la Genèse, aient eu l’intuition de la théorie mimétique, en soulignant en tout premier lieu l’importance du poison de la rivalité.
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Le Phénix, qui renait de ses cendres, c’est « Satan » (en grec l’accusateur, l’avocat général dans un procès), autrement dit le processus victimaire qui s’expulse lui-même, qui s’arrête pour ne pas provoquer la destruction de la société.
D’après l’œuvre de René Girard, en particulier le livre je vois Satan tomber comme l’éclair.
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Parakleitos, en grec, signifie l’avocat de la défense.
L’épisode s’attarde sur la passion du Christ d’un point de vue anthropologique, à travers la grille de lecture de la théorie mimétique de René Girard.
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Dans ce premier épisode de la saison 2 Olivier nous parle de l’absurde. Selon Albert Camus, l’absurde n’est ni dans le monde, ni dans l’homme, mais dans leur confrontation.
Il nait de l’angoisse de l’homme, qui cherche un sens à sa vie, et de l’indifférence du monde, qui ne répond pas à son appel.
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Dans cet entretien Olivier nous définira ce qu’on appelle « une expérience d’éveil » et nous racontera comme cela lui est arrivé.
Cette expérience est très bien décrite par les bouddhistes, et par toutes les traditions. Le fait que ce phénomène existe dans toutes les traditions montre son côté universel.
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Dans cet épisode nous parlerons de Soukha. Dans le bouddhisme, ce terme désigne un état de bien-être qui naît d’un esprit exceptionnellement sain et serein, et qui ne dépend pas des conditions extérieures.
Nous parlerons ainsi de la différence entre la situation du sage bouddhiste et celle de l’occidental, qui commet en général l’erreur de chercher le bonheur en dehors de lui-même. Ce bonheur, fortement lié au aux conditions extérieures, s’écroule comme un château de cartes dès qu’un problème sérieux survient.
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Cet épisode est particulier car il regroupe deux chansons « La métaphysique » et « la grande illusion ». Olivier a souhaité les regrouper car elles parlent du même thème, mais la première concerne une problématique individuelle, et la seconde une problématique collective.
Il s’agit ici de ce que le philosophe Clément Rosset a décrit dans son livre « le réel et son double » avec le principe d’illusion oraculaire.
On a tendance, en effet, à attendre une certaine version de la réalité, et, quand elle arrive on est déçu, car on attendait autre chose. On a le sentiment de s’être fait avoir.
L’auteur nous donnera des exemples, dans la littérature et dans la vie courante.
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Dans cet entretien Olivier reviendra sur les paroles de sa chanson qui lui ont été inspirées par une théorie psychologique de Christophe André.
Comme toujours sous forme de questions/réponses l’auteur expliquera la théorie évoquée ci-dessous qui stipule que « Le pessimiste est celui qui, face à l’incertitude, préfèrera toujours une certitude négative. ».
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Dans cet épisode Olivier nous expliquera les paroles de sa chanson intitulée « la honte ». Il parle ici de la honte des victimes. D’après l’ouvrage de Boris Cyrulnik : mourir de dire : la honte.
Nous définirons le sentiment de honte puis nous nous interrogerons sur la question suivante : « pourquoi les victimes se taisent elles ? Et Comment contrer ce phénomène ? ».
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Pour ce deuxième épisode, Olivier Fillet évoque la souffrance qui résulte d’un manque absolu de sagesse. Être sage c’est consentir à la vie et l’aimer comme elle est. C’est se réjouir de ce qu’on a, sans toujours désirer autre chose.
Nous reviendrons sur la notion de sagesse et sur ses différentes définitions, et nous tenterons de donner des pistes pour pouvoir s’y diriger.
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« La gentillesse, c’est le courage qui sourit ».
Dans ce premier épisode, consacré à la chanson « le courage », l’auteur s’est inspiré du livre du philosophe Emmanuel Jaffelin, petit éloge de la gentillesse, qui explique la citation de Jules Renard « La gentillesse, c’est le courage qui sourit ».
Puis nous tenterons de répondre à la question : « Pourquoi le gentil passe-t-il le plus souvent pour un imbécile ? ».
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